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Il y a 30 ans, Yitzhak Rabin était assassiné à Tel-Aviv par un étudiant nationaliste opposé à la paix avec la Palestine. Delphine Horvilleur, alors étudiante, raconte cet événement décisif.Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Louis Amar vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité dans sa “Story”.
Pour écouter l'épisode en entier, tapez "#501 - Delphine Horvilleur - Rabbin, Écrivaine - Dialoguer quand tout nous divise" sur votre plateforme d'écoute.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un monde où plus personne ne s'écoute, elle bâtit des ponts.Étudiante en médecine, journaliste au Proche-Orient, et finalement rabbin, Delphine Horvilleur multiplie les vies.Dans sa famille, c'est devenu une blague : "Alors, qu'est-ce que tu vas devenir ensuite ?"Mais derrière ce parcours atypique, Delphine travaille depuis plus de vingt ans à réintroduire le dialogue là où il n'y a plus que du bruit.Elle parle d'un judaïsme ouvert, "libéral", de la nécessité d'écouter l'autre, et de cette liberté intérieure qu'on ne trouve qu'en acceptant de ne pas tout comprendre.Dans cet épisode passionnant, rassurant, nous avons parlé sans détour de :Être l'une des seules femmes rabbins en FrancePourquoi nous n'arrivons plus à nous parler, même dans nos propres famillesComment accompagner la mort au quotidienL'antisémitisme aujourd'huiDelphine ne cherche pas à convaincre, mais à comprendre.Un épisode essentiel pour quiconque cherche à comprendre notre époque et retrouver le goût du discernement sans s'enfermer dans une lecture binaire du monde.TIMELINE:00:00:00 : Laisser la place au doute00:09:48 : Quand la nuance devient un risque00:20:13 : La vérité est-elle encore possible ?00:32:43 : Le pouvoir caché des mots00:43:12 : Dire merde à la mort00:50:53 : Faire son deuil, une expression qui ne veut rien dire01:01:18 : La religion avait-elle prédit l'intelligence artificielle ?01:15:20 : Ce que l'IA ne saura jamais faire : oublier01:23:00 : Les mots ont toujours un double fond01:31:33 : Nous aurons tous plusieurs vies01:40:56 : Juifs & Israéliens : pourquoi l'amalgame est-il si fréquent ?01:49:51 : La haine la plus vieille du monde02:08:54 : Quels leaders la jeunesse écoute-elle ?02:18:08 : Comprendre ce qui se trouve entre les lignes02:27:12 : La forme la plus rare d'intelligence02:36:20 : Le courage commence par le discernementLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #497 - Grégoire Gambatto - Ctrl+G - Dissoudre ses peurs, faire les choix difficiles et vivre son plein potentiel#476 - Yannick Alléno - Chef, Groupe Alléno - Du bistrot à l'empire gastronomique aux 17 étoiles#450 - Karim Beguir - InstaDeep - L'IA Générale ? C'est pour 2025#261 - Caroline Vigneaux - Humoriste et réalisatrice - Changer de vie : passer de la plaidoirie au stand-up#181 - Olivier Goy - La vie, la maladie, le dépassement : memento moriNous avons parlé de :Sermon prononcé par Delphine Horvilleur le soir de Yom KippourLe TalmudL'assassinat d'Yitzhak Rabin en 1995Les accords d'OsloL'émouvant hommage de Luis Enrique à sa défunte filleAttentat devant une synagogue à ManchesterLes recommandations de lecture :Le TalmudVivre avec nos morts : Petit traité de consolation - Delphine HorvilleurBelle du Seigneur - Albert CohenÔ vous, frères humains - Albert CohenComment ça va pas ? - Delphine HorvilleurLa vie devant soi - Émile Ajar / Romain GaryUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
The turmoil around the Gaza war has transformed French Jews into “different people” than they were two years ago, pioneering rabbi Delphine Horvilleur said on the Haaretz Podcast. “I don't know any of any Jewish family in France who hasn’t had a conversation around the Shabbat table,” Horvilleur said, contemplating possible emigration and wondering what will remain of Jews in France a decade from now. In her discussion with podcast host Allison Kaplan Sommer, Horvilleur talks about inspiring the hit HBO show "Reformed" and the books she's penned herself: "Living with Our Dead" and "How Isn't It Going? Conversations After October 7." The rabbi also addressed the hate mail and death threats she received after writing a column in a French Jewish magazine last spring that was critical of far-right members of the Israeli government who justified denying humanitarian aid to Palestinians in Gaza as legitimate acts of war. She noted the “really harsh” threats she received were smaller in number than the amount of support. “Even today, I walk in the streets of Paris, and Jews stop me and say, ‘thank you for speaking out, because we believe exactly what you said, but we cannot say it anymore.’ Somehow the crisis and the war and the pain and the trauma created an inability to talk. "And for me, the real threat today lies in not being able to say what we think, to talk and re-engage in the Jewish conversation” in which, Horvilleur said, it is possible to be “both supportive of and critical of” Israel. Join Haaretz and meet our journalists at the Other Israel Film Festival, running from November 6-13 in New York City. Use the code haaretz25 at checkout for 20 percent off admission. View the event schedule and buy tickets here.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:11:01 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - L'invitée du 7h50 de Benjamin Duhamel est Delphine Horvilleur, écrivaine, philosophe et rabbin, alors que les derniers otages israéliens à Gaza doivent être libérés ce lundi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:11:01 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - L'invitée du 7h50 de Benjamin Duhamel est Delphine Horvilleur, écrivaine, philosophe et rabbin, alors que les derniers otages israéliens à Gaza doivent être libérés ce lundi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:39:06 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Deux ans après les massacres du 7 octobre 2023, un plan de paix américain ravive l'espoir : vendredi, le Hamas s'est dit prêt à libérer les otages restants. Mais au-delà de l'urgence du cessez-le-feu, une question s'impose : comment rebâtir un dialogue entre deux sociétés traumatisées ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Delphine Horvilleur Rabbin et philosophe; Jadd Hilal écrivain franco-palestino-libanais
