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Comment réintégrer, dans une Syrie toujours minée par les conflits, les familles soupçonnées d'accointances avec Daech, et recluses dans le camp d'Al-Hol depuis la défaite l'organisation terroriste, en 2019 ? Malgré les efforts des autorités kurdes pour vider le camp d'ici à la fin de l'année, il reste surpeuplé. Plus de 30 000 personnes, dont une majorité de Syriens, y vivent toujours. Si la transition politique en cours devait faciliter leur retour, seuls trois convois de Syriens ont quitté le camp depuis janvier. Parmi elles, plusieurs femmes qui ont pu bénéficier d'un des convois et quitté le camp en avril 2025. De notre envoyé spécial à Deir Ezzor, Dans une région désertique et marginalisée, toujours marquée par l'influence de Daech, Khadija, la vingtaine, écarte le drap qui lui sert de porte. À l'intérieur, le sol est humide, trois matelas, quelques ustensiles de cuisine accrochés au mur. Elle s'excuse presque d'accueillir ainsi : « Ce n'est pas une maison, c'est une étable pour les animaux. Regarde, l'hiver, il pleut ici. Mais nous n'avons pas le choix, il faut rester là. Pourtant, c'est pire que dans le camp. » Deux garçons se tiennent aux manches élimées de son niqab. Pour les protéger, elle s'était inscrite, pleine d'espoir, sur les listes de sortie du camp d'Al Hol, prison à ciel ouvert rongée par les épidémies et la faim. Veuve d'un combattant pakistanais de Daech, tué dans une frappe de la coalition, et rejetée par sa famille, Khadija n'est plus la bienvenue à Deir Ezzor : « Personne ne nous accepte ici, lorsque l'on marche dans la rue, les gens nous pointent du doigt, ils nous appellent les kidnappeurs de Daech. Nous sommes perçues comme des terroristes qui ont massacré et détruit, mais ça fait longtemps maintenant, il faudrait pouvoir tourner la page. » Difficile d'oublier dans la région de Deir Ezzor, largement détruite par la guerre et toujours marquée par des attaques régulières de cellules de l'État islamique. Une situation désespérée, qui alimente les regrets. Dans un soupir Khadija confesse qu'au moins, dans le camp, elle était parmi les siens : « Nous souhaiterions retourner dans le camp, là-bas, nous avions une tente et personne pour nous en chasser ou nous demander un loyer, nous recevions de l'eau, du pain, des aides, ici, je dois mendier pour un sac de pain, il n'y a pas de travail. On nous a dit que les ONG nous aideraient, mais elles ne font rien. » À lire aussiSyrie: les mines menacent le retour des déplacés à Deir Ezzor « Un jour, peut-être que nous pourrons vivre une vie normale » À quelques dizaines de kilomètres de là, dans le village de Maardin, un carrefour poussiéreux au bord de l'Euphrate, un centre social tente de soutenir ces femmes. Nous y rencontrons Nour, elle aussi revenue d'Al-Hol avec ses cinq enfants : « Un jour, peut-être que nous pourrons vivre une vie normale. Vous savez, mon fils ne savait même pas ce qu'était un arbre avant de quitter le camp. Alors pour le moment, le plus important, c'est de fournir une éducation à nos enfants. Ensuite, il faut trouver un travail, parce que nous sommes veuves, et nous ne pouvons pas subvenir aux besoins des petits, qui ont trop souffert. » Pour l'heure, si les enfants sont désormais scolarisés, les résultats du centre en matière d'insertion restent mitigés. Malgré les formations pour apprendre à ouvrir un petit commerce, aucune des quinze femmes présentes ce matin n'a encore réussi à lancer son activité. Coordinateur du projet, Mohammed reste confiant : « Le centre aide déjà beaucoup à la réintégration, cela prend simplement du temps. Au début, il peut être un peu difficile pour la communauté de s'habituer de nouveau à ces familles. Mais finalement, elles sont d'ici, ce ne sont pas des étrangers. La période de Daech a été difficile pour tout le monde, mais les mentalités changent. » Si les mentalités changent, ces femmes que nous avons rencontrées ne comprennent pas toujours l'opprobre à laquelle elles sont désormais confrontées. À lire aussiSyrie: dans la province de Deir Ezzor, la résurgence du groupe État islamique
Sans Filet fait le bilan de sa saison 2025 dans cette cérémonie des "Mea Culpa Awards" ! Qui est le meilleur consultant de la saison ? Qui est l'auteur de la meilleure et de la pire prédiction de l'année ? Sans Filet passe sur le banc des accusés et présente ses excuses après la saison tennis 2025.
