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Raphaël Glucksmann, député européen "Place publique”, était l'invité de C'est pas tous les jours Dimanche, ce dimanche 6 juillet 2025. Une émission animée par Benjamin Duhamel tous les dimanches de 18h à 20 heures sur BFMTV.
durée : 00:04:50 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Une candidature commune en 2027 ? Les socialistes et les écologistes s'y engagent. Pas Jean-Luc Mélenchon, ni Raphaël Glucksmann, ni Fabien Roussel. Dans l'histoire de la gauche, victoire ne rime pas avec unité.
François Bayrou échappe à la censure. Les députés Rassemblement national disent se réserver sur le budget à l'automne. Dans un rapport, la Cour des comptes alerte : le report des efforts n'est plus possible. Dans l'actualité de la semaine, il y a aussi cette rencontre entre Nicolas Sarkozy et Jordan Bardella qui a irrité une partie de la droite, tandis que la gauche se réunissait en vue de la présidentielle de 2027 – sans Jean-Luc Mélenchon ni Raphaël Glucksmann.
A 10h, ce jeudi 3 juillet 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de : Mélenchon ou Glucksmann, qui est le meilleur à gauche ?
Au menu de la deuxième heure des GG du jeudi 3 juillet 2025 : "Contrôleurs aériens, une grève de nantis ?", "Mélenchon ou Glucksmann, qui est le meilleur à gauche ?" et "2 otages français inculpés et menacés de morts en Iran", avec Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique.
Gay Pride à Budapest : une démonstration de force face à Viktor Orbán À Venise, le mariage de Jeff Bezos attise la colère des habitants Marine Le Pen peine à officialiser son héritier politique Raphaël Glucksmann esquisse une ambition présidentielle pour 2027 Aix-en-Provence célèbre son maître Paul Cézanne
L'émission 28 minutes du 27/06/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Iannis Roder, professeur agrégé d'histoire dans un collège de Seine-Saint-Denis, Nesrine Slaoui, écrivaine et journaliste, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'Institut Montaigne, ainsi que la dessinatrice de presse Coco.2027 : Dominique, Gérald, Raphaël et les autres…Le nombre de candidats en lice pour l'élection présidentielle de 2027 ne cesse de grimper. Ce lundi 23 juin, Dominique de Villepin annonçait la création de son parti, La France humaniste. Le même jour, l'eurodéputé socialiste Raphaël Glucksmann présentait sa "vision pour la France" et posait ses jalons pour la course présidentielle. Mercredi, c'était au tour de Gérald Darmanin, qui n'a jamais caché ses ambitions présidentielles, d'annoncer une série de propositions censées "susciter le débat" au cours de l'été. Pourquoi y a-t-il tant de candidats alors que le premier tour de la présidentielle n'est que dans deux ans ? Donald Trump : dirigeant belliqueux ou futur Nobel de la paix ?Lors de sa campagne, Donald Trump jurait de mettre un terme aux "guerres éternelles de l'Amérique". Le président américain avait annoncé terminer la guerre en Ukraine "en 24 heures", mais il semble finalement n'avoir que peu d'influence sur ce conflit. S'il a bien réussi à instaurer un cessez-le-feu entre Israël et l'Iran en s'impliquant lui-même dans le conflit en frappant l'Iran. Donald Trump est-il un homme de guerre ou un homme de paix ? Nous recevons Alexandre Mare, commissaire de l'exposition consacrée à David Lynch à la galerie Duchamp d'Yvetot. Pour cette exposition, la facette cinématographique de David Lynch est mise de côté pour laisser toute la place aux lithographies surréalistes du réalisateur. Une cinquantaine d'œuvres, choisies par Alexandre Mare et David Lynch avant sa mort, y sont exposées jusqu'au 21 septembre. "La langue française n'est pas la propriété singulière de la France", a dit Jean-Luc Mélenchon le 18 juin lors d'un colloque sur la francophonie. Il n'en fallait pas plus pour provoquer l'ire du Garde des Sceaux Gérald Darmanin qui lui a rétorqué que "la langue française appartient aux Français". C'est le duel de la semaine de Marion L'Hour. Dans une énième outrance postée sur son réseau social Truth Social, Donald Trump s'est employé à menacer l'Iran. Le tube "Barbara Ann" des Beach Boys s'est transformé en "Bombing Iran", chanson parodique jalonnée d'appels à "transformer l'Iran en parking" ou à "mettre dans une boîte" Ali Khamenei. C'est le Point com de Natacha Triou. Mardi 24 juin, Zohran Mamdani a créé la surprise en s'imposant à la primaire démocrate pour le poste de maire de New York. Cet homme de 33 ans, arrivé aux États-Unis à l'âge de 7 ans depuis Le Cap, était encore inconnu des New-yorkais il y a quelques mois. Mais, la communication audacieuse de ce partisan de l'aile gauche des démocrates a payé. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur les nouvelles tractations entre Trump et Zelensky ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 27 juin 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Raphaël Glucksmann et Dominique de Villepin s'imposent comme les deux figures marquantes de la semaine. Le premier est en tête à gauche dans les intentions de vote, tandis que le second figure parmi les personnalités les plus populaires. Tous deux sont reconnus par les Français pour leur rôle international. Pour Ruth Elkrief, ce sont deux nouveaux entrants potentiels dans la course à 2027. L'Allemagne a décidé de s'endetter. C'est un fait politique et budgétaire exceptionnel en Europe. En 2024, le déficit allemand était maîtrisé, pratiquement inférieur à 3 %, et la dette représentait 64 % de son PIB. Dès cette année, le pays consacrera 115 milliards d'euros à l'investissement dans les infrastructures, et d'ici à 2029, ce montant atteindra 120 milliards par an. Pascal Perri constate qu'il se donne les moyens de leur politique. Zohran Mamdani a toutes les chances de devenir maire de New York. C'est un socialiste affilié au Parti démocrate. Abnousse Shalmani a remarqué qu'il fallait vraiment n'avoir jamais manqué d'argent dans sa vie. Selon elle, pour quelqu'un qui n'a jamais manqué d'argent, taxer ceux qui ont cravaché ne pose aucun problème. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Raphaël Glucksmann apparait de plus en plus comme un potentiel candidat à la présidentielle de 2027. Son parti, Place publique, entend d'affirmer davantage sur la scène politique et ne plus se laisser marginaliser par La France Insoumise. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 23 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un an après les Européennes, Raphaël Glucksmann a présenté aujourd'hui son projet de « vision pour la France ». 45 chantiers pour changer la vie des Français. Travail, écologie, éducation, santé. Mais, au présent il y a des sujets brûlants sur lesquels nous attendons son sentiment comme sur le conclave sur les retraites. Raphaël Glucksmann, Député européen et co-président du parti Place publique est notre invité.Des propositions élaborées par les adhérents de Place Publique mais aussi le fruit de vos rencontres avec les Français depuis plusieurs mois.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Nos invités du lundi 23 juin 2025 : 1er invité: Raphaël Glucksmann, Député européen et co-président du parti Place publique. Iran/Israël: Gérard Araud, diplomate, ancien ambassadeur de France aux États-Unis, ancien ambassadeur de France en Israël.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, la story de Mohamed Bouhafsi et le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
