Jean-Louis Gaillard est l’un des pasteurs de l’Église Évangélique Missionnaire de Chaville, Nanterre et Bihorel en France www.assemblee-chretienne.fr/. Il travaille depuis plus de 30 ans avec la mission CTMI de l'Île Maurice www.ctmi.org . Depuis 2008, il anime des programmes sur des radios télévis…
Dans un village du Liban, une missionnaire regroupait chaque soir quelques enfants pour leur apprendre à lire et elle en profitait pour leur parler du Seigneur Jésus. Parmi ses auditeurs, il y avait aussi un vieillard, à la fois aveugle et sourd. — Vous devriez le renvoyer, lui dit une amie, il ne fait que marmonner sans arrêt. Il gêne vos leçons et vous ne pouvez atteindre son âme, captive comme dans une prison au-dedans de lui. — Ce serait dommage, répondit la missionnaire, car l'enfant qui l'amène sera alors renvoyé aussi. Le vieillard continua à venir régulièrement sous la conduite de son petit-fils, si bien qu'un jour, la missionnaire eut une idée. Elle prit la main du vieil infirme et y traça avec un doigt les caractères arabes qui désignent le nom de Dieu. Il comprit vite ce premier mot : « Dieu » et ne cessa de le répéter. Le lendemain, notre amie continua : « Dieu a tant aimé », puis, le troisième jour : « Dieu a tant aimé le monde », et ainsi de suite jusqu'à ce que le vieillard ait appris le verset tout entier. Dès lors, on le vit chaque jour, assis près du marché, répétant à haute voix à qui voulait l'entendre les mots de la parole de Dieu qui avaient apporté la paix et la joie dans son cœur. Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle, Jean 3 : 16.
O mort, où est ton aiguillon ? L'aiguillon de la mort, c'est le péché, c'est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! 1 Corinthiens 15 : 55-57. Comment serions-nous face à une telle situation ? Un individu sur la place du village avait attiré une foule de curieux. Autour de son cou était enroulé un serpent d'une espèce très venimeuse et l'animal bien qu'agacé ne parvenait pas à frapper le charmeur. La plupart des spectateurs étaient figés de peur. Face au danger, à la mort, sommes-nous comme ce public effrayé ou comme ce charmeur de serpent sur de lui ? Il s'avéra qu'au milieu de ces spectateurs l'on s'écria :« Ce serpent n'a plus de dard ! ». Et c'était vrai, le dard et le venin avaient été enlevés et le reptile était parfaitement inoffensif. Dans 1 Corinthiens 15 : 56, Paul explique : Pourquoi avons-nous peur de la mort ? Parce qu'elle a une aiguillon terrible : l'aiguillon de la mort, c'est le péché. Hébreux 9 : 27 nous dit aussi : Il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela vient le jugement, Voilà bien ce qui la rend si redoutable pour celui qui va rencontrer Dieu. Mais alors, comment extirper cette aiguillon ? Autrement dit, comment expier le péché ? Ce que nous ne pouvons pas faire, Dieu l'a fait. Christ est mort pour nos péchés. Il les a pris sur Lui, à son compte, comme si c'étaient les siens et il a subi de la part de Dieu le jugement que nous méritions. Christ est mort pour nous, Romains 5 : 8. Est-ce à dire que tous les hommes seront sauvés ? Hélas non ! Il a plu à Dieu de sauver ceux qui croient,1 Corinthiens 1 : 21. La question que nous nous permettons de vous poser est celle-ci : est-ce que vous en faites partie ? Prière pour aujourd'hui : Seigneur, je désire croire en toi pour que le péché soit enlevé de moi. Je ne veux plus avoir peur de mourir mais je veux avoir cette assurance et cette joie que je te verrais au jour que tu as fixé d'avance.
A Pékin, près de Notre poste missionnaire, nous avions notre voisine, une dame veuve qui vivait avec ses trois filles. La plus jeune qui avait 17ans environ était atteinte de tuberculose pulmonaire. On entendait dans le silence à travers la porte, la respiration courte de ses poumons rongés de maladie comparable au froissement de papier de soie. Dans ses derniers moments, sa mère et ses sœurs se tenaient à son chevet et pleuraient. Tout semblait fini. Pendant quelques instants, la mère au cœur brisé donna libre cours à sa douleur. Et soudain, la mourante ouvrit les yeux et s'écria avec un visage resplendissant de joie et de paix : je suis revenu pour vous dire que j'ai vu le ciel. Oh c'est merveilleux, c'est merveilleux, j'ai vu le seigneur Jésus, et elle mourut. Plus tard, en faisant allusion à ces moments, la mère nous disant, je ne pouvais plus prier mais seulement louer Dieu. Plusieurs fois, des chrétiens chinois qui avaient été témoins de la mort de parents ou d'amis chrétiens, nous ont dit qu'il leur semblait avoir un avant goût de quelque chose de merveilleux juste avant de franchir le seuil. L'Évangile de Jean au chapitre 14 verset 2 nous dit : il y'a plusieurs demeures dans la maison de mon père, si cela n'était pas je vous l'aurai dit. Je vais vous préparer une place.
Pendant six ans, Adoniram Judson, le célèbre missionnaire baptiste qui défricha la Birmanie, travailla avec zèle et patience sans obtenir une seule conversion. Quelqu'un lui ayant demandé quelle preuve il avait que le succès couronnerait ses efforts, il répondit : « Le succès me sera donné parce que je crois en Dieu, qui accomplit ses promesses. » Trente et un ans plus tard, il y avait en Birmanie soixante-dix églises avec sept mille membres. « II y a un Dieu qui accomplit ses promesses, aimait-il à répéter. C'est ce Dieu tout-puissant qui a honoré sa foi. Il honorera aussi la nôtre si nous nous fondons sur cette parole de la Bible » : « Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. » Hébreux 10 : 23.
Au cours du XVIe siècle, Yvan dit le terrible était tsar de toutes les Russies. Il avait l'habitude de s'habiller en mendiant et de se mêler au peuple pour en connaître la vie. Un jour, il parla avec une femme âgée et pauvre. Il en vient à lui parler de Jésus-Christ et lui offrit une Bible en disant : « Tu y trouveras des trésors inépuisables ». Un mois plus tard, Yvan retrouva la vieille femme. Il était en somptueux vêtements, suivi de ses ministres. La femme reconnut alors le tsar. « Comment, lui dit-il, tu es toujours aussi pauvre, et qu'as-tu fait de la Bible que je t'ai donnée ? »
En 1947, un jeune berger arabe, gardant son troupeau dans la région de la mer Morte, cherche une chèvre égarée. Dans les falaises proches de Qumran, il découvre l'entrée d'une grotte. Avec beaucoup d'hésitation, il entre en rampant et trouve une grande quantité de cruches d'argile contenant chacune un rouleau de parchemin. Aux premiers siècles, on avait ainsi caché de précieux parchemins pour les protéger des pillards et des faits de guerre ...
Connaissez-vous l'histoire de Mary Jones ? Cette petite fille avait attendu pendant des années qu'une école s'ouvrît dans un village voisin, à 6km de son domicile. Elle s'y rendait tous les jours (pieds nus !) et apprit à lire dans une Bible. Mais comment obtenir une telle Bible ? Son prix était exorbitant pour une petite fille de huit ans, ainsi que pour ses parents. Pendant six années, elle fit toutes sortes de travaux (raccommodages, couture, garde des vaches...) pour gagner un peu d'argent. Lorsqu'elle économisa le prix de la Bible, elle se rendit, toujours pieds nus, à Bala, à 40km de là, où habitait le pasteur Charles. Mais voilà : il n'y avait plus de Bibles en gallois et l'éditeur londonien avait décidé de ne plus en imprimer ...
Dans un hôpital, une petite fille atteinte de scarlatine se trouvait à l'isolement. Ses parents ne pouvaient la voir qu'à travers une vitre. Mais l'enfant avait trouvé un moyen de communication. Elle faisait coller par sa garde-malade un billet sur sa vitre. Un matin, le père qui passait chaque jour en se rendant au bureau trouva le billet suivant : « Papa, s'il te plaît, apporte-moi une boîte de crayons de couleur. » Le lendemain à son arrivée, il trouva un nouveau billet : « Merci beaucoup papa pour la belle boîte de crayons ! » ...
