Podcasts about calmann l

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Appels sur l'actualité
[Vos questions] Turquie : vives réactions après l'arrestation du maire d'Istanbul

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur la production de drogues au Kenya, les tensions entre Benyamin Netanyahu et la justice et la suppression du ministère de l'Éducation aux États-Unis. Turquie : vives réactions après l'arrestation du maire d'Istanbul  Ekrem Imamoglu, maire de la capitale économique et principal rival du président Recep Tayyip Erdoğan, a été arrêté puis incarcéré pour « corruption ». Pourquoi l'opposition dénonce-t-elle un « coup d'État » ? Cette arrestation peut-elle entraver la candidature de l'opposant à l'élection présidentielle de 2028 ?Avec Anne Andlauer, correspondante de RFI à Istanbul. Kenya : nouvelle plaque tournante de la drogue ?  Un rapport sur la stratégie internationale du contrôle des stupéfiants du département d'État américain alerte sur la situation au Kenya, présenté comme une plateforme mondiale du trafic de stupéfiants. Pourquoi le pays est-il devenu attractif pour les narcotrafiquants ? Des mesures sont-elles mises en place pour lutter contre ce fléau ?Avec Gaëlle Laleix, correspondante permanente de RFI à Nairobi.   Israël : pourquoi Benyamin Netanyahu veut-il limoger le chef du Shin Bet ?  À la suite des recours déposés par l'opposition, la Cour suprême a suspendu la décision du gouvernement de limoger Ronen Bar, chef des renseignements intérieurs. Pourquoi le Premier ministre israélien dit-il ne plus faire confiance au chef du Shin Bet ? Comment expliquer que les Israéliens dénoncent une « dérive autocratique » dans le pays ? Avec Denis Charbit, professeur de Sciences politiques à l'Open University of Israel près de Tel Aviv. Auteur de l'ouvrage Israël, l'impossible État normal (éditions Calmann-Lévy, 2024).  États-Unis : pourquoi Donald Trump démantèle le département de l'Education ?  Le président américain Donald Trump a signé un nouveau décret visant à « éliminer » définitivement le «ministère» de l'Éducation. Quelles sont les raisons de ce démantèlement ? Quel impact ce décret peut avoir sur les étudiants venus de l'étranger ? Avec Pierre Gervais, professeur de Civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle. Auteur du livre Histoire des États-Unis de 1860 à nos jours (éditions Hachette Éducation).

C'est arrivé demain
Monique Canto-Sperber, philosophe, pour « La liberté cherchant le peuple » chez Calmann-Lévy

C'est arrivé demain

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 16:11


Monique Canto-Sperber défend un "libéralisme populaire" inspiré du XVIIe siècle, affirmant que le libéralisme peut être un outil d'émancipation pour le peuple en défendant les libertés individuelles et la responsabilisation personnelle.Elle souligne l'importance de l'État de droit, avec ses principes d'égalité devant la loi et d'indépendance de la justice, pour protéger les libertés. Elle reconnaît des dysfonctionnements dans son application, mais réaffirme la nécessité de l'État de droit.Monique Canto-Sperber critique également l'"hypertrophie du pouvoir exécutif" aux États-Unis, qui menace l'indépendance de la justice et les fondements de la démocratie libérale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Géopolitique, le débat
Guerre d'Ukraine : la fin de l'isolement russe

Géopolitique, le débat

Play Episode Listen Later Feb 23, 2025 50:00


L'histoire s'accélère. Et Vladimir Poutine n'a jamais été aussi près de gagner sa guerre en Ukraine. Après trois ans de combats acharnés qui ont fait des centaines de milliers de victimes des deux côtés ; pour le président russe, la promesse de négociations est un premier pas vers une fin de la guerre aux conditions russes. C'est aussi un formidable renversement de situation. Alors que Joe Biden refusait les propositions de sommet de Vladimir Poutine et cherchait à maintenir isolé le dirigeant du Kremlin, l'approche de Trump est comme on pouvait s'y attendre aux antipodes de celle de son prédécesseur. Le Chef de la Maison Blanche est même allé jusqu'à endosser le discours du Kremlin en accusant l'Ukraine d'avoir initié la guerre. Voilà la Russie subitement sortie d'une ostracisation diplomatique longue de trois ans. Et l'UE mise sur la touche de manière ostentatoire.Le grand rêve de Moscou semble prendre chair : la mise à mal de l'alliance transatlantique, c'est une victoire pour Poutine. La glace est brisée. L'isolement terminé.Invités :  Marie Mendras, professeure à Sciences Po, membre de la revue Esprit. Dernier ouvrage : « La guerre permanente. L'ultime stratégie du Kremlin », éd. Calmann-Lévy 2024 Galia Ackerman, historienne, spécialiste de la Russie et d'Ukraine. Directrice de la rédaction de Desk Russie Jean de Gliniasty, ancien ambassadeur de France en Russie. Directeur de Recherche à l'IRIS. «Géopolitique de la Russie», éditions Eyrolles 

Laissez-vous Tenter
LIVRES - Pierre Lemaitre se confie à l'occasion de la sortie de "Un avenir radieux" chez Calmann-Lévy

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Jan 28, 2025 9:41


Pierre Lemaître signe le livre le plus attendu de l'année : "Un avenir radieux", chez Calmann-Lévy. Le 3e tome de sa tétralogie "Les années glorieuses", déjà vendue à 1,2 millions d'exemplaires et qui raconte le destin de la famille Pelletier. Antoine Leiris l'a rencontré à Vincennes, en région parisienne, pour la première de sa série de signatures partout en France. L'occasion d'échanger avec ses lecteurs, et de parler avec lui du lien qu'il entretient avec eux.