durée : 00:32:19 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - Après avoir reçu le rabbin Delphine Horvilleur la semaine dernière, nous recevons cette semaine le rabbin Yann Boissière pour faire partager ses réflexions sur le métier de rabbin en cette période des "yamim noraïm", « les jours redoutables », et ces temps inquiets que nous traversons. - réalisation : Alexandra Malka
L'avocat de l'abolition de la peine de mort va entrer au Panthéon. « Le dernier "saint de la République" », titre Le Nouvel Obs. Ministre de la Justice, président du Conseil constitutionnel, sénateur : le magazine explore ce qui fait de lui une « figure morale incontestable » en rappelant, au-delà de son combat contre la peine de mort, son « rôle décisif dans la dépénalisation de l'homosexualité » et son « souci constant des détenus dont il rappelait qu'ils demeuraient avant tout des citoyens ». « Robert Badinter n'est pas un personnage fade et consensuel, sans angles ni aspérités, qui ne suscitait aucun conflit », ajoute auprès du Nouvel Obs l'ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira, figure de la gauche, tout comme l'était Robert Badinter, même si ses valeurs d'universalisme et d'humanisme sont parfois appréhendées, souligne le magazine, de différentes façons au sein de son propre camp. « Chacun projette en Badinter sa propre vision de la République », résume Le Nouvel Obs, qui est donc persuadé que « cette panthéonisation, l'une des dernières de la présidence Macron, ne divisera pas ». « Très rares sont ceux qui, en 2025, contestent » l'héritage de Robert Badinter. 5 objets symboliques au Panthéon Un an et demi après sa disparition, à 95 ans, cet avocat « nourri de l'esprit des Lumières et de Condorcet », rappelle Le Nouvel Obs, va donc rejoindre le Panthéon, jeudi 9 octobre. Plus précisément, indique L'Express, ce sont 5 objets symboliques qui seront déposés dans un cénotaphe, un tombeau élevé à la mémoire d'un mort, mais qui ne contient pas son corps. Une robe d'avocat, une copie du discours de Robert Badinter devant l'Assemblée nationale, le 17 septembre 1981, au moment de l'abolition de la peine de mort, et trois livres dont un de Victor Hugo, les Choses vues, dans lequel est écrite cette résonnante phrase : « Heureux si l'on peut un jour dire de lui : En s'en allant, il emporta la peine de mort ». Cette panthéonisation est « une récompense magnifique », se réjouit sa femme, Elisabeth Badinter, dans les colonnes du Point. « Celle de la France à l'égard de ce petit Juif issu d'une famille très modeste. » Robert Badinter dont le père, Simon, a été arrêté à Lyon en 1943 par Klaus Barbie, pour être déporté puis gazé au camp de Sobibor, en Pologne. La résurgence de l'antisémitisme depuis l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023, ce fut donc « un choc » pour lui, témoigne sa femme dans Le Point, qui publie justement un extrait d'un livre de Robert Badinter qui vient de paraître, Sur l'épreuve de l'antisémitisme. Une société israélienne « traumatisée » Ces mots résonnent particulièrement à l'approche du 7 octobre, et des deux ans de guerre entre Israël et le Hamas. Dans le même magazine (imprimé avant la réponse du Hamas au plan de paix proposé par Donald Trump) : cet article d'une correspondante à Tel-Aviv qui écrit qu'une « grande partie de la société israélienne redoute qu'une nouvelle déception ne vienne à nouveau doucher ce début d'espoir ». « Une société traumatisée », rapporte Le Point, qui a rencontré plusieurs psychologues israéliens dont les cabinets ne désemplissent pas depuis l'attaque du Hamas, le 7 octobre 2023. « Plusieurs études estiment à environ 3 millions le nombre d'Israéliens souffrant de troubles plus ou moins importants. » « Le Centre israélien sur la toxicomanie et la santé mentale évoque une hausse de 25 % de la consommation de drogue. » Malaise perceptible, aussi, dans les pays étrangers, de la France aux États-Unis. Le Point cite d'abord cette Parisienne de 56 ans qui « demande à son gendre d'ôter sa kippa quand il sort », et qui ressent « une haine, une défiance s'installer » à son travail. Elle envisage de rejoindre Israël avec sa fille d'ici l'été. Plus de 2 000 Français sont partis en 2024, soit le double de l'année précédente. À New York, aussi, « la sérénité a disparu », témoigne un autre Français installé dans cette ville pourtant vue, depuis plus d'un siècle, rappelle Le Point, « comme un refuge pour la population juive persécutée ». La probable arrivée de Zohran Mamdani à la mairie de New York inquiète une partie de la communauté, braquée par certaines déclarations du candidat démocrate et musulman. Visite dans un mémorial du 7-Octobre Une société israélienne « qui se radicalise », aussi, observe Le Nouvel Obs, « et qui ne cesse de revivre l'attaque la plus meurtrière de son histoire ». En témoigne ce reportage