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Lenglet-Co
L'ANGLE ECO - Rolex fête ses 120 ans

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later May 16, 2025 3:03


Suprématie absolue de la marque qui n'est pas suisse à l'origine. On en vend moins qu'avant, mais elles coûtent beaucoup plus cher... Ecoutez L'angle éco de Martial You du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
L'ANGLE ECO - Rolex fête ses 120 ans

RTL Matin

Play Episode Listen Later May 16, 2025 3:03


Suprématie absolue de la marque qui n'est pas suisse à l'origine. On en vend moins qu'avant, mais elles coûtent beaucoup plus cher... Ecoutez L'angle éco de Martial You du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ronde Podcast
Final de la Transgalaica - ciclismo autonómico - Lieja

Ronde Podcast

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 104:07


🔋 Pensábamos que no salíamos esta semana, pero finalmente nos ha vuelto la luz, así que os contamos nuestra experiencia durante el apagón 💡. Sabemos que no te interesa, pero lo hacemos igual. 🔌 [11' 23''] 🏆🚵‍♀ Final de la Transgalaica: 😔 Se acabó, otra Transgalaica llega a su fin y ya estamos contando los días para la próxima temporada. ¿Ha habido quinta de Diegoo de Tamara?, ¿Ha ganado Pablo Rodríguez? ¿Quienes han ganado finalmente todas las categorías? ¿Habrán hecho bien las clasificaciones? 🙃 Respondemos a estas preguntas y más con todo lujo de detalles. [39' 53''] 🚴🐄 Ciclismo "de aquí": Competición autonómica y de los gallegos. XCO Samieira, Copa do Porvir en Boiro, Copa de España Elite-SUB23, Descenso Pozo do Demo... [59' 03''] 🚴🌍 Ciclismo internacional: Lieja, Tour de los Alpes, Tour de Bretagne, Tavfer... [1h 20' 24''] 🗞 Noticias: Nuevo equipo MMR Gravel, Valverde... [1h 30' 44''] 📆 Calendario: Empieza la Volta a Galicia MTB y en nada tenemos el Supr fin de semana de Pontevedra y la Copa Deputación de Ourense de resistencia.

Le van Beethoven
Henryk Szeryng, violoniste d'une élégance et d'une précision suprêmes

Le van Beethoven

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 88:56


durée : 01:28:56 - Henryk Szeryng, violoniste d'une élégance et d'une précision suprêmes - par : Aurélie Moreau - Violoniste d'origine polonaise naturalisé mexicain, Henryk Szeryng est l'un des grands interprètes du XXe siècle. Élève de Flesch et de Thibaud, encouragé par Arthur Rubinstein, il a marqué l'histoire du violon par son style et son raffinement.

L'éclairage éco - Nicolas Barré
Droits de douanes : le début de la fin de la suprématie du dollar ?

L'éclairage éco - Nicolas Barré

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 3:03


Olivier Babeau analyse l'impact de la guerre commerciale menée par Donald Trump sur le statut du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. Il explique comment le privilège exorbitant du dollar permet aux États-Unis de s'endetter à moindre coût et d'imposer des sanctions financières, mais comment cette situation pourrait s'inverser à terme avec la lente dédollarisation de l'économie mondiale. Une réflexion passionnante sur les enjeux géopolitiques liés à la domination du dollar.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Ligue 1 : Derby Lille-Lens ce soir, avec pour enjeu la suprématie régionale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Mar 30, 2025 1:25


Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Ligue 1 : Derby Lille-Lens ce soir, avec pour enjeu la suprématie régionale

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Mar 30, 2025 1:25


Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Brief
Ligue 1 : Derby Lille-Lens ce soir, avec pour enjeu la suprématie régionale

Le Brief

Play Episode Listen Later Mar 30, 2025 1:25


Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] Gabon : le général brigue la magistrature suprême

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 20:00


Au Gabon, après des mois de faux suspense, sa candidature est désormais officielle. Brice Clotaire Oligui Nguema, le tombeur d'Ali Bongo, se lance dans la course à la présidentielle du 12 avril. Face à lui, déjà une vingtaine de candidats déclarés. Quelles sont ses chances de remporter le scrutin ? Nous lançons le débat.

Le sept neuf
Karine Le Marchand : "Les consommateurs sont l'arme suprême" pour aider les agriculteurs

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 9:28


durée : 00:09:28 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'animatrice télé Karine Le Marchand et le directeur général du groupe Casino Philippe Palazzi étaient sur France Inter ce jeudi pour évoquer l'aide à apporter aux agriculteurs. L'animatrice a également indiqué qu'elle ne ferait plus obstacle à l'arrivée de Cyril Hanouna dans le groupe M6.

Les interviews d'Inter
Karine Le Marchand : "Les consommateurs sont l'arme suprême" pour aider les agriculteurs

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 9:28


durée : 00:09:28 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'animatrice télé Karine Le Marchand et le directeur général du groupe Casino Philippe Palazzi étaient sur France Inter ce jeudi pour évoquer l'aide à apporter aux agriculteurs. L'animatrice a également indiqué qu'elle ne ferait plus obstacle à l'arrivée de Cyril Hanouna dans le groupe M6.

Outrage Overload
BONUS - The Imperial Presidency? Executive Overreach and the Constitution

Outrage Overload

Play Episode Listen Later Feb 26, 2025 59:03


Is the U.S. presidency becoming too powerful?Imagine a president ignoring court rulings, dismantling government agencies, and bypassing oversight. It's not just a hypothetical—it's happening now. In this episode, we explore the rise of executive overreach and its implications for democracy.

Invité Culture
Le rappeur Youssoupha opère un retour en lumière avec «Amour Suprême»