La marche du monde
De Reillanne à Auschwitz, des juifs trahis par leur France

La marche du monde

Play Episode Listen Later Jan 25, 2025 48:30


Au village de Reillanne, c'est le jour de la commémoration. On se souvient de la dernière rafle opérée par les autorités de Vichy sur le territoire français en Mai 1944, à la demande des nazis. 54 vies arrachées à l'humanité, internées puis déportées en Pologne pour être exterminées à Auschwitz. À l'heure où les derniers témoins disparaissent, il est plus que jamais nécessaire de raconter avec précision l'histoire de chaque enfant, de chaque femme, de chaque homme assassiné par les nazis parce que juif.C'est le travail minutieux de notre invitée historienne Annette Becker. Dans son livre publié dans la collection Témoins chez Gallimard «Des juifs trahis par leur France 1939-1944», elle sait nous raconter des vies en mots d'amour, en souffrance, en espoir, des vies en croyance de la France patrie des droits de l'homme, des vies jusqu'au bout en résistance. Celles du camp de Reillanne, village du sud de la France dont nous vous partageons la commémoration. Celle du célèbre peintre Otto Freundlich, soutenu jusqu'au bout par son amoureuse Jeanne Kosnick-Kloss, et celle de son grand-oncle Pierre Ignace, raflé le 12 décembre 1941, interné à Compiègne puis déporté à Auschwitz-Birkenau par le convoi N° 1 du 27 mars 1942.De Reillanne, où Daphné Gastaldi s'est rendue en reportage, à Auschwitz, où Cyril Etienne et Guélia Pevnez sont allés interviewer le directeur du Musée d'État Piotr Cywinski, cet épisode de La marche du monde est dédié à la mémoire de chacune des victimes de la Shoah.À lire et à voir pour les 80 ans de la libération du camp d'Auschwitz, le 27 janvier 1945 :- « Des juifs trahis par leur France. 1939-1944 », de l'historienne Annette Becker, spécialisée dans l'étude des deux grandes guerres et des génocides des XXème et XXIème siècles. Collection Témoins-Gallimard. - « Auschwitz. Monographie de l'humain », de Piotr M. A. Cywiński, directeur du musée d'État d'Auschwitz-Birkenau. Publié par Calmann-Lévy et le Mémorial de la Shoah.- « Auschwitz, des survivants racontent », une série documentaire magistrale en 5 épisodes, où l'on découvre 44 récits de survivants, dont la réalisatrice Catherine Bernstein a su faire un grand récit à 44 voix pour l'Histoire. Diffusion lundi 27 janvier 2025 sur France 2 à 21h10.Ressources documentaires : Mémorial de la Shoah Auschwitz-Birkenau : histoire et présentReillanne, une mémoire vivante de la rafle, un reportage de Daphné Gastaldi. Le 12 mai 1944, une des dernières rafles avait lieu en Provence, à Reillanne (Basses-Alpes). Quatre-vingt ans après, une cérémonie a rendu hommage à ces victimes, 54 juifs étrangers d'origine russe, polonaise, tchèque ou germano-autrichienne transférés à Auschwitz. Les noms ont été lus au micro pour leur rendre hommage, lors de la cérémonie. Près de 600 personnes ont été déportées dans ce département. Pourtant, ce camp de Reillanne est méconnu, alors qu'il était dans la constellation du camp des Milles, à Aix-en-Provence. La France était « trouée d'au moins deux cents camps » qui ont contribué au programme génocidaire du Troisième Reich, précise l'historienne Annette Becker dans son dernier livre « Des juifs trahis par leur France – 1939-1944 ».Sur place, le jour de l'inauguration, la résistante et fondatrice de l'association Basses Alpes 39-45 Thérèse Dumont, aidée par son fils, se souvient de l'inauguration de la première plaque il y a 30 ans, à l'époque incomplète et peu accessible au public. Une habitante du village, Anne-Marie Gerbier, se rappelle avec effroi venir en vacances à côté de ce camp et avoir côtoyé les détenus sans savoir, lorsqu'elle était enfant.Pour que l'histoire ne soit pas effacée, des lycéens de Manosque ont fabriqué une plaque commémorative mentionnant clairement cette rafle du 12 mai 1944, sur l'ancien camp d'internement de Notre-Dame-des-Prés, et accessible dès la route pour le public. Leur enseignant d'histoire et coordinateur du projet, David Soulard, nous guide dans l'ancien camp, où il ne reste aucune trace du passé. Au micro de RFI, Annette Becker, et Jan Lambertz, une archiviste américaine qui travaille au fond sur la Shoah de l'USHMM, racontent leurs recherches pour retracer le parcours des anciens détenus. Isabelle Grenut, adjointe à la mairie de Reillanne et historienne de formation, explique les conditions de vie à l'époque dans le camp. 

Laissez-vous Tenter
LES LIVRES ONT LA PAROLE - Rencontre avec Pierre Lemaître

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Jan 25, 2025 4:05


Pour le livre le plus attendu de l'année, "Un avenir radieux", chez Calmann-Lévy. Troisème des quatre tomes prévus pour sa tétralogie, "Les années glorieuses", déjà vendue à 1,2 millions d'exemplaires et qui raconte le destin de la famille Pelletier.

Focus
CULTURE - Pierre Lemaitre revient sur le succès de son dernier roman "Un avenir radieux"

Focus

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 14:32


"Un avenir radieux", chez Calmann-Lévy, est le troisième des quatre tomes prévus pour tétralogie "Les années glorieuses" de Pierre Lemaitre, déjà vendu à 1,2 million d'exemplaires. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

RTL Soir
TOUT SAVOIR SUR - CULTURE - Pierre Lemaitre revient sur le succès de son dernier roman "Un avenir radieux"

RTL Soir

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 14:32


"Un avenir radieux", chez Calmann-Lévy, est le troisième des quatre tomes prévus pour tétralogie "Les années glorieuses" de Pierre Lemaitre, déjà vendu à 1,2 million d'exemplaires. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

RTL Midi
TOUT SAVOIR SUR - CULTURE - Pierre Lemaitre revient sur le succès de son dernier roman "Un avenir radieux"

RTL Midi

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 14:32


"Un avenir radieux", chez Calmann-Lévy, est le troisième des quatre tomes prévus pour tétralogie "Les années glorieuses" de Pierre Lemaitre, déjà vendu à 1,2 million d'exemplaires. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

