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durée : 00:11:43 - L'invité franceinfo soir - Pour elle, Jean-Luc Mélenchon "essentialise les Français de confession musulmane" depuis plusieurs années et "voit d'abord en eux des musulmans avant de voir des Français".
Ce dimanche 27 avril 2025, Robert Ménard, maire DVD de Béziers (Hérault), a débattu avec Maud Bregeon, députée EPR des Hauts-de-Seine et ancienne porte-parole du gouvernement Barnier, dans l'émission C'est pas tous les jours Dimanche présentée par Benjamin Duhamel sur BFMTV.
Guillaume Daret reçoit Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, et Jean-Philippe Tanguy, député "Rassemblement national" de la Somme, membre du Bureau national du RN, dans BFM Politique sur BFMTV, ce dimanche 6 avril 2025. « BFM POLITIQUE » est LE rendez-vous média incontournable rythmant la vie politique française. Chaque dimanche, en direct et en public, l'émission présentée par Guillaume Daret donne la parole aux personnalités de tous bords. Durant deux heures, un représentant politique au cœur de l'actualité répond aux questions de la journaliste de BFMTV, puis débat dans le « face à face » avec un contradicteur sur un sujet qui les oppose. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
L'émission 28 minutes du 04/04/2025 Ce vendredi, Jean-Mathieu Pernin décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Pascal Blanchard, historien, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'Institut Montaigne, Aziliz Le Corre, rédactrice en chef "Opinions" au JDD, et le dessinateur Thibaut Soulcié. Le consentement inscrit dans la définition légale du viol : une avancée majeure ? Ce mardi 1 avril, les députés ont inscrit la notion de consentement dans la définition légale du viol. Ce terme, popularisé avec le mouvement MeToo, est revenu avec fracas lors du procès des viols de Mazan. Le viol était auparavant défini comme "tout acte de pénétration sexuelle (...) commis par violence, contrainte, menace ou surprise", la loi considère désormais qu'il s'agit de tout acte "non consenti". Le consentement doit donc être "libre, éclairé, spécifique, préalable et révocable" et "ne peut être déduit du seul silence ou de la seule absence de réaction de la victime". Cette nouvelle définition ambitionne de couvrir les cas de viol sous emprise chimique ou en état de sidération. Mais elle interroge jusque dans les associations féministes : va-t-elle faire davantage peser la charge de la preuve sur la victime ? Serait-elle "l'arbre qui cache la forêt des biais sexistes et du manque de moyens de la justice", comme le dénonçait un collectif d'associations féministes et de députés ?Après le procès Le Pen, faut-il supprimer l'inéligibilité immédiate ?La condamnation de Marine Le Pen à 5 ans d'inéligibilité à exécution provisoire, pour avoir détourné 4 millions d'euros, n'a pas fini de faire débattre. François Bayrou se dit "troublé", prêt à ouvrir une "réflexion", tout en précisant que c'est "le Parlement qui doit s'en saisir". Une occasion inespérée pour Éric Ciotti, allié du Rassemblement national, qui entend faire passer une proposition de loi abrogeant l'exécution provisoire lors de la niche parlementaire de son groupe, le 26 juin. La question réside dans la possible adoption de cette loi : si l'intention des députés RN est claire, il en est autrement pour le reste de l'hémicycle. Opposition chez certains macronistes, dont la députée Maud Bregeon qui fustige une proposition de loi qui "a pour unique but d'arranger les affaires de Marine Le Pen". Du côté des Républicains, le député Vincent Jeanbrun ne veut pas donner "le sentiment que l'on change la loi quand elle ne convient pas aux politiques". Ces positions rejoignent celles de l'opinion publique : près des deux tiers des Français trouvent justifiée la peine de Marine Le Pen. Constance Lagrange est autrice et illustratrice de BD et publie "On peut rire de tout (sauf de sa mère)" aux éditions Dargaud. Elle consacre ses planches à ses origines juives, au travers d'histoires humoristiques mettant en scène des enfants, des vieux couples, des rabbins, des belles-mères, etc. Un humour typiquement juif qui est le thème central de cet ouvrage car "les juifs aiment rire, et d'abord d'eux-mêmes", préface l'historien Ivan Jablonka.Comment réagir face à la lubie douanière de Donald Trump ? Après avoir annoncé des droits de douane records pour presque tous les pays du monde, allant de 10 à 49 %, la marche à suivre n'est pas claire. Chez les anglo-saxons, l'heure est aux dissensions : les Britanniques cherchent à conclure un accord qui permettrait "d'atténuer l'impact" des tarifs douaniers, mais les Australiens ne cachent pas leur colère face à leur allié : "Un ami n'agit pas de cette manière", tance Anthony Albanese, Premier ministre australien. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Les réseaux sont inondés d'un énième épisode de "french bashing" depuis quelques jours. C'est une chanson de Lady Gaga dont le "I don't want to be friends" se métamorphose en "I don't want to be french" qui enflamme TikTok. Il n'en fallait pas plus pour que des Américains, Belges et Italiens sautent sur l'occasion. Dans l'hexagone, la réponse ne s'est pas fait attendre. C'est le Point com de Marjorie Adelson."Vous pouvez demander ce que vous voulez à Grok", fanfaronnait encore Elon Musk il y a quelques jours. Pourtant, cette IA conversationnelle et générative de X (dont le milliardaire est le propriétaire) ne semble pourtant pas lui faire de cadeaux. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur les manœuvres militaires chinoises autour de Taïwan ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 04 avril 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maud Bregeon critique les propos de Marion Maréchal sur l'antisémitisme, soulignant ses racines profondes en France. Elle soutient l'interdiction du voile dans le sport mais appelle à une réflexion plus large sur la laïcité. Elle propose de s'inspirer de l'Autriche pour maîtriser l'immigration en réduisant le regroupement familial. Enfin, elle exhorte le gouvernement à réduire les dépenses publiques sans augmenter les impôts.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maud Bregeon, députée Ensemble pour la République des Hauts-de-Seine, répond aux questions de Romain Desarbres au sujet de l'antisémitisme en France.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Maud Bregeon, députée "Ensemble pour la Républiqu" des Hauts-de-Seine, répond aux questions de Romain Desarbres au sujet des corps remis par le Hamas à Israël, de la réaction de La France insoumise, des négociations de la paix en Ukraine, du refus de Robert Ménard de marier une personne sous OQTF et la confirmation de la fermeture définitive de C8 par le Conseil d'État.