Invité Culture

Play Episode Listen Later Feb 13, 2025 6:16


Il est considéré comme l'un des paroliers les plus brillants du rap français. À 45 ans, Youssoupha revient avec Amour Suprême, son septième album. En 13 titres, il adresse quelques recommandations bienveillantes aux jeunes générations sans renier pour autant les combats qui l'ont forgé.  RFI : Votre septième album, Amour suprême, vient de sortir. Que symbolise ce titre ? Youssoupha : Ce titre-là est empreint de spiritualité, d'amour, forcément. Envie d'ouverture, envie de partage. Une certaine forme d'élévation. En tout cas, tout ce qui est émotionnellement fort, émotionnellement engageant, une certaine forme de liberté aussi. Et j'ai trouvé cette tournure-là, parce qu'en fait, c'est spirituel. C'est quelque chose qui va sur mon rap, mais au-delà encore.Et justement, comment cela se traduit-il dans la musique ?C'est une certaine facilité à parler de soi, à aborder des thèmes personnels, mais qui touchent le plus grand nombre, en partant vraiment de son parcours à soi. De la remise en cause aussi, l'envie de bien faire, l'envie de faire mieux. D'ailleurs, il y a une chanson qui s'appelle « Faire mieux ». Et une certaine foi aussi. Important de parler de la foi : ce en quoi on croit, les ambitions, les désillusions, les espoirs aussi. C'est ça aussi l'amour suprême.La Côte d'Ivoire semble être un point central dans votre parcours récent, après des années d'absence. Votre retour au pays paraît plus qu'un simple voyage. Quel impact cette expérience a-t-elle eu sur vous et sur votre musique ? C'est une rupture de vie personnelle. Je ne savais pas quel impact ça allait avoir sur ma musique. Au départ, aller me réinstaller en Côte d'Ivoire, c'était surtout pour suivre mon épouse qui avait des projets là-bas. Elle voulait changer de vie, de cadre parce que juste avant, on était en France. Et puis petit à petit, effectivement, vivre au quotidien dans une réalité africaine qui m'a bercée quand j'étais petit -j'ai grandi à Kinshasa-, ça a petit à petit créé une humeur et un rythme de vie différents, des sonorités, un folklore aussi, qui sont en moi, mais qui n'étaient plus dans ma vie domestique. Et forcément, ça a créé une espèce de détachement qui m'a éloigné de l'environnement anxiogène dans lequel je pouvais évoluer parfois en France. Donc, ça a impacté ma musique par la suite.Vous avez grandi en France, mais la Côte d'Ivoire occupe une place importante dans votre identité. Comment jonglez-vous avec ces héritages ? En fait, j'ai un héritage africain d'une manière générale. C'est-à-dire qu'effectivement, je vis en Côte d'Ivoire, mais il y a aussi mes origines congolaises, et mes origines sénégalaises par ma mère. Et en fait, au début, je ne savais pas trop comment jongler pour dire la vérité, notamment dans mes années françaises. Parce qu'en fait, quand tu es en France, on te demande un peu de renier de là d'où tu viens, ou alors tu n'es pas français. Et pendant longtemps, ça m'a tenu de manière tendue. C'est-à-dire que je me disais : « Dans ce cas-là, je ne suis pas français parce que je ne veux pas renoncer à mes origines ». Et puis finalement, en repartant vivre en Afrique, en découvrant en plus la Côte d'Ivoire encore un peu plus fort et en entretenant toujours mon identité congolaise et ivoirienne, je me suis rendu compte que je pouvais aussi ajouter mon identité française qui était en fait réelle parce que j'ai passé des années et des années dans ce pays. Donc pour moi, les origines et les identités se complètent. Elles ne s'annulent pas, contrairement à ce qu'on a pu essayer de me faire croire ou de nous faire croire pendant des années. C'est un message aussi que je passe aux gens à qui on dit qu'il faut choisir entre certaines origines ou certaines identités. Non, les identités s'enrichissent entre elles. Elles se complètent et elles ne s'annulent, ni ne se soustraient.Et quel rôle pensez-vous que la musique joue aujourd'hui dans la construction de cette identité, à la fois en tant qu'artiste et en tant qu'individu ? Ma musique me sert de marqueur dans ma vie. Parce que souvent, quand je réécoute mes disques, après coup, je vois dans quelle humeur ou dans quelle situation émotionnelle, logistique même presque, je me trouvais à ce moment-là et j'ai la chance d'être musicien. Et comme beaucoup d'artistes, la musique sert d'exutoire, de thérapie et puis surtout de carnet de route. Ça permet aussi aux gens de savoir là où j'en suis. C'est pour ça que quand je croise des gens dans la rue, ils me disent : « Ah voilà, j'ai aimé ce disque qui était en hommage à votre père » (son père, le musicien congolais Tabu Ley Rochereau, ndlr). Ou alors : « J'ai appris que vous avez fait vos études ici », ou alors : « J'ai appris que vous étiez de tel pays », etc. C'est un marqueur dont je me sers. Je ne sais pas comment font les autres gens, mais en tout cas, moi, j'ai cette chance-là par rapport à la musique et notamment au rap qui est un style assez libre pour faire un marqueur de vie.Avec Amour suprême, Youssoupha, vous faites face à de nombreux sujets à la fois personnels et sociétaux, c'est bien ça ? Oui, exactement. Je parle de ce qui m'entoure et ce à quoi je suis sensible. C'est-à-dire qu'effectivement la description d'une certaine réalité politique et sociale africaine peut revenir. La situation sociale en France aussi m'inspire. En Europe. Je suis un rappeur. Et l'engagement du rap est quelque chose qui est toujours prégnant chez moi. Donc du coup, même la géopolitique, les rapports Nord-Sud, les rapports civilisationnels, ce sont des choses qui m'intéressent. J'ai une identité plurielle. Je suis musulman, ma femme est chrétienne. Autour de moi, j'ai des gens qui sont athées. Donc, la question de la religion revient beaucoup parce que moi, je suis quelqu'un de très croyant. Et donc, je m'interroge sur ça. Je remets ça en question et puis d'une manière plus simple, mais non moins complexe, je suis un mari, un papa, un frère. Et en fait, j'évoque aussi beaucoup ma famille et les remises en cause d'homme que je peux avoir et les manières de pouvoir s'améliorer et s'élever socialement et émotionnellement au quotidien.Vous l'avez dit, votre ADN c'est essentiellement le rap. Mais dans votre dernier disque, donc Amour suprême, enregistré entre Dakar, Bruxelles, Abidjan, Montréal et dans le studio futuriste de Brad Pitt à Miraval en France, vous mêlez à la fois des sons très contemporains et des références plus classiques. Pouvez-vous nous en parler ? Oui, j'aime bien le mélange des genres. Moi-même, comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai une identité assez plurielle et j'ai été élevé avec la rumba congolaise. Plus tard dans ma vie, en arrivant en France, je découvre la chanson française dont les textes me touchent particulièrement. Le rap arrive dans ma vie et ça, c'est un choc et ça bouleverse mon expression. J'aime la culture américaine, la soul music. J'ai découvert après l'afrobeat, le coupé-décalé. La musique gospel me touche beaucoup. Je suis très sensible à ça et en fait, j'aime faire un mélange de tout. Non pas qu'il soit indigeste, mais un mélange aligné, bien réparti, bien créé. Ma créativité, elle vient de là aussi. C'est-à-dire entre les textes forts du rap et une certaine forme de légèreté que peut apporter le gospel. Ou alors la musique africaine avec ses couleurs. J'aime le mélange des genres et je ne veux renoncer à rien. Et c'est pour ça que je mélange un peu mes sensibilités et ce qui m'entoure dans ma vie au quotidien.Vous avez souvent parlé justement de votre rapport complexe à la France où vous avez grandi. Est-ce qu'Amour suprême marque un tournant dans cette relation ou est-ce une forme de réconciliation, de confrontation ou autre chose ? C'est une forme de réconciliation. Elle est paradoxale parce que c'est une réconciliation qui existe, qui arrive au moment où justement je ne vis plus en France en permanence. Mais j'y reviens parce que je reste attaché à ce pays et j'y travaille beaucoup avec mes tournées, avec la gestion de mon label ou alors des artistes avec lesquels je peux collaborer. Et en fait, il y a une sorte d'apaisement où je vois que finalement, je n'étais pas obligé d'être en guerre avec la France. Mais en fait, ce sont plutôt des choses institutionnelles qui m'ont révolté et qui continuent à me révolter. Mais il y a une sorte d'apaisement et une sorte de joie, de découverte. On s'aime avec ce pays, on s'aime avec mes compatriotes. Mais en fait, on s'est toujours mal compris. Et parce qu'on ne s'est jamais parlé avec notre cœur, on ne s'est jamais parlé avec notre vécu, on s'est parlé toujours de ce qui nous oppose. Effectivement, il y a des clivages qui m'opposent par rapport à la situation en France, toujours. Et je continuerai toujours à dénoncer ça. Mais il y a des choses aussi qui me rattachent à ce pays et à sa culture.Et actuellement, qu'est-ce qui vous révolte à ce niveau-là ? Qu'est-ce qui vous choque ? Deux choses principalement : la situation politique où j'ai l'impression que, au niveau du gouvernement, au niveau de la présidence et même au niveau des prises de parole des députés et de l'instabilité de l'Assemblée nationale, il y a un décalage total avec la précarité et la vie anxiogène que traversent les Français. C'est vraiment très compliqué. Je viens d'une classe sociale populaire et je sais que la situation est vraiment très très complexe. Et en fait, le décalage de l'opportunisme politique me chagrine et me choque. Par ailleurs, il y a la montée et la libération de la parole d'extrême droite qui est extrêmement décomplexée. L'extrême droite en France, ça a toujours existé. Il existe une partie de la France qui a entretenu une certaine forme de racisme. Mais elle a elle n'a jamais été au pouvoir. En tout cas, il y a eu toujours une force d'opposition contre elle. Là, aujourd'hui, elle a droit de cité et elle est même acceptée. Parfois même, c'est elle qui met au carreau les autres paroles. Et ça, ça me révolte. On peut aussi citer la profusion médiatique qui de la même façon, normalise la parole d'extrême droite, fausse les sujets. C'est-à-dire que par exemple, on passe deux trois semaines à parler d'Aya Nakamura aux Jeux olympiques, du burkini, etc. Alors qu'en réalité, on s'en fout. Pourquoi nous fait-on croire qu'il y a une guerre civilisationnelle alors qu'en fait, le problème des gens, c'est la précarité du travail, le fait que les campagnes et la vie rurale soient exclues des débats réels, que la vie des banlieues est une vie qui est complexe, qui n'est pas intégrée à la communauté nationale, qu'il y a des choses culturelles en France qui sont belles et dont on ne parle pas assez. Pendant ce temps-là, on préfère nous parler de sujets accessoires, mais très excitants pour le buzz, pour les mauvaises raisons. Alors ça peut faire rire deux secondes, mais ça commence à durer, depuis des années, et ça rend la situation complexe. Ça, ça me navre et ça m'affecte par rapport aux Français.Est-ce qu'on peut dire que ce disque est aussi un exorcisme ? Est-ce que cet album représente une catharsis pour vous ? Quand je l'ai fait, ce n'était pas dans ce sens-là, mais effectivement, il m'a permis d'expulser pas mal de choses, de me faire du bien et je l'ai dit en début d'interview, de m'élever, (…) de m'alléger et de me sentir en hauteur, d'avoir une prise de vue des choses un peu plus reculée, un peu plus élevée, etc. Et en fait, ça s'est fait au fil de la conception du disque. Dans sa forme finale, même quand je le réécoute, je me dis : « J'ai pris un recul que je n'ai jamais eu l'occasion de prendre, j'ai pris une hauteur que je n'ai jamais eu l'occasion de prendre » et j'en suis fier et satisfait. Ça me fait du bien, même à moi personnellement.Donc vous avez cherché à libérer ou à guérir à travers ces treize nouveaux titres ? Oui, ça me soigne. Ça participe à me soigner, évoquer des choses qu'on a sur le cœur, de manière personnelle ou de manière publique. Ça m'a servi d'exutoire et j'ai l'impression que cet exutoire est partagé à cause des excellents retours que je reçois sur ce disque et la manière dont il touche les gens. Je pense que c'est parce que je pensais parler de moi et finalement, je parle de tout le monde.Vous parlez de l'amour comme une force centrale sur ce disque, notamment sur la chanson « Dieu est grande ». Ce titre mérite bien une explication…À la base, c'est une chanson que j'ai faite pour ma fille. J'avais fait une chanson pour mon fils auparavant qui s'appelait « Mon Roi ». Et comme j'ai une petite fille qui s'appelle Imany qui a neuf ans, je voulais lui faire une chanson. J'ai réalisé en commençant à l'écrire qu'effectivement, quand j'ai écrit « Mon Roi », c'est l'histoire d'un petit garçon. J'ai été un petit garçon, donc je raconte aussi un peu mon histoire. Être une petite fille, c'est autre chose, c'est d'autres combats. Ce sont des épreuves auxquelles les petits garçons ne feront pas face. Je voulais quelque chose de plus grand que juste un roi. Je ne voulais pas juste me contenter d'une reine. Et cette chanson a pris cette proportion-là, quand je trouve la parole qui finit le texte quand je lui dis : « Imany, ça signifie la foi ». Et je lui ai dit : « Et si on te demande ce que ta voix représente, réponds simplement que ‘Dieu est grande' ». C'est une manière de dire que dans le Grand tout, dans la force créatrice de ce monde, il n'y a pas que les garçons qui existent, les filles aussi font partie de ce Grand tout. C'est une place importante à prendre. Je pensais que ce titre allait être impactant. Et ça l'a été parce qu'il y a eu beaucoup d'hommes qui ont été un peu vexés, ou alors qui ont trouvé ça trop excessif. (…)  Je vois bien que ça irrite certains. Et ça me plaît, ça, que ça irrite.« Dieu est grande » ! Comment a-t-il été perçu en France et en Afrique ? Alors pour être honnête, ça a été très bien accueilli comme titre. Au début, quand même, il y a eu de la stupeur. Les gens se disaient « Waouh ! » Le titre est à la fois grandiose, à la fois surprenant et peut-être il peut être blasphématoire. Mais l'écrasante majorité des gens, en écoutant le texte, ont très vite compris. Après, il y a eu des pisse-froid qui avaient tendance à dire que ça leur donnait le vertige. Mais très vite, l'amour et le message qui est dans le titre l'a emporté. Aujourd'hui, c'est un titre dont on me parle absolument partout et ça devient même l'un des titres majeurs de ma discographie. Et je n'attendais pas ça au bout du septième album. Donc, c'est une belle histoire.C'est votre côté féministe ? Moi je ne pense même pas que je suis féministe. Mais peut-être que j'ai un côté femme en moi. En tout cas, je voulais écrire une chanson juste pour ma petite fille. Et le fait que les femmes s'approprient ce titre-là, ça me flatte, mais c'est un titre qui appartient plus à Imany qu'à moi en vérité.Pour terminer, Youssoupha, Amour suprême est un album introspectif, mais il y a aussi un regard sur l'extérieur, sur la société et sur l'humanité. Qu'avez-vous envie de transmettre aux plus jeunes qui écoutent cet album ? Ce qui me vient spontanément, c'est d'arrêter d'être des complexés. Et je pense notamment à la jeunesse africaine parce que je viens de là. En tous cas de ne pas se laisser écraser par les complexes qu'on nous met dans la tête. Les choses qu'on peut accomplir ou ce qu'on est, c'est juste une question de perception et les autres peuvent avoir une perception différente de ce qu'on est ou ce qu'on veut devenir. Et nous, on doit notre ambition à nous-mêmes. Notre force d'identité doit toujours dépasser ça. Et puis l'autre chose, ça s'adresse à tout le monde, aux jeunes, aux moins jeunes, aux gens du monde entier : n'ayez pas peur. Je trouve que c'est un monde qui se construit beaucoup autour de la peur. La peur des gens, la peur des clivages, la peur de ce qu'on va réussir, ce qu'on ne va pas réussir, la peur de mourir, etc. Et en fait non, n'ayez pas peur. Il y a encore de la place pour faire des choses bien. N'ayez pas peur d'être quelqu'un de bien, n'ayez pas peur des gens intelligents ou prétendument intelligents, parce que souvent les gens intelligents aiment vous complexer ou nous complexer en disant : « Oui, mais vous n'avez rien compris ». Si vous avez très très bien compris ce que vous êtes en train de faire. Et là où vous voulez aller. Donc, soyez grand. Si vous ne pouvez pas faire de grandes choses, faites de petites choses avec grandeur, ça va aussi. Et voilà. N'ayez pas peur.Youssoupha Amour suprême (Believe) 2025

