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Alors, aujourd'hui, on fait le point sur la visite du Pape Léon XIV au Liban. So, today, we take stock of Pope Leo XIV's visit to Lebanon.Le contexte, il est, il est vraiment tendu. The context, it is, it is really tense.Le Pape vient de passer trois jours à Beyrouth, une visite historique, au moment même où la région retient son souffle, craignant une nouvelle guerre. The Pope has just spent three days in Beirut, a historic visit, at the very moment the region is holding its breath, fearing a new war.Alors, qu'est-ce qu'il faut retenir de ça ? So, what should we remember from this?Premièrement, son appel, un appel puissant pour la paix. Firstly, his call, a powerful call for peace.Devant une foule immense, hein, plus de 150 000 personnes, il a demandé de rejeter ce qu'il appelle la mentalité de vengeance. Before a huge crowd, over 150,000 people, he asked them to reject what he calls the mentality of vengeance.Deuxièmement, et c'est peut-être le plus marquant, il a fait une demande très directe, que cessent les attaques. Secondly, and this is perhaps the most striking, he made a very direct request, that the attacks cease.Et là, ce qui est assez incroyable, c'est que pendant toute sa visite, eh bien les frappes israéliennes qui étaient constantes, se sont arrêtées, complètement. And what's quite incredible is that throughout his visit, well, the Israeli strikes which were constant, stopped, completely. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:45 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - François Mabille, Chercheur CNRS, directeur de l'Observatoire de géopolitique des religions à l'IRIS. Auteur de “La papauté face à un monde en crise” (Eyrolles), analyse le premier voyage à l'étranger du pape Léon XIV, en Turquie et au Liban. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Journal en français facile du lundi 1er décembre 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CEPO.A
durée : 00:12:03 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Dimanche 30 novembre 2025, le pape Léon XIV est arrivé au Liban dans la poursuite de son premier voyage apostolique à l'étranger, après deux jours passés en Turquie. - réalisation : Félicie Faugère - invités : François Mabille Politiste, directeur de l'Observatoire de géopolitique des religions à l'Institut des Relations Internationales et Stratégiques (IRIS)
Le souverain pontife vient comme chef d'État et pasteur. Il rencontre les autorités politiques et religieuses, exhorte à la paix et à la fraternité. Mais il ne peut que pratiquer la diplomatie du symbole.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À la Une de la presse ce lundi 1er décembre, la visite du Pape Léon XIV au Liban. Le narcotrafic gangrène les Antilles françaises. Un oligarque russo-israélien poursuit le gouvernement britannique. Basketball : Andrew Albicy fait ses adieux aux Bleus. Et des photos d'un couple américain d'octogénaires qui s'est dit "oui" dans une piscine de Maryville, dans l'Illinois.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le pape Léon XIV arrive au Liban dans un pays où les habitants sont fatigués par la guerre, par les frappes israéliennes incessantes au sud ou en banlieue sud de Beyrouth. Des habitants fatigués par les crises économiques et politiques successives, qui se sentent abandonnés voire oubliés du monde, avec un État absent. En toile de fond : la guerre à Gaza et un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah sans cesse violé depuis un an, et des tensions confessionnelles en Syrie voisine. Le pape dit vouloir écouter la population durement éprouvée par de multiples crises et la guerre au Sud, comme un miroir de la région et entend livrer un message d'espérance et d'unité. Avant lui, le pape Jean-Paul II avait marqué les Libanais lors de sa visite en 1997, à l'issue du Synode spécial pour le Liban lorsqu'il avait prononcé cette fameuse phrase : «plus qu'un pays, le Liban est un message», soulignant que les Libanais de toutes confessions religieuses vivaient dans un même espace. Un message fort quelques années après la fin de la guerre civile qui avait déchiré le pays de 1975 à 1990, avec un accord de parité chrétiens-musulmans au sein du gouvernement et du Parlement. Un système confessionnel qui n'a pourtant pas apporté la stabilité recherchée. Benoit