Nouveau Départ
L'avenir de l'automobile

Nouveau Départ

Play Episode Listen Later Jan 23, 2025 54:51


Dans ce nouvel épisode du podcast Nouveau Départ, je reçois Sarah Zitouni, directrice de la stratégie chez Aurobay, en Suède. Passionnée d'automobile depuis son enfance, Sarah pose un regard expert sur les mutations du secteur automobile et les grands enjeux qui le traversent. En parallèle, elle est la fondatrice de PowHER ta carrière, un réseau qui aide des milliers de femmes à prendre leur place dans le monde du travail. Dans cet épisode, nous discutons de l'avenir de l'automobile : la montée en puissance des constructeurs chinois, l'électrification, Volkswagen, les constructeurs européens, les enjeux géopolitiques et les défis économiques qui redessinent les équilibres mondiaux. J'ai trouvé cette conversation passionnante ! Je ne saurais trop vous recommander de l'écouter.Au fil de notre conversation, nous discutons avec Sarah de :* l'origine de sa passion pour l'automobile ;* sa carrière dans l'automobile ;* la crise des constructeurs européens, avec des fermetures d'usines comme celles annoncées par Volkswagen ;* comment les constructeurs chinois se sont imposés dans le marché des voitures électriques ;* Musk et Tesla ;* les éventuels futurs droits de douane de Trump et leur impact ;* les nouveaux comportements des consommateurs ;* les concessionnaires et le marché de seconde main ;* la promesse ratée des voitures autonomes ;* la voiture de demain…Elon Musk et l'extrême-droite allemande : clefs pour comprendre : article Nouveau Départ de Laetitia & Nicolas.Volkswagen : l'Allemagne va-t-elle enfin tourner la page du XXe siècle ? : article Nouveau Départ de Laetitia.L'inflation et les limites du progrès technologique : des années 1970 à aujourd'hui : article Nouveau Départ de Nicolas.Le média de la transition* “À deux voix”, nos conversations à bâtons rompus sur l'actualité* Des interviews de personnalités remarquables (écrivains, entrepreneurs…)* Des articles sur le travail et l'économie* Une vision engagée, des clefs pour aller au fond des choses* Nos abonnés : des professionnels et citoyens engagés* Des nouvelles de nos travaux et de nos projetsQui nous sommes* Laetitia | Fondatrice de Cadre Noir, collabore avec Welcome to the Jungle, autrice de Du Labeur à l'ouvrage (Calmann-Lévy, 2019) et En finir avec la productivité. Critique féministe d'une notion phare de l'économie et du travail (Payot, 2022).* Nicolas | Cofondateur de la société The Family, ancien chroniqueur à L'Obs, auteur de L'Âge de la multitude (avec Henri Verdier, Armand Colin, 2015) et Un contrat social pour l'âge entrepreneurial (Odile Jacob, 2020).Nous sommes mariés depuis 17 ans. Après avoir vécu près de 10 ans à Londres puis à Munich, nous sommes revenus en France en août 2024. Nouveau Départ est le média que nous avons conçu ensemble au printemps 2020 pour mieux nous orienter dans l'incertitude.Nos podcasts sont également accessibles sur Apple Podcasts et Spotify. Nouveau Départ a sa page LinkedIn et son compte Twitter : @_NouveauDepart_. Suivez-nous aussi individuellement sur LinkedIn (Laetitia & Nicolas). This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit nouveaudepart.substack.com

Nouveau Départ
Retour au pays et hybridation

Nouveau Départ

Play Episode Listen Later Jan 16, 2025 65:41


Dans ce nouvel épisode du podcast Nouveau Départ, je m'entretiens avec Pauline Rochart, consultante, autrice, et “sociologue de l'expérience”. Pauline vient de publier Ceux qui reviennent aux éditions Payot, un livre passionnant qui explore le phénomène des "revenants" : ces Français qui, après avoir vécu et travaillé à Paris, décident de retourner dans leur région d'origine. À travers son récit personnel, des entretiens et de nombreuses lectures, elle met en lumière une quête de sens, de racines et de communauté qui résonnent profondément aujourd'hui. Depuis que je suis rentrée, je suis sûre d'une chose : j'ai toujours des convictions, mais de moins en moins de certitudes.Le retour est un phénomène d'hybridation. Et s'hybrider, c'est accepter de se laisser questionner, chambouler par l'autre.Au fil de notre conversation, nous discutons avec Pauline de :* ceux qui reviennent ;* son retour à Dunkerque ;* ses réflexions sur l'hybridation identitaire que ce choix implique ;* le télétravail, le travail indépendant et les combinaisons différentes dans les couples ;* les somewhere et les anywhere et l'écueil de la binarité ;* le mythe de l'archipellisation de la société ;* les revenants “traits d'union” ;* le rapport au territoire et à l'identité ;* le voyage intérieur qui accompagne toute mobilité ;* le syndrome du cul entre deux chaises ;* ceux qui reviennent de l'étranger…Ceux qui reviennent… et créent du lien : mon article Nouveau Départ, Nouveau TravailAvec Pauline, nous avons enregistré plusieurs podcasts Nouveau Départ qui n'ont rien perdu de leur actualité

Idées
Jules Sergei Fediunin, historien, politiste, docteur en sciences politiques

Idées

Play Episode Listen Later Jan 12, 2025 48:30


Jules Sergei Fediunin, historien, politiste, docteur en sciences politiques. Ses travaux portent sur le nationalisme et la circulation des idées politiques en Russie et dans l'espace de l'ex-Union soviétique. Il vient d'écrire Les nationalismes russes – Gouverner, mobiliser, contester dans la Russie en guerre aux éditions Calmann-Lévy.

Idées
Jules Sergei Fediunin, historien, politiste, docteur en sciences politiques

Idées

Play Episode Listen Later Jan 12, 2025 48:30


Jules Sergei Fediunin, historien, politiste, docteur en sciences politiques. Ses travaux portent sur le nationalisme et la circulation des idées politiques en Russie et dans l'espace de l'ex-Union soviétique. Il vient d'écrire Les nationalismes russes – Gouverner, mobiliser, contester dans la Russie en guerre aux éditions Calmann-Lévy.

Les histoires de 28 Minutes
Tensions avec Alger, l'alliance Trump/Musk, polar : Le Club international de 28'