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Romain Desarbres reçoit Maude Bregeon, députée des Hauts-de-Seine. Elle aborde sans détour l'immigration, défendant plus d'autorité et critiquant la gauche pour son "dictate moral". Elle propose d'allonger la rétention des étrangers criminels et insiste sur l'intégration avant toute régularisation. Elle évoque aussi la justice des mineurs, les tensions avec l'Algérie et les inquiétudes économiques. Enfin, elle soutient fermement Emmanuel Macron jusqu'en 2027. Un échange incisif sur des enjeux majeurs.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
C dans l'air du 11 décembre - Le nom du nouveau Premier ministre connu aujourd'hui ou demain. C'est la promesse faite par Emmanuel Macron au cours de la réunion des forces politiques représentées à l'Assemblée nationale, hors RN et LFI, hier. Reçus à l'Elysée, l'ensemble des dirigeants politiques se sont dit prêts à des compromis, tout en fixant des conditions : un chef de gouvernement de gauche pour les uns, pas de programme de gauche pour les autres. Alors une semaine après le vote de la motion de censure contre le gouvernement Barnier, qui pour lui succéder à Matignon ? Ce mercredi, les discussions se poursuivent. Mais "il n'y a actuellement pas de socle plus large que celui qui est en place aujourd'hui", a déclaré la porte-parole du gouvernement démissionnaire, Maud Bregeon ajoutant "qu'il restait donc désormais à savoir si certains étaient prêts à élargir ce socle ou à s'accorder sur un principe de non-censure". En attendant, le projet de loi spéciale sur le budget, pour assurer "la continuité de l'Etat" , a été présenté lors du Conseil des ministres. Ce texte a pour but "d'éviter un shutdown", selon les mots du ministre démissionnaire du Budget et des Comptes publics. Cette mesure, permise par l'article 45 de la loi organique relative aux lois de finances, avait été annoncée jeudi 5 décembre par Emmanuel Macron dans son allocution télévisée. La censure du gouvernement Barnier a en effet laissé en suspens l'examen au Parlement du projet de budget pour 2025, dont notamment les promesses faites par l'exécutif aux agriculteurs mobilisés depuis plusieurs semaines et qui ont décidé pour certains de diriger leur colère contre les parlementaires. En une semaine, plus de trente députés ont vu leur permanence en régions dégradée. Ces actions, le plus souvent revendiquées par la FNSEA, ont surtout visé des députés du Nouveau Front populaire et du Rassemblement national. Des agriculteurs ont notamment emmuré le siège drômois du RN, à Valence, et ont tagué sur les parpaings un message : "La censure nous met dans le mur".Une situation politique qui inquiète également le monde économique. Le président du Medef Patrick Martin vient d'écrire au futur Premier ministre. Dans ce courrier diffusé sur les réseaux sociaux, il évoque l'impact de "l'instabilité politique" sur "l'économie réelle" et l'urgence d'obtenir de la visibilité sur le nouveau budget pour la France. "Je pense qu'au moment où je vous parle, nous sommes déjà rentrés en légère récession. Toutes les dernières estimations publiques ou d'organismes économiques, à demi-mot, le disent", affirme Patrick Martin. Selon lui, "certains indicateurs sont particulièrement inquiétants : la moitié des investisseurs étrangers qui disaient vouloir investir en France ont suspendu voire annulé leur projet. Autre signal d'alerte, nous comptabilisons 66.000 dépôts de bilan cette année. Un record historique."Alors comment sortir de la crise ?Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Lou FRITEL - Journaliste – Paris Match - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche- Anne-Charlène BEZZINA - Politologue et constitutionnaliste
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet du risque de motion censure votée par le Rassemblement national et qui pourrait faire chuter le gouvernement Barnier, du risque de crise politique si le Budget n'est pas voté et d'une éventuelle démission d'Emmanuel Macron.