L'eurodéputé a présenté ce lundi sa vision pour la France. Une cinquantaine de mesures pour défendre une ligne à gauche différente de celle des Insoumis.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Marie Colombani et Géraldine Woessner réagissent au transfert de Léa Salamé de France Inter au 20h de France 2. Ils y voient un bouleversement dans le sort de l'élection présidentielle 2027 puisque l'amplification de la présence médiatique de Léa Salamé signifierait une invisibilisation de Raphaël Glucksmann dans la sphère politique, notamment au sein de la gauche. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouvez Cyril Hanouna et toute sa bande du lundi au vendredi de 16h à 18h sur Europe 1 ! Entouré de ses chroniqueurs, il revient sur l'actualité politique. Mais avec Cyril Hanouna, les auditeurs ont également la parole ! Pour réagir, n'hésitez pas : 01.80.20.39.21Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
C dans l'air du 10 juin 2025 - Surveillante poignardée : un "déferlement de violence insensé"Vers 9 h ce matin, alors que les gendarmes effectuaient un contrôle inopiné des sacs devant un collège de Nogent, en Haute-Marne, l'un des élèves, pour une raison encore inconnue, s'est jeté sur l'assistante d'éducation présente sur place et l'a poignardée à plusieurs reprises avant d'être maîtrisé par les forces de l'ordre. Grièvement blessée, la jeune femme, âgée de 31 ans, est décédée.Le suspect, Quentin G., âgé de 14 ans et inconnu des services de police, est actuellement entendu par les enquêteurs en garde à vue. Il devrait être examiné par un psychiatre. Des dispositions d'accompagnement ont été mises en place pour prendre en charge les élèves, leurs familles et le personnel de l'établissement. La ministre de l'Éducation nationale s'est rendue sur place en début d'après-midi. Interrogée sur le profil du suspect, Élisabeth Borne a parlé d'un "jeune qui ne présentait pas de difficultés particulières et qui était ambassadeur harcèlement". Elle a estimé qu'il faut une "réponse globale" face à ces drames. "On doit aussi agir sur la santé mentale", a expliqué la ministre, alors que les réactions dans la classe politique sont très nombreuses.Le président de la République a dénoncé ce matin sur X un "déferlement de violence insensé (…) La nation est en deuil". Cette mort "horrifie et elle nous glace", a réagi sur X la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale. Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a déploré une "abomination". "L'école est frappée par l'ultraviolence. Elle résiste, mais ne peut pas tout. On ne peut pas lui demander de réparer seule des décennies d'abandon civique, de désagrégation du lien social et de propagation de la violence", a écrit de son côté Raphaël Glucksmann. La présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale Marine Le Pen, pour sa part, a écrit sur X : "Pas une semaine sans qu'un drame frappe l'école. Désacralisation de la vie, banalisation de l'ultraviolence, encouragée par l'apathie des pouvoirs publics à y mettre fin, explosion du port d'armes blanches : les Français n'en peuvent plus et attendent une réponse politique ferme", a affirmé la leader d'extrême droite, sans en dire plus.Le Premier ministre, qui sera l'invité du 20 heures de TF1, a indiqué vouloir faire de "la menace des armes blanches chez nos enfants" un "ennemi public". Le 24 avril dernier, après une attaque au couteau à Nantes, François Bayrou avait fait renforcer les contrôles inopinés et les fouilles des sacs devant les établissements scolaires. Il avait également demandé "des propositions concrètes en matière de prévention, de réglementation et de répression pour endiguer le phénomène des violences commises par les mineurs avec des armes blanches". Un rapport avait été remis en mai avec une série de propositions : interdiction de la vente, directe comme en ligne, des armes zombies, vidéoprotection et interdiction des téléphones portables dans les établissements scolaires… Parallèlement, le gouvernement entend interdire l'accès aux réseaux sociaux aux mineurs de moins de 15 ans, en imposant aux plateformes la vérification de l'âge au moment de la création d'un compte. Mais il s'est heurté, pour l'instant, en Europe, à des questions techniques et de compatibilité avec le droit communautaire. LES EXPERTS :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - ALAIN BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- AUDREY GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- MARIE-ESTELLE PECH - Rédactrice en chef société à MariannePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
À partir du 27 mai, les adhérents du parti socialiste sont appelés à choisir leurs nouveaux dirigeants, avec comme point d'orgue le congrès de Nancy mi-juin, quelques jours après la désignation du Premier secrétaire. Et le choix des socialistes pourrait être déterminant dans une éventuelle union pour la présidentielle. Les trois candidats, Olivier Faure, Boris Vallaud et Nicolas Mayer-Rossignol semblent alignés en faveur d'une candidature commune en 2027, mais sur le papier seulement. Tout le monde au PS semble désormais d'accord : il faut une union de la gauche en 2027 sans les Insoumis. Après avoir longtemps défendu le rapprochement avec LFI, Olivier Faure a finalement rendu les armes ces derniers mois, « pour ne pas perdre son poste », persifle une de ses opposantes internes. Le nouveau périmètre va donc de la gauche radicale façon François Ruffin aux sociaux-démocrates de Raphaël Glucksmann, voire à la maigre aile gauche de la Macronie, en passant par les alliés écologistes et communistes. Consensus aussi sur l'espoir que le candidat commun en 2027 soit issu des rangs socialistes, mais la stratégie pour y arriver en revanche diffère.À lire aussiLes militants du Parti socialiste face aux divisions de leur partiDeux salles, deux ambiancesIl y a d'un côté les partisans du jeu ouvert et de l'autre, ceux qui prônent le passage en force. Olivier Faure par exemple reste sur la ligne qu'il tient depuis son arrivée à la tête du PS en 2018 : un candidat socialiste si possible, mais pas d'opposition de principe à céder la place. En revanche, du côté de Nicolas Mayer-Rossignol et ses alliés, François Hollande, Carole Delga ou Anne Hidalgo, la prééminence socialiste est une priorité. Une ligne qualifiée d'« identitaire » par les Fauristes et qui passerait par le rassemblement sous un même drapeau de toute la galaxie socialiste aujourd'hui dispersée : Bernard Cazeneuve, Raphaël Glucksmann ou certains ministres et élus macronistes.À lire aussiFrance: au sein du Parti socialiste, ces voix qui s'élèvent pour rompre avec LFILes alliés moyennement intéressés« Si c'est pour se faire marcher dessus comme avec les Insoumis, non merci », cingle un élu communiste. Pas beaucoup plus d'enthousiasme côté Écologistes, où les multiples alliances passées avec le PS n'ont pas laissé que de bons souvenirs. Beaucoup défendent donc l'idée d'une primaire très large, c'est-à-dire pas seulement avec des candidats désignés par les partis. « Sinon personne ne jouera le jeu », estime une ancienne Insoumise. Les Insoumis justement, qui regardent l'agitation avec amusement : « plus il y a de divisions au PS, mieux je me porte », rigole un député LFI. À moins qu'une position centrale émerge à l'occasion du congrès socialiste : le 3ème homme de l'élection, Boris Vallaud plaide pour « une union à toute force mais pas à tout prix ». Un peu flou pour certains : « tu ne pourras pas être éternellement la Suisse », a lancé cette semaine une haute dirigeante du PS au patron des députés socialistes.
