Sociopolitical controversy in the French Third Republic
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À l’occasion de la promotion posthume d’Alfred Dreyfus au grade de général de brigade, David Shapira revient sur :
Virginie Girod raconte les derniers instants du président Félix Faure (1841-1889), mort dans les bras de sa maîtresse. Le 16 février 1889, la nuit tombe sur le palais de l'Élysée quand le président de la République, Félix Faure, est pris d'un malaise en présence de sa maîtresse, Marguerite Steinheil. Victime d'un accident vasculaire cérébral, il s'éteint dans la soirée. Mais quel fut le parcours politique de cet homme dont la mort, entrée dans l'Histoire, inspira à Clemenceau ces mots : « Il voulait être César, il est mort Pompée » ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Virginie Girod raconte le parcours de Jeanne Paquin (1869-1936), modiste devenue la première reine de la haute-couture française, dont le nom est pourtant aujourd'hui oublié. A la fin du XIXe siècle, Jeanne Beckers, jeune modiste, intègre la boutique d'Isidore Jacob, dit Paquin, située à deux pas de la place Vendôme. Bientôt mariés, Isidore et Jeanne développent leur maison de couture qui s'impose comme l'une des grandes maisons de luxes parisiennes. Au tournant du XXe siècle, les époux partent à la conquête du monde, transformant Paquin en marque internationale. Cet épisode est réalisé en partenariat avec Madame Figaro.
Stéphane Bern raconte, 126 ans, jour pour jour, après sa publication en Une de l'Aurore, “J'accuse!”, la lettre ouverte de l'écrivain Émile Zola, qui, en interpellant publiquement le président de la République, a marqué un véritable tournant dans l'Affaire Dreyfus… Quelles sont les ambitions d'Emile Zola avec la publication de “J'accuse !” ? Pourquoi a-t-il décidé de s'engager sur ce sujet ? Comment ce texte résonne-t-il encore aujourd'hui ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Vincent Duclert, historien, spécialiste de l'Affaire Dreyfus, auteur de “ La vérité en marche, L'affaire Dreyfus” (collection Texto,Tallandier)
Stéphane Bern raconte, 126 ans, jour pour jour, après sa publication en Une de l'Aurore, “J'accuse!”, la lettre ouverte de l'écrivain Émile Zola, qui, en interpellant publiquement le président de la République, a marqué un véritable tournant dans l'Affaire Dreyfus… Quelles sont les ambitions d'Emile Zola avec la publication de “J'accuse !” ? Pourquoi a-t-il décidé de s'engager sur ce sujet ? Comment ce texte résonne-t-il encore aujourd'hui ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Vincent Duclert, historien, spécialiste de l'Affaire Dreyfus, auteur de “ La vérité en marche, L'affaire Dreyfus” (collection Texto,Tallandier)
Aujourd'hui dans Parlons-en, nous revenons sur une histoire française : celle de l'affaire Dreyfus, du nom de ce capitaine juif alsacien condamné à tort pour espionnage à la fin du 19eme siècle. Ce scandale d'État a façonné la France et le débat public.
Il mandato di arresto della Corte penale internazionale per Benjamin Netanyahu, Yoav Gallant e Mohammed Deif, comandante militare di Hamas, ha causato delle spaccature tra i sostenitori di Israele. Per alcuni si tratta di una decisione ingiusta e inaccettabile, addirittura paragonabile all'Affaire Dreyfus; per altri il provvedimento è ingiusto ma deve essere rispettato. Ne parliamo con Paola Caridi, autrice di "Hamas. Dalla resistenza al regime” (Feltrinelli), e con Nello Del Gatto, nostro collaboratore a Gerusalemme.Vladimir Putin è apparso inflessibile ieri sera durante il suo discorso alla nazione. "L'uso dell'Ucraina di armi di altri Paesi ci autorizza a colpire questi Paesi" - ha detto il presidente russo, definendo il conflitto ormai "di portata globale". Ne parliamo con Eleonora Tafuro di Ispi e con Abbas Gallyamov, ex speechwriter di Vladimir Putin.
Vincent Lemire, historien spécialiste de Jérusalem est le directeur du centre de recherche français à Jérusalem, maître de conférences et spécialiste des conflits du Proche-Orient.Il est l'auteur de très nombreux ouvrages, dernièrement de la bande dessinée à succès "Jérusalem" mais il a également participé au podcast de France Inter "Israël Palestine : anatomie d'un conflit" et est l'auteur du livre éponyme.Vincent a consacré l'ensemble de sa carrière à étudier cette région du monde, avec un regard attentif sur les dynamiques historiques, religieuses et géopolitiques qui la traversent. Ensemble, nous avons pris le temps de décrypter un sujet complexe, sensible et souvent mal compris : le conflit israélo-palestinien.Aucun sujet ne devrait être tabou mais il est important de les traiter avec neutralité et s'attachant aux faits et aux lois. C'est exactement ce que l'on fait avec Vincent.Cet épisode est le plus long jamais réalisé sur Vlan, il est donc séparé en 2 parties. Dans cet épisode, nous parlons de l'émergence du sionisme, un mouvement politique et national né à la fin du 19ème siècle en Europe. C'est Theodor Herzl, marqué par l'antisémitisme européen, et notamment par l'affaire Dreyfus en France, qui a formulé l'idée d'un refuge pour les Juifs dans un contexte de montée des persécutions. J'ai questionné Vincent sur la manière dont ce projet sioniste s'est structuré et les différentes options qui ont été envisagées avant que la Palestine ne devienne la destination privilégiée pour la création d'un foyer national juif. Ce point de départ est crucial pour comprendre les tensions qui s'en suivront.Nous avons aussi exploré la cohabitation entre Juifs, Musulmans et Chrétiens dans la Palestine ottomane à la fin du 19ème siècle. Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, les relations entre ces communautés étaient relativement harmonieuses à l'époque, notamment à Jérusalem, où la municipalité était mixte, avec des représentants de chaque communauté. Vincent explique comment ce fragile équilibre a été bouleversé par la montée des nationalismes à partir du début du 20ème siècle.Le conflit a véritablement pris forme après la Première Guerre mondiale, lorsque les puissances coloniales ont pris le contrôle de la région. Nous avons discuté de la guerre de 1948, un tournant décisif, et des raisons pour lesquelles les Palestiniens ont rejeté le plan de partage proposé par l'ONU. Vincent offre un éclairage précieux sur cette période, où 80% de la population en Palestine était arabe, mais où le projet sioniste prenait de plus en plus de poids, soutenu par une volonté de créer un État juif indépendant.La guerre des Six Jours en 1967, un autre moment clé, a conduit à l'occupation de la Cisjordanie, de Gaza, du Golan et du Sinaï par Israël. Cet épisode a profondément redessiné les frontières de la région, transformant le conflit israélo-palestinien en une lutte pour la restitution des territoires. Nous avons discuté de la façon dont cette occupation perdure encore aujourd'hui et comment elle continue d'alimenter les tensions.Enfin, nous avons abordé les tentatives de paix, notamment