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Il est considéré comme l'un des paroliers les plus brillants du rap français. À 45 ans, Youssoupha revient avec Amour Suprême, son septième album. En 13 titres, il adresse quelques recommandations bienveillantes aux jeunes générations sans renier pour autant les combats qui l'ont forgé. RFI : Votre septième album, Amour suprême, vient de sortir. Que symbolise ce titre ? Youssoupha : Ce titre-là est empreint de spiritualité, d'amour, forcément. Envie d'ouverture, envie de partage. Une certaine forme d'élévation. En tout cas, tout ce qui est émotionnellement fort, émotionnellement engageant, une certaine forme de liberté aussi. Et j'ai trouvé cette tournure-là, parce qu'en fait, c'est spirituel. C'est quelque chose qui va sur mon rap, mais au-delà encore.Et justement, comment cela se traduit-il dans la musique ?C'est une certaine facilité à parler de soi, à aborder des thèmes personnels, mais qui touchent le plus grand nombre, en partant vraiment de son parcours à soi. De la remise en cause aussi, l'envie de bien faire, l'envie de faire mieux. D'ailleurs, il y a une chanson qui s'appelle « Faire mieux ». Et une certaine foi aussi. Important de parler de la foi : ce en quoi on croit, les ambitions, les désillusions, les espoirs aussi. C'est ça aussi l'amour suprême.La Côte d'Ivoire semble être un point central dans votre parcours récent, après des années d'absence. Votre retour au pays paraît plus qu'un simple voyage. Quel impact cette expérience a-t-elle eu sur vous et sur votre musique ? C'est une rupture de vie personnelle. Je ne savais pas quel impact ça allait avoir sur ma musique. Au départ, aller me réinstaller en Côte d'Ivoire, c'était surtout pour suivre mon épouse qui avait des projets là-bas. Elle voulait changer de vie, de cadre parce que juste avant, on était en France. Et puis petit à petit, effectivement, vivre au quotidien dans une réalité africaine qui m'a bercée quand j'étais petit -j'ai grandi à Kinshasa-, ça a petit à petit créé une humeur et un rythme de vie différents, des sonorités, un folklore aussi, qui sont en moi, mais qui n'étaient plus dans ma vie domestique. Et forcément, ça a créé une espèce de détachement qui m'a éloigné de l'environnement anxiogène dans lequel je pouvais évoluer parfois en France. Donc, ça a impacté ma musique par la suite.Vous avez grandi en France, mais la Côte d'Ivoire occupe une place importante dans votre identité. Comment jonglez-vous avec ces héritages ? En fait, j'ai un héritage africain d'une manière générale. C'est-à-dire qu'effectivement, je vis en Côte d'Ivoire, mais il y a aussi mes origines congolaises, et mes origines sénégalaises par ma mère. Et en fait, au début, je ne savais pas trop comment jongler pour dire la vérité, notamment dans mes années françaises. Parce qu'en fait, quand tu es en France, on te demande un peu de renier de là d'où tu viens, ou alors tu n'es pas français. Et pendant longtemps, ça m'a tenu de manière tendue. C'est-à-dire que je me disais : « Dans ce cas-là, je ne suis pas français parce que je ne veux pas renoncer à mes origines ». Et puis finalement, en repartant vivre en Afrique, en découvrant en plus la Côte d'Ivoire encore un peu plus fort et en entretenant toujours mon identité congolaise et ivoirienne, je me suis rendu compte que je pouvais aussi ajouter mon identité française qui était en fait réelle parce que j'ai passé des années et des années dans ce pays. Donc pour moi, les origines et les identités se complètent. Elles ne s'annulent pas, contrairement à ce qu'on a pu essayer de me faire croire ou de nous faire croire pendant des années. C'est un message aussi que je passe aux gens à qui on dit qu'il faut choisir entre certaines origines ou certaines identités. Non, les identités s'enrichissent entre elles. Elles se complètent et elles ne s'annulent, ni ne se soustraient.Et quel rôle pensez-vous que la musique joue aujourd'hui dans la construction de cette identité, à la fois en tant qu'artiste et en tant qu'individu ? Ma musique me sert de marqueur dans ma vie. Parce que souvent, quand je réécoute mes disques, après coup, je vois dans quelle humeur ou dans quelle situation émotionnelle, logistique même presque, je