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Invités : - Plantu, dessinateur et caricaturiste, auteur de l'album Media Culpa aux Éditions Calmann-Lévy, collection Graphic. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. - Jean-Claude Dassier, chroniqueur politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les médias, c'est la famille de Plantu : elle lui a tout appris au sein du journal Le Monde. Est-ce que les journalistes des radios, de la presse écrite, des sites Web, des plateaux de télé se sont aventurés en « oubliant » de nous informer correctement ?
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 24/02/2025, il reçoit en studio le dessinateur de presse et caricaturiste Plantu. Ensemble, ils reviennent sur plusieurs actualités, notamment sur la fermeture de C8 dans quelques jours. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Au sommaire de l'émission :L'émission revient sur l'attaque terroriste islamiste survenue à Mulhouse, qui a coûté la vie à une personne, et souligne l'impuissance face à ce cycle infernal de violence et de discours stériles.Le témoignage poignant de Bernadette, une habitante de Mulhouse, qui exprime sa colère et sa tristesse face à la dégradation de sa ville et l'inaction des autorités.Le dessinateur Plantu partage son indignation face à la décision de fermer la chaîne de télévision C8, qu'il juge injuste et incompréhensible.L'émission aborde les problématiques liées à l'immigration clandestine, notamment le cas de cet Algérien condamné puis libéré, malgré le refus de son pays d'origine de le reprendre.L'analyse de l'ancien député Gilbert Collard sur les failles du système juridique qui empêchent d'agir efficacement contre les menaces terroristes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Açık Gazete'nin köşelerinden Haftanın Karikatürleri'nde İzel Rozental'in seçtiği ve anlattığı çizimler arasından Plantu'nun çizimi haftanın karikatürü olarak seçildi.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, le dessinateur de presse Plantu est invité à l'occasion des dix ans des attentats contre Chalie Hebdo et l'Hyper Casher. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Au sommaire de l'émission :Hausse des audiences d'Europe 1 avec 470 000 nouveaux auditeurs gagnés en un an, atteignant plus de 2,7 millions d'auditeurs quotidiens.Un sondage CSA révèle que 66% des Français estiment qu'il faut cesser immédiatement toute immigration en provenance d'Algérie, dans un contexte de tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie.Le dessinateur Plantu évoque les défis de la liberté d'expression et de la représentation des religions dans les médias, notamment concernant son soutien à l'écrivain franco-algérien Boalem Sansal emprisonné en Algérie.La polémique autour de la présentation de la fête de l'Épiphanie dans les écoles de Marseille, qualifiée de "païenne" par l'opposition de droite, illustre les débats sur la laïcité et la place des traditions religieuses dans l'espace public.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
L'invité de 7h50. Ce lundi, Martin Buxant reçoit Plantu.Dessinateur/caricaturiste du journal Le Monde durant 40 ans, distingué par de nombreux prix, Plantu évoque avec nous les 10 ans de l'attentat lié à Charlie-Hebdo.
Valérie Expert et Gilles Ganzmann reçoivent Plantu, journaliste et dessinateur pour reparler de l'année 2024
durée : 00:25:59 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Mardi 10 décembre 2024 : le dessinateur Plantu publie "L'année de Plantu 2024. Merci qui?", en novembre chez Calmann-Lévy.