les accords d'Oslo dans les années 1990, qui avaient suscité beaucoup d'espoir mais qui, malheureusement, ont échoué à apporter une solution durable.J'ai interrogé Vincent sur les raisons de cet échec, en particulier le pari fait par Yasser Arafat, qui a reconnu l'existence d'Israël en échange d'un espoir de restitution de 22% du territoire pour un État palestinien. A cette occasion, il recevra le prix Nobel de la Paix conjointement avec Yitzhak Rabin et Shimon Peres.Malheureusement, cet espoir n'a jamais été concrétisé.Cet épisode est une véritable plongée dans l'histoire et les enjeux contemporains du conflit israélo-palestinien. Nous tentons de prendre du recul pour mieux comprendre les racines profondes de cette confrontation, les dynamiques religieuses et nationales, ainsi que le rôle des grandes puissances dans la région. C'est une invitation à aller au-delà des raccourcis et des idées préconçues pour saisir la complexité d'un conflit qui continue de modeler l'actualité internationale.Une partie des questions que l'on traite avec Vincent :À partir de quel moment historique est-il pertinent de remonter pour comprendre le conflit israélo-palestinien ?Comment le projet sioniste a-t-il émergé à la fin du 19ème siècle et quelle a été son influence sur les relations internationales ?Quelles ont été les motivations derrière la déclaration de Balfour en 1917 et comment a-t-elle changé le cours du conflit ?Quelles étaient les dynamiques religieuses et sociales entre Juifs, Musulmans et Chrétiens dans la Palestine ottomane avant le début des tensions nationalistes ?Pourquoi les Palestiniens ont-ils refusé le plan de partage de l'ONU en 1947 ?Quels ont été les impacts des guerres de 1948 et de 1967 sur les frontières actuelles de la région ?En quoi la guerre des Six Jours de 1967 a-t-elle marqué un tournant décisif dans le conflit israélo-palestinien ?Comment l'occupation israélienne de la Cisjordanie et de Gaza s'est-elle mise en place, et pourquoi persiste-t-elle encore aujourd'hui ?Quelles étaient les principales divergences entre les mouvements sionistes révisionnistes et les mouvements sionistes plus modérés ?Pourquoi les accords d'Oslo ont-ils échoué à résoudre le conflit et quels étaient les enjeux stratégiques pour les deux parties ?Quel rôle a joué la diaspora palestinienne dans le soutien international à la cause palestinienne ?Comment les puissances coloniales, comme la France et le Royaume-Uni, ont-elles influencé les premiers accords autour de la Palestine ?Quel est l'impact de la montée des mouvements religieux en Israël et en Palestine sur les négociations politiques ?En quoi le processus de paix est-il entravé par la politique des colonies israéliennes en Cisjordanie ?Pourquoi les frontières définies après la guerre de 1948 n'ont-elles pas suffi à stabiliser la région ?Quel rôle jouent les grandes puissances, comme les États-Unis et la Russie, dans la dynamique du conflit actuel ?Comment la guerre en Ukraine a-t-elle influencé la perception du conflit israélo-palestinien sur la scène internationale ?En quoi les accords récents, comme ceux d'Abraham, impactent-ils le conflit israélo-palestinien ?Quels sont les principaux points de blocage dans les négociations actuelles entre Israël et l'Autorité palestinienne ?Comment l'évolution des mouvements politiques en Israël, comme la montée de l'extrême droite, a-t-elle influencé la gestion du conflit ?Quelle est la position de l'Union Européenne sur les colonies israéliennes et l'occupation des territoires ?Pourquoi les résolutions de l'ONU n'ont-elles pas abouti à une solution durable ?En quoi la guerre des Yom Kippour en 1973 a-t-elle modifié la géopolitique régionale ?Comment la question des réfugiés palestiniens influence-t-elle encore aujourd'hui le processus de paix ?Quel rôle les organisations non-gouvernementales jouent-elles dans la médiation du conflit ?Timestamps : 02:00 - Les origines du sionisme : Émergence du projet sioniste en Europe à la fin du 19ème siècle en réponse à l'antisémitisme.07:00 - La cohabitation à Jérusalem avant 1908 : Juifs, Musulmans et Chrétiens vivaient en harmonie dans la Palestine ottomane.12:30 - L'influence de la déclaration de Balfour (1917) : Promesse britannique de soutien à la création d'un foyer national juif.18:45 - La guerre de 1948 et le plan de partage de l'ONU : Analyse des raisons pour lesquelles les Palestiniens ont refusé le plan proposé.23:00 - La montée des tensions dans les années 1920 : La formation des milices juives et les premières confrontations.28:40 - L'impact de la guerre des Six Jours (1967) : Transformation des frontières et occupation des territoires palestiniens.35:00 - La question des réfugiés palestiniens : Les conséquences de l'expulsion de milliers de Palestiniens après 1948.40:15 - Pourquoi les accords d'Oslo ont échoué : Discussion sur les espoirs et les déceptions des négociations des années 1990.45:30 - La montée de l'extrême droite en Israël : Impact des partis religieux et nationalistes sur la politique israélienne.50:10 - Le rôle des colonies israéliennes : Comment la politique de colonisation en Cisjordanie complique le processus de paix.55:45 - Le rôle des grandes puissances : L'implication des États-Unis, de la Russie et de l'Union Européenne dans la gestion du conflit.1:01:00 - La perspective palestinienne aujourd'hui : Comment les Palestiniens perçoivent leur situation face à l'occupation israélienne.1:05:00 - Le rôle des médias et des réseaux sociaux : Leur impact sur la perception internationale du conflit.1:10:00 - Les accords d'Abraham : Quels impacts ont eu ces accords récents sur la dynamique du conflit israélo-palestinien ?1:12:30 - Perspectives d'avenir : Quelles solutions sont envisageables pour un futur plus apaisé dans la région ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #312 Les défis géopolitiques d'un monde hors de contrôle avec Thomas Gomart (https://audmns.com/jscnrns) #175 Comprendre le dessous des guerres invisibles mondiales avec Thomas Gomart (https://audmns.com/DDPnQDW) #166 Comprendre le phénomène des génocides pour les éviter avec Jacques Fredj (https://audmns.com/ftstCEN)