XVI s'y était rendu en 2012 pour son dernier voyage pontifical et avait mis l'accent sur son importance spirituelle. La devise de ce voyage : «Heureux les artisans de paix», c'est le message du pape Léon XIV dirigé à l'ensemble de la région, assorti d'une croix en forme d'ancre sur un cèdre, appelant les chrétiens à rester sur leur terre. Car, dans ce pays de quelque 6 millions d'habitants, aux 18 confessions religieuses, les chrétiens ne représentent plus qu'environ 30% de la population, alors qu'ils constituaient plus de 50% dans les années 1990 à la fin de la guerre civile. Parmi les lieux de visite attendus, il se rendra sur la tombe de Saint Charbel Maklouf à Annaya, une première pour un pape, puis au sanctuaire de Harissa (Notre-Dame du Liban), il rencontrera des jeunes au siège du patriarcat maronite de Bkerké, puis des représentants de toutes les confessions religieuses sur la place des Martyrs à Beyrouth, et ira se recueillir sur les lieux de l'explosion du port de Beyrouth survenu, il y a cinq ans, qui avait fait plus de 200 morts et des milliers de blessés, alors que l'enquête sur les causes de l'explosion n'est toujours pas terminée. Le pape clôturera ce voyage par une grande messe sur le front de mer à Beyrouth, «pour tous les Libanais, de toutes confessions», insiste-t-on. Nous vous proposons dans cette émission un parcours vers des lieux que le pape Léon XIV visitera et d'autres où il ne se rendra pas, à la rencontre de Libanais de toutes confessions, du nord de Beyrouth au sud du pays.
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Le pape Léon XIV arrive au Liban dans un pays où les habitants sont fatigués par la guerre, par les frappes israéliennes incessantes au sud ou en banlieue sud de Beyrouth. Des habitants fatigués par les crises économiques et politiques successives, qui se sentent abandonnés voire oubliés du monde, avec un État absent. En toile de fond : la guerre à Gaza et un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah sans cesse violé depuis un an, et des tensions confessionnelles en Syrie voisine. Le pape dit vouloir écouter la population durement éprouvée par de multiples crises et la guerre au Sud, comme un miroir de la région et entend livrer un message d'espérance et d'unité. Avant lui, le pape Jean-Paul II avait marqué les Libanais lors de sa visite en 1997, à l'issue du Synode spécial pour le Liban lorsqu'il avait prononcé cette fameuse phrase : «plus qu'un pays, le Liban est un message», soulignant que les Libanais de toutes confessions religieuses vivaient dans un même espace. Un message fort quelques années après la fin de la guerre civile qui avait déchiré le pays de 1975 à 1990, avec un accord de parité chrétiens-musulmans au sein du gouvernement et du Parlement. Un système confessionnel qui n'a pourtant pas apporté la stabilité recherchée. Benoit XVI s'y était rendu en 2012 pour son dernier voyage pontifical et avait mis l'accent sur son importance spirituelle. La devise de ce voyage : «Heureux les artisans de paix», c'est le message du pape Léon XIV dirigé à l'ensemble de la région, assorti d'une croix en forme d'ancre sur un cèdre, appelant les chrétiens à rester sur leur terre. Car, dans ce pays de quelque 6 millions d'habitants, aux 18 confessions religieuses, les chrétiens ne représentent plus qu'environ 30% de la population, alors qu'ils constituaient plus de 50% dans les années 1990 à la fin de la guerre civile. Parmi les lieux de visite attendus, il se rendra sur la tombe de Saint Charbel Maklouf à Annaya, une première pour un pape, puis au sanctuaire de Harissa (Notre-Dame du Liban), il rencontrera des jeunes au siège du patriarcat maronite de Bkerké, puis des représentants de toutes les confessions religieuses sur la place des Martyrs à Beyrouth, et ira se recueillir sur les lieux de l'explosion du port de Beyrouth survenu, il y a cinq ans, qui avait fait plus de 200 morts et des milliers de blessés, alors que l'enquête sur les causes de l'explosion n'est toujours pas terminée. Le pape clôturera ce voyage par une grande messe sur le front de mer à Beyrouth, «pour tous les Libanais, de toutes confessions», insiste-t-on. Nous vous proposons dans cette émission un parcours vers des lieux que le pape Léon XIV visitera et d'autres où il ne se rendra pas, à la rencontre de Libanais de toutes confessions, du nord de Beyrouth au sud du pays.