Invité culture
Le rappeur Youssoupha opère un retour en lumière avec «Amour Suprême»

Invité culture

Play Episode Listen Later Feb 13, 2025 6:16


Il est considéré comme l'un des paroliers les plus brillants du rap français. À 45 ans, Youssoupha revient avec Amour Suprême, son septième album. En 13 titres, il adresse quelques recommandations bienveillantes aux jeunes générations sans renier pour autant les combats qui l'ont forgé.  RFI : Votre septième album, Amour suprême, vient de sortir. Que symbolise ce titre ? Youssoupha : Ce titre-là est empreint de spiritualité, d'amour, forcément. Envie d'ouverture, envie de partage. Une certaine forme d'élévation. En tout cas, tout ce qui est émotionnellement fort, émotionnellement engageant, une certaine forme de liberté aussi. Et j'ai trouvé cette tournure-là, parce qu'en fait, c'est spirituel. C'est quelque chose qui va sur mon rap, mais au-delà encore.Et justement, comment cela se traduit-il dans la musique ?C'est une certaine facilité à parler de soi, à aborder des thèmes personnels, mais qui touchent le plus grand nombre, en partant vraiment de son parcours à soi. De la remise en cause aussi, l'envie de bien faire, l'envie de faire mieux. D'ailleurs, il y a une chanson qui s'appelle « Faire mieux ». Et une certaine foi aussi. Important de parler de la foi : ce en quoi on croit, les ambitions, les désillusions, les espoirs aussi. C'est ça aussi l'amour suprême.La Côte d'Ivoire semble être un point central dans votre parcours récent, après des années d'absence. Votre retour au pays paraît plus qu'un simple voyage. Quel impact cette expérience a-t-elle eu sur vous et sur votre musique ? C'est une rupture de vie personnelle. Je ne savais pas quel impact ça allait avoir sur ma musique. Au départ, aller me réinstaller en Côte d'Ivoire, c'était surtout pour suivre mon épouse qui avait des projets là-bas. Elle voulait changer de vie, de cadre parce que juste avant, on était en France. Et puis petit à petit, effectivement, vivre au quotidien dans une réalité africaine qui m'a bercée quand j'étais petit -j'ai grandi à Kinshasa-, ça a petit à petit créé une humeur et un rythme de vie différents, des sonorités, un folklore aussi, qui sont en moi, mais qui n'étaient plus dans ma vie domestique. Et forcément, ça a créé une espèce de détachement qui m'a éloigné de l'environnement anxiogène dans lequel je pouvais évoluer parfois en France. Donc, ça a impacté ma musique par la suite.Vous avez grandi en France, mais la Côte d'Ivoire occupe une place importante dans votre identité. Comment jonglez-vous avec ces héritages ? En fait, j'ai un héritage africain d'une manière générale. C'est-à-dire qu'effectivement, je vis en Côte d'Ivoire, mais il y a aussi mes origines congolaises, et mes origines sénégalaises par ma mère. Et en fait, au début, je ne savais pas trop comment jongler pour dire la vérité, notamment dans mes années françaises. Parce qu'en fait, quand tu es en France, on te demande un peu de renier de là d'où tu viens, ou alors tu n'es pas français. Et pendant longtemps, ça m'a tenu de manière tendue. C'est-à-dire que je me disais : « Dans ce cas-là, je ne suis pas français parce que je ne veux pas renoncer à mes origines ». Et puis finalement, en repartant vivre en Afrique, en découvrant en plus la Côte d'Ivoire encore un peu plus fort et en entretenant toujours mon identité congolaise et ivoirienne, je me suis rendu compte que je pouvais aussi ajouter mon identité française qui était en fait réelle parce que j'ai passé des années et des années dans ce pays. Donc pour moi, les origines et les identités se complètent. Elles ne s'annulent pas, contrairement à ce qu'on a pu essayer de me faire croire ou de nous faire croire pendant des années. C'est un message aussi que je passe aux gens à qui on dit qu'il faut choisir entre certaines origines ou certaines identités. Non, les identités s'enrichissent entre elles. Elles se complètent et elles ne s'annulent, ni ne se soustraient.Et quel rôle pensez-vous que la musique joue aujourd'hui dans la construction de cette identité, à la fois en tant qu'artiste et en tant qu'individu ? Ma musique me sert de marqueur dans ma vie. Parce que souvent, quand je réécoute mes disques, après coup, je vois dans quelle humeur ou dans quelle situation émotionnelle, logistique même presque, je me trouvais à ce moment-là et j'ai la chance d'être musicien. Et comme beaucoup d'artistes, la musique sert d'exutoire, de thérapie et puis surtout de carnet de route. Ça permet aussi aux gens de savoir là où j'en suis. C'est pour ça que quand je croise des gens dans la rue, ils me disent : « Ah voilà, j'ai aimé ce disque qui était en hommage à votre père » (son père, le musicien congolais Tabu Ley Rochereau, ndlr). Ou alors : « J'ai appris que vous avez fait vos études ici », ou alors : « J'ai appris que vous étiez de tel pays », etc. C'est un marqueur dont je me sers. Je ne sais pas comment font les autres gens, mais en tout cas, moi, j'ai cette chance-là par rapport à la musique et notamment au rap qui est un style assez libre pour faire un marqueur de vie.Avec Amour suprême, Youssoupha, vous faites face à de nombreux sujets à la fois personnels et sociétaux, c'est bien ça ? Oui, exactement. Je parle de ce qui m'entoure et ce à quoi je suis sensible. C'est-à-dire qu'effectivement la description d'une certaine réalité politique et sociale africaine peut revenir. La situation sociale en France aussi m'inspire. En Europe. Je suis un rappeur. Et l'engagement du rap est quelque chose qui est toujours prégnant chez moi. Donc du coup, même la géopolitique, les rapports Nord-Sud, les rapports civilisationnels, ce sont des choses qui m'intéressent. J'ai une identité plurielle. Je suis musulman, ma femme est chrétienne. Autour de moi, j'ai des gens qui sont athées. Donc, la question de la religion revient beaucoup parce que moi, je suis quelqu'un de très croyant. Et donc, je m'interroge sur ça. Je remets ça en question et puis d'une manière plus simple, mais non moins complexe, je suis un mari, un papa, un frère. Et en fait, j'évoque aussi beaucoup ma famille et les remises en cause d'homme que je peux avoir et les manières de pouvoir s'améliorer et s'élever socialement et émotionnellement au quotidien.Vous l'avez dit, votre ADN c'est essentiellement le rap. Mais dans votre dernier disque, donc Amour suprême, enregistré entre Dakar, Bruxelles, Abidjan, Montréal et dans le studio futuriste de Brad Pitt à Miraval en France, vous mêlez à la fois des sons très contemporains et des références plus classiques. Pouvez-vous nous en parler ? Oui, j'aime bien le mélange des genres. Moi-même, comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai une identité assez plurielle et j'ai été élevé avec la rumba congolaise. Plus tard dans ma vie, en arrivant en France, je découvre la chanson française dont les textes me touchent particulièrement. Le rap arrive dans ma vie et ça, c'est un choc et ça bouleverse mon expression. J'aime la culture américaine, la soul music. J'ai découvert après l'afrobeat, le coupé-décalé. La musique gospel me touche beaucoup. Je suis très sensible à ça et en fait, j'aime faire un mélange de tout. Non pas qu'il soit indigeste, mais un mélange aligné, bien réparti, bien créé. Ma créativité, elle vient de là aussi. C'est-à-dire entre les textes forts du rap et une certaine forme de légèreté que peut apporter le gospel. Ou alors la musique africaine avec ses couleurs. J'aime le mélange des genres et je ne veux renoncer à rien. Et c'est pour ça que je mélange un peu mes sensibilités et ce qui m'entoure dans ma vie au quotidien.Vous avez souvent parlé justement de votre rapport complexe à la France où vous avez grandi. Est-ce qu'Amour suprême marque un tournant dans cette relation ou est-ce une forme de réconciliation, de confrontation ou autre chose ? C'est une forme de réconciliation. Elle est paradoxale parce que c'est une réconciliation qui existe, qui arrive au moment où justement je ne vis plus en France en permanence. Mais j'y reviens parce que je reste attaché à ce pays et j'y travaille beaucoup avec mes tournées, avec la gestion de mon label ou alors des artistes avec lesquels je peux collaborer. Et en fait, il y a une sorte d'apaisement où je vois que finalement, je n'étais pas obligé d'être en guerre