Par un bel après-midi de printemps, nous nous promenions, Sidonie, Marc, Piff (notre caniche) et moi-même dans le parc des Cascades jouxtant notre demeure. La nature semblait revivre après cet hiver qui n'en finissait pas ; des crocus de toutes couleurs jaillissaient, çà et là, de la pelouse encore recouverte de quelques feuilles d'automne égarées par le vent. Près du lac, où les truites se régalaient goulûment du pain que les promeneurs leur jetaient (sous le regard courroucé du Cygne), étaient assises, sur un banc de pierre, une jeune fille et probablement sa mère, profitant de ce paisible spectacle. Sidonie et Marc se poursuivaient sur le toboggan accompagné des aboiements de Piff qui participait, à sa manière, à leur joyeuse turbulence ; quand, soudain, du banc où était assise une jeune fille trisomique, s'éleva un chant ; plus qu'un chant, cela me faisait penser à un cantique dont chaque mot, martelé de sa voix grave, demeurait incompréhensible. La jeune fille s'était levée, cueillant les crocus, tout en continuant de chanter et tournoyant sur elle-même, comme voulant offrir une danse sacrée à l'Eternel, nullement gênée par le regard réprobateur de certains promeneurs. Elle s'offrait à la nature, réveillée par ces premiers rayons de soleil, sous l'œil médusé des enfants : le spectacle était incroyablement fascinant et bouleversant. Des larmes se mirent à jaillir de mes yeux, émus de tant de beauté. Le cœur plein de tristesse, je me demandai si Dieu, un jour, me permettrait de connaître cette joie immense de pouvoir le louer de tout mon être avec autant de liberté et de simplicité que cette adolescente.
On entend très souvent des « Chrétiens » dire « Dieu m'a dit… » Un jour, un homme marié alla voir ses amis chrétiens pour leur annoncer que Dieu lui avait dit de quitter sa femme et d'épouser sa secrétaire ; l'homme semblait tellement convaincu que ses amis lui conseillèrent d'aller parler avec son pasteur. Le pasteur le reçut dans son bureau et écouta son histoire, puis le pasteur lui dit : « Allons prier ! ». Au bout de deux minutes, le révérend enleva sa chaussure, la prit et se mit à frapper son visiteur. Tout de suite, l'homme cria : — Mais que faites-vous ! Le pasteur répondit : — Le Seigneur m'a dit de prendre ma chaussure et de vous frapper ! L'autre répondit, c'est impossible, le Seigneur ne peut pas vous avoir dit cela ! La réponse du pasteur fusa. — Eh bien, de même que le Seigneur n'a pas pu me dire cela, le Seigneur ne vous a pas dit non plus, qu'il fallait divorcer et épouser votre secrétaire ! L'homme partit tout penaud. Il est remarquable de voir que dans la Parole de Dieu, lorsque Dieu parle à un homme, il parle aussi à d'autres ; par exemple, lorsque l'ange a annoncé à Marie qu'elle serait la mère du Seigneur Jésus, l'ange est parti aussi l'annoncer à Joseph ainsi qu'à sa cousine Elizabeth et à son mari Zacharie.
Dans un haut quartier de la ville d'Alger, qui domine le port, et qu'on nomme la Kasbah, on peut encore voir l'ancien palais du Dey, transformé aujourd'hui en musée. Au pied de l'édifice s'ouvre une salle qui donne sur la rue et qui servait auparavant de tribunal. Au fond se tenaient les juges. A leur gauche, on trouvait une porte de prison, noire, qui s'ouvrait sur la geôle où le prévenu attendait le jugement. Au-dessus, des juges pendaient une corde qui permettait, lorsque l'accusé était condamné, de procéder sans délai à son exécution. On devine l'angoisse des délinquants lorsque la sentence de mort était prononcée à leur encontre. Quelques instants seulement les séparaient de la pendaison. Une seule chance de salut s'offrait au coupable. A la porte cochère de la salle était suspendue en demi-cercle une chaîne qui subsiste encore aujourd'hui et que l'on aperçoit de la rue. La coutume voulait que le condamné pût tenter une dernière chance d'éviter l'exécution. S'échappant au travers de la foule qui remplissait la salle, s'il pouvait atteindre la porte et toucher de sa main la chaîne de la grâce, il était sauvé. Les malheureux purent-ils en profiter souvent ? La foule s'ouvrait-elle avec compassion devant eux ? Ou au contraire, resserrait-elle les rangs pour permettre aux juges d'accomplir leur sentence ? Je l'ignore. Ce que nous savons, c'est que nos fautes accumulées nous ont valu une sentence de condamnation. Mais une chance de salut subsiste toujours. Jésus, le fils de Dieu est monté sur la croix. Quiconque tourne vers Lui les regards et met en Lui sa confiance, touche la chaîne du salut. Tous les pécheurs que leur conscience accuse, sont invités par le juge même à recourir à la grâce, et ce, sans tarder.
L'histoire raconte qu'Alexandre le Grand, chaque fois qu'il mettait le siège devant une ville ennemie, faisait fixer, devant les portes de la cité, un énorme flambeau allumé. Cela signifiait que toute personne qui sortirait vers lui, de jour ou de nuit, tant que le flambeau brûlerait, aurait la vie sauve. Mais, une fois le flambeau éteint, tous ceux qui seraient restés à l'intérieur de la ville seraient, sans miséricorde, frappés par l'épée. Le monde n'est pas en état de siège ; cependant beaucoup de gens, même parmi ceux qui rejettent la parole prophétique de la Bible, ont le pressentiment que les choses ne peuvent pas continuer ainsi et ils sont saisis d'angoisse. Le déséquilibre de l'économie mondiale, la consommation effrénée des ressources naturelles, les perpétuels risques de guerre dans tel ou tel point chaud du globe, les menaces qui pèsent sur l'écologie de la planète, sans parler de la dérive morale de la société, sont autant de sujets d'inquiétude pour tous ceux qui veulent bien regarder les choses en face. Dans la Bible, Dieu a décrit cette ambiance, et en a annoncé l'issue : La terre chancelle, elle chancelle comme un homme ivre, elle vacille comme une cabane. Son péché pèse sur elle, elle tombe et ne se relève plus, Esaïe 24 : 20. Mais le « flambeau » brûle encore. Aujourd'hui, c'est encore le temps de la grâce durant lequel Dieu sauve tous ceux qui se confient en Lui. Au temps favorable, je t'ai exaucé, au jour du salut, je t'ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut, 2 Corinthiens 6. 2. Et maintenant, pourquoi tardes-tu ? Actes 22. 16.
Par un soir d'hiver glacial, l'homme entendit un bruit irrégulier martelait la double porte de la cuisine. Il se rendit à la fenêtre et observa des petits moineaux grelottants qui connaissant la chaleur qui habitait de l'autre côté de la fenêtre s'entêtaient désespérément d'entrer par la vitre. Touché, le fermier s'habilla chaudement, se fraya un chemin en traînant les pieds, à travers la neige fraîchement tombée et ouvrit la porte de la grange. Il alluma la lumière, jeta du foin dans un coin et traça sur le sol un sentier à l'aide de petits biscuits salés afin d'y attirer les petits moineaux. Mais effrayés par la présence du fermier, les oiseaux s'étaient envolés dans diverses directions et demeuraient cachés dans la nuit. Il essaya différentes techniques - encercler les oiseaux afin de les faire entrer dans la grange, lancer des miettes dans leur direction, se retirer dans sa maison et observer si les moineaux ne se dirigeraient pas d'eux-mêmes vers leur demeure temporaire. Effrayés par cette énorme créature temporaire, les oiseaux ne parvenaient pas à comprendre que le fermier désirait les aider. Finalement, le fermier entra dans sa maison et surveilla les oiseaux, condamnés à rester à l'extérieur derrière la fenêtre. Soudain une idée le frappa comme un éclair éblouissant dans un ciel tout bleu. Si seulement je pouvais me transformer en un oiseau et devenir l'un d'eux pour un court moment je ne les effraierai pas autant. Je pourrais leur montrer le chemin vers la chaleur et la sécurité. Au même instant il comprit qu'il venait de vraiment saisir le principe de l'incarnation. Un homme qui devient un oiseau, mais qu'est ce que comparer à Dieu qui s'est fait homme. L'idée d'un être souverain aussi grand que l'univers qu'Il a créé, qui accepte d'être confiné aux limitations du corps humain, a toujours été et demeure difficile à croire pour certaines personnes