Au printemps 2025, les Français ont mis de côté une part de leur revenu jamais atteinte depuis un demi-siècle. Leur taux d'épargne a grimpé à 18,9 % au deuxième trimestre, un niveau comparable aux sommets observés dans les années 1970, hors période exceptionnelle du Covid. Pour la Banque de France, cette prudence renforcée se traduit par un patrimoine financier total de 6.430 milliards d'euros, un volume colossal qui s'invite désormais au cœur des discussions budgétaires.Selon de nombreux économistes, cette accumulation est largement le reflet d'un climat d'incertitude généralisé. La succession de crises — pandémie, inflation persistante, conflits en Ukraine et au Moyen-Orient, tensions politiques internes — pousse les ménages à renforcer leur matelas de sécurité. Le Cercle de l'épargne souligne que cette anxiété collective alimente directement la hausse du taux d'épargne.Où va tout cet argent ? L'assurance vie reste le placement préféré, avec plus de 2.000 milliards d'euros d'encours. Vient ensuite l'épargne réglementée : Livret A, LDDS et Livret d'épargne populaire, qui totalisent près de 700 milliards d'euros. À côté de cela, les Français laissent aussi de vastes sommes dormir sur leurs comptes courants : près de 750 milliards d'euros au premier trimestre 2025, argent non rémunéré et donc improductif.Cette épargne ne reste pas inactive. Les contrats d'assurance vie financent majoritairement les entreprises (63 % des encours) et, dans une moindre mesure, les dettes publiques. De leur côté, les livrets réglementés, dont une grande partie est centralisée à la Caisse des dépôts, servent notamment à financer le logement social et des investissements publics de long terme. Le reste est géré par les banques, qui y voient un levier essentiel pour le financement de l'économie.Face à cette masse d'argent, le monde politique se divise. Certains imaginent de nouveaux outils dédiés, notamment pour soutenir les dépenses de défense. D'autres optent pour des mesures fiscales. Les députés ont ainsi validé une hausse de CSG ciblée sur les revenus du capital, censée rapporter près de 3 milliards d'euros dès 2026. Ils ont également voté un nouvel « impôt sur la fortune improductive » touchant les patrimoines supérieurs à 2 millions d'euros, incluant les contrats d'assurance vie en fonds euros.Ces décisions provoquent une levée de boucliers du secteur financier. Les représentants des banques et experts dénoncent un risque de déstabilisation : selon eux, taxer les fonds euros reviendrait à pénaliser un placement qui finance directement entreprises et dettes publiques. Pire encore, cela pourrait pousser les épargnants vers des produits plus risqués, avec à la clé un danger systémique.L'épargne française, longtemps perçue comme une force, devient ainsi un terrain d'affrontements politiques, économiques et idéologiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Comment réintégrer, dans une Syrie toujours minée par les conflits, les familles soupçonnées d'accointances avec Daech, et recluses dans le camp d'Al-Hol depuis la défaite l'organisation terroriste, en 2019 ? Malgré les efforts des autorités kurdes pour vider le camp d'ici à la fin de l'année, il reste surpeuplé. Plus de 30 000 personnes, dont une majorité de Syriens, y vivent toujours. Si la transition politique en cours devait faciliter leur retour, seuls trois convois de Syriens ont quitté le camp depuis janvier. Parmi elles, plusieurs femmes qui ont pu bénéficier d'un des convois et quitté le camp en avril 2025. De notre envoyé spécial à Deir Ezzor, Dans une région désertique et marginalisée, toujours marquée par l'influence de Daech, Khadija, la vingtaine, écarte le drap qui lui sert de porte. À l'intérieur, le sol est humide, trois matelas, quelques ustensiles de cuisine accrochés au mur. Elle s'excuse presque d'accueillir ainsi : « Ce n'est pas une maison, c'est une étable pour les animaux. Regarde, l'hiver, il pleut ici. Mais nous n'avons pas le choix, il faut rester là. Pourtant, c'est pire que dans le camp. » Deux garçons se tiennent aux manches élimées de son niqab. Pour les protéger, elle s'était inscrite, pleine d'espoir, sur les listes de sortie du camp d'Al Hol, prison à ciel ouvert rongée par les épidémies et la faim. Veuve d'un combattant pakistanais de Daech, tué dans une frappe de la coalition, et rejetée par sa famille, Khadija n'est plus la bienvenue à Deir Ezzor : « Personne ne nous accepte ici, lorsque l'on marche dans la rue, les gens nous pointent du doigt, ils nous appellent les kidnappeurs de Daech. Nous sommes perçues comme des terroristes qui ont massacré et détruit, mais ça fait longtemps maintenant, il faudrait pouvoir tourner la page. » Difficile d'oublier dans la région de Deir Ezzor, largement détruite par la guerre et toujours marquée par des attaques régulières de cellules de l'État islamique. Une situation désespérée, qui alimente les regrets. Dans un soupir Khadija confesse qu'au moins, dans le camp, elle était parmi les siens : « Nous souhaiterions retourner dans le camp, là-bas, nous avions une tente et personne pour nous en chasser ou nous demander un loyer, nous recevions de l'eau, du pain, des aides, ici, je dois mendier pour un sac de pain, il n'y a pas de travail. On nous a dit que les ONG nous aideraient, mais elles ne font rien. » À lire aussiSyrie: les mines menacent le retour des déplacés à Deir Ezzor « Un jour, peut-être que nous pourrons vivre une vie normale » À quelques dizaines de kilomètres de là, dans le village de Maardin, un carrefour poussiéreux au bord de l'Euphrate, un centre social tente de soutenir ces femmes. Nous y rencontrons Nour, elle aussi revenue d'Al-Hol avec ses cinq enfants : « Un jour, peut-être que nous pourrons vivre une vie normale. Vous savez, mon fils ne savait même pas ce qu'était un arbre avant de quitter le camp. Alors pour le moment, le plus important, c'est de fournir une éducation à nos enfants. Ensuite, il faut trouver un travail, parce que nous sommes veuves, et nous ne pouvons pas subvenir aux besoins des petits, qui ont trop souffert. » Pour l'heure, si les enfants sont désormais scolarisés, les résultats du centre en matière d'insertion restent mitigés. Malgré les formations pour apprendre à ouvrir un petit commerce, aucune des quinze femmes présentes ce matin n'a encore réussi à lancer son activité. Coordinateur du projet, Mohammed reste confiant : « Le centre aide déjà beaucoup à la réintégration, cela prend simplement du temps. Au début, il peut être un peu difficile pour la communauté de s'habituer de nouveau à ces familles. Mais finalement, elles sont d'ici, ce ne sont pas des étrangers. La période de Daech a été difficile pour tout le monde, mais les mentalités changent. » Si les mentalités changent, ces femmes que nous avons rencontrées ne comprennent pas toujours l'opprobre à laquelle elles sont désormais confrontées. À lire aussiSyrie: dans la province de Deir Ezzor, la résurgence du groupe État islamique