avec la France. Mais en fait, ce sont plutôt des choses institutionnelles qui m'ont révolté et qui continuent à me révolter. Mais il y a une sorte d'apaisement et une sorte de joie, de découverte. On s'aime avec ce pays, on s'aime avec mes compatriotes. Mais en fait, on s'est toujours mal compris. Et parce qu'on ne s'est jamais parlé avec notre cœur, on ne s'est jamais parlé avec notre vécu, on s'est parlé toujours de ce qui nous oppose. Effectivement, il y a des clivages qui m'opposent par rapport à la situation en France, toujours. Et je continuerai toujours à dénoncer ça. Mais il y a des choses aussi qui me rattachent à ce pays et à sa culture.Et actuellement, qu'est-ce qui vous révolte à ce niveau-là ? Qu'est-ce qui vous choque ? Deux choses principalement : la situation politique où j'ai l'impression que, au niveau du gouvernement, au niveau de la présidence et même au niveau des prises de parole des députés et de l'instabilité de l'Assemblée nationale, il y a un décalage total avec la précarité et la vie anxiogène que traversent les Français. C'est vraiment très compliqué. Je viens d'une classe sociale populaire et je sais que la situation est vraiment très très complexe. Et en fait, le décalage de l'opportunisme politique me chagrine et me choque. Par ailleurs, il y a la montée et la libération de la parole d'extrême droite qui est extrêmement décomplexée. L'extrême droite en France, ça a toujours existé. Il existe une partie de la France qui a entretenu une certaine forme de racisme. Mais elle a elle n'a jamais été au pouvoir. En tout cas, il y a eu toujours une force d'opposition contre elle. Là, aujourd'hui, elle a droit de cité et elle est même acceptée. Parfois même, c'est elle qui met au carreau les autres paroles. Et ça, ça me révolte. On peut aussi citer la profusion médiatique qui de la même façon, normalise la parole d'extrême droite, fausse les sujets. C'est-à-dire que par exemple, on passe deux trois semaines à parler d'Aya Nakamura aux Jeux olympiques, du burkini, etc. Alors qu'en réalité, on s'en fout. Pourquoi nous fait-on croire qu'il y a une guerre civilisationnelle alors qu'en fait, le problème des gens, c'est la précarité du travail, le fait que les campagnes et la vie rurale soient exclues des débats réels, que la vie des banlieues est une vie qui est complexe, qui n'est pas intégrée à la communauté nationale, qu'il y a des choses culturelles en France qui sont belles et dont on ne parle pas assez. Pendant ce temps-là, on préfère nous parler de sujets accessoires, mais très excitants pour le buzz, pour les mauvaises raisons. Alors ça peut faire rire deux secondes, mais ça commence à durer, depuis des années, et ça rend la situation complexe. Ça, ça me navre et ça m'affecte par rapport aux Français.Est-ce qu'on peut dire que ce disque est aussi un exorcisme ? Est-ce que cet album représente une catharsis pour vous ? Quand je l'ai fait, ce n'était pas dans ce sens-là, mais effectivement, il m'a permis d'expulser pas mal de choses, de me faire du bien et je l'ai dit en début d'interview, de m'élever, (…) de m'alléger et de me sentir en hauteur, d'avoir une prise de vue des choses un peu plus reculée, un peu plus élevée, etc. Et en fait, ça s'est fait au fil de la conception du disque. Dans sa forme finale, même quand je le réécoute, je me dis : « J'ai pris un recul que je n'ai jamais eu l'occasion de prendre, j'ai pris une hauteur que je n'ai jamais eu l'occasion de prendre » et j'en suis fier et satisfait. Ça me fait du bien, même à moi personnellement.Donc vous avez cherché à libérer ou à guérir à travers ces treize nouveaux titres ? Oui, ça me soigne. Ça participe à me soigner, évoquer des choses qu'on a sur le cœur, de manière personnelle ou de manière publique. Ça m'a servi d'exutoire et j'ai l'impression que cet exutoire est partagé à cause des excellents retours que je reçois sur ce disque et la manière dont il touche les gens. Je pense que c'est parce que je pensais parler de moi et finalement, je parle de tout le monde.Vous parlez de l'amour comme une force centrale sur ce disque, notamment sur la chanson « Dieu est grande ». Ce titre mérite bien une explication…À la base, c'est une chanson que j'ai faite pour ma fille. J'avais fait une chanson pour mon fils auparavant qui s'appelait « Mon Roi ». Et comme j'ai une petite fille qui s'appelle Imany qui a neuf ans, je voulais lui faire une chanson. J'ai réalisé en commençant à l'écrire qu'effectivement, quand j'ai écrit « Mon Roi », c'est l'histoire d'un petit garçon. J'ai été un petit garçon, donc je raconte aussi un peu mon histoire. Être une petite fille, c'est autre chose, c'est d'autres combats. Ce sont des épreuves auxquelles les petits garçons ne feront pas face. Je voulais quelque chose de plus grand que juste un roi. Je ne voulais pas juste me contenter d'une reine. Et cette chanson a pris cette proportion-là, quand je trouve la parole qui finit le texte quand je lui dis : « Imany, ça signifie la foi ». Et je lui ai dit : « Et si on te demande ce que ta voix représente, réponds simplement que ‘Dieu est grande' ». C'est une manière de dire que dans le Grand tout, dans la force créatrice de ce monde, il n'y a pas que les garçons qui existent, les filles aussi font partie de ce Grand tout. C'est une place importante à prendre. Je pensais que ce titre allait être impactant. Et ça l'a été parce qu'il y a eu beaucoup d'hommes qui ont été un peu vexés, ou alors qui ont trouvé ça trop excessif. (…)  Je vois bien que ça irrite certains. Et ça me plaît, ça, que ça irrite.« Dieu est grande » ! Comment a-t-il été perçu en France et en Afrique ? Alors pour être honnête, ça a été très bien accueilli comme titre. Au début, quand même, il y a eu de la stupeur. Les gens se disaient « Waouh ! » Le titre est à la fois grandiose, à la fois surprenant et peut-être il peut être blasphématoire. Mais l'écrasante majorité des gens, en écoutant le texte, ont très vite compris. Après, il y a eu des pisse-froid qui avaient tendance à dire que ça leur donnait le vertige. Mais très vite, l'amour et le message qui est dans le titre l'a emporté. Aujourd'hui, c'est un titre dont on me parle absolument partout et ça devient même l'un des titres majeurs de ma discographie. Et je n'attendais pas ça au bout du septième album. Donc, c'est une belle histoire.C'est votre côté féministe ? Moi je ne pense même pas que je suis féministe. Mais peut-être que j'ai un côté femme en moi. En tout cas, je voulais écrire une chanson juste pour ma petite fille. Et le fait que les femmes s'approprient ce titre-là, ça me flatte, mais c'est un titre qui appartient plus à Imany qu'à moi en vérité.Pour terminer, Youssoupha, Amour suprême est un album introspectif, mais il y a aussi un regard sur l'extérieur, sur la société et sur l'humanité. Qu'avez-vous envie de transmettre aux plus jeunes qui écoutent cet album ? Ce qui me vient spontanément, c'est d'arrêter d'être des complexés. Et je pense notamment à la jeunesse africaine parce que je viens de là. En tous cas de ne pas se laisser écraser par les complexes qu'on nous met dans la tête. Les choses qu'on peut accomplir ou ce qu'on est, c'est juste une question de perception et les autres peuvent avoir une perception différente de ce qu'on est ou ce qu'on veut devenir. Et nous, on doit notre ambition à nous-mêmes. Notre force d'identité doit toujours dépasser ça. Et puis l'autre chose, ça s'adresse à tout le monde, aux jeunes, aux moins jeunes, aux gens du monde entier : n'ayez pas peur. Je trouve que c'est un monde qui se construit beaucoup autour de la peur. La peur des gens, la peur des clivages, la peur de ce qu'on va réussir, ce qu'on ne va pas réussir, la peur de mourir, etc. Et en fait non, n'ayez pas peur. Il y a encore de la place pour faire des choses bien. N'ayez pas peur d'être quelqu'un de bien, n'ayez pas peur des gens intelligents ou prétendument intelligents, parce que souvent les gens intelligents aiment vous complexer ou nous complexer en disant : « Oui, mais vous n'avez rien compris ». Si vous avez très très bien compris ce que vous êtes en train de faire. Et là où vous voulez aller. Donc, soyez grand. Si vous ne pouvez pas faire de grandes choses, faites de petites choses avec grandeur, ça va aussi. Et voilà. N'ayez pas peur.Youssoupha Amour suprême (Believe) 2025