à Réïm, à la frontière avec Gaza, sur le site de la fête techno Nova, où le Hamas a assassiné des centaines de jeunes, le 7 octobre 2023. Un mémorial a été installé, accueillant, chaque jour, « de nombreux cars » et « des groupes de visiteurs ». Ils se recueillent devant les photos des victimes, mais aussi face au « cimetière de voitures calcinées avec, à chaque véhicule, un QR code qui envoie sur le téléphone l'histoire tragique de ses occupants ». Non loin, dans le kibboutz Nahal Oz, une partie de la population revient. « Il y a des tractopelles un peu partout, décrit Le Nouvel Obs, ça construit, ça rénove. Les jardins sont luxuriants ; des familles avec des poussettes se promènent, imperturbables quand retentit le son des explosions. » « Les gens comprennent, dit une habitante, que c'est important que nous, Juifs, habitions cet endroit, près de la frontière. Pour la sécurité de notre pays. » « Évidemment, il y a d'abord eu le choc et le deuil après le 7-Octobre, se souvient la rabbin Delphine Horvilleur auprès du Nouvel Obs. Et puis, très vite, la sidération face au manque d'empathie pour les victimes israéliennes. Mais j'ai également senti ce moment où certains des miens ont aussi vrillé, où la radicalité à l'intérieur de ma communauté est allée croissant. La difficulté pour la rabbin que je suis, dit-elle, est que je dois accompagner mon peuple dans la consolation et la quête de sécurité auxquelles il a pleinement droit et, simultanément, que je dois l'accompagner dans son questionnement sur lui-même, dans sa possibilité de critiquer le gouvernement du seul Etat-refuge dont il dispose. Et par moments, je ne sais plus si je dois tendre un miroir ou tendre les bras aux miens. » Sébastien Lecornu coincé entre les socialistes et la droite À la Une, également : la fin du compte à rebours pour la composition du nouveau gouvernement français. Ce sera aujourd'hui, 5 octobre, selon La Tribune Dimanche ; dans les 48h, d'après le JDD. Le Journal du dimanche anticipe « 24 ministres grand max » et révèle déjà son casting : la présence de la droite « devrait être renforcée » autour de Bruno Retailleau, maintenu ministre de l'Intérieur, tout comme Gérald Darmanin à la Justice. Sur le flanc gauche, en revanche, « seul Manuel Valls conserverait les Outre-mer ». Il faut dire qu'avec les socialistes, le chef du gouvernement « semble toujours dans une situation très précaire », observe La Tribune Dimanche, qui se demande si le PS décidera, ou non, immédiatement de censurer Sébastien Lecornu à l'issue de sa déclaration de politique générale, mardi 7 octobre. Le Premier ministre a pourtant accédé à une revendication des socialistes en renonçant au 49.3, mais ils « insistent sur la suspension de la réforme des retraites », chose dont la droite « ne veut pas entendre parler »... Les Républicains qui, eux, avancent, d'après La Tribune Dimanche, « sans enthousiasme vers une participation gouvernementale ». Tout cela, résume le journal, permet à Sébastien Lecornu « d'appréhender un peu plus les limites du défi auquel il est confronté à une époque où seule la radicalité paie et le compromis est vu comme une faiblesse ».
durée : 00:32:02 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - Le rabbin Delphine Horvilleur, cette semaine, et le rabbin Yann Boissière la semaine prochaine, nous font partager leurs réflexions sur leur métier de rabbin en cette période des "yamim noraïm", « les jours redoutables », qui résonnent avec force dans les temps inquiets que nous traversons. - réalisation : Alexandra Malka
Voici un épisode qui a été enregistré dans le cadre des LEGEND LADIES NIGHTS, des soirées hors du temps dans des lieux d'exception, ici mardi soir à Paris au sein du magnifique Philanthro Lab. Les Legend Ladies Nights rassemblent 150 femmes influentes et engagées de différents écosystèmes qui sont réunies autour d'une thématique et pour cette 4ème édition c'était la Puissance mais pas n'importe laquelle puisque nous avons exploré la force intranquille de cette dernière. Durant la soirée 4 dirigeantes d'entreprises engagées Puis le témoignage de note invitée d'honneur Rabbin, écrivaine et intellectuelle, elle est l'une des voix les plus singulières du paysage spirituel et culturel français. Inclassable, toujours en mouvement, elle questionne les textes comme elle nous questionne nous-mêmes, refusant les certitudes pour mieux faire apparaître la nuance et la complexité. Fille de deux héritages familiaux contrastés Delphine a appris très tôt à habiter plusieurs mondes à la fois. Cette capacité traverse son parcours : des études de médecine et de journalisme à la découverte du Talmud, jusqu'à devenir rabbin à Paris, enceinte de huit mois, dans un univers qui ne faisait pas de place aux femmes. Dans cet épisode, Delphine revient sur ces différentes identités qu'elle revendique comme une force, sur la maternité comme puissance de l'altérité, sur l'art de transmettre le doute dans un monde qui réclame des certitudes, et sur l'importance de défendre l'intranquillité comme espace de liberté. Nous parlons aussi du contexte brûlant de cette rentrée, à l'approche des deux ans du 7 octobre, et de la manière de tenir, de résister et de penser face à l'angoisse et à la montée des violences. Un échange profond et lumineux avec une femme qui refuse les raccourcis, et qui nous invite à embrasser la complexité pour mieux comprendre le monde. Belle écoute ! NOTES DE L'ÉPISODE: Le podcast vous plaît ? Prenez 30 secondes pour le noter 5 étoiles sur Apple podcast ou Itunes, et commentez si vous le souhaitez, c'est très précieux pour moi !