me trouvais à ce moment-là et j'ai la chance d'être musicien. Et comme beaucoup d'artistes, la musique sert d'exutoire, de thérapie et puis surtout de carnet de route. Ça permet aussi aux gens de savoir là où j'en suis. C'est pour ça que quand je croise des gens dans la rue, ils me disent : « Ah voilà, j'ai aimé ce disque qui était en hommage à votre père » (son père, le musicien congolais Tabu Ley Rochereau, ndlr). Ou alors : « J'ai appris que vous avez fait vos études ici », ou alors : « J'ai appris que vous étiez de tel pays », etc. C'est un marqueur dont je me sers. Je ne sais pas comment font les autres gens, mais en tout cas, moi, j'ai cette chance-là par rapport à la musique et notamment au rap qui est un style assez libre pour faire un marqueur de vie.Avec Amour suprême, Youssoupha, vous faites face à de nombreux sujets à la fois personnels et sociétaux, c'est bien ça ? Oui, exactement. Je parle de ce qui m'entoure et ce à quoi je suis sensible. C'est-à-dire qu'effectivement la description d'une certaine réalité politique et sociale africaine peut revenir. La situation sociale en France aussi m'inspire. En Europe. Je suis un rappeur. Et l'engagement du rap est quelque chose qui est toujours prégnant chez moi. Donc du coup, même la géopolitique, les rapports Nord-Sud, les rapports civilisationnels, ce sont des choses qui m'intéressent. J'ai une identité plurielle. Je suis musulman, ma femme est chrétienne. Autour de moi, j'ai des gens qui sont athées. Donc, la question de la religion revient beaucoup parce que moi, je suis quelqu'un de très croyant. Et donc, je m'interroge sur ça. Je remets ça en question et puis d'une manière plus simple, mais non moins complexe, je suis un mari, un papa, un frère. Et en fait, j'évoque aussi beaucoup ma famille et les remises en cause d'homme que je peux avoir et les manières de pouvoir s'améliorer et s'élever socialement et émotionnellement au quotidien.Vous l'avez dit, votre ADN c'est essentiellement le rap. Mais dans votre dernier disque, donc Amour suprême, enregistré entre Dakar, Bruxelles, Abidjan, Montréal et dans le studio futuriste de Brad Pitt à Miraval en France, vous mêlez à la fois des sons très contemporains et des références plus classiques. Pouvez-vous nous en parler ? Oui, j'aime bien le mélange des genres. Moi-même, comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai une identité assez plurielle et j'ai été élevé avec la rumba congolaise. Plus tard dans ma vie, en arrivant en France, je découvre la chanson française dont les textes me touchent particulièrement. Le rap arrive dans ma vie et ça, c'est un choc et ça bouleverse mon expression. J'aime la culture américaine, la soul music. J'ai découvert après l'afrobeat, le coupé-décalé. La musique gospel me touche beaucoup. Je suis très sensible à ça et en fait, j'aime faire un mélange de tout. Non pas qu'il soit indigeste, mais un mélange aligné, bien réparti, bien créé. Ma créativité, elle vient de là aussi. C'est-à-dire entre les textes forts du rap et une certaine forme de légèreté que peut apporter le gospel. Ou alors la musique africaine avec ses couleurs. J'aime le mélange des genres et je ne veux renoncer à rien. Et c'est pour ça que je mélange un peu mes sensibilités et ce qui m'entoure dans ma vie au quotidien.Vous avez souvent parlé justement de votre rapport complexe à la France où vous avez grandi. Est-ce qu'Amour suprême marque un tournant dans cette relation ou est-ce une forme de réconciliation, de confrontation ou autre chose ? C'est une forme de réconciliation. Elle est paradoxale parce que c'est une réconciliation qui existe, qui arrive au moment où justement je ne vis plus en France en permanence. Mais j'y reviens parce que je reste attaché à ce pays et j'y travaille beaucoup avec mes tournées, avec la gestion de mon label ou alors des artistes avec lesquels je peux collaborer. Et en fait, il y a une sorte d'apaisement où je vois que finalement, je n'étais pas obligé d'être en guerre avec la France. Mais en fait, ce sont plutôt des choses institutionnelles qui m'ont révolté et qui continuent à me révolter. Mais il y a une sorte d'apaisement et une sorte de joie, de découverte. On s'aime avec ce pays, on s'aime avec mes