Couleurs tropicales
Le rappeur Youssoupha présente «Amour suprême», son nouvel album

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Feb 12, 2025 48:30


Le rappeur Youssoupha présente son nouvel album Amour Suprême, sorti le 24 février 2025. Un album enregistré à Dakar, Bruxelles, Abidjan, Montréal et à Miraval, en France. Dans Amour Suprême, Youssoupha revisite son passé tout en se projetant vers un avenir empreint de spiritualité et d'élévation. Il répond aux questions de Claudy Siar, Yasmine Bakayoko et Stéphane Linon. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Youssoupha - Dieu est grandYoussoupha - Grands boubous des ancêtresYoussoupha - Nouveau karatéYoussoupha - Prose combatYoussoupha - God blessRetrouvez notre playlist sur Deezer. 

Couleurs tropicales
Le rappeur Youssoupha présente «Amour suprême», son nouvel album

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Feb 12, 2025 48:30


Le rappeur Youssoupha présente son nouvel album Amour Suprême, sorti le 24 février 2025. Un album enregistré à Dakar, Bruxelles, Abidjan, Montréal et à Miraval, en France. Dans Amour Suprême, Youssoupha revisite son passé tout en se projetant vers un avenir empreint de spiritualité et d'élévation. Il répond aux questions de Claudy Siar, Yasmine Bakayoko et Stéphane Linon. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Youssoupha - Dieu est grandYoussoupha - Grands boubous des ancêtresYoussoupha - Nouveau karatéYoussoupha - Prose combatYoussoupha - God blessRetrouvez notre playlist sur Deezer. 

Hooked on Sports
Hodgepodge: NBA Trade Frenzy, College Hoops, NFL Non-Supr Bowl news, Mets re-sign Pete Alonso, and more!

Hooked on Sports

Play Episode Listen Later Feb 6, 2025 63:41


Today on Hooked on Sports: (1:53) John discusses the wild NBA trade frenzy with the trade deadline at 3 p.m. ET on Thursday, as four more All-Stars were traded since the wild Luka Doncic for Anthony Davis trade went down late Saturday night. (20:35) The SEC might have 13(!) teams in March Madness, and St. John's is the toast of New York City right now. (29:27) Myles Garrett and Cooper Kupp will have new teams next year (one voluntary and one involuntary), plus the Raiders and Texans have hired new offensive coordinators, so what team does John say nailed their OC pick? (38:24) And the Mets signed Pete Alonso, winning a worn-out negotation that lasted months. What does that mean for the Mets and their chances to win the NL East in 2025? What will be the key to winning the division? What does Alonso's contract mean for fellow Scott Boras client Alex Bregman? Is Bregman really going to go the Cubs? And is there anyone capable of dethroning the Yankees in the American League?

Radio Campus Tours – 99.5 FM
Maggot Brain – Conçus pour Claquer

Radio Campus Tours – 99.5 FM

Play Episode Listen Later Feb 3, 2025


Rap des années 90 toujours, en France surtout… On démarre cet épisode avec Triptik et La Clinique, et s’en suivent Alliance Ethnik, Doc Gynéco, Sages Poètes de la Rue, Movez Lang, Suprême NTM 93, le crew Time Bomb (Lunatic, Pit Baccardi, Oxmo Puccino…), Menelik, Scred Connexion, Dee Nasty, Les Spécialistes, Yazid, D Abuz System, Sekta […] L'article Maggot Brain – Conçus pour Claquer est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.

Couleurs tropicales
«Amour suprême», le septième album de Youssoupha réalisé entre Dakar, Bruxelles, Abidjan et Montréal

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 48:30


Programmation musicale consacrée aux nouveautés et découvertes avec Youssoupha, Ayra Starr, Chily, Craig David et Admiral T entre autres. Dans la séquence gold : Magic System et Rokia Traoré, entre autres. Par téléphone, José Nzolani, membre du Bureau de l'association culture rumba, présente un évènement qui se tiendra samedi 25 janvier 2025, à Paris (19ème), à l'occasion des 65 ans d'Indépendance cha cha, chanson mythique dans l'Histoire des indépendances africaines. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Youssoupha - Dieu est grandeAyra Starr - Jazzy's songChily - HendekCraig David - SOSAmadeus - LegetTimal, Leto, Gradur - 10 ans d'âgeAdmiral T - Terre de championsDomec Brusly - Ma museC'Kay - Adidcted X Wahala (Live)Perle Lama - Yon ti gouyéMagic System - 1er gaouElvis Kemayo - Africa music non stopRokia Traoré - Ka moun kéRetrouvez notre playlist sur Deezer. 

Invité Afrique
Gabon: «Il ne fait aucun doute que le général Oligui Nguema briguera la magistrature suprême»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 10:34


Au Gabon, on l'a appris ce mercredi 22 janvier, c'est dans moins de trois mois, le 12 avril 2025, que se tiendra la présidentielle qui amorcera le retour à un régime civil, près de deux ans après le coup d'État militaire du 30 août 2023. L'auteur de ce putsch, le général Oligui Nguema, sera-t-il candidat à ce scrutin ? Et si oui, y aura-t-il en face de lui des poids lourds de l'opposition ? Rien n'est moins sûr. Bergès Mietté est enseignant chercheur à l'université internationale de Libreville et chercheur associé au laboratoire Les Afriques dans le monde, à Sciences Po Bordeaux. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le 8 janvier dernier, quatre figures de l'opposition, le professeur Albert Ondo Ossa, l'ancien vice-président Pierre-Claver Maganga Moussavou, l'ancien Premier ministre Alain-Claude Bilie-By-Nze et l'ancien ministre Ali Akbar Onanga Y'Obegue, ont exigé une interdiction formelle pour tout militaire du CTRI, le Comité pour la transition et la restauration des institutions, de se porter candidat aux prochaines élections. Mais est-ce que le code électoral ne prend pas le contrepied de cette demande ?  Bergès Mietté : Oui, tout à fait, puisque le nouveau code électoral dit que désormais, les militaires, comme tous les autres citoyens de la République, peuvent prétendre à des fonctions politiques électives. Donc, lorsque les principaux leaders de l'opposition, que vous citez, ont appelé les militaires, en réalité ont appelé Brice Clotaire Oligui Nguema à ne pas se porter candidat à l'élection présidentielle à venir, c'était simplement un appel pour que le président tienne les engagements qu'il a pris à l'égard du peuple gabonais au moment du coup d'Etat, puisque, officiellement lui-même, il avait déclaré qu'il devrait, à l'issue de la transition, rendre le pouvoir aux civils. Je pense que c'est surtout sur cet aspect-là que ces leaders-là se sont prononcés. Donc, au terme du nouveau code électoral, le général Oligui Nguema, s'il le décide, va pouvoir se présenter le 12 avril prochain. Comment va réagir l'opinion publique gabonaise par rapport à la promesse qu'il avait faite le 30 août 2023 ? Je pense qu'il ne fait aucun doute que le général briguera la magistrature suprême. Ce que l'opinion gabonaise attend davantage, c'est la capacité du président de moderniser le pays. Est-ce que Brice Clotaire Oligui Nguema est capable, mieux que le régime précédent, de transformer le pays, de répartir équitablement les ressources du pays de manière à ce que tous les Gabonais puissent en profiter ? Je pense que la vraie question, c'est à ce niveau-là. Maintenant, si les leaders de l'opposition estiment qu'ils ont la capacité de porter et de réaliser ce projet-là, je pense qu'ils ont tout à gagner à se porter candidat à l'élection présidentielle, de sorte que le meilleur l'emporte.Mais si l'opposition fait campagne contre le fait qu'un militaire soit candidat, vous pensez que ça n'aura pas beaucoup d'écho dans la population gabonaise ? C'est vrai que, depuis quelque temps, l'euphorie qui accompagnait « le coup de libération » de 2023 s'est plus ou moins estompée. Certains Gabonais deviennent de plus en plus critiques à l'égard des nouvelles autorités. Qu'à cela ne tienne, Brice Clotaire Oligui Nguema a encore des soutiens au niveau national et, globalement, je pense que beaucoup parmi les Gabonais ne verraient aucun obstacle à ce qu'il puisse se porter candidat à l'élection présidentielle.Alors pour cette élection du 12 avril, les conditions d'éligibilité sont très restrictives. Est-ce qu'il restera des leaders de l'opposition qui seront éligibles ? Oui. Les nouvelles autorités se sont employées plutôt avec maestria à neutraliser l'opposition traditionnelle. Si bien qu'aujourd'hui, si la candidature de Brice Clotaire Oligui Nguema ne fait plus de doute, la vraie question, me semble-t-il, est de savoir face à qui il sera opposé le 12 avril prochain.Justement, qui sont les leaders actuels de la classe politique gabonaise qui ne seront ni trop vieux, ni binationaux, ni enfants de parents pas gabonais, ni marié à un conjoint ou une conjointe pas gabonaise… Qui pourra se présenter ?Je pense que c'est le vrai enjeu, effectivement. Ce scrutin sera-t-il réellement compétitif ? Ou alors il sera question d'un match amical sans doute entre le général et un opposant de circonstance ou quelqu'un sans réelle envergure.Et parmi les opposants éligibles, faut-il envisager que certains décident de boycotter ce scrutin ? Oui, sans doute. C'est possible, puisque c'est un phénomène qui est quelquefois récurrent au Gabon.À quelles conditions cette élection sera-t-elle transparente le 12 avril ? On se souvient que la transition intervient à l'issue des élections générales du 26 août 2023, dont les résultats ont été jugés frauduleux par les militaires. Donc, ils ont pris le pouvoir pour restaurer la dignité des Gabonais et les institutions de la République qui ont été mises à mal par l'ancien régime. Et je pense que ce scrutin-là, c'est un test.Alors, vous évoquez le problème de la transparence des élections. Si elles restent organisées par le ministère gabonais de l'Intérieur, est-ce que cela ne va pas jeter la suspicion sur leurs résultats ? Désormais, au Gabon, le ministère de l'Intérieur est le principal organisme de gestion des élections. Certains doutent de la capacité du ministère de l'Intérieur d'organiser de manière démocratique des élections à venir, mais je pense qu'il est trop tôt pour faire ce procès-là. On attend de voir comment est-ce que, de manière pratique, les élections à venir seront organisées.À lire aussiGabon: le premier tour de l'élection présidentielle fixé au 12 avril 