Revenant sur ses lectures, ses rencontres et ses convictions, Pierre Vidal-Naquet (1930-2006) explique pourquoi et comment il est devenu historien. Auteur d'une vingtaine d'ouvrages sur la Grèce Antique, il a également consacré ses recherches à son époque : dans les années 1960, il étudie l'histoire contemporaine de l'Algérie et dénonce la torture utilisée dans le conflit franco-algérien ; dans les années 1970, il lutte contre l'émergence des thèses négationnistes portant sur la Shoah. Un fil voltairien sous-tend son travail : débusquer la vérité pour "écraser l'infâme". (0:00) Générique(0:32) Les années de guerre : l'héritage intellectuel familial(08:05) Les années prépa : l'Histoire, "seul substitut possible à la religion"(13:13) Le choix de la Grèce Antique : Platon et l'Histoire(18:08) Monde académique d'après-guerre, professorat et recherches(25:41) Un historien dans la guerre d'Algérie(38:55) "Et l'Antiquité dans tout cela ?"(44:14) Lutte contre le négationnisme : "écrasons l'infâme"Conférence issue de l'édition 2002 des Rendez-vous de l'histoire sur le thème "L'étranger".© Pierre Vidal-Naquet, 2002.Voix du générique : Michel Hagnerelle (2006), Michaelle Jean (2016), Michelle Perrot (2002) https://rdv-histoire.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Louise Weiss fait partie des pionnières de l'Union européenne. Journaliste et femme politique marquée par la violence du XXe siècle, elle a défendu la paix jusqu'à son dernier souffle. Virginie Girod vous raconte l'histoire d'une femme qui a marqué l'unité du Vieux Continent. Louise Weiss, issue d'une famille d'origine alsacienne, grandit consciente des conflits qui traversent l'Europe : à sa naissance, en 1893, la région est allemande depuis plus de vingt ans. Les discussions familiales sur l'affaire Dreyfus l'initient également à la politique. Mais à son époque, on ne demande pas à une femme d'avoir des avis sur le gouvernement. Le père de Louise compte d'abord trouver lui trouver un bon mari. Or, la jeune femme n'entend pas mettre un terme à ses études. Brillante, elle obtient un diplôme de l'Université d'Oxford et passe l'agrégation de lettres. La Première Guerre mondiale change son destin : Louise Weiss s'engage comme infirmière. Révulsée par la violence des combats, c'est dans le journalisme qu'elle trouve sa vocation. Avec sa plume, elle pourra promouvoir la paix. Avant même la fin du conflit, la journaliste fonde sa propre revue L'Europe Nouvelle où elle parvient à rassembler les grands intellectuels de son temps. Si Louise Weiss veut croire en la paix et contribue à diffuser l'esprit de Genève porté par la jeune Société des Nations, l'humiliation du Traité de Versailles est de bien mauvaise augure… Et pour découvrir l'histoire de Louise Weiss dans un récit pour toute la famille, écoutez les Voyages d'Amélia au cœur de l'Histoire : https://audmns.com/ppLQSjZ Thèmes abordés : Alsace-Lorraine, Affaire Dreyfus, journalisme, Première Guerre mondiale, Société des Nations "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Auteure et Présentatrice : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Edition et Diffusion : Nathan Laporte- Coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Ressources en ligne : https://books.openedition.org/irhis/1775?lang=fr https://www.strasbourg-europe.eu/louise-weiss/ https://european-union.europa.eu/principles-countries-history/history-eu/eu-pioneers/louise-weiss_fr https://www.un.org/fr/about-us/history-of-the-un/predecessor#:~:text=Précurseur%20de%20l'Organisation%20des,la%20paix%20et%20la%20sécurité%20» . https://www.cairn.info/revue-histoire-politique-2012-2-page-51.htm Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui !
Mes chers camarades, bien le bonjour !Vous connaissez les conversations à risque ? Comme par exemple, parler de science à un sceptique, d'histoire à un amateur du point Godwin, ou des élections avec le tonton bourré au réveillon ? On a envie de convaincre, même si on sait que ça va finir en embrouille ! En France, ce genre de sujet a même eu un boss au tournant des 19e et 20e siècles, le king du clash : l'affaire Dreyfus ! C'était impossible d'en parler, dans la rue, au boulot, ou même entre amis ou en famille. Tout le monde se déchirait pour savoir qui était dreyfusard ou antidreyfusard ! Pourtant, à la base l'affaire Dreyfus, c'était pas ouf, juste un cas d'espionnage, et l'Histoire aurait très bien pu passer à côté. Mais le contexte a tout fait, et ça a viré à l'erreur judiciaire, au scandale historique, et même à une crise politique qui a secoué toute la Troisième République !Bonne écoute ! Become a member at https://plus.acast.com/s/notabenemovies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mijn familie aan moederskant bestond voornamelijk uit zeelui. We waren met vier broers en allen ondergingen we de aantrekkingskracht die de zee, deze wrede verleidster, op veel mannen uitoefent. Vooral mijn oudste broer Léonce en ikzelf waren getroffen door deze ziekte die ons belette op één plek te blijven, tenzij die plek het dek van een schip was...In deze eerste aflevering van Naar het Duivelseiland vertelt Oostendenaar Eugène Degrave over zijn liefde, en die van zijn broer Léonce, voor de zee... Hun moeder financiert voor hen een stoomschip, maar dat wordt door brand getroffen. In 1890 trekken ze naar Londen om daar aan te monsteren op een schip, maar door een jammerlijk incident met een Grieks matroos worden net op dat ogenblik alle vreemdelingen geweigerd aan boord van Britse schepen. De gebroeders Degrave spreken het Engels zo goed als hun moedertaal, en een boarding-master bezorgt hen papieren op naam van de Britse broers Alexandre en Joseph Rorick. Onder die naam belanden ze op het kleine, paradijselijke eiland Penrhyn, bij Tahiti...Ware Misdaad duikt in het duistere verleden van het Duivelseiland, een beruchte strafkolonie voor de kust van Frans-Guyana (1852-1938), bekend van onder meer de Affaire Dreyfus en het boek Papillon van Henri Charrière, dat twee maal succesvol verfilmd werd. Wij volgen het waargebeurde verhaal van de gebroeders Degrave, die ten onrechte beschuldigd werden van piraterij en moord op de Stille Zuidzee, en veroordeeld tot het Duivelseiland. In dit eerste seizoen Naar het Duivelseiland komen de muiterij op de Niuroahiti, het gekonkel van scheepskok Mirey, de arrestatie van de broers en het proces in het Franse Brest aan bod. In het tweede seizoen, Op het Duivelseiland, hun verblijf in de strafkolonie. Dit verhaal is gebaseerd op de memoires van Eugène Degrave, die door Patrick Bernauw werden vertaald, herwerkt en ingelezen. Zijn boek verscheen in 1901 zowel in het Nederlands als het Frans: Het Proces en de Gevangenschap der Gebroeders Degrave (Rorick) en Le Bagne, Affaire Rorique. Zoals gewoonlijk verzorgde Antoine Derksen de bijzonder filmische audio montage. Meer informatie over het verhaal van de gebroeders Degrave op https://www.bernauw.com/2024/03/duivelseiland-een-nieuw-ware-misdaad.html WARE MISDAAD wordt mogelijk gemaakt door de afdeling moordspel.org van uitgeverij vzw de Scriptomanen. Sinds 2005 organiseert moordspel.org een spannend GPS-moordspel voor jou of een indoor moorddiner. Vraag vrijblijvend een offerte (info@moordspel.org).En als je dan toch bezig bent... Abonneer je nu op WARE MISDAAD zodat je zeker geen aflevering hoeft te missen. Misschien vind je ook de tijd om onze podcast een mooi boeketje sterren toe te kennen op je favoriete platform, of er een review over te schrijven? Wil je ons zelfs een onmisbaar financieel steuntje in de rug geven? Dan kun je lid worden van onze SUPPORTERS CLUB! Voor een kleine maandelijkse bijdrage krijg je toegang tot allerlei lekkers. Volg de link:Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/ware-misdaad--5433901/support.