Alors, cette histoire se passe actuellement dans les escaliers d'une tour de la place de la Défense à Paris. Il y avait un certain milliardaire dont les bureaux se trouvaient au huitième étage d'une immense tour de ce quartier d'affaires. Ce grand PDG avait l'habitude de se rendre à son bureau, en prenant l'ascenseur. Par contre, quand il quittait son bureau, il descendait par les escaliers, histoire de faire de l'exercice. C'était un homme hautain qui avait connu la pauvreté auparavant et qui s'était élevé dans le monde par sa propre force et sa grande énergie. Il paie son loyer régulièrement le premier jour du mois, et s'occupe pleinement de son travail. Et il ne s'arrête pas au fait qu'il y ait des êtres humains qui travaillent dans les ascenseurs ou qui nettoient les fenêtres suspendues à des hauteurs vertigineuses au-dessus du trottoir. Il ne se souvient d'aucun d'eux au moment des étrennes pour leur remettre un pourboire. Non il ne pense qu'à lui ! Mais dans cette tour, il y a une femme qui nettoyait les escaliers ainsi que les étages. Il est passé à côté d'elle souvent, mais il ne l'a jamais vue jusque récemment, car sa tête était dans les nuages, il pensait davantage à sa fortune, et la femme de ménage se trouvaient à mi-chemin dans les escaliers, car elle avait commencé en haut et elle avait donné un premier coup de chiffon sur la toute première marche dans une flaque d'eau , il y avait aussi là, un gros pain de savon et le milliardaire mis le pied dessus, le pied qu'il avait posé sur le savon s'envolant vers le soleil levant et l'autre pied entreprit une expédition toute propre vers le soleil couchant et le milliardaire tomba assis sur la première marche. Il tomba par terre et ne resta pas là ! Comme, il avait eu l'intention de descendre, il descendit donc, mais pas de la manière qu'il avait d'abord conçue, et en descendant il frappa chaque marche, un son se faisait entendre comme s'il s'était agi d'un tambour. Et la femme de ménage se rangea poliment de côté pour le laisser passer ! En se relevant, l'homme se demanda s'il devait courir dans le bureau du gestionnaire de l'immeuble pour demander qu'on renvoie la femme de ménage, mais il se dit que si on lui demandait la raison, cela déclencherait une certaine hilarité parmi les autres habitants de l'immeuble, il décida donc de garder le silence ! Mais depuis ce jour, il remarque la femme de ménage et il passe à côté d'elle avec respect et circonspection ! La saluant à chaque occasion. Car personne, malgré sa puissance, ne peut se permettre d'ignorer ses semblables, car une très humble femme de ménage et un pain de savon jaune bien ordinaire peuvent détourner l'attention d'un grand homme de ses rêves ou de ses difficultés professionnelles avec une rapidité surprenante. Par conséquent, considérez ces choses et ne pensez pas que vous êtes plus grand que le plus humble parmi les enfants de Dieu de peur que par accident, vous ne tombiez de votre piédestal et que vos blessures ne vous fassent souffrir un peu plus du fait que vous pourriez croire que la femme de ménage sourit dans ses bulles de savon ! Qu'elle commence sa journée de travail d'une humeur plutôt joyeuse en repensant au plaisir que vous lui avez procuré, car les temps sont difficiles et celui qui fait sourire une femme de ménage n'a pas vécu en vain ! Nous vous encourageons à faire de même et d'avoir toujours une parole gentille eu égard à tous ceux qui travaillent autour de vous comme le dit si bien, le proverbe 25 et au verset 11 : _ "Comme des pommes d'or sur des ciselures d'argent, ainsi est une parole dite à propos." Et encore comme a dit Jésus : _"Qu'il n'en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert." Luc 22 : 26
Une jeune fille, peu fortunée, nourrissait sa mère et ses frères et sœurs en donnant des leçons de piano. Un jour, poussée par la misère, et afin de se donner quelque prestige, elle fit mettre dans les journaux l'annonce d'un concert en se donnant comme élève de Liszt. Or, ce n'était pas vrai. Par une coïncidence étrange, le jour même du concert, Liszt arrive dans cette ville. Sans rien savoir, il descend dans l'Hôtel où se donne le concert. Hors d'elle-même, la jeune fille bouleversée se décide à aller trouver le maître pour tout avouer. Le grand artiste se montra plein de bonté envers la jeune fille dont les yeux étaient remplis de larmes. - Pauvre enfant, pauvre enfant, lui dit-il, je vous pardonne ! Le célèbre compositeur demanda alors à la jeune pianiste de se mettre au piano. Il écouta, la rendit attentive à quelques fautes, l'engagea à nuancer certains passages du morceau, puis il ajouta : « Vous pouvez dire maintenant que vous êtes mon élève, et je vous prie de mettre au programme que Franz Liszt jouera le dernier morceau ». Combien de chrétiens ne sont disciples de Christ que de nom ! Oh toi qui portes le nom de chrétien, es-tu vraiment à l'école de Christ ? Va, dis-lui tout. Il te pardonnera et mettra son nom dans le programme de ta vie.
Voilà plus de cinquante ans, un inspecteur de la Poste arrivait inopinément dans un bureau. Et interrogeait les employés : - Est- ce que vous prenez bien l'heure exacte à la radio chaque jour ? - A vrai dire, j'ai tellement de travail que je la règle plutôt sur l'horloge de la mairie, juste en face. Une horloge toute neuve ! Monsieur l'inspecteur. - Cela ne veut pas dire qu'elle soit exacte parce qu'elle est neuve ! Il est de toute importance d'avoir l'heure juste dans un bureau de poste. Réglez donc votre pendule sur la radio ! L'employé promit qu'il le ferait tout en pensant que l'inspecteur était bien maniaque. À la sortie l'inspecteur jette un regard sur l'horloge de la mairie qui a une bonne apparence dans son aspect de nouveautés. Il aperçoit le concierge devant la porte et l'interpellent : - Vous avez donc une nouvelle horloge à la mairie. - Est-ce qu'elle est bien exacte, au moins ? - Oh ! elle marche à merveille - Mais comment donc, le savez-vous, mon ami ? - Eh bien, je la règle d'après le bureau de poste, car je vois bien qu'elle ne varie pas. Vous savez les postiers, ils ont toujours l'heure exacte. Ainsi chacun était persuadé d'avoir l'heure juste en se fiant aux voisins d'en face ! Mais c'était évidemment une garantie bien précaire N'en n'est-il pas aussi pareillement des chrétiens qui s'efforcent de régler leur conduite sur celle de leurs frères et sœurs dans la foi ? Ces derniers pour leur part utilisent la même façon de faire. En effet, il existe une norme infaillible : Un guide sûr et éprouvé pour nous conduire dans l'obéissance qui glorifie Dieu. Il s'agit de la Bible que nous devions lire et puiser chaque jour, elle nous révèle Jésus ! Lui seul a pu dire dans l'Évangile de Jean au chapitre 14 verset 6 "Je suis le chemin, la vérité et la vie"
— Je trouve que Dieu est injuste, estimait un cultivateur. Pourquoi ne donne-t-il pas aux hommes tous les moyens d'être heureux ? Bien des choses devraient changer… — Je suis d'accord avec vous, répondit un estivant en vacances dans le village. Par exemple, regardez ce pauvre jardin plein de mauvaises herbes ; tout est sec ; la nature l'a plutôt malmené, ce jardin ! — On voit que vous ne connaissez pas son propriétaire : un paresseux, un ivrogne qui laisse tout aller chez lui. — Peut-être, mais il ne commande ni au soleil, ni à la pluie, ce n'est pas lui qui fait pousser ses légumes. — Pas d'accord avec vous, reprit le premier, c'est tout à fait sa faute. Le jardin d'à côté reçoit les mêmes pluies, le même soleil et voyez comme il est bien entretenu… — Eh bien, mon cher, conclut l'étranger, il en est de même du monde. A qui la faute si au point de vue moral, il est à l'état sauvage ? A Dieu dont la belle création répondait exactement aux besoins de sa créature ? Ou à l'homme qui gâche stupidement ces ressources et a transformé cette terre en une véritable jungle ! L'homme pollue, dévaste et perpétue l'injustice sociale. Et tout cela sans fruits pour Dieu. Mais, il viendra un moment, où Dieu retirera aux descendants d'Adam l'administration de la terre et la confiera à Christ, le roi de l'univers. Alors, seulement règneront l'ordre, la paix et la justice dont l'homme ne peut jouir tant qu'il n'obéit pas à Dieu ». Le Dieu vivant, qui a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s'y trouve. Ce Dieu, dans les âges passés, a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies, quoiqu'il n'ait cessé de rendre témoignage, Actes 14 : 15-17.
Voilà bien des années, en Chine, un jeune homme qui avait vécu uniquement pour les plaisirs de ce monde, mourut sur un bateau qui voguait sur le fleuve Yang-Tsê Kiang, le plus long fleuve d'Asie, 5500 kms. Sa mort n'avait été que le reflet de sa vie. Les autorités trouvèrent parmi ses papiers un volumineux paquet de lettres qu'il n'avait jamais été ouvertes. C'était des lettres de sa mère. Le paquet fut retourné à celle qui en avait été l'auteur, conformément au règlement consulaire, et cette femme eut ainsi en même temps la douleur d'apprendre la mort de son fils et le chagrin de constater que les lettres qu'elle lui avait envoyées n'avaient jamais été lues. Quel fils indigne ! s'écria -t-elle, et à juste titre, mais combien de personnes méprisent également la Parole de Dieu, la Bible, la lettre que Dieu a envoyée aux hommes dans son immense amour. S'ils la possèdent, ils ne la lisent pas ; s'ils ne la possèdent pas, ils ne cherchent nullement à s'en procurer une et à la lire, alors que cela leur serait si facile de le faire. Jésus déclare : Heureux plutôt, ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui la gardent ! C'est dans Évangile de Luc chapitre 11 verset 28 Lisez-vous cette parole que Dieu, vous a adressé. Cette parle ou Dieu a envoyé son fils sur la terre pour nous transmettre cette parole de vie et nous donner la vie. Vous perdez beaucoup de ne pas la lire. Je vous encourage à la lire ! Que Dieu vous bénisse !