durée : 00:02:18 - Les Brigades du Pire - "ici Gascogne" Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
De retour tous les 4 pour un nouvel épisode où on parle de tellement de choses qu'on ne sait même plus de quoi on parle
C'est une bête noire pour le président américain. Après avoir joué le jeu des complotistes, Donald Trump se retrouve maintenant plombé par l'affaire des dossiers Epstein. Après plusieurs jours d'opposition forcenée, le président américain a finalement dû se résoudre à soutenir le vote à la Chambre des représentants sur la publication du dossier du défunt pédocriminel mondain. Dans quelle mesure le résultat du vote pourrait mettre Donald Trump dans la tourmente ? Pour le comprendre, Libération a invité Julien Gester, ancien correspondant à New York et spécialiste des Etats-Unis. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Britney Spears et Justin Timberlake se connaissent depuis l'âge de 12 ans. Lorsque leurs chemins se croisent à la télévision alors qu'ils sont encore enfants, c'est le début d'une grande complicité. Mais comment leur relation va-t-elle évoluer dans un contexte aussi particulier que celui du succès ? En 4 épisodes, nous allons vous raconter les dessous d'une histoire d'amour autant glamourisée que controversée, où l'emprise et la misogynie ont fait leur place... Mea culpa Depuis sa rupture avec Justin Timberlake, la vie de Britney Spears s'est transformée en cauchemar. Entre sorties à répétition, excès d'alcool et de drogue et acharnement médiatique de plus en plus violent, la star vit dans le brouillard. Pire, en pleine tempête. Pour couronner le tout, Britney a perdu la garde de ses enfants en octobre 2007. Et les paparazzis ne la lâchent toujours pas. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Anaïs Koopman Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Première diffusion : octobre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
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Nous sommes au cœur des années 1960, les Golden Sixties, celles de l'automobile reine. De plus en plus de Belges en possèdent une car elle est synonyme de déplacement rapide et confortable. La voiture est, à l'époque, le symbole du progrès et de la liberté. Les responsables politiques, les administrations, les bureaux d'urbanisme redoublent donc d'imagination pour lui dérouler le tapis rouge : routes, autoroutes, parkings, tunnels, viaducs... Rien n'est trop beau pour l'auto. Problème à Bruxelles, la circulation, dans le centre-ville, est difficile car les rues sont étroites. Il faut donc fluidifier. Rendre plus rapides les entrées et sorties de la capitale. Comment faire ? Tunnels, viaducs, carrefours gigantesques, élargissement de rues, mises à sens unique : les propositions ne manquent pas. L'une des plus surprenantes consiste en un tunnel routier sous le Parc de Bruxelles, que l'on appelle le Parc royal. Il permettrait de quitter facilement le centre et de rejoindre la large rue Belliard, qui est une voie express vers l'autoroute de Liège. Pharaonique et curieux programme … qui n'a jamais vu le jour. En effet, ni les Travaux Publics, ni l'Urbanisme, ni la Ville de Bruxelles ne l'ont soutenu et pourtant, personne ne semble s'y être opposé. Le premier choc pétrolier de 1972 et les difficultés budgétaires de cette décennie ont vraisemblablement contribué à cet abandon, sans combat, ni même qu'une décision n'ait été prise. Il n'y a donc pas eu besoin de mobilisation citoyenne pour remettre en cause ce projet qui, aujourd'hui, nous paraît irresponsable. Mais la capitale européenne ne manque pas de réalisations ou … de destructions controversées, en témoigne la création du néologisme « Bruxellisation » qui y fait référence dans le monde entier. Si un certain nombre sont devenues réalité, d'autres, à l'instar du tunnel sous le Parc royal, sont passées dans les oubliettes de l'histoire de l'urbanisme. Et dans bien des cas, l'intervention de l'initiative citoyenne aura été déterminante. Une opposition ferme et organisée. A quoi avons-nous échappé ? Avec nous : Vincent Carton, ingénieur civil et urbaniste. Auteur de « Victoires Urbaines – Le jour se lèvera ici » ; CFC éd. + Arau (Atelier de recherche et d'Action Urbaines). Sujets traités : Bruxelles, urbanisme, massacre, Golden Sixties, autoroutes, parkings, tunnels, viaducs, routes, Bruxellisation, Parc royal, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui un episode tant attendu puisque Chloë va ENFIN vous raconter la fameuse histoire qu'elle avait teasé il y a quelques semaines, il s'agit de la storytime avec ... CreaTyler : un homme a plusieurs casquettes notamment, youtubeur, influenceur et scam artist ! On espère que l'attente en valait la peine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this FYF episode, Lesley Logan celebrates what happens when preparation meets opportunity—and how readiness creates freedom when life speeds up. From a pianist who mastered the wrong concerto onstage to community wins that prove preparation meets courage, this week's stories are all about trusting your instincts and believing you've got what it takes. Lesley also shares how being proactive in your goals can help you find