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! C'est au XIXe siècle que la haine des juifs prend ses caractéristiques modernes. En s'adossant à un discours pseudo-scientifique, elle prend un nouveau nom : "antisémitisme". Pour évoquer la montée de l'antisémitisme, qui culmine avec l'affaire Dreyfus, Virginie Girod s'entretient avec Denis Charbit, professeur de science politique à l'université libre d'Israël. "Il faut bien comprendre que ce qui fait le succès de l'antisémitisme à travers les siècles vient du fait qu'il se greffe sur un discours social dominant. Au XIXe siècle, le discours social principal est celui de la science" explique Denis Charbit. "La haine des Juifs va se greffer à un discours pseudo-scientifique pour décréter qu'il y a une race sémite, qui serait inférieure, mais surtout dangereuse". C'est en 1873 que le journaliste allemand Wilhelm Marr forge le néologisme "antisémitisme". Si la révolution industrielle fait entrer les sociétés dans l'ère moderne, elle donne aussi de nouvelles munitions à ceux qui prônent le rejet des Juifs, notamment à gauche. "La révolution industrielle va permettre à certains Juifs de s'élever dans l'échelle sociale et à travers la figure des Rothschild, par exemple, on va associer le juif à l'argent" illustre Denis Charbit. Si l'antisémitisme prospère dans les milieux socialistes et marxiste, la bourgeoisie est également hostile aux juifs. Un rejet encore teinté d'antijudaïsme. "L'homme qui fait la jonction, c'est Édouard Drumont" précise Denis Charbit. Polémiste et homme politique d'extrême-droite, il publie La France juive "où il essaie de démontrer que la révolution aurait profité aux Juifs seulement, et qu'elle aurait pénalisé en France les ouvriers et les catholiques". Le pamphlet antisémite est un best-seller. Huit ans après sa parution, l'affaire Dreyfus éclate et cristallise l'antisémitisme de l'époque. Alfred Dreyfus, parce qu'il est juif, est considéré comme le coupable idéal d'une affaire de haute trahison qui devient bientôt un conflit social entre deux France. Lorsqu'il s'achève, l'antisémitisme a encore changé de visage. "L'antisémitisme va passer de la gauche à la droite de manière définitive" détaille l'historien "les forces anti-républicaines vont récupérer politiquement l'antisémitisme pour en faire une valeur cardinale jusqu'à l'apothéose : le régime de Vichy". Autre conséquence moins connue, l'affaire Dreyfus contribue à forger le projet sioniste dans l'esprit du journaliste autrichien Theodore Herzl, correspondant à Paris. Accablé par la haine des Juifs qui se déverse dans le pays des droits de l'Homme, "il en arrive à concevoir que la solution politique pour les Juifs, c'est qu'ils disposent d'une terre et d'un État dont ils seraient à la tête" raconte Denis Charbit. Thèmes abordés : antisémitisme, judaïsme, marxisme, Affaire Dreyfus "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler et Nathan Laporte- Réalisation : Julien Tharaud- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
La Belle-Epoqie (1889-1914) n'est pas qu'une période de progrès technique, de prospérité économique et de paix. Les inégalités n'ont jamais été aussi présentes qu'à cette époque, qui a cpnnu son lot de crimes, attentats et autres catastrophes industrielles et naturelles. Loin du cliché des salons mondains, l'insécurité existait réellement, pour de larges pans de la population. Dans ce livre écit à la manière des feuilletons que l'on retrouvait dans les quotidiens d'alors, Arnaud-Dominique Houte nous fait découvrir les peurs et périls que connaissaient les Français au tournant du XXème siècle.
Paul Deschanel, un Président de la République tombé d'un train en pyjama ? Oui, oui, mais pas que. Un personnage plutôt sympathique (sauf de l'avis de Clémenceau qu'il a battu à l'élection présidentielle !), grand orateur, Académicien, fin politicien, qui a marqué la IIIème République. Un destin à (re)découvrir, à l'occasion du centenaire de sa mort.
L'Affaire Dreyfus a scellé dans la mémoire collective la figure de l'intellectuel engagé pour une cause, depuis regardée comme juste par le plus grand nombre. L'Affaire demeure et demeurera édifiante pour appréhender les spasmes de la société contemporaine, rendant par là-même indispensable la lecture de l'oeuvre de Zola. A l'occasion de la sortie de l'ouvrage "Zola peintre de la justice et du droit", nous avons retrouvé Sophie Delbrel à la librairie Dalloz. Sophie Delbrel est maître de conférences HDR en Histoire du droit et des institutions à l'Université de Bordeaux. Elle est spécialisée en Histoire de la justice ainsi qu'en justice et littérature. Elle nous explique ce qui a motivé l'écriture de son livre, revient sur l'Affaire Dreyfus, Zola et la presse, Zola et les peintres de son époque…
Vincent Duclert, historien spécialiste de l'Affaire Dreyfus, publie dans la collection tracts « Premiers combats, la démocratie et la haine des juifs » (Gallimard, 61 p., 3,90 €). Par ce texte, cet éminent chercheur- de culture protestante- alerte nos concitoyens sur les menaces considérables que la résurgence de l'antisémitisme fait peser sur notre vie collective. Il est aussi l'auteur du volume intitulé « La République imaginée » dans la monumentale « Histoire de la France » que dirige Joël Cornette et que publie, en poche, donc à prix modique, la collection folio. Un entretien dynamique et chaleureux avec un homme épris de bien public.
La sortie du jour c'est l'extraordinaire BD #j'accuse de Jean Dytar fait revivre l'affaire Dreyfus au jour le jour en réinterprétant les archives d'époque à travers le filtre des dispositifs médiatiques contemporains comme les chaînes d'info en continu ou les réseaux sociaux. Une œuvre qui dépasse le simple décryptage historique pour développer une critique très actuelle sur le débat d'opinion.On y constate qu'on n'a pas attendu les réseaux sociaux pour troller, inciter à la haine, diffuser des fake news…Cette Bande-Dessinée se présente sous la forme d'un beau coffret. Quand on l'ouvre, on découvre des touches rondes, comme une vieille machine à écrire. Il y a des lettres à la typographie datée d'un autre siècle, mais aussi un hashtag et une arobase qui donnent un côté anachronique au dessin. Avec #J'accuse, le dessinateur Jean Dytar offre plus qu'une bande dessinée il adapte son style à l'époque de son histoire tout en dessinant chaque planche à la façon d'un écran d'ordinateur. Comme si vous étiez sur internet, avec des fenêtres, et les outils du net...
