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Une invitée exceptionnelle : la rabbin et philosophe Delphine Horvilleur !
Invitée: Delphine Horvilleur. Arrive un âge où les enfants posent des questions sur la mort. Comment leur répondre? Et que leur dire, a fortiori, lorsque la mort frappe dans leur entourage? Comment trouver les mots justes? Faut-il tout dire, cacher certaines choses? Tribu reçoit Delphine Horvilleur, écrivaine et femme rabbin, autrice de "Euh… Comment parler de la mort aux enfants", aux éditions Grasset.
durée : 00:09:56 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Les critiques discutent de la série "Le sens des choses", inspirée du livre "Vivre avec nos morts" de Delphine Horvilleur, qui raconte avec humour et subtilité la quête de sens d'une rabbine, en pleine période de doute pour la communauté juive en France. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Mathilde Wagman Chroniqueuse et programmatrice du "Book club"; Olivier Joyard Critique et réalisateur
durée : 00:07:33 - Info médias - Disponible sur la plateforme Max, cette fiction qui navigue entre comédie et drame, est librement adaptée par Noé Debré et Benjamin Charbit du best-seller "Vivre avec nos morts", paru en 2021.
durée : 00:09:47 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - La rabbin et philosophe Delphine Horvilleur publie "Comment parler de la mort aux enfants" (Grasset/Bayard). Elle revient sur l'agression samedi à Orléans d'un rabbin, sous les yeux de son fils.
durée : 02:58:28 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - .
durée : 00:09:47 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - La rabbin et philosophe Delphine Horvilleur publie "Comment parler de la mort aux enfants" (Grasset/Bayard). Elle revient sur l'agression samedi à Orléans d'un rabbin, sous les yeux de son fils.
durée : 01:48:30 - Comme un samedi - par : Arnaud Laporte - Du "Dernier des juifs" à sa prochaine série "Le sens des choses", adaptée d'un livre de la rabbine Delphine Horvilleur, Noé Debré est de ces réalisateurs dont la comédie coule dans les veines. Le temps d'une carte blanche, il nous parle de l'importance du rythme et de l'écriture sérielle ! - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Noé Debré Scénariste et réalisateur ; Jean-François Sivadier Comédien, auteur et metteur en scène; Benjamin Abitan Auteur, réalisateur (Radio France), metteur en scène (Théâtre de la Démesure); Solal Bouloudnine Comédien
durée : 00:07:31 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - La comédienne sera au Théâtre du Rond-Point dans "Dolorosa", de Marcial di Fonzo Bo, du 5 au 15 mars, et dans la série "Le sens des choses", adaptée du livre de Delphine Horvilleur "Vivre avec nos morts", disponible sur HBO Max dès le 28 mars.
William MarxLittératures comparéesCollège de FranceAnnée 2024-2025Comment lire ? (suite)Séminaire - Delphine Horvilleur : La côte d'Adam… et autres malentendus bibliquesIntervenant(s) :Delphine HorvilleurRabbin
Vivre ensemble:C à vous ça a été l'occasion pour nos invités de lancer des appels à l'apaisement après l'attaque du 7 octobre 2023. ça a été le cas avec Anne Sinclair, le grand Rabbin de France, Delphine Horvilleur, Amir, Joann Sfar, Riad Sattouf, Nikos Aliagas ou le militant pacifiste Ofer Bronchtein. On a également pu avoir des analyses avec des spécialistes comme Vincent Lemire, Gérard Araud, Maryse Burgot, Jean-Yves Le Drian et bien entendu Patrick Cohen.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Yann Boissière est né à Lille en 1962. Après un début de carrière dans l'audiovisuel, la publicité et la création de noms de marques et de produits, il devient en 2012, rabbin libéral aux côtés de Delphine Horvilleur, quelques années seulement après s'être converti au judaïsme. Officiant à la synagogue Beaugrenelle située dans le 15e arrondissement de Paris, qui appartient à « Judaïsme en mouvement », Yann Boissière a écrit de nombreux essais dont le dernier en date, particulièrement réussi, est titré : « Le devoir d'espérance ». Chevalier de l'ordre national du mérite, il est le fondateur et président de l'association de dialogue interconvictionnel « Les Voix de la Paix ».Il m'a reçu dans son bureau de la synagogue pour l'interroger longuement sur sa vie et sa perception du bonheur qui pour lui est à la fois une question de responsabilité et un horizon.Un échange passionnant…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air, l'invitée du 7 octobre : Delphine Horvilleur, philosophe et première femme rabbine de France, auteure de “Comment ça va pas ? : Conversations après le 7 octobre” publié aux éditions Grasset. Il y a un an jour pour jour, Israël subissait une attaque menée par des commandos du Hamas. Après le tir de milliers de roquettes, près de 2 000 combattants ont franchi la barrière de sécurité supposée inviolable, établie sur la frontière entre Gaza et Israël. 1200 personnes sont mortes dont 815 civils, 101 sont encore aux mains du Hamas et 31 ne seraient plus en vie.L'année a été marquée par les sourires des libérations, les visages de ceux qui ne sontpas revenus, mais aussi par l'émergence d'un antisémitisme décomplexé. Au premier trimestre 2024, l'État a enregistré une hausse de 300 % des faits antisémites sur tout le territoire par rapport aux 3 premiers mois de l'année 2023. Ce week-end sur France Inter, Emmanuel Macron a évoqué la possibilité d'arrêter de livrer des armes à Israël pour mener les combats sur Gaza. Il a aussi affirmé ce week-end que "plusieurs initiatives" seraient prises "pour montrer que nous n'oublions rien du 7-Octobre" et va recevoir les familles des victimes franco-israéliennes.Delphine Horvilleur est philosophe, première femme rabbine de France et auteure de "Comment ça va pas ? : Conversations après le 7 octobre" aux éditions Grasset. Elle reviendra sur cette date anniversaire du 7 octobre où il y a tout juste un an, le Hamas lançait une série d'attaques terroristes sur le territoire israélien.