Christophe Giltay revient sur tout ce qui fait l'actu. Le plus célèbre chroniqueur de bel RTL partage son avis et son humeur à l'heure du petit déjeuner ! Un édito sans concession avec la plume et le ton unique de Christophe Giltay.
durée : 00:24:45 - Journal de 18h - Au premier jour de son voyage en Turquie, le souverain pontife a pris la défense des quelques milliers de chrétiens encore présents dans ce pays largement islamisé. "Il est fondamental d'honorer la dignité et la liberté de tous les enfants de Dieu", a dit Léon XIV au président turc.
durée : 00:24:45 - Journal de 18h - Au premier jour de son voyage en Turquie, le souverain pontife a pris la défense des quelques milliers de chrétiens encore présents dans ce pays largement islamisé. "Il est fondamental d'honorer la dignité et la liberté de tous les enfants de Dieu", a dit Léon XIV au président turc.
durée : 00:02:12 - France Inter sur le terrain - Le pape Léon XIV se rend en Turquie pour son premier déplacement à l'étranger, avant le Liban. Il vient y prêcher la réconciliation entre les religions, à l'occasion du 1700ème anniversaire du Concile qui avait vu l'union des églises chrétiennes, dans la ville de Nicée, aujourd'hui nommée Iznik. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Pape Léon XIV tient à ramener de l’avant l'importance du ministère de l'exorcisme. À la fin du mois de septembre, 300 prêtres exorcistes étaient réunis près de Rome. Le Pape leur a rappelé que l'exorciste est «délicat» mais «plus que jamais nécessaire» à l’ère ou la santé mentale est fragile. Nous avons avec nous un prêtre, membre du ministère de l’exorcisme. Entrevue avec le Prêtre du ministère de l’exorciste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le rôle du pape Pie XII durant la Seconde Guerre mondiale reste l'un des sujets les plus controversés de l'histoire contemporaine. Né Eugenio Pacelli, élu pape en 1939, il fut confronté dès le début de son pontificat à la montée des totalitarismes et, surtout, à l'extermination des Juifs d'Europe. Pourtant, beaucoup lui reprochent un « lourd silence » face à la Shoah.Dès les années 1930, Pacelli, alors nonce apostolique en Allemagne, avait négocié le concordat avec Hitler pour protéger les droits de l'Église catholique. Certains y voient un signe d'accommodement. Une fois pape, Pie XII exprima certes son hostilité envers les idéologies racistes et totalitaires, notamment dans son encyclique Summi Pontificatus en 1939, mais il ne cita jamais explicitement le nazisme ni le sort des Juifs.Pendant la guerre, les informations sur les massacres atteignent Rome : les déportations, les ghettos, les exécutions massives. En octobre 1943, quand les nazis arrêtent plus d'un millier de Juifs à Rome, sous les fenêtres du Vatican, Pie XII ne proteste pas publiquement. Il ordonne en revanche d'ouvrir des couvents et des institutions religieuses pour cacher des persécutés. Ces gestes humanitaires, bien réels, sauvèrent plusieurs milliers de vies. Mais la parole solennelle du pape, sa condamnation claire et publique du génocide, ne vinrent jamais.Pourquoi ce silence ? Les défenseurs de Pie XII avancent qu'il voulait rester « neutre » pour protéger les catholiques dans les pays occupés, éviter de provoquer des représailles encore plus terribles et préserver la diplomatie du Saint-Siège. Ils rappellent qu'une protestation trop directe, comme celle de l'évêque néerlandais face aux déportations, entraîna une répression accrue contre les Juifs baptisés. Le pape aurait donc choisi la prudence pour limiter les dégâts.Ses critiques, eux, estiment que cette prudence fut une faute morale. Dans un monde en feu, face à un génocide unique dans l'histoire, le silence du chef spirituel de millions de fidèles équivalait à une abdication. Son autorité morale aurait pu galvaniser la résistance des consciences. Au lieu de cela, l'absence de dénonciation claire fut perçue comme une forme d'indifférence, ou au minimum comme un calcul politique.Depuis l'ouverture progressive des archives du Vatican, les historiens continuent de débattre. Mais l'image d'un pape resté muet devant l'horreur reste gravée. « Le silence de Pie XII » est devenu un symbole : celui des dilemmes, des compromissions