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Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Amélie de Montchalin doit-elle démissio-nez ? Haute-Vienne, une mégaferme de 2 000 bovins validée Les médecines douces s'infiltrent dans les déserts médicaux
C dans l'air du 1er mai 2025 - Budget : 40 milliards à trouver...La préparation du budget 2026 s'avère épineuse. Le gouvernement doit trouver quarante milliards d'euros d'économies, sans hausse d'impôt. Il y a quelques jours, le ministre de l'Aménagement de territoires a alors suggéré la création d'une « contribution modeste » pour « renouer le lien » entre les collectivités et les Français qui y résident. Si récréer la taxe d'habitation est écartée, sa suppression en 2023 est toutefois vue comme une « faute originelle » selon le président du Sénat, Gérard Larcher.Le gouvernement pourrait aussi supprimer l'abattement fiscal de 10% dont bénéficient les retraités sur leur pension. Une mesure qui permettrait de récupérer cinq milliards d'euros. Dans cette foire aux propositions, il y a aussi celle d'instaurer des « frais de gestion » sur les petits colis entrant en Europe, à hauteur de « quelques euros par colis » selon la ministre chargée des Comptes publics, Amélie de Montchalin.Pendant ce temps, le secteur de la chimie s'inquiète. La concurrence chinoise est de plus en plus forte et certaines entreprises sont en dangers. C dans l'air est allé à la rencontre de certains dirigeants de l'usine WeylChem Lamotte, dans l'Oise. Ce géant de la chimie, seul fabricant européen d'acide glyoxylique, un composant chimique essentiel à la fabrication d'antibiotiques, vient d'annoncer un plan de restructuration pour 2025.Cette situation économique difficile est ressentie par les ménages. Le pouvoir d'achat reste la préoccupation numéro un des Français, et ils sont beaucoup à chercher les moyens d'arrondir leurs fins de mois. Certains choisissent de réceptionner les colis de leur voisinage, transformant leur domicile en relais colis de quartier. Mais malgré l'organisation et le temps que ça nécessite, les revenus sont faibles.Alors, comment le gouvernement va-t-il boucler le budget 2026 ? Le secteur français de la chimie a-t-il raison de s'inquiéter ? Comment se porte le pouvoir d'achat des Français ?LES EXPERTS : Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur du Grand basculementGaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction de ChallengesFanny GUINOCHET - Éditorialiste économique de France Info et La TribuneChristophe RAMAUX – Économiste, enseignant à l'université Paris I Panthéon Sorbonne
Ce lundi 28 avril, le souhait d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, de fusionner ou de supprimer un tiers des agences et des opérateurs de l'État pour générer "deux à trois milliards d'euros d'économies" a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 28 avril, le souhait d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, de fusionner ou de supprimer un tiers des agences et des opérateurs de l'État pour générer "deux à trois milliards d'euros d'économies" a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Une heure d'entretien incontournable en partenariat avec CNEWS et Les Echos. Une personnalité politique, un dirigeant économique ou un intellectuel revient sur les grands thèmes de l'actualité et répond aux questions sans détours de Jacques Serais pour apporter des réponses concrètes aux français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une heure d'entretien incontournable en partenariat avec CNEWS et Les Echos. Une personnalité politique, un dirigeant économique ou un intellectuel revient sur les grands thèmes de l'actualité et répond aux questions sans détours de Jacques Serais pour apporter des réponses concrètes aux français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 23/04/2025, il réagit aux propos d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics qui vise l'abattement fiscal des retraités pour l'assainissement des finances publiques. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 23/04/2025 Retour des mines antipersonnel : une militante sonne l'alerte mondialeDepuis le 18 mars, cinq pays européens ont annoncé vouloir sortir du traité d'Ottawa qui interdit l'usage des mines antipersonnel depuis 1997 et les définit comme "conçues pour exploser du fait de la présence, de la proximité ou du contact d'une personne et destinées à mettre hors de combat, blesser ou tuer une ou plusieurs personnes". La Lituanie, la Pologne, l'Estonie, la Lettonie et la Finlande ont fait marche arrière face à la crainte d'un conflit militaire avec la Russie de Vladimir Poutine. Ratifié par 164 pays, ce traité avait entériné le recul de leur utilisation, qui touche des civils dans 85 % des cas. Si ces retraits ont suscité des réactions frileuses de la part des autres pays signataires, des ONG se mobilisent pour maintenir l'interdiction des mines antipersonnel. C'est notamment le cas d'Handicap International qui a enjoint le gouvernement français à agir. Anne Héry est chargée de plaidoyer et des relations institutionnelles depuis plus de quinze ans pour cette ONG. L'un de ses principaux combats est la fin de l'utilisation des armes explosives en zones peuplées, comme les mines antipersonnel qu'elle qualifie "d'armes des lâches". Le retour de la conflictualité va-t-il enterrer le droit humanitaire international ?Déficit budgétaire : faut-il faire payer les retraités ? Toujours à la recherche de 40 milliards d'euros pour combler le déficit, le gouvernement de François Bayrou multiplie les pistes. Récemment, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a émis l'hypothèse de revenir sur l'abattement fiscal des retraités. Institué en 1977, il permet aux retraités de réduire leur revenu imposable de 10 %, une mesure calquée sur l'abattement censé couvrir les frais professionnels des salariés. Chaque année, il représente un manque à gagner de 4 milliards pour l'État. Sa possible suppression fait débat tant la question est liée aux équilibres politiques. Les retraités représentent 14 millions d'électeurs, un socle électoral dont peu de partis peuvent se passer. Les oppositions, de tous bords confondus, ont fait part de leur désaccord : "18,5 millions de retraités vont payer plus d'impôts et 500 000 retraités, qui n'étaient pas encore imposables, vont le devenir", a dénoncé Marine Tondelier (EELV), alors que Laurent Jacobelli (RN) surenchérit en invoquant "un motif de censure possible". Pour le gouvernement, les équilibres politique et financier sont précaires.Marjorie Adelson nous emmène en Californie, où un groupe d'adolescents a organisé une course de spermatozoïdes pour sensibiliser au déclin de la fertilité masculine. Marie Bonnisseau nous raconte une histoire de foi à l'heure du numérique : Carlo Acutis, mort en 2006 à l'âge de 15 ans, sera bientôt canonisé pour devenir le saint patron des internautes.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 23/04/2025 Déficit budgétaire : faut-il faire payer les retraités ? Toujours à la recherche de 40 milliards d'euros pour combler le déficit, le gouvernement de François Bayrou multiplie les pistes. Récemment, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a émis l'hypothèse de revenir sur l'abattement fiscal des retraités. Institué en 1977, il permet aux retraités de réduire leur revenu imposable de 10 %, une mesure calquée sur l'abattement censé couvrir les frais professionnels des salariés. Chaque année, il représente un manque à gagner de 4 milliards pour l'État. Sa possible suppression fait débat tant la question est liée aux équilibres politiques. Les retraités représentent 14 millions d'électeurs, un socle électoral dont peu de partis peuvent se passer. Les oppositions, de tous bords confondus, ont fait part de leur désaccord : "18,5 millions de retraités vont payer plus d'impôts et 500 000 retraités, qui n'étaient pas encore imposables, vont le devenir", a dénoncé Marine Tondelier (EELV), alors que Laurent Jacobelli (RN) surenchérit en invoquant "un motif de censure possible". Pour le gouvernement, les équilibres politique et financier sont précaires.On en débat avec Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction de Challenges ; Agathe Le Berder, secrétaire générale adjointe de la CGT Ingé Cadre Tech et François Geerolf, économiste à l'OFCE.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
c'est la ministre des Comptes publics elle-même, Amélie de Montchalin, qui a rouvert ce débat lancinant dans une interview au Parisien ce week-end Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
durée : 00:08:45 - Budget 2026 : où trouver les 40 à 50 milliards d'euros d'économie ? - Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics de France, a proposé de supprimer des niches fiscales, notamment celle dont bénéficient les retraités.
durée : 00:01:47 - Le vrai ou faux - Selon la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin, les Français sont "beaucoup plus" en arrêts-maladies que leurs voisins outre-Rhin.