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jan 11, 2025 46:04


L'émission 28 minutes du 11/01/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Jon Henley, correspondant Europe pour le quotidien “The Guardian” ; Eva Morletto, correspondante à Paris pour le magazine italien “Grazia” ; Martial Ze Belinga, économiste et sociologue et le dessinateur de presse Philippe Geluck.  Derrière les “influenceurs”, l'offensive du régime algérien contre la France ? Ces derniers jours, plusieurs “influenceurs” algériens ou franco-algériens ont été interpellés en France pour avoir tenu des propos haineux ou lancé sur TikTok des appels à la violence contre des opposants au régime algérien qui sont en France. Les tensions politiques entre les gouvernements français et algérien sont vives en ce moment, notamment depuis l'arrestation et la détention de l'écrivain Boualem Sansal. Certains activistes sont convaincus que ces “influenceurs” agissent sur commande du pouvoir algérien. Le 30 décembre, son président, Abdelmadjid Tebboune, a lancé des diatribes violentes contre l'État français et a qualifié l'écrivain “d'imposteur”.  Jusqu'à quel point Donald Trump et Elon Musk peuvent-ils changer le monde ? Donald Trump, bientôt l'homme politique le plus puissant du monde, et Elon Musk, le chef d'entreprise le plus riche du monde, vont gouverner ensemble les États-Unis à partir du 20 janvier, jour de l'investiture du président américain. Avant même leur entrée en fonction officielle, ils occupent largement la scène médiatique. Donald Trump revendique des territoires étrangers comme le Canada et Elon Musk fait preuve d'ingérence dans des élections en Europe, notamment en Allemagne où il soutient l'AfD. Ce dernier utilise son réseau social X pour redéfinir les règles de la liberté d'expression qui n'a plus de limite. Contrairement à 2016, Donald Trump ne semble plus faire preuve d'isolationnisme. Jusqu'où iront l'appétit et les ambitions de ces nouveaux “maîtres du monde” ?  Française installée en Suède, Johana Gustawsson est devenue l'une des autrices phares du polar international avec sa série “Roy & Castells”. Elle publie un nouveau thriller “Les Morsures du Silence” aux éditions Calmann-Lévy. L'intrigue se déroule chez elle, à Lindingö en Suède, où le corps d'un adolescent est retrouvé le crâne fracassé. Son héroïne Maïa, une policière française, mène l'enquête aux côtés du policier suédois Aleks. Elle explore ainsi son propre parcours d'expatriée en Suède.  Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins espagnols où les “hôtels capsules” se multiplient à Madrid pour répondre à la crise du logement. Ces lieux d'hébergement conçus sur le modèle japonais consistent en des boîtes de deux mètres carrés. En Espagne, ils visent les visiteurs de passage mais aussi tous ceux qui ne peuvent pas se permettre de payer un loyer dans la capitale, selon le quotidien espagnol “El País”.  Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Romano Mussolini, héritier du dictateur dont il porte le nom mais aussi footballeur professionnel en Italie. Il vient de marquer son premier but en deuxième division, avec un maillot floqué au nom de son arrière-grand-père. Il entretient ainsi auprès des supporters toutes sortes de fantasmes, dans un pays gouverné par l'extrême droite de Giorgia Meloni.  Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision britannique. Au Royaume-Uni, l'affaire des “grooming gangs” resurgit et déstabilise le pouvoir. Elon Musk a accusé le Premier ministre, Keir Starmer, d'avoir fauté dans cette affaire de viols collectifs orchestrés par des gangs majoritairement d'origine pakistanaise, datant des années 2010, alors qu'il était directeur des poursuites publiques.  Une exposition au musée de la Musique, à Paris, rend en ce moment hommage au “Boléro”, chef-d'œuvre répétitif de Maurice Ravel, à l'occasion du 150e anniversaire de la naissance du compositeur. Toutes les 15 minutes, cette composition commence quelque part dans le monde. Paola Puerari se demande pourquoi ce refrain universel a autant de succès. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi n'y a-t-il pas de remède contre le rhume ?  28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio.  Enregistrement : 11 janvier 2025 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio

Culture en direct
La littérature russe à l'honneur, avec les traductrices Claire Delaunay et Emma Lavigne

Culture en direct

Play Episode Listen Later Jan 4, 2025 58:47


durée : 00:58:47 - La Conversation littéraire - par : Mathias Énard - Alors que deux nouvelles traductions paraissent "Le peuple est immortel" de Vassili Grossman aux éditions Calmann-Lévy et "Les frères Karamazov" de Fiodor Dostoïevski aux éditions Gallmeister, Mathias Enard s'entretient avec les deux traductrices Claire Delaunay et Emma Lavigne. - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Emma Lavigne Traductrice et interprète; Claire Delaunay Universitaire et traductrice.

Vous m'en direz des nouvelles !
Tyriek White, les Afro-Américains de New-York pleins d'esprit entre passé et présent (Rediffusion)

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later Dec 31, 2024 48:30


L'étoile montante de la littérature américaine, Tyriek White converse avec Les Fantômes de Brooklyn et raconte la condition afro-américaine du célèbre quartier de New-York. Un premier roman nourri par l'histoire, la spiritualité et l'esclavage des afro-descendants dont il est l'héritier.(Rediffusion du 25.09.24) À travers Les Fantômes de Brooklyn, Tyriek White plonge dans l'histoire et la culture afro-américaine, pour en livrer un récit à la fois personnel et contemporain. Il s'adresse aux morts et questionne le souvenir de ses ancêtres. Les fantômes du passé sont omniprésents, pour raconter les souffrances ainsi que l'esclavage des populations noires américaines. Un ouvrage qui brouille les frontières entre passé et présent, vivants et morts ou encore rêve et réalité. Les fantômes convoqués par Tyriek White permettent de faire le lien en l'histoire et la condition des afro-descendants du quartier de Brooklyn.Tyriek White est l'invité, cette année, du Festival America à Vincennes, près de Paris. Son premier roman est traduit en français par Romain Guillou.Tyriek White est l'invité de VMDN. Les Fantômes de Brooklyn est paru aux éditions Calmann-Lévy.

Vous m'en direz des nouvelles
Tyriek White, les Afro-Américains de New-York pleins d'esprit entre passé et présent (Rediffusion)

Vous m'en direz des nouvelles

Play Episode Listen Later Dec 31, 2024 48:30


L'étoile montante de la littérature américaine, Tyriek White converse avec Les Fantômes de Brooklyn et raconte la condition afro-américaine du célèbre quartier de New-York. Un premier roman nourri par l'histoire, la spiritualité et l'esclavage des afro-descendants dont il est l'héritier.(Rediffusion du 25.09.24) À travers Les Fantômes de Brooklyn, Tyriek White plonge dans l'histoire et la culture afro-américaine, pour en livrer un récit à la fois personnel et contemporain. Il s'adresse aux morts et questionne le souvenir de ses ancêtres. Les fantômes du passé sont omniprésents, pour raconter les souffrances ainsi que l'esclavage des populations noires américaines. Un ouvrage qui brouille les frontières entre passé et présent, vivants et morts ou encore rêve et réalité. Les fantômes convoqués par Tyriek White permettent de faire le lien en l'histoire et la condition des afro-descendants du quartier de Brooklyn.Tyriek White est l'invité, cette année, du Festival America à Vincennes, près de Paris. Son premier roman est traduit en français par Romain Guillou.Tyriek White est l'invité de VMDN. Les Fantômes de Brooklyn est paru aux éditions Calmann-Lévy.

Le van Beethoven
Jean-Pierre Rampal, superbe musicalité et présence charismatique

Le van Beethoven

Play Episode Listen Later Dec 18, 2024 88:47


durée : 01:28:47 - Jean-Pierre Rampal - par : Aurélie Moreau - Musicien éblouissant, Jean-Pierre Rampal a fait accéder la flûte à la célébrité mondiale : « Je ne doutais absolument pas du but de ma vie : faire de la flûte un instrument de concertiste au même titre que le violon et le piano… » (Calmann-Lévy).

Librairie Mollat
Jean-Christophe Rufin - Sur le fleuve Amazone, carnet de voyage

Librairie Mollat

Play Episode Listen Later Dec 18, 2024 59:32


"Sur le fleuve Amazone : carnet de voyage" aux éditions Calmann-Lévy. Entretien avec Jean-Claude Raspiengeas.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le monde d'Elodie
Plantu nous dessine 2024 : "mon boulot, c'est aussi d'énerver".

Le monde d'Elodie

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 25:59


durée : 00:25:59 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Mardi 10 décembre 2024 : le dessinateur Plantu publie "L'année de Plantu 2024. Merci qui?", en novembre chez Calmann-Lévy.