La sortie du jour c'est l'extraordinaire BD #j'accuse de Jean Dytar fait revivre l'affaire Dreyfus au jour le jour en réinterprétant les archives d'époque à travers le filtre des dispositifs médiatiques contemporains comme les chaînes d'info en continu ou les réseaux sociaux. Une œuvre qui dépasse le simple décryptage historique pour développer une critique très actuelle sur le débat d'opinion.On y constate qu'on n'a pas attendu les réseaux sociaux pour troller, inciter à la haine, diffuser des fake news…Cette Bande-Dessinée se présente sous la forme d'un beau coffret. Quand on l'ouvre, on découvre des touches rondes, comme une vieille machine à écrire. Il y a des lettres à la typographie datée d'un autre siècle, mais aussi un hashtag et une arobase qui donnent un côté anachronique au dessin. Avec #J'accuse, le dessinateur Jean Dytar offre plus qu'une bande dessinée il adapte son style à l'époque de son histoire tout en dessinant chaque planche à la façon d'un écran d'ordinateur. Comme si vous étiez sur internet, avec des fenêtres, et les outils du net...
Émile Zola est un écrivain et journaliste français, né le 2 avril 1840 à Paris et mort le 29 septembre 1902 dans la même ville. Considéré comme le chef de file du naturalisme, c'est l'un des romanciers français les plus populaires2, les plus publiés, traduits et commentés dans le monde entier. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision. Sa vie et son œuvre ont fait l'objet de nombreuses études historiques. Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire et qui met en scène la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, à travers ses différentes générations et dont chacun des représentants d'une époque et d'une génération particulière fait l'objet d'un roman. Les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J'accuse… ! » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres la même année. « J'accuse… ! » est le titre d'un article rédigé par Émile Zola au cours de l'affaire Dreyfus et publié dans le journal L'Aurore du 13 janvier 18981, n° 87, sous la forme d'une lettre ouverte au président de la République française, Félix Faure. En 1894, Alfred Dreyfus, officier français d'état-major d'origine alsacienne, et d'obédience judaïque, accusé à tort d'avoir livré des documents à l'Allemagne, est condamné à l'emprisonnement à perpétuité et expédié sur l'île du Diable, en Guyane française. Sa famille organise sa défense et le véritable traître est identifié en novembre 1897 : c'est le commandant Walsin Esterhazy, fait reconnu par le lieutenant-colonel Georges Picquart, chef du service des renseignements militaires. Mais Picquart est limogé par l'état-major, manœuvre visant à empêcher toute reprise judiciaire de l'affaire. Malgré tout, l'élargissement du soutien à Dreyfus qui s'ensuit oblige l'état-major de l'armée à faire comparaître le commandant Esterhazy en conseil de guerre ; il est acquitté à l'unanimité le 11 janvier 1898. C'est ce verdict scandaleux qui pousse Émile Zola à intervenir de façon très forte, en s'exposant personnellement à des poursuites en cour d'assises, devant un tribunal civil et non militaire. En lançant par voie de presse des accusations nominatives contre dix acteurs de l'affaire, dont le ministre de la Guerre et le chef d'état-major de l'armée, le romancier sait qu'il se met sous le coup de la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881 ; il l'écrit même à la fin de son texte. Zola comparaît effectivement au mois de février 1898. Bien que le président de la Cour interdise de parler de l'affaire Dreyfus, plus de cent témoins parviennent à s'exprimer. Zola est condamné au maximum de la peine et s'exile à Londres. Mais le procès a mis au grand jour les failles de l'accusation contre Alfred Dreyfus, ce qui a pour conséquence, quelques mois plus tard, la révision de son cas (procès de Rennes en 1899, suivi de sa grâce immédiate, et de sa réhabilitation par la Cour de cassation en 1906). « J'accuse… ! », l'article d'Émile Zola, au travers de son engagement et en raison des résultats obtenus, est donc le symbole du pouvoir de la presse mis au service de la défense d'un homme et de la vérité.
Durée : 4:30 - Les élèves du lycée Renaudeau à Cholet se sont intéressés à l’univers médiatique en retraçant des événements marquants de l’Histoire. Depuis septembre et en étroite collaboration avec la sonographe Cécile Liège, SUN les a accompagnés dans un parcours d’éducation aux médias et à l’information, ainsi que dans la production de capsules sonores. On commence cette série avec un premier épisode sur l’Affaire Dreyfus. Très bonne écoute !
Création originale de Canal + actuellement sur les écrans, la série en huit épisodes Paris police 1900 revient sur les temps troublés de la capitale française au tournant du siècle dernier.Sur fond de la mort du président Félix Faure et de création de la police scientifique, la série se situe à la veille du deuxième procès de la l'affaire Dreyfus; les antisémites ne se cachent plus : leur plume fielleuse et sordide s'étale à la Une de L'anti juif, un quotidien nauséeux à l'extrême. Cette parole favorise les agressions commises à l'encontre de la communauté juive, accusée de tous les maux. L'anti juif, un journal loin d'être confidentiel…
Création originale de Canal + actuellement sur les écrans, la série en huit épisodes Paris police 1900 revient sur les temps troublés de la capitale française au tournant du siècle dernier.Sur fond de la mort du président Félix Faure et de création de la police scientifique, la série se situe à la veille du deuxième procès de la l'affaire Dreyfus; les antisémites ne se cachent plus : leur plume fielleuse et sordide s'étale à la Une de L'anti juif, un quotidien nauséeux à l'extrême. Cette parole favorise les agressions commises à l'encontre de la communauté juive, accusée de tous les maux. L'anti juif, un journal loin d'être confidentiel…
durée : 00:03:48 - Le Journal de l'histoire - par : Anaïs Kien - Une nouvelle série Canal +, "Paris Police 1900" nous immerge dans la société de la Belle Époque, en pleine affaire Dreyfus.
Pourquoi tant de haine ? est une émission d'ERFM, la radio en ligne et en continu d'Égalité & Réconciliation. Présenté par Monsieur K., ce douzième épisode diffusé en exclusivité sur ERFM le 19 novembre 2019 à 19h avait pour invités Monique Delcroix, historienne et spécialiste de l'affaire Dreyfus, et Bruno Gollnisch. L'occasion de revenir sur cette trouble et complexe affaire qui a secoué la Troisième République et dont les répercussions se font encore sentir aujourd'hui. Affaire Dreyfus remise sur le devant de la scène suite à la sortie dans les salles du film J'accuse réalisé par Roman Polanski et produit par Alain Goldman. Source: https://bit.ly/3nJ1rl9
durée : 00:02:49 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Le capitaine Dreyfus tout comme Miss Provence était juif et cela a suscité des réactions hétérogènes partageant toutefois un trait commun : la haine.
