POPULARITY
durée : 00:16:06 - Bienvenue chez vous : on passe en cuisine, ici Alsace - Natacha Bieber, artisane boucher à Strasbourg, partage son parcours atypique, d'étudiante en langues à chef d'entreprise passionnée par le métier de boucher. Elle évoque son amour des produits de qualité et son engagement envers l'artisanat.
Dans cet épisode, Laurent Kretz reçoit Nicolas Haffner, fondateur de Chabiothé, une marque de thé bio qui s'est construite autour d'un modèle simple et efficace : une croissance organique, des produits faits maison, et une relation client directe, sans jamais avoir recours à la publicité payante ni aux levées de fonds.Chabiothé, c'est aujourd'hui 2 millions d'euros de chiffre d'affaires, 8 salariés, une gamme de 50 références de thés et plantes bio… et tout cela sans jamais avoir dépensé un centime en achat média.Les temps forts de l'épisode :00:00:00 : Introduction & genèse du projet Chabiothé.00:07:00 : Pourquoi choisir de vendre du thé en 200g et la stratégie du packaging.00:15:00 : Amazon comme catalyseur de croissance et non comme une cage dorée.00:24:00 : La philosophie Zéro Ads : dépendance ou liberté ?00:31:00 : Personnalisation, relation client et plaisir du produit : un modèle différent.00:43:00 : La distribution, la croissance choisie et leur positionnement dans l'univers D2C.
Chaque jour, découvrez la pépite du jour dans la France Bouge avec Elisabeth Assayag.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, découvrez la pépite du jour dans la France Bouge avec Elisabeth Assayag.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:47 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme de ces Carnets dans le Lot : l'Usine à croquettes, une imprimerie artisanale installée dans une ancienne usine de nourriture pour animaux, puis VirgoCoop, une société coopérative qui se démène pour faire renaitre la filière chanvre et produire du textile durable.
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.
durée : 00:20:58 - En cuisine avec Franck Daumas - Secrets de Ravioles perpétue un savoir-faire unique autour de la raviole du Dauphiné. Entre tradition et innovation, l'entreprise sélectionne des ingrédients locaux pour proposer des ravioles d'exception, fraîches ou surgelées, qui régalent autant les particuliers que les restaurateurs...
Plus grande productrice de moules au monde après la Chine et le Chili, cette région du nord-ouest de l'Espagne assiste à l'effondrement de sa production de coquillages. La production de palourde a baissé de 72% au cours des dix dernières années, et celle des coques de 36%. Les derniers chiffres relevés parlent de 10 millions d'euros de pertes pour 2023. Et aucune amélioration n''a eu lieu l'an dernier. En cause : le réchauffement climatique et la pollution qui affectent la Galice. Reportage de notre correspondante en Galice, Si la production de moules a diminué, ce mollusque bivalve est celui qui se porte le mieux dans la région. En Galice, dans certains estuaires comme celui de la baie d'Arousa, épicentre de la culture de coquillages, la production de coques et palourdes a chuté de 80%.Marina est mariscadoras – pêcheuse à pied –, une profession exercée déjà par sa mère et sa grand-mère. Chaque jour, depuis 30 ans, elles ratissent durant quatre heures à marée basse le sable, à la recherche de palourdes fines, palourdes japonaises et coques. « J'ai commencé avec ma mère et on n'avait pas de quota à respecter. On ramassait des seaux énormes, tout ce que donnait la marée. Aujourd'hui, c'est totalement impensable. On a le droit à six kilos par jour et par personne en tout. De toute façon, il y en a de moins en moins, et les palourdes ne sont plus aussi grosses qu'avant. Il se passe quelque chose, c'est évident. C'est le changement climatique, ça nous affecte énormément », confie-t-ell.La crise climatique, qui fait monter la température de l'eau et qui réduit la qualité du plancton dont se nourrissent les coquillages, occupe toutes les conversations. C'est aussi la principale raison avancée par Manuel Santos, coordinateur de Greenpeace en Galice, pour expliquer la chute de la production depuis le port de Vigo. L'écologiste fait un constat dramatique de la situation :« Je crois qu'on peut commencer à parler d'effondrement du système écologique des estuaires de Galice. Avant, ici, il pleuvait doucement