Wenn die Sprache versagt, braucht man neue Wege, wieder zu ihr zu finden. Miteinander zu sprechen ist für Delphine Horvilleur eine Möglichkeit, das Schweigen zu überwinden, dass sich bei vielen Jüdinnen und Juden nach den Ereignissen des 7. Oktober 2023 eingestellt hat. In „Wie geht's? Miteinander Sprechen nach dem 7. Oktober“ nähert sich die Pariser Rabbinerin verschiedenen Gesprächspartnern – fiktiven und realen –, um zu klären, was fragwürdig geworden ist seit dem vergangenen Herbst. Ihr Buch ist eine ebenso einfühlsame wie konsequente Analyse der aktuellen Situation von Jüdinnen und Juden – nicht nur in Frankreich. Rezension von Clemens Klünemann
Wenn die Sprache versagt, braucht man neue Wege, wieder zu ihr zu finden. Miteinander zu sprechen ist für Delphine Horvilleur eine Möglichkeit, das Schweigen zu überwinden, dass sich bei vielen Jüdinnen und Juden nach den Ereignissen des 7. Oktober 2023 eingestellt hat. In „Wie geht's? Miteinander Sprechen nach dem 7. Oktober“ nähert sich die Pariser Rabbinerin verschiedenen Gesprächspartnern – fiktiven und realen –, um zu klären, was fragwürdig geworden ist seit dem vergangenen Herbst. Ihr Buch ist eine ebenso einfühlsame wie konsequente Analyse der aktuellen Situation von Jüdinnen und Juden nicht nur in Frankreich. Rezension von Clemens Klünemann
Cet été dans Pépites, on vous propose de découvrir Les Vagues, le podcast co-produit par Louie Media et le magazine Elle où Marion Ruggieri interroge des personnalités sur le moment où elles se sont senties à leur place pour la première fois.Dans ce nouvel épisode des Vagues, Marion Ruggieri retrouve Delphine Horvilleur en plein déménagement dans le quartier du Marais, à Paris. Avant de devenir l'une des premières femmes rabbin de France, Delphine a voulu être médecin, puis journaliste. Trois métiers apparemment très éloignés qui ont un fil directeur, dit-elle avec le recul, le désir “d'écouter les autres et d'accueillir leurs récits comme quelque chose de sacré.” Delphine Horvilleur, qui ne sait pas ce que veut dire “être chez soi”, revient sur son enfance en province, ses séjours en Israël et à New-York, des expériences qui l'ont transformée et qui constituent aujourd'hui autant de pièces du puzzle de sa vie. Elle se questionne sur l'impossibilité actuelle de revendiquer des identités complexes, et se livre sur les éléments qui la constituent : le film Yentl de Barbra Streisand, découvert à 9 ans, le yiddish de sa grand-mère qui lui revient comme un écho à la faveur de l'actualité, son tout premier office à Paris alors qu'elle est enceinte de 8 mois... Pour Delphine Horvilleur, il ne s'agit pas de trouver sa place, mais de se savoir en chemin.Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 28 mai 2024. Bonne écoute !