Rachid Benzine est enseignant et chercheur associé au Fonds Ricœur. Il est l'auteur de nombreux textes plébiscités par le public et la critique, dont «Lettres à Nour», «Ainsi parlait ma mère», «Des mille et une façons d'être juif ou musulman», dialogue avec Delphine Horvilleur, «Voyage au pays de l'enfance» et «Les Silences des pères», grand prix du roman Métis. Son nouveau roman «L'homme qui lisait des livres» se déroule à Gaza. Entre les ruines fumantes de Gaza et les pages jaunies des livres, un vieil homme attend. Il attend quoi ? Peut-être que quelqu'un s'arrête enfin pour écouter. Car les livres qu'il tient entre ses mains ne sont pas que des objets – ils sont les fragments d'une vie, les éclats d'une mémoire, les cicatrices d'un peuple. Quand un jeune photographe français pointe son objectif vers ce vieillard entouré de livres, il ignore qu'il s'apprête à traverser le miroir. «N'y a-t-il pas derrière tout regard une histoire ? Celle d'une vie. Celle de tout un peuple, parfois», murmure le libraire. Commence alors l'odyssée palestinienne d'un homme qui a choisi les mots comme refuge, résistance et patrie. De l'exode à la prison, des engagements à la désillusion politique, du théâtre aux amours, des enfants qu'on voit grandir et vivre, aux drames qui vous arrachent ceux que vous aimez, sa voix nous guide à travers les labyrinthes de l'Histoire et de l'intime. Dans un monde où les bombes tentent d'avoir le dernier mot, il nous rappelle que les livres sont notre plus grande chance de survie – non pour fuir le réel, mais pour l'habiter pleinement. Comme si, au milieu du chaos, un homme qui lit était la plus radicale des révolutions. (Présentation des éditions Julliard) ILLUSTRATION MUSICALE : Our beloved ones, de RIM BANNA.
En cette rentrée littéraire, l'écrivain franco-marocain Rachid Benzine publie le seul roman où il est question de Gaza. Il s'agit d'une fiction intitulée L'homme qui lisait des livres, publiée aux éditions Julliard. L'œuvre raconte l'histoire palestinienne à travers le portrait d'un libraire qui ne survit que grâce à la littérature. Né au Maroc, Rachid Benzine est enseignant et chercheur associé au Fonds Ricœur. Il est l'auteur de nombreux textes plébiscités par le public et la critique, dont Lettres à Nour, Ainsi parlait ma mère, Des mille et une façons d'être juif ou musulman, un dialogue avec la rabbine Delphine Horvilleur, Voyage au pays de l'enfance et Les Silences des pères, grand prix du roman Métis. Présentation de son nouveau roman, L'homme qui lisait des livres, publié aux éditions Julliard : Entre les ruines fumantes de Gaza et les pages jaunies des livres, un vieil homme attend. Il attend quoi ? Peut-être que quelqu'un s'arrête enfin pour écouter. Car les livres qu'il tient entre ses mains ne sont pas que des objets - ils sont les fragments d'une vie, les éclats d'une mémoire, les cicatrices d'un peuple. Quand un jeune photographe français pointe son objectif vers ce vieillard entouré de livres, il ignore qu'il s'apprête à traverser le miroir. « N'y a-t-il pas derrière tout regard une histoire ? Celle d'une vie. Celle de tout un peuple, parfois », murmure le libraire. Commence alors l'odyssée palestinienne d'un homme qui a choisi les mots comme refuge, résistance et patrie. De l'exode à la prison, des engagements à la désillusion politique, du théâtre aux amours, des enfants qu'on voit grandir et vivre aux drames qui vous arrachent ceux que vous aimez, sa voix nous guide à travers les labyrinthes de l'Histoire et de l'intime. Dans un monde où les bombes tentent d'avoir le dernier mot, il nous rappelle que les livres sont notre plus grande chance de survie - non pour fuir le réel, mais pour l'habiter pleinement. Comme si, au milieu du chaos, un homme qui lit était la plus radicale des révolutions.
En cette rentrée littéraire, l'écrivain franco-marocain Rachid Benzine publie le seul roman où il est question de Gaza. Il s'agit d'une fiction intitulée L'homme qui lisait des livres, publiée aux éditions Julliard. L'œuvre raconte l'histoire palestinienne à travers le portrait d'un libraire qui ne survit que grâce à la littérature. Né au Maroc, Rachid Benzine est enseignant et chercheur associé au Fonds Ricœur. Il est l'auteur de nombreux textes plébiscités par le public et la critique, dont Lettres à Nour, Ainsi parlait ma mère, Des mille et une façons d'être juif ou musulman, un dialogue avec la rabbine Delphine Horvilleur, Voyage au pays de l'enfance et Les Silences des pères, grand prix du roman Métis. Présentation de son nouveau roman, L'homme qui lisait des livres, publié aux éditions Julliard : Entre les ruines fumantes de Gaza et les pages jaunies des livres, un vieil homme attend. Il attend quoi ? Peut-être que quelqu'un s'arrête enfin pour écouter. Car les livres qu'il tient entre ses mains ne sont pas que des objets - ils sont les fragments d'une vie, les éclats d'une mémoire, les cicatrices d'un peuple. Quand un jeune photographe français pointe son objectif vers ce vieillard entouré de livres, il ignore qu'il s'apprête à traverser le miroir. « N'y a-t-il pas derrière tout regard une histoire ? Celle d'une vie. Celle de tout un peuple, parfois », murmure le libraire. Commence alors l'odyssée palestinienne d'un homme qui a choisi les mots comme refuge, résistance et patrie. De l'exode à la prison, des engagements à la désillusion politique, du théâtre aux amours, des enfants qu'on voit grandir et vivre aux drames qui vous arrachent ceux que vous aimez, sa voix nous guide à travers les labyrinthes de l'Histoire et de l'intime. Dans un monde où les bombes tentent d'avoir le dernier mot, il nous rappelle que les livres sont notre plus grande chance de survie - non pour fuir le réel, mais pour l'habiter pleinement. Comme si, au milieu du chaos, un homme qui lit était la plus radicale des révolutions.