Lecture musicale par Arthur H & Alejandro VanZandt-Escobar Rencontre avec Marie-José Mondzain, Nancy Huston, Jean Mouttapa, Olivier Mongin, Amina Meddeb & Hind Meddeb De par ses origines, Abdelwahab Meddeb se situe dans une lignée de théologiens, d'écrivains et de poètes. Cela explique la diversité de son approche à la fois érudite, philosophique, littéraire et historique. Peu avant sa mort en novembre 2014, deux ouvrages sont parus : Portrait du poète en soufi et Instants soufis. Ces deux livres sont emblématiques de ce qu'il était profondément : un poète soufi et un penseur. C'est cet aspect de son œuvre qui sera mis en lumière pour lui rendre hommage dix ans après sa disparition. Arthur H lira des extraits de carnets de voyage (à paraître chez Stock au printemps 2025), sur une création sonore d'Alejandro VanZandt-Escobar. Marie-José Mondzain, Nancy Huston évoqueront leurs souvenirs et échanges avec l'écrivain, Olivier Mongin rappellera le cheminement d'Abdelwahab Meddeb avec la revue Esprit, tandis qu'Amina Meddeb et Hind Meddeb présenteront L'islam au croisement des cultures, ouvrage posthume ainsi que la réédition du livre d'entretiens Face à l'Islam. Également projection d'un extrait du film d'Abraham Segal, De page en page (à l'occasion de l'exposition « L'aventure des écritures » à la BNF (1999), avec la participation d'Abdelwahab Meddeb, Jean-Claude Carrière, Jean Bottéro, Edwy Plenel, Plantu. À lire – Abdelwahab Meddeb, L'islam au croisement des cultures, Albin Michel, 2024 – Face à lslam, Textuel, rééd. 2024 – Instants soufis, Albin Michel, 2015 – Portrait du poète en soufi, Belin, 2014.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ce soir, il reçoit le dessinateur Plantu, à l'occasion à l'occasion de la parution de son dernier livre L'année de Plantu 2024.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ce soir, il reçoit le dessinateur Plantu, à l'occasion à l'occasion de la parution de son dernier livre L'année de Plantu 2024.
XXX revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, elle reçoit Plantu, dessinateur de presse et caricaturiste.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Ce jeudi (30 mai 2024), Guillaume Meurice était convoqué à une commission de discipline par la direction des Ressources humaines de Radio France. L'humoriste est menacé de licenciement de la radio France Inter après des propos polémiques concernant le Premier ministre Benyamin Netanyahu qualifié de « nazi sans prépuce ». Y a-t-il davantage de censure de l'humour aujourd'hui ? Comment continuer à faire rire ? Pour en débattre : - Christophe Alévêque, comédien, humoriste engagé, depuis plusieurs saisons, au Théâtre du Rond Point, où il présente un spectacle où il décortique l'actualité et ce qu'en dit la presse « le Stand-up revu(e) et corrigé de Christophe Alévêque » sera présenté les 22 et 23 juin- Plantu, dessinateur de presse célèbre pour avoir dessiné pendant 35 ans à la Une du journal Le Monde, caricaturiste et fondateur de Cartooning for Peace, un réseau international de dessinateurs de presse engagés qui combattent, avec humour, pour le respect des cultures et des libertés- Gilles Vervisch, professeur de philosophie, auteur de plusieurs livres qui rendent la philosophie accessible, humoriste, présente un spectacle entre stand up et conférence Êtes-vous sûr d'avoir raison ? qui est aussi publié aux éditions Flammarion.
Ce jeudi (30 mai 2024), Guillaume Meurice était convoqué à une commission de discipline par la direction des Ressources humaines de Radio France. L'humoriste est menacé de licenciement de la radio France Inter après des propos polémiques concernant le Premier ministre Benyamin Netanyahu qualifié de « nazi sans prépuce ». Y a-t-il davantage de censure de l'humour aujourd'hui ? Comment continuer à faire rire ? Pour en débattre : - Christophe Alévêque, comédien, humoriste engagé, depuis plusieurs saisons, au Théâtre du Rond Point, où il présente un spectacle où il décortique l'actualité et ce qu'en dit la presse « le Stand-up revu(e) et corrigé de Christophe Alévêque » sera présenté les 22 et 23 juin- Plantu, dessinateur de presse célèbre pour avoir dessiné pendant 35 ans à la Une du journal Le Monde, caricaturiste et fondateur de Cartooning for Peace, un réseau international de dessinateurs de presse engagés qui combattent, avec humour, pour le respect des cultures et des libertés- Gilles Vervisch, professeur de philosophie, auteur de plusieurs livres qui rendent la philosophie accessible, humoriste, présente un spectacle entre stand up et conférence Êtes-vous sûr d'avoir raison ? qui est aussi publié aux éditions Flammarion.