Más info en mi sitio web www.melknarik.com.ar Charlamos con Magalí Martínez (@roscalunatica en Instagram) sobre las vivencias al estar en contacto con espíritus, la visita de los difuntos en el plano espiritual, la limpieza energética con péndulo hebreo, la experiencia de ser medium y las redes sociales como ámbito de difusión esotérica. También, sobre la vida y la muerte, y su vínculo con la magia. Bibliografía recomendada: - El libro de los espíritus (Allan Kardec) - Libro de la muerte (Pablo Esteban) - La muerte: un amanecer (Elisabeth Kubler-ross) - A la salud de los muertos (Vinciane Despret) - Vivir con nuestros muertos (Delphine Horvilleur)
Depuis septembre, je fais du théâtre. En milieu d'année, chacun a interprété un texte de son choix devant un petit public constitué essentiellement de nos proches. L'idée était de rendre compte du travail réalisé depuis le début des cours. J'ai choisi d'interpréter un extrait du livre de Delphine Horvilleur, « Il n'y a pas de Ajar ».Quelques lignes ont capté mon attention. m'ont bousculée. En les lisant, je savais que j'avais touché à quelque chose de fort.Les voici : « Je crois que c'est la pire chose qui puisse nous arriver dans l'existence : ne manquer ni de sel, ni de tendresse, ni d'amour, parce qu'alors il n'y a aucune raison de se mettre à parler, à écrire ou à créer. » Je crois que c'est là, le début de « En création » ! Ici, Je pars à la rencontre d'artistes, et je vous embarque avec moi. Quel lien entretiennent-ils avec leur Art ? Et si nos manques étaient la source vive du processus créatif ?Comme si, on ne pouvait pas se passer de nos failles pour créer ? Je me rends au plus près, sur le terrain de leurs créations, pour en explorer le mystère : ce qui les inspire, ce que produit l'acte créateur à l'intérieur d'eux, ce qu'ils trouvent dans leur Art et qu'ils n'ont trouvé nulle part ailleurs.Entre bribes intimes et sons immersifs, vous plongez dans un ailleurs qui vous emmènera peut-être quelque part ! EXIT l'absolu de soi, la sensation de plénitude, ou autre proposition marketing en tout genre, ici on est fêlés, effilochés, un peu boiteux, et surtout heureux !Bienvenue sur Ce Qui Nous Lie - En création, le podcast qui fait l'éloge de nos manques.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Krause, Suzanne www.deutschlandfunk.de, Andruck - Das Magazin für Politische Literatur
Die Fronten sind verhärtet, die Meinungen gemacht. Seit dem 7. Oktober 2023 stehen sich im Nahostkonflikt zwei Lager unversöhnlich gegenüber. Unabhängig davon, was Regierungen entscheiden und Völker ertragen müssen: Welche Worte findet man angesichts menschlicher Grausamkeiten und unfassbarem Leid? Delphine Horvilleur, in Frankreich eine bekannte und äusserst geschätzte Intellektuelle, hat am eigenen Leib erfahren, wie schwierig es ist, in den heikelsten Situationen eines menschlichen Lebens die rechten Worte zu finden. Als eine von drei Rabbinerinnen in Frankreich gehört es zu ihrem Alltag, Menschen im Sterben und jene, die danach zurückbleiben, zu begleiten. Seit dem terroristischen Angriff der Hamas auf Israel und dem seither andauernden Krieg Israels gegen Gaza sei aber vieles anders. Die Anfeindungen und Unsicherheiten, der trennende Hass, nähmen zu, und gleichzeitig möchte Horvilleur nach wie vor Brücken bauen, für den Dialog eintreten, dem Unsagbaren etwas entgegenhalten. Für sie ist klar: Nur wenn man offen dafür bleibt, auch den Schmerz der anderen wahrzunehmen, ist Hoffnung in dieser Welt möglich. Im Gespräch mit Olivia Röllin spricht Delphine Horvilleur über die verbindende Kraft von Geschichten, die Magie der Sprache und weshalb die Menschen nicht nur das sind, was ihnen widerfährt.
Avez-vous déjà demandé à vos parents comment ils avaient choisi votre prénom ? Était-ce une histoire de transmission familiale, une rencontre avec une personne formidable qui portait le prénom qui figure maintenant sur votre carte vitale ? Votre mère, enceinte, lisait peut-être un roman qui lui a inspiré votre prénom. Et qu'en est-il des effets de mode ? Pourquoi y-a-t-il trois Gabriel dans la classe de votre fils de 3 ans ? Pourquoi d'autres parents cherchent l'originalité ? Cherchent-ils à se raconter à travers leur enfant ? Est-ce que les prénoms portent en eux un déterminisme ? Est-ce que certains prénoms vous prédisposent à être moqué·e·s dans la cour de récré, ou à devenir ministre ? Dans cet épisode, Marine Revol s'entretient avec le sociologue Baptiste Coulmont, professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay, et interroge Clémentine, Caroline, Arnaud, Loup, Elsa et Agathe pour tenter de comprendre comment se fait ce choix pour les parents. Ensemble, ils discutent de l'évolution de l'usage du prénom, de Victor Hugo et de Balzac qui jugeaient eux aussi les choix de certain·es, de racisme, de discriminations et de mixité, de poèmes et d'interprétations. En somme, de l'imaginaire porté par les prénoms et de leur lien indissociable avec leur époque.Les ressources citées dans cet épisode : Le livre “Sociologie des prénoms” de Baptiste Coulmont (éditions La Découverte)Le livre “Vivre avec nos morts” de Delphine Horvilleur (éditions Grasset)Faites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Louise Tavera et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Charlotte Pudlowski est à la direction éditoriale, Elsa Berthault est en charge de la production.Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.com ou racontez-nous votre histoire via ce formulaire.Suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Et si vous souhaitez soutenir Louie, n'hésitez pas à vous abonner au Club. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on reçoit dans le podcast, dans “Les mecs que je veux ken”, la rabbine Delphine Horvilleur, pour qui j'ai énormément d'admiration. Bonne écoute! Mon tout nouveau spectacle en rodage, c'est complet à Paris mais il reste des places en tournée! Réservez-vite! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une rencontre exceptionnelle entre Delphine Horvilleur et Dominique Eddé, deux regards sur le père avec Violaine Huisman et Rachida Brakni et un entretien avec Christine Angot à l'occasion de la sortie de son premier long-métrage "Une famille".