REDIFFUSION. Cet été, Faites des gosses prend des vacances et vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes favoris. Bonne écoute !Avez-vous déjà demandé à vos parents comment ils avaient choisi votre prénom ? Était-ce une histoire de transmission familiale, une rencontre avec une personne formidable qui portait le prénom qui figure maintenant sur votre carte vitale ? Votre mère, enceinte, lisait peut-être un roman qui lui a inspiré votre prénom. Et qu'en est-il des effets de mode ? Pourquoi y-a-t-il trois Gabriel dans la classe de votre fils de 3 ans ? Pourquoi d'autres parents cherchent l'originalité ? Cherchent-ils à se raconter à travers leur enfant ? Est-ce que les prénoms portent en eux un déterminisme ? Est-ce que certains prénoms vous prédisposent à être moqué·e·s dans la cour de récré, ou à devenir ministre ? Dans cet épisode, Marine Revol s'entretient avec le sociologue Baptiste Coulmont, professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay, et interroge Clémentine, Caroline, Arnaud, Loup, Elsa et Agathe pour tenter de comprendre comment se fait ce choix pour les parents. Ensemble, ils discutent de l'évolution de l'usage du prénom, de Victor Hugo et de Balzac qui jugeaient eux aussi les choix de certain·es, de racisme, de discriminations et de mixité, de poèmes et d'interprétations. En somme, de l'imaginaire porté par les prénoms et de leur lien indissociable avec leur époque.Les ressources citées dans cet épisode : Le livre “Sociologie des prénoms” de Baptiste Coulmont aux éditions La DécouverteLe livre “Vivre avec nos morts” de Delphine Horvilleur aux éditions GrassetFaites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Louise Tavera et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Charlotte Pudlowski est à la direction éditoriale, Elsa Berthault est en charge de la production.Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.com ou racontez-nous votre histoire via ce formulaire.Suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Et si vous souhaitez soutenir Louie, n'hésitez pas à vous abonner au Club. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour la présenter, on pourrait dire ce que tout le monde sait à peu près : Rima Hassan, que Daniel Schneidermann reçoit exceptionnellement aujourd'hui sur le plateau d'Arrêt sur images, est juriste, franco-palestinienne, eurodéputée France Insoumise.Evidemment ici, ce qui nous intéresse, ce sont les images, leurs représentations. Et de ce point de vue-là, y aurait-il plusieurs versions de la même personne, selon les écrans sur lesquels on l'écoute, on la voit, on la lit ? Sur l ...
"Euh... Comment parler de la mort aux enfants" aux éditions Bayard Grasset. Entretien avec Sylvie Hazebroucq.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une invitée exceptionnelle : la rabbin et philosophe Delphine Horvilleur !
Invitée: Delphine Horvilleur. Arrive un âge où les enfants posent des questions sur la mort. Comment leur répondre? Et que leur dire, a fortiori, lorsque la mort frappe dans leur entourage? Comment trouver les mots justes? Faut-il tout dire, cacher certaines choses? Tribu reçoit Delphine Horvilleur, écrivaine et femme rabbin, autrice de "Euh… Comment parler de la mort aux enfants", aux éditions Grasset.
durée : 00:09:56 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Les critiques discutent de la série "Le sens des choses", inspirée du livre "Vivre avec nos morts" de Delphine Horvilleur, qui raconte avec humour et subtilité la quête de sens d'une rabbine, en pleine période de doute pour la communauté juive en France. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Mathilde Wagman Chroniqueuse et programmatrice du "Book club"; Olivier Joyard Critique et réalisateur
durée : 00:07:33 - Info médias - Disponible sur la plateforme Max, cette fiction qui navigue entre comédie et drame, est librement adaptée par Noé Debré et Benjamin Charbit du best-seller "Vivre avec nos morts", paru en 2021.
durée : 02:58:28 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - .
durée : 00:09:47 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - La rabbin et philosophe Delphine Horvilleur publie "Comment parler de la mort aux enfants" (Grasset/Bayard). Elle revient sur l'agression samedi à Orléans d'un rabbin, sous les yeux de son fils.
durée : 00:09:47 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - La rabbin et philosophe Delphine Horvilleur publie "Comment parler de la mort aux enfants" (Grasset/Bayard). Elle revient sur l'agression samedi à Orléans d'un rabbin, sous les yeux de son fils.