Il y a bientôt 25 ans, Yitzhak Rabin était assassiné par un Israélien juif d'extrême-droite à Tel Aviv. Deux ans plus tôt, le Premier ministre travailliste avait lancé le processus de paix avec Yasser Arafat. Quel héritage de la vision ou du pragmatisme de l'ancien Premier ministre dans la politique israélienne contemporaine ? Quel horizon de cet héritage à l'heure du plan de Paix proposée par l'administration Trump et alors que les élections américaines n'ont pas encore tranché qui de Trump ou de Biden poursuivra - ou non - le tracé de ce Plan ? Au micro de Marika Mathieu et Laurence Goldmann, Denis Charbit, professeur de sciences politiques à la Faculté des Sciences humaines de l'Open University d'Israël. Il est l'auteur, entre autres, de "Israël et ses paradoxes - Idées reçues sur un pays qui attise les passions" 2e édition revue et augmentée en 2018 aux éditions Le Cavalier Bleu . Ses recherches portent sur le sionisme et sur les intellectuels français de l’Affaire Dreyfus à nos jours. À propos du livre : «Israël et ses paradoxes - Idées reçues sur un pays qui attise les passions» paru aux éditions du Cavalier Bleu Israël, plus que tout autre pays, suscite les passions. Pro- et antiattisent la polémique à coup d'idées reçues : « Israël et le lobby juif dictent la politique des États-Unis au Moyen-Orient », « Israël est la seule démocratie au Moyen-Orient », « Israël pratique l'apartheid », « Tsahal est l'armée du peuple », « Israël est un État théocratique », etc. À force de combattre les préjugés des uns et des autres, c'est débattre qui est devenu impossible. C'est la grande ambition de ce livre que de favoriser le retour au débat : exigeant, argumenté, contradictoire, conjuguant les divergences, autorisant les convergences. Quiconque tient que toute la vérité vient d'Israël et que la Palestine est mensonge ; quiconque pense que le Mal est israélien et que le Bien est palestinien, ne trouvera guère dans ce livre de quoi blinder ses convictions. Il ne s'agit pas non plus de décréter une symétrie entre les causes et de croire à une neutralité possible. Ni État d'exception ni État exceptionnel, Israël est « un État comme les autres », avec ses paradoxes. Cela ne le dispense nullement de rendre compte de ce qu'il est et de rendre des comptes sur ce qu'il fait. 2e édition revue et augmentée Denis Charbit est maître de conférences au département de sociologie, science politique et communication à l’Open University d’Israël. Ses recherches portent sur le sionisme et sur les intellectuels français de l’Affaire Dreyfus à nos jours.
Apoie o canal: https://apoia.se/podcastdaraphus. Ou adquira nossos livros em nosso site: http://raphuspress.weebly.com. Dúvidas sobre envio, formas de pagamento, etc.: http://raphuspress.weebly.com/contact.html. O jardim vermelho de Octave Mirbeau (Anfiteatro do Esquecimento - ep. 10) “O horror da marcha contrastava brutalmente com a beleza do cenário.“ (“Cannibals of West Papua”, de Brendan Connell) Em 1899, em pleno furor do “Affaire Dreyfus” na França, Octave Mirbeau escreveu seu breve libelo sádico contra a civilização instituída, seu breve romance “Le Jardim des Supplices”. Brutal, sádico, impiedoso, cínico, cético, pitoresco, caricatural – vários adjetivos caberiam para qualificar essa narrativa, mas sua estrutura realmente revolucionária, seu amplo impacto (a despeito da censura que sofreu) e sua perene influência atestam que estamos diante de um exercício de crueldade imortal. Indicações: - Connell, Brendan. Cannibals of West Papua. Düsseldorf: Zagava, 2015 (https://www.zagava.de/shop/cannibals-of-west-papua?edition=8&versions=0). - Mirbeau, Octave. O Jardim dos Suplícios. (Séria Livro B). Lisboa: Editorial Estampa, 1972. - __________. Le Jardin des supplices. Paris: Folio, 1988 (http://www.folio-lesite.fr/Catalogue/Folio/Folio-classique/Le-Jardin-des-supplices). Música: Etude Opus 2 No 1 Exzel Music Publishing (freemusicpublicdomain.com) Licensed under Creative Commons: By Attribution 3.0 http://creativecommons.org/licenses/by/3.0/ Nosso podcast também está disponível nas seguintes plataformas: - Spotify: https://open.spotify.com/show/4NUiqPPTMdnezdKmvWDXHs - Apple: https://podcasts.apple.com/us/podcast/podcast-da-raphus-press/id1488391151?uo=4 - Google Podcasts: https://podcasts.google.com/?feed=aHR0cHM6Ly9hbmNob3IuZm0vcy8xMDlmZmVjNC9wb2RjYXN0L3Jzcw%3D%3D
Rubrique:histoire Auteur: emile-zola Lecture: Christiane-JehanneDurée: 20min Fichier: 18 Mo Résumé du livre audio: Texte superbe, sur la Justice, et la mise en garde face à l'intolérance, le manque de discernement. 1897. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
durée : 00:49:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Henri Guillemin - Avec Henri Guillemin - Réalisation Marie Vouilloux - réalisation : Virginie Mourthé
Rejouer le cours de la vie de la « sulfureuse » Marguerite Steinheil, c’est le point de départ fort et assumé par l’historienne et psychanalyste belge Sylvie Lausberg. Dans Madame S, paru aux éditions Slatkine & Cie, Sylvie Lausberg mène l’enquête. Entre roman et essai, qu’est-ce que ça donne ? La quatrième de couverture : C’est une histoire bien française. Le 16 février 1899, à l’Élysée, Félix Faure s’étouffe de plaisir dans les bras de sa maîtresse, une certaine Mme Steinheil. « Le Président a-t-il encore sa connaissance ? Non, elle est sortie par l’escalier de service. » Clemenceau commente : « Il se voulait César, il ne fut que Pompée. » Mais qui était cette mystérieuse Madame S ? Assurément pas une cocotte. Héritière d’une grande famille d’industriels protestants, mariée trop jeune à un peintre trop vieux, Madame S est alors la coqueluche du Tout-Paris politique. Sur fond d’affaire Dreyfus, elle se rapproche de Félix Faure et s’installe au cœur du pouvoir et des secrets d’État. Après la mort du Président, elle disparaît. On la retrouve neuf ans plus tard, accusée du meurtre de sa mère et de son mari. Elle est emprisonnée, jugée, innocentée. Disparaît encore. Épouse un lord anglais, s’installe à Brighton et finit enlevée au Maroc… Sa vie est un roman. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/3aDQXxT
Con motivo del estreno en España de la película dirigida por Roman Polanski, El oficial y el espía, el escritor y catedrático de Literatura Española, Jon Juarisiti, nos ofrece la siguiente conferencia en la que analiza el caso y su repercusión histórica. Además, el ponente realiza una comparativa sobre el acontecimiento que se retrata en la película y la situación actual del creciente antisemitismo en el mundo, y debate sobre el papel que puede desempeñar el cine en la educación de las nuevas generaciones.