toute l'année, mais désormais, on a de grosses averses qui ont pour effet de faire baisser la salinité de l'estuaire. Mais il y a aussi un autre facteur : la pollution des estuaires. Officiellement, il y a 2 000 sites de déversement de déchets, mais il y en a sans doute plus, et 10% sont contaminés par des produits hautement toxiques. »Alors qu'elle sera la retraite d'ici à deux ans, Marina n'est pas optimiste pour l'avenir de sa profession : « Avec deux années pas très bonnes à la suite, beaucoup de gens renoncent à leur permis de pêche. Je pense que d'ici à dix ans, on va disparaître. La pêche artisanale ne reçoit pas de soutien, rien du tout. On aide seulement les plus gros, les industriels. Nous ne pesons plus rien alors que nous avons tout construit ici, nos maisons, nos vies. On a élevé nos enfants grâce à la mer. »« Paysannes de la mer », comme on les appelle sur le littoral de Galice, les mariscadoras sont actuellement au nombre de 2 800. Elles étaient encore 4 000 il y a à peine cinq ans.À lire aussiCatalogne: des comités de cogestion pour une pêche durable et concertée
Plus grande productrice de moules au monde après la Chine et le Chili, cette région du nord-ouest de l'Espagne assiste à l'effondrement de sa production de coquillages. La production de palourde a baissé de 72% au cours des dix dernières années, et celle des coques de 36%. Les derniers chiffres relevés parlent de 10 millions d'euros de pertes pour 2023. Et aucune amélioration n''a eu lieu l'an dernier. En cause : le réchauffement climatique et la pollution qui affectent la Galice. Reportage de notre correspondante en Galice, Si la production de moules a diminué, ce mollusque bivalve est celui qui se porte le mieux dans la région. En Galice, dans certains estuaires comme celui de la baie d'Arousa, épicentre de la culture de coquillages, la production de coques et palourdes a chuté de 80%.Marina est mariscadoras – pêcheuse à pied –, une profession exercée déjà par sa mère et sa grand-mère. Chaque jour, depuis 30 ans, elles ratissent durant quatre heures à marée basse le sable, à la recherche de palourdes fines, palourdes japonaises et coques. « J'ai commencé avec ma mère et on n'avait pas de quota à respecter. On ramassait des seaux énormes, tout ce que donnait la marée. Aujourd'hui, c'est totalement impensable. On a le droit à six kilos par jour et par personne en tout. De toute façon, il y en a de moins en moins, et les palourdes ne sont plus aussi grosses qu'avant. Il se passe quelque chose, c'est évident. C'est le changement climatique, ça nous affecte énormément », confie-t-ell.La crise climatique, qui fait monter la température de l'eau et qui réduit la qualité du plancton dont se nourrissent les coquillages, occupe toutes les conversations. C'est aussi la principale raison avancée par Manuel Santos, coordinateur de Greenpeace en Galice, pour expliquer la chute de la production depuis le port de Vigo. L'écologiste fait un constat dramatique de la situation :« Je crois qu'on peut commencer à parler d'effondrement du système écologique des estuaires de Galice. Avant, ici, il pleuvait doucement toute l'année, mais désormais, on a de grosses averses qui ont pour effet de faire baisser la salinité de l'estuaire. Mais il y a aussi un autre facteur : la pollution des estuaires. Officiellement, il y a 2 000 sites de déversement de déchets, mais il y en a sans doute plus, et 10% sont contaminés par des produits hautement toxiques. »Alors qu'elle sera la retraite d'ici à deux ans, Marina n'est pas optimiste pour l'avenir de sa profession : « Avec deux années pas très bonnes à la suite, beaucoup de gens renoncent à leur permis de pêche. Je pense que d'ici à dix ans, on va disparaître. La pêche artisanale ne reçoit pas de soutien, rien du tout. On aide seulement les plus gros, les industriels. Nous ne pesons plus rien alors que nous avons tout construit ici, nos maisons, nos vies. On a élevé nos enfants grâce à la mer. »« Paysannes de la mer », comme on les appelle sur le littoral de Galice, les mariscadoras sont actuellement au nombre de 2 800. Elles étaient encore 4 000 il y a à peine cinq ans.À lire aussiCatalogne: des comités de cogestion pour une pêche durable et concertée
Vendredi, samedi et dimanche dans Europe 1 Soir Week-end, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique.