Le six neuf
Daniel Cohn-Bendit / Jean-Christophe Rufin

Le six neuf

Play Episode Listen Later Dec 1, 2024 180:00


durée : 03:00:00 - Le 6/9 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Elodie Royer, Mathilde Khlat - Aujourd'hui dans le 6/9, nous recevons l'ancien député européen Les Verts (1994-1999), puis Les Verts/Alliance libre européenne (1999-2014) Daniel Cohn-Bendit à 7h50. Puis, à 8h20, l'auteur Jean-Christophe Rufin, pour son dernier livre “Sur le fleuve Amazone, carnet de voyage” (Calmann Lévy). - réalisé par : Marie MéRIER

La Matinale de 19h
Marie Mendras, Professeure à Sciences Po, pour parler de la guerre en Ukraine & Monia Aljalis, pour son roman L'extase

La Matinale de 19h

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024


Ce soir, Agathe fait l'animation de cette Matinale Dans l'interview, Nina questionne Marie Mendras, Professeure à Sciences Po Paris,  auteure de La guerre permanente. L'ultime stratégie du Kremlin, Calmann-Lévy, 2024. Ensemble, elles parlent de la guerre en Ukraine et du contexte géopolitique autour de cette guerre. Dans le ZOOM, Maïwenn discute avec Monia Aljalis, pour parler de son roman L'extase, paru en juillet. Fabrice intervient pour une double mission : il fait le flash-info, mais il fait également une chronique, dans laquelle il parle des objectifs du développement durable. En parlant de chronique, Willhem en fait une, où elle parle de l'impact d'algues sur les côtes. Animation : Agathe // Interview : Nina // Zoom : Maïwenn Filiol // Chroniques : Willhem Desclaux & Fabrice Tiercy // Réalisation : Guilhem // Coordination : Maïwenn Filiol & Alice Marmond  

Bookmakers
Mona Chollet (1/3)

Bookmakers

Play Episode Listen Later Nov 27, 2024 53:01


Le sourire de Mona, lisant  « J'écris pour y voir plus clair. Et, en fonction, changer mes comportements, ma perception, ma vie. » D'où proviennent les intuitions de Mona Chollet ? Comment « décantent » ses idées, comment « vagabonde » son imagination ? Quelle est sa dette envers l'écrivaine canadienne Nancy Huston ou l'essayiste française Annie Le Brun ? De quelle façon cette grande timide a-t-elle été « sauvée par internet » ? Dans ce premier épisode du premier numéro de « Bookmakers » consacré aux essais, remontons aux origines de la prodige genevoise : son premier journal autoproduit, sa passion inattendue pour « Star Wars », son ennui à l'école du journalisme de Lille, son année à « Charlie Hebdo », la création décisive du site « Périphéries » ou son arrivée au « Monde Diplo ». Avant d'évoquer ses deux premiers ouvrages : « Marchands et citoyens », sur « les usages créatifs et désintéressés » du web (L'Atalante, 2001), et « La tyrannie de la réalité », sur notre besoin physiologique de rêve (Calmann-Lévy, 2004). Des essais qui restaient à transformer, déjà ornés du sourire de Mona, lisant.  L'autrice du mois : Mona CholletNée à Genève en 1973, « obsédée par le fait de lire, de s'informer et de changer le monde », la journaliste suisse Mona Chollet est devenue pour toute une génération de féministes un modèle d'intelligence, de sensibilité et de précision. Depuis le début des années 2000, via une dizaine d'essais érudits (« Beauté fatale », « Sorcières », « Réinventer l'amour »), elle analyse remarquablement les mécanismes de domination (masculine, capitaliste, professionnelle – ou les trois à la fois), en partageant son admiration pour la poésie de Mahmoud Darwich ou la prose engagée de Susan Sontag, pour les séries « Mad Men » ou « La Fabuleuse Madame Maisel », le tout entremêlé de confidences personnelles ou tirées de son cercle d'amies. Elle vit et travaille à Paris.  Enregistrements : septembre 2024 - Réalisation : Charlie Marcelet - Mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Sylvain Cabot - Chant, beatmaking : Élodie Milo - Musiques originales : Samuel Hirsch - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son : Mathilde Guermonprez - Montage : Gary Salin - Lectures : Delphine Saltel - Production : ARTE Radio

Travelling - La 1ere
Shining (The Shining), Stanley Kubrick, 1980

Travelling - La 1ere

Play Episode Listen Later Nov 17, 2024 56:21


Sʹil est un film emblématique du 7e art, cʹest celui-ci ! Shining, de Stanley Kubrick sorti en 1980. Particulier, il inscrit lʹhorreur au rang dʹart. Cʹest un film qui fait trembler des générations de spectateurs et de spectatrices et craindre à jamais les séjours en montagne. Shining, cʹest tout simplement culte ! Le film éclaire non seulement lʹœuvre du romancier Stephen King…oui on dit Steven King et pas Stephen King… et ajoute un chef-dʹœuvre de plus au réalisateur Stanley Kubrick, tout en propulsant Jack Nicholson dans le royaume des superstars. Son cri à glacer le sang, une hache à la main, Hereʹs Johnny, est un des moments les plus mémorables de lʹhistoire du cinéma. A lʹécran, on vous lʹa dit, Jack Nicholson, mais aussi Shelley Duvall et Danny Lloyd pour incarner les personnages de ce thriller pour le moins malaisant dans cet hôtel accroché aux nuages, qui sʹappelle lʹOverlook. Comme à son habitude, Stanley Kubrick travaille sur des thèmes qui lui sont chers : lʹenfermement, la folie, la désintégration de la famille. A travers de nombreuses métaphores stylistiques, il sʹempare dʹun récit de fantômes et livre, grâce à lʹadaptation de la romancière Diane Johnson, un récit si touffu quʹil alimente tous les fantasmes possibles. Quant à lʹauteur du roman, Stephen King, il nʹest pas très content de voir ce quʹa fait Kubrick de son histoire. Mais on vous racontera tout ça. Quand le film sort, il est plutôt mal reçu par le public qui le boude, mais cʹest pour mieux sʹinscrire dans la légende du cinéma. Shining est aujourdʹhui considéré comme un classique que toutes et tous devraient avoir vu. REFERENCES Making The Shining, documentaire de Vivian Kubrick http://www.dailymotion.com/video/x5cohe_making-the-shining-part-1_webcam http://www.dailymotion.com/video/x5cp0w_making-the-shining-part-2_webcam SAADA Nicolas, Stanley Kubrick, The Shining, une histoire de famille : entretien avec Diane Johnson, scénariste, Cahiers du cinéma no 534 CIMENT Michel, Kubrick, Calmann-Lévy, Paris, 2004 KING Stephen, Sur lʹécriture, Mémoires dʹun métier GIULIANI Pierre, Stanley Kubrick, Rivages/Cinéma, 1990 FORESTIER, François, LʹOdyssée Kubrick, in Le Nouveau Cinéma N1, Octobre 1999 CIMENT, Michel, Kubrick, Calmann-Lévy, 1980 KAGAN, Norman, Le Cinéma selon Stanley Kubrick, Ramsay Poche Cinéma, 1987 LORRAIN François-Guillaume, Le Seigneur du château, in Le Point, 10 septembre 1999 MOLINA FOIX Vincente, Entretien avec Stanley Kubrick, Cahiers du Cinéma, janvier 1981, no 319 Stephen King's Honest Opinion About "The Shining" Film | Letterman, 18.08.1980 https://www.youtube.com/watch?v=U8wxjIecmD4