Plantu parle de son livre : 'L'Année de Plantu 2023'
Plantu, dessinateur
D'après la préfecture de police, 105.000 personnes ont défilé à Paris, avec en tête de cortège de nombreux politiques réunis derrière une banderole "Pour la République, contre l'antisémitisme". En tout, c'est 182.000 Français qui ont battu le pavé dans toute la France, d'après des chiffres du ministère de l'Intérieur. LFI avait décidé de ne pas participer à la marche, dénonçant la présence dans le cortège du RN et de Reconquête. Jean-Luc Mélenchon a estimé que le rassemblement était un échec. Emmanuel Macron, qui n'a pas participé à la marche, a appelé samedi dans une lettre aux Français à ne pas céder face à l'antisémitisme et à rester unis. On en parle avec : Manuel Valls, ancien Premier ministre. Haïm Korsia, grand rabbin de France. Robert Ménard, maire DVD de Béziers (Hérault). Laurent Neumann, éditorialiste politique BFMTV. Plantu, dessinateur et caricaturiste. Bruno Jeudy, éditorialiste politique BFMTV. Thierry Arnaud, éditorialiste politique internationale BFMTV. Jérôme Fourquet, sondeur et analyste politique à l'IFOP. Et Benjamin Dubois, journaliste BFMTV, dans la marche parisienne.
Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, Plantu, dessinateur, pour son livre "L'Année de Plantu 2023" aux éditions Calmann Lévy.
Toute l'actualité des médias, de la télé à la radio, de la presse écrite aux réseaux sociaux, des shows populaires aux publications les plus pointues, dénuée d'à-priori, mais non de bienveillance. Accompagné de chroniqueurs et de spécialistes, Thomas Isle décrypte chaque jour ce qui fait parler dans les médias.
À l'occasion de la 22ème édition du Festival du Documentaire et du Livre d'Albertville « Le Grand Bivouac », rencontre au chevet du monde avec le photographe Reza, le dessinateur Plantu et la réalisatrice Manon Loizeau. « Y croire encore », c'est le thème que s'est donné cette année le Festival du Documentaire et du Livre d'Albertville « Le Grand Bivouac » qui, depuis 22 ans, prend le monde à témoin à travers sa programmation documentaire internationale, des soirées thématiques et des rencontres. Un thème comme une invitation à ne pas renoncer aux autres, à la compréhension, à la beauté du monde et à la paix. Et en écho à ce thème, qui vient se heurter à l'actualité récente au Proche-Orient, on a réuni cette semaine trois grands témoins du monde qui, justement, n'oublient jamais l'homme dans les tourments de l'actualité dont ils sont les témoins privilégiés, les sentinelles ou les vigies. À commencer par le dessinateur de presse français Plantu qui, pendant 50 ans, a fait la Une du Monde, le quotidien français, le photographe d'origine iranienne Reza, mondialement connu pour ses images fortes et poignantes des conflits du monde qu'il couvre depuis plus de 40 ans. Ensemble, sur le Grand Bivouac, Reza et Plantu présentent leurs regards croisés mêlant avec poésie et engagement dessins et photos, en écho à l'exposition qui se tient actuellement à Paris au Musée de l'Homme : « Plantu-Reza: Regards croisés ». Avec la réalisatrice française Manon Loizeau, notre troisième invitée, nous parlerons de son dernier film : « La vie devant elle », un documentaire d'une infinie beauté et d'une profonde humanité, qui nous emmène au plus près du quotidien d'Elaha Iqbali une jeune Afghane et sa famille, en errance sur les routes d'Europe. En savoir plus:- Sur Le Grand Bivouac, festival du documentaire et du livre d'Albertville - Sur l'exposition « Plantu-Reza : regards croisés » qui se tient au Musée de l'homme à Paris jusqu'au 31/12/2023- Sur « La vie devant elle », le documentaire de Manon Loizeau avec Elaha Iqbali, visible sur le site de France 2/Infrarouge.
Vendredi 15 septembre, Frédéric Mazzella a reçu Jean Plantureux dit Plantu, dessinateur de presse, Emmanuel Canavelis, président et cofondateur de Missionme, et Cédric Van Daele, associé et directeur commercial chez Grality, dans l'émission Les pionniers chez Fred Mazzella sur BFM Business. Retrouvez l'émission tous les vendredi et réécoutez la en podcast.
Vendredi 15 septembre, les grandes étapes de son parcours, ainsi que ses passions ont été abordés par Plantu, dessinateur de presse, reçu par Frédéric Mazzella dans l'émission Les pionniers chez Fred Mazzella sur BFM Business. Retrouvez l'émission tous les vendredi et réécoutez la en podcast.