di Massimiliano Coccia | in collaborazione con Linkiesta | Rassegna stampa del 18 04 2025 “Risvegliare l'Italia. La rivoluzione democratica di Raphaël Glucksmann: sconfiggere i sovranisti, ricostruire l'Europa” è il titolo del libro di Tomaso Greco, Roberto Sajeva e Marta Ottaviani sul politico francese e sulla sua ascesa nel progressismo europeo. Una conversazione con gli autori che ci aiuta a comprendere come la sinistra italiana possa vincere le sfide del futuro e creare una vera alternativa al bipopulismo.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
For nearly 140 years, she has stood in New York Harbor, torch held high, a symbol of freedom and hope. But last week, a French politician made headlines by saying they want her back. "Give us back the Statue of Liberty," Raphaël Glucksmann declared, arguing that America has abandoned the values she used to represent. He even quoted the famous poem inscribed at her base: "Give me your tired, your poor, your huddled masses yearning to breathe free."But here's the problem—those words were never part of the statue's original meaning. When France gifted the statue to the United States in 1886, she was named Liberty Enlightening the World. She was not meant to symbolize mass migration, but the ideals of ordered liberty—the kind of liberty that could only be sustained by a virtuous and free people. She was a monument to the political and spiritual inheritance of Christendom, a testament to the unique civilization that made true freedom possible.Yet over time, that meaning was rewritten. Lady Liberty was no longer a symbol of Christian self-government, but of open borders and a rootless, multicultural myth. So what happens when a nation forgets what made it free in the first place? Today, we're setting the record straight.This episode is brought to you by our premier sponsors, Armored Republic and Reece Fund, as well as our Patreon members and donors. You can join our Patreon at https://patreon.com/rightresponseministries or you can donate at https://rightresponseministries.com/donate.The Statue of Liberty was never meant to be a symbol of mass migration, yet somehow, that's the version of history we've been sold. How did we get here? How did a monument to liberty itself become a rallying cry for open borders? And more importantly—what does this shift reveal about the way modern America understands itself? Today, we're going back to the real history, breaking down the myth, and pointing toward a better vision.Let's get into it.*MINISTRY SPONSORS:*ENTER TO WIN 2 FREE TICKETS TO OUR APRIL 2025 CONFERENCE BY Signing Up For Private Family Bankings Email List1. Email Banking@privatefamilybanking.com2. Use Subject Line: April Ticket Giveaway3. Provide Your Full Name & Contact Phone Number4. Private Family Banking will be in touch for the winner of the tickets.*Private Family Banking*How to Connect with Private Family Banking:1. FREE 20-MINUTE COURSE HERE: https://www.canva.com/design/DAF2TQVcA10/WrG1FmoJYp9o9oUcAwKUdA/view2. Send an email inquiry to chuck@privatefamilybanking.com3. Receive a FREE e-book entitled "How to Build Multi-Generational Wealth Outside of Wall Street and Avoid the Coming Banking Meltdown", by going to https://www.protectyourmoneynow.net4. Set up a FREE Private Family Banking Discovery call using this link: https://calendly.com/familybankingnow/30min5. For a Multi-Generational Wealth Planning Guide Book for only $4.99, use this link for my affiliate relationship with "Seven Generations Legacy": https://themoneyadvantage.idevaffiliate.com/13.html*Reece Fund: Christian Capital - Boldly Deployedhttps://www.reecefund.com/*Dominion: Wealth Strategists* is a full-service financial planning and wealth management firm dedicated to putting more money in the hands of the church. With an education focused approach, they will help you take dominion over your finances.https://reformed.money/#immigration #christianity #america
(01:28) Het Vrijheidsbeeld moet terug naar Frankrijk. De Amerikanen hebben de ideologie waarvoor Lady Liberty staat verkwanseld en daarom moet het terug naar de schenker, aldus de Franse Europarlementariër Raphaël Glucksmann. Het beeld kijkt uit over de Big Apple, maar waarom eigenlijk? Te gast is Frankrijkkenner Rudi Wester. (09:55) Op 22 maart is de grote landelijke demonstratie ‘tegen racisme en fascisme'. Maar waar hebben we het eigenlijk over als het over fascisme gaat? En heeft het hedendaagse fascisme een andere gedaante dan het oer-fascisme van de jaren dertig? Historicus Daniël Knegt is te gast met zijn boek ‘Fascisme'. (23:35) De column van Nelleke Noordervliet (26:31) Het wordt nog altijd gezien als een van de grootste militaire kunststukjes ooit: in de derde eeuw voor Christus trok de Carthaagse generaal Hannibal met een leger olifanten de Alpen over om de Romeinse vijand in de rug aan te vallen. Wat drijft de mannen die zijn tocht opnieuw probeerden te beleven? Maarten Inghels schreef Hannibal & Gideon. Hij is te gast. (39:43) Bart Funnekotter bespreekt drie historische boeken: De geboorte van New York - Russell Shorto (vert. Catalien van Paassen, Willem van Paassen en Jan Willem Reitsma) Koks en kelners - Patricia van den Eeckhout Boulanger! - John-Alexander Janssen Meer info: https://www.vpro.nl/programmas/ovt/luister/afleveringen/2025/23-03-2025.html# (https://www.vpro.nl/programmas/ovt/luister/afleveringen/2025/23-03-2025.html)
Het Vrijheidsbeeld moet terug naar Frankrijk. De Amerikanen hebben de ideologie waarvoor Lady Liberty staat verkwanseld en daarom moet het terug naar de schenker, aldus de Franse Europarlementariër Raphaël Glucksmann. Het groene en kolossale beeld kijkt al sinds het einde van de negentiende eeuw uit over de Big Apple, maar waarom staat dit door Fransen gemaakte beeld daar eigenlijk? Te gast is Frankrijkkenner Rudi Wester.
L'émission du 21/03/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Iannis Roder, professeur agrégé d'histoire dans un collège de Seine-Saint-Denis, Julie Graziani, essayiste, Catherine Tricot, directrice de la revue “Regards” et le dessinateur de presse, Eric Truant.“Non” au retour à la retraite à 62 ans : François Bayrou s'est-il auto-censuré ?Le Premier ministre François Bayrou a exprimé publiquement son opposition à un retour de l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans, dimanche 16 mars. Cette prise de parole a mis en péril le dialogue entamé depuis trois semaines par les partenaires sociaux au sein du conclave pour rediscuter de la réforme des retraites de 2023 “sans tabou” ni “totem” "Les 62 ans, c'est la question centrale. En disant cela, non seulement le Premier ministre trahit sa parole, mais il trahit des millions de salariés qui se sont mobilisés pour l'abrogation de la réforme des retraites pendant six mois", a réagi Sophie Binet, la secrétaire générale de la CGT qui a annoncé quitter la table des négociations. François Bayrou avait promis aux socialistes de renégocier les conditions de la réforme des retraites pour éviter la censure de son gouvernement en janvier dernier. Cette déclaration du Premier ministre peut-il lui coûter son poste ? Israël-Hamas : à Gaza, qui a voulu la fin de la trêve ?Un peu moins de deux mois après l'entrée en vigueur de la trêve entre l'armée israélienne et le Hamas, Tsahal a repris mardi 18 mars des frappes massives dans la bande de Gaza. Selon la Défense civile palestinienne, le bilan actuel est de 504 morts parmi lesquels 190 mineurs. L'accord initial de la trêve prévoyait une phase 2 qui incluait un cessez-le-feu permanent et un retrait de l'armée israélienne de la bande de Gaza contre la libération de tous les otages restants. Benyamin Nétanyahou justifie la reprise des hostilités par “le refus répété” du Hamas de libérer les 58 otages encore retenus à Gaza dont l'armée israélienne suppose que 34 sont morts. Le Premier ministre israélien “considère que “la pression militaire” est indispensable pour obtenir la libération des otages. Cette démarche a déclenché une vague de manifestations en Israël et la colère des familles d'otages encore en captivité.Le journaliste Jean-Paul Vespini publie “Zola à Bicyclette, libre et dans le vent” (éditions Arthaud). Il y raconte l'engouement général pour la “vélocipédie” qui saisit l'auteur Émile Zola et ses contemporains issus des élites intellectuelles à la fin du 19e siècle, de Guy de Maupassant à Colette, en passant par le prince de Sagan ou Maurice Leblanc. La bicyclette a eu plusieurs conséquences sur la société comme le développement de l'industrie ou la libération des femmes par le port du pantalon.Le gouvernement souhaite inscrire à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale l'étude d'une loi, déjà votée en février par le Sénat, prévoyant d'interdire le port du voile lors des compétitions sportives. Cette proposition est défendue par Bruno Retailleau qui estime qu'“un terrain de sport ne doit pas être un lieu d'entrisme religieux, d'entrisme politique”. La ministre des Sports Marie Barsacq a mis en garde contre les “confusions” et les “amalgames”, entre le port du voile et la radicalisation dans le sport. C'est le duel de la semaine de Valérie Brochard.Lors d'un congrès de militants de son parti Place publique, l'eurodéputé Raphaël Glucksmann, a appelé les États-Unis à rendre à la France la Statue de la liberté. Il juge que le pays n'est plus digne des valeurs du monument. Outre-Atlantique, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a souhaité lui rappeler, lors d'une conférence de presse, que “si les Français ne parlent pas allemand aujourd'hui, c'est uniquement grâce aux États-Unis”. C'est le Point com de Paola Puerari.Le dessinateur Jul s'est indigné en apprenant que l'Éducation nationale allait annuler l'impression des 900 000 exemplaires de sa BD reprenant le conte “La Belle et la Bête”. Initialement destiné à tous les CM2, l'ouvrage ne serait finalement “pas adapté à l'approche éducative attendue” pour des élèves de 10 à 11 ans, selon la directrice générale de l'enseignement scolaire, Caroline Pascal. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur l'entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 mars 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Le chef du parti "Place publique" Raphaël Glucksmann a déclaré ce lundi 17 mars à l'attention des américains : « Rendez-nous la statue de la Liberté ». Florian Gazan s'est donc demandé d'où venait donc cette fameuse statue, et ce qu'elle signifie. Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Passe d'armes entre R. Glucksmann et la Maison Blanche G. Darmanin : "Je crains davantage LFI que le RN". Et vous ? Papier toilette lavable : crado ou écolo ?