L'inflation s'invite à votre table dès le petit-déjeuner, et les prix du café et du thé se sont envolés. C'est pas de bol, mais ça fait les affaires de la chicorée, qui revient en force dans nos tasses. Moins chère, délicieuse, d'origine française, elle est, en plus, pleine de bienfaits pour la santé. Partons pour Oye-Plage, dans le Pas-De-Calais, où nous attend Agnès Lutun, notre nouvelle amie du petit-déjeuner, pour nous révéler tous les secrets de la chicorée. Ecoutez C'est ça la France avec Vincent Perrot du 08 février 2025.
durée : 00:20:25 - Gourmandise's Ossaloise : des biscuits de fabrication artisanale en vallée d'Ossau - Labellisée Artisan Gourmand en 2018, cette entreprise artisanale s'est imposée comme une référence en matière de biscuits de qualité
durée : 01:16:38 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Ce deuxième épisode de la série "Les mariniers" nous fait découvrir de l'intérieur les réalités de la batellerie artisanale à la fin des années 80 : un secteur alors sur le déclin, qui voit arriver avec inquiétude l'ouverture à la concurrence en 1992, mais qui s'adapte et fait front. - réalisation : Milena Aellig
durée : 00:19:18 - C'est bon ça, c'est fait en Isère ? - Des nouilles Biang Biang aux épices d'exception, la cheffe Audrey Van Zurk du restaurant Le Zakang à Grenoble nous invite à un voyage gastronomique.
Un épisode riche en enseignements pour les passionnés d'entrepreneuriat, d'artisanat d'exception, et de design.Nous accueillons Sonia Linard, fondatrice de Norki, une maison de luxe familiale au savoir-faire artisanal remarquable. Elle nous raconte le lancement de sa marque, les choix stratégiques qui ont permis son succès, son positionnement dans les stations d'hiver prestigieuses, et les démarches internationales qui ont ouvert les portes de nouveaux marchés.Sonia nous plonge également dans l'univers du travail des matières nobles au sein d'une équipe 100 % féminine et partage les stratégies d'expansion qui dessinent l'avenir de Norki. Un épisode enrichi de nombreuses anecdotes captivantes.Comment soutenir mon travail ?✅ S'abonner à Strat & Luxe
Quel est l'avenir des petites brasseries artisanales dans un marché dominé par les géants industriels et où les brasseries craft ultra spécialisées monopolisent la visibilité ?Dans cet épisode de "Sirotons le Houblon", nous nous penchons sur cette question intrigante. Avec l'aide de Florian Abadie, fondateur de la brasserie Aussau, nous explorons le marché des petites brasseries en France, qui produisent souvent des volumes modestes et doivent jongler entre tradition et innovation pour séduire un public varié. Florian partage son expérience et ses réflexions sur les défis et opportunités pour ces brasseries qui cherchent à se démarquer sans perdre leur ancrage local. Florian Abadie est le fondateur de la brasserie Aussau, située à Pau dans le Béarn. Depuis sa création en 2021, la brasserie s'est rapidement développée, avec une production prévue de 4000 hectolitres pour 2024. Florian et son équipe se concentrent sur une large gamme de bières, allant des styles traditionnels aux créations plus audacieuses. Leur approche met en avant l'utilisation d'ingrédients locaux et bio, tout en cherchant à offrir une diversité de saveurs qui peut satisfaire aussi bien les amateurs de bières classiques que ceux en quête de nouvelles expériences gustatives. L'épisode aborde plusieurs thèmes clés, tels que la définition et la place des petites brasseries dans le paysage brassicole français, l'importance d'une identité régionale forte, et la manière dont les brasseries peuvent naviguer entre tradition et innovation. Florian discute de la nécessité pour les brasseries artisanales de se démarquer par leur engagement envers la qualité et les produits locaux, tout en restant accessibles à un large éventail de consommateurs. L'épisode met également en lumière le rôle des geeks de la bière dans l'évolution des tendances et comment les brasseries peuvent s'adapter à ces changements tout en conservant leur essence. Les Grandes ThématiquesDans cet épisode nous abordons et développons avec Florian de nombreuses thématiques :
durée : 00:05:33 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Une chercheuse de l'Université de Zagreb s'est auto-administrée une virothérapie non autorisée pour soigner la récidive de son cancer du sein. Bien que guérie après quatre ans, avec étude scientifique à l'appui, son initiative soulève de nombreuses questions éthiques.
durée : 00:17:49 - Bienvenue chez vous 2ème partie - Découvrez la ferme de Matt et Lily en Val-de-Drôme, où Alison et Mathieu Chambron et toute leur équipe, proposent des produits artisanaux issus de leur élevage porcin en plein air. Vente directe, produits diversifiés, boutique ouverte 7 jours sur 7 et service traiteur fermier en font un lieu unique.