durée : 01:48:30 - Comme un samedi - par : Arnaud Laporte - Du "Dernier des juifs" à sa prochaine série "Le sens des choses", adaptée d'un livre de la rabbine Delphine Horvilleur, Noé Debré est de ces réalisateurs dont la comédie coule dans les veines. Le temps d'une carte blanche, il nous parle de l'importance du rythme et de l'écriture sérielle ! - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Noé Debré Scénariste et réalisateur ; Jean-François Sivadier Comédien, auteur et metteur en scène; Benjamin Abitan Auteur, réalisateur (Radio France), metteur en scène (Théâtre de la Démesure); Solal Bouloudnine Comédien
durée : 00:07:31 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - La comédienne sera au Théâtre du Rond-Point dans "Dolorosa", de Marcial di Fonzo Bo, du 5 au 15 mars, et dans la série "Le sens des choses", adaptée du livre de Delphine Horvilleur "Vivre avec nos morts", disponible sur HBO Max dès le 28 mars.
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2024-2025Comment lire ? (suite)Séminaire - Delphine Horvilleur : La côte d'Adam… et autres malentendus bibliquesIntervenant(s) :Delphine HorvilleurRabbin
C dans l'air, l'invitée du 7 octobre : Delphine Horvilleur, philosophe et première femme rabbine de France, auteure de “Comment ça va pas ? : Conversations après le 7 octobre” publié aux éditions Grasset. Il y a un an jour pour jour, Israël subissait une attaque menée par des commandos du Hamas. Après le tir de milliers de roquettes, près de 2 000 combattants ont franchi la barrière de sécurité supposée inviolable, établie sur la frontière entre Gaza et Israël. 1200 personnes sont mortes dont 815 civils, 101 sont encore aux mains du Hamas et 31 ne seraient plus en vie.L'année a été marquée par les sourires des libérations, les visages de ceux qui ne sontpas revenus, mais aussi par l'émergence d'un antisémitisme décomplexé. Au premier trimestre 2024, l'État a enregistré une hausse de 300 % des faits antisémites sur tout le territoire par rapport aux 3 premiers mois de l'année 2023. Ce week-end sur France Inter, Emmanuel Macron a évoqué la possibilité d'arrêter de livrer des armes à Israël pour mener les combats sur Gaza. Il a aussi affirmé ce week-end que "plusieurs initiatives" seraient prises "pour montrer que nous n'oublions rien du 7-Octobre" et va recevoir les familles des victimes franco-israéliennes.Delphine Horvilleur est philosophe, première femme rabbine de France et auteure de "Comment ça va pas ? : Conversations après le 7 octobre" aux éditions Grasset. Elle reviendra sur cette date anniversaire du 7 octobre où il y a tout juste un an, le Hamas lançait une série d'attaques terroristes sur le territoire israélien.
Wenn die Sprache versagt, braucht man neue Wege, wieder zu ihr zu finden. Miteinander zu sprechen ist für Delphine Horvilleur eine Möglichkeit, das Schweigen zu überwinden, dass sich bei vielen Jüdinnen und Juden nach den Ereignissen des 7. Oktober 2023 eingestellt hat. In „Wie geht's? Miteinander Sprechen nach dem 7. Oktober“ nähert sich die Pariser Rabbinerin verschiedenen Gesprächspartnern – fiktiven und realen –, um zu klären, was fragwürdig geworden ist seit dem vergangenen Herbst. Ihr Buch ist eine ebenso einfühlsame wie konsequente Analyse der aktuellen Situation von Jüdinnen und Juden – nicht nur in Frankreich. Rezension von Clemens Klünemann
Wenn die Sprache versagt, braucht man neue Wege, wieder zu ihr zu finden. Miteinander zu sprechen ist für Delphine Horvilleur eine Möglichkeit, das Schweigen zu überwinden, dass sich bei vielen Jüdinnen und Juden nach den Ereignissen des 7. Oktober 2023 eingestellt hat. In „Wie geht's? Miteinander Sprechen nach dem 7. Oktober“ nähert sich die Pariser Rabbinerin verschiedenen Gesprächspartnern – fiktiven und realen –, um zu klären, was fragwürdig geworden ist seit dem vergangenen Herbst. Ihr Buch ist eine ebenso einfühlsame wie konsequente Analyse der aktuellen Situation von Jüdinnen und Juden nicht nur in Frankreich. Rezension von Clemens Klünemann
Cet été dans Pépites, on vous propose de découvrir Les Vagues, le podcast co-produit par Louie Media et le magazine Elle où Marion Ruggieri interroge des personnalités sur le moment où elles se sont senties à leur place pour la première fois.Dans ce nouvel épisode des Vagues, Marion Ruggieri retrouve Delphine Horvilleur en plein déménagement dans le quartier du Marais, à Paris. Avant de devenir l'une des premières femmes rabbin de France, Delphine a voulu être médecin, puis journaliste. Trois métiers apparemment très éloignés qui ont un fil directeur, dit-elle avec le recul, le désir “d'écouter les autres et d'accueillir leurs récits comme quelque chose de sacré.” Delphine Horvilleur, qui ne sait pas ce que veut dire “être chez soi”, revient sur son enfance en province, ses séjours en Israël et à New-York, des expériences qui l'ont transformée et qui constituent aujourd'hui autant de pièces du puzzle de sa vie. Elle se questionne sur l'impossibilité actuelle de revendiquer des identités complexes, et se livre sur les éléments qui la constituent : le film Yentl de Barbra Streisand, découvert à 9 ans, le yiddish de sa grand-mère qui lui revient comme un écho à la faveur de l'actualité, son tout premier office à Paris alors qu'elle est enceinte de 8 mois... Pour Delphine Horvilleur, il ne s'agit pas de trouver sa place, mais de se savoir en chemin.Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 28 mai 2024. Bonne écoute !