Témoignage du pasteur Stal Gamin miraculé du COVID 19
Il vaut mieux être patient que fort, nous dit le livre des Proverbes. Une jolie petite fleur bleue avait poussé au bord du chemin. Cette fleur transpirait beaucoup sous les ardents rayons du soleil. Elle n'appréciait pas du tout cette chaleur torride ; aussi se mit elle à souhaiter ardemment que le vent se lève pour la rafraîchir. — Sois patiente et accepte ce que Dieu t'envoie. Ne pense pas qu'il t'abandonne. Comme il est ton créateur et qu'il t'aime, il te donne ce qui est le meilleur pour toi. La sueur coulait le long des feuilles de la petite plante. Soudain, une brise douce et légère se leva et se mit à la caresser. Pendant quelques instants, la fleur se sentit bien ; elle était heureuse. Mais son sourire disparut bien vite : comme ce courant d'air dessèche mes feuilles ! Pourquoi n'a-t-il pas amené la pluie avec lui ? La pluie arriva, les gouttes ruisselaient sur elle. La fleur gémit à nouveau : je n'en peux plus ! Pourquoi le soleil ne brille-t-il pas ? L'auteur d'un aussi sale temps n'est qu'un tyran ! À coup sûr, mes rhumatismes vont me reprendre ! Au bord du chemin, notre petite fleur se lamentait jour et nuit. Par temps de pluie ou de brouillard, elle n'était jamais heureuse ; elle n'avait jamais la patience d'attendre qu'au soleil succède la pluie, à la pluie le vent, au vent à nouveau le soleil. Finalement, elle sombra dans une profonde mélancolie. Ne sommes-nous pas comme cette fleur ? Nous trouvons toujours matière à nous plaindre. Dans le mot patience, il y a l'idée de souffrir. Or nous vivons dans un monde qui recherche la jouissance et esquive la souffrance ; nous poursuivons le plaisir et rejetons toute contrainte. Jacques est pourtant clair : Mes frères, considérez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves que vous pouvez rencontrer, sachant que la mise à l'épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse une œuvre parfaite, afin que vous soyez parfaits et accomplis, et qu'il ne vous manque rien. Ne voulez-vous pas déposer vos fardeaux, vos soucis sur le Dieu vivant et vrai ? Il sait ce qui est le meilleur pour nous. Réjouissez-vous en espérance. Soyez patients dans l'affliction. Persévérez dans la prière, Romains 12 : 12.
Le célèbre compositeur Franz Joseph Haydn était interrogé par un éminent musicien intrigué de savoir comment il pouvait retrouver si rapidement sa force intérieure après une période d'efforts intenses. Il répondit : « Quand je me sens fatigué après avoir créé une composition, je me retire pour prier. Ce simple remède ne m'a jamais fait défaut ». Les croyants qui parlent à Dieu quand ils ont besoin de se ressourcer, se branchent sur la réserve de toute force : le Tout-Puissant lui-même. Christ nous a donné le plus bel exemple de la façon de résister par la prière aux pressions de la vie. L'Evangile de Marc nous apprend qu'après une épuisante journée où il avait enseigné, guéri, chassé des démons, Jésus ne dormit que très peu. Avant le lever du soleil, il se retira dans un endroit à l'écart pour s'adresser à son Père et renouveler sa vigueur spirituelle. Si le Fils de Dieu trouvait nécessaire de préparer son cœur au début d'une autre fatigante journée, combien plus, avons-nous besoin, nous autres, faibles humains, de prendre le temps de prier avant d'affronter nos responsabilités ! Celui qui se rend compte des complexités et des exigences de la vie ne devrait jamais rien entreprendre sans demander au Seigneur de la diriger. Nous pouvons avoir confiance que Ceux qui se confient en l'Eternel renouvelleront leurs forces, Esaïe 40 : 31. S'étant levé sur le matin, longtemps avant le jour, il sortit et s'en alla dans un lieu désert, où il pria, Marc 1 : 35.
J'étais parti de Belfort en train, et pour la première fois en tenue militaire. Je me trouvai déjà en Allemagne pour atteindre bientôt Coblence où l'on m'attendait à la caserne de mon futur bataillon médical. À un arrêt, une belle jeune fille allemande monta dans le train et trouva place dans notre compartiment, où se trouvaient déjà plusieurs militaires. Comme elle parlait bien le français, elle nous précisa qu'elle prenait ce train régulièrement, pour aller à son lieu de travail, quelques gares plus loin. Sa destination arrivante, elle se leva et, avant de nous quitter, elle serra la main à chacun de nous. En serrant ma main, elle y laissa incognito un petit papier plié plusieurs fois, où elle avait écrit : « Je t'aime de tout mon cœur », accompagné bien sûr de tous les renseignements pour la retrouver. Mais cette déclaration d'amour, elle ne l'avait pas écrite dans le train, en face de moi, en succombant à quelque charme éventuel de ma part. Cette déclaration piège, était déjà prête d'avance dans son sac à main, pour jeter son grappin, à la bonne occasion, sur l'homme de son choix. Bien sûr. Dieu merci, je n'ai pas donné suite à ses avances, sinon j'aurais peut-être fini, comme ce jeune homme dont parle la Bible : Elle le séduisit à force de paroles, elle l'entraîna par ses lèvres doucereuses. Il se mit tout à coup à la suivre, comme le bœuf qui va à la boucherie, Proverbes 7 : 21-27.
Le roi de Prusse, Frédéric-Guillaume (1798-1861) s'arrêta un jour dans un relais de poste. Remarquant un Nouveau Testament sur le comptoir, il demanda au maître de poste s'il le lisait régulièrement. — Oui, Sire, chaque jour. — Très bien ! Et où en êtes-vous maintenant ? — A l'évangile de Matthieu. — Bien ! Continuez à lire sans vous presser, mais faites-le soigneusement tous les jours. A celui qui cherche le salut de son âme, le Seigneur ne manque pas de lui répondre. Il peut aussi, s'il le juge opportun, lui octroyer des bénédictions terrestres. Là-dessus, profitant d'une courte absence de l'hôte, le roi déposa secrètement plusieurs billets de banque à la fin de l'évangile de Matthieu. A son retour de voyage, Frédéric-Guillaume s'arrêta de nouveau chez le maître de poste et lui demanda où il en était arrivé de sa lecture. — A l'évangile de Luc, Sire. — Eh bien, voyons ce qu'il en est. Prêtez-moi votre Nouveau Testament. Les billets de banque se trouvaient encore à la place où le monarque les avait placés. — Le mensonge, dit le roi au bonhomme qui rougissait de honte, est un grave péché. Et il reprit l'argent qu'il fit distribuer aux pauvres du village. Celui qui méprise et néglige la Parole de Dieu perd bien plus que tout l'or et l'argent que cette terre peut lui offrir ; il perd l'occasion de connaître Jésus qui seul est : Le chemin, la vérité et la vie, Jean 14 : 6. Les lèvres fausses sont en horreur à l'Eternel, Proverbes 12 : 22. Eloigne de moi la fausseté et la parole mensongère, Proverbes 30 : 8. Ne mentez pas les uns aux autres, vous étant dépouillés du vieil homme et de ses œuvres. Colossiens, 3 : 9.
À Florence, plusieurs sculpteurs taillaient en vain un immense bloc de marbre. Frappé à coups de ciseaux et de marteaux, il n'avait plus aucune forme jusqu'à ce que l'on fasse appel à Michel-Ange pour qu'il en tire quelque chose de beau. Il fit construire une cabane autour du bloc de marbre et travailla pendant dix-huit mois à l'abri des curieux. Enfin, il invita ses concitoyens à venir voir son œuvre. De la masse informe, maltraitée par les autres sculpteurs, émergeait la statue du jeune David, le berger-roi d'Israël, qui est maintenant l'une des gloires de Florence. Sur le plan spirituel, le Christ peut s'emparer des vies que le péché a saccagées et les transformer à son image. Voulez-vous le laisser faire son œuvre en vous ? Mes enfants pour qui j'éprouve de nouveau les douleurs de l'enfantement, jusqu'à ce que Christ soit formé en vous, Galates 4 : 19.