Au Sénégal, le poisson et la pêche font partie de l'identité nationale.Des pirogues des pêcheurs jusqu'aux étals des marchés, la pêche fait vivre 600 000 personnes dans ce pays d'Afrique de l'Ouest, qui compte 18 millions d'habitants.Mais les ressources halieutiques du Sénégal baissent drastiquement, et poussent des centaines de pêcheurs à entamer un dangereux périple vers l'Europe. En cause : la surpêche, la pêche illégale et le réchauffement climatique. Pour remédier à cette crise, le Sénégal cherche depuis plusieurs années à développer l'aquaculture avec un objectif très ambitieux : produire 65 000 tonnes de poissons en élevage en 2032, contre 1500 aujourd'hui.Mais les acteurs de la pêche restent sceptiques face à l'expansion de cette activité, qui n'est pas forcément une solution miracle.Sur le terrain : Adrien Marotte et Magatte Gaye, journalistes au bureau de l'AFP à DakarRéalisation : Sarah MiansoniSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour aux côtés d'Estelle Denis, Charlotte Méritan, notre spécialiste RMC Conso, vous donne les bonnes astuces pour mieux consommer et faire des économies.
durée : 00:19:31 - Bienvenue chez vous 2ème partie - Le Festival We Love Beer revient à Montélimar pour sa 5ème édition, rassemblant les amateurs de bières artisanales autour d'une vingtaine de brasseurs locaux et d'ailleurs. Bertrand Mignotte, brasseur à Bourg-Saint-Andéol, y présentera ses créations. Un rendez-vous festif à ne pas manquer !
durée : 00:05:15 - Déjà debout - Murielle Grégoire, présidente de la conserverie artisanale Jacot-Billey est l'invitée déjà debout
durée : 00:05:15 - Déjà debout - Murielle Grégoire, présidente de la conserverie artisanale Jacot-Billey est l'invitée déjà debout
durée : 00:05:15 - Déjà debout - Murielle Grégoire, présidente de la conserverie artisanale Jacot-Billey est l'invitée déjà debout
La province de l'Ituri dans l'est de la RDC est connue pour ses richesses aurifères. Des ressources convoitées par les groupes armés locaux et exploitées quasi exclusivement par des chercheurs d'or artisanaux. À Nizi, à une trentaine de kilomètres de Bunia est basée la Sokimo, l'entreprise publique congolaise de l'or. Début 2023, la société avait annoncé la relance de ses activités, à l'arrêt depuis une dizaine d'années, faute de moyens financiers. Mais la reprise de la production se fait attendre. De notre envoyée spéciale à Nizi,À droite de l'école construite par la Sokimo, l'entreprise publique congolaise aurifère de l'Ituri, des orpailleurs creusent au bord de la rivière. Sur la concession de la société, l'exploitation artisanale est tolérée. Celui que l'on surnomme « pasteur » tend une pépite grisâtre qu'il ira vendre dans le village voisin. « Son prix est variable en fonction de ce que les acheteurs voudront bien me donner. Tout ne sera pas pour moi, nous travaillons en groupe, il faudra que je partage avec mes coéquipiers et il faudra aussi payer les dépenses. »En moyenne, les chercheurs d'or gagnent moins de 10 000 francs congolais par jour, soit moins de 3 euros. Ici tout se fait à la pioche. Puis le minerai est lavé au mercure, un métal liquide qui permet à l'or de s'agglomérer. L'exploitation polluante a perturbé l'écosystème de la zone et provoqué des inondations, comme l'explique Francine Ouechi, une activiste de la société civile. « Il n'y avait pas de rivière ici, elle était de l'autre côté. Ces bâtiments inondés appartenaient à la Sokimo, c'est là qu'elle avait son activité. »L'insécurité perturbe la production La Sokimo, à l'arrêt depuis une dizaine d'années, avait annoncé la reprise de ses activités début 2023. L'usine de traitement des rejets des minerais a bien rouvert, selon les syndicalistes, mais le reste des objectifs tardent à se concrétiser.Au-delà des difficultés financières, l'insécurité perturbe l'entreprise et plus largement le secteur, explique Christophe Mukwa, le président de la Fédération des entreprises de l'Ituri : « Les activités aurifères fonctionnent au ralenti et pas comme ça le devrait. Pour normaliser la filière, nous allons demander au gouvernement de faire un effort pour éradiquer ce phénomène des groupes armés. Et les activités reviendront comme c'était avant. »Pour l'heure, l'objectif de la fonte de l'or pour obtenir des lingots n'est pas encore rempli. Tout comme le projet de l'exploitation du gisement du Mont Baluma qui n'a pas commencé. Aucune date n'a été annoncée, les dirigeants de la Sokimo n'ont pas donné suite à nos demandes d'entretien.À lire aussiRDC: à Bunia, certains quartiers restent épargnés par le conflit communautaire en Ituri [1/2]
durée : 00:31:41 - Circuit Bleu Côté Saveurs - France Bleu Pays Basque - Au cœur du Pays Basque, la biscuiterie Hibu met son savoir-faire artisanal à l'honneur et propose des créations gourmandes uniques et raffinées. Des biscuits artisanaux, bio, végan et sans gluten pour une pause douceur.