REDIFF - Lorsque l'on perd l'amour de sa vie, le deuil peut sembler interminable. En plus de la tristesse, la solitude peut exacerber la souffrance ressentie. Ouvrages : « Vivre le deuil au jour le jour » de Christophe Fauré, aux éditions Albin Michel « Vivre avec nos morts : petit traité de consolation » de Delphine Horvilleur, chez Grasset Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 17 mai 2023. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
C'est une femme rabbin, militante de la paix, de l'ouverture, dont la voix est si nécessaire dans ces temps sombres : Delphine Horvilleur publie "Comment ça va pas" (Grasset). Ce livre, elle raconte qu'elle l'a écrit comme une bouée, un traité de survie après le massacre du 7 octobre perpétré par le Hamas en Israël. Ecoutez L'invité de RTL Soir du 28 février 2024 avec Julien Sellier.
durée : 02:29:48 - Les Matins - par : Guillaume Erner - .
Invitée de Culture médias, Delphine Horvilleur souhaite "rappeler que l'on a des identités et des empathies complexes".
Dans la deuxième heure de son émission consacrée à la culture, Thomas Isle reçoit chaque jour un invité.
Thomas Isle et sa bande vous font vivre toute l'actualité culturelle, entre invités et décryptages, le tout dénué d'à-priori, mais non de bienveillance.
L'émission 28 Minutes du 22/02/2024 Delphine Horvilleur raconte la peur d'être juive depuis le 7 octobre « Je suis devenue paranoïaque. J'ai fini par voir des « juifs » partout. Je vois le mot écrit partout. » Depuis le 7 octobre dernier — date de l'attaque terroriste du Hamas contre Israël — la rabbin Delphine Horvilleur vit dans une peur diffuse qu'elle confesse n'avoir jamais ressentie aussi intensément. Un choc immense, qui la rapproche de l'écrivain Stefan Zweig : « Pour la première fois de ma vie, je perçois ce qu'il lui est passé par l'esprit, quand il comprend que le monde ne laissera jamais les juifs en paix. » Une sidération accentuée par l'impression d'avoir été abandonnée par une partie de ses amis, « soutiens de la cause palestinienne et incapables de dénoncer clairement le Hamas ». C'est ce traumatisme qu'elle raconte dans son dernier livre, « Comment ça va pas ? », publié aux éditions Grasset : une série de conversations réelles et fictives, notamment avec ses enfants, ses grands-parents ou avec Claude François. Delphine Horvilleur est notre invitée. Souveraineté alimentaire : une assiette 100 % made in France, c'est possible ? À quelques jours de l'ouverture du Salon de l'Agriculture à Paris, Gabriel Attal a voulu montrer son engagement pour le monde agricole. Parmi les nouvelles mesures annoncées, le Premier ministre évoque la facilitation de l'accès aux visas pour les saisonniers étrangers, ainsi que l'abandon de l'indicateur utilisé pour mesurer l'usage des pesticides. Pour répondre à la colère des agriculteurs, le gouvernement mise sur « la souveraineté agricole et alimentaire » — un objectif qui devrait être inscrit dans un prochain projet de loi. Régulièrement mentionnée depuis le début de la guerre en Ukraine, l'autosuffisance alimentaire en France reste toutefois incomplète : on estime aujourd'hui que le pays importe 20 % de son alimentation, particulièrement les fruits — à hauteur de 70 %. A contrario, la France est largement excédentaire dans les secteurs des vins et des céréales. Comment faire pour atteindre le cap de la souveraineté alimentaire ? Les mesures protectionnistes peuvent-elles nous priver des marchés à l'exportation ? Nos invités en débattent. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Paola Puerari ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 22 février 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 31/01/2024 L'historienne Annette Wieviorka revient sur la légendaire Affiche rouge « Isoler un nom, c'est rompre la fraternité de leur collectif militant. Distinguer une seule communauté, c'est blesser l'internationalisme qui les animait. » Missak Manouchian, résistant communiste d'origine arménienne, fera son entrée au Panthéon le 21 février, quatre-vingt ans après son exécution par les nazis. Mais cette panthéonisation fait débat : dans une tribune, publiée en novembre dernier dans « Le Club de Mediapart », une vingtaine d'intellectuels et de personnalités — dont le cinéaste Costa-Gavras, la rabbine et écrivaine Delphine Horvilleur ou encore le prix Nobel de littérature Patrick Modiano — regrettent que ses vingt-et-un autres camarades exécutés le même jour n'aient pas droit au même honneur. Annette Wieviorka, historienne et pionnière des questions de mémoire de la Shoah et de la Résistance, est l'une des signataires. Dans « Anatomie de l'Affiche rouge » elle revient sur l'histoire de ce tract nazi devenu tristement célèbre, sur lequel était imprimé le visage et le nom de Missak Manouchian. Elle est notre invitée. Annette Wieviorka signe également la postface de « Vivre », roman graphique de Ken Krimstein, souvenirs de manuscrits oubliés de jeunes Juifs des années 1930. Colères sociales : les paysans sont-ils mieux traités que les écolos ? « Est-ce que les agriculteurs ont le droit de revendiquer et est-ce qu'ils souffrent ? Oui. Est-ce qu'on doit les laisser faire sans envoyer les CRS ? Oui. On ne répond pas [comme ça] à la souffrance. » Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin n'a habitué personne à une telle mansuétude. Alors que les agriculteurs tentaient de franchir le marché de Rungis, mardi 30 janvier — une « ligne rouge » à ne pas dépasser pour le gouvernement — la réponse sécuritaire des forces de l'ordre semble s'illustrer par sa modération. Cette stratégie se démarque de celles mises en place pour d'autres mouvements sociaux. En mars dernier, Gérald Darmanin qualifiait « d'éco-terroristes » les participants à la manifestation interdite contre les méga-bassines de Sainte-Soline, soldée par de lourdes violences entre militants écologistes et forces de l'ordre. Même exemple avec l'autoroute A13, bloquée à ce jour sans que les autorités ne jugent utile d'intervenir, mais où la justice a été saisie en mai dernier pour les Soulèvements de la terre. Y aurait-il un « deux poids, deux mesures » dans la manière de traiter les mouvements sociaux en France ? Certains manifestants valent-ils plus la peine que d'autres ? Nos invités en débattent. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 31 janvier 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
«Où sont les féministes?» : c'est la question que posait la rabine Delphine Horvilleur en reproduisant des extraits du témoignage d'une jeune fille, Yael Mellul, qui a survécu au 7 octobre. La rencontre Rioux-Durocher avec Christian Rioux correspondant à Paris pour le quotidien Le Devoir.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
« Comment la guerre Israël-Hamas fracture le monde » titre l'Obs qui remonte le fil des événements depuis le 7 octobre et l'attaque du Hamas. Elle a d'abord « sidéré le monde par sa soudaineté et son déchaînement de violences » peut-on lire. Et puis il y a ensuite la réplique israélienne, les bombes sur Gaza, des événements qui, nous dit le magazine, « ont réveillé, partout, une cause palestinienne qui semblait oubliée » et qui « révèle l'impuissance de l'Occident qui a cru pouvoir, ces dernières années, rester à l'écart de ce conflit ». Alors comment « éviter l'aggravation des tensions », en France notamment ? Pour tenter de répondre, l'Obs publie un dialogue entre la rabbin Delphine Horvilleur, « figure de proue du judaïsme libéral en France », et l'écrivain franco-algérien Kamel Daoud. Il y a d'un côté les regrets très amers de Delphine Horvilleur : « J'attendais les paroles d'intellectuels musulmans avec qui je dialogue habituellement. Il y en a eu quelques-unes, si essentielles, mais si rares. Quelque chose m'échappe dans ce silence qui me terrasse » explique-t-elle. Un silence qui lui paraît d'autant plus injuste qu'elle affirme dénoncer depuis des années « le gouvernement de Netanyahou, l'horreur de l'occupation, la dérive de la société ». De l'autre côté, Kamel Daoud, lui, regrette surtout cette prise de position perpétuelle qu'on lui impose à coups de chiffres et de bilans humains, aussi lourds soient-ils. « Je ne suis pas comptable. La logique des équivalences entraîne la logique de l'inhumain » affirme l'écrivain qui ajoute : « ce match Shoah contre Nakba qu'on voudrait nous faire jouer dans nos pays et qui arrange