À notre fils David, David, je me souviens de toi lorsque tu étais enfant. Tu parlais du Seigneur Jésus à tout le monde et c'était une joie pour tes parents ! Tu t'adressais aussi bien aux prêtres du village qu'à l'homme qui venait sortir les poubelles de notre immeuble. Puis tu as grandi et je me rappelle tes premiers cours de philosophie en classe de 1re qui ont amené un trouble certain à ta vie spirituelle. Tu découvrais un autre mode de pensée que celui que tu avais connu. Puis l'année suivante, alors que tu aurais dû être en classe, je te rencontre d'une façon impromptue dans la rue, et je te demande ce que tu fais là ? Et tu me racontes que tu n'as pas classe et que tu vas faire une course ! Je trouve cela tellement surprenant que j'appelle la direction du Lycée qui me confirme que tu ne vas plus à l'école depuis plusieurs jours. Tu m'expliques alors que tu as 18 ans, que tu es majeur, et que c'est toi qui signes maintenant tes bulletins d'absence ! Je suis abasourdi, mais je reste calme et je me rappelle que je te dis :" pas de problème c'est ton choix David, mais maintenant ne vis pas dans le mensonge, et va travailler !" Quelques jours après, tu rencontres un journaliste spécialiste en codage informatique qui te prend sous son aile et tu apprends à écrire des programmes informatiques. Mais cette année-là également, tu me déclares ne plus vouloir aller à l'église et mener ta vie comme tu l'entends. C'est alors que commence une descente aux enfers dans la drogue qui nous angoisse, car ta maman et moi te voyons quitter nos relations parentales, pour vivre la nuit dans un monde que nous ne connaissons pas. Mais là, je te laisse raconter. Par ailleurs, je vois nombre de choses entassées dans la cave, des vélos, des chaînes hi-fi, etc. Et je réalise que pour dealer, tu te procures des choses qui ne t'appartiennent pas. Je tente de parler avec toi, mais tu me donnes des explications extravagantes qui ne me rassurent pas. Alors, durant plusieurs années, ta mère et moi, prions pour toi chaque jour et attendons chaque soir que tu rentres à la maison, debout derrière la fenêtre, jusqu'à ton retour à une heure avancée de la nuit. Durant cette période, nous sommes secoués par cette situation : alors que je suis pasteur, j'ai un fils qui vit la nuit, qui doit fumer des substances illicites. Sachant que la Parole de Dieu nous dit que "le pasteur doit tenir ses enfants dans la soumission et dans l'ordre." Que dois-je faire ? : - Démissionner de ma fonction de pasteur ou mettre notre fils à la porte de la maison ? Le Seigneur me parle alors et me dit : "Ne démissionne pas et ne mettez pas votre fils dehors, car vous allez le perdre, mais supportez cette épreuve et attendez-vous à moi, car j'agirai en mon temps." Ce temps a été pénible à vivre, mais il a été l'occasion pour le Seigneur, de nous montrer notre loi, nos principes rigides et notre orgueil, que Lui seul pouvait traiter. Nous avons appris à prendre notre croix ; pas la théorie d'une prédication, mais une réalité dans notre vie de tous les jours. Cela a été une période difficile, mais nécessaire pour notre maturité spirituelle. Nous sommes heureux d'avoir traversée ce chemin afin de mieux connaître le Seigneur et de pouvoir grandir avec Lui. Nous apprenons toujours à travers les épreuves, rarement quand tout va bien ! Et en définitive, ces moments difficiles ont fortifié notre couple et ont approfondi notre relation avec notre Seigneur Jésus. Nous en sommes reconnaissants et nous pouvons aider ceux qui traversent les mêmes situations à regarder au Seigneur en comptant sur Sa grâce. Mon fils, Ta maman et moi, nous t'aimons et nous voulons continuer à servir le Seigneur. Papa & Maman
Le monde va à sa perte ! Le monde va de mal en pis ! Nos parents croyaient pour la plupart que leurs enfants seraient plus heureux et plus prospères qu'eux. Le progrès des sciences et des techniques permettrait une plus grande maîtrise de la nature. La prospérité future ferait oublier les souffrances du passé… La conquête des énergies (vapeur, électricité, nucléaire) et les succès de la médecine ont fait naître en occident un grand orgueil et des espoirs démesurés. La recherche d'un monde meilleur a nourri les ambitions les plus nobles et les plus folles. La foi dans le progrès, chez les nations qui ont délaissé le christianisme, est devenue une sorte de religion laïque : demain, on fêterait l'extinction de la pauvreté, demain le progrès souverain conduirait à une planète illuminée par la Justice et la Liberté… Mais depuis une trentaine d'années, c'est la désillusion croissante. Et les parents se demandent avec inquiétude dans quel monde vont vivre leurs enfants ! Dieu a donné pour vocation à l'homme de gérer la terre… non pas égoïstement, mais pour Dieu et avec Lui. Nous pouvons profiter avec reconnaissance des progrès matériels, mais sobrement et en cherchant d'abord ce qui plaît au Seigneur. La Bible nous montre que l'état moral du monde ira en empirant et que Dieu devra ôter le mal de la terre par de terribles jugements avant d'instaurer une ère de justice et de paix. Mais maintenant encore, le salut est offert à chacun. Non pas un salut lié à la prospérité matérielle, mais le bonheur de se savoir pardonné et aimé, d'avoir la paix avec Dieu par la foi en Jésus-Christ, et l'espérance d'être toujours avec lui au ciel. Et croyez-moi Le jour du Seigneur vient comme un voleur dans la nuit. Quand ils diront : « Paix et sureté », alors une subite destruction viendra sur eux, 1 Thessaloniciens 5 : 2,3. Et encore Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance., Jérémie 29 : 11.
La vielle dame de 93 ans tremble un peu en racontant cette page précieuse de sa très longue vie. Il était cardiaque, ce jour-là rien de spécial ne s'était passé mais le soir il lui dit : - Le Seigneur m'a dit : je viendrai te chercher cette nuit. Elle était sous le coup. On partira ensemble tu le sais bien, et elle le regardait. Il était dans son bon sens pensait elle. Cela doit être vrai. - Chérie nous avons passé 67 années de bonheur ensemble. Nous allons rendre grâce à Dieu, le remercier parce que ce n'est pas le lot de tout le monde tu sais, nous allons lire un psaume et après nous prierons. Et c'est ce qu'ils firent. Puis, ils allèrent se coucher. Vers 4h du matin, voici ce qu'il lui dit : - Je te remercie d'avoir été une compagne aussi admirable pour moi. Pardonne-moi si je t'ai peut-être peiné sans le savoir. Elle dans un souffle : - Toi aussi tu as été un mari merveilleux pour moi, merci. Et il s'est endormit pour toujours. La vieille dame aux mains qui tremblent, à la pensée forte ajoute : - Et je restai la avec ces beaux souvenirs en entendant qu'un jour prochain, le Seigneur vienne me chercher à mon tour et que nous soyons réunis à nouveau dans le royaume de notre Père Céleste.
Alexis Carrel (1873–1944), le célèbre chirurgien et physiologiste qui ouvrit la voie aux opérations à cœur ouvert, a écrit : « On dirait que la vie moderne s'est engagée dans une impasse. L'intelligence, dans son développement égoïste, isolée du domaine spirituel, est une monstruosité. Sur l'arbre de la science, l'homme moderne a cueilli, pour la seconde fois, le fruit défendu. La difficulté vient de ce qu'il connaît les lois de la mécanique, de la physique, de la chimie ; mais qu'il ne se connaît pas lui-même. Il a donc créé un paradis qui ne lui convient pas, un monde dur, géométrique, technique ». Ces réflexions sont plus que jamais actuelles : l'homme, qui a cru pouvoir se passer de Dieu, s'aperçoit qu'en lui-même subsiste un vide immense que rien ne peut combler. Il a voulu se libérer et il est tombé dans de nouvelles servitudes. La technique, le confort, les facilités, l'argent, les plaisirs, voilà ce qui l'enchaîne. On n'écarte pas Dieu de son chemin sans en subir les plus grands dommages. Mais ce Dieu, dont on ne veut pas, est toujours là et il attend le pécheur repentant. Il faut que chacun reconnaisse sa culpabilité personnelle et la valeur du sacrifice de Jésus. On ne vient à Dieu qu'en passant par la croix. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres, Jean 8 : 36. Christ est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité, 2 Corinthiens 5 : 15.
William Herschel, Hanovrien vivant en Angleterre au XVIIIème siècle, musicien de renom, fut aussi un célèbre astronome qui construisit un télescope par le moyen duquel il découvrit la planète Uranus. Quand le roi d'Angleterre, George III, qui s'intéressait aux questions scientifiques, l'apprit, l'astronome reçut l'ordre de se présenter au château de Windsor. Il s'y rendit avec son télescope. Cependant, Herschel traînait derrière lui une grave faute qu'il croyait ignorée : il avait autrefois servi dans la garde royale, puis avait déserté. C'était, à l'époque, un crime passible de mort. L'astronome fut introduit en présence du roi ; une foule nombreuse était réunie dans les salons du château. Le roi le salua brièvement : « Monsieur, avant que nous ne parlions d'astronomie, nous avons une petite affaire à liquider ». Et il tendit à Herschel une lettre cachetée du sceau royal. A son extrême stupéfaction, le savant y trouva, écrite de la main du roi, une déclaration par laquelle il recevait plein pardon pour la faute qu'il avait commise. Aux yeux de la loi, il n'était plus coupable. Le roi l'acquittait. Son cas se trouvait définitivement réglé. Les hommes portent le fardeau de leurs péchés. Du point de vue de la loi divine, ils sont condamnés. Mais le Fils de Dieu en a subi le châtiment et Dieu acquitte entièrement celui qui le croit simplement. Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l'esprit, Romains 8 : 1.