freedom and peace when life speeds up.If you have any questions about this episode or want to get some of the resources we mentioned, head over to LesleyLogan.co/podcast https://lesleylogan.co/podcast/. If you have any comments or questions about the Be It pod shoot us a message at beit@lesleylogan.co mailto:beit@lesleylogan.co. And as always, if you're enjoying the show please share it with someone who you think would enjoy it as well. It is your continued support that will help us continue to help others. Thank you so much! Never miss another show by subscribing at LesleyLogan.co/subscribe https://lesleylogan.co/podcast/#follow-subscribe-free.In this episode you will learn about:How a pianist's quick pivot became a lesson in confidence. Why following your gut leads to better results than overthinking.Community wins that celebrate small victories and authentic effort.How Lesley's year-ahead planning turned stress into calm momentum.The power of gratitude to silence self-judgment and refocus your energy.Episode References/Links:Submit your wins or questions - https://beitpod.com/questionsMaria João Pires - https://www.instagram.com/reel/DFbS8MuqD3W If you enjoyed this episode, make sure and give us a five star rating and leave us a review on iTunes, Podcast Addict, Podchaser or Castbox. https://lovethepodcast.com/BITYSIDEALS! DEALS! DEALS! DEALS! https://onlinepilatesclasses.com/memberships/perks/#equipmentCheck out all our Preferred Vendors & Special Deals from Clair Sparrow, Sensate, Lyfefuel BeeKeeper's Naturals, Sauna Space, HigherDose, AG1 and ToeSox https://onlinepilatesclasses.com/memberships/perks/#equipmentBe in the know with all the workshops at OPC https://workshops.onlinepilatesclasses.com/lp-workshop-waitlistBe It Till You See It Podcast Survey https://pod.lesleylogan.co/be-it-podcasts-surveyBe a part of Lesley's Pilates Mentorship https://lesleylogan.co/elevate/FREE Ditching Busy Webinar https://ditchingbusy.com/Resources:Watch the Be It Till You See It podcast on YouTube! https://www.youtube.com/channel/UCq08HES7xLMvVa3Fy5DR8-gLesley Logan website https://lesleylogan.co/Be It Till You See It Podcast https://lesleylogan.co/podcast/Online Pilates Classes by Lesley Logan https://onlinepilatesclasses.com/Online Pilates Classes by Lesley Logan on YouTube https://www.youtube.com/channel/UCjogqXLnfyhS5VlU4rdzlnQProfitable Pilates https://profitablepilates.com/about/Follow Us on Social Media:Instagram https://www.instagram.com/lesley.logan/The Be It Till You See It Podcast YouTube channel https://www.youtube.com/channel/UCq08HES7xLMvVa3Fy5DR8-gFacebook https://www.facebook.com/llogan.pilatesLinkedIn https://www.linkedin.com/in/lesley-logan/The OPC YouTube Channel https://www.youtube.com/@OnlinePilatesClasses Episode Transcript:Lesley Logan 0:00 It's Fuck Yeah Friday. Brad Crowell 0:01 Fuck yeah. Lesley Logan 0:02 Get ready for some wins. Welcome to the Be It Till You See It podcast where we talk about taking messy action, knowing that perfect is boring. I'm Lesley Logan, Pilates instructor and fitness business coach. I've trained thousands of people around the world and the number one thing I see stopping people from achieving anything is self-doubt. My friends, action brings clarity and it's the antidote to fear. Each week, my guest will bring bold, executable, intrinsic and targeted steps that you can use to put yourself first and Be It Till You See It. It's a practice, not a perfect. Let's get started. Lesley Logan 0:48 Hey, Be It babe. How are you? Happy Friday. Happy November 14th. Now we're midway through the month, just like that. You know, a few weeks ago, I told you about the 13th month, and I'm just telling you right now, the more I think about how, like, we used to run the calendar off of 28 days in the moon cycle. Like, doesn't it just make sense? Every FYF, I'm like, oh, look at that. Now it's halfway through. Like, yeah, kind of, right? So I'm just saying, like, the more I do this and, like, wait, especially this month, because we end on the Friday was the seventh of 14th. It's just like, like, easy math. And I'm like, yeah, it should just end on the 28th then we start a new month. But anyways, we're, you know, not on that calendar. And I would love to vote that in, but the whole world has to, I guess. So, anyways, this is the episodes where we share some inspiration. Share wins of yours. Share a win of mine. Realize that we are doing a freaking great job, or doing better than we thought. And a little affirmation to kick your weekend off. And if you haven't yet listened to the interview and recap this week, go do it just right below this. You can start with the recap first, Brad and I have a lot of fun bantering, then we answer a question of yours, then we talk about what we liked. And if you are like, oh, that's interesting, I want to hear it from the horse's mouth, you can listen to the interview, and I highly recommend it, because we have some really cool guests. Lesley Logan 1:59 Okay, so I this came across my feed, and this is what I, okay, I don't play instruments. I did play for share like tenor sax. I had a retainer and braces when I learned and then when I took them out, I couldn't play anymore, and so I just stopped playing. It's not funny, but at any rate, since I have been a musician, I have prepared music I have, like had to memorize, and so I know the effort, but this is how the reel goes. And there's a link in the show notes you can, like, go watch it. Okay? When they told you it's Mozart's Piano Concerto number 20 instead of number 23. So she had one minute of the orchestra playing before she had to step in and play the piano, okay? And so here's the thing. The caption says it's probably every music's worst nightmare. Imagine you're sitting here sitting on stage, ready to play your concerto, and the orchestra begins to perform a completely different piece. That's exactly what happened to the great Maria João Pires, or Pires in 1999 when she stepped in to replace another pianist on short notice. In a formidable tour de force performance, Pire's