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
C dans l'air du 10 mars 2025 - Russie : la réalité de la menaceDans son allocution télévisée mercredi dernier, le chef de l'Etat a mis en garde contre "l'agressivité" de Moscou "qui ne semble pas connaître de frontières" et face à laquelle "rester spectateur serait une folie". Une analyse sur la réalité de la menace russe et la nécessité de mettre en œuvre une défense européenne, alors que les Etats-Unis ont décidé de se désengager d'Ukraine, que ne partage pas l'ensemble de la classe politique. Si les socialistes et les écologistes soutiennent la fermeté de la France face à Vladimir Poutine et l'effort de réarmement annoncé, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont beaucoup plus ambigus. Le chef de fil des Insoumis défend une stratégie de "non-alignement " et une "diplomatie altermondialiste", contre "les fanfaronnades guerrières ". Il s'oppose comme la leader du RN à la constitution d'une défense européenne puisque selon eux, la Russie ne menace pas la France, ni le reste de l'Europe, hors l'Ukraine. "Il y a peu de chances que la Russie ambitionne de venir jusqu'à Paris" avait lancé ironique ces derniers jours Marine Le Pen appelant à une paix rapide en Ukraine sans exiger de garanties de sécurité précises. Et si ces derniers jours, la Russie de Vladimir Poutine intensifie ses bombardements sur fond de suspension par les Etats-Unis du partage de renseignement américain avec l'Ukraine, pour Marine Le Pen le véritable "va t'en guerre", c'est Emmanuel Macron, et Donald Trump "tient ses promesses".Ce qui en fait "une patriote de papier" et "d'une certaine façon une adversaire de l'intérieur", selon les mots du patron du PS, Olivier Faure dimanche. De son côté, l'eurodéputé Raphaël Glucksmann qui s'est dit en "confrontation absolue" avec Jean-Luc Mélenchon sur le sujet, a dénoncé "une tentation munichoise, une tentation défaitiste, une tentation de la capitulation". L'ancien président de la République socialiste François Hollande a pour sa part jugé Emmanuel Macron "lucide" sur la menace russe mais l'a jugé "trop discret" sur le "lâchage de l'Ukraine par Donald Trump parce que, en réalité, c'est en ce sens qu'il y a un risque pour la sécurité du continent européen".Dans une interview accordée à La Tribune Dimanche ce 9 mars, le ministre des Armées a annoncé qu'il réunira la semaine prochaine les présidents de groupes parlementaires pour évoquer la brûlante question de la sécurité européenne lors d'une réunion en huis clos avec l'état-major et le renseignement. "Je considère que l'on ne peut pas laisser des responsables politiques, et même demain des candidats à l'élection présidentielle, trop loin des réalités du monde", a souligné Sébastien Lecornu estimant que ce briefing est nécessaire pour la bonne tenue du débat démocratique sur la stratégie de la France. "Ceux qui nient la menace russe se trompent et engagent leur crédibilité pour l'avenir car leurs propos vieilliront mal" a-t-il ajouté, préconisant d'augmenter le de budget de la défense à hauteur de 100 milliards d'euros par an. Avant cette réunion avec les présidents de groupes parlementaires, le ministre recevra ce mercredi ses homologues des quatre autres poids lourds militaires européens - Allemagne, Italie, Pologne, Royaume-Uni - pour "coordonner leur action en soutien à Kiev".Pour rappel, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a récemment annoncé un "plan de 800 milliards d'euros en faveur de la défense européenne". La course à l'armement s'intensifie en Europe. Une bonne nouvelle pour l'industrie française, parmi les leaders de l'armement dans le monde, mais aussi pour l'industrie turque. Sous l'impulsion d'Erdogan, la dépendance de l'armée turque au matériel étranger est tombée de 70 % à 30 %. Son industrie de la défense compte aujourd'hui 2 000 entreprises, emploie 100 000 salariés et exporte ses produits dans près de 170 pays, notamment ces célèbres drones Bayraktar (le porteur de drapeau", en turc) utilisés par l'armée ukrainienne contre les Russes.Des troupes ukrainiennes qui se trouvent actuellement en difficulté sur le front, alors que Volodymyr Zelensky est attendu ce lundi 10 mars en Arabie Saoudite à la veille de la rencontre avec la diplomatie américaine pour discuter d'un éventuel accord de paix avec la Russie. Alors quelle est la réalité de la menace russe ? Les experts :- JAMES ANDRE - Grand reporter – France 24- DAPHNÉ BENOIT - Cheffe du pôle international - AFP- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro - PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationaleUniversité Catholique de Lille PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C'est à la Une du Parisien Dimanche : trois drapeaux qui flottent au vent : drapeaux français, européen et ukrainien, c'est « le réveil de l'Europe », titre le journal, qui a interrogé le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, lequel se montre ferme : « Ne nous laissons pas intimider », dit-il. « La France pourrait-elle entrer en guerre ? » lui demande le journal : « notre objectif est d'assurer une paix durable sur le continent européen », répond prudemment le chef de la diplomatie française, selon lequel « nous obtiendrons cette paix en nous donnant les moyens de dissuader la menace ». La Tribune Dimanche, de son côté, a interviewé Sébastien Lecornu. « Ceux qui nient la menace russe se trompent », estime le ministre des armées. Les États-Unis sont-ils toujours les alliés de la France ? « Je les considère toujours comme des alliés, en dépit de leur grande imprévisibilité », assure le ministre. Quant aux intentions côté russe, la méfiance est de mise : « ils ciblent notre démocratie et notre économie », accuse Sébastien Lecornu.Menace contre la démocratieC'est aussi avec la guerre en Ukraine en toile de fond que le Nouvel Obs a interrogé Raphaël Glucksmann. Le député européen, intellectuel de gauche, opposant de longue date à Vladimir Poutine, fait la Une de l'hebdomadaire, à l'occasion d'une grande interview. « Nous avons un ennemi », explique Raphaël Glucksmann, « Poutine, qui incarne une menace directe contre nos démocraties. Il soutient les mouvements d'extrême droite partout en Europe, attaque nos infrastructures stratégiques. Sa cible, c'est l'existence même de cette Union Européenne qui garantit la paix et la liberté sur le continent ». Mais pour Raphaël Glucksmann, pas question de baisser les bras. « Nous avons les moyens d'agir, de devenir une puissance avec laquelle il faut compter », assure-t-il. « Nous n'avons pas à être les serpillères sur lesquelles les empires s'essuient les pieds ». Le député européen n'est est pas pour autant moins inquiet. Et rappelle : « cela fait vingt ans que j'alerte sur le fait que la guerre va revenir dans nos vies, parce que nous avons affaire à un régime fasciste, la Russie de Poutine qui fonde sa dynamique interne sur l'expansionnisme et l'exaltation nationaliste ».Quelle opposition ?Nous allons à présent aux États-Unis, où se pose la question de l'opposition à Donald Trump. Question posée par l'Express. « Qui pour freiner le 47ème président ? » demande l'hebdomadaire, selon lequel « l'opposition peine à s'organiser et à se faire entendre ». Il y a bien quelques manifestations ici et là, mais aucun mouvement de grande ampleur. « Le Parti démocrate est aux abonnés absents » explique