Ayant survécu à 3 sombres années passées à Auschwitz et et dans d'autres prisons nazies, le Dr Victor Frank a écrit ses observations sur la vie dans les camps de Hitler. Nous avons vécu dans les camps de concentration, nous pouvons nous rappeler les hommes qui réconfortaient les autres dans les baraquements, donnant leur dernier morceau de pain. Ils sont peu nombreux, mais ils attestent clairement qu'on peut tout enlever à un homme sauf une chose : la dernière des libertés humaines. Choisir son attitude dans n'importe quelle circonstance, choisir sa propre voie
Sans Frontières, cette seule expression soulève un élan d'espoir parmi les hommes. On parle de « Médecins sans frontières », de « Jeunes sans frontières », de « Voyages sans frontières ». Combien aimerait-on un monde qui ne serait qu'une seule communauté fraternelle d'êtres humains, paisibles et sans rivalité ! Mais les frontières existent… Elles existent parce que le mal existe, parce que les peuples s'envient et s'opposent. Chacun cherche à se protéger et à protéger ses richesses. C'est vrai sur le plan des individus, comme sur celui des nations. Pourtant, il existe une grande communauté sans frontières. C'est l'Eglise, qui est constituée de l'ensemble de ceux que le Seigneur a sauvés. Quelles que soient notre race, notre nation, notre âge, notre instruction, notre situation sociale, si nous avons cru Dieu qui a donné son Fils pour nous, nous faisons partie de l'Eglise. Nous formons un seul ensemble spirituel : « Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul corps… » 1 Corinthiens 12 : 13. Quelle joie profonde de contempler avec le regard de la foi tous les chrétiens unis à Christ ! Cette unité fondamentale de l'Eglise est, hélas, aujourd'hui invisible, mais un jour, il y aura au ciel des hommes rachetés, « …de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ; » Apocalypse 5 : 9. Déjà maintenant, que nos pensées et notre amour s'étendent à tous les enfants de Dieu sans distinction ! A ceux qui ont été sanctifiés en Jésus-Christ, appelés à être saints, et à tous ceux qui invoquent en quelque lieu que ce soit le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur et le nôtre, « que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! » 1 Corinthiens 1 :3. « …car tous, vous êtes un en Jésus-Christ. » Galates 3 : 28.
Il est vivant Le docteur Dale, pasteur anglais, préparait une prédication de Pâques. Soudain, la pensée du Christ ressuscité s'imposa à son esprit comme jamais auparavant : — Christ est vivant ! s'écria-t-il à plusieurs reprises. Vivant, aussi réellement que je vis moi-même ! Et il se mit à arpenter son bureau en répétant : — Christ est vivant ! Alors, répéta-t-il, la phrase que je lançai dans l'air me revint comme transfigurée de l'éclat d'une gloire radieuse :Oui, Christ est vivant ! C'était pour moi une nouvelle découverte. Je me dis alors, il faut que mes paroissiens le sachent. Je prêcherai et repêcherai Christ vivant jusqu'à ce qu'ils croient en lui comme je crois en lui à cette heure. Cette certitude ne nous fait-elle pas bondir de joie : II est vivant ! Et, parce qu'il vit, « …Il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. » Hébreux 7 : 25.
II avait l'air d'un juste Maxime Gorki, le célèbre écrivain russe a écrit : « Quand j'allais en Sibérie par étapes, voici ce qu'un forçat m'a raconté. C'était un voleur et il avait avec lui toute une bande : cinq personnes. L'un d'eux déclara un jour : —Cessons de voler, mes amis. De toute façon, ça ne mène à rien. On n'est pas heureux ! À cause de cela, ils l'étranglèrent un jour qu'il s'était endormi, après une de leurs beuveries. Le forçat faisait grand éloge de sa victime : —J'en ai tué trois autres après sans regret. Mais celui-là, je le regrette ; c'était un bon camarade, intelligent, gai, une âme pure... —Alors, pourquoi l'avez-vous tué ? Vous craigniez qu'il vous dénonce ? Le forçat fut froissé. — Non, ni pour de l'argent ni pour rien au monde, il ne nous aurait dénoncés. Mais comme ami, ce n'était plus ça. Nous sommes tous des pécheurs, et lui, il avait l'air d'un juste ; ça n'allait plus ! N'est-ce pas là ce qui explique en partie la mort de Jésus ? On l'a arrêté, condamné à mort et crucifié parce qu'« il avait l'air d'un juste ». Mieux encore, il était le seul juste, le seul qui n'ait jamais commis de péché. « Christ aussi a souffert une fois pour les péchés ; lui, juste, pour des injustes, » 1 Pierre 3 : 18.
Donne-moi un Fils (du Général Douglas MacArthur) Donne-moi un fils Seigneur ! qui sera assez fort pour savoir quand il est faible et assez brave pour se faire face quand il aura peur. Un fils qui sera fier et inflexible dans une honnête défaite et humble et doux dans la victoire. Donne-moi un fils dont les désirs ne se substitueront pas à ta volonté. Un fils qui te connaîtra et pour qui te connaître est la pierre angulaire de la connaissance. Conduis-le, je te prie, non dans le sentier de la facilité du confort mais sous le stress et l'aiguillon des difficultés des défis. Ici apprend lui à tenir bon dans la tempête. Ici apprends lui à avoir de la compassion pour ceux qui tombent. Donne-moi un fils dont le cœur sera pur, dont les objectifs seront élevés. Un fils qui apprendra à rire sans jamais oublier comment pleurer. Un fils qui tendra vers l'avenir sans jamais oublier le passé. Et une fois que toutes ses choses seront siennes, ajoute je te prie assez de sens de l'humour pour qu'il puisse toujours être sérieux sans jamais se prendre trop au sérieux. Donne-lui de l'humilité afin qu'il se rappelle toujours la simplicité de la véritable grandeur. Un esprit ouvert à la véritable sagesse. La douceur de la véritable force alors moi son père j'oserais chuchoter : « Je n'ai pas vécu en vain »
Esta historia acontece en las escaleras de una torre en la Plaza de la Defensa, en París. Había un cierto multimillonario cuya oficina estaba en el octavo piso de una enorme torre en esta zona comercial. Este gran empresario solía ir caminando a su oficina, y cuando llegaba al edificio, tomaba el ascensor. Sin embargo, cuando salía de su lugar de trabajo, bajaba por las escaleras, con el fin de hacer ejercicio. Era un hombre altivo que había conocido la pobreza y que se había educado por sus propios medios y que pudo salir adelante gracias a su gran fuerza de voluntad. Él paga el alquiler con regularidad el primer día de cada mes y se ocupa de su trabajo. Sin embargo, no se interesa ni siquiera en saludar a las otras personas que trabajan en los ascensores o limpiando las ventanas en aquellas alturas vertiginosas. Tampoco ayuda con una moneda a quienes lo necesitan. Solo piensa en sí mismo. Sin embargo en esta torre hay una mujer que limpia los pisos y las escaleras. Y él pasaba a menudo junto a ella, y siempre la ignoraba, hasta un día en que tenía la cabeza por las nubes, pensando en su fortuna, y la señora de la limpieza estaba en el medio de las escaleras pasando el trapo. Y en el primer escalón había un charco, y también una gran barra de jabón y el multimillonario la pisó. Inmediatamente resbaló y aunque intentó recuperar el equilibrio, sus pies comenzaron a resbalar en diferentes direcciones y terminó bajando por las escaleras como lo hacía habitualmente, pero de una manera que no imaginaba. Los golpes sonaban como un tambor. La señora de la limpieza estaba debajo y se hizo a un lado para dejarlo pasar después de que este se pusiera nuevamente en pie. El empresario pensó en ir a la oficina del consorcio para pedir que despidan a esta mujer, pero desistió porque temía que cuando contase el motivo, los demás terminen burlándose de él y que eso lo desprestigie; y finalmente, en silencio se marchó. Pero a partir de ese día, él comenzó a prestar más atención a esa señora, saludándola y caminando con precaución, cada vez que pasaba por el pasillo y por las escaleras. Porque ninguna persona, más allá de su poder, debe darse el lujo de ignorar a sus semejantes; porque una humilde empleada de limpieza y un jabón común y corriente, pueden terminar distrayendo a un gran hombre rápidamente. Por lo tanto, considera estas cosas y no creas que eres más importante que los demás entre los hijos de Dios, no sea que por "accidente" caigas de tu pedestal y que aquellos a quienes menosprecias, terminen riéndose de ti. Empiece su día con alegría y transmita su felicidad a otros. Porque aquel que regala una sonrisa a otras personas, no habrá vivido en vano. Tenga siempre una palabra de ánimo para quienes trabajan a su alrededor, como dice Proverbios 25:11: "Manzana de oro con figuras de plata, es la palabra dicha como conviene". Y como Jesús dijo en Lucas 22:26: "mas no así vosotros, sino sea el mayor entre vosotros como el más joven, y el que dirige, como el que sirve". Hasta pronto