Dans cette édition :Enquête sur les attaques contre les centres pénitentiaires et leurs agents, avec la piste de l'ultra-gauche et des barons de la drogue qui auraient scellé un pacte pour déstabiliser l'État.La ministre Amélie de Montchalin veut s'attaquer aux niches fiscales pour boucler le prochain budget 2026, avec 40 milliards d'euros d'économies à faire.Demi-finales de la Ligue des champions avec le match PSG-Arsenal et Barcelone-Inter Milan, le PSG étant éliminé dès les quarts de finale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 17/04/2025, il reçoit Sophie de Menthon, Présidente du mouvement Ethic pour débattre de si les Français travaillent trop ou pas assez et dans un second temps sur cette question : y a-t-il trop de fonctionnaires en France ? Dans un second temps, il est question d'Amélie de Montchalin, Ministre chargée des Comptes publics qui souhaite s'attaquer aux niches fiscales. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 17/04/2025, en compagnie de Christophe Bordet qui pousse un coup de gueule contre Amélie de Montchalin est Ministre chargée des Comptes publics qui souhaite s'attaquer aux niches fiscales. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Enquête sur les attaques contre les centres pénitentiaires et leurs agents, avec la piste de l'ultra-gauche et des barons de la drogue qui auraient scellé un pacte pour déstabiliser l'État.La ministre Amélie de Montchalin veut s'attaquer aux niches fiscales pour boucler le prochain budget 2026, avec 40 milliards d'euros d'économies à faire.Demi-finales de la Ligue des champions avec le match PSG-Arsenal et Barcelone-Inter Milan, le PSG étant éliminé dès les quarts de finale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:39 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, est l'invitée de Questions politiques ce dimanche. Une émission présentée par Élodie Forêt, avec Claire Gatinois du journal "Le Monde" et Nathalie Saint-Cricq de France Télévisions.
durée : 00:54:39 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, est l'invitée de Questions politiques ce dimanche. Une émission présentée par Élodie Forêt, avec Claire Gatinois du journal "Le Monde" et Nathalie Saint-Cricq de France Télévisions.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Nos invités du mardi 8 avril 2025 : Affaire Bertrand Cantat: Lio, chanteuse et amie de Marie Trintignant suite au documentaire "De rockstar à tueur: le cas Cantat". Droits de douane: Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Krach dans l'humanitaire, dans les bourses, bras de fer des Etats-Unis avec l'Europe, simplification administrative bientôt en discussion au sénat. Autant de sujet abordés avec Amélie de Montchalin, la ministre chargée des Comptes publics.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Tous les soirs, la rédaction d'Europe 1 vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs, la rédaction d'Europe 1 vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amélie de Montchalin, ministre des comptes publics, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la loi sur le narcotrafic.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amélie de Montchalin répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la loi narcotrafic. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:45:04 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - Financer les dépenses militaires et faire baisser le déficit, avec une croissance revue à la baisse et sous le regard des agences de notation... Comment résoudre une équation budgétaire de plus en plus acrobatique ? Ce samedi, débat, reportage et entretien avec la ministre des Comptes publics. - invités : Amélie de Montchalin - Amélie de Montchalin : Ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires - réalisé par : Etienne BERTIN, Helene Bizieau
Le sommet de Bruxelles est à la Une de toute la presse européenne. Pour le Guardian, à Londres, c'est un « tournant » : « les dirigeants de l'Union européenne s'accordent sur un plan visant à augmenter considérablement les dépenses de défense. » « La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ajoute le quotidien britannique, a présenté un plan de 800 milliards d'euros, pour augmenter les dépenses de défense européennes ». Ursula von der Leyen, qui parle de « moment décisif pour l'Europe ».À Bruxelles, le Soir, rappelle les mots de Volodymyr Zelensky : « nous sommes très reconnaissants de ne pas être seuls ». Le Soir rappelle aussi « qu'il n'y a pas eu de marchandage avec le premier ministre hongrois ». « Viktor Orban voulait que l'Union européenne négocie avec la Russie, par devers les Ukrainiens ? Ses vingt-six homologues, unanimes, dictent au contraire leurs conditions pour tout effort visant à conclure une 'paix globale, juste et durable' ». Effort salué également par el Païs, qui parle d'une « étape historique », franchie par l'Union européenne qui « déploie un vaste dispositif de sécurité et de défense contre la menace russe ».Argent privéDans cette perspective, chaque pays s'interroge sur la manière de financer un « réarmement ». C'est le cas de la France, notamment. « Le réarmement de la France : un casse-tête financier », titre le Figaro, qui a interrogé la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, selon laquelle, « toute hausse d'impôt pour financer cet effort est exclue ».« Alors que la France est surendettée », poursuit le quotidien français, « d'intenses réflexions sont en cours pour voir comment mobiliser l'épargne privée. Les idées fusent, par exemple celle de lancer un livret d'épargne dédié aux investissements dans la défense ». « Où trouver l'argent ? » s'interroge de son côté la Croix, qui constate : « Malgré les assouplissements budgétaires annoncés par l'Union européenne, les finances publiques françaises manquent de marge de manœuvre pour un effort supplémentaire en faveur de la défense. ». « Les leviers à la disposition du gouvernement sont en effet limités », estime la Croix. « Difficile d'augmenter les impôts, quand le taux de prélèvements obligatoires est le plus élevé de la zone euro. » Le journal évoque, lui aussi l'idée « d'en appeler à l'argent privé », « les investisseurs mais aussi les ménages dont l'épargne atteint des sommets depuis la pandémie ». BoycottAux États-Unis, les éclats de Donald Trump en matière d'économie comment à faire des dégâts. « Les tarifs imposés par caprice déstabilisent les alliés mais aussi les marchés », s'exclame le New York Times, qui ajoute : « les investisseurs ont fait chuter les cours des actions jeudi, en raison de l'incertitude entourant les conséquences de l'inconstance du président Trump sur l'économie mondiale ». C'est ainsi, remarque le Wall Street Journal, « que les États-Unis ont partiellement réduit les droits de douane sur certains produits en provenance du Mexique et du Canada après la chute des marchés et le lobbying des entreprises auprès du président Trump. »Dans le même temps, la riposte s'organise, au Canada, notamment, où le boycott est à l'ordre du jour. Le New York Times annonce ainsi que « les provinces canadiennes ont restreint les vents d'alcool américain », alors qu'à Montréal, le Devoir explique que « les Québécois sont nombreux à affirmer qu'ils vont boycotter les Etats-Unis ». Mais ce n'est pas si simple. Le quotidien québécois nous explique ainsi que « l'exercice s'avère complexe », lorsque l'on veut par exemple « respecter l'environnement. » « En hiver », explique le Devoir, « beaucoup de fruits et de légumes (consommés au Canada) proviennent des États-Unis. Mais « si on achète des raisins du Chili pour éviter ceux de Californie, ce choix peut faire mal à la conscience environnementale de certains, vu la distance additionnelle parcourue ».