Info médias
Cécile Pivot : "Mon père était l'homme le plus curieux que je connaisse"

Info médias

Play Episode Listen Later Nov 15, 2024 8:03


durée : 00:08:03 - Info médias - La fille cadette du journaliste littéraire disparu en mai dernier publie avec sa sœur Agnès "Bernard Pivot – Le goût des autres" aux éditions Calmann-Lévy. Un livre de photos et d'écrits qui témoignent de la passion de la vie du présentateur d'Apostrophes.

Les interviews d'Inter
Cécile Pivot : "Mon père était très silencieux, très rêveur"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Nov 2, 2024 20:20


durée : 00:20:20 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour - Près de six mois après la mort du plus célèbre des journalistes littéraires, sa fille, Cécile Pivot, publie "Bernard Pivot, le goût des autres" paru aux éditions Calmann-Lévy. L'écrivain Pierre Assouline en signe la préface. Ils sont les invités du grand entretien de France Inter. - invités : Cécile Pivot, Pierre Assouline - Cécile Pivot : Écrivain et journaliste, Pierre Assouline : Ecrivain, journaliste

Le club de l'été
«Bernard Pivot, le goût des autres» : Cécile Pivot est l'invitée de Culture médias

Le club de l'été

Play Episode Listen Later Oct 30, 2024 7:43


Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, Cécile Pivot, la fille de Bernard Pivot pour son livre "Bernard Pivot, le goût des autres" publié aux éditions Calmann Lévy.

Culture médias - Philippe Vandel
«Bernard Pivot, le goût des autres» : Cécile Pivot est l'invitée de Culture médias

Culture médias - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Oct 30, 2024 7:43


Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, Cécile Pivot, la fille de Bernard Pivot pour son livre "Bernard Pivot, le goût des autres" publié aux éditions Calmann Lévy.

Les invités de Culture médias - Philippe Vandel
«Bernard Pivot, le goût des autres» : Cécile Pivot est l'invitée de Culture médias

Les invités de Culture médias - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Oct 30, 2024 7:43


Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, Cécile Pivot, la fille de Bernard Pivot pour son livre "Bernard Pivot, le goût des autres" publié aux éditions Calmann Lévy.

Le Conseil Santé
AVC: pourquoi les femmes sont-elles plus exposées que les hommes?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Oct 22, 2024 1:50


En France, une femme sur quatre sera victime d'un accident vasculaire cérébral au cours de sa vie. Plus exposées à l'AVC que les hommes, les femmes risquent des séquelles qui peuvent également être plus sévères. La grossesse et la ménopause exposent les femmes à des facteurs de risques supplémentaires, tout comme les contraceptifs oraux et l'hormonothérapie.   Comment expliquer la plus forte prévalence des AVC chez les femmes ? Pr Pierre Amarenco, professeur de Neurologie. Président de Vaincre l'AVC. Membre de l'Académie de Médecine et ancien chef de service de Neurologie à l'Hôpital Bichat, auteur du livre L'AVC, une histoire de femmes, aux éditions Calmann-Lévy.Retrouvez l'émission en entier ici : L'AVC au féminin

Priorité santé
L'AVC au féminin

Priorité santé

Play Episode Listen Later Oct 21, 2024 48:30


En France, une femme sur quatre sera victime d'un accident vasculaire cérébral au cours de sa vie. Plus exposées à l'AVC que les hommes, les femmes risquent des séquelles qui peuvent également être plus sévères. La grossesse et la ménopause exposent les femmes à des facteurs de risques supplémentaires, tout comme les contraceptifs oraux et l'hormonothérapie.   Comment expliquer cette plus forte prévalence chez les femmes ? Comment identifier un AVC chez la femme ? Comment le prévenir ?  Pr Pierre Amarenco, professeur de Neurologie. Président de Vaincre l'AVC. Membre de l'Académie de Médecine et ancien chef de service de Neurologie à l'Hôpital Bichat, auteur du livre L'AVC, une histoire de femmes, aux éditions Calmann-Lévy. Dr Kossivi Apetse, neurologue au CHR d'Atakpame et maître de conférences agrégé à l'Université de Lomé, au Togo.Programmation musicale :► Ayo – Woman► Viviane Chidid – Jalousie.

Priorité santé
L'AVC au féminin

Priorité santé

Play Episode Listen Later Oct 21, 2024 48:30


En France, une femme sur quatre sera victime d'un accident vasculaire cérébral au cours de sa vie. Plus exposées à l'AVC que les hommes, les femmes risquent des séquelles qui peuvent également être plus sévères. La grossesse et la ménopause exposent les femmes à des facteurs de risques supplémentaires, tout comme les contraceptifs oraux et l'hormonothérapie.   Comment expliquer cette plus forte prévalence chez les femmes ? Comment identifier un AVC chez la femme ? Comment le prévenir ?  Pr Pierre Amarenco, professeur de Neurologie. Président de Vaincre l'AVC. Membre de l'Académie de Médecine et ancien chef de service de Neurologie à l'Hôpital Bichat, auteur du livre L'AVC, une histoire de femmes, aux éditions Calmann-Lévy. Dr Kossivi Apetse, neurologue au CHR d'Atakpame et maître de conférences agrégé à l'Université de Lomé, au Togo.Programmation musicale :► Ayo – Woman► Viviane Chidid – Jalousie.