Hola, esta historia se titula: Los efectos impensados de la generosidad. Un joven que quería estudiar medicina, vendía revistas temprano en la mañana para juntar algo de dinero y poder así pagar su educación. Un día, en la entrada de un edificio se encontró con una mujer que le dijo: "perdón, no tengo dinero para comprar una revista, pero te ves muy cansado, ven a mi casa a tomar algo para que te sientas mejor. El joven entró a la casa de esta mujer y ella le ofreció un poco de agua. Mientras el joven tomaba, le trajo un vaso de leche y luego, otro más. El joven estaba renovado. Luego de aquel momento le agradeció por su amabilidad y retomó su arduo trabajo. Diez años más tarde, esta mujer se enfermó. Tenía un tumor en el cerebro. Su médico de cabecera le dijo que solo había un especialista en Estados Unidos que podía ayudarla a salir de esta enfermedad. Su clínica estaba en Nueva York. Pero también él le advirtió, que habría un problema, ella no podría pagarlo. Aunque también le dijo que él hará todo lo posible para que ella sea aceptada. Sorprendentemente, la mujer fue aceptada y se programó una cita rápidamente para la cirugía. El médico de cabecera estaba asombrado por la respuesta de la clínica. Cuando la señora llegó a este sanatorio, fue alojada en la mejor habitación y tuvo la mejor atención. La cirugía salió bien y llegó el momento en que le iban a dar de alta. El día en que ella debía quitar la clínica, el cirujano entró en su habitación. La mujer se asustó mucho porque había visto la factura por aquella intervención. Ella era pobre y la verdad era que no tenía el dinero para pagar aquel precio. El médico se sentó a su lado y le explicó en qué consistía aquel costo. La factura era de 25 mil dólares. La mujer empezó a llorar y le dijo: "Nunca podré pagar por esto, porque no tengo dinero". El médico la calmó y le pidió que mirara más de cerca la factura. Entonces, la mujer leyó la frase que estaba escrita al final de la cuenta: "Todo fue pagado con aquel vaso de agua y con dos vasos de leche". #365Historias #JeanLouisGaillard
José prueba a sus hermanos antes de revelarse a ellos, como encontramos en Génesis 44 y 45. Él necesita comprobar si el corazón de ellos ha cambiado desde aquel día en que, animados por los celos, lo vendieron a los ismaelitas. Para comprender completamente la historia, es necesario comprender el propósito de la vida de José. Él ya los había perdonado por lo que le habían hecho, porque había entendido que había un plan de Dios detrás, pero necesitaba saber cómo eran ellos en aquel momento. Habían pasado veintidós años desde que lo vendieron; pero ¿seguían siendo como en aquel entonces? ¿Cómo podía José saberlo? Y así decide "poner en riesgo" la vida de Benjamín, para descubrirlo. Y es así que el primer ministro de Egipto, decide poner su copa en el costal de su hermano más pequeño, para inculparlo y ver la actitud de sus otros hermanos hacia él. Pero, suponiendo que no hubiera nada objetable en los medios que utilizó José para lograr su objetivo, ¿se puede decir lo mismo de las palabras que puso en boca de su mayordomo y que él mismo repitió, incluso cuando volvió a ver a sus hermanos? ¿Era correcto que él fingiera ser un adivino (Gn 44:15)? ¿Especialmente para decir que adivinó por su corte? ¡Pobre de mí! Hay pocos hombres que hayan sido más santos que José; sin embargo, está seguro de que no estaba absolutamente libre de pecado. Benjamín es ahora el favorito de su padre, y en Egipto, aunque es el más joven, es objeto de extraordinarios honores. Una historia contundente que nos muestra que es necesario morir a nosotros mismos y revestirnos del nuevo hombre, que debe hacernos parecer cada vez más al Señor Jesús. Este es el quinto episodio de esta serie. ¡Qué lo disfrutes! Su hermano, Jean-Louis Gaillard #JeanLouisGaillard #365Historias #Biblia Para ver los episodios anteriores: Episodio 1: https://youtu.be/AADoJ1kpBYM Episodio 2: https://youtu.be/BsKAiypOUyU Episodio 3: https://youtu.be/MwepY3rnjpk Episodio 4: https://youtu.be/039Hb4IsvPs Visite nuestro blog, donde además encontrará la transcripción de cada mensaje: https://jlgaillard.fr/es/
Génesis capítulos 42 y 43 Los hermanos de José en Egipto. La necesidad de traer a Benjamín, el hermano pequeño de la familia de José (hijo del mismo padre y de la misma madre Raquel) Intriga y sorpresa en estos capítulos. La obra de arrepentimiento comienza a realizarse en los corazones de los hermanos de José, después de pasar un tiempo en prisión. Sigua conmigo esta maravillosa aventura de la familia de Jacob y de sus doce hijos... Para ver los episodios anteriores: Episodio 1: https://youtu.be/AADoJ1kpBYM Episodio 2: https://youtu.be/BsKAiypOUyU Episodio 3: https://youtu.be/MwepY3rnjpk Visite nuestro blog, donde además encontrará la transcripción de cada mensaje: https://jlgaillard.fr/es/ #JeanLouisGaillard #365Historias #José #Biblia
Éxodo 41: el Señor revela su plan para José y Él acomoda todas las cosas. El mayordomo se acuerda después de un largo tiempo de aquel que le había ayudado a comprender aquel sueño. El plan perfecto de Dios está en marcha. Un estudio apasionante que te animará, el tercer episodio en la vida de José. #JeanLouisGaillard #365Historias #José #Biblia
Segundo episodio sobre la vida de José. La muy enriquecedora historia de José que nos recuerda cómo el Señor Jesús guía nuestros pasos y cuáles son las actitudes del corazón que debemos mostrar. Trataremos: Las etapas de su vida. El llamado Persecuciones Procesos Formación Y su destino... Estoy haciendo una serie sobre la vida de José que se asemeja en cierto grado a la vida de nuestro Salvador y Señor Jesucristo y por lo tanto, también a nuestro andar cristiano.
Sous le titre « Savoir calculer le prix d'un deuil », un hebdomadaire écrivait : « Les familles doivent être averties : si elles n'y prennent pas garde, les frais d'obsèques peuvent dévorer un petit héritage ». Et l'auteur de l'article mentionnait le coût d'un service funèbre : prix d'une concession au cimetière, prix du cercueil, prix du service des pompes funèbres et des formalités à accomplir. C'est vrai, mais est-ce là la chose importante ? Une vieille chrétienne, quand elle apprenait la mort d'une personne inconvertie, répétait souvent : « Ce ne sont pas ceux qui restent qui sont à plaindre, ils auront peut-être encore l'occasion de se convertir, mais c'est celui qui quitte ce monde avec ses péchés. Il est entré dans l'éternité, loin de Dieu ». La mort nous introduit, en effet, dans l'irrévocable. L'esprit de celui qui meurt avec ses péchés s'en va loin de Dieu et quand son corps ressuscitera, ce sera pour comparaître devant le Juge dont il a méprisé le pardon. Car, avant d'être le Juge, Jésus est le Sauveur. C'est Lui qui, aujourd'hui encore, s'approche de vous : il vous demande de reconnaître votre culpabilité aux yeux de Dieu et de croire à son sacrifice rédempteur. Heureux celui qui meurt dans la foi ! Son âme s'en va près de Jésus et son corps attend dans la poussière le jour de la résurrection. Cherchez l'Eternel, pendant qu'il se trouve ; invoquez-le, tandis qu'il est près, Esaïe 55 : 6. Voici, c'est maintenant le temps favorable ; voici, c'est maintenant le jour du salut, 2 Corinthiens 6 : 2.
La muy enriquecedora historia de la vida de José nos recuerda cómo el Señor Jesús guía nuestros pasos y cuáles son las actitudes del corazón que debemos demostrarle. Las etapas de la vida. El llamado Persecuciones La perseverancia El discipulado Y el destino... Estoy haciendo una serie sobre la vida de José que se asemeja en cierto grado a la vida de nuestro Salvador y Señor Jesucristo y, por lo tanto, también a nuestro andar cristiano.
El viejo maestro Andrea Verrocchio, uno de los pintores más famosos de su tiempo de Toscana, Italia, estaba muy enfermo. Un día, el artista mando a llamar a un joven que estaba en su taller, sosteniendo su paleta. “Hijo”, dijo su madre, “al maestro le gustaría verte. Date prisa y ve ahora mismo." El joven dejó su pincel y fue rápidamente a ver a Verrocchio. "Leonardo", dijo el maestro. "Este lienzo que he empezado a pintar, tú sabes el del altar de San Juan, ¿podrías terminarlo por mí?". El estudiante lo miró sorprendido. “Maestro, lo siento mucho, pero no puedo. Lo estropearía con solo tocarlo". El viejo pintor sonrió. “No, hijo mío, haz tu mejor esfuerzo. Hazlo por mí. ¡Tengo que terminarlo y sé que puedes hacerlo!" Esa noche, en el ático, en una casa de Florencia, el joven oró: "Dios", dijo, arrodillándose, "por favor ayúdame, por el bien de mi maestro, ¡Ayúdame a dar lo mejor!" Una vez que el lienzo estuvo terminado, fue a mostrárselo al viejo Verrocchio. "Hice lo mejor que pude, Andrea, para ti." El anciano comenzó a llorar: "Mi hijo, mi querido hijo, ¡es bueno, es muy bueno! Ya no necesito volver a pintar. Florencia estará orgullosa de ti un día, Leonardo da Vinci". En cada uno de nosotros hay dones y talentos, que nuestro Maestro conoce perfectamente. Y que quiere que usemos para Su gloria. ¿Qué estás haciendo con esas habilidades únicas que tienes? ¿Qué estás haciendo con tu salud, con tu vida? ¡Que Dios te ayude a encontrarte a ti mismo!
