POPULARITY
durée : 00:57:54 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Des plages du Débarquement à la Lune, en passant par l'Ukraine, de nombreux jeux vidéo proposent de rejouer des conflits réels ou fictifs. Blockbusters comme productions à petit budget ne sont pas dénués de discours politique et peuvent être instrumentalisés à des fins de propagande. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Antony Dabila chercheur associé au Cevipof et à l'Institut d'Etudes de Stratégie et de Défense (Lyon-III-Jean Moulin); Olivier Mauco créateur de jeux vidéo et chercheur en sciences politiques, enseignant à l'Université Paris-Dauphine en économie du jeu vidéo, fondateur de l'Observatoire Européen des Jeux Vidéo ; Dimitri Megherbi philosophe, chercheur spécialisé dans l'analyse des jeux vidéo et le cinéma, chargé de cours à Sorbonne Nouvelle
L'émission 28 minutes du 22/12/2025 Du 22 décembre au 31 décembre, 28 minutes revient sur les thématiques incontournables et marquantes de l'année 2025 avec six émissions hors-série. Ce lundi 22 décembre, nous recevons Jérôme Fourquet, analyste et essayiste, directeur du département Opinion à l'IFOP, ainsi qu'Hélène Desplanques, autrice, réalisatrice et documentariste. La démocratie française semble s'être fragilisée ces dernières années : crise des gilets jaunes, dissolution, instabilité gouvernementale… La confiance des Français dans leur classe politique se retrouve affaiblie. Des écarts entre les générations se creusent aussi. Selon l'étude “Fractures Françaises” menée par le Cevipof en 2025, plus de quatre jeunes sur dix âgés de moins de 35 ans sont d'accord avec l'idée que d'autres systèmes politiques sont aussi bons que la démocratie. Alors, pourquoi les Français ressentent-ils cette fatigue démocratique et quelles sont les solutions pour y remédier ? Jérôme Fourquet est directeur du département Opinion de l'Ifop, un institut de sondages français. Il est l'auteur d'une “trilogie” qui analyse la recomposition du paysage sociétal et politique français : “L'Archipel français” (Seuil, 2019), “La France sous nos yeux” avec le journaliste Jean-Laurent Cassely (Seuil, 2021) et “La France d'après” (Seuil, 2023). Hélène Desplanques a réalisé, en 2024, un documentaire “Les Doléances”, sur les cahiers de doléances écrits après la crise des Gilets jaunes. Puis, Théophile Cossa s'intéresse à la manière dont fonctionnent les tunnels alors que rouvre ceux du Mont-Blanc et de Tende, dans les Alpes. Alix Van Pée revient sur les histoires de bijoux volés qui ont marqué l'année 2025 et interroge notre rapport à ces faits-divers particuliers. Enfin, retrouvez Intéressant de David Castello-Lopes ! 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 22 décembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
durée : 00:37:57 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - En 2022, dans le monde, plus de 2050 milliards d'animaux ont été tués pour l'alimentation humaine d'après l'association L214. Le courant antispéciste cherche notamment à changer notre sentiment de supériorité qui nous amène à faire souffrir chaque jour des êtres sensibles. - invités : Victor Duran-Le Peuch Créateur et animateur du podcast "Comme un poisson dans l'eau"; Réjane Sénac Directrice de recherche CNRS au Cevipof et enseignante à Sciences Po; Ariane Nicolas Journaliste à Philosophie Magazine, essayiste et autrice
durée : 00:37:57 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - En 2022, dans le monde, plus de 2050 milliards d'animaux ont été tués pour l'alimentation humaine d'après l'association L214. Le courant antispéciste cherche notamment à changer notre sentiment de supériorité qui nous amène à faire souffrir chaque jour des êtres sensibles. - invités : Victor Duran-Le Peuch Créateur et animateur du podcast "Comme un poisson dans l'eau"; Réjane Sénac Directrice de recherche CNRS au Cevipof et enseignante à Sciences Po; Ariane Nicolas Journaliste à Philosophie Magazine, essayiste et autrice
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteNos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 6 décembre 2025 - Lecornu : trois jours pour éviter le crashLa fin du calvaire budgétaire pour le gouvernement ? Les députés ont adopté hier en deuxième lecture la partie consacrée aux recettes du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, par 166 voix pour et 140 voix contre. Ce vote ouvre la voie à une adoption du texte d'ici à la fin de l'année. Si ce premier vote est un soulagement pour le Premier ministre Sébastien Lecornu, il n'est pas synonyme de la fin de l'épreuve. Mardi, l'Assemblée devra en effet se prononcer sur l'ensemble du PLFSS. Et l'issue est tout sauf certaine. L'incertitude est d'autant plus grande qu'Edouard Philippe, leader du groupe Horizons, jusqu'alors allié du gouvernement, n'a pas appelé à voter pour la partie recettes. Le gouvernement est parvenu à enregistrer une première victoire, mais qu'en sera-t-il mardi ?D'autant qu'hier, plusieurs mesures d'économies présentées ont été rejetées, en particulier le doublement des franchises médicales. Si beaucoup de Français sont rassurés, ce sont des économies en moins, ce qui était pourtant l'objectif initial de Sébastien Lecornu. La suspension de la réforme des retraites a également été voté. Une victoire pour le PS, et un compromis très difficile à digérer pour les macronistes, qui en avaient fait un totem.Alors qu'à l'Assemblée les luttes d'influence se poursuivent, dans les enquêtes d'opinion, Jordan Bardella écrase la concurrence. Le président du RN caracole en tête de tous les sondages, ce qui n'est pas sans créer de troubles au sein même de son parti. La situation agace Marine Le Pen. La cheffe de file du mouvement