compatriotes. Mais en fait, on s'est toujours mal compris. Et parce qu'on ne s'est jamais parlé avec notre cœur, on ne s'est jamais parlé avec notre vécu, on s'est parlé toujours de ce qui nous oppose. Effectivement, il y a des clivages qui m'opposent par rapport à la situation en France, toujours. Et je continuerai toujours à dénoncer ça. Mais il y a des choses aussi qui me rattachent à ce pays et à sa culture.Et actuellement, qu'est-ce qui vous révolte à ce niveau-là ? Qu'est-ce qui vous choque ? Deux choses principalement : la situation politique où j'ai l'impression que, au niveau du gouvernement, au niveau de la présidence et même au niveau des prises de parole des députés et de l'instabilité de l'Assemblée nationale, il y a un décalage total avec la précarité et la vie anxiogène que traversent les Français. C'est vraiment très compliqué. Je viens d'une classe sociale populaire et je sais que la situation est vraiment très très complexe. Et en fait, le décalage de l'opportunisme politique me chagrine et me choque. Par ailleurs, il y a la montée et la libération de la parole d'extrême droite qui est extrêmement décomplexée. L'extrême droite en France, ça a toujours existé. Il existe une partie de la France qui a entretenu une certaine forme de racisme. Mais elle a elle n'a jamais été au pouvoir. En tout cas, il y a eu toujours une force d'opposition contre elle. Là, aujourd'hui, elle a droit de cité et elle est même acceptée. Parfois même, c'est elle qui met au carreau les autres paroles. Et ça, ça me révolte. On peut aussi citer la profusion médiatique qui de la même façon, normalise la parole d'extrême droite, fausse les sujets. C'est-à-dire que par exemple, on passe deux trois semaines à parler d'Aya Nakamura aux Jeux olympiques, du burkini, etc. Alors qu'en réalité, on s'en fout. Pourquoi nous fait-on croire qu'il y a une guerre civilisationnelle alors qu'en fait, le problème des gens, c'est la précarité du travail, le fait que les campagnes et la vie rurale soient exclues des débats réels, que la vie des banlieues est une vie qui est complexe, qui n'est pas intégrée à la communauté nationale, qu'il y a des choses culturelles en France qui sont belles et dont on ne parle pas assez. Pendant ce temps-là, on préfère nous parler de sujets accessoires, mais très excitants pour le buzz, pour les mauvaises raisons. Alors ça peut faire rire deux secondes, mais ça commence à durer, depuis des années, et ça rend la situation complexe. Ça, ça me navre et ça m'affecte par rapport aux Français.Est-ce qu'on peut dire que ce disque est aussi un exorcisme ? Est-ce que cet album représente une catharsis pour vous ? Quand je l'ai fait, ce n'était pas dans ce sens-là, mais effectivement, il m'a permis d'expulser pas mal de choses, de me faire du bien et je l'ai dit en début d'interview, de m'élever, (…) de m'alléger et de me sentir en hauteur, d'avoir une prise de vue des choses un peu plus reculée, un peu plus élevée, etc. Et en fait, ça s'est fait au fil de la conception du disque. Dans sa forme finale, même quand je le réécoute, je me dis : « J'ai pris un recul que je n'ai jamais eu l'occasion de prendre, j'ai pris une hauteur que je n'ai jamais eu l'occasion de prendre » et j'en suis fier et satisfait. Ça me fait du bien, même à moi personnellement.Donc vous avez cherché à libérer ou à guérir à travers ces treize nouveaux titres ? Oui, ça me soigne. Ça participe à me soigner, évoquer des choses qu'on a sur le cœur, de manière personnelle ou de manière publique. Ça m'a servi d'exutoire et j'ai l'impression que cet exutoire est partagé à cause des excellents retours que je reçois sur ce disque et la manière dont il touche les gens. Je pense que c'est parce que je pensais parler de moi et finalement, je parle de tout le monde.Vous parlez de l'amour comme une force centrale sur ce disque, notamment sur la chanson « Dieu est grande ». Ce titre mérite bien une explication…À la base, c'est une chanson que j'ai faite pour ma fille. J'avais fait une chanson pour mon fils auparavant qui s'appelait « Mon Roi ». Et comme j'ai une petite fille qui s'appelle Imany qui a neuf ans, je voulais lui faire une chanson. J'ai réalisé en commençant à l'écrire qu'effectivement, quand j'ai écrit « Mon Roi », c'est l'histoire d'un petit garçon. J'ai été un petit garçon, donc je raconte aussi un peu mon histoire. Être une petite fille, c'est autre chose, c'est d'autres combats. Ce sont des épreuves auxquelles les petits garçons ne feront pas face. Je voulais quelque chose de plus grand que juste un roi. Je ne voulais pas juste me contenter d'une reine. Et cette chanson a pris cette proportion-là, quand je trouve la parole qui finit le texte quand je lui dis : « Imany, ça signifie la foi ». Et je lui ai dit : « Et si on te demande ce que ta voix représente, réponds simplement que ‘Dieu est grande' ». C'est une manière de dire que dans le Grand tout, dans la force créatrice de ce monde, il n'y a pas que les garçons qui existent, les filles aussi font partie de ce Grand tout. C'est une place importante à prendre. Je pensais que ce titre allait être impactant. Et ça l'a été parce qu'il y a eu beaucoup d'hommes qui ont été un peu vexés, ou alors qui ont trouvé ça trop excessif. (…) Je vois bien que ça irrite certains. Et ça me plaît, ça, que ça irrite.« Dieu est grande » ! Comment a-t-il été perçu en France et en Afrique ? Alors pour être honnête, ça a été très bien accueilli comme titre. Au début, quand même, il y a eu de la stupeur. Les gens se disaient « Waouh ! » Le titre est à la fois grandiose, à la fois surprenant et peut-être il peut être blasphématoire. Mais l'écrasante majorité des gens, en écoutant le texte, ont très vite compris. Après, il y a eu des pisse-froid qui avaient tendance à dire que ça leur donnait le vertige. Mais très vite, l'amour et le message qui est dans le titre l'a emporté. Aujourd'hui, c'est un titre dont on me parle absolument partout et ça devient même l'un des titres majeurs de ma discographie. Et je n'attendais pas ça au bout du septième album. Donc, c'est une belle histoire.C'est votre côté féministe ? Moi je ne pense même pas que je suis féministe. Mais peut-être que j'ai un côté femme en moi. En tout cas, je voulais écrire une chanson juste pour ma petite fille. Et le fait que les femmes s'approprient ce titre-là, ça me flatte, mais c'est un titre qui appartient plus à Imany qu'à moi en vérité.Pour terminer, Youssoupha, Amour suprême est un album introspectif, mais il y a aussi un regard sur l'extérieur, sur la société et sur l'humanité. Qu'avez-vous envie de transmettre aux plus jeunes qui écoutent cet album ? Ce qui me vient spontanément, c'est d'arrêter d'être des complexés. Et je pense notamment à la jeunesse africaine parce que je viens de là. En tous cas de ne pas se laisser écraser par les complexes qu'on nous met dans la tête. Les choses qu'on peut accomplir ou ce qu'on est, c'est juste une question de perception et les autres peuvent avoir une perception différente de ce qu'on est ou ce qu'on veut devenir. Et nous, on doit notre ambition à nous-mêmes. Notre force d'identité doit toujours dépasser ça. Et puis l'autre chose, ça s'adresse à tout le monde, aux jeunes, aux moins jeunes, aux gens du monde entier : n'ayez pas peur. Je trouve que c'est un monde qui se construit beaucoup autour de la peur. La peur des gens, la peur des clivages, la peur de ce qu'on va réussir, ce qu'on ne va pas réussir, la peur de mourir, etc. Et en fait non, n'ayez pas peur. Il y a encore de la place pour faire des choses bien. N'ayez pas peur d'être quelqu'un de bien, n'ayez pas peur des gens intelligents ou prétendument intelligents, parce que souvent les gens intelligents aiment vous complexer ou nous complexer en disant : « Oui, mais vous n'avez rien compris ». Si vous avez très très bien compris ce que vous êtes en train de faire. Et là où vous voulez aller. Donc, soyez grand. Si vous ne pouvez pas faire de grandes choses, faites de petites choses avec grandeur, ça va aussi. Et voilà. N'ayez pas peur.Youssoupha Amour suprême (Believe) 2025
Un samedi sur deux à 13h45 avec Arley Sésame.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Ce ne sont pas vos terres", a lancé la sénatrice Lidia Thorpe à l'attention du souverain britannique qui effectue en ce moment sa première visite en Australie en tant que chef de l'État. Elle a évoqué la colonisation européenne et le "génocide" subi par le peuple aborigène, avant d'être évacuée.