Un rey que no creía en la bondad de Dios tenía un esclavo que en todas las circunstancias le decía: -Mi rey, no se desanime, porque todo lo que Dios hace es perfecto, ¡Él no se equivoca! Un día, en el camino, mientras iban a cazar, un animal salvaje atacó al rey. Su siervo mató al animal, pero no pudo evitar que su señor perdiese un dedo. El servidor dijo: -Mi rey, a pesar de todo lo ocurrido, solo puedo decirle que Dios es bueno y que Él sabe el porqué de todas las cosas. Lo que Dios hace es perfecto. ¡Él nunca se equivoca! Indignado por la respuesta, el rey ordenó el arresto de su esclavo. Un día, mientras iba de caza, el rey fue capturado por hombres salvajes que hacían sacrificios humanos. Mientras los nativos se preparaban para sacrificarlo, notaron que le faltaba uno de los dedos de la mano, y por ese motivo lo liberaron. Según ellos, no podían ofrecer a los dioses a alguien que estaba incompleto. Cuando regresó al palacio, pidió inmediatamente la liberación de su servidor, a quien recibió con mucho afecto. -Dios fue muy bueno conmigo. Casi me matan unos salvajes, pero como me faltaba un dedo, me dejaron en libertad. Sin embargo, tengo una pregunta para ti: si Dios es tan bueno, ¿por qué permitió que te metiese en la cárcel? -Mi rey, si yo hubiese ido con usted a esta cacería, hubiera sido sacrificado en su lugar, porque yo tengo todos los dedos. Por eso le digo de nuevo: todo lo que Dios hace es perfecto. ¡Él nunca se equivoca! A menudo nos quejamos de la vida y de aquellas cosas aparentemente malas que nos pasan, olvidando que nada viene como fruto del azar y que todo tiene un propósito. #365Historias #JeanLouisGaillard
El Señor Jesús quiere también transformar nuestro matrimonio Si hay una etapa importante en nuestra vida después de la conversión, es el matrimonio. De hecho, este es el momento más importante de nuestra vida en el que nos uniremos con otra persona. Esta noche me gustaría animarles a los hombres que se han casado con una mujer y que hoy no se sienten muy cómodos en su vida matrimonial y en su vida cotidiana. Recordamos nuestra vida temprana cuando estábamos comprometidos, estábamos muy emocionados por la vida que nos esperaba porque estábamos seguros de haber encontrado una perla rara de gran valor. El problema no venía de ella, sino de nosotros, porque teníamos una alta estima de nosotros mismos; de hecho, habíamos vivido nuestra vida de solteros como hombres perfectos, agradables, llenos de vida y de esperanza. Como alguien que tenía todas las cualidades para edificar un futuro matrimonio. Pero desde el primer día de nuestra unión con nuestra esposa, notamos que algo andaba mal y nos tomó un tiempo darnos cuenta de que éramos nosotros mismos; sin embargo, era conveniente y fácil de acusarnos mutuamente sin reconocer nuestras responsabilidades de manera individual y personal. Pero la realidad se reveló en los primeros meses, no habíamos terminado nuestra adolescencia y estábamos más interesados en salir a charlar con nuestros amigos, que en afrontar la situación en casa. Sin embargo, en ese momento, ya conocíamos al Señor y lo que había logrado por nosotros en la cruz para perdonar nuestros pecados y darnos una nueva vida. Esto es cierto, pero era poco lo que conocíamos de Él hasta ese momento. Ya los primeros conflictos llegaron rápidamente, sobre todo cuando mi esposa quería visitar a sus padres, sus propios amigos, el estilo de los muebles que debíamos comprar, etc. Los temas eran variados y numerosos. Cada pequeño detalle se convirtió rápidamente en una disputa entre nosotros. De hecho, vimos que los dos todavía éramos adolescentes y no habíamos terminado de crecer para ser un hombre y una mujer. Si bien pensábamos que éramos adultos e incluso por qué no también "maestros", porque en ese momento nuestro orgullo no tenía límites. Eramos tan orgullosos de nosotros mismos y estábamos totalmente ciegos. Diferentes puntos tratados: 1° Ver la verdad sobre nosotros 2° El anuncio del Evangelio 3° El caminar por la fe 4° Mis preguntas: 1° ¿Quién puede quitarme este orgullo y esta pretensión? 2° ¿Cómo tener la victoria sobre mi carne? ¡La respuesta de Dios a través de su Palabra! Se avecinan cambios... El texto completo aparecerá en nuestro sitio: www.jlgaillard.fr Reanudación del culto en nuestras iglesias de Chaville (92)- Nanterre (92) y Rouen (76), al registrarse, escriba a: secretariat@eglisedechaville.net ¡Hasta pronto! Jean-Louis Gaillard
Una niña, no muy afortunada, mantenía a su madre y a sus hermanos con el dinero que le ingresaba dando lecciones de piano. Por una extraña coincidencia, el mismo día del show, Liszt estaba de visita en esta ciudad; y sin saberlo, llegó al hotel donde se estaba dando el concierto. Cuando la joven notó la presencia del artista, decidió acercársele y confesarle todo. El compositor se mostró conmovido hacia la joven cuyos ojos se llenaron de lágrimas. - Pobre niña, pobre niña, dijo, ¡claro que te perdono! Liszt le pidió entonces a la joven artista que tocara el piano. Entonces la escuchó con atención y le corrigió algunos errores que estaba cometiendo, y la animó a tocar con más fuerza algunos de los pasajes de la composición; y al final le dijo: «ahora puede decir que eres mi alumna, y te pido que pongas el programa que Franz Liszt interpretará la última pieza» . ¡Cuántos cristianos dicen ser discípulos de Cristo sin realmente serlo! Tú que te defines como cristiano: ¿formas parte de la escuela de Cristo? Acércate a Él y confiésale todo. Él te perdonará y pondrá su nombre en el «programa» de tu vida. #365Historias #JeanLouisGaillard
En esta historia trataremos un tema muy importante: nuestro fundamento en Cristo. ¿Estamos realmente fundados en la Biblia o le damos importancia solamente a nuestro exterior? La respuesta en esta historia. 365 Historias - La importancia de las raíces (185) #365Historias #JeanLouisGaillard
Bonjour aux pasteurs et frères et sœurs qui nous suivent : Aujourd’hui, dernier jour de la partie en audio où je souhaite vous partager : La formation aux ministères 1°. Comment étaient formés les premiers serviteurs chrétiens ? 2°. Impératif primordial : Être formé au pied de Jésus. 3°. Formation de caractère et de cœur. 4°. L’École Biblique ?
Les cinq ministères d'autorités différents. by Jean-Louis Gaillard
Bonjour mes chers collègues-serviteurs de Dieu et les frères et sœurs qui nous écoutent, Je parlerais de ce sujet en 3 sections : 1 Jour aujourd’hui le 12-05-2021 " Le Ministère et les ministères " Avec témoignage personnel 1° chose: "L’appel" au ministère être réellement appelé ou pour être pasteur pour ma part en mars 1974 Actes 17 : 30-31 2°. De quel ministère avons-nous ? Il y en a 5 ministères d’autorités ...
Bonjour, mes amis, aujourd’hui, c'est ma joie de vous partager cette vidéo qui s'appelle : " Le message qui a tout changé ! " Aujourd’hui, je veux encourager les pasteurs et tous les chrétiens : les frères et les sœurs à ne pas hésiter à renverser leurs habitudes, surtout s’ils se sentent prisonniers d'un système religieux, qu’il constate qu'il n’avance plus dans leur vie spirituelle et qu’ils constatent aussi que l’église fait du surplace. L’église doit avancer dans la bonne direction, sinon elle se perd dans des tas de fausses directions. Notre seul critère : c’est la conformité à la Parole de DIEU. Trop d’églises marchent dans de faux évangiles qui les paralysent et les conduisent dans l’erreur, les éloignant de la vie de l’Esprit, conduisant les chrétiens à rétrograder. Quand on est pasteur, ce n’est pas uniquement de notre personne dont nous devons nous occuper, mais surtout du peuple que Dieu nous a confié et pour lequel le Seigneur Jésus nous demandera des comptes. Retrouvez la totalité du texte sur : https://jlgaillard.fr/le-message-qui-a-tout-change/ En vidéo : https://youtu.be/tvkOO9R-ajo