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Marre de lire tout et n'importe quoi sur l'argent et le bonheur ?
Seit einem Jahr ist Kiffen in Deutschland erlaubt. Auch der Anbau und Besitz von Cannabis ist weitgehend entkriminalisiert. Eine erste Bilanz.
Seit einem Jahr ist auch in Deutschland der private Cannabisanbau für den eigenen Konsum legal. Jana Fischer wünscht einen Happy Bubatzday. Sie fragt sich in ihrem satirischen "Wort zum Dienstag" allerdings, ob Kiffer:innen hierzulande gerade in Feierlaune sind. Von Jana Fischer.
As-tu déjà ressenti une angoisse face à l'accouchement, comme si chaque contraction était une montagne à gravir ? Dans cet épisode de Balance ton accouchement, je suis ravie de recevoir Juliette, une jeune maman qui nous livre son témoignage poignant sur son expérience d'accouchement. À peine deux mois après avoir donné la vie à son petit garçon, elle partage avec nous ses réflexions sur la grossesse, les peurs qui l'ont envahie et les moments de joie qui l'ont fait vibrer.Juliette, avec une sincérité touchante, évoque comment elle a abordé sa grossesse sans vraiment penser à l'accouchement au début. Mais au fur et à mesure que le terme approchait, des discussions avec ses amies lui ont ouvert les yeux sur les réalités parfois difficiles de l'accouchement. Elle parle des douleurs potentielles, des césariennes d'urgence et des accouchements de rêve, mais aussi des préparations théoriques qu'elle a trouvées peu utiles. C'est à partir de son huitième mois qu'elle a commencé à écouter des récits d'accouchement qui, bien que terrifiants, lui ont permis d'accumuler des connaissances précieuses.Le récit de son accouchement est riche en émotions, passant des premières contractions à l'arrivée tant attendue de son bébé. Juliette aborde l'importance de la péridurale dans son expérience, un choix qui a été déterminant pour elle. Elle n'hésite pas à partager les défis postpartum auxquels elle a dû faire face, tels que la fatigue, les douleurs liées aux déchirures et les moments de doute. Mais au milieu de tout cela, elle exprime sa profonde gratitude pour le soutien inconditionnel de son partenaire et des sages-femmes qui l'ont entourée.Ce témoignage est bien plus qu'un simple récit d'accouchement, c'est une véritable illustration de la réalité que vivent de nombreuses mamans. Que tu sois en pleine préparation pour ton accouchement ou que tu sois déjà maman, cet épisode est fait pour toi. Les expériences d'accouchement, qu'elles soient physiologiques ou non, sont toutes uniques et méritent d'être partagées. Alors, rejoins-moi pour découvrir le parcours de Juliette et plonger dans l'univers des témoignages de mamans, où chaque histoire est un pas de plus vers la compréhension et l'acceptation de cette aventure incroyable qu'est la maternité.Écoute son histoire, et peut-être que tu trouveras des échos à tes propres angoisses et joies. N'oublie pas, chaque accouchement est une expérience à part entière, et ensemble, nous pouvons célébrer la beauté de donner la vie, qu'il s'agisse d'un accouchement à domicile, d'une césarienne ou d'un accouchement prématuré. Balance ton accouchement est là pour t'accompagner dans cette aventure, alors n'hésite pas à écouter et à partager !Envie d'en discuter, d'en savoir plus ou de participer à ton tour ? Rendez-vous sur instagram : @balance_ton_accouchementHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Hélène aborde le thème du minimalisme familial en se concentrant sur la définition d'un inventaire idéal. Elle propose des astuces pratiques pour évaluer et réduire le nombre d'objets dans différentes catégories de la maison, telles que le linge de maison, la cuisine, la papeterie, la garde-robe, et les jouets des enfants. Hélène insiste sur l'importance d'adapter son inventaire à son mode de vie et de se poser les bonnes questions pour ne garder que l'essentiel.Le transcript de l'épisodeVoir les informations sur mon accompagnement au tri (www.faminimaliste.com/accompagnement)⬇️Recevoir ma liste de tri pièce par pièce⬇️Recevoir ma liste de 20 défis minimalistesSoutenir le podcast en faisant un don (https://ko-fi.com/faminimaliste) Pour rester en contact avec moi et me poser toutes vos questions L'instagram @faminimaliste (https://instagram.com/faminimaliste)
Ey, Alter, "I Love Lamp" hat wieder 'ne neue Folge am Start, und die is' voll der Mindfuck, weißte? Sebi und Wookie labern diesmal über so Schauspielerkids, die easy durchstarten, nur weil ihre Eltern fett im Game sind. So richtig „Ey, mein Papa war schon reich und berühmt, jetzt bin ich auch voll der Star, ohne was zu tun.“ Nepo-Babys halt, ne? Aber chillig – die beiden gehen da echt deep rein.
Seit 2021 wird in Studien Cannabis legal an ausgewählte Kifferinnen und Kiffer verkauft. Ein Grossteil davon kommt aus dem Kanton Freiburg. Weiter in der Sendung: · Berner Politiker Werner Martignoni im Alter von 97 Jahren gestorben. · Brand eines leerstehenden Hauses in Courlevon
Ce dont on parle dans cet épisode :Le kiff de Fanny : se faire un ami+ "Nos puissantes amitiés. Des liens politiques, des lieux de résistance" de Alice Raybaud aux Editions de la DécouverteLe kiff d'Ariane : reprendre la thérapie+ Le site "Mon soutien psy"Le kiff de Marie-Stéphanie : le spectacle pour enfants "Au pays du Père Noël" au Théâtre des MathurinsLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi (enfin presque), l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Fanny / Marie-Stéphanie / DArianeAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Marie-Stephanie ServosAvec Fanny Cohen Moreau et Ariane.Réalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stephanie Servos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce dont on parle dans cet épisode :Le kiff de Fanny : préparer une surprise pour son chériLe kiff de Delphine : l'exposition sur le Vendée Globe au Musée de la Marine+ Le site Virtual RegattaLe kiff d'Ariane : devenir adulte et s'occuper d'elle mêmeLe kiff de Marie-Stéphanie : le doublage+ Obtenir une place de concert de Zaho de SagazanLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi (enfin presque), l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Fanny / Marie-Stéphanie / Delphine / ArianeAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Marie-Stephanie ServosAvec Fanny Cohen Moreau, Ariane et Delphine.Réalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stephanie Servos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je reçois cette semaine l'une des professeures des écoles les plus suivies en France : Emilie Hanrot. À travers ses comptes Kiffer l'école sur les réseaux sociaux et sur Youtube, elle partage des contenus et des techniques pour offrir des cadres d'enseignement et de parentalité sereins et bienveillants. J'ai dévoré son livre Kiffer l'école, publié aux éditions Hachette, non seulement parce qu'il émane de sa plume un réel enthousiasme et un amour pour son métier, mais aussi parce que ces quelques pages invitent tous les adultes à prendre du recul face aux automatismes qui nous poussent à ne pas considérer les enfants comme tels.Quelques questions posées lors de cet échange :Vous êtes professeure des écoles depuis 20 ans. Avez-vous toujours su que vous souhaitiez enseigner ?Selon vous, quelles ont été les évolutions les plus marquantes au sein de l'Éducation Nationale au cours des vingt dernières années ?Comment votre posture d'enseignante envers les élèves a-t-elle évolué au fil des années ? En quoi cela a-t-il eu un impact sur votre manière d'enseigner ?Qu'avez-vous appris grâce à la Communication Non Violente sur la manière de communiquer avec les enfants ?On parle beaucoup, notamment en politique, de la nécessité de rétablir l'autorité et la discipline. Quel est votre avis sur ce sujet ?Comment gérez-vous les situations conflictuelles en classe ? Quels sont vos conseils pour faire face aux problèmes de discipline ?Quelles sont vos techniques pour faire respecter le cadre ?Ressources :Le livre Kiffer l'Ecole aux éditions Hachettehttps://www.instagram.com/kifferlecole/https://www.instagram.com/etreparent_/https://www.youtube.com/c/Kifferl%C3%A9coleHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
#121 De Haïti à Hollywood : un destin d'immigréQuels sont les enjeux liés au déracinement, à la vie d'immigré et aux luttes qui permettent parfois aux rêves de devenir réalité ? Comment briser le déterminisme social, quand rien ne nous y prédispose?Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent Jimmy Jean-Louis, acteur et auteur qui nous raconte son histoire : celle d'un garçon né dans une famille pauvre des faubourgs d'Haïti, passé par la banlieue parisienne et dont le destin incroyable l'a mené parmi les étoiles d'Hollywood. Jimmy Jean-Louis est fondateur de Hollywood unites for Haiti et l'auteur de “Héros. L'enfant d'Haïti. Des bidonvilles Port-au-Prince aux étoiles d'Hollywood” aux éditions Récamier.Écoutez l'épisode #121 De Haïti à Hollywood : un destin d'immigré sur votre plateforme de podcast (lien en bio et story)Références citées dans l'épisode :« Plongée dans la Double Dette d'Haïti » New York Times, 2021https://www.nytimes.com/fr/2022/05/22/insider/haiti-double-dette-france.htmlÉmission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet extrait, nous explorons les réflexions d'Emilie Hanrot, professeure des écoles et créatrice de contenu sous le pseudonyme "Kiffer l'Ecole", sur l'approche éducative positive envers les enfants. Emilie nous apprend à éviter d'étiqueter négativement les enfants, même dans les moments difficiles, et à chercher à voir le meilleur en eux. Elle nous rappelle l'importance de ne pas rappeler les règles à un enfant en détresse émotionnelle, mais plutôt de valoriser ses compétences et son appartenance à la classe en dehors des crises. Emilie souligne son rôle crucial dans la construction de la confiance en soi des enfants et partage des astuces pour comprendre leur situation afin d'éviter l'escalade des tensions. Elle admet également qu'un bon état d'esprit personnel est essentiel pour soutenir les enfants de manière efficace.L'épisode intégral est à retrouver le jeudi 28 novembre sur toutes les plateformes d'écoutes de podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouve notre dernier épisode avec Emilie Hanrot, auteure de «Kiffer l'école ! » qui nous partage sa vision de tout ce que cela implique, tant pour les professeurs que pour les enfants, mais nous partage aussi sa perception sur les difficultés qu'ils peuvent rencontrer et comment les aborder au mieux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