l'Express. « Il n'a pas de vrai leader, est divisé entre centristes et progressistes, et semble incapable d'articuler un message efficace contre le rouleau compresseur républicain ». « Le seul qui se fait entendre » remarque l'hebdomadaire, « c'est le sénateur du Vermont, Bernie Sanders, ex- candidat à la présidentielle. À 83 ans, il s'est lancé dans un tour des états conservateurs et fait salle comble. « Le trumpisme ne va pas être vaincu par les hommes politiques de Washington », harangue-t-il, mais par vous, les électeurs ! » La contestation contre Trump n'en est donc encore qu'à ses débuts, mais « à mesure que les effets des licenciements de fonctionnaires et des suppressions de subventions publiques vont se faire sentir, la grogne pourrait s'amplifier », estime l'Express qui cite Marc Cuban. Ce milliardaire « hostile à Trump » assure ainsi : « les gens commencent à comprendre que le chaos n'est pas bénéfique pour le pays ». Tableau d'honneurNous ouvrons à présent le Point, qui fait sa Une sur « le pouvoir des femmes ». À l'occasion de la Journée internationale pour les droits des femmes, l'hebdomadaire annonce « un état des lieux en France et dans le monde (…) Quel est leur vrai pouvoir dans l'économie, la politique, dans le top 50 de l'industrie culturelle, dans le tableau d'honneur des scientifiques ? » interroge le Point. L'hebdomadaire dresse de nombreux portraits d'entrepreneuses, qui brillent dans la mode ou le monde du football, de patronnes de sociétés fleurissantes, de scientifiques. Cela va de la chanteuse américaine et milliardaire Taylor Swift à l'astronaute française Sophie Adenot. Autant dire que les femmes puissantes ne manquent pas, même si elles ont souvent dû faire face à une forme d'hostilité ou d'ignorance du côté des hommes… Exemple avec Laura Chaubard, la directrice de la prestigieuse École polytechnique. « Je ne compte pas le nombre de fois où on m'a prise pour la secrétaire du service » raconte-t-elle. Graphiques à l'appui, le Point nous explique qu'il faudra encore beaucoup d'efforts pour que les femmes soient aussi nombreuses que les hommes aux postes à responsabilité. Sans oublier les inégalités salariales, toujours d'actualité. Les femmes de pouvoir mises à l'honneur par le Point, car, nous dit-on, « rien n'est plus efficace que les rôles modèles qui font rêver ». Tout de même, les autres femmes, celles qui ne font (peut-être) pas rêver, peuvent, elles aussi être des modèles...
durée : 00:22:22 - L'invité de 8h20 - Aujourd'hui dans le grand entretien, nous recevons Raphaël Glucksmann, député européen “Place publique”, membre de la Commission des affaires étrangères, et membre de la Commission du commerce international.
L'émission 28 minutes du 07/03/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : l'historien Pascal Blanchard, l'essayiste, docteur en philosophie et spécialiste de géopolitique Jean-Loup Bonnamy, l'éditorialiste Isabelle Saporta ainsi que le dessinateur de presse et président de “Cartooning for Peace” Kak.Retour sur deux actualités de la semaine :Voitures électriques : l'Europe appuie sur le frein ?La présidente de la Commission européenne a annoncé, lundi 3 mars, un assouplissement des règles concernant les constructeurs automobiles européens qui devaient atteindre des objectifs de réduction des émissions de CO2 en 2025. Ces objectifs seront lissés sur trois ans, au lieu d'un an, il n'y aura donc pas d'amende cette année. Depuis le 1er janvier, les émissions moyennes des véhicules vendus ne devaient pas dépasser 81 grammes de CO2 par kilomètre. Afin d'atteindre cet objectif, la part de voitures électriques vendues devrait correspondre à 22 % des ventes totales, pour compenser les émissions des voitures thermiques plus polluantes. Or, depuis quelques mois, les ventes de voitures électriques stagnent en Europe, notamment en raison de leur prix élevé. L'Union européenne a donc choisi de favoriser la sauvegarde de l'industrie automobile européenne qui est “en danger de mort”, selon le vice-président de la Commission Stéphane Séjourné. Ce mécanisme de flexibilité doit encore être approuvé par le Parlement européen et le Conseil. En France, une fracture politique entre “va-t-en-guerre” et “capitulards” ?Dans une allocution solennelle, mercredi 5 mars, le président Emmanuel Macron a clairement désigné l'adversaire de l'Europe. “Le menace russe est là”, a-t-il affirmé d'un ton grave, à l'heure où les États-Unis ont entamé un désengagement en Ukraine. Le président français a notamment proposé l'envoi de forces européennes sur place une fois que la paix serait signée et l'élargissement du parapluie nucléaire français à ses voisins européens. Une position partagée par les socialistes, dont Raphaël Glucksmann qui a rappelé la nécessité de “bâtir une défense européenne face à Poutine”. À l'inverse, Marine Le Pen a estimé que “l'envoi de troupes françaises combattantes sur le sol ukrainien [était] une folie”. Pour le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon : “À cette heure, la guerre est perdue pour les Européens.”L'historienne Dominique Veillon publie “La vie quotidienne sous l'Occupation”, un livre issu de la collection “50 objets racontent” aux éditions Eyrolles. Entre 1939 et 1945, une partie de la France est sous occupation allemande. Au moment où les difficultés s'accumulent pour la population, certains objets, prescrits par l'ennemi ou le gouvernement, deviennent des préoccupations journalières. En s'appuyant sur une sélection d'objets emblématiques, souvent inédits et issus de collections publiques et privées, Dominique Veillon nous replonge au cœur des heures sombres de l'histoire de France.Dans un entretien accordé à la chaîne conservatrice américaine Fox News, le vice-président J.D. Vance a affirmé que la signature d'un accord minier avec l'Ukraine lui apporterait plus de garanties de sécurité que “20 000 soldats envoyés par un pays quelconque qui ne s'est pas battu depuis trente ou quarante ans”. Sébastien Lecornu, le ministre français de la Défense, lui a répondu en saluant la mémoire des 600 soldats français morts pour la France depuis la fin de la guerre d'Algérie. “Nous respectons les vétérans de tous les pays alliés, nous entendons que les nôtres le soient aussi”, s'est-il indigné à l'Assemblée nationale. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Depuis l'altercation entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump à la Maison Blanche, le boycott des marques américaines lancé au Canada se diffuse en Europe. Les appels et initiatives, notamment français, se multiplient sur les réseaux sociaux. Un boycott pourrait-il réellement fonctionner et avoir un impact notable ? C'est le point com de Paola Puerari.Le Centre Pompidou, à Paris, ferme ses portes lundi 10 mars pour une durée de cinq ans, le temps de travaux de rénovation et de désamiantage. Inauguré en 1977, le musée possède la plus grande collection d'œuvres d'art moderne du monde avec le “Museum of Modern Art” de New York. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur le récent discours de Donald Trump devant le Congrès américain ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 07 mars 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
durée : 00:23:52 - 8h30 franceinfo - Le député européen et co-président du parti Place publique était l'invité du "8h30 franceinfo", samedi 1er mars 2025.