Direction Taïwan : Stellina Chen est une caricaturiste qui fait partie du collectif Cartooning for Peace. Cartooning for Peace permet de faire dialoguer les dessinateurs entre eux et de confronter leurs différentes nuances idéologiques. Son réseau donne une visibilité et un appui à ceux qui sont empêchés d'exercer librement leur métier ou dont la liberté est menacé. Avec sa plume, ou plutôt son coup de crayon, elle relate avec humour l'actualité mondiale. (Rediffusion du 2 octobre 2022)Stellina Chen : J'ai rejoint l'organisation Cartooning for Peace en 2018, et j'ai commencé à dessiner en 2017. Donc, au bout d'un an, j'ai postulé pour rejoindre l'organisation basée à Paris, créée par Plantu, le caricaturiste français. Ils nous aident à entrer en contact avec des médias français, mais leur but, c'est d'aider des caricaturistes dans le monde, dans des pays menacés par la dictature. Et maintenant, à cause de sa proximité avec la Chine, Taïwan est en haut de leur liste ! RFI : Comment procédez-vous pour trouver votre inspiration ?Je regarde l'actualité et je cherche pendant une heure quelque chose qui va m'intéresser, jusqu'à ce que je trouve un angle, une idée ou une petite phrase sur lesquels je puisse travailler. Le procédé est compliqué à expliquer : par exemple, lorsque que Nancy Pelosi est venue à Taïwan, tout le monde se rappelle son tailleur rose et ses chaussures blanches à talons hauts assez emblématiques. Donc, je me suis demandée comment je pourrais utiliser ça comme symbole, ce costume, que tout le monde pourrait reconnaître immédiatement, et comment je pourrais le transformer. Puis, j'ai pensé à la forme de Taïwan, quand on regarde, ça ressemble à un talon. Et comme elle utilisait cette excuse de visite à Taïwan pour marcher sur une ligne rouge, pour voir jusqu'où cette ligne allait d'ailleurs pour la Chine, je me suis dit que j'allais transformer le talon en forme de Taïwan en train de s'appuyer sur les doigts de pied de Xi Jinping, c'était parfait. C'était un point de rupture que je pouvais exploiter.En faisant ce genre de dessin, tout en étant taïwanaise, n'êtes-vous pas inquiète pour votre sécurité ?Pour être honnête, en vivant à Taïwan, je ne me sens pas menacée, on est toujours en sécurité à Taïwan, il n'y a pas de censure, et nous sommes bien protégés par notre gouvernement. Nous avons notre liberté. Mais oui, je ne me sentirai pas autant en sécurité en voyageant en Chine, ou même à Hong Kong maintenant. Je m'inquiète de la sécurité de manière générale. Mais il y a bien sûr une sorte de cyber-armée en ligne, sur Instagram, sur Twitter, je reçois une multitude de commentaires me disant de retourner dans mon pays, et c'est souvent à propos de dessins sur la Chine. Je ne pense même pas que ce soit des humains derrière tout ça, juste des messages générés automatiquement ! Donc parfois, je ne regarde même pas, je laisse couler.Pourquoi pensez-vous qu'il est important de mettre de l'humour dans des contextes qui sont parfois tragiques ?Le monde est plein d'actualités tragiques, constamment, et si l'on ne peut pas rire de certaines choses de temps en temps, ce serait vraiment triste. Par ailleurs, je pense que l'humour est une bonne façon pour les gens d'absorber de nouvelles informations, lorsque l'on rit de quelque chose, on l'intègre aussi, parfois sans s'en rendre compte. Par exemple, lorsque l'on lit un article, c'est au moins 1 000 mots, il faut se mettre dedans et peut-être qu'on laisse tomber en plein milieu, en se disant qu'on n'a pas le temps, ou bien que c'est trop de blabla… Mais un dessin, c'est très puissant. En cinq secondes, on perçoit l'humour, le sarcasme, ça s'imprime dans votre mémoire. Et cela vous prend cinq secondes pour dire « ah oui, tiens, on peut le voir comme ça ».À lire aussiQuinze ans après les caricatures danoises, où en est le dessin de presse ?
From a joint show with France's best-known political satire cartoonist Plantu and renowned Franco-Iranian photographer Reza at the Musée de l'Homme, to a celebration of street art at the Palais de Tokyo and along the banks of the Canal Saint-Denis, Eve Jackson brings you some of the best exhibitions of the summer in the city of lights.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
André Comte-Sponville, philosophe et auteur de "La clé des champs et autres impromptus" aux éditions PUF, répond aux questions de Sonia Mabrouk. Dans cet entretien, elle reçoit également le dessinateur de presse Plantu.
durée : 00:14:33 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Aujourd'hui, c'est le dessinateur et caricaturiste, Plantu. Il a publié "L'année de Plantu 2022 - Sale temps pour la planète" chez Calmann-Lévy graphic.