Comment la pêche artisanale peut-elle trouver des débouchés pour vendre sa production aux consommateurs français ? La petite pêche, ou pêche artisanale, n'est pas forcément une garantie contre la surpêche, mais c'est une pratique de pêche sans impact sur les fonds marins, et plus économe en carburant. C'est aussi un enjeu de souveraineté alimentaire, devenu un objectif politique central. Focus sur la région Occitanie, où le paradoxe est à son comble : la production locale ne trouve pas de débouchés de vente locale, et doit s'exporter. Mathieu Colléter, chercheur associé à l'Iddri, répond aux questions de Sophie Larmoyer. #Pêche #Occitanie #Océan #Mer #Méditerranée #Poisson #Bateaux #Flotte #Écologie #Maritime #Transition #Port #France #Espagne #Italie #Économie #Marine #Agriculture #Bretagne #ContratSocial #Alimentation #Consommation #Aquaculture
durée : 00:29:53 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Thomas a exercé pendant 10 ans le métier de juriste. Il décide de se reconvertir pour devenir ligneur sur le port d'Audierne. Louise, 28 ans, change complètement d'horizon après une formation en gestion pour embarquer avec son compagnon et devenir patronne pêcheuse aux coquillages.
durée : 00:29:53 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Thomas a exercé pendant dix ans le métier de juriste. Il décide de se reconvertir pour devenir ligneur sur le port d'Audierne. Louise, 28 ans, change complètement d'horizon après une formation en gestion pour embarquer avec son compagnon et devenir patronne pêcheuse aux coquillages.
Retrouvez les articles de vos rédacteurs préférés sur : https://www.canardpc.comTous nos magazines papiers et nos offres d'abonnement : https://boutique.canardpc.com Les derniers numéro de Canard PC : https://boutique.canardpc.com/common/categories/4Et Canard PC Hardware : https://boutique.canardpc.com/common/categories/7 Ecoutez l'émission en podcast: https://linktr.ee/canardpc Retrouvez-nous aussi:► Twitch : https://www.twitch.tv/canardpc► Twitter : https://twitter.com/Canardpcredac► Facebook : https://www.facebook.com/CanardPCmagazine► Instagram : https://www.instagram.com/canardpc/► Discord : https://discord.gg/nJJFe9r► Tiktok : @canardpcredac Replay de l'émission du 22/02/24. Crédits :Présenté par : Théo ''Izual'' DezalayRéalisation : Jean-Ludovic " Monsieur Chat " Vignon. Musique : Stéphane "Fishbone" Hébert, alias FB-1, disponible sur BandCamp : https://fb-1.bandcamp.com/album/canardpc-tv Avec la participation dans le désordre de : Julie ''Ellen Replay'' Le Baron et Florian "Furolith" Agez Tous droits réservés Presse Non-Stop / Canard PC. Aucun youtubeur n'a été maltraité pendant le tournage.
Retrouvez les articles de vos rédacteurs préférés sur : https://www.canardpc.com/Tous nos magazines papiers et nos offres d'abonnement : https://boutique.canardpc.com/ Les derniers numéro de Canard PC : https://boutique.canardpc.com/common/categories/4Et Canard PC Hardware : https://boutique.canardpc.com/common/categories/7 Ecoutez l'émission en podcast: https://linktr.ee/canardpc Retrouvez-nous aussi:► Twitch : https://www.twitch.tv/canardpc► Twitter : https://twitter.com/Canardpcredac► Facebook : https://www.facebook.com/CanardPCmagazine► Instagram : https://www.instagram.com/canardpc/► Discord : https://discord.gg/nJJFe9r► Tiktok : @canardpcredac Replay de l'émission du 22/02/24. Crédits :Présenté par : Théo ''Izual'' DezalayRéalisation : Jean-Ludovic " Monsieur Chat " Vignon. Musique : Stéphane "Fishbone" Hébert, alias FB-1, disponible sur BandCamp : https://fb-1.bandcamp.com/album/canardpc-tv Avec la participation dans le désordre de : Julie ''Ellen Replay'' Le Baron et Florian "Furolith" Agez Tous droits réservés Presse Non-Stop / Canard PC. Aucun youtubeur n'a été maltraité pendant le tournage.