et des manques de courage qui entourèrent la plus grande tragédie du XXe siècle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Pape a béni… un glaçon. Martin Coiteux de retour au PLQ. La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Et oui ce soir on vous parle entre autre de ces trois sujets là mais aussi de plein d'autres . On écorche entre autre un jeu parmi le pire que Steam peut vous offrir, des burgers de Demon slayer , Marvel Zombies et on réagit à la sortie du premier trailer du film de Madalorian and Grogu. Restez geek et bonne écoute!Send us a textLibrairie Première IssueDepuis 1984, la librairie Première Issue offre une grande sélection de bandes dessinées en anglais.Infini-JeuxInfini-Jeux est une boutique en ligne, spécialisée de vente , location et animation d'événements.StarforgedStarforged offer merchandise, like Pins, Badges, Pendant, Keychain, Ring and Collectible Coins. Nano CincoBrasseur de bières de qualités faites à Limoilou avec une superbe salle de dégustation. Café de TerroirdeTerroir est une entreprise de microtorréfaction artisanale de café située à Québec.Spoutnik QuébecMagasin de jeux vidéo neufs et usagés 9173 boulevard Henri-Bourassa, Tél: (418) 955-0225 Disclaimer: This post contains affiliate links. If you make a purchase, I may receive a commission at no extra cost to you.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:10:03 - Journal de 9h - Plus de 500 000 jeunes catholiques sont réunis à Rome
durée : 00:54:19 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - Surnommé aussi le Pagnol de la cuisine française, Il marque de son empreinte la gastronomie méridionale. Il nous révèle ses secrets et recettes, de l'aïoli à la soupe au pistou - réalisé par : Lauranne THOMAS Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le 11 décembre 2012, interrogé par Mademoiselle Jade sur les sorties secrètes du Pape François, l'ancien souverain pontife Benoît XVI, venait révéler les détails de sa "night life". Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Mourad Boudjellal et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
HABEMUS PAPAM ! Le nouveau pape est Américain, il est né à Chicago !C'est une première historique.Son nom ? Robert Francis PrevostSon nouveau nom ? Leon 14Donald Trump a applaudi, forcément, les deux hommes ont le même passeportMais Leon 14 ne partage pas grand chose avec Donald Sur la politique étrangère, sur l'écologie, sur la politique envers les migrantsUn « problème » relationnel, qui nous a donné envie de se pencher sur l'histoire des papes et des présidents américains Un épisode dans lequel vous pourrez croiser le Vatican, le stade des Yankee Stadium, de la fumée blanche, la ville de Chicago et des agents de la CIA. Pour en savoir plus, une seule adresseLe podcats FIFTY STATESDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Virginie Girod raconte la dynastie Borgia, dont le nom, entouré de légende, charrie un imaginaire de sexe et de corruption. Dans le premier épisode de ce double récit inédit d'Au coeur de l'Histoire, le cardinal Rodrigo Borgia (1431-1503) s'adonne au péché de luxure, engendrant plusieurs enfants. A Rome, il tisse un réseau d'influence tentaculaire qui lui permet d'être élu pape en 1492. Sous le règne d'Alexandre VI, le Vatican devient une affaire de famille. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Virginie Girod raconte la dynastie Borgia, dont le nom, entouré de légende, est associé à la dépravation et à la corruption. Dans le premier épisode de ce double récit inédit d'Au coeur de l'Histoire Rodrigo Borgia, le pape Alexandre VI, cherche à assurer la fortune de sa famille. Au Vatican, le souverain pontife reçoit de nombreux convives entouré de sa jeune maîtresse et de ses enfants, Lucrèce, César et Giovanni. Victime de son ambition démesurée, le clan Borgia inspire, des siècles après ses frasques, la littérature, le théâtre et le cinéma.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:12 - Le vrai ou faux - Un mois après son élection, le pape Léon XIV est déjà au centre de plusieurs vagues de fausses informations : des "deepfakes" politiques, aux méprises sur des drapeaux lors de bain de foule. Le Vatican est obligé de démentir.