les islamistes est une mise en scène. C'est la cristallisation d'une histoire que l'on voudrait figer ». Un petit peu plus loin dans le magazine, David Khalfa, spécialiste du Moyen-Orient à la fondation Jean Jaurès, estime qu'on peut être à la fois « sensible à la cause palestinienne, soutenir la solution à deux États, critiquer la politique israélienne et condamner le Hamas. On ne doit pas choisir ses morts ».C'est pourtant, selon l'Express, ce que fait Jean-Luc Mélenchon« Le désastre », « la stratégie immorale » : l'hebdomadaire ne mâche pas ses mots après les prises de positions du leader de la France Insoumise qui s'est par exemple refusé à qualifier les actes du Hamas de terroristes. « Est-ce de la bêtise ? Ou peut-être de l'ignorance ? » se demande le magazine qui répond immédiatement : « Non et non. Jean-Luc Mélenchon connaît trop (…) le poids des mots ». Ce sont en fait « de sordides calculs » selon Le Point pour qui celui qui est arrivé troisième à la dernière présidentielle « est un homme qui ne laisse rien au hasard ». L'offensive du Hamas contre Israël représenterait « une aubaine pour un vieux politicien en perte de vitesse ». Interrogé sur la question, l'ex-député européen écologiste Daniel Cohn-Bendit y va de son analyse : « Pour capitaliser sur la révolte qui s'est affirmée dans les banlieues cet été et chercher un nouvel électorat », Jean-Luc Mélenchon se servirait « de la rancœur de beaucoup de personnes d'origine musulmane » et l'instrumentaliserait « à des fins politiques, et même bassement électorales ».Le Ghana, « La poubelle des textiles du monde » : ça, c'est à lire dans Le Figaro MagazineIl s'en prend cette semaine à la fast fashion, à cette surconsommation occidentale qui est devenue « un mode de vie et une logique économique ». Une fois les vêtements remplacés par une nouvelle tendance, ils sont majoritairement expédiés à l'étranger et notamment vers le continent africain « avec la promesse d'une seconde vie possible ». Sauf que pour l'hebdomadaire, « ce trésor textile (...) s'est mué en un bourbier écologique et sanitaire pour les populations locales ». Chaque jour, le Ghana reçoit 160 tonnes de vêtements déjà portés, acheminés par bateau. La moitié de ces cargaisons serait « considérée comme invendable dans les échoppes locales », pour finir « jetée dans les rues ou les allées du marché » à Accra. Alors pour quelques pièces, des personnes ramassent ces vêtements abandonnés et s'en débarrassent à la périphérie de la ville, dans des décharges sauvages où ils finissent par former « de véritables dunes artificielles (...) pouvant atteindre 20 mètres de hauteur », au détriment de l'environnement.Et puis M, le magazine du Monde, s'intéresse lui à ces jeunes « Lisses comme des images »« Ils ont à peine plus de 20 ans, pas une ridule », et pourtant ils fréquentent « déjà des cabinets de médecine esthétique ». L'article nous apprend tout de ces techniques qui ont la cote auprès de ces jeunes et qui évitent de passer par le bistouri : les injections, le laser, le peeling chimique… Des soins, peut-on lire, « qui promettent à cette génération biberonnée aux réseaux sociaux de prévenir le moindre signe de vieillissement ». S'y prendre aussi tôt, ça porte un nom : la Préjuvénation. Mais attention au cliché, ça ne veut pas dire que ces jeunes, ils veulent ressembler aux stars de la réalité. Non, ce qu'ils veulent, nous dit M, c'est du Glow, soit un éclat qui semble venir de l'intérieur, un teint radieux, des pores invisibles, des lèvres bien hydratées. Le tout grâce à des techniques « insoupçonnables et indolores », pratiquées « si possible entre midi et deux à l'heure du déjeuner, comme on ferait une course ou une séance de sport ». Cette nouvelle patientèle, poursuit le magazine, « économise ou se fait offrir un soin pour son anniversaire, elle fait des recherches sur internet, connaît le nom des machines, des ingrédients, partage ses adresses, met des notes aux médecins ». Bref, ce serait presque devenu banal et naturel, pas de quoi rougir… Quoique : aucune des personnes qui témoignent dans cet article n'a souhaité donner son nom. Vestige, peut-être, d'un léger sentiment de honte plus dur à effacer que des rides !