#120 Métissage : transmettre quand on est une « minorité dans la minorité » La quête d'identité peut être un processus introspectif à travers notre héritage familial et culturel et nos choix de transmission à nos enfants. Comment se construit-on quand on connaît mal l'un des pays dont nous sommes originaires, et cette partie de notre famille ? Qu'est-ce qui fait qu'on peut se sentir une minorité dans la minorité ? Comment cette quête, couplée avec la littérature, peut nous guider, nous soulager et nous réparer un tant soit peu sur notre chemin ?Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent l'auteur et journaliste Gurvan Kristanadjaja autour de son roman “Amok, mon père” paru aux éditions Philippe Rey en 2024, dans lequel il évoque son métissage, son parcours et le pays de son père, l'Indonésie.Références citées dans l'épisode : -Stéphane Zweig « Amok ou le fou de Malaisie » (1922)-François Héran, Collège de France https://www.college-de-france.fr/fr/chaire/francois-heran-migrations-et-societes-chaire-statutaire -Interview de Gurvan Kristanadjaja sur France 3 Régions (2024) https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/temoignage-mes-cousins-et-mon-oncle-sont-traites-comme-des-clandestins-sa-famille-indonesienne-n-obtient-pas-de-visa-pour-assister-a-son-mariage-3005741.htmlÉmission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez notre invitée Sibylle sur son compte Instagram et dans la vidéo Chit Chat Make Up sur la chaîne Youtube de Madmoizelle.Les recos :Les vidéos de Bailey SarianLe podcast Absolument fabuleusesCe dont on parle dans cet épisode :Le kiff de Fanny : le spectacle du Rocky Horror Picture Show au Studio Galande+ Drag Race EspagneLe kiff de Delphine : les séries sur le monde du travail toxique, Culte et IndustryLe kiff de Sibylle : le film The Substance+ mini kiff : sa fille qui apprend à danserLe kiff de Marie-Stéphanie : le livre Jour de Ressac de Maylis de Kerangal (éditions Gallimard)+ Mini kiff : la chanson en duo de Zaho de Zagazan avec Tom Odell "Old Friend" Laisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi (enfin presque), l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Fanny / Marie-Stéphanie / Delphine / SibylleAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Marie-Stephanie ServosAvec Fanny Cohen Moreau, Sybille et Delphine.Réalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stephanie Servos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si on vous demande de citer un film portant sur la période esclavagiste, vous me répondrez sans hésiter : facile! Et vous citerez en pagaille, 12 years a slave, Amistad, Django Unchained… à chaque génération son film choc. Pourtant si on corse la question en vous demandant de citer un film français sur l'esclavage dans les colonies françaises. Silence. C'est beaucoup plus dur. Pourquoi notre cinématographie a-t-elle si peu souvent abordé le sujet de l'esclavage ? La France a-t-elle du mal à se confronter à son histoire ou se raconter dans le mauvais rôle ? Est-ce important qu'un tel film soit porté par un.e créateurice afro-descendant.e ?La France a-t-elle du mal à se confronter à son histoire ou se raconter dans le mauvais rôle ? Est-ce important qu'un tel film soit porté par un.e créateurice afro-descendant.e ?Rokhaya Diallo et Grace Ly en parlent avec Simon Moutaïrou, scénariste et réalisateur de “Ni chaînes ni maitres” actuellement en salles.Références citées dans l'épisode :- Vivre libre ou mourir, film de Christian Lara (1980)- Sucre amer, film de Christian Lara (1998)- Tropiques amers, série de Jean-Claude Barny (2007)- Passage du milieu, film de Guy Deslauriers (2000)- Case départ, film de Thomas Ngijol et Fabrice Eboué (2011)- Ma véridique histoire - Africain, esclave en Amérique, homme libre de Olaudah Equiano (1789)- L'esclave vieil homme et le molosse de Patrick Chamoiseau (1997)- Les Marrons de Louis Timagène Houat (1844)- Racines, roman de Alex Haley (1976)- Ceddo, film de Sembene Ousmane (1977)- Interview de Denzel Washington : “It's not color, it's culture” https://youtu.be/9Ayf8Iny9Eg?si=46qlkertqloLldfhÉmission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Apppart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que les violences policières existent depuis toujours, rares sont les collectifs qui comme le comité Adama sont parvenus à imposer la question des violences policières sur le plan national et à mobiliser des manifestants à cette échelle. Dans la première partie de l'épisode consacré à l'engagement d'Assa Traoré, notre invitée, sœur d'Adama Traoré et fondatrice du Comité Adama, a expliqué comment les circonstances dramatiques de la mort de son frère ont transformé la vie de sa famille et l'ont plongée dans l'activisme. Cette soudaine visibilité lui a aussi valu des déconvenues, et diverses controverses dont elle parle dans la deuxième partie de notre entretien. Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara assisté de Jerusha Daniel Peter SelvarajahCadrage : Magatte DiagneGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce dont on parle dans cet épisode :Le kiff de Fanny : les puzzles + Taylor SwiftLe kiff de Swann : la série Monsters sur NetflixLe kiff d'Ariane : les tatouagesLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi (enfin presque), l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Fanny / Ariane / InesAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Ariane Hemery.Avec Fanny Cohen Moreau et Ines Pollon.Réalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stephanie Servos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En quoi est-il si important de faire les Mitsvot avec joie ? N'est-il pas suffisant de les accomplir ? Pourquoi ? Réponse à travers des propos de plusieurs Rabbanim (Rabbénou Bé'hayé, 'Hazon Ich et Arizal).
#118 Violences policières, le coût personnel de la lutte (Partie 1)TW : cet épisode évoque la description d'actes de violenceL'an dernier, la France a été bousculée par un événement traumatisant. Abattu d'une balle à bout portant par un policier, Nahel Merzouk, 17 ans, perdait la vie brutalement. Une tragédie comme il en survient hélas régulièrement dans nos banlieues populaires, où les noms des disparus se succèdent tristement. Parmi ces vies volées, un nom occupe régulièrement le devant de l'actualité: c'est celui d'Adama Traoré. Derrière la la mort de ce jeune homme entre les mains de gendarmes survenue en 2016, c'est un drame humain qui a transformé sa soeur Assa Traoré en figure majeure de la lutte contre les violences policières. Qu'est il arrivé le jour de la mort d'Adama? Quelle conséquences quand la violence raciste percute une famille ? Dans la première partie de cet épisode, nous évoquerons avec notre invitée Assa Traoré, fondatrice du Comité Adama, le bouleversement causé par cet évènement tragique.Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara assisté de Jerusha Daniel Peter SelvarajahCadrage : Magatte DiagneGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, j'accueille Florence Servan-Schreiber, pour un épisode qui je l'espère, va vous faire kiffer !Avec ses livres “3 kifs par jour” ou “Power patate” et plein d'autres activités dont on va parler ensemble dans cet épisode, Florence a fait du bonheur son terrain d'expérimentation.A l'occasion de la Semaine de la Santé Mentale, nous allons voir de ce qui se cache derrière ces moments de bonheur. Parce que parfois, avant d'en arriver aux kiffs, il y a aussi des tempêtes à traverser. Nous allons découvrir son parcours entre son exil forcé en Californie à 19 ans, sa découverte de la psychologie transpersonnelle et son parcours en entreprise. Un parcours atypique qui n'a qu'un seul moteur : l'envie de défricher, de découvrir le nouveau - même en psychologie - et de le transmettre.Bienvenue dans un épisode à la fois lumineux, inspirant et intimiste.Aujourd'hui, avec Florence, nous allons parler de l'art de se faire un prénom, de ridologie (et ce n'est peut-être pas ce que vous pensez!) et de cultiver la fantaisie au quotidien.Quelques notes sur l'épisode :Le site de Florence : www.florenceservanschreiber.comLivre : “Mange Prie Aime” de Elizabeth GilbertRituel : méditer dès le réveil au litRETRANSCRIPTION DE L'EPISODE AVEC FLORENCE SERVAN-SCHREIBER00:02:14 Bonjour Florence, merci de me recevoir chez vous à Paris. Bonjour tout le monde. Merci d'être là dans La Petite Voix. J'ai souhaité vous rencontrer pour une occasion particulière, puisque c'est la semaine de la santé mentale, et il me sembla que vous étiez la parfaite interlocutrice pour en parler. Je vous explique un peu ma démarche. En fait, pour moi, vous avez deux casquettes qui sont intéressantes par rapport à ce sujet-là. C'est que d'un côté, vous avez une formation en psychologie transpersonnelle, en PNL, en psychologie positive, donc quelque chose pour moi. D'académique, mais en même temps, et c'est ce que j'aime chez vous, et c'est pour ça que je vous suis, c'est que vous avez une approche très décomplexante par rapport à ça. Plutôt fun, puisque vous êtes la mère des trois kiffes par jour, du power patate.00:02:56 Et donc, vous savez, nous amener ces sujets-là de santé mentale de manière assez fun. Donc voilà, voilà pourquoi je suis contente de vous recevoir aujourd'hui. Du coup, je suis obligée de commencer par cette question-là. Florence, c'était quoi votre dernier kiff ? Mon dernier kiff, quelque chose pour lequel je me souviens, j'ai ressenti beaucoup de choses, c'est la sortie d'une série qui s'appelle La Maison sur Apple TV+, qui a été produite par mon mari. Il y a des kiffes transitifs, c'est-à-dire que quelqu'un peut vivre quelque chose, et ça nous fait de l'effet, ça m'a fait beaucoup d'effet pour lui, pour tous ces gens qui ont travaillé là-dessus. J'aime la création, j'aime cet homme aussi, je vois la difficulté qu'il a traversée. J'éprouve beaucoup de gratitude parce que la série, le produit est magnifique, donc ça m'épathe.00:03:42 Ah, c'est beau. On va parler de vous, Florence, et de votre parcours. J'ai lu qu'à seulement 19 ans, vous avez eu envie de partir. Il y a deux choses intéressantes. Non seulement vous êtes partie en Californie, mais pour y faire des études de psychologie. Pourquoi ces deux choix-là ? Vous voulez la vérité ? S'il vous plaît, on est là entre nous. J'ai été exilée par mes parents. J'étais une adolescente bien trop turbulente et tourmentée, il n'en pouvait plus. Donc ils ont décidé de m'expédier en Californie. Je suis partie pour faire des études de cinéma, parce que ça, ça m'intéressait, ça avait l'air vivant, c'était un métier debout, c'était de l'image de la création. Et arrivée en Californie, je suis tombée sur et dans tout le mouvement du développement personnel, de la connaissance de soi, de ce vocabulaire qu'ont les Californiens pour décrire ce qui se passe à l'intérieur d'eux, décrire ce qui se passe autour d'eux.00:04:38 Et c'était en fait l'univers qui m'attendait. C'est-à-dire que c'est ça dont j'avais besoin probablement à titre personnel. J'ai trouvé ça fantastique, et étant une adolescente tourmentée, parce que c'est ce que j'étais, de me dire : 'Ah, mais en fait, ça peut s'arranger.' Et si seulement j'avais su ça plus tôt. Voilà, et c'est comme ça que j'ai changé complètement la direction de mes études, et que depuis, je me consacre à ça. Donc le départ était un peu forcé, mais finalement, c'était un cadeau que vos parents vous ont fait. Le départ était accidentel. Si on regarde, beaucoup de nos départs sont accidentels. Enfin, on tombe sur des gens, on croise des choses. Je suis persuadée que nous avons toutes et tous un radar, qui est notre radar, et qui va fonctionner où que l'on nous mette.00:05:26 Je suis obligée de revenir sur ce moment où vous me dites que vous étiez une adolescente tourmentée. Qu'est-ce qui tourmentait l'adolescente que vous étiez ? Absolument tout. La définition de moi-même, la séparation de mes parents, les exigences familiales, la difficulté à savoir ce que je voulais faire dans la