est plongée dans l'incertitude à cause du jugement en appel de sa condamnation pour détournement de fonds publics. Si son inéligibilité était confirmée, la route vers l'élection présidentielle lui serait barrée. En attendant le verdict, Jordan Bardella prend la lumière et le parti commence à se faire à l'idée qu'il sera son représentant dans la course à l'Elysée.Lors d'une séance de dédicace samedi dernier à Moissac, il a été ciblé par un homme qui lui a éclaté un œuf sur la tête. Le président du RN, bien que porté dans les sondages, suscite encore du rejet d'une partie de la population.Loin des tractations politiques, les habitants des territoires ruraux sont plus que jamais confrontés à la désertification médicale. L'accès aux soins est devenu un chemin de croix tant les établissements de santé ont disparu du paysage. Pour préserver une offre de soins, des associations amènent la santé jusqu'au domicile des habitants. Une équipe de C dans l'air s'est rendue à leur rencontre. Les Français, qui n'arrivent plus à se soigner, sont très inquiets pour l'avenir de notre système de santé.Le gouvernement peut-il faire adopter le PLFSS sans passer par le 49.3 ?Jordan Bardella peut-il prendre définitivement le leadership du RN à Marine Le Pen ?Les Français doivent-il s'inquiéter pour leur santé après le vote du PLFSS ?Nos experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- GAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges »- CARL MEEUS - Rédacteur en chef - « Le Figaro Magazine »
C dans l'air du 6 décembre 2025 - Lecornu : trois jours pour éviter le crashNos experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- GAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges »- CARL MEEUS - Rédacteur en chef - « Le Figaro Magazine »
A l'occasion de la publication de son livre “Faire de la France une démocratie” aux Éditions Passés Composés, l'essayiste revient sur l'étude du CEVIPOF qui met en lumière ce qui est devenu le problème numéro 1 des Français : les politiques. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est ce mercredi 3 décembre 2025, dans les journaux, les télés et les radios : une campagne publicitaire lancée par les filières de la volaille française. Le message, c'est que si l'on a moins consommé de foie gras depuis cinq ans, ce n'était pas un choix, c'était à cause de la grippe aviaire. 95% des Français se disent sensibles au bien-être animal. Mais si rien n'est trop beau pour les animaux domestiques qui ont droit à des calendriers de l'Avent, les animaux que l'on mange sont majoritairement issus de l'élevage intensif. Depuis une quinzaine d'années, des associations comme L214 rendent publiques des images volées dans les abattoirs où la maltraitance animale est visible. Des images qui choquent, mais qui ne révolutionnent ni les pratiques d'un secteur qui pèse lourd dans l'économie, ni le contenu des assiettes. Après les droits civiques au XIXè, les droits des femmes au XXè, le XXIè siècle sera-t-il celui des droits des animaux ? Avec : - Réjane Sénac, directrice de recherche CNRS au Cevipof et enseignante à Sciences Po, autrice de Par effraction, Rendre visible la question animale (Stock) - Romain Espinosa, chercheur en économie au CNRS, spécialiste des sujets liés à la condition animale, auteur de Comment sauver les animaux ? Une économie de la condition animale (PUF).
C dans l'air du 2 décembre 2025 - Budget: c'est maintenant que tout se joue!Alors que les débats sur la fiscalité font rage au Parlement, un rapport publié ce lundi par le Conseil des prélèvements obligatoires, un organisme indépendant rattaché à la Cour des comptes, jette un nouveau pavé dans la mare de la taxation du patrimoine.Dès son préambule, les experts du CPO partent d'un constat déjà largement documenté par les études économiques : le patrimoine progresse plus rapidement que les revenus, et il se concentre entre les mains de peu d'individus. Ainsi, les 10 % les plus riches détiennent 60 % du patrimoine total. Surtout, 1 % de la population détient 27 % de la richesse nationale.En réponse, ils défendent la nécessité d'une refonte globale de l'imposition du patrimoine, dont le montant total a atteint 113,2 milliards d'euros en 2024, l'un des plus élevés des pays membres de l'OCDE. Pour cela, ils mettent sur la table deux scénarios pour taxer les plus hauts patrimoines. Ces derniers proposent notamment de taxer les holdings et les liquidités qui s'y trouvent lorsqu'elles sont restées longtemps intouchées, les biens professionnels au moment de la transmission, une refonte du pacte Dutreil ou encore la création d'un impôt différentiel sur la fortune personnelle, s'inspirant du principe de l'impôt plancher défendu par Gabriel Zucman. Par ailleurs, les hauts patrimoines ne seraient pas les seuls concernés. Selon les Sages de la rue Cambon, l'épargne réglementée, c'est-à-dire les Livrets A ou les livrets de développement durable et solidaire (LDDS), devrait être réduite. Ils préconisent aussi « un rapprochement plus marqué de l'imposition des locations meublées et non meublées », ainsi qu'une « diminution des droits de mutation à titre onéreux », aussi appelés frais de notaire.Autant de pistes préconisées par le Conseil des prélèvements obligatoires qui pourraient raviver les débats alors que les discussions sur le projet de loi de financement de la Sécu recommencent ce mardi dans l'hémicycle de l'Assemblée, pour une seconde lecture. Le Premier ministre a reçu lundi, à Matignon, les responsables socialistes. À l'orée de dix jours cruciaux, chacun fait monter la pression sur l'autre. Le patron d'Horizons, Édouard Philippe, ce mardi matin, a ouvert la voie à un vote contre ou une abstention lors du bureau politique de sa