durée : 00:16:00 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - La philosophe et rabbin Delphine Horvilleur est abasourdie après l'attaque du Hamas sur Israël. Elle appelle les "ennemis du terrorisme" à participer à une marche à Paris lundi soir. - invités : Delphine Horvilleur - Delphine Horvilleur : Rabbin et philosophe
durée : 00:58:17 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Comédienne et metteuse en scène, Johanna Nizard est actuellement seule sur la scène du Théâtre de l'Atelier pour porter “Il n'y a pas de Ajar, Un monologue contre l'identité” de Delphine Horvilleur. L'occasion pour nous d'approcher les méthodes de travail d'une comédienne aux mille visages. - invités : Johanna Nizard Comédienne
Cette semaine, Lola vous conseille vivement le livre de Delphine Horvilleur : Vivre avec nos morts, un livre lumineux et qui célèbre la vie, contrairement à ce que peut laisser penser le titre. En revanche elle pousse un petit coup de gueule contre la monétisation de la pastille bleue de Twitter, dans les dents Elon.Camille vous conseille aussi une lecture : Sois jeune et tais-toi de Salomé Saqué, qui nous rappelle que non, les jeunes ne sont pas feignants et bêtes, mais qu'ils et elles vivent dans un monde différent et anxiogène. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lorsque l'on perd l'amour de sa vie, le deuil peut sembler interminable. En plus de la tristesse, la solitude peut exacerber la souffrance ressentie. Ouvrages : « Vivre le deuil au jour le jour » de Christophe Fauré, aux éditions Albin Michel « Vivre avec nos morts : petit traité de consolation » de Delphine Horvilleur, chez Grasset Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 17 mai 2023. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Last week, France's president Emmanuel Macron threw the EU bubble into turmoil by suggesting that Europe should not become the United States' “vassal” over Taiwan. But is the controversy overshadowing the possibility that he could be right? This week, Mark Leonard welcomes two ECFR colleagues: director of the Wider Europe programme and former French diplomat, Marie Dumoulin, and head of the Paris office and expert in French and US foreign policy, Célia Belin. . What explains Macron's way of thinking and is there a domestic context to his comments? And what do the strong reactions say about how Europeans view strategic autonomy in the context of the war in Ukraine? This podcast was recorded on 17 April 2023. Bookshelf: The Cat and the General by Nino Haratischwili Living with our Dead by Delphine Horvilleur
durée : 00:53:35 - L'Heure bleue - Delphine Horvilleur invoque et rend hommage à Romain Gary pour lutter contre les "assignations identitaires", et tenter de défaire la "tenaille identitaire" qui menace la société française dans son livre "Il n'y a pas de Ajar : Monologue contre l'Identité" (Grasset).
Noémie Sylberg "Vivre après Marc" (Hermann 2023) "Un livre qui arrive comme un choc et qui, en racontant la mort, ramène à la vie" Delphine Horvilleur. À trente-huit ans passés, entourée d'une famille aimante et de nombreux amis, Noémie renvoie l'image du parfait bonheur et de la réussite et de l'insouciance quand son mari meurt d'un cancer foudroyant. Vivre après Marc est le récit poignant d'une épouse et d'une mère face à la maladie et la mort. Comment aider l'être aimé à affronter les souffrances, les soins quotidiens, les embûches du parcours médical et, à la fin, l'inéluctable ? Comment l'accompagner dans ses derniers instants ? Comment préparer ses jeunes enfants au décès de leur père ? Comment garder goût en la vie quand tout s'écroule, et réussir à vivre heureuse, après Marc ? Musique : "Home" de Edward Sharpe and the Magnetic Zeros "Tu m'auras tellement plu" de Ben Mazué
Enceinte ? Découvrez "Conscientes", le podcast du programme My Louves pour votre grossesse et votre post-partum : https://m.audiomeans.fr/s/P-hkVcFHov Nous avons tous subi l'éloignement d'avec nos proches l'année où le Covid est entré dans nos vies, l'année des confinements. Noémie et Marc ont vécu cette année-là dans le secret : le secret du cancer de Marc, de ses traitements, de l'aggravation de son état. Jusqu'aux dernières semaines où il s'est décidé à appeler chacun de ses amis un par un. Deux ans après la mort de Marc, Noémie raconte dans un livre l'année où elle a dû faire le deuil de l'amour de sa vie et du père d'Ethel et Adam. Comment on se prépare et comment on prépare ses enfants à la plus grande épreuve de leur vie ? Son témoignage est bouleversant, mais il est aussi plein d'espoir sur les ressources que l'on peut trouver en soi et déployer, en tant que femme et mère, pour soi et pour ses enfants, pour que la vie continue de plus belle. « Vivre après Marc », le récit de Noémie Sylberg « En réaction à mes mots emplis d'amour, un frisson violent parcourt le corps de ma fille. À cinq ans, elle ne sait pas encore verbaliser ses émotions. Son corps exprime ce que ses mots ne parviennent à dire : que c'est injuste, qu'elle est inquiète et qu'elle a peur. Je viens de lui annoncer que son père est entré dans le coma – et qu'il ne se réveillera plus. » À trente-huit ans passés, entourée d'une famille aimante et de nombreux amis, Noémie renvoie l'image du parfait bonheur, de la réussite et de l'insouciance. Mais soudain, le drame fait irruption : son mari meurt, en pleine fleur de l'âge, d'un cancer foudroyant. Vivre après Marc est le récit poignant d'une épouse et d'une mère face à la maladie et la mort. Comment aider l'être aimé à affronter les souffrances, les soins quotidiens, les embûches du parcours médical et, à la fin, l'inéluctable ? Comment l'accompagner dans ses derniers instants ? Comment préparer ses jeunes enfants au décès de leur père ? Comment garder goût en la vie quand tout s'écroule, et réussir à vivre heureuse, après Marc ? Noémie Sylberg, Vivre après Marc, Préface de Delphine Horvilleur, éditions Hermann, janvier 2023 Soutenez notre podcast : donnez-lui une pluie d'étoiles sur votre plateforme d'écoute et un doux commentaire !