vie, comment on se fait des petits copains, tout, je ne sais pas. L'adolescence ? La vie, les études, mon Dieu, les études. Vraiment, je n'aimais pas l'école. Passer son bac, ce n'est pas facile. C'est un moment vraiment de mue qui est plein de problèmes. Et vous soulignez aussi un point, vous le survolez, mais j'imagine que ça faisait partie des sujets. Vous venez d'une illustre famille. Et avec un nom très beau, mais peut-être parfois difficile à porter quand on est cette adolescente et qu'il faut prendre la relève de votre père, de vos oncles, de vos tantes.00:06:18 Vous savez, c'est comme si vous dites à un poisson « Mais comment tu fais pour nager dans l'eau ? » Le poisson, il vit dans l'eau. Mais si vous voulez savoir, en effet, dans une famille comme la mienne, l'enjeu est plutôt de maintenir son prénom. Donc, ça a des avantages et ça a des inconvénients. Bien sûr. Au collège, c'est horrible. C'est horrible quand tout le monde connaît votre nom parce qu'il y a tout le monde se moque de vous pour des raisons complètement extérieures à vous-même. Et puis ensuite, si je prends, comme j'ai depuis écrit des livres, c'est vrai que dans ma famille, c'est pas tant « Est-ce que tu vas écrire un livre ? » mais c'est « Sur quoi vas-tu écrire un livre ? ». C'est ça.00:06:57 Mais chez les cordonniers, ce sera les réparations de chaussures. Donc, il y a des avantages et des inconvénients, mais absolument comme dans toutes les familles, sauf que ça se voit un petit peu de l'extérieur. Il faut se faire un prénom, en fait, puisque le nom est déjà bien installé. Il ne faut rien, mais c'est le job possible. Donc, c'est ce que vous avez commencé à faire à 19 ans en Californie. Soudain, le fonctionnement de l'être humain, j'ai trouvé ça incroyable. J'ai trouvé passionnant de voir comment un enfant devient un adolescent, devient un adulte, comment on meurt. Parce que j'ai fait des études de psychologie transpersonnelle. Donc, on alliait de la spiritualité, avec la psychologie clinique. Donc, on traitait absolument de tous les sujets, de deuil, de la mort.00:07:45 Ce n'était vraiment pas très classique. Je ne me destinais pas non plus à être thérapeute, mais je suis intéressée, je reste profondément, profondément intéressée par nos mécanismes. Combien de temps ont duré ces études en Californie ? Ça dure quatre ans ? Non, vraiment, la chance a voulu que, en effet, je rencontre tout ça. Et puis, c'est un moment, c'est un endroit du monde qui m'inspire profondément. Nous y avons vécu en famille lorsque j'avais sept ans. Et je crois qu'il y a quelque chose. Donc, j'éprouve là-bas une liberté que je ne ressens pas ici. Et donc, quand je l'ai retrouvé en partant faire ces études, par ailleurs, il y avait aussi cet univers totalement contemporain de la psychologie. Et c'est ça qui m'a plu.00:08:30 J'ai une bêtise si je dis que c'est tout le mouvement Palo Alto qui vient de Californie ? Alors, Palo Alto, c'était plutôt dans les années 60. Mais en effet, vous parliez de Palo Alto, de PNL tout à l'heure. Je me suis formée à la PNL à Palo Alto en étant l'esclave d'une femme qui s'appelait Ginny Laborde et qui était formatrice en PNL, qui elle-même avait été formée par Grinder, John Grinder, qui était le fondateur, l'inventeur et Bandler, qui étaient les deux fondateurs de la PNL. Donc, oui, c'est géographiquement à Palo Alto. Mais l'école de Palo Alto, c'est quelque chose de très précis que j'ai plutôt appris à l'université. C'est vraiment comme un creuset là-bas. Et il y a encore, j'en reviens, j'y étais cet été, il y a encore cet esprit très particulier.00:09:19 C'est comme si on s'occupait de son âme, en fait. Donc, il y a quand même effectivement cette dimension très spirituelle à laquelle on est peu habitué en psychologie classique, j'ai envie de dire. Spirituelle et pragmatique. Joli mariage. Les Américains sont très pragmatiques. C'est pour ça qu'ils parlent beaucoup plus facilement de leurs mécaniques intérieures et de leurs émotions que nous ne savons le faire dans notre culture qui est très tenue, et j'appartiens à cette culture très tenue. Donc, quand je vais là-bas, ça me permet d'ouvrir des petits portillons qui font que l'air est plus chaud et que ça passe mieux. Il y a comme une partie de vous qui vit là-bas. C'est ce que j'entends, la manière dont vous l'abordez. Il y a absolument une partie de moi qui se définit là-bas.00:10:02 Tout à fait. De toute façon, je suis plein de gens à l'intérieur de moi. Mais la flow californienne, clairement, est très, très présente chez moi. Et là, malgré tout, je reviens à vos études. Au terme des quatre années d'études, vous avez votre diplôme en psychologie transpersonnelle. La PNL, c'est à la même époque, je crois ? Oui, parce que pendant mes études, je travaille pour Ginny Laborde. Donc, si on résume l'affaire, quand même, peu de ce dont je me sers dans ma vie professionnelle a été appris à l'école. C'est sur le terrain, c'est dans cette expérience avec Ginny Laborde que j'ai vraiment fait l'expérience de la PNL. Que j'ai fait l'expérience de la formation, que j'ai découvert ce plaisir énorme que j'ai à transmettre les choses et à manier des pédagogies.00:10:46 Personne ne m'a appris ça à l'école ou à l'université. Première question, pourquoi vous faites le choix de rentrer en France au bout des quatre années ? Parce que j'avais un petit copain à Paris. Ah, c'est une excellente raison. Donc, vous rentrez et là, vous ne faites pas le choix de vous lancer comme thérapeute. Pas du tout. Quand je rentre à Paris, la PNL n'existe quasiment pas et donc je commence par créer des premiers séminaires de PNL pour un institut de formation et puis, en fait, être thérapeute, pour moi, n'est pas du tout une valeur ajoutée que je peux apporter. Pour plein de raisons, je mémorise très, très mal les choses. Donc, l'idée de ne pas me souvenir du nom du chat ou de la sœur ou de la mère d'un patient, ça me terrifie avant même d'avoir commencé.00:11:34 Et l'autre chose, c'est que je sais maintenant que j'ai un trouble de l'attention assez manifeste et ça demande beaucoup d'attention et ça demande beaucoup de présence physique. C'est-à-dire que pour moi, il y a deux métiers qui sont vraiment géographiques. C'est tenir une boutique et être thérapeute. On est dans le même endroit et ça ne m'est pas accessible parce que j'ai trop la bougeotte. D'ailleurs, je trouve que ça vous définit bien cette notion de bougeotte parce que quand j'ai voulu préparer notre entretien, j'ai l'impression qu'il n'y a pas d'étiquette. On ne peut pas vous mettre d'étiquette. Donc, on le voit dans votre parcours. Vous faites ces études-là en psychologie, mais finalement, assez vite, vous allez être très présente dans le monde de l'entreprise. Alors, comme vous l'expliquez à travers de la transmission, de la PNL, etc.00:12:19 Mais vous êtes aussi beaucoup dans ce monde-là de l'entreprise. Je fais vraiment mes premières armes professionnelles en travaillant avec les auteurs d'un livre. Tout ça, c'était dans les années 80. Les années 80, c'était La Gagne, c'était Bernard Tapie, etc. Donc, c'est à ce moment-là que je suis rentrée en France. Je travaillais sur, je faisais de la formation à la qualité de service, c'est-à-dire que c'est vraiment le moment où Darty a développé son service après-vente. Enfin, toutes les marques commençaient à parler de ça. Et donc, nous faisions pareil, mes associés rentraient également des États-Unis. Donc, nous étions empreints de cette culture du client dont on s'occupe. Et c'était assez nouveau dans la fin des années 80. Et donc, j'ai fait ça et j'ai fait ça pendant une petite dizaine d'années.00:13:00 Donc, je connais très, très, très bien le monde de l'entreprise. Vous étiez heureuse dans ce monde de l'entreprise, justement. Oui, parce que j'enseignais un sujet qui était nouveau. Ce que je retrouve, cette image de la Californie, en fait, me va très bien parce que c'est le Far West. Et je n'aime que le Far West, c'est-à-dire que je n'aime que les idées qui ne sont pas encore complètement intégrées, parce que je les débusque, parce qu'elles m'intéressent, parce qu'elles me plaisent. Et comme je suis assez joyeux, les bons tuyaux, si j'ai découvert quelque chose, je vais vous dire. Mais est-ce que tu sais que et toute mon histoire, franchement, si je regarde maintenant, parce que maintenant, je peux regarder derrière, j'ai passé suffisamment de temps à vivre pour voir que c'est vraiment le moteur de tout ce que je fais.00:13:48 C'est... Et trois petits points... À ce moment-là, je vais vous raconter la dernière chose que j'ai apprise. Donc, je passe mon temps à aller apprendre des choses pour pouvoir vous dire, est-ce que tu sais que ? Et puis, et c'est comme ça que je partage ça. C'est ça, parce que du coup, il y a la notion d'innovation. Effectivement, que je m'étais noté à essayer de défricher, en fait, des nouveaux terrains. Mais derrière ça, vous avez ce besoin de transmettre, en fait. Une fois que j'ai découvert quelque chose, c'est en effet le premier réflexe qui me vient. Je ne sais pas si vous avez vu que dans un moment, dans ma vie professionnelle, j'ai été ridologue. Alors, ridologue, c'est non pas spécialiste des rides, mais spécialiste des rideaux.00:14:28 J'ai dû apprendre à faire des rideaux parce que je m'installais et que j'avais des fenêtres sans rideaux et qu'on n'arrivait pas à dormir. Donc, je suis allée apprendre à faire des rideaux. C'était dans un moment professionnel de burn-out total. C'est juste après cette période de qualité de service. Vous l'avez terminé sur un burn-out ? Je l'ai terminé sur un burn-out, un baby blues et un deuxième enfant. Ça commence à faire beaucoup, pour la même personne. C'était concomitant. C'était l'enfant de ma fille, qui est mon deuxième enfant. Je me suis rendu compte qu'elle était une fille, je ne savais pas quelle valeur féminine j'allais pouvoir lui transmettre. Donc, votre aîné était un garçon. Oui, c'était OK. La question, la question ne s'est pas posée. J'étais alors là, la naissance d'Arthur a rebattu énormément de cartes.00:15:18 J'en ai même fait un livre qui s'appelle Avant, je n'étais que moi parce qu'il n'y a pas plus grand séisme dans la définition de qui on est, de comment on fait. Il n'y a rien de plus grand que ça. Donc ça, c'est Arthur. Arthur a ouvert la voie. C'est comme le pisteur avec ses explosifs. Il fait exploser le truc. L'aventure se déclenche, mais je continue comme ça à travailler. Et puis, quand enceinte de Pénélope, quand même, mine de rien, la maternité d'Arthur a ébréché énormément de choses chez moi. Et c'est au moment où je suis enceinte de Pénélope que je commence à paniquer. Jusqu'à là, j'ai essayé de tenir le truc à peu près. Et surtout, vraiment avec cette histoire, il y a vraiment cette sorte de féminité, d'identité féminine qui était importante à ce moment-là.00:16:03 Pour moi, je travaillais avec des mecs dans cet univers de l'entreprise extrêmement masculin. Mes parents m'ont élevée de façon féministe. En me disant les garçons et les filles, c'est pareil. Et puis, quand même, avec mon Arthur et puis bientôt ma Pénélope. Non, les garçons et les filles, c'est pas pareil. Et je ne savais pas dire en quoi ce n'était pas pareil, mais je voyais bien que ce n'était pas pareil. Et j'avais besoin de comprendre. Enfin, je