C dans l'air du 27 novembre - Censure: Barnier prédit une tempête financière"Le moment est très grave". Sous la menace d'une motion de censure votée par l'extrême droite et la gauche qui provoquerait la chute du gouvernement, Michel Barnier a voulu prendre hier soir les Français à témoin et a joué la carte de la dramatisation. Invité au 20 H de TF1, le Premier ministre a dit qu'il allait "assurément" avoir recours au 49.3 pour faire adopter son budget et mis en garde contre la "tempête" qui vient. En cas "d'alliance dans les votes, improbable mais possible, entre les voix de M. Mélenchon (...) et les voix de Mme Le Pen, auxquelles se joindraient le parti socialiste, le parti communiste, les Verts, je tombe". Dans ce cas, "il n'y a plus de budget", a-t-il alerté, avec à la clé "une tempête probablement assez grave, des turbulences graves sur les marchés financiers".Alors que le Sénat, dominé par la droite et le centre, a examiné le projet de loi Finances 2025 cette semaine et qu'à l'Assemblée, le Nouveau front populaire et le Rassemblement national ont redit leur volonté de censurer le gouvernement s'il tentait un passage en force, le gouvernement de Michel Barnier alerte depuis plusieurs jours sur les conséquences financières d'une censure. La porte-parole du gouvernement Maud Bregeon avait notamment dit samedi redouter une crise financière et "un scénario à la grecque", dans lequel les fonctionnaires ne seraient pas payés au mois de janvier. Un scénario catastrophe de "shutdown" à l'américaine réfuté par de nombreux parlementaires dont Marine Le Pen qui a accusé mardi le gouvernement de "fausses informations". La patronne des députés RN a rappelé depuis ses lignes rouges sur Twitter et a estimé que sur ces sujets "de simples discussions, c'est mieux que rien, mais elles ne suffiront pas". "Barnier menace du déluge après lui" mais "qu'il le veuille ou non, il sera pourtant censuré", a réagi la cheffe de file des députés de la France insoumise, Mathilde Panot, qui prévoit de déposer une motion de censure avec ses alliés du Nouveau Front populaire. "Les Français ne veulent pas une instabilité austéritaire mais une démocratie qui réponde à leurs besoins" a-t-elle dit. Au PS également, on rappelle que "pour qu'il n'y ait pas de censure, il faut des compromis".Et maintenant que va-t-il se passer ? Députés et sénateurs se réunissent en commission mixte paritaire ce mercredi 27 novembre pour tenter d'aboutir à un compromis sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2025. Une réunion à hauts risques, avant une possible activation par le Premier ministre d'un premier 49.3 sur ce texte le 2 décembre à l'Assemblée nationale, l'exposant à une motion de censure. Le gouvernement Barnier pourrait-il alors tomber ? Quelle seraient les conséquences d'une censure du gouvernement ? La France est-elle à l'aune d'une "tempête" politique, économique, sociale et/ou financière ? Enfin trois semaines après sa victoire éclatante, le futur président des Etats-Unis a détaillé son projet de hausse des droits de douane sur les produits chinois, canadiens et mexicains. La guerre commerciale est-elle déclarée ? Quel sera le climat économique en 2025 ?Les experts : - Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - Marc FIORENTINO - spécialiste des marchés financiers, cofondateur de "Meilleurtaux Placement", auteur de Interdit aux moins de 60 ans- Lucie ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche- Nathalie SCHUCK - Grand reporter - Le Point, auteure de Les naufrageurs - Jade Grandin de l'EPREVIER ( en duplex) - correspondante à Bruxelles- L'opinionPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:25:10 - 8h30 franceinfo - Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, était l'invitée du “8h30 franceinfo", mercredi 27 novembre 2024.
Aujourd'hui, c'est au tour de Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Étienne Liebig et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:01 - Le vrai ou faux - La porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a affirmé que l'Assurance-maladie de la France était le système de santé qui remboursait le mieux au monde. Mais, si la France fait partie des meilleurs, elle n'est pas en tête de classement.
durée : 00:23:59 - 8h30 franceinfo - Maud Bregeon, porte-parole du Gouvernement, était l'invitée du “8h30 franceinfo”, vendredi 15 novembre 2024.
Après les violences de la semaine dernière contre des supporters israéliens à Amsterdam, Emmanuel Macron, Nicolas Sarkozy, François Hollande et une partie du gouvernement assisteront à la rencontre France-Israël jeudi. Près de 20.000 spectateurs sont attendus au Stade de France, encadrées par un dispositif policier très important : 4.000 forces de l'ordre. La Fédération française de football a elle-même engagé 1.600 agents de sécurité. Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement est l'invitée de RTL Soir.
Après les violences de la semaine dernière contre des supporters israéliens à Amsterdam, Emmanuel Macron, Nicolas Sarkozy, François Hollande et une partie du gouvernement assisteront à la rencontre France-Israël jeudi. Près de 20.000 spectateurs sont attendus au Stade de France, encadrées par un dispositif policier très important : 4.000 forces de l'ordre. La Fédération française de football a elle-même engagé 1.600 agents de sécurité. Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement est l'invitée de RTL Soir.