formation.En décembre 2024, c'est sur le budget de la Sécu que Michel Barnier était tombé. Un an après, un vote en bonne et due forme, semble extrêmement complexe et certains commencent à évoquer l'idée d'un éventuel recours au 49.3. Mais le Premier ministre, Sébastien Lecornu, l'avait annoncé début octobre, répondant à une exigence du Parti socialiste : il n'utilisera pas l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer les textes budgétaires à l'Assemblée nationale.Alors, le gouvernement pourrait-il finalement avoir recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter l'un de ses textes budgétaires ? Que se passe-t-il si l'Assemblée nationale n'adopte pas le budget ? Quelles conséquences pour les finances publiques et les entreprises ? La construction du budget 2026 inquiète nombre de chefs d'entreprise, dont certains sont confrontés à d'importants problèmes de trésorerie du fait des retards de paiement dans le secteur public, notamment du côté des collectivités territoriales. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs d'entre eux.Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Nathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique - Le Point - Louis HAUSALTER - Journaliste politique – Le Figaro- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue, maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po
C dans l'air du 2 décembre 2025 - Budget: c'est maintenant que tout se joue!Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Nathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique - Le Point - Louis HAUSALTER - Journaliste politique – Le Figaro- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue, maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po
La droite se mobilise face à ce qu'elle considère comme un «entrisme islamiste» dans le pays. À quelques jours d'écart, le chef des députés Les Républicains Laurent Wauquiez a ainsi déposé une proposition de loi pour interdire le voile aux mineures dans l'espace public. Et un rapport sénatorial du même groupe politique dresse une série de recommandations comme l'interdiction du jeûne du ramadan aux moins de 16 ans. Pourquoi cette focalisation du débat sur l'islam ? Qu'est-ce que cela révèle ? Comment vit-on quand on est musulman aujourd'hui en France ? Pour en débattre : - Chantal Delsol, philosophe, romancière, éditorialiste, professeure émérite de Philosophie politique et membre de l'Institut, Académie des Sciences morales et politiques. Autrice du livre, Insurrection des particularités, éditions du Cerf - Claude Dargent, professeur à l'Université Paris 8, chercheur associé au Cevipof de Sciences Po, spécialiste des relations entre la politique et les religions.
La droite se mobilise face à ce qu'elle considère comme un «entrisme islamiste» dans le pays. À quelques jours d'écart, le chef des députés Les Républicains Laurent Wauquiez a ainsi déposé une proposition de loi pour interdire le voile aux mineures dans l'espace public. Et un rapport sénatorial du même groupe politique dresse une série de recommandations comme l'interdiction du jeûne du ramadan aux moins de 16 ans. Pourquoi cette focalisation du débat sur l'islam ? Qu'est-ce que cela révèle ? Comment vit-on quand on est musulman aujourd'hui en France ? Pour en débattre : - Chantal Delsol, philosophe, romancière, éditorialiste, professeure émérite de Philosophie politique et membre de l'Institut, Académie des Sciences morales et politiques. Autrice du livre, Insurrection des particularités, éditions du Cerf - Claude Dargent, professeur à l'Université Paris 8, chercheur associé au Cevipof de Sciences Po, spécialiste des relations entre la politique et les religions.
Polémiques autour du sondage de l'IFOP sur l'Islam en France. On en parle avec François Kraus, directeur du pôle politique et actualité de l'IFOP, et Jérôme Jaffré, politologue, chercheur associé au Cevipof.Tous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Ils et elles sont environ 35 000 en France. Les maires se réunissent cette semaine à Paris, à l'occasion du 107è Congrès de l'Association des maires de France (AMF). Si, à cinq mois des élections municipales, la majorité d'entre eux compte se représenter, le Congrès est l'occasion d'entendre leurs doléances. Difficultés administratives, manque de reconnaissance et incivilités marquent leur quotidien. Pour en débattre : - Marie Cau, ancienne maire de Tilloy-lez-Marchiennes qui, en janvier 2025, a décidé de jeter l'éponge - Martial Foucault, professeur des Universités à Sciences Po, chercheur au CEVIPOF, co-auteur de l'enquête «Malgré un goût d'inachevé, les maires repartent au combat» - Jean-Paul Vermot, maire de Morlaix.
Ils et elles sont environ 35 000 en France. Les maires se réunissent cette semaine à Paris, à l'occasion du 107è Congrès de l'Association des maires de France (AMF). Si, à cinq mois des élections municipales, la majorité d'entre eux compte se représenter, le Congrès est l'occasion d'entendre leurs doléances. Difficultés administratives, manque de reconnaissance et incivilités marquent leur quotidien. Pour en débattre : - Marie Cau, ancienne maire de Tilloy-lez-Marchiennes qui, en janvier 2025, a décidé de jeter l'éponge - Martial Foucault, professeur des Universités à Sciences Po, chercheur au CEVIPOF, co-auteur de l'enquête «Malgré un goût d'inachevé, les maires repartent au combat» - Jean-Paul Vermot, maire de Morlaix.
durée : 00:04:52 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Il n'y aura pas de crise des vocations aux prochaines élections municipales, en mars prochain. 7 maires sur 10 environ devraient se représenter selon une enquête publiée ce matin par le CEVIPOF, le centre de recherches de Sciences Po.