ne savais pas. Bref, de toute façon, je ne comprenais rien. J'étais au plus mal et j'étais au fond du seau. On appelle ça des burn-out, mais à cette époque-là, ça s'appelait encore une dépression. C'est ça. D'accord, une gentille dépression et que je soigne et donc que je soigne par des médicaments, par des thérapies, enfin par tout ce type de thérapie.00:16:42 Vous avez une psychothérapie très classique. Et à partir de là, c'est là qu'arrivent les rideaux. Puisque j'ai besoin de rideaux, j'apprends à faire des rideaux et je suis totalement emballée par ce que je viens d'apprendre, mais totalement. Et en fait, j'ai plein d'idées que je ne vois pas dans le commerce. En fait, des têtes de rideaux, des formes de rideaux, des compositions de rideaux. Assez rapidement, je deviens rideologue, c'est-à-dire que j'organise des ateliers chez moi où les gens viennent fabriquer leur paire de rideaux. Donc, on arrive le samedi matin, j'ai des rouleaux de tissu et j'avais une batterie comme ça de machine à coudre et on repartait le dimanche soir avec sa paire de rideaux. Et en fait, ce qu'on venait faire là, c'était ce truc, cette phrase que j'adore, que j'adore, que j'adore, qui est c'est moi qui l'ai fait.00:17:32 Et donc, sous couvert de faire un rideau, il y avait quelque chose, c'était un travail manuel, collectif, sympathique. On faisait ça ensemble. Et surtout, ça provoque de la fierté, ça provoque de la surprise. Ça, c'était en fait un atelier de développement personnel. Oui, voilà, j'allais y venir. Qui passait par un loisir créatif. C'est ça, la réideologie. Vous êtes sorti de cette dépression et de ce burn-out à l'époque. OK. Sauf que vous n'avez pas cru. Plus que ça, puisque vous êtes reparti en entreprise. Ah non, ça a duré. C'est quand même une affaire qui a duré six ans. Ah pardon, OK. Non, non, c'était une vraie, une vraie phase dans ma vie. Mais ce qui s'est passé pendant ce temps-là, c'est que tout ça m'a amené à 1999 où est arrivé Internet.00:18:21 Et pour quelqu'un comme moi, c'est irrésistible, évidemment. Et d'abord avoir d'ailleurs travaillé avec ces rideaux, de réfléchir en deux dimensions, etc., j'avais quand même besoin au bout de toutes ces années de retrouver un métier un peu plus intellectuel parce que j'avais complètement basculé dans un travail manuel. Et quand aujourd'hui je me dis j'avais une quête de ma féminité, ce n'était pas ma féminité que je cherchais tant que ma frivolité. Et j'avais besoin d'exprimer ma fantaisie dans mes histoires de qualité de service. Alors, c'est quand même moi qui arrivais, mais je me déguisais encore. J'avais des tailleurs. J'étais habillée comme on était habillé dans les années 80 pour aller dans les entreprises. J'avais besoin de libérer tout ça. Je vis dans un monde intérieur qui est extrêmement coloré et j'ai appris à le libérer.00:19:16 Chaque décennie m'a permis de libérer un peu plus encore ce monde intérieur. C'est beau, mais par contre, vous le dites, l'appel irrésistible de ce phénomène qui était génial à vivre à la fin des années 90, c'est Internet. C'était surtout ce qu'on peut faire avec Internet. Je suis néophile. Les nouveautés me plaisent. Je suis née dans les années 60. C'était une décennie de nouveautés absolues. La décennie où on a marché sur la Lune, on a été réveillé enfant. J'ai vu ce moment-là, donc je pense que c'est un fusée aussi. Donc, quand Internet est arrivé, je n'ai pas pu résister. Et puis, surtout, c'était un moment où on pouvait se déclarer absolument n'importe quoi. Et ça, c'est ma spécialité. Donc, quand on m'a demandé, parce que tout le monde voulait créer des sites Internet et personne n'a été formé puisque personne n'y avait travaillé.00:20:07 Donc, on m'a dit, on m'a demandé : est-ce que tu peux être rédactrice en chef d'un site Internet ? J'ai dit absolument. Je n'avais pas la moindre idée de ce que j'était en train de faire, mais les gens avec lesquels je travaillais non plus. Alors, c'est un site qui est né et puis qui est mort assez rapidement parce que c'était pas du tout au niveau. Mais c'était ce moment-là, c'était ce moment d'effervescence. C'était cette espèce de ruée vers l'aube. On prenait son seau et puis on partait, on faisait son trou. Et vraiment, voilà, il n'y avait pas de loi. Il n'y avait pas encore de spécialistes. Il y avait du culot, il y avait de la créativité. Il y avait des rencontres, il y avait de l'argent qui coulait à flot parce que tout le monde voulait prendre un bout de ça.00:20:47 Donc, si on croisait quelqu'un qui disait oui, moi, je veux bien essayer. Et vous étiez quoi ? Consultante ? Oui, on venait pour le contenu parce que ce que je sais faire, c'est raconter des histoires ou concevoir des expériences. Comme je n'étais pas technique, je ne savais pas développer. Ça, ce n'est pas la partie qui m'intéressait, donc c'est évidemment la partie visible, les maquettes. Quel aspect ça a ? Donc, j'ai totalement inventé de nouveau un peu de ça. Il y a quand même chez moi quelque chose de l'ordre de l'autodidacte. Comme je vous ai dit, je n'ai pas appris grand chose à l'école. Donc, ce que j'apprends, je suis en immersion permanente. J'ai trouvé le terme cet été en Californie. C'est du full body experience.00:21:30 C'est-à-dire que tout ce que je fais, tout ce que je cuisine, tout ce que je découvre, ce n'est pas tant ce que je lis, c'est ce que je fais, ce que je vis, là où je vais, etc. va me donner une information dont je vais me servir. Il y a vraiment cette notion d'action qui vous habite complètement. Et on l'entend dans votre parcours. Mais cette aventure du digital, elle va durer un petit moment, si je ne dis pas de bêtises. Mais oui, ça dure une bonne dizaine d'années. Puis, il se passe ce qui se passe à peu près toujours dans mes expériences professionnelles. C'est que un jour, les spécialistes arrivent. Et quand les spécialistes arrivent, il se passe deux choses. Mon système devient totalement obsolète parce que ça ne m'intéresse pas de me mettre à niveau.00:22:13 Je ne me mets pas à niveau d'un jeune diplômé d'HEC qui sort avec une spécialité en digital. Jamais de la vie. Mais non, oui, vous n'êtes pas du tout sur le même terrain. Oui, ils arrivent comme un troupeau galopant. Et Internet aussi a beaucoup évolué. Donc, il y a maintenant des codes et dans ces cas-là, ce n'est plus ma place. Je flaire quelque chose. Je n'ai pas flairé Internet. Tout le monde s'en est rendu compte. C'est comme si je flairais l'odeur du pain qui cuit avant qu'il soit complètement cuit. C'est ça. Et c'est ça qui me réveille. Et ça vous a porté pendant dix ans. Vous avez notamment été rédactrice en chef pour Psychologie Magazine. Alors, j'étais chargée des innovations, très exactement. Des innovations du digital de Psychologie Magazine.00:22:56 Il y avait une rédactrice en chef, il y avait une équipe en place. Mais moi, j'étais chargée de créer d'autres sites Internet et de réfléchir à comment utiliser l'interactivité, même à l'intérieur de ces sites, pour la connaissance de soi. Donc, dix années. On entend ce qui va faire que vous allez tourner cette page-là. Je l'ai tournée. Il faut savoir que les pages se tournent violemment. J'ai pris vraiment en pleine face le fait que je n'étais plus du tout au niveau, que les organisations étaient différentes, que ça ne m'intéressait pas, que je ne les intéressais pas. Enfin, c'était. Tout un mélange. La psychologie a été vendue à un grand groupe. Et j'ai dit à ce grand groupe : ce n'est pas la peine de me licencier immédiatement, parce que je ne veux pas faire d'Internet chez vous.00:23:36 Et là, je me suis posé la question du développement durable en me disant : peut-être je peux maintenant réfléchir à des choses plus collectives. Me voilà repartie en Californie pour apprendre le développement durable, puisqu'il y a des universités à San Francisco qui sont entièrement consacrées à ça. Pardon, je me permets de vous interrompre pour remettre dans le contexte. On est au début des années 2010, si je n'ai pas de bêtises. Non, c'est en 2005. Ah oui, donc on parlait très peu de ces sujets-là. Là encore, vous aviez senti le pain chaud. On commençait à parler du RSE, du RSE. On parlait un peu de l'obligation qu'auraient les entreprises à l'avenir. C'est ça, mais à l'époque, ça nous paraissait encore très lointain.00:24:15 Ah oui, non seulement c'était lointain, mais en tout cas, l'entreprise pour laquelle je travaillais n'en avait absolument rien à faire. C'est ça qui était génial. Donc, bref, je pars, je vais apprendre ça et je leur dis : Laissez-moi réfléchir à la responsabilité sociale et environnementale d'un groupe de presse, parce que c'est intéressant quand même. Et puis, alors là, ça a été le fiasco total pour plein de raisons. D'abord, aller travailler dans une très grosse boîte, c'était la première fois de ma vie et la seule. Ça, ça n'est pas mon équation ni mon biotope du tout. Ce n'était pas un endroit pour moi. Et puis surtout, ça ne les intéressait pas. Et en plus de ça, ça nous a mené jusqu'en 2008, où il y a eu une crise économique très importante.00:24:54 Et les premiers budgets, les premiers budgets qui sautent dans ces cas-là sont des budgets de publicité. Les groupes de presse vivent de la publicité. Donc, ils ont perdu 75% de leurs recettes en un trimestre. Donc, le développement durable, c'est peu de dire que ce n'était pas du tout leur délire. Au fond du tiroir, oui, bien sûr. Et donc, mon emploi me quitte. Donc, de nouveau, recrise, parce que me voilà au chômage. Et puis, à chaque fois, l'inconvénient de mon système de fonctionnement, c'est que pour m'emballer pour quelque chose, il faut d'abord que je rencontre quelque chose. Et oui, c'est ça. Et donc, il n'y a rien à se mettre sur le plan. Qu'est-ce qu'il y a là-dedans ? Il y a des plages de recherche et de désespoir. De dépression encore ?00:25:32 On se dit, je ne sais pas si c'est de la dépression, mais c'est énormément d'angoisse. C'est comme quand on attend de tomber amoureux. On ne sait pas, on ne peut pas savoir. Donc, on se dit, mais c'est quand ? C'est dans 35 ans ou c'est dans deux semaines ? Ou est-ce que c'est au coin de la rue ? On ne sait pas. Donc, ça me met comme ça dans des moments de recherche. Mais alors que je m'ennuyais ferme dans ce job précédent, où franchement, je faisais très peu de choses utiles, je m'étais inscrite au cours de psychologie positive. Donc, le premier cours qui était proposé en ligne par Tom Benchard, par l'intermédiaire de l'Université de Pennsylvanie. Donc, je faisais ça entre deux. Je faisais ça à mon bureau, ça ne se voyait pas.00:26:11 Et puis, tout à coup, n'étant plus tenue d'aller au bureau, j'ai eu plus de temps pour pouvoir m'y consacrer. Et je m'y suis engouffrée. C'était passionnant. C'était vivant. J'étais le sujet. C'était le sujet d'études, puisque les devoirs que nous avons à faire en psychologie positive, comme il ne s'agit pas d'une pathologie, de traiter quoi que ce soit comme pathologie, c'est simplement la vie à laquelle on s'adresse. Donc, nous étions nos propres cobayes. Et c'était les devoirs qui étaient exigés de nous. Je ne sais plus combien on était, 500, je crois, dans ce cours, dans le monde entier. Et c'est comme ça que j'ai rencontré tout ça. Et c'est à la suite de ça, toujours au chômage d'ailleurs, que j'ai eu envie de