Le déficit des retraites, c'est le sujet au cœur des débats autour de la réforme, pour repousser l'âge de départ. Alors que François Bayrou avançait dans son discours de politique générale un déficit de l'ordre de 55 milliards d'euros, le résultat de la Cour des Comptes est bien loin. Pour 2025, la Cour a calculé un déficit de 6,6 milliards, stable jusqu'en 2030. Les estimations de la Cour des Comptes atteignent 15 milliards en 2035 puis 30 milliards en 2045. Le déficit à partir de 2030 est expliqué par la stabilisation de l'âge de départ, ou encore le gain d'espérance de vie. La Cour des Comptes présente plusieurs leviers pour faire des économies : l'âge de départ, la durée de cotisation, le montant des cotisations sur les actifs ou… ne plus indexer les retraites sur l'inflation. Thomas Porcher dénonce la manipulation des chiffres du Premier Ministre. L'économiste fustige les arguments qui veulent repousser l'âge de départ et qui prônent la retraite par capitalisation. Thomas Porcher explique la façon dont le système français tente de protéger les plus âgés contre la pauvreté. Lisa Lap et l'économiste décrivent un problème de recettes plutôt que de dépenses, qui viennent légitimer le recul des droits sociaux.Jeudi dernier, les députés ont pu s'exprimer sur la proposition instaurant un impôt plancher de 2% sur le patrimoine des ultra riches, proposition qui émane d'un constat : cette petite catégorie paie moins d'impôts en proportion que le commun des mortels. Cela vise les patrimoines de plus de 100 millions d'euros. Cet impôt reprend les travaux de l'économiste Gabriel Zucman d'un impôt plancher sur la fortune pour les 0,01 % des contribuables les plus riches, soit environ 1800 contribuables, afin de les taxer à hauteur de 2 % de leur fortune en impôts. La ministre chargée des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a décrit une mesure "inefficace" et "confiscatoire". Thomas Porcher explique à quel point cette mesure est inévitable et surtout, que la menace de délocalisation des grandes fortunes est inutile. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !⚠️ Le Média est diffusé sur le canal 165 de la Freebox et sur le bouquet gratuit de Molotov TV.Suivez Le Média sur sa seconde chaîne Youtube :
Ce mardi 11 février, la guerre commerciale mondiale qui a été déclenchée suite à la déclaration de Donald Trump de taxer à 25% l'acier et l'aluminium importés aux États-Unis, ainsi que la favorabilité d'Amélie de Montchalin à un référendum sur le mode de financement de la protection sociale, ont été abordées par Frédéric Farah, économiste, enseignant à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Alexandra Roulet, professeure à l'INSEAD, et Emmanuel Combe, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Skema Business School, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:23:09 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - La ministre chargée des comptes publics était l'invitée de France Inter ce mercredi. Amélie de Montchalin affirme que "l'État fait le plus grand effort de réduction de son [coût de] fonctionnement en 2025 depuis 25 ans".
durée : 02:59:30 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce mercredi, nous recevrons notamment : à 7h50 l'acteur Adrien Brody bientôt à l'affiche du film "The Brutalist", à 8h20 la ministre chargée des comptes publics Amélie de Montchalin et le créateur de mode Elie Saab à 9h20.
durée : 00:23:09 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - La ministre chargée des comptes publics était l'invitée de France Inter ce mercredi. Amélie de Montchalin affirme que "l'État fait le plus grand effort de réduction de son [coût de] fonctionnement en 2025 depuis 25 ans".
Budget : recours au 49.3, menace de censure... Tout reste à jouer. Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, est l'invitée de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 03 février 2025.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Guillaume Daret reçoit Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, dans BFM Politique sur BFMTV, ce dimanche 26 janvier 2025. « BFM POLITIQUE » est LE rendez-vous média incontournable rythmant la vie politique française. Chaque dimanche, en direct et en public, l'émission présentée par Guillaume Daret donne la parole aux personnalités de tous bords. Durant deux heures, un représentant politique au cœur de l'actualité répond aux questions de la journaliste de BFMTV, puis débat dans le « face à face » avec un contradicteur sur un sujet qui les oppose. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
durée : 00:25:25 - 8h30 franceinfo - La ministre chargée des Comptes publics était l'invitée du "8h30 franceinfo" le vendredi 24 janvier.