Ecoutez RTL Soir avec Yves Calvi et Aude Vernuccio du 13 novembre 2024.
Présidentielle américaines, Michelin, Auchan : Maud Bregeon, la porte-parole du gouvernement, est l'invitée de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 06 novembre 2024.
Présidentielle américaines, Michelin, Auchan : Maud Bregeon, la porte-parole du gouvernement, est l'invitée de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 06 novembre 2024.
C dans l'air du 25 octobre: Barnier : déjà un mois dans l' "enfer de Matignon"… et de l'Assemblée !Un mois après la formation de son gouvernement, Michel Barnier tente d'installer une méthode et un style, pour parvenir à inscrire son action dans la durée. Ce vendredi il se déplace dans le Rhône, département touché par de très fortes inondations le 17 octobre, et dévoilera à cette occasion le troisième Plan national d'adaptation au changement climatique. Une série de mesures destinées à préparer le pays à vivre à + 4 °C d'ici à la fin du siècle alors qu'à l'Assemblée nationale, l'examen du budget 2025 continue de faire monter la température.Après les désaccords entre ministres et les menaces de démission, le gouvernement Barnier accumule les déconvenues face à des parlementaires remontés contre le projet de loi de Finances. En commission des finances la semaine dernière, la copie initiale du texte avait été largement amendée, entre autres par la gauche et le Modem. Les députés du camp présidentiel, ainsi que ceux de la droite et du RN avaient voté contre de cette nouvelle version, conduisant à son rejet. C'est donc la version initiale qui est examinée dans l'hémicycle depuis lundi, mais là encore le gouvernement subit des défaites sur fond de divisions de la coalition gouvernementale. Les députés ont ainsi validé l'instauration d'une contribution exceptionnelle sur les hauts revenus après l'avoir modifiée pour en élargir l'assiette et la pérenniser dans le temps, contre l'avis de l'exécutif, et avec le soutien des élus MoDem, qui appartiennent pourtant au "socle commun".Une situation qui pousserait, selon les oppositions, désormais le camp du gouvernement à faire de l' « obstruction » et à ralentir les débats sur le projet de loi de Finances. Près de la moitié des 3650 amendements sur la partie "recettes" du budget ont été déposés par LR et la Macronie. Le NFP et le RN redoutent un manœuvre qui permettrait de transmettre le texte au Sénat, où Michel Barnier dispose d'une majorité, sans que les députés n'aient pu se prononcer. Ce qui lui permettrait ainsi d'éviter un rejet de son texte à l'Assemblée, et même d'utiliser le 49.3.Mercredi le gouvernement Barnier avait ouvert la voie à l'utilisation d'un 49.3 en Conseil des ministres. Néanmoins la décision n'est pas prise d'en faire usage avait indiqué la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon. Pour l'heure le Premier ministre dit vouloir laisser du temps au débat, ce qui lui permet de faire la démonstration de l'irresponsabilité ou des contradictions de certains députés, enlisés dans des querelles infinies et une surenchère fiscale. Mais c'est au risque de perdre la confiance des Français (61 % estiment qu'il avance dans "la mauvaise direction" d'après un dernier sondage Elabe) et de fragiliser sa coalition gouvernementale traversée par les divisions, sur fond d'ambitions personnelles. Beaucoup en effet regardent déjà vers la présidentielle de 2027. C'est le cas notamment chez les marconistes où la bataille pour la présidence du parti Renaissance est lancée entre Elisabeth Borne et Gabriel Attal. Alors quelle est la méthode Barnier ? Comment compte-t-il faire adopter le budget 2025 ? Elisabeth Borne et Gabriel Attal, un duel pour la présidence du parti macroniste, et pour 2027 ? Enfin comment les entreprises appréhendent-elles la situation ? Nos journalistes ont interviewé Thierry Cotillard, patron d'Intermarché.Les experts :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra- CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions
durée : 00:43:26 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - La ministre déclare que "la prochaine loi immigration ne vise pas à reprendre l'intégralité des dispositions qui ont été censurées par le Conseil constitutionnel." Elle annonce la future loi fin de vie pour début 2025 et s'exprime sur la grande cause de Michel Barnier, la santé mentale. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Maud Bregeon Femme politique française
durée : 00:43:26 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - La ministre déclare que "la prochaine loi immigration ne vise pas à reprendre l'intégralité des dispositions qui ont été censurées par le Conseil constitutionnel." Elle annonce la future loi fin de vie pour début 2025 et s'exprime sur la grande cause de Michel Barnier, la santé mentale. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Maud Bregeon Femme politique française