Invité Afrique
Howard French: «L'esclavage a été la base de l'essor européen et de la création de l'Occident»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 12, 2024 14:57


C'est l'un des essais historiques en lien avec l'Afrique les plus attendus de cette rentrée. Les éditions Calmann-Lévy publient la traduction en français de l'ouvrage d'Howard French Born in Blackness. L'universitaire et journaliste américain y décrit, au travers d'une fresque de plusieurs siècles, le rôle - selon lui - central de la traite négrière dans la naissance du monde moderne. Un rôle qui dit-il a souvent été sous-estimé, voire invisibilisé. La traduction française de ce livre est intitulée Noires origines. Howard French est notre invité pour en parler. RFI : Dans Noires Origines, vous nous invitez à nous débarrasser d'un certain nombre d'œillères historiques sur la place de l'Afrique dans l'histoire mondiale et sur le rôle essentiel qu'elle a joué dans la construction de l'Occident tel qu'on le connaît aujourd'hui. Vous nous expliquez que l'essor européen a reposé en grande partie sur ses relations avec le continent africain avant même la colonisation...Howard French : Effectivement, l'histoire de mon livre commence au XIVᵉ siècle, au début de ce siècle, quand les Africains, notamment dans l'empire du Mali, réalisent des contacts avec le Moyen-Orient. Ce faisant, l'Europe découvre l'existence d'une grande quantité d'or dans le Sahel, ce qu'on appelle le Sahel aujourd'hui. Et cela lance l'ère de l'exploration, des découvertes… et la traite des esclaves. L'année 1326, un empereur du Mali du nom de Mansa Moussa a fait un pèlerinage à La Mecque en passant par Le Caire. Il transportait avec lui un grand cortège de plus de 10 000 hommes et femmes… et aussi quelques tonnes d'or - la quantité exacte n'est pas connue, mais les historiens disent souvent à peu près 17 ou 18 tonnes d'or -. Il a distribué tout cet or sur son passage, à tel point qu'il a dû emprunter de l'argent pour retourner au Mali. Et cela a créé une vague de curiosité non seulement dans le Moyen-Orient, où le prix de l'or a chuté, mais aussi loin aussi que l'Espagne et le Portugal. Et cela les a encouragés, surtout les Portugais, à commencer à construire des navires pour essayer de découvrir le point d'origine de ces métaux.  Vous nous livrez des pages fascinantes sur la façon dont l'Europe a fantasmé cet or africain, à partir d'ailleurs d'une représentation du monde : l'atlas catalan de 1375. Comment est-ce que cet atlas a été l'un des points de départ de l'histoire tragique qui va suivre ? Au centre de cette carte, de cet atlas catalan, figure le personnage de l'empereur Mansa Moussa. Il est assis sur un trône d'or avec un sceptre d'or. C'est la première fois que les Européens prennent connaissance de l'existence de grands empereurs en Afrique subsaharienne, des empereurs de la même sorte que ceux qu'ils ont chez eux. Cela crée toute une industrie de créateurs d'atlas et de cartes. Ça lance à côté une industrie de géographes pour savoir ce qui existe au sud du Sahara. Les Européens, pour la première fois, sont motivés à un degré extrême à découvrir le chemin de l'or en Afrique et à prendre contact avec les royaumes africains pour savoir d'où vient cet or. C'est l'un des points importants de votre ouvrage, Howard French : Vous soutenez la thèse, dans ce livre, que la recherche avide de cet or africain par les Portugais a été l'un des moteurs des grandes explorations portugaises… et que ce moteur a été complètement oublié de l'histoire. Effectivement, le Portugal avait une rivalité avec l'Espagne… et le Portugal avait pris les devants dans l'exploration du Nouveau Monde. À l'époque, le Nouveau monde n'était pas l'Amérique. Les Européens disaient de l'Afrique subsaharienne qu'elle était le nouveau monde. La dynastie Aviz au Portugal a donc donné l'autorité à un prince, Henri, dit « le navigateur », de prendre en charge l'exploration de l'Afrique subsaharienne. C'est lui qui montait les expéditions maritimes pour chercher à savoir d'où vient l'or du Mali. Avec les moyens de l'époque, les Portugais ne pouvaient avancer en une année typique que de 100 kilomètres ou 200 kilomètres vers le sud en suivant la côte africaine. En 1471, ils sont arrivés par hasard au pays qu'on appelle aujourd'hui le Ghana. Ils ne ciblaient pas le Ghana, mais il y avait une baie naturelle où ils se sont arrêtés pour ravitailler leurs navires en eau et en nourriture. Et en arrivant là, ils ont découvert que tous les habitants de ce lieu portaient des bijoux en or. Ils n'étaient pas arrivés au Mali, mais ils ont réalisé leur but un peu par accident, si vous voulez. Donc ils ont établi des relations de commerce au début avec les Ghanéens pour avoir accès à l'or du Ghana, pour établir un commerce entre l'Europe et l'Afrique. Ce commerce a permis d'apporter d'abondantes quantités d'or dans les cours européennes et notamment au Portugal. Quelle a été l'importance de cet or obtenu en Afrique pour les économies européennes, à la charnière du Moyen Âge et de l'époque moderne? Parlons d'abord du Portugal. Les quantités d'or étaient si importantes pour le Portugal, qui était un royaume pauvre à l'époque, qu'ils ont renommé leur Trésor « maison de l'Afrique ». Le Trésor public portugais a été renommé « la Maison de l'Afrique », Vu l'importance de l'or africain dans ces caisses portugaises de l'époque ? Oui, à l'époque, après la découverte de l'or au Ghana, à peu près un tiers, jusqu'à la moitié des recettes de ce royaume venaient désormais du Ghana. Et donc, les Espagnols, en voyant le succès des Portugais, ont à leur tour décidé d'investir dans la création de navires et le financement de gens comme Christophe Colomb pour « découvrir les Amériques » tel qu'on le dit maintenant. Mais ce n'est qu'en voyant la réussite des Portugais, avec la découverte de l'or en Afrique, que les Européens ont eu le courage d'essayer de découvrir de l'or ailleurs. Ça, c'était le premier but. Ce n'était pas de découvrir d'autres civilisations ou la richesse de l'Est en tant que telle, il s'agissait de rivaliser avec le Portugal pour le contrôle de l'or dans le monde. Quels liens est-ce que vous établissez entre cette exploitation de l'or et le commerce terrible qui va commencer à se développer rapidement ensuite, à savoir la traite esclavagiste ? Les racines de la traite esclavagiste sont très intéressantes. Au début, ce n'était pas le but des Européens et précisément des Portugais. Le Portugal était un royaume assez pauvre, qui n'avait pas beaucoup de ressources. Et donc, pour financer la recherche de l'or et la construction des bateaux nécessaires à cette recherche, Henri le navigateur et ses hommes ont commencé à faire, petit à petit, le commerce d'esclaves sur les côtes de l'Afrique : dans la Mauritanie d'aujourd'hui, au Sénégal, en Guinée, etc. Au fur et à mesure qu'ils descendaient vers le sud en suivant les côtes de l'Afrique jusqu'à ce qu'ils trouvent de l'or au Ghana. Et