À l'issue du conclave durant lequel les cardinaux l'ont élu pape, Robert Francis Prevost a choisi de se faire appeler Léon XIV. Un nom de règne en référence à Léon XIII, souverain pontife de 1878 à 1903. Mais qui était Vincenzo Gioacchino Pecci ? Comment a-t-il marqué l'histoire de l'Église ? Pour évoquer ces questions, Virginie Girod reçoit Jean-Marc Ticchi. Spécialiste de la papauté au XIXe et XXe siècle il est membre associé du Centre d'études en sciences sociales du religieux à l'EHESS.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi le nouveau pape a-t-il choisi Léon XIV pour nom de règne ? La réponse à cette question se trouve dans le pontificat de Léon XIII. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour découvrir le podcast Le Précepteur:https://open.spotify.com/show/4Lc8Fp7QAVsILrKZ41Mtbu?si=w28n3PRPSIuguRE4SQVMlQ--------------------------------Voilà une question qui surprend souvent… et qui ouvre la porte à une riche symbolique, entre tradition, pouvoir et spiritualité.D'abord, précisons une chose : tous les papes n'ont pas toujours porté des chaussures rouges. Mais cette tradition remonte très loin dans l'histoire de l'Église catholique, et elle est profondément chargée de sens.Une couleur impériale… et divineLe rouge est d'abord la couleur du sang. Mais dans le contexte ecclésiastique, il renvoie au sang des martyrs — ces premiers chrétiens qui ont versé leur sang pour leur foi. En portant des chaussures rouges, le pape marche symboliquement dans les pas de ceux qui sont morts pour le christianisme. C'est un rappel constant que sa mission est aussi un sacrifice.Mais le rouge est aussi, dans l'Antiquité romaine, la couleur du pouvoir impérial. Les empereurs romains portaient souvent des sandales ou des tuniques rouges pour affirmer leur autorité. L'Église, en héritant de certains codes visuels de l'Empire, a repris cette symbolique pour marquer l'autorité spirituelle du pape, chef de l'Église universelle.Une tradition fluctuantePendant des siècles, les papes ont porté des mules rouges brodées, parfois ornées de croix d'or. Sous Jean XXIII ou Paul VI, ces souliers faisaient partie intégrante de la tenue papale.Mais c'est Jean-Paul II qui, dans les années 1980, met temporairement de côté cette tradition. Il préfère des chaussures plus sobres, souvent marron ou noires. Ce n'est qu'avec Benoît XVI, amateur de liturgie traditionnelle, que les fameuses chaussures rouges font leur grand retour, créées par un cordonnier romain célèbre. Certains ont cru, à tort, qu'elles étaient signées Prada… ce qui a nourri quelques malentendus.En revanche, le pape François, connu pour son humilité, a de nouveau abandonné les chaussures rouges au profit de chaussures noires simples, symbole de modestie.Plus qu'un accessoireLes chaussures rouges du pape ne sont donc pas une coquetterie : elles sont un symbole de martyre, de pouvoir spirituel, et de continuité historique. Chaque pas du souverain pontife rappelle les souffrances du Christ, le poids de sa fonction, et la longue marche de l'Église à travers les siècles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
➡️ DESCRIPTION: L'élection d'un nouveau pape est un événement rare et il vaut la peine de s'y arrêter pour réfléchir à ce que cela signifie. Dans cet épisode, j'ai la joie de m'entretenir avec deux spécialistes protestants du catholicisme historique et contemporain: Leonardo De Chirico (https://vaticanfiles.org/) et Maxime Georgel qui préside le site www.parlafoi.fr qui a récemment démontré l'inexistence de la papauté au premier siècle: https://parlafoi.fr/2025/01/28/la-papaute-nexistait-pas-au-premier-siecle/ TABLE DES MATIÈRES 00:00 - Intro 02:37 - Pourquoi s'intéresser au catholicisme et au pape? 14:37 - L'Église catholique hier et aujourd'hui 31:07 - François 1er 36:58 - Pub Logos 37:31 - Léon XIV 44:14 - Pourquoi les protestants rejettent-ils la papauté? 01:02:53 -