Couleurs tropicales
«Amour suprême», le septième album de Youssoupha réalisé entre Dakar, Bruxelles, Abidjan et Montréal

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 48:30


Programmation musicale consacrée aux nouveautés et découvertes avec Youssoupha, Ayra Starr, Chily, Craig David et Admiral T entre autres. Dans la séquence gold : Magic System et Rokia Traoré, entre autres. Par téléphone, José Nzolani, membre du Bureau de l'association culture rumba, présente un évènement qui se tiendra samedi 25 janvier 2025, à Paris (19ème), à l'occasion des 65 ans d'Indépendance cha cha, chanson mythique dans l'Histoire des indépendances africaines. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Youssoupha - Dieu est grandeAyra Starr - Jazzy's songChily - HendekCraig David - SOSAmadeus - LegetTimal, Leto, Gradur - 10 ans d'âgeAdmiral T - Terre de championsDomec Brusly - Ma museC'Kay - Adidcted X Wahala (Live)Perle Lama - Yon ti gouyéMagic System - 1er gaouElvis Kemayo - Africa music non stopRokia Traoré - Ka moun kéRetrouvez notre playlist sur Deezer. 

IsThatYouTalking?
Supr Sprt Ep 122

IsThatYouTalking?

Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 62:54


In this electrifying episode of IsThatYouTalking, we sit down for a late-night chat with the legendary DJ Supr Sprt, who brings 17 years of experience in this ever-evolving music industry. Get ready for an in-depth conversation about the highs and lows of DJing, the impact of technology on music, and the challenges behind creating unforgettable sets to please the massive diversity of music preferences.   Whether you're a music enthusiast or an aspiring DJ, this episode is a must-listen for anyone curious about the world behind the turntables. Kurt Vonnegut suggests that  "Music is, to me, proof of the existence of God," possibly making DJs preacher-like.YOU CAN CONTACT US RIGHT HERE!

Journal de l'Afrique
Rassemblement au Gabon pour appeler Brice Clotaire Oligui Nguema à briguer la magistrature suprême

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 16:13


Au Gabon, les prochaines élections seront ouvertes aux militaires. Cette disposition du nouveau code électoral est saluée par les soutiens du président de la transition. Lors d'un rassemblement ce matin à Libreville , plusieurs associations ont appellé Brice Clotaire Oligui Nguema à briguer la magistrature suprême. Une démarche mal perçue par les opposants au comité de transition au pouvoir.

Home(icides)
David Nègre, une histoire d'emprise néonazie : un agitateur suprémaciste (2/4)

Home(icides)

Play Episode Listen Later Jan 14, 2025 14:40


C'est l'histoire d'un étrange gourou spirituel néonazi. Au début des années 2010, David Nègre embrigade plusieurs jeunes gens dans un groupe spirituel appelé, «l'Eglise de Wotan». Le quinquagénaire animait des blogs dans lesquels il se disait spécialiste de la mythologie nordique et de l'occultisme. Mais en réalité, il véhiculait aussi des idées suprémacistes et racistes. Très vite, David devient le gourou spirituel d'une petite communauté dans l'Allier, imposant des rituels particulièrement malsains.  Un agitateur suprémaciste Le 14 septembre 2018, un jeune homme nommé Léo se présente dans un commissariat parisien pour porter plainte. Ancien étudiant en philosophie, Léo a vécu dans un château avec sa compagne Sarah. Le couple partageait le château avec quatre autres personnes, dont David Nègre. Au fil des mois, l'atmosphère s'est détériorée sous l'influence de ce gourou spirituel. Léo a demandé à Sarah de partir, et ensuite, il a été violemment agressé et abandonné au château, les autres locataires ayant volé sa voiture en partant. Léo accuse David d'abus de faiblesse, de violences volontaires aggravées et d'incitation à la consommation de stupéfiants. Mais qui est vraiment David Nègre, cet homme qui se présente sur internet comme un spécialiste de la mythologie nordique ? Découvrez la saison précédente en intégralité : la disparition de Tiphaine Véron au Japon Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Manon Gaulthier-Faure Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Joey Daou En partenariat avec upday.  Première diffusion : 21 mai 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

ancien une histoire supr david n wotan maciste bababam originals
Un bonbon sur la langue
Langue française : Que signifie "ultime" ? Dernier ? Ou suprême ?

Un bonbon sur la langue

Play Episode Listen Later Jan 12, 2025 3:56


Ce dimanche, nous allons parler d'un mot à la mode... Et même d'un mot qu'on trouve à toutes les sauces, et... allez, j'avoue ? ça m'énerve ! Vous savez, les tics de langage se suivent, on les entend, on les répète, bref ils sont contagieux, on se les refile comme le Covid ou un rhume poisseux. En la matière, chacun a ses propres agacements...

Boulevard BD
La suprématie des underbaboons

Boulevard BD

Play Episode Listen Later Jan 5, 2025 3:10


Une chronique de Laurent Lafourcade

Podcast Torah-Box.com
'Hanouka - La suprématie de la Torah

Podcast Torah-Box.com

Play Episode Listen Later Dec 23, 2024 5:28


À travers de nombreux commentaires, ce cours explique que la Torah est bien plus qu'une simple science ; elle doit aider ceux qui l'étudient à s'améliorer, et pas seulement les enrichir sur le plan intellectuel.

Maintenant, vous savez
Qu'est-ce que le suprématisme ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Dec 21, 2024 4:22


Né au début du 20ᵉ siècle en Russie, le suprématisme est un mouvement d'art moderne. Ce mouvement a vu le jour grâce à la musique. En effet, un compositeur avant-gardiste, Mikhaïl Matiouchine, travaille sur un opéra futuriste qui n'aura pas le succès escompté et qui sera conspué par le public. Il ressort un véritable engouement populaire pour les décors et les costumes, confectionnés par Kasimir Malevitch. Pour la première fois de l'histoire, une pièce de théâtre va influencer l'art visuel et poser la première pierre d'un mouvement pictural unique : la peinture suprématiste. Le suprématisme se pose comme le plus pur de l'art. Malevitch développe sa théorie en jouant sur les aspects géométriques et les couleurs primaires, tout cela sur un fond de mouvement dynamique. Sur quels principes est né le suprématisme ? Comment un art abstrait comme le suprématisme s'est-il développé ? Quelles sont les œuvres du suprématisme les plus célèbres ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". "Maintenant Vous Savez" c'est également deux autres podcasts qui décryptent la culture avec "Maintenant Vous Savez - Culture" et la santé avec "Maintenant Vous Savez - Santé". Quatre fois par semaine, nous vous proposons de découvrir les meilleurs épisodes. Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Thomas Deseur. Date de première diffusion : 21 novembre 2022 À écouter aussi : Comment le jeu vidéo est-il devenu la première industrie du divertissement ? Comment la série “Plus belle la vie” a-t-elle changé la télévision française ? Pourquoi les humoristes conquièrent-ils de plus en plus le cinéma ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Tech&Co
L'incroyable suprématie de l'architecture ARM – 19/12