raconter.00:26:52 J'ai trouvé ça tellement chouette que j'ai eu envie de raconter ce que j'avais appris et ce que ça m'avait permis d'appliquer ou de comprendre. Et c'est comme ça que j'ai écrit 'Trois kiffes par jour'. Donc, là, en fait, quand vous l'écrivez, évidemment, vous n'imaginez pas la résonance que ça va avoir et la bascule que vous allez faire. D'autant que pendant ce temps-là, Hachette m'avait offert un bilan de compétences. Alors, j'ai passé des heures et des heures et des heures avec une dame. Et à la fin de tous les jours, de tous les bilans, d'avoir fait des listes, d'interroger des gens, etc. Elle me dit « Écoutez, Flan, ça va être un peu plus long avec vous. Il va falloir revenir ». Et donc, j'ai dit « Non, mais ça suffit maintenant ».00:27:35 Mais elle m'avait quand même dit, je l'ai retrouvé il n'y a pas très longtemps, ce bilan de compétences. Et elle avait dit quelque chose d'extraordinairement juste. Elle avait dit qu'il fallait que je trouve un sujet différent de ce que j'avais vécu jusqu'à présent pour le présenter à l'extérieur, et inventer les outils qui permettaient de le transmettre. Et quand j'ai lu cette phrase, je me suis dit « Ça ne veut rien dire. » J'avais l'impression de lire l'horoscope. C'était tellement abstrait. C'est quand même exactement ce que j'ai fait. Mais sauf que la réalité, rétrospectivement, c'est ça que je devais faire, et c'est ça que j'avais à faire, et c'est ça, en fait, que j'ai fait. Et que vous faites encore aujourd'hui.00:28:11 Donc, c'est là que vous avez écrit ce livre, 'Les trois kiffs par jour', qui a tout de suite été hyper intéressant. Alors, 'Trois kiffs par jour' paraît. J'arrive à la fin de mes deux ans de chômage. Et pendant ce temps-là, quand même, j'avais fait un peu de télévision. J'ai animé une première chronique dans une émission de cuisine. Parce que c'est un autre sujet qui m'intéresse. Aussi, très initié à tout ça par mon cousin David, serveur Schreiber, qui était psychiatre et donc atteint d'une tumeur au cerveau. Il a dû complètement réformer son mode de vie et son alimentation. Donc, nous avons tous modifié notre alimentation pour que David, tout simplement, puisse venir à la maison. David, pardon, je fais une parole.00:28:50 (En parenthèse, c'est lui qui a écrit « Guérir », donc, livre hyper connu, où justement, il nous a initiés aussi, à travers ce livre, à la méditation, etc. Je crois, le MDR aussi, si je ne dis pas de bêtises. Le MDR, la cohérence cardiaque. C'est ça. Et la psychologie positive. C'est là que j'ai lu, pour la première fois de ma vie, le terme « psychologie positive ». Je voulais faire juste cette parenthèse pour le resituer. Et donc, vous, évidemment, là, vous avez dit. Alors, comme j'étais vraiment, voilà, il fallait, comme je vous dis, je suis quelqu'un qui cherche, enfin, qui cherche.) Donc, il y a ce sujet-là de l'alimentation, à la fois santé et sexy, parce que c'est toujours pareil.00:29:27 Si on vous dit « il ne faut pas manger, il ne faut pas manger, il ne faut pas manger », c'est différent de dire « voilà, des recettes géniales ». J'avais, comme ça, tenu une chronique à la télévision, sur Cuisine TV. Par la suite, j'ai eu ma propre émission, qui s'appelait « Des recettes qui font du bien ». Et on a fait quatre saisons. Ça, c'était comme d'aller à la récré, quoi. J'avais un décor. On m'avait demandé ce que je voulais, comme cuisine. J'avais vraiment décrit mon décor idéal. Ils avaient créé le décor idéal. Du coup, l'intérieur de ma tête était devant moi. C'était génial. Et donc, en effet, on cuisinait. Alors, on me maquillait, on me coiffait. Enfin, j'ai adoré.00:30:03 Et donc, vraiment, j'arrive à la fin de cette période de chômage et de temps en temps, comme ça, des tournages d'émissions. Mais ce n'est pas de ça dont je vais vivre. Donc, je m'apprête à retourner à Pôle emploi. Sauf que « Trois kiffes par jour » commence à se vendre. Et « Trois kiffes par jour » commence à se vendre très vite. Et surtout, il y a eu comme ça, parce que ça s'appelait « Trois kiffes par jour », je crois, il y a eu une traction dans les médias. Et donc, je me suis retrouvée au Grand Journal de Canal+. Oui, c'était le grand rendez-vous de début de soirée. J'ai jamais eu aussi peur de ma vie. J'étais tellement stressée. J'étais très intimidée parce que c'est une émission que moi, je regardais avec ferveur.00:30:43 Donc, j'avais l'impression d'être dans la cour des grands. J'ai eu exactement 3 minutes 30 à l'antenne. Mais ça a été 3 minutes 30 formidables parce que d'abord, le sujet est passé. On a commencé, c'était Mouloud Achour qui était en face de moi et qui commence à faire des gestes comme s'il était en train de fumer un joint en disant » Moi aussi, je fume trois cigarettes par jour. Et il y avait à côté de moi Leïla Bekhti, qui est une actrice formidable. Et c'est elle qui l'a repris en lui disant « Mais non, c'est pas du tout ça. Je vais te dire un truc. J'ai eu mon frère au téléphone tout à l'heure et j'adore mon frère. Eh bien, c'est un cliché. Et quand je parle à mon frère, je ressens des choses formidables.00:31:20 » Elle l'a illustré parfaitement, c'est ça. Elle l'a expliqué avec ses mots. Et à partir de là, parce que c'est un peu organisé comme ça en France, les médias se suivent les uns les autres, le fait d'être passée à cette émission m'a ouvert les portes de tout un tas d'autres choses. Eh bien oui. Il y a eu comme ça du buzz autour du livre. Mais il faut reconnaître, c'était il y a presque 15 ans maintenant, le livre se vend toujours. Et le livre se vend toujours toutes les semaines. Donc, ce n'est pas que le buzz d'il y a 15 ans. C'était vraiment, c'est vraiment quelque chose. Je crois que le contenu du livre fait aussi partie de ces contenus qui sont accessibles, identifiables. On s'y reconnaît.00:31:56 Ces transitions de vie, parce que c'est quand même un livre qui raconte plein de transitions de vie, se présentent à n'importe quel moment dans la vie des uns, des autres, se représentent dans ma mienne. Une fois que « Trois kiffs par jour » est sorti, je commence à me demander de donner des conférences. Et ça, c'est un métier que j'avais complètement mis sous le tapis pendant 20 ans puisque c'était mon premier métier. En formation de PNL ? Oui, formation de PNL et à la qualité de service surtout. C'est ce que je faisais. Et j'ai retrouvé ce métier qui est ma vocation. C'est quand même celui-là. En résumant tout, c'est de venir raconter, de venir raconter, de venir raconter sous toutes les formes.00:32:37 Donc, depuis « Trois kiffs par jour », ça a été sous la forme, évidemment, de conférences. Ça, c'est vraiment ma vie professionnelle dans la journée. Je vais dans des entreprises et je donne des conférences. J'organise des choses dans des théâtres pour le grand public. Donc, quand j'ai une nouvelle conférence, j'en fais presque un spectacle. J'ai également créé un vrai spectacle qui s'est appelé « La fabrique à kiff ». Alors ça, vous étiez en scène. En scène, absolument. Ce n'était pas ça votre rêve d'enfant, d'ailleurs. Je n'ai pas lu ça. C'était l'un de mes rêves d'enfant. C'est Julie Androuz ? Oui, Julie Androuz, tout à fait. Pour la resituer, c'est Marie Poppins ou comment elle s'appelle ? C'est Maria dans « La mélodie du bonheur ». Maria dans « La mélodie du bonheur ».00:33:16 Donc là, quand vous faites « La fabrique à kiff », vous êtes sur scène auprès de deux amis, c'est ça ? Alors, deux femmes que j'ai rencontrées à cette occasion qui sont devenues des amies, qui étaient thérapeutes. Et on incarnait nos propres rôles. C'est-à-dire que j'étais Florence Servan-Schreiber, prof de bonheur, et elle était thérapeute. Et donc, on a écrit un spectacle hilarant. Évidemment, on s'est fait aider par des gens qui nous ont mis en scène, qui nous ont aidés dans l'écriture. C'était aussi de pénétrer un autre univers qui est celui du théâtre. On a tourné pendant trois ans avec ce spectacle incroyable où, le lundi soir, on allait jouer comme ça dans toute la France. Et puis, le reste de la semaine, on faisait notre métier comme d'habitude.00:33:56 Dites-moi si je me trompe, mais j'ai l'impression que depuis « Les trois kiffes par jour », vous avez tiré ce fil-là de vulgariser le bonheur, de le rendre accessible simplement. Il n'y a pas ce côté un peu prise de tête qu'on peut parfois ressentir dans le développement perso. Ce que vous nous offrez, c'est la psychologie positive que vous nous rendez accessible à travers des outils simples. Là, on a pas mal parlé de cet exercice des « trois kiffes par jour », mais vous parlez aussi d'écriture, de cohérence cardiaque, etc. Est-ce que c'est ça, aujourd'hui, votre activité ? Mon activité, c'est de faire des choses, de ne parler que de sujets sérieux sans me prendre au sérieux. Oui, c'est ça. Donc, tout ce dont je vous parle est fondé, vient de quelque part.00:34:40 Ce dont je me rends compte aujourd'hui, c'est que les trois kiffes par jour est un autre fondement qui me permet d'appuyer des choses que je viens raconter. C'est mon expérience. C'est-à-dire qu'à mon âge, on ne peut plus faire l'économie de son expérience. Je ne peux pas raconter mon parcours comme une étudiante qui travaille depuis 10 ans ou depuis 20 ans. J'ai la totalité d'une vie derrière moi. Donc, c'est aussi la base de tous ces apprentissages. Donc, il y a vraiment cette notion de transmission qui va prendre plein de formes, que ce soit à travers vos livres, à travers les conférences que vous donnez, ce que vous faites sur scène. Je crois que vous avez aussi sur Internet des programmes. Il y a une académie en ligne.00:35:18 Donc, ça va être par l'écriture, par la parole, par du digital. Je viens vous raconter ce que je sais. Et en effet, l'écriture, par exemple, est un des sujets sur lesquels j'ai également travaillé. J'ai publié un livre qui s'appelle Écrire pour s'épanouir et kiffer. Après avoir été chercher toutes les recherches qui ont été faites sur le pouvoir de l'économie et de l'écriture sur notre psychisme et vie psychologique. Donc, à la fois les traumatismes en thérapie, mais aussi l'épanouissement, la créativité, la façon dont on peut vraiment se développer grâce à ça. Là, je vous écoute et je me dis vraiment, c'est super de parler avec vous pour cette semaine de la santé mentale parce que souvent, on résume la santé mentale au trauma. Et puis là, en fait, vous, vous reliez ça beaucoup à une clé d'épanouissement.00:36:08 En fait, on n'est pas obligé de parler du noir tout le temps et des choses négatives. On est obligé de parler du noir au contraire, on va cultiver avec vous, on cultive le positif. Le trauma sera là, quoi qu'il arrive. Alors il, il prend toute la place, il fait tout ce qu'il veut, c'est lui qui règne. Donc, si on veut le contrebalancer, en fait, il faut en prendre la décision, c'est-à-dire qu'on apprend énormément de choses sur le trauma. Ce que je sais, c'est qu'on peut aussi apprendre énormément de choses sur l'épanouissement. Et mon job à moi, c'est ça, puisque le trauma. Alors je ne sais pas si vous savez ça, mais je suis par ailleurs présidente de l'école qu'avait créée David qui s'appelle l'Institut français de l'EMDR.00:36:49 Et donc, nous formons chaque année des centaines de thérapeutes à l'EMDR. Et l'EMDR, c'est vraiment pour le traumatisme. Donc, je suis dans mon fort