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Émission du 13/05/2025 présentée par Amaury de Tonquédec avec Wilfrid Galand, Directeur Stratégiste et DGA de Montpensier Arbevel et Louis de Montalembert, Gérant senior chez Sunny Asset Management. Vos questions en live : Le pape peut-il avoir un impact sur les marchés financiers ? Faut-il encore acheter la bourse américaine ? Accalmie sur les droits de douanes : le moment de revenir en bourse ? Grand remaniement géopolitique : quels seront les gagnants et les perdants ? Bourse chinoise : opportunité ou piège du moment ? Bourse : c'est en Europe que ça se passe ? Le CAC 40 est-il corrélé à l'économie réelle ?La QUESTION CASH : L'investissement “casino” et l'actif à conserver 10 ans.
Le pape Léon XIV, ancien évêque de Chiclayo au Pérou, doit présenter les grandes lignes de son pontificat. À Chiclayo, la ville se prépare à célébrer son ancien évêque, espérant qu'il suivra les traces du pape François en prônant discrétion et humilité. Les habitants espèrent également que son élection attirera l'attention sur la situation politique chaotique du Pérou.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:23 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Alors que le pape François est en visite à Marseille, retour aux origines de la papauté afin de comprendre comment la façon de concevoir et d'exercer l'autorité pontificale a évolué au cours des siècles. - réalisation : Thomas Beau - invités : Dominique Iogna-Prat Médiéviste, directeur de recherche émérite au CNRS et directeur d'études émérite à l'EHESS; Céline Béraud Sociologue, directrice d'études à l'EHESS et membre du Centre d'études en sciences sociales du religieux
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Bruno Poncet et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Bruno Poncet et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Comment réagit-on à Kinshasa à l'élection d'un pape venu des Amériques ? Est-on déçu que le nouveau pape ne soit pas africain ? L'historien congolais Isidore Ndaywel est une grande figure de l'Église catholique en RDC. Il est le coordonnateur du puissant Comité laïc de coordination (CLC). Il est aussi très proche de Mgr Ambongo, le cardinal-archevêque de Kinshasa. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Le nouveau pape a été élu en 24 heures, est-ce que vous avez été surpris ? Isidore Ndaywel : Oui, j'ai été surpris parce qu'on nous avait annoncé qu'il y aurait des discussions, qu'il y avait plusieurs tendances et on se serait attendu à ce que ça prenne un peu plus de temps. Mais là, nous sommes dans une surprise et une bonne surprise qui démontre qu'il y a une très grande maturité au niveau de l'église et de la gestion et au plus haut niveau, s'agissant de l'élection du pape. Quelle est votre première réaction après les premiers mots de Léon XIV ? Eh bien, j'avoue que c'est une grande joie, une joie de fin de deuil. En fait, le deuil de François et l'accueil d'un nouveau pape. C'est bien qu'on soit quelque peu déroutés par ce changement dans tout ce qui s'annonçait. On ne nous avait pas parlé de lui. Un pape