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durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Ce ne sont pas vos terres", a lancé la sénatrice Lidia Thorpe à l'attention du souverain britannique qui effectue en ce moment sa première visite en Australie en tant que chef de l'État. Elle a évoqué la colonisation européenne et le "génocide" subi par le peuple aborigène, avant d'être évacuée.
03/05 - Mon roi, mon roi!
Aujourd'hui on regarde Mon Roi, un film de Maiwenn, sorti en 2015.Tu peux t'abonner à ce podcast ici-même.Un podcast magnifique, avec Mymy Haegel et Fab Florent (tous les autres podcasts de Fab) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
RDV dimanche prochain, dimanche 26 février 2023 - à partir de 6h du mat - pour l'épisode numéro 13 du Film Club. On va regarder et commenter ensemble Mon Roi !Abonnez-vous au podcast ! Cherchez "Le Film Club" là où vous écoutez vos podcasts habituellement ou cliquez sur ce lien pour des liens directs ! Vous pouvez aussi venir discuter du Film Club dans le discord de Fab, les gens sont sympas, vous verrez !Le Film Club est un podcast avec Mymy Haegel et Fab Florent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À la table de FibreTigre, MJ historique du jeu de rôle Game of Roles, Mister MV, Lydia, Daz & Lam se retrouvent pour l'ULTIME saison du Tribunal des Dragons !Ils sont accompagnés cette fois à la musique par Viphonix, l'émission est produite par Gozulting et le scénario assuré par FibreTigre.Récapitulatif de la saison réalisé par Foxie Fern et narré par Fredo Les Bonnes Affaires====Ecoutez Game of Roles sur Apple Podcasts: podcasts.apple.com/fr/podcast/game…ic/id1350491357Ecoutez Game of Roles sur n'importe quelle app de podcasts: rss.acast.com/game-of-roles-magicRejoignez-nous :Sur le twitter de Qualiter : twitter.com/dequaliterSur la chaine Twitch de Qualiter: twitch.tv/dequaliter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Mon Seigneur et Mon Roi me conduit est le thème de ce Facebook Live. Venez vous joindre à Nancy. Pour visionner ce RV du Dimanche, rendez-vous sur notre site web. Bonne écoute!
Will God answer your prayer if you don't end with, "In Jesus' name, Amen?" Learn what praying in the name of Jesus really means. I taught this week on the call of Abraham and the development of God's missionary call through the nation of Israel as they were responsible to communicate the truth of God to the cultures around them. They were given that great commission. The great commission didn't start in Matthew 28. It started with Abraham in Genesis 12—the first three verses there—Abraham, chosen by God to raise up a nation who would then be God's priests to the world so that they would be a blessing to all of the nations. They had a unique role in the great monotheistic religion. The Jews were supposed to reflect morality to the world. Israel was to witness to the name of God. When they talked about the name of God and witnessing to God's name, that does not mean that they were to let everybody know what they called God, "Yahweh." Their goal wasn't to cover the countryside with evangelists who just let everybody know what the right word for God was. It meant something different. ☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆https://linktr.ee/jacksonlibon------------------------------------------------------------------------------------------------------#realtalk #face #instagram #SDF #SYNDICAT #DESPUTES #amour #take #couple #dance #dancers #vogue #voguedqnce #garden #tiktok #psychology #beyou #near #love #foryou #money #ForYouPizza #fyp #irobot #theend #pups #TikToker #couplegoals #famille #relation #doudou #youtube #twitter #tiktokers #love #reeĺs #shorts #instagood #follow #like #ouy #oyu #babyshark #lilnasx #girl #happybirthday #movie #nbayoungboy #deviance #autotrader #trading #khan #academy #carter #carguru #ancestry #accords #abc #news #bts #cbs #huru #bluebook #socialmedia #whatsapp #music #google #photography #memes #marketing #india #followforfollowback #likeforlikes #a #insta #fashion #k #trending #digitalmarketing #covid #o #snapchat #socialmediamarketing
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Geçtiğimiz hafta neler izledik, neler okuduk? Önce 2021'in çok konuşulan filmlerinden Bergman Adası'na ve 2017 yapımı Aman Doktor'a bir bakış atıyoruz. Dostoyevski'nin Öteki kitabı üzerinden şeytani ikiz fikrinden ve edebiyattaki izlerinden, Julian Barnes'ın Manş'ı aşan öykülerinden söz ediyoruz. Bu hafta vizyona ve dijital platformlara gelen Audrey Diwan imzalı Annie Ernaux uyarlaması Kürtaj'a, Paul Verhoeven'ın yenisi Benedetta'ya, 2016 yapımı Mon Roi filmi ile 2020 filmlerinden My Salinger Year'a değinip edebiyat dünyasından haberlere geçiyoruz. Yeni yayımlanan Isabel Allende, Thomas Mann, Kenzaburo Oe ve John Berger kitapları ile Orwell'in çizgiroman formatındaki biyografisi ve yeni duyurulan Bulgakov biyografisi konuştuklarımız arasında.
durée : 00:04:50 - La chronique de Clara Dupont-Monod - par : Clara Dupont-Monod - Il ne s'agit non pas du conte de Charles Perrault mais du roman de Laurence Debray qui raconte l'histoire du roi d'Espagne.
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Bienvenue sur Cherry on Top, le podcast signé Cherry Publishing, la maison d'édition spécialisée dans la romance qui vous ressemble !
Cette semaine, Alex et Jacob font la critique de l'album You're Welcome de la formation A Day To Remember!Découverte de la semaine :Youssoupha avec la chanson Mon Roi!Lien vers toutes nos plateformes d'écoute et nos réseaux sociaux :https://linktr.ee/DBMOPodcastBonne écoute!
Chaque samedi, dans CLAP !, Matthieu Charrier donne la parole aux critiques, qui commentent les sorties de la semaine. Aujourd'hui, Stéphanie Belpêche et Thierry Chèze débattent des films "Un prince a New York 2", "Jojo Rabbit", "Call me by your name" et "De mon roi".
20/12/20 22:12 Re-Bonsoir à tous ! Et voici le deuxième Podcast de ma nouvelle Collection "RELIGIOUS". PETH, j'espère que tu aimeras. Je fais dans le simple et le court. J'ai passé ma journée à entendre "Tu fais ta demeure en nous Seigneur" (Chant de l'Emmanuel), Je l'ai entendu toute la nuit passée. Je l'ai entendue toute la journée et je l'ai entendu pendant ma sieste. La voix qui me chante cette chanson est extrêmement douce. Il y a quelqu'un qui me chante cette chanson même quand je dors. C'est d'une douceur. Dans le podcast de moins de trois minutes que je diffuse là, je vous parle de ma Foi et du regard que j'ai sur la foi des autres, du plus jeune au plus âgé. Je t'aime PETH... Mon Roi. AstridP 20/12/20 22h16
durée : 00:33:01 - Boomerang - Depuis « Pardonnez-moi » jusqu’à « Mon Roi » en passant par « Polisse », elle continue de bâtir une œuvre personnelle, puissante et passionnée. "ADN", son nouveau film, devait être présenté à Cannes et sort… aujourd’hui ! Maïwenn est l'invitée d'Augustin Trapenard.
Sentir enfin ta longueur pénétrer mes entrailles. Et ton souffle court buter contre mon cou. Te glisser à l'oreille "tu mérites une médaille". Et gémir de plaisir sous tes coups de reins, devenus fous.