intérieur, dans la partie de moi qui aime aider, celle qui est au service. J'ai les deux extrémités de l'éventail, c'est-à-dire que le traumatisme est couvert par des gens. Moi, je ne pourrais pas vous enseigner ça parce que vraiment, ce sont des gens qui sont complètement confinés, qui font ça. Et de l'autre côté, je viens nous rappeler que malgré et en plus de notre main, il y a des choses que nous pouvons faire avec légèreté. Pour moi, une journée est une composition de moments. Ce n'est pas une journée. Il y a différents instants, il peut y avoir différentes couleurs, différents goûts, différentes saveurs dans la journée.00:37:32 Avant de passer aux questions rituelles, j'aimerais savoir ce que vous aimeriez dire à cette Florence qui a 19 ans, qui n'est pas hyper bien dans sa peau, si je comprends bien, qui est sur le point de s'envoler pour la Californie. La femme que vous êtes aujourd'hui. La seule chose que j'ai à lui dire, c'est ça va aller. Et quoi qu'il arrive, ça va aller. Et c'est vrai. Et c'est aller dans énormément de directions, vers le haut, vers le bas, vers la droite, vers la gauche. Mais ça va aller. Nos ressources sont incroyables et nous avons chacune et chacun notre façon de faire. Et ce dont on se rend compte vraiment, décennie après décennie, parce que là, maintenant, j'en ai plein dans les pattes des décennies, c'est qu'en tout cas, chez moi, chacune va être traitée d'une certaine façon et permet à l'autre de se consolider et de construire dessus et qu'on n'arrête jamais cette construction.00:38:27 Heureusement. C'est fatigant, mais c'est fantastique. C'est tout ça à la fois, c'est vrai. Allez, mais quelques questions rituelles pour terminer. J'aimerais savoir, vous, Florence, si vous êtes à l'écoute de votre petite voix au quotidien. Nous sommes sept. Ça fait du monde. À l'intérieur. À l'intérieur de moi. Donc, je suis sans arrêt en dialogue avec quelque chose qui est à l'intérieur de moi. Si vous faites référence à l'intuition, au fait d'avoir pris de mauvaises décisions, bien sûr, je prends de mauvaises décisions, malgré le fait que je n'écoute pas toujours. Il y a des choses que je me dis et puis il y a des choses que je ne me dis pas, très franchement, que je découvre en marchant. Mais oui, j'ai beaucoup, beaucoup de dialogue intérieur et je suis très, très sensible à cette partie-là.00:39:09 Et j'ai, j'ai, j'aimerais qu'elle prenne encore plus de place. J'aimerais qu'elle mène la danse, en fait. Ça me ferait des vacances. Je pense qu'on en est tous là, mais que le mental prend de la place. C'est ça. Est-ce qu'il y a un livre qui a particulièrement éclairé votre chemin de vie ? Quand j'ai lu Manche Première d'Elisabeth Gilbert, ça a ouvert quelque chose de très important pour la suite, qui était, elle écrivait ce livre à la première personne et c'est au moment où je m'attaquais à Trois Kifs par Jour, c'est quelqu'un qui m'a dit « Ah, mais tu as lu Manche Première et non ? » Donc, je l'ai acheté et j'ai découvert qu'en parlant à la première personne, je m'identifiais complètement à elle et ça m'a autorisée à écrire Trois Kifs par Jour comme ça.00:39:49 Et ça a complètement libéré quelque chose dans mon écriture depuis parce que c'est là que mon écriture, ce n'était pas le premier livre, mais c'est vraiment à partir de là que j'écris quasiment tous les jours. Je ne parle même plus au singulier, je parle au pluriel, c'est-à-dire c'est nous. Je considère que tout ce qui m'arrive, tout ce qui vous arrive, m'arrive aussi. Donc, ça nous arrive. Donc, ce livre-là a ouvert ça pour moi. Est-ce que vous avez un rituel bien-être quotidien ? Le matin au réveil, la première chose que nous faisons, Alex, Marie et moi, c'est que nous méditons. OK. Au lit, alors couché, pas du tout dans les positions zen, etc. Oui. Mais nous méditons au lit. OK, d'accord. Bon, et Florence, est-ce que vous êtes heureuse ?00:40:32 À cet instant précis, oui, mais je ne sais répondre que dans l'instant. Je suis vraiment comme les dorades, c'est-à-dire que je suis vraiment que je vois là où je suis. Je peux vous le dire là maintenant. Rien ne me dit que dans un quart d'heure, je ne serais pas effondrée par un blocage. Je ne sais pas, quelque chose qui se présente là. Je suis incapable de vous dire oui, je suis heureuse. Mais là, tout de suite, maintenant ? Là, tout de suite, oui. Chouette. Vous savez quoi, Florence ? Ça a été un vrai kiff pour moi, cet entretien. Donc, je vous remercie beaucoup. Je repars avec un grand sourire. Et moi aussi. Merci beaucoup.______________________________________Semaine de la Santé Mentale • Psychologie positive • 3 kifs par jour • PNL (Programmation Neuro-Linguistique) • épanouissement personnel • psychologie transpersonnelle______________________________________Vous aimerez cet épisode si vous aimez : Métamorphose, éveille ta conscience ! (Anne Ghesquière) • Le podcast de Pauline Laigneau • Comment tu fais (Laury Thilleman) • Psychologie Positive Et Hypersensibilité (Laurie Zed) • podcast Emotions................................................La petite voix est un podcast du label Lacmé Production.
Voilà un extrait du prochain épisode… Rendez-vous mardi pour le découvrir dans son intégralité !................................................La petite voix est un podcast du label Lacmé Production.
Nouvelle saison c'est parti, et vous pouvez retrouver Swann Périssé sur Instagram et dans son spectacle Calme partout en France.Ce dont on parle dans le dernier épisode de la saison :Le kiff d'Ariane : rejoindre la QueeraleLe kiff de Delphine : le saut en parachuteLe kiff de Swann : la boxe thaiLe kiff de Marie-Stéphanie : le restaurant Bao FamilyLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi (enfin presque), l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Marie-Stéphanie / Ariane / SwannAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Marie-Stephanie ServosAvec Ariane, Delphine et Marie-Stephanie ServosRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stephanie Servos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Clap de fin de saison 5 : déjà 5 années passées à vos côtés, cher.es auditeurices. Plus de 117 épisodes studio depuis 2018 ! MERCI mille fois pour votre écoute, vos partages, vos soutiens et justement cet épisode vous est consacré : nous avons sélectionné des messages, MP, mails, tweets, que vous nous avez envoyés et nous vous répondons enfin après avoir fait un BILAN « sans animosité sans tirer sur personne »
L'invitée de cet épisode est Laurane Wattecamps du compte Instagram @sexplique_moiRetrouvez son livre "Déconstruire le cul" axu éditions Courrier du LivreCe dont on parle dans le dernier épisode de la saison :Le kiff de Laurane : sa mamie qui a le sens des affairesLe kiff d'Ariane : la JOMO, la Joy Of Missing OutLe kiff de Soifia : les compils de musiques de jeux vidéo sur YoutubeLe kiff de Candice : visite spectacle au Palais Royal+ Ses enfants sont partis en colonie de vacancesLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi (enfin presque), l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Laurane Wattecamps / Ariane / Soifia / CandiceAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Candice SataraAvec Laurane Wattecamps, Ariane et SoifiaRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Candice Satara Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'exercice de la traduction littéraire est souvent périlleux. C'est une mission particulièrement délicate lorsqu'il est question des oppressions que l'on a tendance à mettre sous le tapis en France hexagonale. Comment traduire les auteurs et autrices qui travaillent sur les questions de race, et de genre sans les trahir ?Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent Maboula Soumahoro, angliciste, civilisationniste et traductrice de « À perte de mère » de Sadiya Hartmann aux Éditions Brooks.Références citées dans l'épisode :Le triangle et l'hexagone, Maboula Soumahoro (2020) Kiffe ta race #02, Pourquoi le mot race est-il tabou Kiffe ta race #23, Appropriation culturelle, le racisme l'air de rienKiffe ta race #49, 2020 : et l'on découvrit le racisme made in France Barracoon, Zora Neale HurstonExtrait du journal de TV5 Monde (2021) Uncaring, Canan Marasiglil, Read My World (2021)Ta Nehisi Coates « Entre le monde et moi », d'après un poème de Richard Wright Okja, Bong Joon HoLes Supermodels, documentaire de Roger Ross Williams et Larissa BillsNoirs et Juifs & Les Marches de la Liberté, documentaires de Rokhaya Diallo« Jusqu'à quel point le traducteur doit-il ressembler à l'auteur qu'il traduit ? » Le Monde (2024)Kiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara assisté de Jerusha Daniel Peter SelvarajahCadrage : Magatte DiagneGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste Mayoraz Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les voyages forment la jeunesse, l'éducation aussi. Mais de quels voyages, de quelle éducation et pour quelles jeunesses ? Planter des graines est un travail de longue haleine, qui peut être à la fois frustrant, douloureux et libérateur. Dans cet épisode consacré au temps long, l'écrivain, professeur et sociologue Fabien Truong nous livre ses réflexions sur les correspondances entre ses activités de pédagogue, de scientifique et d'auteur, et les passerelles entre sciences sociales et littérature.Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent Fabien Truong, auteur de Routines, La Taille des Arbres et Jeunesses Françaises. Références citées dans l'épisode :Routines, roman de Fabien Truong (2024) La Taille des arbres, récit de Fabien Truong (2022) Jeunesses françaises, bac + 5 made in banlieue, Fabien Truong (2015) On ne fait que planter des graines, Anne Barrère (2022) https://www.cairn.info/revue-education-et-societes-2023-2-page-123.htmKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara assisté de Jerusha Daniel Peter SelvarajahCadrage : Magatte DiagneGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste Mayoraz Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce dont on parle dans cet épisode :Le kiff de Fanny : faire des siestesLe kiff d'Elisa : le festival Pete the Monkey à Saint-Aubin-Sur-Mer en NormandieLe kiff d'Ariane : revoir des vieilles séries comme Game of Thrones mais aussi des plus récentes comme SeveranceLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi (enfin presque), l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Ariane / Elisa / FannyAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par ArianeAvec Elisa Covo et Fanny Cohen MoreauRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Candice Satara Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bußgelder, Verbotszonen, Kontrollen: Bayern legt das Cannabis-Gesetz besonders restriktiv aus. Davon sind nicht nur Kiffer betroffen. Offenbar gibt sich die Regierung auch alle Mühe, den Cannabis Social Clubs den kommerziellen Anbau zu erschweren. Watzke, Michael www.deutschlandfunk.de, Deutschland heute