Krause, Suzanne www.deutschlandfunk.de, Andruck - Das Magazin für Politische Literatur
Die Fronten sind verhärtet, die Meinungen gemacht. Seit dem 7. Oktober 2023 stehen sich im Nahostkonflikt zwei Lager unversöhnlich gegenüber. Unabhängig davon, was Regierungen entscheiden und Völker ertragen müssen: Welche Worte findet man angesichts menschlicher Grausamkeiten und unfassbarem Leid? Delphine Horvilleur, in Frankreich eine bekannte und äusserst geschätzte Intellektuelle, hat am eigenen Leib erfahren, wie schwierig es ist, in den heikelsten Situationen eines menschlichen Lebens die rechten Worte zu finden. Als eine von drei Rabbinerinnen in Frankreich gehört es zu ihrem Alltag, Menschen im Sterben und jene, die danach zurückbleiben, zu begleiten. Seit dem terroristischen Angriff der Hamas auf Israel und dem seither andauernden Krieg Israels gegen Gaza sei aber vieles anders. Die Anfeindungen und Unsicherheiten, der trennende Hass, nähmen zu, und gleichzeitig möchte Horvilleur nach wie vor Brücken bauen, für den Dialog eintreten, dem Unsagbaren etwas entgegenhalten. Für sie ist klar: Nur wenn man offen dafür bleibt, auch den Schmerz der anderen wahrzunehmen, ist Hoffnung in dieser Welt möglich. Im Gespräch mit Olivia Röllin spricht Delphine Horvilleur über die verbindende Kraft von Geschichten, die Magie der Sprache und weshalb die Menschen nicht nur das sind, was ihnen widerfährt.
Avez-vous déjà demandé à vos parents comment ils avaient choisi votre prénom ? Était-ce une histoire de transmission familiale, une rencontre avec une personne formidable qui portait le prénom qui figure maintenant sur votre carte vitale ? Votre mère, enceinte, lisait peut-être un roman qui lui a inspiré votre prénom. Et qu'en est-il des effets de mode ? Pourquoi y-a-t-il trois Gabriel dans la classe de votre fils de 3 ans ? Pourquoi d'autres parents cherchent l'originalité ? Cherchent-ils à se raconter à travers leur enfant ? Est-ce que les prénoms portent en eux un déterminisme ? Est-ce que certains prénoms vous prédisposent à être moqué·e·s dans la cour de récré, ou à devenir ministre ? Dans cet épisode, Marine Revol s'entretient avec le sociologue Baptiste Coulmont, professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay, et interroge Clémentine, Caroline, Arnaud, Loup, Elsa et Agathe pour tenter de comprendre comment se fait ce choix pour les parents. Ensemble, ils discutent de l'évolution de l'usage du prénom, de Victor Hugo et de Balzac qui jugeaient eux aussi les choix de certain·es, de racisme, de discriminations et de mixité, de poèmes et d'interprétations. En somme, de l'imaginaire porté par les prénoms et de leur lien indissociable avec leur époque.Les ressources citées dans cet épisode : Le livre “Sociologie des prénoms” de Baptiste Coulmont (éditions La Découverte)Le livre “Vivre avec nos morts” de Delphine Horvilleur (éditions Grasset)Faites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Louise Tavera et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Charlotte Pudlowski est à la direction éditoriale, Elsa Berthault est en charge de la production.Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.com ou racontez-nous votre histoire via ce formulaire.Suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Et si vous souhaitez soutenir Louie, n'hésitez pas à vous abonner au Club. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on reçoit dans le podcast, dans “Les mecs que je veux ken”, la rabbine Delphine Horvilleur, pour qui j'ai énormément d'admiration. Bonne écoute! Mon tout nouveau spectacle en rodage, c'est complet à Paris mais il reste des places en tournée! Réservez-vite! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une rencontre exceptionnelle entre Delphine Horvilleur et Dominique Eddé, deux regards sur le père avec Violaine Huisman et Rachida Brakni et un entretien avec Christine Angot à l'occasion de la sortie de son premier long-métrage "Une famille".
REDIFF - Lorsque l'on perd l'amour de sa vie, le deuil peut sembler interminable. En plus de la tristesse, la solitude peut exacerber la souffrance ressentie. Ouvrages : « Vivre le deuil au jour le jour » de Christophe Fauré, aux éditions Albin Michel « Vivre avec nos morts : petit traité de consolation » de Delphine Horvilleur, chez Grasset Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 17 mai 2023. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
C'est une femme rabbin, militante de la paix, de l'ouverture, dont la voix est si nécessaire dans ces temps sombres : Delphine Horvilleur publie "Comment ça va pas" (Grasset). Ce livre, elle raconte qu'elle l'a écrit comme une bouée, un traité de survie après le massacre du 7 octobre perpétré par le Hamas en Israël. Ecoutez L'invité de RTL Soir du 28 février 2024 avec Julien Sellier.
durée : 02:29:48 - Les Matins - par : Guillaume Erner - .
Dans la deuxième heure de son émission consacrée à la culture, Thomas Isle reçoit chaque jour un invité.