Tech&Co

Play Episode Listen Later Dec 19, 2024 28:03


Jeudi 19 décembre, François Sorel a reçu Yves Maitre, operating partner Jolt capital et consultant, ancien PDG de HTC, Didier Sanz, journaliste, et Bruno Guglielminetti, journaliste et animateur de « Mon Carnet de l'actualité numérique ». Ils sont revenus sur l'incroyable suprématie de l'architecture ARM, Richard Yu, le grand patron de Huawei, le Airfryer, les chaises musicales des réseaux sociaux, ainsi que sur Perplexity, le "Google de l'IA", dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, spéciale coups de cœur/coups de gueule de l'année, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Arrêt sur images - audio
"S'attaquer à la constitution de la Vème République, c'est le tabou suprême"

Arrêt sur images - audio

Play Episode Listen Later Dec 6, 2024 81:13


Sans grande surprise, mercredi 4 décembre 2024, le gouvernement Barnier est tombé. Il aura duré trois mois et un jour, le plus court de la Vème République, renversé après que le premier ministre a dégainé l'article 49-3 de la constitution engageant sa responsabilité et celle de son gouvernement sur le budget de la sécurité sociale pour 2025. La motion de censure déposée par la coalition de gauche a été adoptée par 331 députés, bien loin des 288 voix  nécessaires pour q ...

Spiritual Successor
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Spiritual Successor

Play Episode Listen Later Nov 27, 2024 63:33


This week we talk stupid purchases, branded superheroes, and tear into the enigma that is Silent Hill 2.LET'S PLAY: https://www.youtube.com/watch?v=0LExXD4KhnI&ab_channel=SpiritualSuccessorPodcastDISCORD: https://www.patreon.com/Spiritualsuccessorpodcast?fan_landing=trueTWITTER: https://twitter.com/SpiritualSuccREDDIT: https://www.reddit.com/r/Spiritual_Successor/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Maintenant, vous savez
Qu'est-ce que le suprématisme ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Nov 16, 2024 4:22


"Maintenant Vous Savez" c'est également deux autres podcasts qui décryptent la culture avec "Maintenant Vous Savez - Culture" et la santé avec "Maintenant Vous Savez - Santé". Quatre fois par semaine, nous vous proposons de découvrir les meilleurs épisodes. Né au début du 20ᵉ siècle en Russie, le suprématisme est un mouvement d'art moderne. Ce mouvement a vu le jour grâce à la musique. En effet, un compositeur avant-gardiste, Mikhaïl Matiouchine, travaille sur un opéra futuriste qui n'aura pas le succès escompté et qui sera conspué par le public. Il ressort un véritable engouement populaire pour les décors et les costumes, confectionnés par Kasimir Malevitch. Pour la première fois de l'histoire, une pièce de théâtre va influencer l'art visuel et poser la première pierre d'un mouvement pictural unique : la peinture suprématiste. Le suprématisme se pose comme le plus pur de l'art. Malevitch développe sa théorie en jouant sur les aspects géométriques et les couleurs primaires, tout cela sur un fond de mouvement dynamique. Sur quels principes est né le suprématisme ? Comment un art abstrait comme le suprématisme s'est-il développé ? Quelles sont les œuvres du suprématisme les plus célèbres ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Thomas Deseur. Date de première diffusion : 21 novembre 2022 À écouter aussi : Comment le jeu vidéo est-il devenu la première industrie du divertissement ? Comment la série “Plus belle la vie” a-t-elle changé la télévision française ? Pourquoi les humoristes conquièrent-ils de plus en plus le cinéma ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Podcast Torah-Box.com
Hocha'ana Rabba - Le suprême salut

Podcast Torah-Box.com

Play Episode Listen Later Oct 23, 2024 55:06


Cours vidéo de 55 minutes donné par Rav Yossef David FRANKFORTER.

Le van Beethoven
Nikolai Lugansky, l'accomplissement musical et la virtuosité suprême

Le van Beethoven

Play Episode Listen Later Sep 30, 2024 88:44


durée : 01:28:44 - Nikolai Lugansky, l'accomplissement musical et la virtuosité suprême - par : Aurélie Moreau - Pour le pianiste Nikolai Lugansky, l'un des plus prodigieux interprètes de notre époque, "Rachmaninov fait partie de ces créateurs dont chaque opus est génial, représentant un univers à lui seul". (Diapason). Au programme aussi, Chopin et Prokofiev.

Nicolas Canteloup - la revue de presque sur Europe 1
Jean-Luc Lemoine : «Suprême de volaille et son chou qui fait pas péter !»

Nicolas Canteloup - la revue de presque sur Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 25, 2024 6:38


Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.

Culture médias - Philippe Vandel
Jean-Luc Lemoine : «Suprême de volaille et son chou qui fait pas péter !»

Culture médias - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Sep 25, 2024 6:38


Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.

Le débrief de Matthieu Noël
Jean-Luc Lemoine : «Suprême de volaille et son chou qui fait pas péter !»

Le débrief de Matthieu Noël

Play Episode Listen Later Sep 25, 2024 6:38


Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.

Invité Afrique
Soudan: à El-Facher, «Hemedti veut marquer une suprématie sur le Darfour»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Sep 20, 2024 8:47


Au Soudan, l'épicentre du conflit est en ce moment à El-Facher, la capitale du Darfour Nord, où la bataille fait rage depuis une semaine. « Des centaines de milliers de civils sont coincés dans la ville assiégée et leurs vies sont en danger », affirme la sous-secrétaire générale de l'ONU pour l'Afrique, Martha Pobee. Pourquoi les rebelles du général Hemedti veulent absolument s'emparer de cette ville ? Et pourquoi les Américains n'arrivent pas à calmer le jeu ? Peut-être à cause de la présidentielle à venir aux États-Unis, estime Roland Marchal, chercheur à Sciences Po Paris. RFI : Pourquoi cette reprise de violents combats à El-Facher, la capitale du Darfour Nord ?D'une certaine façon, c'est devenu un abcès de fixation, et une victoire des forces du général Hemedti le rendrait absolument incontournable pour toute négociation sur l'avenir politique du pays et pas simplement sur l'issue militaire du conflit.El-Facher, est bien la seule grande ville du Darfour qui échappe actuellement au contrôle du général Hemedti ?Tout à fait. C'est la capitale historique du Darfour avant qu'il ne soit divisé à la suite du conflit des années 2000. C'est également une zone extrêmement importante puisque c'est là qu'est rassemblé, dans des camps de déplacés et dans les villes et villages environnants d'El-Facher, l'essentiel de l'ethnie zagawa qui fournit les combattants pour les groupes darfouriens alliés au général al-BurhanEt justement, en face du général Hemedti, il y a un chef de guerre zagawa très expérimenté en la personne de Minni Minnawi ?Oui, fort, doté de soutien et d'appui également libyen, et pas simplement du côté de l'armée soudanaise. Le rapport de force entre les deux, on le voit, est difficile puisque ces affrontements ont commencé il y a pratiquement quatre mois maintenant, et malgré les pressions internationales, ils se poursuivent. Donc, on sent bien que ce qui est en jeu pour Hemedti, c'est de marquer une suprématie sur le Darfour. Ce qui lui permettrait d'avancer également militairement dans les provinces voisines du Kordofan et peut-être à Khartoum où il a des difficultés. Et du point de vue des groupes rebelles zagawa, qui ont signé un accord de paix en octobre 2020, c'est une façon de montrer qu'ils continuent à exister politiquement.Mini Minnawi n'a pas encore perdu, c'est cela ?Il n'a pas perdu. Il y a les forces du Mouvement pour la Justice et l'Égalité de Djibril Ibrahim qui sont également là. Cela représente un potentiel militaire tout à fait réel, qui aujourd'hui tient tête aux Forces de Soutien Rapide, tout à fait.Malgré l'embargo décrété par l'ONU sur les armes à destination du Darfour, est-ce que les deux belligérants ne viennent pas de recevoir des nouvelles armes ?Oui, depuis des mois. D'un côté, le soutien militaire des Émirats arabes unis aux Forces de Soutien Rapide n'a pas cessé, bien au contraire. Et de l'autre côté, Russes, Iraniens, mais aussi Biélorusses, Turcs, et cetera alimentent l'armée soudanaise. Donc, ça traduit d'abord que l'influence américaine, dans la gestion et dans le règlement de ce conflit, est perçue par tous les acteurs comme étant tout à fait minimal, que chacun sait que le Conseil de sécurité est divisé et qu'à partir de ce moment-là, le commerce des armes peut aller bon train et que les affaires vont bien pour tous ces vendeurs d'armes.Pourquoi les Américains ne font pas pression sur ces puissances régionales pour qu'elles cessent leurs livraisons d'armes aux belligérants ?Alors, je crois d'abord que les Américains se sont saisis du problème, avec les Saoudiens, au début des négociations de Djeddah. Mais ils veulent obtenir un cessez-le-feu, un accès humanitaire, sans aucune négociation politique. Or, beaucoup d'experts, beaucoup aussi d'envoyés spéciaux européens, pensent qu'il serait nécessaire de lancer un processus politique de façon à aboutir à un cessez-le-feu, comme une mesure de confiance dans l'évolution de ce processus politique. Et là, les Américains vont au plus pressé, je dirais fondamentalement, parce qu'ils veulent éviter que le Soudan fasse la Une des médias internationaux, au moment des élections aux États-Unis. Ce qui évidemment permettrait aux uns et aux autres de tirer sur le camp démocrate, en expliquant qu'il est responsable de la prolongation de ce conflit soudanais.Voulez-vous dire que Joe Biden et Kamala Harris ne prennent aucune initiative dans cette région du globe de peur de s'exposer à des critiques de Donald Trump ?Je crois que ce qui est pire… Peut-être que mon sentiment est outré, mais je crois que, pour les dirigeants américains, le Soudan et le Darfour renvoient à ce qui s'est passé au début des années 2000 où, en 2004 et en 2006, pour l'élection de George W Bush à un second mandat et pour les élections de « mid-term », la question soudanaise a été une question importante de mobilisation dans les universités américaines, avec donc des médias portant la critique sur la politique étrangère américaine. Et je crois que, de la même façon, une bonne partie de la diplomatie américaine aujourd'hui vise à empêcher cette situation, en mettant l'accent sur la priorité absolue à l'aide humanitaire, aux dépens d'un processus politique.À lire aussiSoudan: le président américain Joe Biden appelle aux négociations et menace de «sanctions supplémentaires»