Un couple franco-malgache dans le secteur de la vanille depuis des générations a décidé il y a 10 ans de se lancer dans la culture et la commercialisation de la gousse sur l'île aux Nattes, petit coin de paradis de 3 km² au large de la côte Est malgache. La petite exploitation accueille désormais des touristes pour une immersion sensorielle, gustative et totalement écologique. De notre correspondante à Antananarivo,Devant l'un de ses 2 000 pieds de vanille, Lionel Schmitt présente au visiteur ses protégées : des gousses vertes, au calibre exceptionnel.« Elle est bien épaisse, elle est bien dure, bien charnue. Cela fera un bon produit, un produit de qualité. » Son secret, il le partage volontiers. Il ne pollinise qu'une fleur sur deux. « Si on pollinisait toutes les fleurs, on aurait des gousses qui feraient 14-16 cm. Mais là, ça nous permet d'avoir des gousses qui font 20-22 cm », explique-t-il. « Alors, tu vois, là, il y a les pétales de la fleur qui s'ouvrent et si à midi on n'a pas pollinisé, la fleur va se refermer et là, c'est terminé, elle ne produira plus. Donc, il faut polliniser avant midi. »Lionel a tout appris de son épouse, Lynda Razanavololona. Comme elle, il reproduit le geste, vif et précis, de la pollinisation manuelle, à l'aide d'une épine de citronnier cueillie sur l'agrume d'à côté.« Là, juste en dessous de mon pouce, tu as le sac à pollen, et en dessous, le pistil. Je dégage le pistil et l'étamine, je lève le petit opercule, tout simplement, et je mets en contact le sac à pollen et le pistil pendant cinq secondes », indique Lionel.À lire aussiMadagascar: les planteurs lancent un cri d'alerte face à la chute des prix de la vanillePas de produits chimiquesLes visiteurs peuvent s'initier au geste. La promenade se poursuit. La chaleur est intense et les odeurs, multiples. Le sol est meuble, presque élastique. Des troncs de bananiers jonchent la plantation, vestiges de la dernière tempête, la semaine passée. Ils feront de l'humus en se désagrégeant et nourriront les pieds de vanille.Ici, nulle trace de produits chimiques. Les petits tracas se règlent grâce à des solutions naturelles.« On avait un problème avec les escargots, qui nous mangeaient les feuilles de vanille. Et ce qu'on a trouvé, c'est qu'il fallait juste faire un habitat pour les hérissons et il suffit de mettre des branches, des feuilles, tout un amas de produits où ils puissent faire un nid. Ils sont venus. Et depuis, ce sont eux qui nous mangent les escargots », dit Lionel Schmitt.À lire aussiMadagascar: un rapport explosif crée la polémique au sein de la filière de la vanille« Tout est artisanal »Au village, la visite de la petite exploitation a rehaussé l'offre culturelle touristique de l'île et fait la joie des habitants. À la boutique, Lynda emballe avec soins les gousses qui ont séché dans des bouteilles en verre.« On est passionnés. Moi, je suis quatrième génération qui cultive, qui prépare, et qui vend de la vanille. Tout est artisanal », assure Lynda. « Nous, on ne récolte pas à la date de l'ouverture de la campagne vanille. On préfère attendre plusieurs semaines pour que notre vanille soit bien mûre et ait plus de vanilline. »Star de Madagascar, fleuron de l'agriculture nationale, la vanille qui a fait de la Grande île le premier exportateur mondial de l'épice, se dévoile ici, à l'île aux Nattes, en toute simplicité.
durée : 00:10:01 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - A 7h50, Claire Nouvian, fondatrice de l'ONG "Bloom", est l'invitée de Sonia Devillers. Son association publie un rapport accablant sur la pêche industrielle. - invités : Claire NOUVIAN - Claire Nouvian : Directrice de l'association Bloom
durée : 00:10:01 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - A 7h50, Claire Nouvian, fondatrice de l'ONG "Bloom", est l'invitée de Sonia Devillers. Son association publie un rapport accablant sur la pêche industrielle. - invités : Claire NOUVIAN - Claire Nouvian : Directrice de l'association Bloom
Tous les jours, du lundi au jeudi, la France bouge retrace une belle histoire entrepreneuriale.