Amélie de Montchalin a révélé le programme de baisse des dépenses publiques avec un effort budgétaire de 50 milliards d'euros qui comprend donc 32 milliards d'économies budgétaires et 21 milliards de hausse d'impôts. Faut-il vraiment y croire ? Les explications de Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE. Ecorama du 16 janvier 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air du 15 janvier 2025 - Impôts, économies… Bayrou a-t-il un plan ?La dette. Le candidat François Bayrou l'avait mise au cœur de ses campagnes présidentielles, le Premier ministre l'a placé comme premier thème de sa déclaration de politique générale hier devant les députés, la comparant à une "épée de Damoclès" pour la France. "J'affirme qu'aucune politique de ressaisissement et de refondation ne pourra être conduite si elle ne tient pas compte de notre surendettement et si elle ne se fixe pas comme objectif de le contenir et de le réduire", a débuté le Premier ministre qui a néanmoins revu à la baisse les ambitions de réduction du déficit. Ainsi alors que son prédécesseur voulait ramener le déficit public de 6,1 % du PIB fin 2024 à 5 % cette année, François Bayrou vise toujours moins de 3 % en 2029, comme la France s'y est engagée auprès de la Commission européenne, mais entend le ramener à 5,4 % cette année – soit un moindre effort d'environ 12 milliards d'euros par rapport au projet de loi de finances présenté à l'automne dernier.Néanmoins il faudra tout de même trouver de l'ordre de 50 milliards d'euros. L'objectif confirmé ce matin par la ministre des Comptes publics serait de faire 21 milliards d'euros d'augmentation des recettes, donc d'impôts et de taxes, et 32 milliards de réductions de dépenses au total. "Nous allons faire un effort historique de baisse des dépenses publiques", a expliqué Amélie de Montchalin, indiquant que le gouvernement travaille "pour qu'il y ait un accord sur le budget à l'Assemblée à la fin janvier".Mais comment compte-t-il faire ? Et quelle est la position du gouvernement sur la réforme des retraites ? Lors de son discours de politique générale François Bayrou a décidé de mettre ce sujet entre les mains des partenaires sociaux sommés de s'accorder sur une nouvelle réforme en trois mois, sous peine d'un retour à la case départ. Le PS a prévenu qu'il censurera le gouvernement demain avec les écologistes et les communistes et les insoumis sauf s'il obtient "une réponse claire" sur son exigence de soumettre quoi qu'il en soit au Parlement la question.Pendant que les discussions et les tractations se poursuivent, sur le front économique depuis plusieurs mois un vent de délocalisation souffle sur l'industrie européenne. De plus en plus d'entreprises du Vieux Continent choisissent de transférer leurs investissements de l'autre côté de l'Atlantique, attirées par les conditions avantageuses mises en place par le gouvernement américain. Cette tendance, qui s'accélère depuis l'adoption de l'Inflation Reduction Act (IRA) par l'administration Biden, suscite des inquiétudes. Nous avons suivi une entreprise française, spécialisée dans les batteries électriques qui a fait ce choix.Nos journalistes ont également interviewé Yann Algan, professeur d'économie à HEC, qui vient de dévoiler une analyse inédite de l'évolution des débats à l'Assemblée nationale entre 2007 et 2024. Avec ses collègues Thomas Renault et Hugo Subtil, il a publié une note intitulée "La Fièvre parlementaire : ce monde où l'on catche ! Colère, polarisation et politique TikTok à l'Assemblée nationale". Pour lui, nous sommes désormais confrontés à une "Assemblée spectacle", où les députés ne s'adressent plus aux autres députés ou aux journalistes pour les convaincre, mais à leur public sur les réseaux sociaux, à leurs followers.Les experts : - Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef du service politique - Le Point- Sophie FAY - Journaliste politique - Le Monde, auteur de La Conseillère- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Florence AUTRET ( en duplex) - Journaliste spécialiste des affaires européennes, correspondante à Bruxelles – La Tribune Dimanche
Alemania sigue siendo el “enfermo” de Europa. La otrora locomotora encadena dos años en contracción: el PIB cae un 0,2% en 2024. Detrás, según la Oficina Federal de Estadística, la creciente competencia para la industria exportadora alemana en mercados clave, los altos costos de la energía, un nivel de tipos de interés que se mantiene elevado y un panorama económico incierto. En cuanto al cuarto trimestre de 2024, el PIB apenas habría crecido un 0,1% respecto al año pasado. Francia espera lograr un ahorro de 53.000 millones de euros para reducir el déficit del país, que roza el 6%, según ha anunciado la ministra de Finanzas, Amelia de Montchalin. El vicepresidente del BCE, Luis de Guindos, insiste en que la trayectoria está clara: seguirán bajando los tipos. Así lo ha dicho durante su intervención este miércoles en el Spain Investors Day. Entrevistaremos a Javier Cuerpo, docente en Innovación de la Universidad UNIE para hablar del efecto que pueden tener en el mercado inmobiliario las nuevas medidas para facilitar el acceso a la vivienda anunciadas por el presidente del gobierno, Pedro Sánchez. En Expansión y Ciclo, España volvió a batir un récord en turistas en 2024. El país recibió 94 millones de visitantes extranjeros, lo que supone un 10% más que la cifra del año pasado y un nuevo máximo en su serie histórica. También se incrementó en un 16% su gasto turístico, ya que desembolsaron 126.000 millones de euros durante su estancia. Temas que trataremos en la Tertulia de Cierre de Mercados con Javier Domínguez, de aurigabonos.es, e Isabel Giménez, directora de la Fundación de Estudios Bursátiles y Financieros.
C dans l'air du 10 janvier 2025 - Budget : taxer les plus riches…et les retraités ?Depuis la nomination de François Bayrou à Matignon, c'est l'un des grands défis du gouvernement : faire adopter prochainement au Parlement le budget 2025, avec comme objectif 50 milliards d'euros d'économies. Alors pour éviter toute censure, le nouveau ministre de l'Economie, Éric Lombard et la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin bouclent ce vendredi une première semaine de consultations avec les principales forces politiques en vue d'amender le projet de loi de finances (PLF) pour 2025, dont l'examen est sur le point de reprendre au Sénat où il a été suspendu plus d'un mois après la chute du gouvernement de Michel Barnier. Toute la question pour Bercy est de savoir où sont les lignes rouges pour chaque camp, et notamment une partie de la gauche avec qui le gouvernement cherche à sceller un accord de non-censure. Une stratégie qui crée la division au sein du Nouveau Front populaire.Ainsi après une première rencontre lundi, Éric Lombard, a reçu ce mercredi pour la seconde fois, et ensemble les représentants du Parti socialiste, du parti Les Écologistes et du Parti communiste. "Nous avançons sur tous les sujets", a commenté le patron des socialistes, Olivier Faure à l'issue de cette rencontre, ajoutant que "pour qu'il n'y ait pas de censure, ça suppose qu'il y ait une inflexion forte sur la politique qui est conduite jusqu'ici". De son côté, la France insoumise, qui a refusé d'assister à ces rendez-vous, a fustigé le comportement de ses alliés du Nouveau Front populaire. "Cette façon de négocier dans le dos du NFP et contre son programme est une forfaiture d'un irrespect total pour notre alliance", s'est emporté sur X Jean-Luc Mélenchon. Dans un article de blog, publié jeudi 9 janvier, il accuse Olivier Faure d'avoir entamé "un revirement complet du PS sur la question des retraites" et de "se substituer aux syndicats" pour la renégocier. "Les