Invitée de Culture médias, Delphine Horvilleur souhaite "rappeler que l'on a des identités et des empathies complexes".
Thomas Isle et sa bande vous font vivre toute l'actualité culturelle, entre invités et décryptages, le tout dénué d'à-priori, mais non de bienveillance.
«Où sont les féministes?» : c'est la question que posait la rabine Delphine Horvilleur en reproduisant des extraits du témoignage d'une jeune fille, Yael Mellul, qui a survécu au 7 octobre. La rencontre Rioux-Durocher avec Christian Rioux correspondant à Paris pour le quotidien Le Devoir.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:16:00 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - La philosophe et rabbin Delphine Horvilleur est abasourdie après l'attaque du Hamas sur Israël. Elle appelle les "ennemis du terrorisme" à participer à une marche à Paris lundi soir. - invités : Delphine Horvilleur - Delphine Horvilleur : Rabbin et philosophe
durée : 00:58:17 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Comédienne et metteuse en scène, Johanna Nizard est actuellement seule sur la scène du Théâtre de l'Atelier pour porter “Il n'y a pas de Ajar, Un monologue contre l'identité” de Delphine Horvilleur. L'occasion pour nous d'approcher les méthodes de travail d'une comédienne aux mille visages. - invités : Johanna Nizard Comédienne
Cette semaine, Lola vous conseille vivement le livre de Delphine Horvilleur : Vivre avec nos morts, un livre lumineux et qui célèbre la vie, contrairement à ce que peut laisser penser le titre. En revanche elle pousse un petit coup de gueule contre la monétisation de la pastille bleue de Twitter, dans les dents Elon.Camille vous conseille aussi une lecture : Sois jeune et tais-toi de Salomé Saqué, qui nous rappelle que non, les jeunes ne sont pas feignants et bêtes, mais qu'ils et elles vivent dans un monde différent et anxiogène. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lorsque l'on perd l'amour de sa vie, le deuil peut sembler interminable. En plus de la tristesse, la solitude peut exacerber la souffrance ressentie. Ouvrages : « Vivre le deuil au jour le jour » de Christophe Fauré, aux éditions Albin Michel « Vivre avec nos morts : petit traité de consolation » de Delphine Horvilleur, chez Grasset Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 17 mai 2023. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Last week, France's president Emmanuel Macron threw the EU bubble into turmoil by suggesting that Europe should not become the United States' “vassal” over Taiwan. But is the controversy overshadowing the possibility that he could be right? This week, Mark Leonard welcomes two ECFR colleagues: director of the Wider Europe programme and former French diplomat, Marie Dumoulin, and head of the Paris office and expert in French and US foreign policy, Célia Belin. . What explains Macron's way of thinking and is there a domestic context to his comments? And what do the strong reactions say about how Europeans view strategic autonomy in the context of the war in Ukraine? This podcast was recorded on 17 April 2023. Bookshelf: The Cat and the General by Nino Haratischwili Living with our Dead by Delphine Horvilleur
Enceinte ? Découvrez "Conscientes", le podcast du programme My Louves pour votre grossesse et votre post-partum : https://m.audiomeans.fr/s/P-hkVcFHov Nous avons tous subi l'éloignement d'avec nos proches l'année où le Covid est entré dans nos vies, l'année des confinements. Noémie et Marc ont vécu cette année-là dans le secret : le secret du cancer de Marc, de ses traitements, de l'aggravation de son état. Jusqu'aux dernières semaines où il s'est décidé à appeler chacun de ses amis un par un. Deux ans après la mort de Marc, Noémie raconte dans un livre l'année où elle a dû faire le deuil de l'amour de sa vie et du père d'Ethel et Adam. Comment on se prépare et comment on prépare ses enfants à la plus grande épreuve de leur vie ? Son témoignage est bouleversant, mais il est aussi plein d'espoir sur les ressources que l'on peut trouver en soi et déployer, en tant que femme et mère, pour soi et pour ses enfants, pour que la vie continue de plus belle. « Vivre après Marc », le récit de Noémie Sylberg « En réaction à mes mots emplis d'amour, un frisson violent parcourt le corps de ma fille. À cinq ans, elle ne sait pas encore verbaliser ses émotions. Son corps exprime ce que ses mots ne parviennent à dire : que c'est injuste, qu'elle est inquiète et qu'elle a peur. Je viens de lui annoncer que son père est entré dans le coma – et qu'il ne se réveillera plus. » À trente-huit ans passés, entourée d'une famille aimante et de nombreux amis, Noémie renvoie l'image du parfait bonheur, de la réussite et de l'insouciance. Mais soudain, le drame fait irruption : son mari meurt, en pleine fleur de l'âge, d'un cancer foudroyant. Vivre après Marc est le récit poignant d'une épouse et d'une mère face à la maladie et la mort. Comment aider l'être aimé à affronter les souffrances, les soins quotidiens, les embûches du parcours médical et, à la fin, l'inéluctable ? Comment l'accompagner dans ses derniers instants ? Comment préparer ses jeunes enfants au décès de leur père ? Comment garder goût en la vie quand tout s'écroule, et réussir à vivre heureuse, après Marc ? Noémie Sylberg, Vivre après Marc, Préface de Delphine Horvilleur, éditions Hermann, janvier 2023 Soutenez notre podcast : donnez-lui une pluie d'étoiles sur votre plateforme d'écoute et un doux commentaire !
Andrés Amorós recomienda el libro de Delphine Horvilleur, Vivir con nuestros muertos.