Histoire et mémoire sont omniprésentes dans la vie des États comme sur la scène internationale. Elles se déploient toutes deux sur le territoire du passé qu'elles ressuscitent chacune à sa manière, mais à des fins qui peuvent paraître opposées. Individuelle, collective, la mémoire peut être aussi refoulée, comme l'a été celle de la guerre d'Algérie, ou celle des «disparus» sous la dictature argentine. Elle peut être également manipulée ou «obligée» au travers de ce «devoir de mémoire» devenu omniprésent dans les années 1990, souvent invoqué pour la Shoah. À côté de la mémoire ou des mémoires, l'histoire a non seulement toute sa place, mais elle a un rôle, celui de sentinelle de la vérité, chargée de mettre le passé à bonne distance afin d'apaiser les éventuelles tensions. La réalité est parfois autre à constater combien l'histoire peut demeurer une arme de guerre fatale entre les mains de dictateurs qui y cherchent et leur légitimité et la justification de leur politique de conquête. Pour cette édition en partenariat avec la revue QUESTIONS INTERNATIONALES et son numéro intitulé « Le passé kidnappé ? », Invités : Sabine Jansen, rédactrice en chef de Questions Internationales, professeure de Relations internationales au CNAM et chercheuse associée à Paris Cité Paul Max Morin, docteur en Sciences politiques, chercheur au Center for the Sciences of Place and Memory de l'Université de Stirling au Royaume-Uni et associé au CEVIPOF de Sciences Po. Co-auteur avec Sébastien Ledoux de «L'Algérie de Macron. Les impasses d'une politique mémorielle», PUF Alexandre Sumpf, historien, professeur à l'Université de Strasbourg. «Les Soviétiques en guerre. 1939-1949», éd. Tallandier 2025.
C dans l'air l'invitée du 30 octobre 2025 avec Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'Institut Montaigne et essayiste.Selon le baromètre publié par le Figaro Magazine aujourd'hui, la cote de confiance d'Emmanuel Macron a chuté à 11 %, atteignant son plus bas niveau depuis le début du quinquennat. En un mois, le président perd 5 points, notamment chez les seniors et les retraités. Un président qui chute en popularité, dans une France qui doute. Selon l'enquête "Fractures françaises 2025" (Ipsos BVA), les Français sont en proie à un pessimisme record, et à la défiance politique. Pouvoir d'achat, déclassement social, déclin national : le diagnostic dressé par Ipsos pour la Fondation Jean-Jaurès, Le Monde, le Cevipof et l'Institut Montaigne est sans appel. 36 % des Français citent le pouvoir d'achat comme leur principale préoccupation, loin devant la délinquance, l'immigration ou l'environnement.Cette inquiétude nourrit un sentiment plus large de déclin. Neuf Français sur dix considèrent que le pays est en déclin, dont un tiers juge cette évolution irréversible. Jamais, depuis le lancement de l'enquête en 2014, le pessimisme n'avait atteint un tel niveau. La défiance politique est à l'unisson. Plus de huit Français sur dix estiment que les responsables politiques agissent pour leurs intérêts personnels. Et àpeine 20 % font confiance aux députés ou à l'Assemblée nationale.Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'Institut Montaigne et essayiste, est notre invitée. Elle analysera les résultats de l'enquête "Fractures françaises 2025", dont les résultats montrent également que 47 % des Français estiment que le Rassemblement national de Marine Le Pen est désormais « capable de gouverner le pays ».
Et si l'antispécisme n'était pas seulement une lutte contre, mais surtout un projet d'égalité ?Dans cet épisode enregistré en public pendant le festival Fluctuations, j'échange avec Réjane Sénac, directrice de recherche au CNRS, politiste au CEVIPOF et autrice de Par effraction – Rendre visible la question animale (Stock / Philosophie Magazine Éditeur).Nous discutons de la manière dont la question animale vient bousculer nos cadres politiques : qu'est-ce que l'égalité, la domination, la justice ? Qui est pris en compte dans la communauté politique, qui en est exclu ?On parle de nécropouvoir, de banquet spéciste, de killjoys, et de ce qu'il faut briser – symboliquement et parfois réellement – pour faire place à un monde plus juste.Car l'égalité dont il est question ici n'est pas la similitude ni le traitement identique.C'est un horizon politique de non-domination, fondé sur la prise en considération égale des intérêts de toustes, humains et non humains.Une égalité qui ne nie pas les différences, mais refuse leur instrumentalisation pour fonder une hiérarchie et une oppression.-
durée : 00:38:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que chaque jour en France, plus de 3 millions d'animaux sont tués dans les abattoirs, le courant antispéciste s'attelle à repenser notre rapport à l'animal, et à cette supériorité humaine qui nous amène à faire souffrir tous les jours des êtres sentients. - invités : Victor Duran-Le Peuch Créateur et animateur du podcast "Comme un poisson dans l'eau"; Réjane Sénac Directrice de recherche CNRS au Cevipof et enseignante à Sciences Po; Ariane Nicolas Journaliste à Philosophie Magazine, essayiste et autrice
durée : 00:38:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que chaque jour en France, plus de 3 millions d'animaux sont tués dans les abattoirs, le courant antispéciste s'attelle à repenser notre rapport à l'animal, et à cette supériorité humaine qui nous amène à faire souffrir tous les jours des êtres sentients. - invités : Victor Duran-Le Peuch Créateur et animateur du podcast "Comme un poisson dans l'eau"; Réjane Sénac Directrice de recherche CNRS au Cevipof et enseignante à Sciences Po; Ariane Nicolas Journaliste à Philosophie Magazine, essayiste et autrice