charge changed course and miraculously didn't miss a beat of Mozart's Piano Concerto Number 20 and not 20, 20 not 23 like she had been expecting. This stood out to me, because as a recovering perfectionist and overachiever like I imagine how much time she probably, like, prepped herself for the piece that she has to play, because it's not like they have the music in front of you guys. They just play like they are supposed to just play like it's coming out of them, and there's no music in front of them. And you know, she had one minute to, like, just feel her feelings, and then step in and be it till she sees it. And it is just so beautiful, because imagine, had she found out before the concert started, then she probably could have told herself a million different things and like, even, like, freak herself out a different way, because she didn't have that opportunity. She had to, like, be it till she sees it as, like the other performance, and she didn't miss a beat. And it's worth watching, just to go through the emotions with her and realize, like, this is what you're watching someone step into their power and believe in themselves in such an awesome way. And ladies, we can do this right? We can do these things. And I think we're like, Oh, my God. I like, prepare for my meeting to be on this date, and then something happens, and the meeting doesn't happen, then you're like, oh, but I'm ready for it. I'm frustrated. My love, like, your you will be more authentic the moment it happens. You might be too prepared. You might like, so I would just say, like, anytime an opportunity comes up, you're like, Oh, I'm not ready for this. What if you were? What if you were ready? She was. It's beautiful. I'm like, obsessed with it. I've watched it several times. I'm so into it. Lesley Logan 4:56 All right. Time for wins of yours. Got really fired up. Okay, these are from Instagram. Thanks for sending it in. You can send your wins in to beitpod.com/questions and you can send longer wins in because Instagram does, like, make them super short. So again, like, the longer ones that I've read in the past, you can send those into beitpod.com/questions plus any questions you want me to answer, like, it's a great way to get answers out of me. So, lynneconnolly36 says, covered six back to back classes this week, 5 am wake and clients love them. Holy freaking moly. Lynn, you are a badass, getting up at 5am and then covering six back to back classes. Oh, you are phenomenal. You like, I don't even know how you did it, but way to go. And, of course, the clients love them, because you're authentically you, and you're amazing. Way to go. Lesley Logan 5:39 hli_pilates great private session yesterday. Thank you. Body feels so much better. It is a win when our bodies feel better. I love that you're celebrating that, hli, I just absolutely love it, because it's so easy for us to focus on when our bodies don't feel good, and that you're celebrating your body feels better today is humongous. Way to be it till you see it. julia_reddout, I subbed a level two class in the studio where I take classes. They loved it, and it made my day.Lesley Logan 6:06 Yeah, because those are your people. You know them. You know what they need. You know, I'm so proud of you. I'm so happy for you. What a win, guys. Thank you for sending these in. I just I want more women to share things that they are doing, because the dudes certainly do it. And I was raised like, don't brag, be humble and you want to know something, it didn't get me anywhere. In fact, the more people knew what I was capable of, the more opportunities came to my place. Fun story, I have been teaching for a long time. There was an the big conference that was going on. It was 2019 I think it might have been 28 might have been 2018, 2018, fall of 2018 and I was doing a photo shoot at a big conference, and this woman who hires teachers for another conference saw me, and she had hired me for the next year's conference of her, but her company does, and she'd hired me for some business coaching stuff that I'd applied for, and she saw me doing some exercises on the equipment. She's like, oh, do you teach? Can you teach some classes? And of course, I was like, fuck. Of course, I teach. What the fuck? But then I was like, Oh, she doesn't know who I as a me, as a teacher. She's only seen my application for the business things. I'm not doing a good enough job making sure people know what I do and know what I'm good at. So we gotta start bragging more, babes, and that's why we have to start making Fridays at least Fridays, but if not every day, a day where you celebrate what you fucking slay, what you did, and if it was I just actually did my full schedule and didn't cancel anything, that's a fucking win. In high school, there was a sign that said every class every day, and I'm telling you that wasn't always what happened in my life, but every time I did every class in a day, I was like, Yes, I did it. I know that surprises you as recovering perfectionist, that I would cut classes, but I really thought High School was, like, beneath me, and I just couldn't wait to get out. And I was like, I've got a 4.2 like, this is not gonna take it away from me. I probably could leave. So anyways, that's my rebellious stage. Okay, I gotta share a win of mine, a win of mine. Lesley Logan 8:04 Here we go. So here's what I'm super proud of. Last year, around this time, I was cramming to get everything done before we left for winter tour, and I got sick, and we had to, like, look at everything that didn't get done yet and go, Okay, which of these things can we not do? And for the first time ever, we missed YouTube releases. We did because I could not possibly film YouTube and podcasts and classes for OPC, and so the podcast and class of OPC won and YouTube lost. And from that moment, I had my team, and I had to, like, look at the next year and change how we got things done, so that I was well ahead of schedule, that by the middle of November, I would be done filming things, not just for the end of