Dans la guerre que mène la Russie en Ukraine, son arme est son crayon : le dessinateur ukrainien Vladimir Kazanevsky, 72 ans, a dû s'exiler en Slovaquie en mars, mais il continue sans relâche de publier des caricatures. Ses dessins ont été publiés dans de nombreux journaux et magazines à travers le monde. Il a récemment reçu le Prix international du dessin de presse 2022, le Cartoonists Kofi Annan Courage in Cartooning Award, de la Freedom Cartoonist Foundation. « De simple caricaturiste qui haïssait la propagande, je me suis moi-même transformé en un propagandiste après le début de la guerre », résume Vladimir Kazanevksy dans les locaux parisiens de l'association Cartooning for peace, dont il est membre. Colloques, interviews à la presse, masterclass, inauguration de l'exposition où sont exposées ses œuvres au centre culturel de l'ambassade d'Ukraine (jusqu'au 18 décembre), le dessinateur a été très occupé lors de son passage dans la capitale française, qu'il connait bien pour y avoir vécu un temps dans les années 1990, vendant ses caricatures à Montmartre pour subsister. Né en 1950 dans la région de Sumy, dans le nord de l'Ukraine, Vladimir Kazanevsky, diplômé de l'Université d'État de Kharkiv, spécialisation « radio-physique cosmique » dans les années 70, n'a travaillé que quelques années dans cette spécialité, avant de commencer à vivre du dessin et de la caricature. Au fil de sa carrière, il a remporté plus de 500 prix dans le monde.« C'est un immense dessinateur, comme souvent les dessinateurs à l'Est, qui ont dû avoir des écoles d'art graphiques formidables et même si lui n'est pas passé par une école d'art, il a des bases graphiques incroyables. À travers lui, on comprend mieux son pays et le combat des Ukrainiens », confie son collègue et ami depuis plus de 20 ans, le dessinateur Plantu, fondateur de Cartooning for peace, l'association qui défend la liberté d'expression des dessinateurs de presse dans le monde entier. « Poutine a commencé à bombarder Kiev à la même heure qu'Hitler » Lorsque l'invasion russe de l'Ukraine a débuté, au petit matin du 24 février, Vladimir Kazanavesky, était, comme à son habitude, à sa table de travail, en train de dessiner une caricature « assez innocente ». « J'ai tout de suite compris que c'était la guerre, explique-t-il, parce que des amis dessinateurs de plusieurs pays d'Europe et même de Russie m'avaient prévenu peu avant ». Passé l'état de choc et de sidération, il se remémore une chanson russe de la Seconde Guerre mondiale : « le 22 juin, à 4 heures du matin, Kiev était bombardée, on nous informait que la guerre avait débuté », qui va lui inspirer une première caricature : « Je me suis dit que Poutine avait commencé à bombarder Kiev à la même heure qu'Hitler ». Son dessin représente le président russe et le Führer enveloppés par la faucheuse devant une carte de l'invasion de l'Ukraine. Vladimir Poutine avec le bouton rouge de l'arme nucléaire sur le front, Vladimir Poutine dans une télévision d'où s'écoulent des flots de sang, Vladimir Poutine et la faucheuse qui sort de son crâne : le caricaturiste multiplie les dessins du président russe ces derniers mois, une tâche qui lui coûte. « C'est très difficile pour moi, parce qu'il est l'incarnation du diable. Quand je dessine Poutine, je mets surtout l'accent sur ses yeux, des yeux enfoncés, rapprochés, des yeux de loup qui vous regardent comme sortant d'un trou noir du KGB. Quand je le dessine, c'est douloureux pour moi et lorsque j'ai terminé, je me sens vraiment très mal », avoue Vladimir Kazanevsky. Le rouge et le noir, les couleurs de la guerre Avant la guerre, l'artiste produisait des caricatures et des dessins très colorés. Mais lorsqu'il a fui, avec son épouse, en Slovaquie, en mars, il n'a emporté que deux crayons dans son sac à dos, un noir et un rouge. « J'ai soudain réalisé que ça n'était pas un hasard, parce que ces deux couleurs sont les couleurs de la guerre : le noir des ténèbres et le rouge du sang. Depuis lors, je n'ai plus changé de style et ça fait presque un an que je dessine comme ça ». De son exil, Vladimir Kazanevsky continue de dessiner la triste actualité qui secoue sa patrie. « Mon cœur, mon âme, ma tête, sont tout le temps en Ukraine et mon seul souhait est d'aider et surtout de combattre la propagande russe », affirme-t-il. Depuis le 24 février, il a coupé les ponts avec les caricaturistes russes qui soutiennent la guerre, mais reçoit encore parfois des commentaires outrés de leur part sur ses caricatures. « Cela signifie que j'ai visé juste », note-t-il avec malice. Après le début de l'invasion russe de son pays, Vladimir Kazanevsky, qui a toute sa vie parlé la langue de Pouchkine en famille comme au travail, s'est mis à l'ukrainien. C'est son épouse, d'origine russe, qui lui a soufflé l'idée dès le matin du 24 février. « On ne veut plus parler dans la langue de l'occupant », souligne le dessinateur. « Les héros ne sont pas intéressants pour les caricaturistes » Contrairement à la période soviétique, où il a eu affaire aux censeurs du KGB, Vladimir Kazanevsky affirme n'avoir jamais subi d'entrave à son travail depuis la chute de l'URSS. « Mais j'ai quand même ma propre autocensure, avec mes normes esthétiques et éthiques », explique-t-il. Autre limite : il ne critique ni l'armée ni le président ukrainien. « J'ai beaucoup critiqué Zelensky avant la guerre, j'ai publié beaucoup de caricatures, mais à partir du moment où il a fait son allocution, au tout début de la guerre, pour dire qu'il restait à Kiev et se battrait jusqu'à la victoire, il est devenu pour moi un sujet tabou. Il était devenu un héros, or les héros ne sont pas intéressants pour les caricaturistes ». Vladimir Kazanevsky affirme avoir déjà dessiné la caricature qu'il publiera à la fin de la guerre : Vladimir Poutine, en tenue de prisonnier dans une cellule, l'air morose, avec une chaine, à laquelle est attachée une grosse pierre en forme de Z, la lettre devenue le symbole de cette opération militaire russe en Ukraine. L'exposition des dessins originaux de Vladimir Kazanevsky et de caricatures du monde entier se tient jusqu'au 18 décembre au Centre culturel de l'ambassade d'Ukraine, 22 avenue de Messine, 75008 Paris. ► À lire aussi : Ukraine: Odessa privée d'électricité après une attaque de drones russes
Avec Plantu, dessinateur et journaliste
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit le dessinateur Jean Plantu.
Direction Taïwan : Stellina Chen est une caricaturiste qui fait partie du collectif Cartooning for Peace. Cartooning for Peace permet de faire dialoguer les dessinateurs entre eux et de confronter leurs différentes nuances idéologiques. Son réseau donne une visibilité et un appui à ceux qui sont empêchés d'exercer librement leur métier ou dont la liberté est menacé. Avec sa plume, ou plutôt son coup de crayon, elle relate avec humour l'actualité mondiale. J'ai rejoint l'organisation Cartooning for Peace en 2018, et j'ai commencé à dessiner en 2017. Donc, au bout d'un an, j'ai postulé pour rejoindre l'organisation basée à Paris, créée par Plantu, le caricaturiste français. Ils nous aident à entrer en contact avec des médias français, mais leur but, c'est d'aider des caricaturistes dans le monde, dans des pays menacés par la dictature. Et maintenant, à cause de sa proximité avec la Chine, Taïwan est en haut de leur liste ! Comment procédez-vous pour trouver votre inspiration ? Je regarde l'actualité et je cherche pendant une heure quelque chose qui va m'intéresser, jusqu'à ce que je trouve un angle, une idée ou une petite phrase sur lesquels je puisse travailler. Le procédé est compliqué à expliquer : par exemple, lorsque que Nancy Pelosi est venue à Taïwan, tout le monde se rappelle son tailleur rose et ses chaussures blanches à talons hauts assez emblématiques. Donc, je me suis demandée comment je pourrais utiliser ça