Guide 2024 des boulangeries et pâtisseries artisanales à Bruxelles! Merci pour votre écoute Bientôt à table, c'est également en direct tous les samedi de 11h à 12h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez bien plus de contenus de Bientôt à table sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23648 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:50:10 - Sinzos 64 : Les Bis-coteaux biscuiterie artisanale
Dans “La France bouge”, Elisabeth Assayag fait le tour de France des initiatives positives et novatrices. Travail, éducation, santé… Ils œuvrent aux quatre coins du pays pour faire bouger les lignes et casser les codes : qui sont ces citoyens, ces entreprises, ces collectivités qui s'engagent et inventent le monde de demain ? Des portraits et des témoignages inspirants.
Des audaces aux brassins, aux pairing divins, gloire aux bières artisanales de notre Royaume ! Merci pour votre écoute Bientôt à table, c'est également en direct tous les samedi de 11h à 12h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez bien plus de contenus de Bientôt à table sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23648 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
From Ep 182 On June 17, 2023, the folks of Boucherville, on the south shore of Montreal, gained a new microbrewery. With easy to drink beers, great food, an area to keep kids busy, and an indoor beer garden, Gaspard Brasserie Artisanale is quickly becoming an important gathering spot for families in the area. In this interview, co-owners Mathieu and Olivier talk about their first month in business and their upcoming events. All Beer Inside is a podcast by and for craft beer lovers. We travel near and far to sample the best brews and meet fellow aficionados. Drink craft, not crap! Please like, share, comment, subscribe and hit that notification bell! Gaspard Brasserie Artisanale280 Bd du Fort-Saint-Louis, Boucherville, QuebecWebsite, Instagram, Facebook All Beer Inside:Website, Instagram, Twitter, Facebook, Untappd: @allbeerinside The video portion of this interview can be found here Please like, comment and subscribe Search for All Beer Inside in all your favorite apps. #craftbeer #craftbeerlove #drinkcraftbeer #brewery #interview #gaspard
☀️
durée : 00:44:25 - Bagnères-de-Bigorre : Connaissez-vous le Pic Gourmand ? C'est une confiserie artisanale
From Ep 178 On the eve of their rebranding party on July 15th, 2023, we visited one of our usual hangout spots to preview their new beer releases. We've always loved Memento because of their great craft beer selection and free arcade games, ping-pong, air hockey, Jenga... And them being right on the Lachine Canal makes it super easy to get to. In this interview, Alex talks about what's part of the rebranding and how the last year and a half since their opening has been. All Beer Inside is a podcast by and for craft beer lovers. We travel near and far to sample the best brews and meet fellow aficionados. Drink craft, not crap! Please like, share, comment, subscribe and hit that notification bell! Memento - Brasserie Artisanale2471 Saint-Patrick St., Montreal, QuebecWebsite, Instagram, Facebook All Beer Inside:Website, Instagram, Twitter, Facebook, Untappd: @allbeerinside The video portion of this interview can be found here Please like, comment and subscribe Search for All Beer Inside in all your favorite apps. #craftbeer #craftbeerlove #drinkcraftbeer #brewery #interview #memento
Quelques années après avoir travaillé dans le secteur de l'aviation, en 1999, Nancy et son mari ont eu l'étincelle pour démarrer un réseau de distribution pour les fromagers artisanaux québécois : Plaisirs Gourmets. L'entreprise a d'abord démarré avec le fromage Pied-de-Vent des Iles-de-la-Madeleine et rapidement l'intérêt des artisans fromagers et négociants a conduit à la création d'un réseau représentant aujourd'hui une quinzaine de fromageries artisanales, 1 fabricant de fondue et un charcutier. Les entrepreneurs sont l'épine dorsale de l'économie canadienne. Pour soutenir les entreprises canadiennes, abonnez-vous à notre chaîne YouTube et suivez-nous sur Facebook, Instagram, LinkedIn et Twitter. Vous voulez rester au courant des derniers podcasts et actualités #entrepreneur? Abonnez-vous à notre newsletter bimensuelle.