L'émission 28 minutes du 18/09/2024 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité de la semaine en compagnie de nos clubistes : Maud Vergnol, codirectrice de la rédaction de "l'Humanité", Jean Quatremer, correspondant européen de "Libération", Géraldine Woessner, rédactrice en chef au "Point" et le dessinateur de presse Pascal Gros. Faut-il vraiment faire du Doliprane un psychodrame bleu-blanc-rouge ?Ce jeudi 17 octobre, un fonds d'investissement français a envoyé à Sanofi une nouvelle offre pour lui racheter sa filiale pharmaceutique Opella, productrice de Doliprane et vendeuse de plus de 453 millions de boîtes en 2023. Sanofi avait cependant annoncé la cession de sa filiale au fonds américain CD&R. Les syndicats CGT et CFDT ont appelé à une grève reconductible des salariés d'Opella, à partir du jeudi 17 octobre, pour s'opposer à cette décision. En France, Opella emploie plus de 1 700 salariés. Sanofi, qui "va rester actionnaire à 50 %", a promis des garanties en termes d'emplois et de production du Doliprane sur le sol français.Vers une nouvelle loi immigration plus dure en 2025 ?La porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a annoncé, dimanche 13 octobre, la préparation d'un texte en 2025, visant à durcir la précédente loi sur l'immigration. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, souhaite réintroduire les mesures retoquées par le Conseil constitutionnel pour des motifs de forme. Parmi elles, la limitation du regroupement familial ou la fin de l'automaticité du droit du sol. La nouvelle loi pourrait également prévoir l'allongement de la durée de rétention en centre administratif de 90 jours à 210 pour les étrangers sous le coup d'une OQTF. Selon “L'Opinion", Bruno Retailleau négocie des accords de "sous-traitance", tout droit inspirés du nouveau modèle italien, avec des pays tels que le Rwanda, l'Irak, le Kazakhstan ou l'Égypte, pour y renvoyer des étrangers impossibles à expulser dans leur pays d'origine, mais sous le coup d'une OQTF en France. Nous recevons l'acteur et réalisateur français Stéphane Freiss qui incarne le professeur Keating dans l'adaptation sur scène du “Cercle des poètes disparus”, en ce moment au Théâtre Libre, à Paris, puis en tournée dans toute la France. Adaptée du film éponyme culte de Peter Weir sorti en 1989, la pièce a reçu cette année deux Molière dont celui de la meilleure mise en scène. Selon le comédien, le personnage de John Keating “nous renvoie évidemment au courage de beaucoup d'enseignants aujourd'hui qui se battent (parfois au prix de leur vie) pour aider leurs élèves à penser par eux-mêmes”.Après le dérapage des comptes publics, la commission des finances de l'Assemblée nationale a demandé à pouvoir investiguer sur les raisons de ce déficit inattendu. Son président, Éric Coquerel, qui avait déjà fait cette demande début octobre, souhaite demander des comptes à Bruno Le Maire, l'ex-ministre de l'Économie et des Finances. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Emmanuel Macron a déclaré au magazine “Variety” qu'il souhaitait que la célèbre Emily, de la série “Emily in Paris”, reste dans la capitale française pour sa prochaine saison qui pourrait se dérouler à Rome. C'est le point com de Paola Puerari qui revient sur les conséquences que la série a eues sur l'image de la capitale à l'international. Le pied de l'alpiniste Andrew Irvine aurait été retrouvé sur l'Everest, un siècle après son ultime ascension. Une découverte qui pourrait résoudre l'énigme qui entoure le Britannique : est-il mort en montant ou en descendant le sommet ? S'il l'avait atteint, cela voudrait dire que le mont aurait été gravi pour la première fois en 1924 et non 1953. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur la mort du chef du Hamas, Yahya Sinouar, éliminé par l'armée israélienne, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités et la Dérive des continents de Benoît Forgeard ! 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 18 octobre 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
C dans l'air du 17 octobre - Immigration, sécurité : le pari risqué de RetailleauPeu avant l'ouverture mercredi des discussions à l'Assemblée sur le projet de loi finances de 2025, le nouveau locataire de Matignon a laissé ses ministres ouvrir un deuxième front sur autre sujet éruptif : l'immigration. "Il faudra une nouvelle loi", présentée possiblement "début 2025", a ainsi annoncé dimanche sur BFMTV la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon. A peine un an après la loi immigration de Gérald Darmanin, qui avait fracturé la majorité à l'Assemblée nationale, l'exécutif veut remettre le sujet en débat autour d'une mesure phare martelée par Bruno Retailleau : l'allongement de la durée de rétention des étrangers en situation irrégulière jugés dangereux, dans le sillage de l'affaire Philippine. Une des pistes envisagées est de faire passer la durée maximale actuelle de 90 à 210 jours, ce qui n'est possible pour le moment qu'en matière d'infractions terroristes. Le ministre de l'Intérieur veut également reprendre les dispositions de la précédente loi adoptée à l'Assemblée en décembre dernier avec les voix du RN, qui avaient ensuite été censurées par le Conseil constitutionnel, notamment le durcissement des conditions d'accès au regroupement familial, l'allongement de la durée nécessaire pour recevoir les allocations familiales ou encore la réintroduction d'un délit de séjour irrégulier. Il souhaite par ailleurs transformer l'aide médicale d'État qui permet aux étrangers en situation irrégulière présents en France depuis plus de trois mois de bénéficier d'une prise en charge des soins (seulement de maladie, de maternité