Weber, Anne Françoisewww.deutschlandfunk.de, BüchermarktDirekter Link zur Audiodatei
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Elle se sert de la cuisine comme une langue à double-sens. Un bomboloni croustillant, et c'est un chagrin d'amour qu'elle mitonne, son auteur qu'elle fricasse, ses plaies soignées au miel. La musique d'Aurélie Saada est sensuelle, elle caresse et pique aussi à qui tend l'oreille aux paroles des chansons du premier album solo de l'ancienne chanteuse des Brigitte, également autrice et réalisatrice de «Rose» en décembre 2021. Bomboloni, du nom de ce beignet italo-tunisien chaud et croquant est un album en faux semblant, dans lequel la cuisine joue le rôle qu'elle a, pour Aurélie Saada, dans la vie : un refuge, un repère, une force. On se laisse bercer, inconscients, par le rythme chaloupé, oriental, gai de la musique et des arrangements de bomboloni, mais... ne nous laissons pas tromper par les paillettes et les ors ; cet album garde l'amour en joue et la peine sous haute surveillance, il cuisine savamment les infidèles et les briseurs de coeur. L'émission est jalonnée d'extraits de l'album Bomboloni, d'Aurélie Saada. Un album Sony Music et Couscous productions. Sa rencontre nous donne l'occasion d'un détour à La boule rouge : un restaurant emblématique de la cuisine tunisienne à Paris, un refuge et une institution ouverte en 1976 par Raymond Haddad, toujours à la barre de cet établissement qui compte autant de fidèles clients que d'amis. Les banquettes rouges, les plafonds en fresques, les photos de personnalités qui décorent les murs sont autant de repères et de clins d'oeil délicieux, qui font le charme de ce restaurant. La cuisine y est généreuse et savoureuse, comme l'accueil. Pour suivre Aurélie Saada, toute de paillettes vêtue cuisinant montecaos et bombolonis ; sur instagram. Elle sera en concert en janvier 2023, à la Maison de la Radio ; le 20, à la Cigale en mars 2023 et en tournée dans plusieurs villes de France. Rose, d'Aurélie Saada est sorti en décembre 2021 - Vivre avec nos morts, petit traité de consolation, de Delphine Horvilleur – éd. Grasset 2021 - Et tu n'es pas revenu, C'était génial de vivre, de Marceline Loridan-Ivens - Boulettes, 10 façons de les préparer, de Andrée Zana Murat, éditions de l'Epure - La cuisine tunisienne, de Jacqueline Bismuth. La Martinière 2017. ⇒ Brigitte sur RFI Musique. Diaporama Programmation musicale - Carmen, de Bizet interprété par La Callas - Histoire d'un amour, de Dalida.
Cette semaine, dans La Grande Librairie, Delphine Horvilleur, Paul Audi, Joann Sfar, Polina Panassenko interrogent nos identités multiples, mouvantes, troublantes - et usent de l'écriture comme d'un moyen privilégié pour ne jamais être figé.
Andrés Amorós recomienda el libro de Delphine Horvilleur, Vivir con nuestros muertos.
durée : 00:59:10 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Delphine Horvilleur s'envisage médecin puis journaliste, jusqu'en 2003. Elle entreprend alors des études rabbiniques à New York. De retour à Paris, elle exerce le rabbinat, dans un judaïsme libéral. Un itinéraire et un héritage familial qui interrogent l'histoire. - invités : Delphine Horvilleur Rabbin et philosophe
durée : 00:33:18 - Boomerang - par : Augustin Trapenard - Rabbin, autrice et intellectuelle, connue pour son attachement aux valeurs de la laïcité, de la démocratie et de la République, elle est venue nous aider à mieux cerner ce qui s'est joué hier et ce qui se jouera demain. Delphine Horvilleur est l'invitée d'Augustin Trapenard. - invités : Delphine Horvilleur - Delphine Horvilleur : Rabbin et philosophe - réalisé par : Lola COSTANTINI
Cette semaine dans La Grande Librairie, François Busnel vous propose une rencontre entre deux écrivaines dont les livres nous aident à penser le monde actuel : Delphine Horvilleur et Leïla Slimani.
durée : 00:59:54 - Les Chemins de la philosophie - par : Adèle Van Reeth - Delphine Horvilleur est rabbin. Au quotidien, elle accompagne les vivants, au sens propre et au sens figuré, ceux qui traversent le deuil. Il lui fallait alors écrire sur la mort, qui l'habite depuis sa toute petite enfance. Mais comment parler de la mort, celle-là même qui échappe au langage ? - invités : Delphine Horvilleur rabbin et directrice de la rédaction de la revue Tenou'a