From Ep 173 We've always been fans of Boswell Brasserie Artisanale and have visited their Plateau Mont-Royal location innumerous times since it opened 8 years ago. When we heard that Boswell would take over Boutique Cheers' taproom and boutique in St-Bruno, we were excited to see how it would turn out. In this interview, Karp speaks to co-owner and co-founder Nicolas Paquet about this new 2nd location and rediscovers some classic craft beers. All Beer Inside is a podcast by and for craft beer lovers. We travel near and far to sample the best brews and meet fellow aficionados. Drink craft, not crap! Please like, share, comment, subscribe and hit that notification bell! Boswell Brasserie ArtisanaleWebsite42b Bd Clairevue O, Saint-Bruno-de-Montarville, QuebecInstagram, Facebook2407 Mont-Royal Ave E, Montreal, QuebecInstagram, Facebook All Beer Inside:Website, Instagram, Twitter, Facebook, Untappd: @allbeerinside The video portion of this interview can be found here Search for All Beer Inside in all your favorite apps. #craftbeer #craftbeerlove #drinkcraftbeer #brewery #interview #brasserieboswell
La chocolaterie artisanale QQ La Praline a été fondée en février 2020 par Laure Martinelli.
Les enfants vont bien: homoparentalité et autres schémas familiaux
Je vous retrouve aujourd'hui pour découvrir la suite de l'épisode d'Aurelia et Charlotte, je sais que vous l'attendez avec impatience et pour cause. Aurélia et Charlotte ont eu le cran, le courage et la confiance pour pratiquer un geste courant dans le milieu de la PMA mais peu ou pas pratiqué dans une chambre à coucher. Et c'est la qu'on se rend compte de la puissance de notre désir du désir d'enfant dans nos couples.Alors bien sûr, Aurélia et Charlotte se sont renseignées, se sont formées et se sont entraînées pour cela, elles ont fait appel à de professionnels compétents et compréhensifs qui leur ont transmis leur savoir, qui les ont rassuré et qui les ont guidé. Et c'est dans ce genre de cas qu'on se rend compte que finalement, tous les professionnels médicaux ne sont pas à mettre dans le même panier, et qu'ils sont bien plus nombreux qu'on le croit a plaider notre cause et à nous aider dans l'ombre.Le message que je souhaite vous faire passer ici est de ne pas vous décourager face à des accompagnants obtus, passez votre chemin, vous trouverez la perle qui fera de vous des parents. Je vous le redis, cet épisode est époustouflant, j'ai été bluffée par là sérénité qu'a procuré à Aurelia et Charlotte un bon accompagnement, mais surtout par la force de leurs convictions et de leur certitudes, combinaison qui s'est avérée payante, puisque dès le 1er essai en insémination intra-utérine, elles ont eu le bonheur de découvrir que leur petite Amaé s'était nichée au creux de leur ventre. Ps: vous l'aurez compris, j'ai fait une petite erreur de définition dans l'intro de l'épisode précédent, Aurélia et Charlotte ont commencé par une insemination intra-vaginale et ont poursuivi par une insemination intra-utérine, le tout en version artisanale. Méa-culpa, c'est ça aussi de rédiger mes intros en étant sans arrêt entrecoupée par les filles! Et je ne vous raconte pas comme elles sont pipelettes. Je vous souhaite une bonne écouteSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/lesenfantsvontbien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les enfants vont bien: homoparentalité et autres schémas familiaux
L'épisode d'aujourd'hui, comme je vous l'ai annoncé mercredi, aborde à nouveau une méthode de conception que nous avons déjà evoqué à plusieurs reprise: l'insémination artisanale.Dans les épisodes 2, 15 et 23, Floriane, Barbara et Marion vous explique,t pourquoi et comment elles ont opté pour cette méthode de conception. Oui mais cette méthode propose des variantes:La plus connue et la plus facile d'accès est l'insémination intravaginale. Celle pratiquée en milieu médical dans les centres de PMA ou dans les cliniques est l'insémination intra-cervicale, dont la particularité est de passer le col via une canule. Les statistiques n'en sont que meilleures évidemment. Et ça, Aurelia et Charlotte l'ont découvert au fur et à mesure de leur réflexion et de leur accompagnement par des professionnels bienveillants et conciliants.A mon micro, Aurelia, @aurechame, nous raconte dans cette première partie d'épisode, sa rencontre avec Charlotte, l'acceptation de leur relation par leurs familles et les étapes qui les ont amené à envisager de pratiquer elle même ce geste médical parce que leur décision est réfléchie et qu'elle leur ressemble. Elles ont fait un bébé toutes seules, elles ont fait un bébé homemade. Je vous souhaite une bonne écouteSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/lesenfantsvontbien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce mardi 6 décembre, les raisons du succès de Bo&Mie qui réalise un chiffre d'affaires de 12 millions d'euros ont été abordées par Noémie Wira et Jean-François Bandet, fondateur de Bo&Mie, dans la chronique La pépite, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.