et le forfait hospitalier), en une aide médicale d'urgence aux contours drastiquement réduits. Autant d'annonces qui ont fait bondir dans la macronie. "On a adopté une loi il y a moins d'un an sur l'immigration, avec des mesures dont certaines ne sont pas encore en vigueur puisque les décrets ne sont pas encore sortis", a fait remarquer Gabriel Attal sur France Inter. "Faire une loi pour une loi, ça n'a pas de sens", a ajouté l'ancien Premier ministre. « Cette annonce est une provocation", a estimé, de son côté, Stéphane Travert, député (Renaissance) de la Manche dans les colonnes du Monde, rappelant que le projet de loi de 2023, durci par LR, comprenait des dispositifs visant à systématiser la préférence nationale qui avaient été largement rejetés par le Conseil constitutionnel. Le RN, de son côté, au contraire, a applaudi. "Plus rien ne peut se faire sans nous au Parlement" s'est félicité lundi sur BFM Jordan Bardella, assurant "attendre" ce nouveau texte "avec impatience". Une position d'arbitre qui a fait bondir la gauche. "Cest une loi pour Marine Le Pen, pour donner des gages à l'extrême droite et permettre à l'extrême droite de voter le budget" a réagi le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure alors qu'au sein du gouvernement Barnier certains ministres se crispent. Ainsi avec cette nouvelle loi immigration, Bruno Retailleau braque le camp Macron. Une ligne de fracture sur un sujet cher à cet ancien villiériste qui mène une bataille culturelle pour imposer ses idées sur l'immigration mais aussi sur la sécurité. Depuis sa nomination, l'ancien président du groupe LR au Sénat multiplie les déclarations clivantes pour occuper l'espace et les esprits au risque de se faire reprendre par le président de la République. Ainsi ces derniers jours, le chef de l'Etat s'est publiquement offusqué d'une phrase choc de Bruno Retailleau : "Comme des millions de Français, je pense que l'immigration n'est pas une chance". Le président s'est par ailleurs permis de rappeler ce que le pays devait à la Polonaise Marie Curie ou à l'Arménien Charles Aznavour. "Est-ce que l'immigration, c'est mauvais ? La réponse est non", avait ajouté le chef de l'Etat dans un entretien diffusé sur France Inter. Selon les informations du Point, Bruno Retailleau devrait rencontrer Emmanuel Macron le 21 octobre lors d'un premier en tête-à-tête à l'Élysée. D'ici là le ministre de l'Intérieur entend bien continuer d'occuper l'espace médiatique. Lors d'un déplacement hier à Nanterre, Bruno Retailleau a ouvert un nouveau dossier celui de la lutte contre le narcobanditisme. Pour cela il a dit souhaiter que la lutte contre le narcotrafic devienne cause nationale et a lancé un appel aux consommateurs "parce que trop souvent, on dit qu'on fume, c'est du récréatif." "Ce que je veux dire, c'est qu'un joint a le goût du sang, il a le goût des larmes. Parce que derrière le joint, la coke ou autres drogues, il y a les réseaux, les mafieux, des gens qui profitent d'autres être humaines, qui s'engraissent, font des fortunes, qui commanditent des crimes, des assassinats de la pire des façons", a-t-il affirmé. Le ministre de l'Intérieur a par ailleurs estimé que la lutte contre le trafic de drogue doit passer par la création d'un parquet national anti-stup, à l'image du Pnat (parquet national antiterroriste).Alors quelle politique pour lutter contre les trafics de drogues ? Le gouvernement Barnier veut une nouvelle loi immigration en 2025, mais où en est l'application de la dernière ? Quelles sont les dispositions défendues par Bruno Retailleau ? Enfin à l'heure où les dirigeants de l'UE vont débattre d'une réforme des règles sur l'immigration lors du sommet qui s'ouvre ce jeudi 17 octobre à Bruxelles. Pourquoi ce projet s'annonce-t-il compliqué ? Les experts :- GUILLAUME DARET - Chef adjoint du service politique - France Télévisions- NATHALIE SCHUCK - Grand reporter - Le Point - MARION MOURGUE - Rédactrice en chef du service politique - Le Parisien-Aujourd'hui en France - Brice TEINTURIER - Directeur de l'institut de sondages IPSOSPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 15 octobre - Budget : cacophonie au gouvernement Revalorisation des pensions de retraite reportée, hausse de la taxe sur l'électricité, augmentation du malus automobile, postes de fonctionnaires supprimés… Le budget 2025, porté par le nouveau gouvernement de Michel Barnier, dévoilé jeudi dernier, doit être débattu dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale à partir du lundi 21 octobre. Mais il rencontre déjà une certaine hostilité dans l'opposition ainsi qu'au sein de même du gouvernement.Certains ministres tout juste nommés ont manifesté leur désaccord, à commencer par le garde des Sceaux Didier Migaud, qui a prévenu lundi qu'il ne resterait pas au gouvernement si le budget de la justice n'était pas amélioré. D'autres ont affiché leur opposition à une augmentation de la fiscalité sur le gaz, engendrant une certaine cacophonie. Ainsi la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher a prôné vendredi, pour une taxe sur le gaz plutôt que sur l'électricité, mais a été désavouée le lendemain par son confrère de Bercy, Laurent Saint-Martin, venu de la même famille politique.Des divergences qui ont éclaté au grand jour au sein de l'équipe