durée : 02:00:07 - Le 5/7 - À 5h45 : Martin Vey, pâtissier à Lyon. Lauréat de la praline d'or. À 6h20 : Anne-Charlène Bezzina, Constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université de Rouen et sciences po. Chercheur associée au CEVIPOF. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 02:00:04 - Le 5/7 - À 5H45, l'invité Déjà debout : Laurent Kadoch, gérant du café de la vieille porte à Montpellier. À 6H20 : Bruno Cautrès, politologue, chercheur CNRS au CEVIPOF, enseignant à Sciences Po. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:41 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Bruno Cautrès, politologue, chercheur CNRS au CEVIPOF, enseignant à Sciences Po, livre son analyse de la crise politique suite à la démission du Premier ministre Sébastien Lecornu. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La démission de Sébastien LECORNU, à la tête du gouvernement le plus éphémère de l'Histoire de France, aura été le début d'une journée de tractations, de coups de théâtre, de rebondissements, jusqu'au dernier en fin d'après-midi : Emmanuel MACRON décide de donner 48 heures au même Sébastien LECORNU pour mener d'ultimes négociations… Dernier espoir pour les uns, farce tragique pour les autres, c'est en tout cas le signe que la France s'enfonce dans une crise politique dont on se demande bien ce soir où est l'issue de secours… Nous allons en débattre avec nos invités :▶︎ Vincent MARTIGNY Historien, professeur de science politique à l'université de Nice et à l'Ecole Polytechnique, chercheur associé au CEVIPOF, membre du comité de rédaction du journal Le 1▶︎ Richard RAMOS Député Les Démocrates du Loiret, secrétaire général adjoint du Modem▶︎ Alexandre DEVECCHIO Journaliste, rédacteur en chef service débats au Figaro▶︎ Marine TONDELIER Secrétaire nationale des Écologistes, conseillère régionale des Hauts-de-France, élue d'opposition au conseil municipal de Hénin-Beaumont, autrice de « Demain, si tout va bien... » aux éditions Albin Michel (01.10.25)▶︎ Pauline DE SAINT REMY Directrice adjointe de la rédaction de Politico
La démission de Sébastien LECORNU, à la tête du gouvernement le plus éphémère de l'Histoire de France, aura été le début d'une journée de tractations, de coups de théâtre, de rebondissements, jusqu'au dernier en fin d'après-midi : Emmanuel MACRON décide de donner 48 heures au même Sébastien LECORNU pour mener d'ultimes négociations… Dernier espoir pour les uns, farce tragique pour les autres, c'est en tout cas le signe que la France s'enfonce dans une crise politique dont on se demande bien ce soir où est l'issue de secours… Nous allons en débattre avec nos invités :▶︎ Vincent MARTIGNY Historien, professeur de science politique à l'université de Nice et à l'Ecole Polytechnique, chercheur associé au CEVIPOF, membre du comité de rédaction du journal Le 1▶︎ Richard RAMOS Député Les Démocrates du Loiret, secrétaire général adjoint du Modem▶︎ Alexandre DEVECCHIO Journaliste, rédacteur en chef service débats au Figaro▶︎ Marine TONDELIER Secrétaire nationale des Écologistes, conseillère régionale des Hauts-de-France, élue d'opposition au conseil municipal de Hénin-Beaumont, autrice de « Demain, si tout va bien... » aux éditions Albin Michel (01.10.25)▶︎ Pauline DE SAINT REMY Directrice adjointe de la rédaction de Politico
La Moldavie s'apprête à vivre une élection législative décisive ce 28 septembre 2025, dont les enjeux dépassent largement le cadre national. La Moldavie, ce sont 2,6 millions d'habitants. Un pays enclavé entre la Roumanie et l'Ukraine. Une ex-république soviétique très majoritairement roumanophone qui ne bénéficie pas de la protection de l'OTAN, et est candidate à l'entrée au sein de l'Union européenne. Le Parti Action et Solidarité (PAS) de la présidente Maia Sandu affronte le Bloc électoral Patriotique (BEP) principale force pro-russe du pays. La campagne a révélé une fragmentation partisane et une montée de la défiance envers les élites. Le pays est en proie à des difficultés économiques et souffre d'une crise énergétique liée à la guerre en Ukraine et d'une vulnérabilité structurelle accentuée par l'émigration. L'enjeu du scrutin dépasse largement les contours de la nation candidate à l'UE, convoitée par le Kremlin et solidaire de l'Ukraine en guerre avec laquelle elle partage 940 km de frontière. L'élection est suivie de très près par la Russie qui a intensifié, ces dernières semaines, ses ingérences via des financements occultes, de la désinformation et des pressions notamment en Transnistrie et en Gagaouzie. Le scrutin représente un test crucial pour la démocratie et l'avenir européen de la Moldavie, véritable laboratoire des rapports UE-Russie dans l'espace post-soviétique. Entre les aspirations européennes de certains, les liens historiques et politiques avec Moscou, et les défis économiques et sociaux quotidiens, ces élections pourraient bien redessiner l'équilibre politique dans la région. Invités : Céline Bayou, chargée de cours à l'INALCO. Chercheure associée au Centre de Recherches Europes-Eurasie de l'Inalco et rédactrice en chef de «Regards sur l'Est» Florent Parmentier, secrétaire général du CEVIPOF de Sciences Po, chercheur associé à HEC. «La Moldavie face à son destin. Les enjeux d'une élection législative décisive», étude IFRI.