Aprovechando el estreno de la -hasta el momento- última peli de Polanski, centrada en el affaire Dreyfus, hablamos de este episodio histórico que marcó la contemporaneidad al considerarse el punto de origen de la intelectualidad moderna, llevar a debate el papel de la prensa en las sociedades contemporáneas y denunciar los intentos de los poderes fácticos gubernamentales de controlar a la población incluso de forma ilegal. De paso hablamos del proceso judicial en el que estuvo involucrado Polanski por tener relaciones sexuales y ofrecer drogas a una menor, lo que queda reflejado en obras también muy recomendables como el documental "Polanski: se busca".
durée : 00:52:31 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Anaïs Kien - Le 13 novembre dernier sortait "J'accuse !" le nouveau film réalisé par Roman Polanski qui revient sur la fameuse "Affaire Dreyfus" mais avec un point de vu singulier, celui du lieutenant-colonel Georges Picquart. - réalisation : Thomas Jost, Peire Legras - invités : Marie Aynié historienne; Pauline Peretz historienne, spécialiste des États-Unis et des relations internationales; Pierre Gervais professeur de civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3; Marie-Neige Coche professeure d’histoire-géographie et d’enseignement moral et civique en lycée à Versailles
Bernard Lazare fue un francés de origen judío que alzó la voz como nadie para defender y rehabilitar al Capitán Dreyfus a finales del siglo XIX. Un personaje muy complejo que en el inicio de su vida caía en el la tentación del antisemitismo para transformarse a lo largo de los acontecimientos del Affaire Dreyfus en un ideólogo del sionismo. Para muchos es totalmente desconocido y en ciertos aspectos encarna la realidad del judaísmo francés de una época que la profesora Martina Lemoine nos recuerda en este podcast. La doctora en estudios hispánicos e iberoamericanos, Martina Lemoine, nos habla sobre esta figura tan representativa en la sociedad francesa del siglo XIX.
durée : 00:49:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Les historiens racontent - Henri Guillemin raconte l'Histoire, 3 : Emile Zola et l'Affaire Dreyfus (1ère diffusion : 28/09/1986)Par Henri Guillemin - Avec Henri Guillemin - Réalisation Marie Vouilloux * Les historiens racontent - Henri Guillemin raconte l'Histoire, 3 : Emile Zola et l'Affaire Dreyfus (1ère diffusion : 28/09/1986) - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:49:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Les historiens racontent - Henri Guillemin raconte l'Histoire, 3 : Emile Zola et l'Affaire Dreyfus (1ère diffusion : 28/09/1986)Par Henri Guillemin - Avec Henri Guillemin - Réalisation Marie Vouilloux * Les historiens racontent - Henri Guillemin raconte l'Histoire, 3 : Emile Zola et l'Affaire Dreyfus (1ère diffusion : 28/09/1986) - réalisation : Virginie Mourthé
Les Matinales – Emission présentée par Sandrine Sebbane. Thème : Emile Zola et l’Affaire Dreyfus. Avec comme invités : Jean-Paul Delfino, scénariste et écrivain pour son livre « Assassins ! », Catherine Arditi, comédienne, Anouche Setbon, metteure en scène pour la pièce « Madame Zola » au Petit Montparnasse (14e) et Philippe Oriol, historien français et spécialiste de l'Affaire Dreyfus À propos du livre : «Assassins !» paru aux Éditions Héloïse d'Ormesson En 1897, la publication de J'accuse... ! plonge la France dans un climat délétère où l'antisémitisme s'affi che fi èrement. Au coeur de la polémique, Émile Zola déchaîne des torrents de haine, devenant la cible privilégiée des confrères jaloux, des ligues et de la presse d'extrême droite. Jusqu'à devenir l'homme à abattre ? La piste est sérieuse lorsqu'en 1902, l'auteur des Rougon-Macquart succombe à une intoxication suspecte au gaz méphitique. Qui, parmi ses proches ou adversaires, avait intérêt à le faire défi nitivement taire ? Assassins ! retrace la vie passionnante du gamin d'Aix-en-Provence devenu un mythe littéraire. Car, à l'heure de mourir, que valent les honneurs face au souvenir du poème dédié à son premier amour ? Que pèse le succès face aux caresses d'une lingère ? En écho aux réminiscences du condamné, les ennemis défilent sur la scène d'un pays aux idéaux sacrifiés sur l'autel de l'intolérance. Scénariste et auteur d'une vingtaine de romans, JEAN-PAUL DELFINO a récemment publié aux Éditions Le Passage Les Pêcheurs d'étoiles (autour de Cendrars et Satie) et Les Voyages de sable (prix des Romancières 2019, Saint-Louis), plébiscités par la critique. À propos de la pièce: «MADAME ZOLA» Au petit Montparnasse 1908. Une rencontre aussi improbable que pittoresque entre Alexandrine, veuve d’Émile Zola, et un étonnant apothicaire réputé pour ses potions magiques. Ce tête-à-tête amène Madame Zola, personnage haut en couleurs, à évoquer son homme, leur vie commune qui a façonné son œuvre, les mœurs incroyablement libres d’un homme public craignant pourtant le scandale, l’Affaire Dreyfus, la condamnation, l’exil, la réhabilitation… Alexandrine Zola, femme passionnée, anticonformiste et injustement méconnue sort de l’ombre écrasante de son mari, Émile… Avec: Catherine ARDITI et Pierre FOREST De: Annick LE GOFF Mise en scène: Anouche SETBON Scénographie: Oria PUPPO Costumes: Juliette CHANAUD Lumières: Laurent BÉAL Musique: Michel WINOGRADOFF Assistante à la mise en scène: Sophie GUBRI À propos du livre : «Le faux ami du capitaine Dreyfus: Picquart, l'Affaire et ses mythes» paru aux Éditions Grasset Picquart, un solitaire courageux qui a non seulement sauvé Dreyfus, mais l’honneur de l’armée française, ou une histoire commode que se raconte la mémoire collective ? L’affaire Dreyfus est aujourd’hui l’histoire d’une victime : Dreyfus, et d’un héros : Picquart. Jeune et brillant lieutenant-colonel, Picquart découvre l’erreur qui a fait condamner l’innocent, met tout en œuvre pour la réparer, résistant à la hiérarchie avec une volonté qui va jusqu’au sacrifice : pour n’avoir pas voulu se taire, Picquart est emprisonné pendant 324 jours et radié de l’armée, jusqu’à ce que, en 1906, il soit réintégré, nommé général, et bientôt ministre de la Guerre dans le cabinet présidé par Georges Clemenceau. Ce récit ne correspond pas à la vérité historique que ce livre, sur la base d’une nombreuse documentation inédite, tente de rétablir. Le « vrai » Picquart, c’est aussi l’homme qui a participé à la condamnation de Dreyfus en conseillant l’illégalité qui sera commise à son procès. Le « vrai » Picquart, s’il a un moment entrepris de faire corriger l’erreur judiciaire, l’a plus fait plus pour sauver la réputation de l’armée que l’honneur d’un persécuté. Le « vrai » Picquart, c’est un homme qui, quand il subit des représailles, fait marche arrière et entrave l’action des partisans de Dreyfus afin d’assurer sa propre sauvegarde, ne se lançant dans l’action que quand il a su qu’il n’avait rien à perdre. Le « vrai » Picquart, c’est un antisémite obsessionnel qui ne cessera de penser que l’engagement des dreyfusards n’a été guidé que « par des considérations de personnes, de caste, de parti » qui avaient pour but d’assurer « l’hégémonie israélite ». Le « vrai » Picquart, c’est l’homme qui, après la grâce de Dreyfus, s’est acharné contre lui, ce livre révèle comment pour la première fois. « Figurez-vous qu’il veut être nommé Lieutenant-Colonel, cet animal-là » ! Un livre de justice définitivement rendue.