Retrouvez le livre de notre invitée Morgane Dion "Les gentilles filles ne réussissent pas" aux éditions Eyrolles dans toutes les bonnes librairies !Ce dont on parle dans cet épisode :Le kiff de Morgane : sortir son application Plan CashLe kiff d'Ariane : les viewing party de Drag Race France de Père Eustache+ La QueeraleLe kiff de Soifia : Malaga en EspagneLe kiff de Candice : l'exposition aux Archives nationales "LA LOI SUR L'IVG 1974 - Le discours de Simone Veil" jusqu'au 2 septembre 2024 (exposition gratuite)Laisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi (enfin presque), l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Ariane / Soifia / Candice / Morgane DionAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par CandiceAvec Ariane, Soifia et Morgane DionRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Candice Satara Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Notre rapport aux vêtements traverse nos sociétés : l'industrie de la mode façonne notre monde. Les mannequins sont des modèles pour nos représentations de beauté. Les fashion weeks sont des lieux de pouvoir et font entendre des revendications. Les travailleuses du textile sont en grande majorité des femmes vivant dans des pays du Sud Global. Alors comment la mode pourrait-elle se vouloir apolitique ? Comment l'histoire de la mode, la représentativité des visages et corps dans l'industrie et la fabrication du coton touchent de nombreux aspects de notre quotidien ?Rokhaya Diallo et Grace Ly conversent avec Mélody Thomas, journaliste mode et autrice de « La mode est politique, un bref lexique inclusif » (Hachette,2022)Références citées dans l'épisode :Newsletter What's goodArticle de Mélody Thomas pour @apartpublicationsUne poupée en Chocolat, Amandine GayFolie douce, Lauren Bastide avec Rokhaya DialloL'appropriation culturelle, Rodney WilliamExposition « le modèle Noir » Musée d'Orsay, 2019Balance diversity lettre ouverte de Bethann Hardison, 2013Kiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara assisté de Jerusha Daniel Peter SelvarajahCadrage : Magatte DiagneGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste Mayoraz Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'expression « charge raciale » a été créée en France par l'universitaire Maboula Soumahoro en 2017, inspirée de « charge mentale » limitée à la charge portée par les femmes dans les rapports, notamment de couple hétérosexuel, dans la gestion du quotidien, du domestique, de l'intime. Dans le cas du racisme systémique, le poids des oppression constitue un fardeau quotidien. Comment se manifestent les pesanteurs liées au racisme pour les personnes non-blanches? Quelles stratégies pour la surmonter au quotidien ? Rokhaya Diallo et Grace Ly invitent Douce Dibondo, poétesse et autrice de « La charge raciale, vertige d'un silence écrasant » (Fayard).Kiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara assisté de Jerusha Daniel Peter SelvarajahCadrage : Magatte DiagneGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazRéférences citées dans l'épisode :Episode #78 "La charge raciale, double peine" Maboula Soumahoron, tribune dans Libération (2017) Podcast Extimité, Douce Dibondo & Anthony Vincent La condition noire, Pap Ndiaye (2008) Tweet de Aya Nakamura (2024) Mangouinistan de Lou Eve Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce dont on parle dans cet épisode :Le kiff de Fanny : la radio Fip
#112 Le déni, French touch du racisme ?« Le déni est un discours dont le but est la négation, banalisation ou justification du racisme, souvent accompagné d'une accusation de radicalisme, d'extrémisme voire de séparatisme et d'une inversion de la charge du racisme » selon Reza Zia-Ebrahimi, historien et invité de cet épisode enregistré à Londres dans le cadre du projet « Race across the Channel » est construit en partenariat avec la Faculté des Arts et Sciences de King's College London.Le racisme qui se déploie en France est-il le même qu'en Angleterre ? Quelles sont les similarités et disparités entre nos deux sociétés post-coloniales qui ont joué des rôles déterminants dans l'histoire des dominations mondiales ?Rokhaya Diallo et Grace Ly s'interrogent à partir des deux rives de la Manche en compagnie de Reza Zia-Ebrahimi, auteur de “Antisémitisme & Islamophobie : une histoire croisée”.Kiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon : Rokhaya DialloRéalisation : Ossama Hezhaz @artisandelespritDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazRéférences citées dans l'épisode : Charles W. Mills, Le contrat racial (1997)Gaslight (Hantise) de George Cukor (1947)Marwan Mohammed & Abdellali Hajat Islamophobie (2013)Kamel Daoud, tribune « Cologne, lieu de fantasmes » (2016) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez le livre de Kalindi "Les jours mauves" dans toutes les bonnes librairies !Ce dont on parle dans cet épisode :Les kiffs de Soifia : ne pas avoir d'homme dans sa vie (et être tranquille)+ Témoignage sur le site de MadmoizelleÉnorme kiff : les courses à pied organiséesLes kiffs de Kalindi : le film FuriosaGros kiff : Les festivals littéraires avec son livre Les Jours mauvesLes kiffs d'Ariane : découvrir le marché à côté de chez elleGros kiff : Le média Blast sur YoutubeLe kiff de Candice : le durcisseur d'onglesGros kiff : Le compte Instagram Mesdames MediaLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Ariane / Kalindi / Soifia / CandiceAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Candice SataraAvec Ariane, Soifia Paris et Kalindi RamphulRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Candice Satara Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez notre invitée Tahnee sur son compte Instagram et les dates de son spectacle L'autre+ Le festival Family Pride+ L'article sur les recettes arnaques sur Instagram par ElisaLe kiff d'Ariane : 3 jours de retraite silencieuse dans une abbayeLe kiff de Tahnee : l'artiste Frieda et son nouveau morceau "Freedom"+ Les techniques contre les micro-agressions dans les vidéos "Pardon" sur Instagram+ Le jeu Hair Nah+ Le spectacle de Mamari "Trop drôle pour mourir"Le kiff d'Elisa : les mots fléchésLe kiff d'Anthony : l'ouvrage "La charge raciale" de Douce Dibondo aux éditions Fayard+ Le podcast Extimité+ L'interview de Douce DibondoLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Anthony / Ariane / Elisa / TahneeAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Anthony VincentAvec Ariane, Elisa Covo et ThaneeRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Candice Satara Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez nos invité.e.s sur leurs réseaux :Noam Sinseau sur son compte Instagram et son spectacle Makoumé SuperstarLéa du compte Instagram Merci Beaucul et sa tournée en FranceCe dont on parle dans cet épisode :L'actualité :L'article sur Kendji Girac par CandiceL'article sur la GPA éthiqueLe kiff de Candice : nettoyer ses joints de salle de bain + l'exposition "Joann Sfar. La vie dessinée" au Musée d'art et d'histoire du judaïsme à Paris+ Sa newsletter Le BalaganLe kiff de Noam : être papa d'un chien + jouer son spectacle à Saint DenisLe kiff de Léa : prendre des douces de danse ReickoLe kiff d'Anthony : l'ouvrage "Goudous où êtes vous ?" aux éditions Les Mots à la boucheLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Anthony / Candice / Noam / LéaAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Anthony VincentAvec Candice Satara, Léa de Merci Beaucul et Noam SinseauRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Candice Satara Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez notre incroyable invité Morgan Noam sur son compte Instagram et son livre "Ceci est un livre sur le genre" !Ce dont on parle dans cet épisode :Le kiff d'Ariane : vivre avec son amante + le livre "Journal de L" de Christophe TisonLe kiff de Fanny : faire du sudokuLe kiff de Morgan : rencontrer les gens en vrai à l'occasion de la promotion de son livre+ Rassemblement partout en France le dimanche 5 mai pour lutter contre la transphobieLe kiff d'Anthony : faire une "semaine blanche", ne pas dépenser d'argent et réussir à cuisiner avec ses fonds de placards+ livre " Le Conflit n'est pas une agression - Rhétorique de la souffrance, responsabilité collective et devoir de réparation" de Sarah Schulman+ Le compte Instagram Mure et Noisettes+ La recette d'Aish El Saraya (tiramisu à la libanaise) en version vegan par Alice EsmeraldaLaisse-moi kiffer :Dans le podcast du kiff et de la digression, Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles.Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule.Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur Instagram :Laisse-moi kiffer / Anthony / Ariane / Fanny / MorganAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Anthony VincentAvec Ariane Hemery, Morgan Noam et Fanny Cohen MoreauRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Candice Satara Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez notre incroyable invité Lou Trotignon sur son compte Instagram et son spectacle Mérou partout en France !Reco d'auditeur.ice : La Balade Cheloue les 27 et 28 avril à ParisLe kiff d'Ariane : aller à la soirée La Bringue avec ses collègues amiesLe kiff de Lou : rencontrer des gens lors de la tournée de son spectacle+ Les prochaines dates de son spectacleLe kiff d'Anthony : le film "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant"+ Le podcast Le Goût de M avec Monia Chokri+ Les numéros de SOS Amitié : 09 72 39 40 50Et le numéro de prévention contre le suicide : 31 14Laisse-moi kiffer :Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles. Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule. Envoyez-nous sur Instagram vos kiff, vos recos, et vos commentaires !Retrouve-nous sur instagram :Laisse-moi kiffer / Anthony / Ariane / LouAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Anthony VincentAvec Ariane Hemery et Lou TrotignonRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez notre invité Hugo Spini sur son compte Instagram WhereverHugo !Ce dont on parle dans cet épisode de Laisse-moi kiffer :Le kiff d'Ariane : être le soutien d'une proche en période de criseLe kiff de Fanny : réussir la campagne du carnet Passion MédiévistesLe kiff de Hugo : Drag Race UK Vs The World saison 2+ Portrait de La Grande DameLe kiff d'Anthony : réussir à percer des trous chez lui pour mettre des étagèresLaisse-moi kiffer :Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles. Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule. Envoyez-nous sur Instagram vos anecbofs de star (une anecdote bof avec une star cool et vice versa), vies de boloss (une VDM mais en 2024, quoi) et autres messages boubou (si/quand vous avez un petit coup dans le nez).Retrouve-nous sur instagram :Laisse-moi kiffer / Anthony / Ariane / Fanny / HugoAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Anthony VincentAvec Ariane Hemery, Fanny Cohen Moreau et Hugo SpiniRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
#111 GAY ET ASIATIQUE, A L'INTERSECTION A l'intersection de la race et de l'identité sexuelle, Jean-Baptiste Phou nous confie son parcours d'homme asiatique et gay en France à la fois dans son travail, le cercle familial et intime, sur le marché du dating et des rencontres amoureuses. Que signifie « être une minorité dans la minorité » ? Quels obstacles sont érigés par les normes de beauté hétérosexuelles pour un homme homosexuel non-blanc ? Comment peut-on penser la « repatriation », le fait de s'installer dans le pays des origines de sa famille ?Notre invité Jean-Baptiste Phou est comédien, dramaturge, réalisateur et auteur de « La peau hors du placard, Asiatique et gay une vie de lutte » paru au Seuil en 2024.Kiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara Cadrage : Magatte Diagne & Lucie BaumontGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazRéférences citées dans l'épisode :« Cambodge Me Voici » (2017) Soth Polin, L'Anarchiste (1980)Websérie Ça reste entre nous, épisode 2 « L'image de l'homme asiatique » de Grace Ly & Mia MaA propos de la publication du site de rencontres OK Cupid, 2014 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