Una condena histórica: 27 años de cárcel para el expresidente Bolsonaro por golpismo. De poco le sirvieron al político ultraderechista las presiones de Trump con aranceles y sanciones a Brasil ante lo que calificó como “una caza de brujas”. Hoy nos preguntamos qué cartas puede jugar aún el expresidente ultraderechista, quién podría tomar su relevo y sobre todo, si hay "bolsonarismo" sin Bolsonaro. Nos acompañan en esta edición: -Willy Delvalle, periodista corresponsal en París, doctorando en la cátedra geopolítica de riesgo en la Escuela Normal Superior -Jean-Jacques Kourliandsky, director del Observatorio América en el Instituto Jean Jaurès -Thomás Zicman de Barros, doctor en el Centro de Investigaciones políticas SciencePo en Paris, el CEVIPOF. Coordinación editorial: Florencia Valdés Realización: Souheil Khedir,Jérémy Boucher, Steven Elsly Presenta: Carlos Herranz.
Una condena histórica: 27 años de cárcel para el expresidente Bolsonaro por golpismo. De poco le sirvieron al político ultraderechista las presiones de Trump con aranceles y sanciones a Brasil ante lo que calificó como “una caza de brujas”. Hoy nos preguntamos qué cartas puede jugar aún el expresidente ultraderechista, quién podría tomar su relevo y sobre todo, si hay "bolsonarismo" sin Bolsonaro. Nos acompañan en esta edición: -Willy Delvalle, periodista corresponsal en París, doctorando en la cátedra geopolítica de riesgo en la Escuela Normal Superior -Jean-Jacques Kourliandsky, director del Observatorio América en el Instituto Jean Jaurès -Thomás Zicman de Barros, doctor en el Centro de Investigaciones políticas SciencePo en Paris, el CEVIPOF. Coordinación editorial: Florencia Valdés Realización: Souheil Khedir,Jérémy Boucher, Steven Elsly Presenta: Carlos Herranz.
durée : 00:38:19 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Début septembre 2025 s'est tenue la NatCon, National Conservatism Conference, laboratoire idéologique du trumpisme en partie financé par l'entrepreneur milliardaire Peter Thiel. La Silicon Valley ne se contente plus d'innover, elle inspire désormais les programmes de la droite conservatrice. - invités : Arnaud Miranda docteur en théorie politique et chercheur associé au CEVIPOF ; Olivier Tesquet Journaliste à la cellule enquête de Télérama
durée : 00:38:19 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Début septembre 2025 s'est tenue la NatCon, National Conservatism Conference, laboratoire idéologique du trumpisme en partie financé par l'entrepreneur milliardaire Peter Thiel. La Silicon Valley ne se contente plus d'innover, elle inspire désormais les programmes de la droite conservatrice. - invités : Arnaud Miranda docteur en théorie politique et chercheur associé au CEVIPOF ; Olivier Tesquet Journaliste à la cellule enquête de Télérama
durée : 00:38:38 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - 26 % des Français déclarent avoir confiance dans les politiques, c'est 13 points de moins que l'Italie et 21 points de moins que l'Allemagne d'après le dernier baromètre du CEVIPOF dévoilé en février 2025. - invités : Camille Pascal Écrivain et haut fonctionnaire, ancienne plume de Nicolas Sarkozy et Jean Castex; Thierry Pech Directeur général de Terra Nova
durée : 00:38:38 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - 26 % des Français déclarent avoir confiance dans les politiques, c'est 13 points de moins que l'Italie et 21 points de moins que l'Allemagne d'après le dernier baromètre du CEVIPOF dévoilé en février 2025. - invités : Camille Pascal Écrivain et haut fonctionnaire, ancienne plume de Nicolas Sarkozy et Jean Castex; Thierry Pech Directeur général de Terra Nova
durée : 00:23:16 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - À quelques heures du vote de confiance convoqué par le Première ministre, Boris Ravignon, maire LR de Charleville-Mézières, Natacha Polony, journaliste et directrice de la nouvelle revue L'Audace et Jérôme Jaffré, politologue et chercheur associé au Cevipof, sont les invités du Grand Entretien. - invités : Boris Ravignon, Jérôme JAFFRE, Natacha POLONY - Boris Ravignon : Maire LR de Charleville-Mézières, Jérôme Jaffré : Directeur du Centre d'études et de connaissances sur l'opinion publique (CECOP), Natacha Polony : Journaliste Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:23:16 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - À quelques heures du vote de confiance convoqué par le Première ministre, Boris Ravignon, maire LR de Charleville-Mézières, Natacha Polony, journaliste et directrice de la nouvelle revue L'Audace et Jérôme Jaffré, politologue et chercheur associé au Cevipof, sont les invités du Grand Entretien. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 26 août 2025 – Le pari risqué de François BayrouLES EXPERTS :Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po, ancien directeur du CEVIPOF et spécialiste de sociologie électoraleDominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction des EchosNathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique du PointAnne-Charlène BEZZINA - Politologue, constitutionnaliste et maître de conférences en droit public