retraites, ce sont nos salaires, pas un jouet entre les mains de la finance ou des macronistes", a conclu le leader insoumis.La gauche du tout ou rien, c'est aujourd'hui la gauche du rien", a cinglé en retour le premier secrétaire du parti au poing et à la rose, sur TF1. Avant de justifier sa stratégie : "Moi, ce que je veux c'est arracher des victoires, faire en sorte que la politique conduite depuis sept ans puisse connaître une inflexion." Et de mettre en avant la nécessité de parvenir à un "compromis", faute de majorité à l'Assemblée nationale. Selon des informations de Libération, les socialistes ont formulé plusieurs demandes au gouvernement, dont la suspension de la réforme des retraites, le fait de renoncer à la suppression de 4.000 postes d'enseignants prévue par le précédent gouvernement ou encore le maintien de l'Aide médicale d'État dans sa version actuelle.Les consultations se poursuivent ce vendredi. Une délégation de députés RN – sans Marine Le Pen, endeuillée depuis la mort de père – est reçu ce vendredi à Bercy pour porter ses revendications sur le budget. Au menu : refus de hausses d'impôts, économies sur le "train de vie de l'État" et nouveau tour de vis sur l'immigration.Alors que les échanges s'intensifient entre les chefs de partis et le gouvernement, le patron du Medef Patrick Martin s'est dit "inquiet". Il craint que les compromis pour éviter la censure se fassent « sur le dos » des entreprises, et ce alors que nombre d'entre elles connaissent des difficultés. Plus de 66 000 entreprises ont ainsi faillite en 2024, soit un niveau record depuis au moins 2009, selon le bilan annuel de BPCE l'Observatoire. Au total, 260 000 emplois ont été menacés en 2024 par ces défaillances. Le patron du Medef Patrick Martin, a appelé ce jeudi à la suppression de l'abattement pour frais professionnels dont bénéficient les retraités dans leur déclaration de revenus, qu'il juge "aberrant".Alors où en sont les négociations après une première semaine de consultations ? impôts, taxes, économies… Quelles sont les pistes du gouvernement pour le budget 2025 ? Les experts : Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle Gaël MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges Astrid DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de Sens politique - France CultureMathieu PLANE - Économiste – OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques
C dans l'air du 6 janvier 2025 - Budget, retraites : Bercy regarde à gauche...Le ministre de l'Économie et des Finances ainsi que la ministre des Comptes publics débutent ce lundi à Bercy les consultations des partis politiques dans l'optique de faire voter rapidement par le Parlement un projet de loi de finances pour 2025. Avec un objectif : ramener le déficit entre "5 et 5,5 %", cette année, ce qui nécessitera un "effort" budgétaire "autour de 50 milliards d'euros", moins que les 60 milliards qu'ambitionnait le gouvernement précédent, et qui passera "essentiellement" par des économies, a affirmé ce matin Éric Lombard sur France Inter.Pour rassurer le monde économique, les marchés qui prêtent à l'Etat mais aussi Bruxelles, il faut "que dans les meilleurs délais, notre pays ait un budget" a expliqué l'ancien directeur général de la Caisse des dépôts. Pour cela, le nouveau patron de Bercy souhaite obtenir "a minima un accord de non-censure" et lance un appel du pied aux partis de gauche avec qui "il y a plus de perspective d'un dialogue fécond qu'avec le RN". Et le ministre d'embrayer sur ce qu'il dit partager avec le parti socialiste, mais aussi les communistes et les écologistes : la recherche de justice fiscale. "Il y a dans ce pays des mécanismes d'optimisation fiscale qui font que des personnes qui ont des revenus importants ne paient pas leur part d'impôt. Il s'agit que chacun paie sa juste part de l'impôt."Même angle d'attaque sur France 2 ce matin pour la ministre des Comptes publics qui promet "un plan d'action très concret, très ambitieux" concernant l'égalité devant l'impôt, et axé sur la lutte contre la "suroptimisation fiscale". Dans les colonnes du Parisien ce dimanche, Amélie de Montchalin a également indiqué que le gouvernement n'envisage pas de "hausse d'impôts pour les ménages" mais veut garder les éléments qui ont fait consensus lors de l'examen des projets de budget de l'État et de la Sécurité sociale laissés en suspens par la censure du gouvernement Barnier. Parmi les mesures que l'exécutif compte conserver, la ministre a cité la contribution supplémentaire sur les grandes entreprises, la taxe sur les rachats d'actions et sur les billets d'avion. Quid de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus ? Si celle-ci "ne peut plus s'appliquer" du fait de la censure,"nous réfléchissons à de nouvelles modalités", a fait savoir Amélie de Montchalin. "Il ne s'agit pas de proposer des impôts nouveaux, mais de vérifier que chacun paye sa juste part de l'impôt (...). Pas taxer davantage les très riches mais veiller à ce que leur niveau d'impôt soit homogène à celui que payent les autres Français", a relevé de son côté Éric Lombard qui a reçu ce matin le MoDem et les socialistes.À la sortie de Bercy, le PS s'est dit favorable à "une négociation où chacun est responsable, où chacun fait des pas vers l'autre. Nous sommes prêts à en faire", a lancé Olivier Faure, mais également à censurer le gouvernement s'il n'y a de "concessions remarquables". Le président du groupe socialiste au Sénat, Patrick Kanner, a par ailleurs fait état de la part du gouvernement d'"une proposition de modification, d'évolution de la réforme de la retraite"."La négociation du PS avec le gouvernement Macron-Bayrou n'engage que lui" a réagi sur X Jean-Luc Mélenchon. "Le NFP n'a été ni informé ni saisi auparavant. LFI ne sera donc pas concernée par le plat de lentilles servi à O. Faure. Les insoumis ne sont pas engagés par la non-censure négociée par le PS" a écrit le le leader de La France insoumiseDu côté du RN, Marine Le Pen poursuit ce lundi son déplacement à Mayotte trois semaines après le passage dévastateur du cyclone Chido. Présente sur place depuis hier, la figure de proue du Rassemblement national a appelé l'exécutif à ne pas oublier "les promesses faites aux Mahorais" et a déploré que la stratégie du gouvernement "n'aille pas assez loin". "Sans régler le problème de l'immigration clandestine, rien ne sera utile", a-t-elle estimé dimanche, en référence notamment au droit du sol, qui est déjà largement encadré sur le sol mahorais, et ce à l'heure où le gouvernement est divisé sur ce point. Une façon pour la leader du parti d'extrême droite de mettre la pression sur l'exécutif. C'est également pour la cheffe de file des députés RN qui dans les colonnes du Parisien du 18 décembre déclarait se préparer à une élection présidentielle anticipée "par précaution", de montrer sa popularité sur place. En 2022, les Mahorais l'ont placé en tête du second tour de la présidentielle avec 59 % des voix. Deux ans plus tard, la liste de Jordan Bardella aux européennes a recueilli 51 % des suffrages.Alors quel budget pour la France en 2025 ? Le gouvernement vise 50 milliards d'euros d'économies pour 2025, avec des promesses de ne pas augmenter les impôts pour les ménages. Comment compte-t-il faire ? Enfin le remboursement des Prêts Garantis par l'État, est-il le grand oublié du débat sur le budget ? Environ un tiers de ces PGE, accordés à 700 000 TPE et PME entre 2021 et 2022, doit encore être remboursé, selon la Banque de France, qui indiquait par ailleurs, le mois dernier, que les défaillances d'entreprises ont battu un nouveau record sur l'année écoulée. Nous avons rencontré le patron de l'un d'entre elles. Les experts : - DOMINIQUE SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- GAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - MYRIAM ENCAOUA - Journaliste- présentatrice - LCP- BRICE TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages IpsosPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Le ministre de l'Economie Eric Lombard et sa collègue des Comptes publics Amélie de Montchalin recevront ensemble les socialistes ce matin. Tous les groupes parlementaires seront conviés ensuite, y compris RN et LFI Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 24 décembre - Gouvernement Bayrou : des revenants... et une majorité ?On prend les mêmes et on recommence. Après plusieurs jours d'intenses négociations, François Bayrou a dévoilé hier soir son gouvernement : 35 ministres et beaucoup d'anciens, à l'image d'Elisabeth Borne à l'Education, de Manuel Valls aux Outre-mer, ou encore de Gérald Darmanin à la Justice. Plusieurs figures du gouvernement Barnier sont maintenues, de Retailleau à l'Intérieur à Jean-Noël Barrot aux Affaires étrangères en passant par Rachida Dati à la Culture. À droite, peu de prises. Malgré un courrier du Premier ministre aux Républicains pour leur donner des gages sur l'autorité de l'État ou le redressement des finances publiques, Laurent Wauquiez n'a pas souhaité intégrer le gouvernement et déclare que les votes LR "se décideront texte par texte". Les nouveaux visages sont finalement minoritaires : l'ancien socialiste François Rebsamen arrive comme ministre chargé de l'aménagement du territoire, tandis qu'Eric Lombard, ancien directeur général de la Caisse des dépôts, prend le portefeuille de l'Economie. Il formera avec Amélie de Montchalin, son homologue aux finances, le duo chargé de redresser l'économie française. Une chose est sûre, François Bayrou aura échoué à élargir sa majorité au Parlement et se retrouve déjà sous la pression du RN que son prédécesseur. Marine Le Pen a d'ailleurs dénoncé sur twitter un gouvernement "qui s'appuie comme le précédent sur une absence manifeste de légitimité et une majorité introuvable".Moins de trois mois après avoir cédé sa place à Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur, Gérald Darmanin pose cette fois ses cartons à la Justice. Les deux anciens LR devraient poursuivre le coup de barre à droite sur les thèmes du trafic de drogue et de l'immigration. Une manière de couper l'herbe sous le pied au Rassemblement national. Bien qu'issus du même camp, les deux hommes portent des lignes différentes. Bruno Retailleau est un proche de Philippe de Villiers et François Fillon tandis que Gérald Darmanin s'est formé auprès de Nicolas Sarkozy, avant d'incarner l'aile droite de la macronie. Ils ont néanmoins appris à travailler ensemble lors de la dernière loi immigration, Gérald Darmanin s'appuyant sur Bruno Retailleau, alors chef des Républicains au Sénat, pour faire passer son texte. Le nouveau tandem devrait s'accorder sur une ligne de "fermeté et de rapidité dans l'exécution des réformes", comme l'assure un proche de Darmanin dans Le Parisien. Mais gare aux égos de ces deux fortes têtes.Loin de l'Élysée, des élus n'ont pas attendu la nomination du nouveau gouvernement pour "redresser les finances publiques", comme le souhaite François Bayrou. Dans les Pays de la Loire, la présidente du conseil régional, Christelle Morançais, ex-LR ralliée à Horizons, a décidé de couper 82 millions d'euros de subventions à la culture, aux sports et à l'égalité homme-femme, sur le budget 2025-2028. Bien plus que les 40 millions d'euros demandés par le gouvernement Barnier. À l'issue du vote, la numéro 2 du parti d'Édouard Philippe s'est défendue de tout excès de zèle : "C'est un budget d'économies, de choix politiques forts pour l'avenir et de recentrage sur nos compétences prioritaires". Planning familial, maisons de santé, clubs de sports, festivals… toutes ces structures ont accueilli le vote du budget avec effroi, le spectacle vivant pesant à lui seul plus de 150 000 emplois dans la région. Plus de 2 400 membres du réseau associatif et culturel local ont manifesté la semaine dernière pour dénoncer ces coupes budgétaires.Le nouveau gouvernement va-t-il pouvoir faire davantage que celui de Michel Barnier ? À quoi va ressembler la politique régalienne avec le duo Darmanin-Retailleau ? Et comment les efforts budgétaires réclamés par l'exécutif infusent déjà dans certaines régions ?Les experts : - Marc LAZAR - Historien et sociologue, professeur à Sciences po et à l'université Luiss (Rome)- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique – Le PointPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Avec Antoine de Montchalin, responsable de la Team jeunes et Janvier Hongla, responsable com de Holy Games le père Arnaud Bonnassies, coordinateur du 8 mai Nathalie et Vincent, auteurs, compositeurs de l'Hymne des Jeux Olympiques Chrétiens Un pour tous, tous pour Toi du groupe Coeur @ Coeur LouangeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:24 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Selon 60 millions de consommateurs le prix des jouets s'envole, la nomination d'Amélie de Montchalin à l'OCDE relance les soupçons de copinage, et deux français qui intègrent la nouvelle promotion de l'Agence spatiale européenne dont une femme, Sophie Adenot, c'est l'actu du jour !
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 16 septembre 2022.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix. Lucile Schmid, membre du comité de rédaction de la revue Esprit. L'ÉCOLOGIE ENTRE CONSENSUS ET GUERRE CIVILEAu milieu de crises énergétique et alimentaire, après une saison de canicules, d'incendies et de sécheresses, l'écologie s'impose comme une priorité dans toutes les études d'opinion. Si le GIEC appelait, début avril, à des mesures immédiates, radicales et dans tous les secteurs pour « garantir un avenir vivable », si la réponse du gouvernement français « progresse », elle reste « insuffisante », a averti le Haut Conseil pour le climat, dans son rapport annuel. Candidat à sa réélection, Emmanuel Macron, avait affirmé le 16 avril « la politique que je mènerai dans les cinq ans à venir sera écologique ou ne sera pas ». Il a installé à la tête du gouvernement une Première ministre directement chargée de la planification écologique et énergétique : Elisabeth Borne, ancienne ministre de la transition écologique lors du premier quinquennat. Dans son discours de politique générale à l'Assemblée nationale, le 6 juillet, elle a annoncé « des transformations radicales dans notre manière de produire, de nous loger, de nous déplacer, de consommer ». Toutefois, l'urgence écologique n'a été évoquée qu'en troisième position – après l'enjeu du pouvoir d'achat et le défi du plein-emploi. et Christophe Béchu, le nouveau ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, a été rétrogradé, dans l'ordre protocolaire, de la cinquième place occupée par sa prédécesseure, Amélie de Montchalin, à la dixième place. Autre innovation du gouvernement, la création d'un secrétariat général à la planification écologique, rattaché à la Première ministre afin d'aller « deux fois plus vite » pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.Dans l'opposition, La France Insoumise revendique de porter, tout autant sinon plus qu'Europe écologie les verts, un projet pour le climat, tandis que depuis leur échec à la présidentielle (4,63 %), les écologistes cherchent à réorganiser leur parti pour tenter de gagner des batailles politiques et plus seulement d'opinion. C'est l'enjeu de leur prochain congrès prévu le premier week-end de décembre. Déjà, un florilège de prémotions a commencé à voir le jour. La motion majoritaire, Grandir ensemble a lancé fin juillet une demande de « référendum d'initiative militante » invitant les 13.000 adhérents écologistes à se prononcer sur un « nouveau parti de l'écologie politique » pour en faire une « machine de guerre » électorale.Dans les médias, les tribunes en faveur de l'écologie se multiplient : des élus écologistes tels l'eurodéputée Karima Delli et le député du Val-d'Oise Aurélien Taché, appellent à s'appuyer sur les militants de terrain pour inventer une écologie renouvelée, radicale et pragmatique. D'autres militants de l'environnement, dont Corinne Lepage, appellent à faire émerger une écologie politique innovante, et regrettent que l'écologie politique, telle qu'elle est représentée en France, se réduise à un mouvement ancré à l'extrême gauche. A droite, certains plaident en faveur d'une écologie positive. A chacun son écologie.