"L'entente Trump-Poutine, ce n'est pas l'effondrement de l'Ukraine mais de l'Europe" : écoutez le cri d'alarme de Raphaël Glucksmann, député européen (groupe Alliance progressiste des socialistes et démocrates), co-président de Place publique. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 février 2025.
"L'entente Trump-Poutine, ce n'est pas l'effondrement de l'Ukraine mais de l'Europe" : écoutez le cri d'alarme de Raphaël Glucksmann, député européen (groupe Alliance progressiste des socialistes et démocrates), co-président de Place publique. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 février 2025.
L'émission 28 minutes du 24/01/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Pierre Jacquemain, rédacteur en chef de l'hebdomadaire “Politis” ; Isabelle Saporta, essayiste et éditorialiste ; l'essayiste Julie Graziani et le dessinateur de presse Thibaut Soulcié. Retour sur deux actualités de la semaine : Projet de loi sur la fin de vie : Bayrou amorce-t-il un recul ? Alors que le projet de loi sur la fin de vie doit être à nouveau examiné par l'Assemblée nationale, le Premier ministre François Bayrou montre des signes de réticence sur la question de l'aide à mourir. Porté l'an dernier par le gouvernement de Gabriel Attal, son examen avait été interrompu net par la dissolution. Ce projet de loi comportait deux grands axes : l'amélioration des soins palliatifs et la possibilité de recourir à l'aide à mourir. François Bayrou a annoncé cette semaine sa volonté de scinder le texte selon ces deux grandes parties : les deux mesures seraient ainsi examinées séparément. Certains, dont la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, lui reprochent d'être opposé à l'aide à mourir. Il s'était déjà prononcé contre, avant son entrée au gouvernement. Pourquoi faire contribuer les retraités aisés terrifie toute la classe politique ? Interviewé mardi 21 janvier sur TF1, la ministre du Travail et de l'Emploi Astrid Panosyan-Bouvet a suggéré la mise à “contribution” des “retraités qui peuvent se le permettre” au financement de la Sécurité sociale dans le budget 2025. En France, 17 millions de retraités bénéficient d'un statut différent de celui des actifs avec notamment des avantages fiscaux. Faut-il faire contribuer davantage les retraités aisés pour renflouer les caisses de l'État, à l'heure où le gouvernement Bayrou cherche quelque 30 milliards d'euros ? Chacun des voyages de l'auteur Patrick Baud est une occasion de découvrir les musées des pays qu'il visite, tous plus insolites les uns que les autres. Il publie aux éditions Dunod “Curieux Musées – Collections insolites du monde entier” dans lequel il nous emmène découvrir une centaine de curiosités à travers le monde. On trouve par exemple un musée consacré aux colliers de chiens en Angleterre, un autre sur les relations rompues en Croatie ou encore un musée des momies au Mexique.Comme d'autres personnalités politiques ces derniers jours, le député européen Place publique Raphaël Glucksmann a annoncé son départ du réseau social X, refusant “de participer à une entreprise idéologique et politique ciblant nos démocraties”, selon ses mots. L'écologiste Marine Tondelier, elle, a choisi d'y rester. Elle explique ne pas vouloir “abandonner le combat sur cette plateforme”. Quitter X ou y rester, le débat divise aussi les médias. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. De nombreux parlementaires se sont offusqués de voir le Puy du Fou, parc vendéen connu pour ses spectacles vivants, exclu du Pass Culture, un dispositif mis en place par l'État pour permettre aux jeunes d'avoir accès à des activités culturelles. La ministre de la Culture Rachida Dati a assuré que l'éligibilité du parc serait réexaminée prochainement. C'est le point com de Paola Puerari. À Montpellier, Sandrine Pissara est jugée pour avoir torturé et affamé sa fille de 13 ans, Amandine, morte le 6 août 2020 dans des conditions effroyables. Elle encourt la prison à perpétuité. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch. Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur l'investiture de Donald Trump, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard ! 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 25 janvier 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
durée : 00:54:45 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Raphaël Glucksmann député européen “Place publique”, membre de la Commission des affaires étrangères, membre de la Commission du commerce international est l'invité de Questions politiques.
durée : 00:54:45 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Raphaël Glucksmann député européen “Place publique”, membre de la Commission des affaires étrangères, membre de la Commission du commerce international est l'invité de Questions politiques.
Qui pour succéder à Michel Bernier ? Quel avenir pour le Nouveau front populaire ? Raphaël Glucksmann, député européen du groupe Alliance progressiste des socialistes et démocrates (S&D), et coprésident du mouvement Place Publique, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 06 décembre 2024.
C dans l'air du 5 décembre - Trois mois après sa nomination à Matignon, Michel Barnier a remis ce matin la démission de son gouvernement au président de la République, un record de brièveté sous la Ve République. L'histoire s'est accélérée hier soir à l'Assemblée nationale avec le vote de la motion de censure déposée par le Nouveau Front Populaire par 331 députés, bien plus que les 288 nécessaires. Toutes les oppositions ont voté pour renverser le gouvernement, une première depuis soixante-deux ans, en 1962 sous la présidence de Charles de Gaulle.Et maintenant ? En attendant la nomination d'un nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, le chef de file des députés macronistes, a appelé tous les partis, sauf le RN et LFI, à trouver un compromis. Chez Horizons on plaide également pour une "coalition" qui aille de la "droite républicaine" aux "socio-démocrates". Laurent Wauquiez, chef des Républicains à l'Assemblée nationale, a lui affirmé que son groupe "ne fera pas tomber un gouvernement" même s'il n'y participe pas. À gauche, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale Boris Vallaud a appelé à "un gouvernement de gauche ouvert aux compromis". "Ça suppose que nous abandonnons le 49.3, qu'il n'y aura pas de passage en force et que sur chaque texte nous serons obligés de trouver des compromis", a expliqué ce matin Olivier Faure. Le patron des socialistes a également assumé ses "divergences avec Mathilde Panot", la cheffe de file des députés Insoumis, rétorquant qu'il "vaut mieux parfois faire un pas qui n'est pas exactement celui qui était prévu, plutôt que de ne rien faire et rester dans la protestation". Le Parti socialiste et les écologistes ont demandé au chef de l'Etat de recevoir "les chefs de partis et les présidents des groupes parlementaires de l'Assemblée nationale et du Sénat ayant participé au front républicain" lors des dernières législatives. Dans une lettre ouverte, la secrétaire nationale des Verts a également exhorté le chef de l'Etat à "consentir à accorder aux Français l'alternance politique qu'ils réclament" en nommant un Premier ministre "issu de la gauche et des écologistes". Le leader de Place publique Raphaël Glucksmann a de son côté appelé ce jeudi dans une tribune parue dans Le Monde à la construction d'une "plateforme minimale" entre les forces politiques ayant fait barrage à l'extrême droite aux dernières élections législatives.