qui se place dans l'héritage de son prédécesseur François ?Il se place dans les premiers mots, tout à fait, dans cet héritage. Et c'est ce qui nous rassure et nous conforte. Parce que, en Afrique et spécialement à Kinshasa, nous avons beaucoup aimé François qui nous a fait une très grande visite en janvier 2023 et qui nous a laissé des mots très forts et qui correspondent tout à fait à notre situation actuelle. Et nous sommes heureux de constater que nous sommes vraiment dans cette continuité. Alors, visiblement, ce nouveau pape est aussi un théologien ?Dans ses premières paroles, ce qui m'a frappé, c'est surtout la première parole. C'est l'insistance sur la paix. Sur la paix, spécialement en cette période où, dans le monde entier, nous courons derrière la paix. Et donc ce mot qui tombe bien, le 8-Mai, est quelque chose qui me paraît très fort. Et dans cette première exhortation, Léon XIV a appelé à construire des ponts à travers le dialogue. Tout à fait. Et cette paix n'est possible que dans la construction des ponts. J'avais l'impression d'écouter François. Et donc, vous pensez que le nouveau pape sera attaché au dialogue inter-religieux ? Tout à fait. Au dialogue inter-religieux, mais aussi au dialogue tout court, parce que tout ne se déroule pas dans le contexte religieux, dans la problématique de cette époque que nous traversons. Alors ce pape vient d'Amérique, est-ce que vous n'êtes pas déçu qu'il ne vienne pas d'Afrique ? Pas spécialement parce que pour nous, en Afrique, lorsqu'on parle du pape, il n'est pas vraiment question de nationalité. Nous sommes d'ailleurs étonnés de voir qu'ailleurs, on en parle beaucoup. Pour nous, le Saint-Père est un père. Et un père, on l'accepte, on l'accueille, qu'il soit barbu ou pas. Mais c'est un père. Et donc là, il nous est donné de passer d'une espérance à une autre avec ce nouveau pape qui provient de l'Amérique. Et d'ailleurs, ce n'est pas tout à fait des États-Unis parce qu'on nous dit qu'il est aussi originaire du Pérou et donc on se retrouve là aussi à nouveau en Amérique latine. Donc, peu importent ses origines, nous avons accueilli avec beaucoup de joie Jean-Paul II, sans trop nous poser des questions sur le fait qu'il soit Polonais ou pas. François de même, qu'il soit Argentin ou pas. Il en est de même pour ce nouveau pape Léon XIV qui nous vient des Amériques. C'est une bonne chose. Mais vu la vitalité des catholiques en Afrique, est-ce qu'il n'était pas temps que l'Église se donne un pape africain ? Mais nous avons du temps. Il y aura, comme déjà dans le passé, des nouveaux papes africains. Nous sommes sûrs que cela se fera dans l'avenir. Mais nous ne sommes pas spécialement pressés. Ça ne devait pas être nécessairement maintenant, ça aurait pu l'être, mais que cela ne l'ait pas été, ce n'est pas grave. C'est très bien aussi parce que nous savons que le pape qui nous est donné est un pape qui fera certainement bien ce qui doit l'être. Mais vous qui êtes très proche de monseigneur Fridolin Ambongo, est-ce que vous n'avez pas espéré que ce serait lui ?Mais c'était normal que je puisse espérer cela, sans non plus me faire trop d'illusions, en me disant que ça peut être lui comme ça peut ne pas être lui. S'il l'avait été, ç'aurait été très bien. Mais s'il ne l'a pas été, c'est très bien aussi. Donc, nous, en Afrique, nous n'en faisons pas un problème. Nous accueillons le Père qui nous a été donné et qui est donc maintenant Léon XIV.À lire aussiÉlection du pape Léon XIV: comment se profile son pontificat?