***EXTRÊME DROITE SUÉDOISE ET ITALIENNEEn Suède, à l'issue des élections législatives du 11 septembre, le bloc composé de la droite libérale conservatrice et de l'extrême droite l'a emporté avec 176 députés contre 173 pour le centre gauche et les Verts. Le parti d'extrême droite les Démocrates de Suède (DS) est devenu la première force à droite et le deuxième parti du pays derrière les sociaux-démocrates, avec 20,5 % des voix. Créé en 1988 par d'anciens néonazis du parti Reich nordique, le mouvement les Démocrates de Suède a connu une progression fulgurante : 5 % des suffrages en 2010, 12 % en 2018 et aujourd'hui plus de 20%. Pour la première fois dans l'histoire du pays, les sondages d'opinion indiquent que la criminalité est la principale préoccupation des Suédois. En cause, la multiplication, cet été, des règlements de comptes entre bandes criminelles et l'insécurité croissante dans les banlieues et dans les centres-villes qui ont contribué à relancer les Démocrates de Suède. Chef de SD depuis dix-sept ans, Jimmie Akesson n'a eu de cesse de critiquer « l'islamisation » du pays et de dénoncer « le laxisme » des gouvernements successifs dans le domaine de l'immigration. Dans ce pays, 20 % des 10 millions d'habitants sont nés à l'étranger, selon des statistiques officielles de fin 2021, soit un doublement en deux décennies. Le fait est que l'extrême droite n'est plus pestiférée comme elle l'a longtemps été, tant sur la scène politique que dans les médias suédois. « En Suède, lier immigration et insécurité a longtemps été perçu comme un discours extrémiste, voire dangereux. Ce n'est plus le cas », observe Anders Hellström, professeur associé à l'Institut de recherche sur les migrations et la diversité à l'université de Malmö. En politique étrangère, le SD a renoncé au « Swexit » mais reste fortement eurosceptique alors que la Suède accédera en janvier à la présidence de l'Union européenne.En Italie, la jeune leader d'extrême droite italienne Giorgia Meloni, caracole en tête des sondages pour les législatives du 25 septembre prochain. Elle pourrait devenir la première femme présidente du Conseil du pays. Son parti, Fratelli d'Italia, est crédité d'environ 25% des intentions de vote. Il domine la coalition de droite composée de la Ligue de Matteo Salvini (12,9%) et de Forza Italia de Silvio Berlusconi (11,4%). Son programme : la protection de la famille traditionnelle contre les droits LGBTQIA +, un souverainisme exacerbé contre le « danger chinois », un euroscepticisme virulent avec pour cible les technocrates bruxellois, enfin une lutte inflexible contre l'immigration qu'illustre son projet d'instaurer un blocus naval au large des côtes africaines. Elle refuse catégoriquement de retirer La flamme (fasciste) du Mouvement social italien qui trône sur l'emblème de Fratelli d'Italia. Si elle ne plaide plus pour la sortie de l'Union européenne et l'abandon de l'euro elle prône cependant une révision des traités pour recouvrer plus de souveraineté économique ainsi qu'une renégociation des priorités du plan de relance.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
UNE FRANCE INGOUVERNABLE ? – 20/06/22 Invités CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » NEÏLA LATROUS Journaliste politique - « France Info » PASCAL PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po Auteur de « Le populisme » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos C'est un séisme politique. Près de deux mois après avoir été réélu à la présidence de la République face à Marine Le Pen, Emmanuel Macron n'obtient pas la majorité absolue à l'issue des élections législatives de ce dimanche marquées par une forte abstention (53,7%). La coalition présidentielle compte désormais seulement 245 députés, loin des 289 élus nécessaires pour obtenir une majorité absolue, et très loin du score d'il y a cinq ans. En 2017, les marcheurs étaient plus de 350 dans l'hémicycle. Le chef de l'Etat perd également de nombreux lieutenants comme les ministres Amélie de Montchalin et Brigitte Bourguignon, le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand et le président du groupe LREM Christophe Castaner. Elue de justesse dans le Calvados, avec 2202 voix d'avance sur le candidat de la Nupes, la Première ministre Elisabeth Borne va devoir faire un remaniement gouvernemental et a appelé hier soir à construire une « majorité d'action ». Une main tendue aux élus Les Républicains et leurs alliés qui avec 74 sièges pourront faire et défaire les majorités au Parlement. Alors que vont-ils faire ? Le président des LR Christian Jacob, a assuré hier soir que son parti resterait « dans l'opposition » après ce second tour des élections législatives. Mais un peu plus tôt dans la soirée, le maire LR de Meaux, Jean-François Copé, avait dit souhaiter sceller un « pacte de gouvernement » avec Emmanuel Macron. La question devrait donc animer les rangs de la droite ces prochaines semaines. Autre élément inédit : la percée historique du Rassemblement national. Dimanche le parti d'extrême droite a réussi à confirmer son implantation, en particulier dans le Sud-Est et le Nord, et fait une entrée en force au Palais Bourbon. Jamais dans son histoire le parti de Marine Le Pen n'avait obtenu autant de députés : ils seront 89. « C'est une victoire pour le Rassemblement national. Nous entrons à l'Assemblée avec un très puissant groupe de députés. Nous sommes le premier parti d'opposition devant la France Insoumise » s'est félicitée la leader du RN. De son côté, le leader de la FI Jean-Luc Mélenchon s'est aussi réjoui des résultats de dimanche. « La déroute du parti présidentielle est totale. Nous avons réussi l'objectif politique nous nous étions donnés : faire tomber celui qui avec autant d'arrogance avait tordu le bras de tout le pays pour être élu sans que l'on ne sache pour quoi faire » a lancé le chef de file de la Nupes. Première force d'opposition, la coalition de gauche fait entrer 131 députés dans l'hémicycle. Une progression pour la gauche par rapport à 2017, avec l'arrivée de nombreux nouveaux visages. Mais quelle opposition veulent-ils mettre en place ? A quoi ressemblera le nouveau gouvernement ? Quels sont les nouveaux visages à entrer au Palais Bourbon ? Comment l'Assemblée nationale va-t-elle voter des lois ? Quelles alliances ? Avec qui ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