this year, but the beginning of next year, so that we are not scrambling in case I get sick in the fall, right? And so I'm proud to say that right now, the newsletters through beginning of next year are written, classes are recorded, and podcast recaps are almost done, but we're not scrambling. I don't feel like I'm in a rush, and I'm really excited to go on tour, knowing that when I come back, like, I'm just back in my regular schedule and not like scrambling. So my win is, is that a year ago, I had a vision, and always that was the year before, that was a different was, like, similar vision, but we just keep getting better at it. And why can't I have a win on something that was already a win? Because I'm just getting better at it. And you reflect, you refine, and you continue. And that's how it goes. You're not ever gonna do anything perfectly the first time. And thank God, because then you go, Oh, I didn't like that part actually, I'm glad I didn't do that. So I'm just saying, My win is I'm ahead. I'm on track. I did what I said I wanted to do, and I, you know, I started this project a year ago. So slay the year. What a win for the year, not just the week, okay, but I like those small wins. I like the small wins. Lesley Logan 10:04 Okay. Your affirmation over the weekend. I practice gratitude for all that I have and all that is yet to come. I practice gratitude for all that I have and all that is yet to come. Do you have a gratitude practice? Do you know what the easiest thing is to do? Take a piece of paper and just write down. I'm grateful for the air around me. I'm grateful that I'm listening to this podcast right now. I'm grateful that I got up this morning. All of a sudden, you'll start behind gratitude for other things. It's kind of fun. It's kind of unique. I know some people poo poo a gratitude, but like my therapist said to me, gratitude and judgment can't live in the same space, and that changed everything for me. So whenever I feel judgey about myself, I just start listing off things I'm grateful for. Sometimes, like, I'm grateful that my bed is made. I'm grateful I took a shower today. I'm grateful that last week I got my nails done when I had some time, right? Like, those are wins. They gave me gratitude as well. All right, babe, you know what to do. Until next time, Be It Till You See It. Lesley Logan 10:59 That's all I got for this episode of the Be It Till You See It Podcast. One thing that would help both myself and future listeners is for you to rate the show and leave a review and follow or subscribe for free wherever you listen to your podcast. Also, make sure to introduce yourself over at the Be It Pod on Instagram. I would love to know more about you. Share this episode with whoever you think needs to hear it. Help us and others Be It Till You See It. Have an awesome day. Be It Till You See It is a production of The Bloom Podcast Network. If you want to leave us a message or a question that we might read on another episode, you can text us at +1-310-905-5534 or send a DM on Instagram @BeItPod. Brad Crowell 11:40 It's written, filmed, and recorded by your host, Lesley Logan, and me, Brad Crowell. Lesley Logan 11:45 Lesley Logan It is transcribed, produced and edited by the epic team at Disenyo.co.is transcribed, produced and edited by the epic team@desenho.coSpeaker 1 11:50 our theme music is by Ali at Apex. Production Music and our branding by designer and artist Gianfranco ciofe.Lesley Logan 11:57 Special thanks to Melissa Solomon for creating our visuals.Brad Crowell 12:01 Also to Angelina Herico for adding all of our content to our website. And finally to Meridith Root for keeping us all on point and on time.Support this podcast at — https://redcircle.com/be-it-till-you-see-it/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
durée : 00:02:23 - Lucien Marmouget, le vétérinaire des Brigades du Pire répond en direct aux questions des auditeurs d'ICI Roquepouy Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Trois semaines après les massacres, les témoignages de civils ayant fui la ville se multiplient et dépeignent l'ampleur des atrocités commises. Le 26 octobre, les Forces de soutien rapide (FSR), milice menée par le général Mohamed Hamdan Daglo, dit « Hemetti », ont repris la ville d'El-Fasher aux mains de l'armée régulière du Soudan, dirigée par le général Al-Bourhane.Dès le lendemain, des vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, puis dans les médias du monde entier montrant les soldats des FSR s'en prenant aux civils. Ceux qui sont parvenus à fuir parlent d'exécutions sommaires, de viols et de torture.Les deux généraux s'opposent depuis avril 2023 pour le contrôle du pays et de ses ressources. Les civils sont les premières victimes du conflit qui s'enlise depuis plus de deux ans au Soudan. Plus de 160 000 personnes ont été tuées, dix millions ont été déplacées, tandis que les maladies et la famine se développent, selon l'Organisation des Nations unies, qui parle de la « pire crise humanitaire au monde ».Quelles sont les origines de cette guerre ? Pourquoi les puissances régionales et occidentales ont-elles une part de responsabilité dans ce conflit ? Reste-t-il un espoir de résolution ? Eléments de réponse dans cet épisode de « L'Heure du Monde » avec Eliott Brachet, correspondant au Caire qui couvre le Soudan pour Le Monde.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait du discours d'Antonio Guterres à Doha le 4 novembre 2025.Cet épisode a été diffusé le 13 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:55 - 100% PSG - Le billet - Le Stade de France, départ des attentats du 13 novembre 2015. La première victime, Manuel Dias, est morte aux abords du stade. C'est la seule à Saint-Denis malgré une affluence importante pour le match de football entre la France et l'Allemagne. Une combinaison de facteurs a fait éviter le pire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour le 4ème épisode de la 10ème saison du #FirstDayShow, Erwan et Thomas retrouvent Théo de REVERSE pour revenir sur l'actu de la semaine #NBA !