comme symbole, ce costume, que tout le monde pourrait reconnaître immédiatement, et comment je pourrais le transformer. Puis, j'ai pensé à la forme de Taïwan, quand on regarde, ça ressemble à un talon. Et comme elle utilisait cette excuse de visite à Taïwan pour marcher sur une ligne rouge, pour voir jusqu'où cette ligne allait d'ailleurs pour la Chine, je me suis dit que j'allais transformer le talon en forme de Taïwan en train de s'appuyer sur les doigts de pied de Xi Jinping, c'était parfait. C'était un point de rupture que je pouvais exploiter. En faisant ce genre de dessin, tout en étant taïwanaise, n'êtes-vous pas inquiète pour votre sécurité ? Pour être honnête, en vivant à Taïwan, je ne me sens pas menacée, on est toujours en sécurité à Taïwan, il n'y a pas de censure, et nous sommes bien protégés par notre gouvernement. Nous avons notre liberté. Mais oui, je ne me sentirai pas autant en sécurité en voyageant en Chine, ou même à Hong Kong maintenant. Je m'inquiète de la sécurité de manière générale. Mais il y a bien sûr une sorte de cyber-armée en ligne, sur Instagram, sur Twitter, je reçois une multitude de commentaires me disant de retourner dans mon pays, et c'est souvent à propos de dessins sur la Chine. Je ne pense même pas que ce soit des humains derrière tout ça, juste des messages générés automatiquement ! Donc parfois, je ne regarde même pas, je laisse couler. Pourquoi pensez-vous qu'il est important de mettre de l'humour dans des contextes qui sont parfois tragiques ? Le monde est plein d'actualités tragiques, constamment, et si l'on ne peut pas rire de certaines choses de temps en temps, ce serait vraiment triste. Par ailleurs, je pense que l'humour est une bonne façon pour les gens d'absorber de nouvelles informations, lorsque l'on rit de quelque chose, on l'intègre aussi, parfois sans s'en rendre compte. Par exemple, lorsque l'on lit un article, c'est au moins 1 000 mots, il faut se mettre dedans et peut-être qu'on laisse tomber en plein milieu, en se disant qu'on n'a pas le temps, ou bien que c'est trop de blabla… Mais un dessin, c'est très puissant. En cinq secondes, on perçoit l'humour, le sarcasme, ça s'imprime dans votre mémoire. Et cela vous prend cinq secondes pour dire « ah oui, tiens, on peut le voir comme ça ». ► À écouter aussi : Quinze ans après les caricatures danoises, où en est le dessin de presse ?
ACTUABD - bande dessinée, manga, comics, webtoons, livres, BD
Coup double pour GEO et Moulinsart, qui publie non seulement leur treizième numéro de "Tintin c'est l'aventure", mais également leur second hors-série consacrée au dessinateur de presse Plantu. L'occasion pour nous de donner un coup de projecteur sur l'ancien éditorialiste graphique du Monde qui se consacre maintenant, dans Cartooning for Peace à soutenir ses homologues de tous pays. Une interview de Didier Pasamonik - Montage : Kelian Nguyen - Une production d'ActuaBD.com - Photo : Didier Pasamonik Song : We March Together – Courtesy of Patrick Patrikios -- Youtube audio library SI VOUS AVEZ AIMÉ, LIKEZ, PARTAGEZ ET ABONNEZ-VOUS !!!
durée : 02:59:58 - Le 6/9 - par : Christelle Rebière - Plantu, Dominique Bourg, philosophe spécialiste de l'écologie et Olivier Sidler, porte-parole de néGawatt, sont les invités du 6/9.
durée : 00:10:15 - L'invité de 7h50 - Plantu, dessinateur et caricaturiste, rend hommage dans le 7h50 à Jean-Jacques Sempé à l'annonce de son décès.
durée : 02:59:58 - Le 6/9 - par : Christelle Rebière - Plantu, Dominique Bourg, philosophe spécialiste de l'écologie et Olivier Sidler, porte-parole de néGawatt, sont les invités du 6/9.
L'univers du dessin est orpheline de l'un de ses plus grands artistes après la mort, jeudi 11 août, de Jean-Jacques Sempé à l'âge de 89 ans. Il avait notamment cocréé avec René Goscinny Le Petit Nicolas, une œuvre qui s'est vendu jusqu'à aujourd'hui à 15 millions d'exemplaires. Plantu, dessinateur et caricaturiste, lui rend hommage.