LÉGISLATIVES : SUSPENSE À L'ASSEMBLÉE – 17/06/22 Invités CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique - « Les Echos » AURÉLIE HERBEMONT Journaliste politique - « RTL » GUILLAUME DARET Grand reporter au service politique – « France Télévisions » JEAN-DANIEL LÉVY Directeur délégué - Institut de sondages Harris Interactive Tension maximale à 48 heures du vote des Français. Après des jours de bras de fer, invectives et dramatisation des enjeux, la campagne des législatives s'achève ce soir à minuit. Alors dans ces toutes dernières heures, les candidats multiplient déplacements et déclarations dans les médias pour tenter, pour la coalition présidentielle, de convaincre qu'il faut une majorité absolue à Emmanuel Macron, pour la Nupes, qu'une cohabitation est possible et souhaitable. Objectif pour chaque camp dans cette dernière ligne : mobiliser les électeurs et notamment les abstentionnistes qui ont représenté plus d'un électeur sur deux au premier tour et ont aujourd'hui entre leurs mains l'une des clés du scrutin. A gauche, on se tourne notamment vers les jeunes qui ont boudé à 70 % les urnes. La macronie, elle, cible, les reports de voix de droite comme de gauche espérant obtenir les 289 députés, seule ou avec ses alliés du Modem et d'Horizons, nécessaires pour constituer une majorité absolue. Mais pour l'heure, ce n'est pas fait et plusieurs ministres sont en ballotage défavorable. C'est le cas d'Amélie de Montchalin, ministre de la Transition écologique qui n'a obtenu que 31 % des voix au premier tour dans sa circonscription de l'Essonne face à Jérôme Guedj, candidat de la Nupes, arrivé en tête avec 38 % des suffrages. Une situation très incertaine pour la coalition présidentielle qui pousse les regards à se tourner vers Les Républicains. Car si Emmanuel Macron n'obtient qu'une majorité relative au palais Bourbon, il devra négocier un accord afin de pouvoir faire passer ses textes de loi au Parlement. Or les dernières projections évoquent 60 à 80 sièges au sein de l'hémicycle pour LR. Autre acteur qui pourrait s'inviter dans les débats parlementaires : le Rassemblement national. Présent au second tour dans plus de 200 circonscriptions, et avec 108 candidats en tête au premier tour, le parti de Marine Le Pen est quasi assuré d'obtenir un groupe dans la future Assemblée (15 députés) et a déjà réussi dimanche dernier à renflouer ses caisses. En effet lors du premier tour, chaque voix « exprimée » pour un candidat d'un parti politique rapporte 1,64 euro à ce parti. Et chaque voix récoltée définit une partie de son financement, ce pour une durée de 5 ans, jusqu'à la prochaine élection. Et peu importe que le candidat soit qualifié ou non pour le second tour. Pour toucher cette dotation publique, il suffit à ce parti de récolter au moins 1 % des suffrages sur au moins 50 circonscriptions et de rendre public ses comptes. Ainsi Ensemble (coalition présidentielle) devrait percevoir 9 606 400 euros, la Nupes (union de la gauche) 9 571 371 euros, le Rassemblement national de Marine Le Pen 6 977 746 euros, Les Républicains 3 888 130,04 euros, Reconquête d'Eric Zemmour 1 582 383, 52 euros. A cela viendra s'ajouter la manne du second tour. Si chaque voix exprimée cette fois ne vaut pas un euro, chaque député élu rapporte en plus 37 402 euros à son parti. Alors sur quoi déboucheront ces élections législatives ? Majorité absolue, relative, cohabitation ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
MACRON / MÉLENCHON : TOUT EST POSSIBLE ? – 13/06/22 Invités DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique NEILA LATROUS Journaliste politique - « France Info » MATHILDE SIRAUD Journaliste politique – « Le Point » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Pari réussi pour Jean-Luc Mélenchon. La percée de la gauche rassemblée derrière lui sous la bannière de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (Nupes) a bien eu lieu hier soir lors du premier tour des élections législatives. Ce tour de force s'est produit en dépit d'une très forte abstention, souvent préjudiciable à la gauche. 52,49 % des électeurs ne se sont en effet pas déplacés, dépassant ainsi les 51,3% du premier tour de 2017. Un nouveau record. La coalition de gauche fait jeu égal avec Ensemble !, le bloc de la majorité, d'après les résultats définitifs du ministère de l'Intérieur. La majorité dispose d'une très courte avance avec 25,75 % des voix contre 25,66 % des suffrages à la Nupes. Les deux ensembles politiques ne sont séparés que par 21 441 voix. Les deux blocs seront opposés dans 272 duels au second tour ainsi que dans cinq des huit triangulaires. En dépit de la très forte poussée de la gauche, les premières projections en termes de sièges à l'Assemblée, à prendre avec précaution, laissent entrevoir la victoire de Ensemble !. L'alliance de la Nupes pourrait en effet obtenir entre 150 et 190 sièges. Quant à celle d'Ensemble !, elle est créditée, selon les premières tendances de l'institut de sondage Ipsos-Sopra Steria, de 255 à 295 sièges. La majorité absolue ne lui est donc pas assurée. Le RN de Marine Le Pen réalise lui un très bon résultat, cumulant 18,7% des voix et lui permettant d'espérer obtenir dans une semaine un groupe de plusieurs dizaines de parlementaires, peut-être même le plus important jamais obtenu par le parti. Les Républicains font, avec 10,4 % des suffrages exprimés, meilleure figure qu'à la présidentielle. Ils bénéficient de l'ancrage local de nombreux candidats, mais enregistrent malgré cela un net recul par rapport à 2017. Le groupe qu'ils devraient obtenir à l'Assemblée, de 50 à 80 élus, pourrait toutefois constituer une force d'appoint non négligeable pour le camp présidentiel afin d'obtenir la majorité absolue. Au sein de cette majorité présidentielle, 15 ministres sont candidats à la députation. Et ce n'est rien de moins que leur avenir qui se joue. Car conformément à la consigne édictée par l'Élysée, tous les ministres candidats qui seraient battus aux élections législatives devront démissionner du gouvernement. A l'issue du premier tour, tous sont qualifiés. Gérald Darmanin est arrivé largement en tête dans la 10ème circonscription du Nord avec 39,11%. Le ministre de l'Intérieur, implanté à Tourcoing, commune dont il a longtemps été maire envisage le second tour avec sérénité. Même constat pour Damien Abad. En dépit des polémiques qui l'ont vu être accusé d'agressions sexuelles dans les jours qui ont suivi sa nomination au gouvernement, l'ancien patron des députés LR, aujourd'hui ministre des Solidarités, sera présent au second tour dans la 5ème circonscription de l'Ain. Pour d'autres, l'affaire est plus compliquée. Avec 35,81% des voix dans la 7ème circonscription de Paris, Clément Beaune est en ballottage défavorable. Le ministre délégué à l'Europe affrontera au second tour Caroline Mecary, de la Nupes, qui l'a devancé avec 40,43%. Dans la 6ème circonscription de l'Essonne, Amélie de Montchalin est également en mauvaise posture pour le second tour. Avec 31,46%, la ministre de la Planification écologique est distancée par son adversaire Nupes, Jérôme Guedj, qui obtient 38,31% des voix. Des symboles de la macronie sont eux d'ores et déjà éliminés. C'est le cas de l'ex-ministre du Logement Emmanuelle Wargon dans le Val-de-Marne ou encore de l'ancien patron de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer dans le Loiret. A l'extrême-droite, c'est la douche froide pour Eric Zemmour et Reconquête !. Le candidat ne passe pas la barre du premier tour dans la 4ème circonscription du Var. S'il a réuni 23,19 % des voix, ce sont les candidats de la majorité présidentielle et du RN qui se qualifient. Un nouvel échec politique. Guillaume Peltier, vice-président du parti, et député sortant de la 2ème circonscription du Loir-et-Cher, est également éliminé dès le premier tour avec 13,99 % des voix. Tout comme Stanislas Rigault, le président de Génération Zemmour et candidat dans la 2ème circonscription du Vaucluse, qui atteint tout juste 10,54 % des voix. Ensemble ! aura-t-elle une majorité absolue ? Jean-Luc Mélenchon peut-il encore espérer devenir Premier ministre ? Combien de ministres sont menacés de défaite au second tour ? Est-ce la fin de la carrière politique d'Eric Zemmour ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/