C dans l'air du 26 août 2025 – Bayrou: hara-kiri ou stratégie?« Bayrou s'auto-dissout ». La Une de Libération aujourd'hui reflète l'événement politique qui s'annonce le 8 septembre. En sollicitant ce jour-là un vote de confiance à l'Assemblée nationale, le Premier ministre prendra les devants en mettant son poste en jeu. Mais le RN et le NFP ont déjà annoncé qu'ils voteront contre. La chute de François Bayrou aura donc lieu dans deux semaines si aucun amendement au budget ne parvient à convaincre les oppositions.Le renversement du gouvernement semble toutefois déjà acté dans les esprits. Marine Le Pen en appelle à une nouvelle dissolution, la seule issue à ses yeux pour sortir de l'instabilité politique. Jean-Luc Mélenchon, lui, vise la destitution de Macron, « le responsable de la crise ». Il appelle de ses vœux un premier ministre insoumis, et au passage à une sixième République.Quelles seront les conséquences économiques de cette période qui s'annonce ? C dans l'air est allé à la rencontre de Michel Picon, le président de U2P, l'Union des Entreprises de Proximité. Il se dit « très inquiet » de la période d'instabilité à venir, la consommation risque de faiblir et d'aggraver les difficultés. Il rappelle que les acteurs économiques ont besoin de constance. Pour lui, François Bayrou a manqué d'habileté.Pendant ce temps, le mouvement « Bloquons tout » continue de se préparer. Leur journée d'action reste prévue le 10 septembre malgré la probable chute du gouvernement deux jours plus tôt. La rentrée risque d'être mouvementée car les taxis devraient eux se mettre en grève dès le 5, et les pharmaciens le 18. Des journées de mobilisation se préparent également dans les Hôpitaux de Paris et le secteur ferroviaire. Si les forces de gauche soutiennent « Bloquons tout », les syndicats restent prudents face à ce genre de mouvement spontané.Alors, est-il inévitable que Bayrou tombe le 8 septembre ? L'instabilité politique à venir plombera-t-elle l'économie ? Le pays sera-t-il à l'arrêt en septembre ?LES EXPERTS :Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po, ancien directeur du CEVIPOF et spécialiste de sociologie électoraleDominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction des EchosNathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique du PointAnne-Charlène BEZZINA - Politologue, constitutionnaliste et maître de conférences en droit public
Avec : Jean Viard, sociologue et directeur de recherches associé CNRS au CEVIPOF. - L'invité de l'actu, tous les jours au micro de Charles Magnien dans Apolline Matin sur RMC.
durée : 00:21:25 - L'invité de 8h20 - par : Céline Asselot - Lina Lainé, rédactrice en chef de l'Echo touristique et Jean Viard, sociologue et directeur de recherches associé CNRS au CEVIPOF sont les invités du 8h20 de France Inter. Ils sont co-auteurs du livre "Quand le tourisme s'éveillera" aux éditions de l'Aube. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Quasiment un quart de siècle : c'est la durée du règne des socialistes à la tête de la capitale française. Mais à l'approche des prochaines élections municipales, au printemps 2026, la classe politique s'agite : pour la mairie de Paris, une récente étude Elabe donne favorite Rachida Dati, l'actuelle ministre de la Culture, venue de la droite. Les électeurs ont-ils changé de bord politique ? Les dernières évolutions de la population parisienne vont-elles provoquer l'échec de la gauche ? Et de quelle gauche parle-t-on, d'ailleurs, quand on parle de la gauche à Paris ? Pour en débattre : - Ian Brossat, sénateur PCF de Paris candidat aux municipales 2026 à Paris et auteur du livre Airbnb, la ville ubérisée, éditions La ville brûle - Aurélien Devernoix, journaliste au service politique de RFI - Martial Foucault, professeur de Sciences politiques et chercheur au CEVIPOF, le Centre de recherches politique de Sciences Po qui a coordonné une enquête pour l'Association des Maires de France et publiée le 2 juillet « Le maire, figure de confiance dans une démocratie fragmentée ».
Quasiment un quart de siècle : c'est la durée du règne des socialistes à la tête de la capitale française. Mais à l'approche des prochaines élections municipales, au printemps 2026, la classe politique s'agite : pour la mairie de Paris, une récente étude Elabe donne favorite Rachida Dati, l'actuelle ministre de la Culture, venue de la droite. Les électeurs ont-ils changé de bord politique ? Les dernières évolutions de la population parisienne vont-elles provoquer l'échec de la gauche ? Et de quelle gauche parle-t-on, d'ailleurs, quand on parle de la gauche à Paris ? Pour en débattre : - Ian Brossat, sénateur PCF de Paris candidat aux municipales 2026 à Paris et auteur du livre Airbnb, la ville ubérisée, éditions La ville brûle - Aurélien Devernoix, journaliste au service politique de RFI - Martial Foucault, professeur de Sciences politiques et chercheur au CEVIPOF, le Centre de recherches politique de Sciences Po qui a coordonné une enquête pour l'Association des Maires de France et publiée le 2 juillet « Le maire, figure de confiance dans une démocratie fragmentée ».
durée : 00:38:13 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Après quatre mois de concertation engagée à l'initiative du Premier ministre, les discussions ont abouti à un "échec de la négociation", a annoncé la CFDT lundi 23 juin. Ce matin, nous tentons d'analyser les raisons de cet échec ainsi que les conséquences politiques qu'il pourrait entraîner - réalisation : Félicie Faugère - invités : Pierre Ferracci Président du Groupe ALPHA - Expert en relations sociales; Bruno Cautrès Politiste, chercheur CNRS au Cevipof, professeur à Sciences Po Paris; Mayada Boulos PDG de Havas Paris
durée : 02:00:10 - Le 5/7 - par : Mathilde MUNOS, Amaury Bocher, Elise Amchin - À 5h45 : Jérôme Zindy, vélo-reporter, l'occasion de “Mai à Vélo” À 6h20 : Bruno Cautrès, politologue et chercheur au CEVIPOF).