Açık Gazete'nin köşelerinden Haftanın Karikatürleri'nde İzel Rozental'in seçtiği ve anlattığı çizimler arasından Plantu'nün "Kitap" çizimi haftanın karikatürü seçildi.
Durant les fêtes de fin d'année, Europe 1 dresse le portrait de l'invité qui va passer la matinée dans son “club de l'hiver”.
Durant les fêtes de fin d'année, Europe 1 dresse le portrait de l'invité qui va passer la matinée dans son “club de l'hiver”.
Présenté par Thomas Isle, le club de l'hiver d'Europe 1 propose deux heures de bonne humeur, de découvertes culturelles et d'actu média.
Plantu est le plus célèbre dessinateur caricaturiste de France. Pendant 50 ans, ses dessins en une du quotidien Le Monde ont fait le bonheur des lecteurs. Mais qui est cet homme discret, timide qui est aujourd'hui sous protection policière au nom de la défense de la liberté d'expression ? Infatigable acteur de Paix, Plantu a fondé en 2006 avec Kofi Annan : Cartooning for Peace, une association pour défendre et protéger des caricaturistes du monde entier menacés dans leur pays. À l'occasion de la sortie de son livre "L'année de Plantu - 2021, les années Fioles" (éd. Calmann-Lévy), Jean Plantureux, alias Plantu revient sur son parcours, son enfance et sur ce destin hors norme de caricaturiste internationalement reconnu.
Piano Biden, Birmania, Macron, Barcellona, Cile, Plantu.
L'OEIL DANS LE RETRO lundi et jeudi à 14h. Une émission présentée par Julie Gabrielle Chaizemartin qui, occasionnellement, vous propose de réécouter des interviews réalisées il y a quelques temps, de mettre un œil sur nos archives sonores donc, ou plutôt une oreille ! Plantu vient d'annoncer qu'il quitte Le Monde, qu'il prend sa retraite après un bon-demi siècle de bons et loyaux services. A 70 ans, il lègue cette place prestigieuse au collectif "Cartooning for Peace" (qu'il a créé en 2006) qui serait donc promis à poursuivre son chemin à la Une du célèbre quotidien français. Dessins multiples, de femmes et d'hommes du monde entier. Plantu m'avait accordé une interview le 10 janvier 2015, 3 jours après l'attentat contre Charlie Hebdo, alors qu'il inaugurait une exposition qu'il présentait à la Villa Daumier, à Valmondois, dans le Val d'Oise. « Caricaturistes, fantassins de la démocratie » tel était le titre de cette exposition, mais aussi le titre d'un livre (chez Actes Sud) et d'un documentaire où le célèbre caricaturiste du journal Le Monde y rassemblait justement les dessins du collectif « Cartooning for Peace ». A l'époque, dans l'exposition Plantu me parle de Cabu, de ce collectif, de la caricature et de son engagement pour la démocratie, et aussi un peu de Daumier. On le réécoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En ce jour du 13 novembre, où nos pensées vont vers les victimes du Bataclan, un mois après l'assassinat de Samuel Paty, j'ai décidé de rediffuser un épisode que j'avais réalisé avec PLANTU en 2018. Nous avions alors discuté chez lui à l'occasion de la sortie d'un de ces livres, je découvrais en profondeur son parcours incroyable mais aussi son engagement dans les écoles avec Cartooning For Peace, association qu'il a créée il y a 15 ans. Expliquer le dessin de presse, la caricature, la liberté d'expression, débattre d'une image, mais surtout ne jamais cesser de dialoguer avec les enfants pour développer leur esprit critique. Voilà le coeur du projet. Plus d'un million et demi d'élèves ont été touchés par les expositions pédagogiques de Cartooning for Peace depuis 2013, 4 000 jeunes ont assisté à des ateliers et conférences en 2018/2019. Deux ans après notre interview, rien n'a changé et le travail de Plantu revêt une importance encore plus cruciale. Avec son association, ils ont inventé "une pédagogie originale" avait-il dit alors, mais encore "trop peu reproduite". Qu'est-ce qu'on attend ? Bonne écoute avec Impact Positif.
Le dessinateur et caricaturiste de presse Plantu confie au micro de Wendy Bouchard sur Europe 1 les significations de ses derniers dessins, et parle des photos et des textes qui l'ont marqué ces derniers jours.