Le 3 janvier 1521, le pape Léon X signe une bulle d'excommunication contre un moine allemand nommé Martin Luther. Ce geste n'est pas anodin : il marque la rupture officielle entre l'Église catholique romaine et celui qui va devenir le père fondateur du protestantisme. Mais qu'a donc fait Luther pour mériter une telle sanction ? Voici les faits, replacés dans leur contexte.Une Église en criseAu début du XVIe siècle, l'Église catholique est à son apogée… mais aussi minée par la corruption. De nombreux évêques cumulent des fonctions politiques, le népotisme règne à Rome, et le peuple chrétien assiste impuissant à la vente des indulgences – ces documents censés réduire le temps passé au purgatoire, moyennant finances. Pour certains religieux, ce commerce n'a rien d'évangélique : c'est une forme de simonie, la vente de biens spirituels.Les 95 thèses : le point de départLe 31 octobre 1517, Martin Luther, moine augustin et professeur de théologie à Wittenberg, affiche sur la porte de l'église du château 95 thèses critiquant la pratique des indulgences et appelant à un retour aux fondements bibliques. Il ne cherche pas à créer un schisme, mais à réformer l'Église de l'intérieur.Ses idées rencontrent un immense écho dans toute l'Europe, notamment grâce à l'imprimerie. Luther affirme que le salut ne s'obtient pas par les œuvres ou les indulgences, mais uniquement par la foi et la grâce divine. Il remet aussi en cause l'autorité absolue du pape, ce qui, pour Rome, est intolérable.Une condamnation progressiveEn 1520, le pape Léon X publie une première bulle, Exsurge Domine, condamnant 41 propositions extraites des écrits de Luther. Il lui donne 60 jours pour se rétracter. La réponse de Luther est cinglante : il brûle publiquement la bulle pontificale devant les étudiants de Wittenberg.Le pape n'a alors plus d'autre choix : le 3 janvier 1521, il signe la bulle Decet Romanum Pontificem qui excommunie Martin Luther, le déclarant hérétique. Cette excommunication signifie son exclusion de l'Église et la perte de toute protection spirituelle.Une rupture irréversibleQuelques mois plus tard, lors de la diète de Worms, Luther refuse encore de renier ses propos. Sa célèbre phrase – "Je ne puis faire autrement. Que Dieu me vienne en aide." – marque le début d'un nouveau chapitre dans l'histoire du christianisme : celui de la Réforme.En somme, Luther a été excommunié non pour une simple critique, mais pour avoir remis en cause le fondement même de l'autorité ecclésiale. Une décision qui, au lieu de l'éteindre, a fait de lui le catalyseur d'un bouleversement religieux et culturel majeur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:41 - L'invité d'un jour dans le monde - « Conclave », « Habemus Papal », « les 2 papes », « The young pope ».... cette période de conclave nous rappelle que la figure du Pape inspire les artistes. Des Films, séries, figurines diverses, aux comptes Tik Tok, Il y a du soft power au Vatican.
durée : 00:08:11 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Le Pape est un personnage de fiction que la musique populaire met souvent en scène dans des épisodes cocasses, tout lui conservant un certain respect sous les piques anticléricales.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 24 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A quelques jours des obsèques du pape François, c'est l'occasion de faire un tour de table. Qui a déjà rencontre le Saint-Père parmi les Grosses Têtes ? Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 22 avril 2025 avec Frédéric Lenoir, ex-directeur de la rédaction du bimestriel Le Monde des Religions, philosophe et spécialiste en histoire des religions. Il est l'auteur de François, le printemps de l'Evangile, publié aux éditions Fayard. Le pape est mort lundi matin à l'âge de 88 ans, a annoncé le Vatican dans un communiqué. La nouvelle a beaucoup fait réagir en France, notamment des personnalités politiques. Vu par les uns comme un réformateur audacieux, laxiste dans la défense de la tradition par les autres, le souverain pontife a eu à affronter les scandales de violences sexuelles dans le clergé. La mort du pape François déclenche l'un des rituels les plus solennels et les plus minutieusement chorégraphiés de l'Église catholique.
durée : 00:58:57 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Dans la Rome du 16ᵉ siècle, le prosélytisme de l'Église catholique s'intensifie afin de renforcer sa prééminence. La trajectoire d'une famille de banquiers juifs illustre les stratégies mises en place pour inciter à la conversion et met en lumière les coûts et bénéfices du changement de religion. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Isabelle Poutrin Historienne, université de Paris Est