Cinq ans après "Mon Roi", avec Vincent Cassel, l'actrice et réalisatrice Maïwenn sort son cinquième film le 28 octobre prochain "ADN" dans lequel elle joue également le rôle principal. La réalisatrice de l'excellent "Polisse" y incarne une femme qui, suite au décès de son grand-père, décide de se plonger dans les origines de sa famille. Fanny Ardant, Louis Garrel, Dylan Robert, Alain Françon ou encore Marine Vacth complètent le casting d'un film aux faux airs d'introspection personnelle. Le sujet de la famille avait déjà été abordé dans "Pardonnez-moi", son premier long métrage. A 44 ans, elle poursuit une carrière tout en sincérité, avec des films forts qui ne laissent jamais indifférents. Bonne écoute. Réalisation: Maëliss Hennetier
Cinq ans après "Mon Roi", avec Vincent Cassel, l’actrice et réalisatrice Maïwenn sort son cinquième film le 28 octobre prochain "ADN" dans lequel elle joue également le rôle principal. La réalisatrice de l’excellent "Polisse" y incarne une femme qui, suite au décès de son grand-père, décide de se plonger dans les origines de sa famille. Fanny Ardant, Louis Garrel, Dylan Robert, Alain Françon ou encore Marine Vacth complètent le casting d’un film aux faux airs d’introspection personnelle. Le sujet de la famille avait déjà été abordé dans "Pardonnez-moi", son premier long métrage. A 44 ans, elle poursuit une carrière tout en sincérité, avec des films forts qui ne laissent jamais indifférents. Bonne écoute. Réalisation: Maëliss Hennetier
This week, we're going covert with a review of American Made! Thomas pays his dues with a review of the entire Before Sunrise franchise, Sean takes us on a journey full of 2017 releases, and Steve finally finishes La La Land. Stick around towards the end as we go over some of Hollywood's worst miscasts in history! 8:00 Before Sunrise franchise mini-review 32:00 La La Land mini-review 42:00 Mon Roi/47 Meters Down/Book of Henry mini-reviews 1:07:30 American Made review 1:34:00 Worst Hollywood miscasts
Hollister & O'Toole ring in Bastille Day with a look at the French film Mon Roi (My King) - an intense tale of an amour fou, nominated for 8 César Awards. Starring Vincent Cassel (Black Swan) and Emmanuelle Bercot - who not only took home a very well deserved Best Actress Award at the 2015 Cannes Film Festival for this film (tying with Rooney Mara for Carol) - but who also wrote & directed the festival's opening night film, Standing Tall. Mon Roi is the fourth feature film written & directed by Maïwenn (whose prior film Polisse - co-written by Emmanuelle Bercot - won the Jury Prize at the 2011 Cannes Film Festival). Vive la France!
The Guardian film team's round-up of Friday's movie news
Kase and Van look at Alice Through The Looking Glass, hostage thriller Money Monster, animated prequel Top Cat Begins, heist dramedy The Trust, French drama Mon Roi, and Austen adaptation Love & Friendship. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
這是一部愛情片,準確的說,是感情生活的電影,描述一對男女在一段長時間,他們悲歡離合的感情故事。一場滑雪意外事故,她的十字韌帶嚴重損傷,一方面接受治療復健,另一方面回想日子以來的感情記憶。(原文) 朗讀散文、觀後感,歡迎上網搜尋'雨木觀後感'。 --- Send in a voice message: https://anchor.fm/yumu-review/message
★★★★ • Réalisé par Maïwenn, Avec Emmanuelle Bercot, Vincent Cassel et Louis Garrel • Tony est admise dans un centre de rééducation après une grave chute de ski. Dépendante du personnel médical et des antidouleurs, elle prend le temps de se remémorer l¹histoire tumultueuse qu¹elle a vécue avec Georgio. Pourquoi se sont-ils aimés ? Qui est réellement l¹homme qu¹elle a adoré? Comment a-t-elle pu se soumettre à cette passion étouffante et destructrice ? Pour Tony c¹est une difficile reconstruction qui commence désormais, un travail corporel qui lui permettra peut-être de définitivement se libérer...
Halvvägs genom festivalen har Saman drabbats av geléhjärna och blivit dagvill, Emma berättar om när Luc Bessons ex, regissören Maïwenn, slog bort Emmas kamera när hon skulle ta en bild och förutom det slåss hon om Guldpalmen med filmen Mon Roi. Och så koras de bästa tävlingsfilmerna hittills.
Oui, Mon Roi, Tu es le plus beau, repondit le miroir !