Le mardi 19 février, des milliers de Français ont manifesté dans plusieurs villes pour dénoncer les actes antisémites commis ces dernières semaines, notamment des graffitis représentant des croix gammées ou encore la profanation d’un cimetière juif. Mais le phénomène n’est pas nouveau. Cela fait déjà plusieurs années que l’antisémitisme a refait son apparition en France. Cependant, les politiciens semblent impuissants face à ce phénomène. Dans cet épisode, nous allons essayer de comprendre les racines de l’antisémitisme en France à travers deux évènements qui ont marqué son histoire : l’Affaire Dreyfus et la Rafle du Vel d’Hiv. Vous pouvez lire la transcription ici.
Avec cette troisième (et dernière) émission sur L’Affaire, en compagnie de Philippe Oriol, l’historien spécialiste qui a consacré plus de 20 ans de sa vie à ce dossier, nous faisons une mise au point définitive sur le sujet ... jusqu’à ce que de nouveaux documents apparaissent, et changent la vision historique ... ce qui paraît improbable malgré tout. Grâce à Philippe Oriol, c’est à un véritable travail historique auquel nous nous sommes livrés, en revenant sur la théorie intellectuellement excitante d’Adrien Abauzit (« coupable mais pas traître ») de l’émission précédente. Et qu’on se le dise, Philippe Oriol, co-fondateur de la Société Internationale d’Histoire de l’Affaire Dreyfus, n’est pas un historien dreyfusard. C’est un historien tout simplement. Et sacrément passionnant !
« L’Affaire » comme on dit, n’a pas fini de nous hanter, tant le dossier est compliqué. Si une multitude d’ouvrages existe, du plus large au plus précis, peu en revanche apportent un éclairage différent de « l’histoire officielle ». Et surtout, était-ce réellement utile de remuer une affaire jugée, rejugée, amnistiée, grâciée puis finalement disculpée ? Normalement non. Et pourtant, à la lecture de l’ouvrage d’Adrien Abauzit « L’Affaire Dreyfus, entre farces et grosses ficelles », qui a épluché l’intégralité des procès (y compris celui de Zola), certains éléments peuvent amener au fameux « doute raisonnable »... Après beaucoup de relecture, de « fact checking » (comme on dit de nos jours), nous avons décidé d’inviter l’auteur, afin qu’il nous présente ses conclusions pour le moins intéressantes. Et si finalement Alfred Dreyfus avait bien écrit le fameux Bordereau ? Et si en plus il n’avait pas été un traître pour autant ? Pourquoi certains documents invraisemblables ont été pris comme pièces maîtresses du procès de Rennes ? Dans cet épisode hypra sensible, nous sommes restés uniquement sur les faits et les pièces des procès, pour lesquelles chacune et chacun pourra se faire une opinion ... Nous ne détenons aucune vérité, nous ne prétendons pas ici influencer les auditeurs, simplement informer qu’il existe une autre version, que l’on a le droit de se poser des questions, et que, même si finalement la conclusion est erronée, le doute aura permis de creuser la question, et d’en apprendre davantage ...
À propos du Livre Histoire mondiale de la France aux Editions du Seuil En préambule, l’auteur déclare que « cet ouvrage relève d’une ambition politique avec une conception pluraliste de l’histoire par opposition au rétrécissement identitaire ». C’est l’aboutissement de l’aventure collective de 122 historiens conduits par une équipe de coordinateurs, sous la direction de Patrick Boucheron. Le sommaire est bâti autour de 155 dates marquantes de l’histoire de France. Chaque historien a reçu quelques contraintes de rédaction, ne pas dépasser 10 000 signes et ne comporter aucun renvoi. A chacun il était demandé de raconter un récit avec en filigrane la citation de Michelet : « il ne serait pas trop de l’histoire du monde pour expliquer la France ». L’objectif de ce travail est de montrer que la France n’est pas tout à fait un pays comme les autres, qu’il ne peut être appréhendé que dans une histoire plus large, plus générale et sur une longue durée. Le crible national ne suffit pas. C’est à partir de l’une des dates traitées qu’Annette WIEVIORKA illustre le fonctionnement de l’ouvrage. C’est à l’année 1105 que l’historienne Juliette Sibon consacre un article. C’est l’année de la mort de Rachi à Troyes. Le récit de sa vie et de son œuvre dans la « capitale du Talmud » va permettre d’aboutir à cette étonnante question : « qu’est-ce qu’un écrivain français ? » Chaque date étudiée ouvre des promenades entre son passé et son avenir. Á partir de Rachi, on peut revenir en 842 aux Serments de Strasbourg mais aussi bondir vers l’ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539 puis vers l’Affaire Dreyfus en 1894. Á la fin de l’ouvrage sont proposés des « parcours buissonniers ». Parmi ceux-ci, un parcours « Judaïsme » qui démarre en 1347, année de la grande peste avec ses premiers pogroms… Bien entendu, ce genre d’ouvrage est fait de choix qui sont toujours critiquables. On y rencontre Fanon mais pas Sartre, Malraux mais pas Mauriac… Une telle entreprise aboutissant à un tel ouvrage a forcément suscité des critiques. Certaines ont même été formulées dans ce même studio dans le cadre d’une autre émission. Pour conclure, Patrick Boucheron déclare : « diriger la réalisation de ce livre c’est en être le premier lecteur. J’y ai appris de nombreuses choses qui ont ouvert mon regard, qui m’ont donné d’autres occasions de fierté ».
ANNA FOA RACCONTA L'AFFAIRE DREYFUS