gouvernementale mais aussi au sein des partis qui composent la coalition gouvernementale. L'ancien ministre des Comptes publics Gérald Darmanin s'est une nouvelle fois opposé à toute hausse d'impôts dimanche au journal de 20 heures de France 2, quelques jours après que les députés Renaissance ont présenté, sous la direction de Gabriel Attal, un "contre budget" à celui des ministres – macronistes – Laurent Saint-Martin (budget) et Antoine Armand (économie). Autre point qui n'a pas manqué de diviser le camp présidentiel : l'annonce dimanche par la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, une macroniste, d'une nouvelle loi "immigration" dont l'examen pourrait démarrer dès "début 2025" au Parlement. "On a adopté une loi il y a moins d'un an sur l'immigration, avec des mesures dont certaines ne sont pas encore en vigueur puisque les décrets ne sont pas encore sortis", a fait remarquer Gabriel Attal sur France Inter. "Faire une loi pour une loi, ça n'a pas de sens", a ajouté l'ancien Premier ministre, jugeant le projet "pas prioritaire". "Cette annonce est une provocation", a estimé, de son côté, Stéphane Travert, député (Renaissance) de la Manche dans les colonnes du Monde, rappelant que le projet de loi de 2023, durci par LR, comprenait des dispositifs visant à systématiser la préférence nationale qui avaient été largement rejetés par le Conseil constitutionnel. "On a un gouvernement (…) qui nous refourgue une loi immigration comme gage à l'extrême droite. Tout ça est cousu de fil blanc", a réagi le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure alors que du côté du RN on exulte. Marine Le Pen avait fait de l'absence d'une nouvelle loi sur l'immigration une "ligne rouge" qui pourrait déclencher une censure du gouvernement. "Plus rien ne peut se faire sans nous au Parlement" s'est félicité ce lundi sur BFM Jordan Bardella, assurant "attendre" ce nouveau texte "avec impatience".D'ici là, le calendrier va s'accélérer au Parlement : la commission des finances de l'Assemblée nationale va examiner le budget 2025 à partir de ce mercredi. Le même jour, sera présenté par le Rassemblement national son "contre-budget", a fait savoir samedi sur franceinfo le député frontiste Thomas Ménagé, estimant que "des lignes rouges très claires" ont été franchies, avec la taxe sur l'électricité, la baisse du remboursement des consultations médicales, mais aussi la potentielle augmentation de fiscalité sur le gaz. Parallèlement, l'Elysée, l'Assemblée nationale et le Sénat ont indiqué ce mardi qu'ils renonçaient à une hausse de leurs dotations, prévue dans le projet de budget, pour "donner l'exemple". De son côté, le Premier ministre a réuni mardi matin les responsables de sa majorité relative à Matignon. Les experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Valérie GAS - Cheffe du service politique - RFI - Céline BRACQ - Directrice générale et co-fondatrice de l'institut d'études Odoxa
Ce lundi 14 octobre 2024, Sandrine Rousseau, députée écologiste-NFP à Paris, était l'invitée dans Face aux Experts. Elle s'est exprimée sur la nouvelle loi immigration proposée par Maud Bregeon, la porte-parole du gouvernement.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
durée : 00:54:22 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, est l'invitée de Questions politiques ce dimanche. Elle répond aux questions d'Élodie Forêt, Guillaume Daret de France Télévisions et Françoise Fressoz du Monde.
durée : 00:54:22 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, est l'invitée de Questions politiques ce dimanche. Elle répond aux questions d'Élodie Forêt, Guillaume Daret de France Télévisions et Françoise Fressoz du Monde.
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, répond aux questions de Romain Desarbres au sujet des sujets qui agitent le monde politique depuis le discours de politique générale de Michel Barnier.
Aujourd'hui, c'est au tour de Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Aujourd'hui, Frédéric Farah, Barbara Lefebvre, et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Nouvel épisode de l'émission “Les Indiscrets” de Nils Wilcke, une plongée dans les coulisses de la politique française telle qu'on la raconte peu, c'est-à-dire sans fards ni éléments de langage. Au sommaire : A peine nommé, le Premier ministre Michel Barnier ne tient plus du tout sa classe… C'est le chaos au sein et en dehors du Conseil des ministres. Pourquoi ne parvient-il pas à imposer à ses ministres ses consignes de modestie, contre la culture de l'esbroufe et de la communication tous azimuts ? Comment expliquer qu'il ait déjà été obligé de procéder à trois recadrages en quelques jours ? Et si Gabriel Attal ou un autre, faisait souffler un vent d'insubordination dans le nouvel attelage gouvernemental ? Dernières nouvelles de la Macronie entre les malheurs de Prisca Thévenot face à la montée en puissance de Maud Bregeon, la rébellion anti-RN surjouée d'Antoine Armand et de Agnès Pannier-Runacher… Qui est vraiment Bruno Retailleau, dont la présence place Beauvau, au ministère de l'Intérieur, inspire à Nils cette expression, tirée d'un vieux film français : “Peur sur la ville”. Et dernier sujet : que se passe-t-il donc entre Macron et son opposante de choix, Marine Le Pen ? Complicité ou jeu de dupes ?