Écoutez le meilleur des Amateurs de sports du mercredi 12 novembre 2025. José Théodore : De mauvaises habitudes s’installent chez le Tricolore!Antoine Roussel : «Parfois, Juraj Slafkovsky s’éloigne de son identité de joueur»Danny Maciocia : Ce qui caractérise l’édition 2025 des Alouettes, «c’est qu’on n’a jamais paniqué» Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
C'est une enquête qui secoue le monde de la publicité en ligne. Selon des documents internes obtenus par l'agence Reuters, Meta, la maison mère de Facebook et d'Instagram, aurait tiré en 2024 près de 16 milliards de dollars de revenus issus de publicités liées à des arnaques ou à des produits interdits. Une somme colossale, représentant environ 10 % de son chiffre d'affaires annuel, estimé cette année-là à 164,5 milliards de dollars.D'après ces révélations, Meta dispose bien d'un système interne capable de repérer les campagnes suspectes, mais le seuil pour qu'une annonce soit réellement bloquée est extrêmement élevé. Les algorithmes du groupe n'interdisent un annonceur que lorsqu'ils atteignent 95 % de certitude qu'il s'agit d'une fraude. Un taux de tolérance qui laisse forcément le champ libre à de nombreux escrocs. Et lorsqu'un annonceur n'atteint pas ce seuil, Meta applique une mesure baptisée “penalty bids” : l'entreprise augmente le prix de ses espaces publicitaires pour ces comptes jugés à risque. Si les annonceurs acceptent de payer plus cher, la plateforme encaisse les revenus supplémentaires — une méthode qui, de fait, monétise le risque plutôt que de l'éliminer. Pire encore, le système de recommandation publicitaire continue à diffuser des annonces similaires auprès des utilisateurs ayant déjà interagi avec une publicité frauduleuse. Autrement dit : plus une arnaque circule, plus elle rapporte.Selon un rapport interne daté de décembre 2024, les plateformes de Meta auraient diffusé en moyenne 15 milliards de publicités “à haut risque” chaque jour. Parmi elles, les plus suspectes — qualifiées de “higher-risk ads” — auraient généré à elles seules près de 7 milliards de dollars de revenus annualisés. L'enquête de Reuters, couvrant la période 2021-2025, montre aussi une application particulièrement laxiste des règles internes. Un petit annonceur doit être signalé au moins huit fois avant d'être bloqué, tandis que les gros comptes — les High Value Accounts — peuvent cumuler plus de 500 infractions sans suspension. Interrogé par Reuters, Andy Stone, porte-parole de Meta, parle d'une “vision sélective” et d'une interprétation “trop large” des chiffres. Il affirme que la société a supprimé 134 millions de publicités frauduleuses en 2025 et que les signalements d'utilisateurs ont chuté de 58 % en un an et demi. Mais pour Reuters, la conclusion est claire : malgré ses promesses, Meta reste structurellement dépendante d'un modèle où la fraude fait partie du profit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Louis de Raguennel, journaliste politique - Eric Naulleau, journaliste et essayiste - Alexandre Devecchio, journaliste - Eric Revel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
durée : 00:02:38 - Si j'osais - Réécoutez le si j'osais de ce mardi où il est question de politique, des élections municipales à Pau, des chefs de file de la gauche et d'une primaire qui s'annonce. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:22 - Les Brigades du Pire - "ici Gascogne" Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les Denver Broncos s'imposent face aux Las Vegas Raiders dans un match d'un ennui inconsidérable. Le score : 10 à 7.Malgré ce score étriqué, cette victoire est d'une importance capitale pour les Broncos. En tête de l'AFC Ouest, ils peuvent croire aux playoffs. Maintenant, s'ils veulent aller loin cette saison, il faudra que l'attaque se mette au niveau de la défense.En face, les Raiders ont résisté, mais ont fini par craquer. Sans surprise, l'attaque a une nouvelle fois galéré autour d'un Geno Smith sous pression. Avec cette 7e défaite de la saison, peut-on déjà dire que la saison des Raiders est terminée ?Nithinya Simuong et Kevin Renaudet au micro.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La semaine passée a marqué la pire semaine depuis fin aout sur les marchésLes marchés actions ont été secoués par un recul marqué des valeurs technologiques américaines, sous l'effet de doutes sur leurs valorisations jugées excessives.Les indices S&P 500, Dow Jones et Nasdaq ont tous perdu du terrain, entraînant avec eux le Cac 40 qui a cédé environ 2 % sur la semaine.Ce mouvement s'explique notamment par les avertissements de grandes banques comme Goldman Sachs et Morgan Stanley, qui anticipent une correction boursière bienvenue.À cela s'ajoute l'incertitude liée au shutdown américain d'une durée historique, qui bloque la publication de statistiques économiques clés et complique la lecture des futures décisions de la Réserve fédérale. Comment ce shutdown impacte-t-il le moral des Américains et les marchés ?Au-delà des chiffres, ce blocage administratif pèse sur le moral des consommateurs américains.L'inquiétude devrait grandir si l'impasse se prolonge, avec un indice de confiance attendu en légère baisse en novembre.Cette incertitude nourrit une volatilité à court terme, mais toute nouvelle rassurante concernant l'emploi, la fin de la paralysie administrative ou les droits de douane pourrait donner un nouvel élan aux marchés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Az n'aime visiblement pas les médecins. Et il a décidé de dire ses 4 vérités à Michel Cymes... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Rediffusion. C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. Le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Un homme brisé capable du pire Jean Rambla a bien grandi. Ce n'est plus l'enfant de 6 ans, en bermuda bleu devant le commissariat, tout petit face aux enquêteurs. Nous sommes à l'aube des années 90, c'est désormais un bel homme d'1 mètre 80. Un brin timide, son charme indéniable lui permet d'enchaîner les conquêtes. D'apparence, il a l'air heureux, mais en réalité c'est un homme brisé. Les années n'ont pas apaisé sa douleur, pire, elle a grandi. Marie-Dolorès a disparu depuis plus de 10 ans et son absence est toujours aussi étouffante... Un podcast Bababam Originals Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Épisode 1386 : Il y a un an et demi, on découvrait le premier clip entièrement généré par Sora qui s'annonçait déjà comme une révolution en matière de génération artificielle de vidéo.On était encore seulement à la phase 1 de la génération d'images et le futur, en vidéo s'annonçait très costaud, mais à ce moment aucune date de sortie annoncée.Sora 2, c'est quoi exactement ? C'est simple : OpenAI a pris son générateur de vidéos par IA, l'a boosté aux stéroïdes, et l'a transformé en concurrent de TikTok. Résultat : un réseau social où 100% du contenu est généré par l'IA, mais publié et remixé par des humains. Une sorte de TikTok où personne ne filme rien, mais où tout a l'air ultra-réaliste.Le succès fulgurant (et un peu flippant)Les chiffres donnent le tournis. Plus d'1 million de téléchargements en moins de 5 jours, plus rapide que ChatGPT à son lancement. L'application est devenue numéro 1 de l'App Store américain en 3 jours seulement. Et attention, tout ça en étant dispo uniquement sur invitation, aux États-Unis et au Canada. Imaginez quand ça va débarquer partout...Techniquement Sora 2 c'est largement au dessus de la concurrenceTechniquement, Sora 2 c'est un bond en avant : vidéos ultra-réalistes avec son synchronisé, dialogues, bruitages, musique de fond. La grande star, c'est la fonction "Caméo" qui permet d'intégrer ton propre visage ou celui de tes proches dans des vidéos générées par l'IA. Tu enregistres un petit clip vidéo pour vérifier ton identité, et hop, tu peux te mettre en scène dans n'importe quelle situation.Réalisme et physique améliorésAudio synchroniséLe côté obscur de la forceEt c'est là que ça devient compliqué. Parce que Sora 2, c'est aussi un cauchemar pour les ayants-droits. Le fil d'actualité est parsemé de Pikachu qui vole dans un magasin, Dark Vador qui passe la sécurité de l'aéroport, Batman qui danse, Bob l'Éponge grimé en nazi. Bref, la jungle.Le vrai danger sur Sora, ce sont les deepfakes et la désinformation. Des tests de réalisme menés avec Sora 2 montrent que l'outil peut générer des vidéos d'une qualité troublante, au point de duper des humains et des experts. Le système de “Cameo” permet d'intégrer n'importe quel visage (avec consentement par simple clic), produisant des deepfakes qui trompent même des professionnels de l'image.Selon Copyleaks : les deepfakes Sora 2 sont difficiles à détecter, même pour les outils spécialisés ou les standards de certification actuels (C2PA – Content Credentials). Une fois diffusées hors de la plateforme, ces vidéos ne portent plus de marquage évident et deviennent indiscernables pour le public.En ligne de mire la menace du Liar's Dividend. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Je suis ravi de partager avec vous cette rencontre car on connaît peu, paradoxalement, les personnages médiatiques et je suis ravi de vous faire découvrir l'histoire du chef le plus exposé sur les réseaux sociaux aujourd'hui.Rendez-vous avec Eloi Spinnler !La plupart d'entre vous l'a découvert sur leurs écrans, sur Youtube, harnais de couteaux noué sur le torse, énergie brute, humour potache, millions de vues!! Mais derrière l'image, il y a une trajectoire bien réelle : celle d'un ado qui se met à cuisiner pour son petit frère, d'un garçon timide qui rêve de se déployer sur les planches mais va trouver en cuisine un endroit où apprendre, progresser et s'exprimer.Sept années à Ferrandi, et un passage par des maisons exigeantes et parfois violentes ont permis à Eloi de tracer la ligne de sa cuisine et les valeurs qu'aujourd'hui il prône dans ses cuisines.Car aujourd'hui, Éloi Spinnler dirige trois restaurants — Orgueil, Colère, Envie — et prend position sur des sujets qui lui tiennent à coeur: le gaspillage alimentaire, les violences en cuisine entre autres...Je suis très heureux de vous faire découvrir l'histoire personnelle d'une figure emblématique de notre époque, un fier représentant des cuisiniers de sa génération.Pour découvrir l'univers d'Eloi Spinnler: réservez chez Orgueilou chez Colèreou chez Envie !
Ce lundi, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse aux débats du volet recettes du budget à l'Assemblée nationale. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
(00:00:30) La faim menace aux Etats-Unis à cause du "shutdown" du gouvernement (00:06:25) Comment s'est déclenchée la pire crise humanitaire du monde au Soudan? (00:15:01) Montréal, cette grande place de jeux pour enfants
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
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Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Chaque matin dans son édito, Alexis Brezet, directeur des rédactions du Figaro, revient sur l'actualité politique du jour. Ce vendredi 24 octobre 2025, il s'intéresse à notre vie politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce matin, on évoque les pires pseudos. Ceux dont vous avez honte. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La cathédrale de Lausanne n'a pas toujours été paisible. En 1440, elle devient le théâtre de la proclamation de l'antipape Félix V, duc de Savoie. Mais le plus souvent, ce sont les évêques et les chanoines qui s'affrontent, entre querelles et grands travaux comme ceux d'Aymon de Montfalcon. À travers ces luttes, la cathédrale reste au cœur de la vie de la ville, rythmée par ses fêtes, ses processions et son guet, encore présent chaque nuit. Avec Dave Lüthi (professeur d'histoire de l'art), Karina Queijo (historienne), Kerim Berclaz (chercheur) et Mathias Glaus (archéologue). Nous remercions chaleureusement Laurence Terrier Aliferis, historienne de l'art, pour sa générosité dans la préparation de cette série.
Ce matin, on vous demande de nous raconter vos pires anecdotes dans les transports. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
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