The John Batchelor Show
#PRC:One sided Visa providing. Bill Gertz, Washington Times. @GordonGChang, Gatestone, Newsweek, The Hill Bill Gertz, national security correspondent for The Washington Times and author of Deceiving the Sky: Inside Communist China's Drive for Global Supr

The John Batchelor Show

Play Episode Listen Later Sep 10, 2024 10:35


#PRC:One sided Visa providing. Bill Gertz, Washington Times. @GordonGChang, Gatestone, Newsweek, The Hill Bill Gertz, national security correspondent for The Washington Times and author of Deceiving the Sky: Inside Communist China's Drive for Global Supremacy, @GORDONGCHANG, GATESTONE, NEWSWEEK, THE HILL https://www.washingtontimes.com/news/2024/aug/21/inside-ring-chinese-security-services-are-blocking/ 1949

Les journaux de France Culture
Le réseau social X suspendu au Brésil après la décision du Tribunal suprême fédéral

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 31, 2024 15:45


durée : 00:15:45 - Journal de 12h30 - La plateforme du milliardaire Elon Musk est suspendu depuis samedi matin dans tout le pays au terme d'un bras de fer mené par un juge du Tribunal suprême fédéral contre l'homme d'affaires qui fait face à une défiance grandissante de la part des autorités internationales.

Le journal de 12h30
Le réseau social X suspendu au Brésil après la décision du Tribunal suprême fédéral

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Aug 31, 2024 15:45


durée : 00:15:45 - Journal de 12h30 - La plateforme du milliardaire Elon Musk est suspendu depuis samedi matin dans tout le pays au terme d'un bras de fer mené par un juge du Tribunal suprême fédéral contre l'homme d'affaires qui fait face à une défiance grandissante de la part des autorités internationales.

Les Grandes Gueules
Pour Hidalgo, Trump est "un suprémaciste blanc" : d'accord ? - 01/08

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Aug 1, 2024 19:58


A 10h40, ce jeudi 1er août 2024, les GG : Bruno Pomart, ancien policier, Bruno Poncet, cheminot et syndicaliste, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, débattent de : Pour Hidalgo, Trump est "un suprémaciste blanc".

RTÉ - Culture File on Classic Drive
La Victoire Suprême du Coeur | Culture File

RTÉ - Culture File on Classic Drive

Play Episode Listen Later Jul 22, 2024 6:45


Along the boulevards, a revolution is marching, as a wave of French bakers learn to soar with plant-based croissants and other 21st century delights.

Nova Club
ASTROPOLIS 2024 : avec MANU LE MALIN & GERD JANSON !

Nova Club

Play Episode Listen Later Jul 2, 2024 124:00


Mais aussi Gildas le boss d'Astropoilis et les découvertes Galère Sucrée et Saübr TRACKLIST George Duke - Reach Out Underground Resistance - Final Frontier Marie Davidson - Work It (Soulwax Remix) LSDXOXO - Mutant Exotic (BADSISTA Remix) Kmyle - Keroual Gwendoline - Conspire Tatyana Jane - Mapanes RAVL - Poundering My Orb (Nü Kvlture) Little Simz - Might Bang, Might Not (ESC Refix) Big Red & Radikal Vibration - Répercussions Suprême NTM - That's My People Front 242 - Religion (The Prodigy Trance U Down Mix) A Homeboy, A Hippie & a Funki Dread - Total Confusion Chez Damier & Stacey Pullen - Forever Monna

Le Cours de l'histoire
Les Alliés débarquent ! Regards croisés sur le 6 juin 1944 2/4 : "La bataille suprême". Résistance et collaboration à l'heure du Débarquement

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Jun 4, 2024 58:12


durée : 00:58:12 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - En 1944, la Résistance est combattue par le régime de Vichy, qui dans le même temps essaie de rester à l'écart du conflit entre les Alliés et l'Allemagne nazie. Quel rôle les réseaux résistants ont-ils joué en amont du 6 juin 1944 et quelle fut l'attitude des "collabo" à l'approche du Débarquement ? - invités : Raphaële Balu Docteure en histoire, spécialiste des Maquis durant la Seconde Guerre mondiale; Robin Leconte Doctorant en histoire, enseignant à l'ENS Paris-Saclay; Olivier Wieviorka Historien, professeur à l'École normale supérieure de Paris-Saclay

Home(icides)
David Nègre, une histoire d'emprise néonazie : un agitateur suprémaciste (2/4)

Home(icides)

Play Episode Listen Later May 21, 2024 13:40


C'est l'histoire d'un étrange gourou spirituel néonazi. Au début des années 2010, David Nègre embrigade plusieurs jeunes gens dans un groupe spirituel appelé, «l'Eglise de Wotan». Le quinquagénaire animait des blogs dans lesquels il se disait spécialiste de la mythologie nordique et de l'occultisme. Mais en réalité, il véhiculait aussi des idées suprémacistes et racistes. Très vite, David devient le gourou spirituel d'une petite communauté dans l'Allier, imposant des rituels particulièrement malsains.  Un agitateur suprémaciste Le 14 septembre 2018, un jeune homme nommé Léo se présente dans un commissariat parisien pour porter plainte. Ancien étudiant en philosophie, Léo a vécu dans un château avec sa compagne Sarah. Le couple partageait le château avec quatre autres personnes, dont David Nègre. Au fil des mois, l'atmosphère s'est détériorée sous l'influence de ce gourou spirituel. Léo a demandé à Sarah de partir, et ensuite, il a été violemment agressé et abandonné au château, les autres locataires ayant volé sa voiture en partant. Léo accuse David d'abus de faiblesse, de violences volontaires aggravées et d'incitation à la consommation de stupéfiants. Mais qui est vraiment David Nègre, cet homme qui se présente sur internet comme un spécialiste de la mythologie nordique ? Découvrez la saison précédente en intégralité : Le mystère Alexandre Despallières, sexe, drogues et mensonges Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Manon Gaulthier-Faure Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Joey Daou En partenariat avec upday.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

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The Glossy Beauty Podcast
Westman Atelier's Gucci Westman & David Neville: An engaging, authentic founder is 'very rare in the luxury category'

The Glossy Beauty Podcast

Play Episode Listen Later May 2, 2024 50:27


Since launching in 2018, Westman Atelier has become one of the most covetable brands in luxury beauty. From the $68 foundation sticks that introduced the brand to the market to newer launches like the Lip Suede Matte Lipstick ($50) and, most recently, the Suprême C serum ($325), the brand's products are the kind that people like to show off on their vanities or pull out of their handbags. The Suprême C serum is its second skin care product — the brand will be leaning more heavily into the category in the months ahead, with plans to grow it to 10% of its business in the next year. Westman Atelier was founded by husband-and-wife Gucci Westman, the celebrity makeup artist, and David Neville, co-founder of Rag & Bone. Before founding the brand, Westman had stints as Lancôme's international artistic director and Revlon's global artistic director. She is known for her clean, you-but-better aesthetic and has worked with actors including Nicole Kidman, Anne Hathaway and Jennifer Aniston. On this week's episode of the Glossy Beauty Podcast, Westman and Neville come together to discuss the start of their careers, the brand's first true lipstick and new serum, and the reason Westman has remained the brand's most powerful marketing tool. 

Par Jupiter !
"Plus jamais ça" de NTM

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Dec 3, 2023 6:18


durée : 00:06:18 - La chronique de Djubaka - par : Julien Deflisque - On est en 1995 et Suprême NTM vient de sortir son troisième album, "Paris sous les bombes". Et en ouverture de ce disque, il y a cette chanson : "Plus jamais ça". On y cause Front National, alors mené par Jean-Marie Le Pen. Djubaka décrypte le message politique qui se cache derrière ce titre.

Par Jupiter !
"Plus jamais ça" de NTM

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Dec 3, 2023 5:24


durée : 00:05:24 - La chronique de Djubaka - par : Julien Deflisque - On est en 1995 et Suprême NTM vient de sortir son troisième album, "Paris sous les bombes". Et en ouverture de ce disque, il y a cette chanson : "Plus jamais ça". On y cause Front National, alors mené par Jean-Marie Le Pen. Djubaka décrypte le message politique qui se cache derrière ce titre.