À l'extrême droite, Marine Le Pen, la cheffe des 124 députés RN, a déclaré qu'elle "laissera travailler" le futur Premier ministre pour "co-construire un budget acceptable pour tous".Pendant ce temps, à l'Elysée, le chef de l'Etat a déjeuné ce jeudi avec François Bayrou. Le nom du président du MoDem, allié du chef de l'Etat depuis 2017, circule pour le poste de Premier ministre, de même que celui du ministre des Armées Sébastien Lecornu, un fidèle d'Emmanuel Macron. Le président de la République doit s'exprimer ce soir à 20 heures. Il pourrait nommer rapidement un successeur alors que selon un dernier sondage Harris Interactive pour RTL, une majorité des Français, 53 %, indiquent approuver cette censure. Ils sont nombreux à l'approuver notamment chez les sympathisants des partis de gauche (78 % pour LFI, 66 % pour le PS et 61 % pour les écologistes) et du Rassemblement national (74 %). Pour autant, 82 % des Français sondés se disent inquiets pour l'avenir de la France.Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Brigitte BOUCHER - journaliste politique à franceinfo TV- Caroline VIGOUREUX - journaliste politique et société à la Tribune DimanchePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 4 décembre - Barnier chute, Macron au pied du mur...Les deux motions de censure déposées contre le gouvernement de Michel Barnier vont être débattues à partir de 16 heures à l'Assemblée nationale, et sa chute ce soir est quasiment certaine. Les dernières déclarations du RN ne laissent aucune place au doute. Les députés du parti d'extrême droite vont renverser le gouvernement en votant le texte du Nouveau Front Populaire.Et si officiellement, Michel Barnier est toujours Premier ministre et a jugé hier soir "possible" que son gouvernement ne soit pas censuré, dans les coulisses, le camp présidentiel phosphore déjà sur l'après. Depuis l'Arabie Saoudite, Emmanuel Macron a affirmé mardi qu'il ne pouvait "pas croire" au vote de la censure mais en réalité le président de la République a déjà commencé à lui chercher un successeur. Des noms sont testés, des candidats sont en campagne alors que dans les travées de l'Assemblée nationale le camp présidentiel remet en avant l'idée de former une grande coalition. Ainsi Gabriel Attal a écrit une lettre aux groupes parlementaires de droite et de gauche, en excluant le RN et LFI. Dans sa missive, il détaille le "pacte d'action" dont les grandes lignes avaient été dévoilées en juillet et qui vont du redressement des comptes publics au pouvoir d'achat en passant par la défense de la laïcité ou le soutien aux agriculteurs."Il n'y a aucune remise en cause de la politique menée et j'ai du mal à voir du consensus sur ce texte. On dirait que pour Gabriel Attal, c'est toujours son camp qui doit gouverner", a estimé le député socialiste Arthur Delaporte. Depuis plusieurs jours, les socialistes qui ne citent plus Lucie Castets comme Première ministre, réclament "un Premier ministre partageant les valeurs de la gauche sur les chantiers prioritaires du Nouveau Front populaire" et jugent, à l'instar du chef des députés PS Boris Vallaud, que "la question des conditions d'une non-censure" avec les autres groupes doit être posée. Mais si la succession de Michel Barnier ressuscite l'option Bernard Cazeneuve, qui avait beaucoup circulé durant l'été dernier, l'hypothèse, comme l'été dernier, n'emballe pas le patron du Parti socialiste. "Bernard Cazeneuve est un homme de gauche, mais il n'a soutenu ni Raphaël Glucksmann aux élections européennes ni le NFP aux législatives. Il ne s'est jamais exprimé sur ce qu'il voudrait faire s'il arrivait à la tête du gouvernement", a rappelé Olivier Faure, qui juge "paradoxal de nommer quelqu'un au nom d'une victoire, celle du NFP, à laquelle il n'a pas voulu contribuer". Le Premier secrétaire du PS a également justifié, dans un entretien au Monde, la décision de voter la motion de censure, soulignant la responsabilité d'Emmanuel Macron dans la crise politique, tout en rejetant les appels à la démission du chef de l'Etat lancés notamment par La France insoumise. Sur ce point, avec LFI, "il y a une divergence fondamentale sur ce que nous voulons faire" a -t-il affirmé.De retour au fort de Brégançon, le chef de l'Etat dont la popularité est au plus bas dans les sondages, consulte après avoir répondu mardi à ceux qui appellent à sa démission qu'il sera président "jusqu'à la dernière seconde". Les experts : - Roland CAYROL - Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN)- Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- Soazig QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche- Lou FRITEL - Journaliste politique – Paris Match PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.fr
durée : 00:12:47 - L'invité de 7h50 du week-end - Notre invité de 7h50 est aujourd'hui Daniel Cohn-Bendit, ancien député européen. Il signe avec Raphaël Glucksmann une tribune intitulée "Comment ne pas voir que la riposte israélienne viole les lois de la guerre et piétine le droit international ?"
Faut-il durcir les sanctions contre les consommateurs de stupéfiants ? Hier sur RTL, Jean-Philippe Tanguy du Rassemblement National plaidait pour des "courtes peines" de prison. Ce matin, toujours sur l'antenne de RTL, Raphaël Glucksmann répond : fausse bonne idée. On en parle avec Christophe Korell, ancien enquêteur de la police judiciaire, auteur du livre "Le crime organisé en France : le comprendre pour mieux le combattre", aux éditions Denoël. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 04 novembre 2024.
Le député européen appelle l'Europe à une révolte sécuritaire pour ne plus dépendre de la puissance américaine.C'est une interview menée par Caroline Roux diffusé dans le documentaire "Europe: la fin du rêve américain" le dimanche 13 octobre 2024 sur France 5.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 13 octobre 2024.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.David Djaïz, entrepreneur, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LA GAUCHE FAÇON PUZZLEAprès le bon score de Raphaël Glucksmann aux élections européennes de juin dernier, les socialistes pensaient qu'un espace s'entrouvrait entre le futur successeur d'Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. La dissolution surprise annoncée par le Président de la République est venue tout remettre à plat. Réalisé dans l'urgence, en quatre jours, face à la menace d'un Rassemblement national dont les sondages prédisaient une victoire écrasante, le Nouveau Front Populaire (NFP) a rassemblé La France Insoumise-LFI, le Parti communiste-PCF, Europe écologie les verts-EELV, le Parti socialiste-PS et le Nouveau Parti anticapitaliste-NPA. Sa mobilisation a permis à la gauche d'arriver en tête au second tour des législatives, le 7 juillet, avec 178 députés élus.Toutefois, au Parti socialiste comme à la France insoumise, la rentrée s'est déroulée en ordre dispersée avec une éclosion de mouvements et de clubs. Les 5 et 6 octobre, lors de la première université d'été de son mouvement Place publique, Raphaël Glucksmann a officialisé son intention de se porter candidat aux présidentielles de 2027. Il souhaite incarner « une gauche sociale, européenne, humaniste, écologiste et féministe » et dessiné une voie « girondine », ni « succédané du macronisme », ni « populisme de gauche ». Le même jour, Olivier Faure s'est invité à Lomme près de Lille, là où les socialistes nordistes tenaient leur rentrée politique. L'occasion pour le premier secrétaire du PS de compter ses soutiens et de marquer à nouveau sa différence avec Raphaël Glucksmann et les figures de son propre parti, hostiles à une alliance avec le chef de file de LFI, Jean-Luc Mélenchon. La veille, le maire PS de Saint-Ouen, Karim Bouamrane lançait son propre mouvement, La France humaine et forte. Fin septembre, c'était la présidente du conseil régional de la nouvelle région OccitanieCarole Delga, PS, qui accueillait les quatrièmes rencontres de la gauche, avec notamment Bernard Cazeneuve qui a quitté le PS en 2022 pour fonder son club La Convention, ainsi que Benoit Hamon parti du PS dès 2017 pour créer Génération.s, à la gauche du parti. Du côté de LFI, les dissidents Alexis Corbière ou Raquel Garrido, qui se dénomment, « Les Insurgés » ont lancé L'Après, tandis