TW : Cet épisode évoque des scènes, actes de torture et crimes de guerre.Dédiabolisé ! Le Rassemblement National, parti politique d'extrême droite, a su faire croire à une forme de respectabilité en s'imposant dans les arènes de la République. Si le mouvement lepéniste est connu pour avoir été fondé en 1972 par des sympathisants du nazisme, on sait beaucoup moins combien ses racines puisent dans la pensée colonialiste en ex-Indochine et en Algérie.Pour le comprendre, on se penche sur le parcours de Jean-Marie Le Pen, son artisan idéologique, rattrapé par son passé de tortionnaire en Algérie. Comment la matrice coloniale influence-elle les héritiers de JMLP aujourd'hui ? Pourquoi la « nostalgérie » et le déni des crimes commis continuent d'imprégner les discours politiques ?Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent l'historien Fabrice Riceputi, auteur de l'ouvrage « Le Pen et la torture » paru aux éditons Le Passager Clandestin.Disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music. Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace LySon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara Cadrage : Magatte Diagne & Lucie BaumontGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazRéférences citées dans l'épisode :Le site Histoire coloniale et post-coloniale Le dossier du journal Libération du 12 février 1985 « Torturés par Le Pen » L'article du Monde du 4 juin 2002 « Torture : quatre nouveaux témoins accusent Jean-Marie Le Pen »Episode 2 du podcast « Jean-Marie Le Pen, l'obsession nationale » de Philipe Colin, France Inter 2023Emission « L'heure de vérité » sur Antenne 2, 1984 avec Jean-Louis Servan-ScreiberJordan Bardella nie l'antisémitisme de JMLPDiscours du député RN José Gonzales à l'Assemblée nationale, sur BFTM TV et sur RMC en juin 2022 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
#109 POLITIQUE : LE PARTI DE L'HUMOURAu-delà des émotions qu'il suscite en nous, l'humour contribue à la formation de nos imaginaires collectifs. À travers des sketches chroniques et spectacles, les humoristes dressent le tableau de la société actuelle et de ses tensions. Parties prenantes des rapports de force qui la traversent, iels sont aussi le reflet des différents discours et idéologies politiques.Si leurs interventions peuvent avoir une vocation contestataire, est-ce qu'on peut aussi leur reprocher de renforcer les stéréotypes en en jouant ?Comment faire rire et dénoncer sans stigmatiser ? Comment apprendre de nos erreurs passées ?Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent Waly Dia, humoriste et chroniqueur sur France Inter qui nous livre ses analyses sur son propre parcours.Kiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Lykiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex Kamara Cadrage : Magatte Diagne & Lucie BaumontGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazRéférences citées dans l'épisode :Performance de Waly Dia Marrakech du rire 2014Performance de Waly Dia Marrakech du rire 2016« Blanche Inter » chronique de Waly Dia sur France Inter du 17 mai 2023« Je suis anti-Meurice » chronique de Waly Dia sur France Inter du 12 novembre 2023 Portrait de Waly Dia dans M Le MagVidéo de Gaspard ProustRectificatif : Guillaume Meurice a été convoqué par la Police Judiciaire pour deux plaintes basées sur la législation relative à l'injure publique et la provocation à la haine raciale déposées par des associations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
As a state, Alaska has never had the death penalty. It was abolished in 1957, two years before Alaska became the 49th state in the union. However, from 1869 until 1957, twelve male felons were hanged for murder, robbery, and other crimes. This is the story about the unequal application of the death penalty in Alaska and why capital punishment was abolished in the state. Sources: Heaton, John W. Outlaw Tales of Alaska. “Fred Hardy.”2015. Guilford, CT. Rowman & Littlefield. Green, Melissa S. “A History of the Death Penalty in Alaska.” July 20, 2001. UAA Justice Center Website. Green, Melissa S. “The Death Penalty in Alaska.” Winter, 2009. Alaska Justice Forum. Kiffer, Dave. “Abolition of Alaska's Death Penalty.” October 15, 2005. Sitnews. Lerman, Averil. “The Trial and Hanging of Nelson Charles.” Spring, 1996. Alaska Justice Forum. ______________________________________________________________________________________ COMING SOON! __________________________________________________________________________ IF YOU ENJOY LISTENING TO YOUR NOVEL, CHECK OUT MASSACRE AT BEAR CREEK LODGE ____________________________________________________________________________________ Join the Murder and Mystery in the First Frontier Facebook Group! __________________________________________________________________________________________________ Robin Barefield is the author of five Alaska wilderness mystery novels, Big Game, Murder Over Kodiak, The Fisherman's Daughter, Karluk Bones, and Massacre at Bear Creek Lodge. She has also written two non-fiction books: Kodiak Island Wildlife and Murder and Mystery in the Last Frontier. Sign up to subscribe to her free monthly newsletter on true murder and mystery in Alaska. Subscribe to Robin's free, monthly Murder and Mystery Newsletter for more stories about true crime and mystery from Alaska. Join her on: Facebook Instagram Twitter LinkedIn Visit her website at http://robinbarefield.com Check out her books at Author Masterminds ___________________________________________________________________________________ If you would like to support Murder and Mystery in the Last Frontier? Become a patron and join The Last Frontier Club. Each month Robin will provide one or more of the following to club members. · An extra episode of Murder and Mystery in the Last Frontier available only for club members. Behind-the-scenes glimpses of life and wildlife in the Kodiak wilderness. · Breaking news about ongoing murder cases and new crimes in Alaska ____________________________________________________________________________________________ Merchandise! Visit the Store
Die Traditions-Experten Jacob und Gabriel sind zur Stelle. Bereit euch durch dieses Chaos der österreichischen Leitkultur zu manövrieren. Aber was gehört wirklich dazu? Blasmusik, Lederhosen und Schnitzel fressen kann es doch nicht sein, oder? Worüber wurde geplaudert? + Weihnachtsfeier im März. + Kasperl und Pumuckl + Nickelodeon Skandal + Waidmannsheil! + Klopfer saufen ist unsere Leitkultur + Populismus am Arsch. + Kiffer sind wir keine The Wurst Guide - am worst day - Immer Montags - Immer deppat. Unser Buch "schau ma mal" ist bei Thalia alleine durch eure Vorbestellungen schon als Bestseller eingestuft worden! Vielen, vielen, lieben Dank! Ohne euch wäre all das nicht möglich! Unser Ziel ist das goldene Buch der Stadt Wien. Das wird einem bei 15 Tausend verkauften Büchern verliehen. Also vielleicht hat jemand bei euch in naher Zukunft Geburtstag und ihr braucht noch ein Geschenk ;-) Bestellen: https://www.thalia.at/shop/home/suggestartikel/A1070237440?sq=Schau%20ma%20mal&stype=productName Der Podcast „The Wurst Guide to Living in Austria“ ist eine Produktion der Werbeagentur „The Wurst Agency“ und wird gesponsert von dem Online-Magazine „Vienna Würstelstand“. Dein Magazin rund um Wien. Hast du Wünsche oder Feedback? Möchtest du mit uns arbeiten oder Werbepartner werden? Get in touch with us „hello@thewurst.agency"
#108 REFUGIE.ES PALESTINIEN.ES : L'IMPOSSIBLE RETOUR AU BLEDDepuis les débuts de Kiffe ta race, nous avons souvent évoqué l'immigration avec nos invité.es, au travers du lien et du retour au pays d'origine. Pourtant immigrer ne signifie pas la même chose pour tout le monde. Si certaines personnes quittent volontairement leur pays pour une vie meilleure et avec toutes les difficultés que cela implique, d'autres sont littéralement chassées de leur pays. Comment vit-on l'immigration quand elle est forcée? Quel lien tisse-t-on avec son pays d'origine quand il subit des attaques et quand son existence même est menacée? Comment correspondent les mots immigré.e, réfugié.e, migrant.e et exilé.e ?Notre invitée Rima Hassan, juriste en droit international, fondatrice et présidente de l'ONG Observatoire des Camps de Réfugiés répond à nos questionsKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :)Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Ossama Hezhaz Artisan de l'EspritRéalisation : Alex KamaraCadrage : Magatte Diagne assisté de Jerusha Daniel Peter SalvarajahGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazRéférences citées dans l'épisode : Épisode #95 « Vacances au bled » avec Chadia Chaïbi-Loueslati Dernières résolutions de l'ONU Rapport Amnesty International du 1er février 2022 Extrait de « Le Grand Rendez-vous » sur Europe 1 du 10 mars 2024 avec Fabien RousselExtrait d'une vidéo de Loopsider du 7 mars 2024 avec Gérard DarmonExtrait de « Les enfants de la république » sur Radio J du 15 octobre 2023 avec Michel Boujenah Ordonnance de la CIJ du 26 janvier 2024 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
O'zündt is. Die Teillegalisierung von Cannabis wurde am Brandenburger Tor bereits ausgiebig von einigen gefeiert. Für andere kommt das neue Gesetz gar nicht in die Tüte. WDR 2 Satiriker Tobias Mann verrät, was er von der neuen Rauchfreiheit hält. Von Tobias Mann.
Bis zu 25 Gramm Cannabis darf man in Deutschland bald bei sich tragen, drei Hanfpflanzen zu Hause anbauen. Aber völlig freigegeben wird Marihuana in auch wieder nicht, für den Anbau im größeren Maßstab gibt es merkwürdige Vorschriften: Man darf nur im Verein anbauen. Aber im Vereinsheim kiffen darf man dann wiederum nicht. War die Schweiz da nicht schon mal weiter? Wir diskutieren, wie weit die Liberalisierung in Deutschland geht und wie scharf Kiffen in Österreich und der Schweiz noch verfolgt wird. Außerdem bei "Servus. Grüezi. Hallo.": Das erste Urteil gegen Sebastian Kurz ist gefallen – und es könnte Signalwirkung haben für alles, was da noch kommt. Startet der Ex-Kanzler nun die nächste Kampagne gegen die Justiz? Sie erreichen uns per Mail unter alpen@zeit.de und per Sprachnachricht bei WhatsApp unter +41 79 361 53 10. Auf Twitter sind wir als @mattthiasdaum@floriangasser und @jalenz unterwegs. Auf Instagram als @matthiasdaum und @florian_gasser. Chice Tassen, noch schickere T-Shirts und anderen leiwanden Krams mit unserem "Servus-. Grüezi. Hallo."-Logo können Sie hier kaufen. Die Österreich- und Schweiz-Ausgabe der ZEIT können Sie hier abonnieren. [ANZEIGE] Mehr über die Angebote unserer Werbepartnerinnen und -partner finden Sie HIER [ANZEIGE] Falls Sie uns nicht nur hören, sondern auch lesen möchten, testen Sie jetzt 4 Wochen kostenlos Die ZEIT. Hier geht's zum Angebot.