REDIFF - "Je vous demanderai de trancher" certains "sujets déterminants, car chacun d'entre vous aura un rôle à jouer". Emmanuel Macron a glissé, lors de ses vœux aux Français, l'hypothèse d'une consultation des citoyens durant l'année 2025. Quelle forme prendra cette consultation ? S'agira-t-il d'un référendum ou d'une convention citoyenne ? Quels seront les thèmes concernés ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Bruno Cautrès, politologue et chercheur au Cevipof. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - "Je vous demanderai de trancher" certains "sujets déterminants, car chacun d'entre vous aura un rôle à jouer". Emmanuel Macron a glissé, lors de ses vœux aux Français, l'hypothèse d'une consultation des citoyens durant l'année 2025. Quelle forme prendra cette consultation ? S'agira-t-il d'un référendum ou d'une convention citoyenne ? Quels seront les thèmes concernés ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Bruno Cautrès, politologue et chercheur au Cevipof. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pas un jour ne passe sans que le wokisme ne soit dénoncé dans le monde. Par les populistes en tête desquels le président américain Donald Trump ainsi que par une grande partie de la droite et de l'extrême-droite. Ils craignent de voir s'imposer un nouveau modèle de société dicté par une théorie des genres et une approche décoloniale. Le wokisme n'est-il qu'une construction de ses opposants ? Peut-on être anti-woke sans marqueur politique ? Le wokisme peut-il être positif ? Pour en débattre : - Réjane Sénac, politiste, directrice de recherche au CNRS, enseignante à Sciences Po au Centre de recherches politiques (Cevipof), autrice de Radicales et fluides : les mobilisations contemporaines (Presses de Sciences Po, octobre 2021) et de Comme si nous étions des animaux (éditions du Seuil, 2024)- Brice Couturier, journaliste, collaborateur à l'hebdomadaire Le Point, membre du Conseil scientifique du Laboratoire de la République, auteur du livre Ok Millenials (éditions de l'Observatoire, 2021) - Jean-Yves Pranchère, philosophe, professeur de théorie politique à l'Université libre de Bruxelles (ULB), co-auteur de la tribune Le «wokisme» est l'épouvantail par lequel on cherche à empêcher le débat rationnel sur les discriminations (parue dans Le Monde le 25 avril).
Pas un jour ne passe sans que le wokisme ne soit dénoncé dans le monde. Par les populistes en tête desquels le président américain Donald Trump ainsi que par une grande partie de la droite et de l'extrême-droite. Ils craignent de voir s'imposer un nouveau modèle de société dicté par une théorie des genres et une approche décoloniale. Le wokisme n'est-il qu'une construction de ses opposants ? Peut-on être anti-woke sans marqueur politique ? Le wokisme peut-il être positif ? Pour en débattre : - Réjane Sénac, politiste, directrice de recherche au CNRS, enseignante à Sciences Po au Centre de recherches politiques (Cevipof), autrice de Radicales et fluides : les mobilisations contemporaines (Presses de Sciences Po, octobre 2021) et de Comme si nous étions des animaux (éditions du Seuil, 2024)- Brice Couturier, journaliste, collaborateur à l'hebdomadaire Le Point, membre du Conseil scientifique du Laboratoire de la République, auteur du livre Ok Millenials (éditions de l'Observatoire, 2021) - Jean-Yves Pranchère, philosophe, professeur de théorie politique à l'Université libre de Bruxelles (ULB), co-auteur de la tribune Le «wokisme» est l'épouvantail par lequel on cherche à empêcher le débat rationnel sur les discriminations (parue dans Le Monde le 25 avril).
C dans l'air l'invité du 17 février : Bruno Cautrès, chercheur au Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof)Le dernier baromètre annuel du Cevipof révèle une défiance des Français envers le monde politique "à un niveau jamais mesuré". Seuls 26% des Français déclarent avoir confiance dans la politique. Selon cette étude, la France se distingue par son niveau de confiance extrêmement faible envers la politique. Seuls 26% des Français déclarent avoir confiance dans la politique, contre 47% en Allemagne et 39% en Italie. La défiance est particulièrement marquée envers le gouvernement, qui n'inspire confiance qu'à 23% des Français. Le baromètre révèle également une confiance basse envers les personnalités politiques : seuls 27% des Français font confiance à François Bayrou, alors que 43% des Italiens font confiance à Georgia Meloni et 53% des Allemands à Olaf Scholz. Il en ressort un net « désarroi démocratique » exprimé par les Français, selon la formule du Cevipof. Au terme d'une année de crise politique et budgétaire, la France se distingue en effet par un pessimisme très marqué. La défiance s'observe tout particulièrement vis-à-vis des organes de la démocratie représentative : 78 % des personnes interrogées remettent en cause la légitimité des représentants politiques, y compris ceux qui ont été élus. 71 % des personnes sondées estiment que la démocratie fonctionne mal, soit une progression de 3 points par rapport au dernier pointage. Bruno Cautrès, chercheur au Cevipof, est notre invité. Il analysera les résultats de ce baromètre, et ce qu'ils signifient, selon lui, pour notre démocratie.