Au micro de RTL, la nouvelle porte-parole du gouvernement a affirmé que le gouvernement n'ira "pas chercher l'argent dans la poche des classes populaires et des classes moyennes."
Au micro de RTL, la nouvelle porte-parole du gouvernement a affirmé que le gouvernement n'ira "pas chercher l'argent dans la poche des classes populaires et des classes moyennes."
Marceau refait l'info, c'est du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le Morning du rire avec Bruno Roblès
C dans l'air du 20 septembre - Gouvernement Barnier : à droite toute ?Le gouvernement ne sera pas présenté ce vendredi mais "avant dimanche" le temps d'effectuer les vérifications déontologiques. C'est ce qu'a annoncé Matignon ce vendredi à la suite d'une journée marathon, avec une dernière réunion autour de Michel Barnier et toutes les forces politiques susceptibles de rejoindre son équipe gouvernementale, puis sa présentation à Emmanuel Macron jeudi soir à l'Elysée. Deux semaines après la nomination du nouveau Premier ministre, et alors que les tractations ne semblaient jamais pouvoir aboutir, ça accélère, désormais, et avant même l'annonce officielle, on en sait plus sur cette liste validée dans les grandes lignes par le chef de l'Etat : 38 ministres, dont 16 de plein exercice, qui comprendront 7 macronistes, 3 LR, 2 Modem, un Horizons, un centriste, un divers droite et un divers gauche.Le camp présidentiel conserverait ainsi l'Economie (Antoine Armand et Mathieu Lefevre), l'Education nationale (Violette Spillebout), le Travail, les Affaires étrangères (Jean-Noël Barrot), la Santé (Geneviève Darrieussecq), et le poste de porte-parole (Maud Bregeon). Cinq sortants seraient également reconduits : Rachida Dati à la Culture, Sébastien Lecornu aux Armées, et d'autres changeraient de poste comme Catherine Vautrin aux Territoires ou Agnès Pannier-Runacher à l'Ecologie. Parmi les entrants, les noms de plusieurs ténors des Républicains circulent : le président de leur groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau pourrait ainsi s'installer à l'Intérieur. Annie Genevard, cadre historique, est proposée pour l'Agriculture. La droite qui prendrait aussi l'Enseignement supérieur, l'Outre-mer (François-Noël Buffet pressenti), la Famille et le Commerce. Enfin, le nom de l'ancien élu socialiste Didier Migaud, président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), est évoqué avec insistance pour succéder à Éric Dupond-Moretti au ministère de la Justice.Mais alors que les contours du nouveau gouvernement se précisent, les réactions se multiplient à gauche. À commencer par l'ancien président socialiste, redevenu député, François Hollande. "Pourquoi y a-t-il eu une dissolution si c'est pour avoir à peu près les mêmes, plus à droite encore ? (...)Non seulement il n'y a pas un gouvernement qui correspond au front républicain mais c'est pire encore : on devait avoir un changement, on a une Restauration", a-t-il cinglé ce matin au micro de France Bleu. "(Je perçois), dans les noms qui sont donnés pour l'instant, une extrême droitisation de la Macronie, qui est très inquiétante", a tancé de son côté la cheffe des députés Insoumis Mathilde Panot. "On est passé du front républicain à l'affront républicain" a regretté pour sa part la cheffe de file des Verts Marine Tondelier.Du côté de l'exécutif, on fait savoir que si la liste des ministres a bien avancé, des "derniers ajustements" sont en cours concernant certains noms. Une nouvelle équipe gouvernementale qui va devoir s'atteler à de nombreux dossiers, à commencer par le budget. Michel Barnier a laissé entendre qu'il ressemblerait à celui préparé par Gabriel Attal cet été. Mais aussi l'immigration, le nouveau locataire de Matignon en fait une priorité et se sait attendu sur cette question par le RN.Alors gouvernement Barnier, qui rentre, qui sort ? Quelle est la feuille de route édictée par le Premier ministre ? Que veut-il faire en matière d'immigration ? Enfin quelle sera la stratégie du RN ces prochaines semaines ?Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- ASTRID DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- CÉCILE CORNUDET- Éditorialiste politique - Les Echos - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France TélévisionsPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce mardi, Maud Bregeon, députée Ensemble pour la République des Hauts-de-Seine, était l'invitée dans Face aux Experts. Elle a parlé d'Ursula von der Leyen qui soutient le choix de Macron de remplacer T. Breton par S. Séjourné à la Commission européenne.
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Maud Bregeon, députée Renaissance des Hauts-de-Seine, répond aux questions de Romain Desarbres. Ensemble, ils reviennent sur le drame de Mougins où un gendarme a trouvé la mort après le refus d'obtempérer d'un multirécidiviste et sur les consultations d'Emmanuel Macron pour Matignon.
Aujourd'hui, c'est au tour de Maud Bregeon, députée Renaissance des Hauts-de-Seine, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari reçoit Maud Bregeon, députée Renaissance réélue des Hauts-De-Seine, pour réagir à l'actualité.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.