que François Ruffin a créé Picardie debout, et que Gérard Filoche a lancé la Gauche démocratique et sociale.Cependant, malgré les crispations qui rythment le quotidien de la coalition de gauche, socialistes, insoumis, écologistes et communistes feront front commun dans le marathon budgétaire des prochaines semaines. Mercredi à l'Assemblée nationale, le Nouveau Front populaire a présenté dix propositions fiscales, qui prendront la forme « d'amendements communs du NFP » et permettront, selon eux, de dégager 49 milliards d'euros de recettes supplémentaires.ISRAËL : SES RESPONSABILITÉS, SES ADVERSAIRES, SES ALLIÉSDes failles béantes sont apparues en Israël avant, pendant et même après la violente attaque menée par le Hamas en Israël le 7 octobre 2023 : les services de renseignement israéliens ont fait défaut, les réponses dans les premières heures n'ont pas été à la hauteur, mais au-delà, c'est tout un système qui est interrogé. La poursuite de la guerre et son extension, aujourd'hui, à toute la région du Moyen-Orient, permettent au Premier ministre israélien, en se maintenant au pouvoir, de retarder aussi la mise en place d'une commission d'enquête, en Israël, devant établir les responsabilités dans les événements du 7 octobre.Depuis le 7 octobre 2023, un réseau de groupes paramilitaires, unis par leur opposition aux États-Unis et à Israël, a accentué ses attaques contre Israël : milices chiites en Irak et en Syrie, Hezbollah au Liban, Hamas et Jihad islamique à Gaza, Houthis au Yémen. Chacun entretenant des liens avec Téhéran. Si l'Iran ne semble pas avoir été prévenu par le Hamas de l'attaque du 7 octobre, il voit cependant ses « proxys » détruits les uns après les autres et ses deux frappes de missiles contre Israël - les 13/14 avril et le 1er octobre - guère efficaces, n'ont pas changé la donne. Le guide suprême, Ali Khamenei, a prévenu le 4 octobre que ses alliés, principalement le Hezbollah libanais et le Hamas palestinien, poursuivraient le combat contre Israël. Dimanche dernier, le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, a menacé l'Iran de frappes similaires à celles menées « à Gaza et Beyrouth ». Un an plus tard, l'Iran se retrouve donc en première ligne face à Israël, soutenu par les Occidentaux et la majorité des pays arabes.Les Etats arabes qui ont signé des accords de paix avec Israël, d'abord l'Egypte en 1978, puis la Jordanie en 1994, comme ceux qui ont signé les accords d'Abraham en 2020 (Émirats arabes unis, Barheïn, Maroc et Soudan), n'ont pas rompu leurs liens avec l'Etat hébreu. Bien au contraire, puisque certains ont participé même, comme la Jordanie, à la défense du ciel israélien contre l'Iran.Allié majeur d'Israël, les Etats-Unis se sont montrés incapables d'obtenir un accord de cessez-le-feu à Gaza en échange de la libération des otages. Pas plus qu'ils ne sont parvenus à imposer une solution au Liban. Protégeant avec ses propres moyens militaires le ciel israélien contre les missiles iraniens, Washington continue de fournir les armes à Tsahal. Elle tente de peser aujourd'hui pour calibrer la réponse israélienne au bombardement du 1er octobre, afin que Tsahal ne s'en prenne ni au programme nucléaire, ni aux installations pétrolières.Emmanuel Macron a appelé à stopper les livraisons d'armes utilisées par Israël à Gaza. La France « ne tolérera pas » que l'armée israélienne vise à nouveau « délibérément » les Casques bleus.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
C dans l'air Spécial du dimanche 13 octobre 2024À l'approche de l'élection présidentielle américaine qui opposera le 5 novembre 2024 Kamala Harris à Donald Trump, France Télévisions propose un dispositif éditorial puissant autour de cette actualité internationale cruciale et de ses enjeux, dans un monde en proie à des tumultes et des crises majeures. Nos équipes de l'information, des programmes, du numérique, sont mobilisées, en France et aux États-Unis, pour faire vivre et comprendre les étapes et les heures décisives de cette élection historique.Sur toutes nos antennes et sur notre plateforme france.tv, éditions spéciales, reportages, magazines, documentaires inédits, prendront le temps du décryptage, de l'enquête, de la pédagogie, de la lutte contre la désinformation, pour raconter, au plus près du terrain, l'état de la société et de la démocratie américaines.Dans un monde où les tensions entre les grands blocs s'intensifient et où de nouveaux équilibres se dessinent, l'Occident est-il en danger ? Défense, commerce, valeurs, fondements démocratiques… Face à ces nombreux défis, l'Amérique et son allié historique, l'Europe, vont devoir faire des choix. Mais pourront-ils continuer à compter l'un sur l'autre ? À quelques semaines d'une élection décisive aux États-Unis et d'un retour possible de Donald Trump à la Maison Blanche, C dans l'air propose une enquête inédite sur la première puissance mondiale, plus que jamais fracturée et repliée sur elle-même. Avec quelles conséquences pour l'Europe ?6 juin 2024, sur les plages normandes, Emmanuel Macron et Joe Biden commémorent le débarquement des troupes alliées en 1944 et la libération de l'Europe par l'Amérique. Image symbole d'une alliance historique. Quatre-vingts ans plus tard, le monde a changé et la guerre qui frappe à nouveau l'Otan déstabilise les états-majors européens. Le Vieux Continent prend conscience que sa sécurité passe par un réarmement collectif et une défense commune. Mais à quel prix ? Les désaccords entre les pays membres apparaissent de plus en plus nombreux. Stratégie, industrie, équipement, budget… Les défis sont immenses et le temps presse. L'Europe forcée de réagir également sur le plan économique. Le plan d'investissement de 400 milliards de dollars mis en place par Joe Biden au lendemain de la crise sanitaire porte ses fruits. Cumulé à une politique commerciale agressive, à coup d'aides et d'America First, il dope la croissance américaine au détriment du Vieux Continent et attire de plus en plus d'entreprises européennes sur son sol. La fracture entre les États-Unis et l'Europe s'accentue également sur le terrain idéologique : IVG, droits LGBTQ+, immigration… La vague conservatrice qui déferle sur les États-Unis inquiète l'Europe, dont la France, qui vient de constitutionnaliser l'avortement. Parallèlement, l'essor des théories importées des États-Unis sur le genre, la race, l'identité a fait naître de nouveaux clivages au sein de nos sociétés. Est-ce la démocratie tout entière qui est désormais en danger ? La violence et la brutalité incarnées par Donald Trump se banalisent, en témoignent les assaillants du 6 janvier 2020 au Capitol, considérés aujourd'hui comme des héros par une majorité des Républicains. Pire, 25 % des Américains sont persuadés que le FBI est l'instigateur de cette insurrection. La démocratie américaine est-elle encore un modèle pour l'Europe ?Quel avenir pour l'Otan et l'Europe de la défense en cas de désengagement des États-Unis ?Le trumpisme peut-il faire plonger l'Amérique et l'Occident dans le chaos ?Un sujet éclairé par les experts de C dans l'air et enrichi par des entretiens exclusifs de Caroline Roux : Raphaël Glucksmann, député européenMaurice Lévy, ex président de Publicis groupeGloria Allred, avocate américaine, défenseurs des droits des femmesDouglas Kennedy, écrivainPRÉSENTATION : Caroline Roux PRODUIT PAR: Stéphanie GillonRÉALISATION : Romain BesnaiouPRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:46:23 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet.
durée : 00:16:12 - Le Rassemblement national à Nice, Raphaël Glucksmann à La Réole
durée : 00:15:26 - Journal de 8 h - Après Carole Delga et Karim Bouamrane, Raphaël Glucksmann rassemble ses soutiens ce weekend en Gironde. L'eurodéputé cherche à convaincre que l'avenir de la gauche se fera hors du Nouveau Front populaire et se positionne à nouveau comme une alternative à Jean-Luc Mélenchon.