donc dans un premier lieu, ils ont fait le commerce d'hommes, d'esclaves vers l'Europe pour financer cet effort de découverte de l'or. l'Europe était en phase de reprise économique avec la catastrophe de la peste du Moyen âge… et donc la démographie européenne était écrasée par ces épidémies. Les Portugais ont découvert qu'ils pouvaient faire beaucoup d'argent en fournissant de la main d'œuvre africaine dans les marchés européens pour finalement financer leur effort de découverte de la source de l'or en Afrique de l'Ouest. Au XVIᵉ siècle, 10 à 15 % de la population de Lisbonne était africaine à cause de cette traite esclavagiste. Bien avant la soi-disant « découverte » des Amériques. On parle du Portugal, mais en fait toutes les puissances européennes à l'époque sont associées à ce commerce... Exactement. Ayant vu le succès des Portugais, les autres pays européens se sont rués sur ce commerce avec l'Afrique pour l'or. En faisant cela, ils ont découvert à leur tour qu'on pouvait faire beaucoup d'argent en se livrant à la traite des esclaves. Par accident aussi, par la suite, les Portugais ont découvert le Brésil. Ils ne cherchaient pas à traverser l'Atlantique. Ils cherchaient à mettre au point des méthodes de navigation plus efficaces, plus rapides, pour descendre vers le sud de l'Afrique et finalement entrer dans l'océan Indien. En faisant cela, ils sont « entrés en collision », si on peut dire, avec le Brésil. Ils ont découvert tout un continent. Les Portugais ont commencé à transférer les esclaves au Brésil, où s'est établie la première grande industrie de la canne à sucre. Cette industrie, découvre-t-on dans votre livre, trouve une de ses formes les plus abominables dans le système des plantations sucrières, à Sao Tomé dans un premier temps, puis dans les Caraïbes… et également au Brésil peut-être ? Oui. Les premières expérimentations ont effectivement été réalisées à Sao Tomé. Les Portugais, à la fin de ce XVᵉ siècle, explorant l'Afrique à la recherche d'autres sources d'or, ont découvert l'île de Sao Tomé, qui n'avait pas d'habitants et avait un climat parfait pour la culture de la canne à sucre. Et donc ils ont commencé à cultiver la canne à sucre, et toute une industrie est née de cela. Avec la naissance de cette industrie est aussi née une forme d'exploitation humaine qui n'avait jamais existé auparavant, qu'on appelle en anglais chattel slavery - Je pense que ce terme n'existe pas en français -. Chattel slavery, c'est une forme d'esclavage où les esclaves sont identifiés. Cette pratique est légitimée sur la base de la race et pérennisée à travers les générations : c'est-à-dire que non seulement vous êtes esclaves vous-même, mais vos enfants aussi seront esclaves, et ainsi de suite pour l'éternité.  Les formes de travail qui sont mises en place dans ces plantations sucrières sont par ailleurs extrêmement brutales pour les esclaves… Extrêmement brutales. L'espérance de vie d'un esclave mis au travail sur ces plantations à l'époque, et aussi par la suite au Brésil et dans les Caraïbes, était à peu près de cinq ans.  Après la production du sucre, c'est celle du coton qui a été développée par le commerce des esclaves. Au total, Howard French, vous décrivez une mécanique qui convertit des vies prises en Afrique, en richesses consommées en Europe. Vous montrez finalement comment l'Afrique a joué un rôle essentiel dans la construction du monde atlantique... Oui, j'irais encore plus loin : le travail qui a été extrait des Africains sur les plantations, sous cette forme d'esclavage qu'on appelle chattel slavery, a réellement été la base de l'essor européen et de la création, je dirais, de l'Occident, une sorte de condominium entre l'Europe de l'Ouest et les continents qui existent de l'autre côté de l'Atlantique. C'est le travail des Africains, sous forme d'esclavage, qui a rendu possible la rentabilité des colonies qui ont été fondées dans le Nouveau Monde et donc la fondation même de l'Occident.De quelle manière est-ce que les pouvoirs africains de ces différentes époques ont réagi à ces appétits européens ? Les Africains, les chefs des sociétés africaines, les petits rois et même les empereurs qui existaient par-ci par-là dans les grands États de l'Afrique de l'Ouest et de l'Afrique centrale, n'avaient aucune idée des activités qui existaient de l'autre côté de l'Atlantique, où les Africains extraits du continent étaient mis au service des Européens. Ils n'avaient aucune image du monde des plantations. Ils n'avaient aucune image de l'existence d'une institution comme le chattel slavery dont j'ai parlé tout à l'heure. L'esclavage a existé depuis toujours chez les Africains, entre les Africains, mais ce n'est pas ce genre d'esclavage, où de génération en génération les gens sont toujours soumis à l'esclavage. Les Africains mariaient leurs esclaves… Sous les institutions de l'esclavage africain comme elles existaient, le but, la plupart du temps, était d'assimiler les esclaves, les vaincus, dans la société des vainqueurs. C'est tout à fait différent de l'esclavage pratiqué par l'Europe sur les Africains, cet esclavage que j'ai appelé chattel slavery. Donc il est bien vrai que les Africains participaient aussi à ce commerce des esclaves. Ils sont aussi responsables de ce commerce d'esclaves, mais ils n'avaient pas une information très complète sur ce qui se tramait. Il y avait un déséquilibre total entre les Européens et les Africains sur ce qu'est l'esclavage. On sent bien tout au long de votre ouvrage quelle est son ambition : contribuer à un autre récit sur l'histoire du décollage de l'Occident, dans lequel le rôle de la traite négrière cesserait d'être invisibilisé. Comment expliquez-vous d'ailleurs cette invisibilisation du rôle de l'Afrique dans la naissance du monde moderne ? Pourquoi ? Je pense que tout d'abord, toutes les civilisations cherchent à trouver leur propre mérite. Elles cherchent à mettre en exergue leurs propres qualités et donc, pour faire cela, elles créent leurs propres mythes. Que ce soit les Chinois, les Américains, les Français, les Brésiliens, les Russes, tout le monde fait ça... Mais si vous admettez que votre civilisation est montée en grande partie par une exploitation aussi grave et d'une aussi grande envergure que la traite des esclaves, le monde des plantations, la création d'une institution comme le chattel slavery, il est très difficile de maintenir ses propres qualités. Une dernière question, justement, à propos des enjeux de cette histoire. Pourquoi est-il important pour un citoyen du XXIᵉ siècle de remonter le temps et de réétudier ce qui s'est joué le long des côtes africaines à partir du XVᵉ siècle ? Il faut savoir d'où nous sommes venus pour savoir où nous allons aller. Au moment où l'Afrique prend une place différente dans le monde contemporain, il est important qu'on sache que l'Afrique a toujours contribué à la race humaine de façon importante. Il est important de remettre l'Afrique à sa propre place dans l'histoire de l'humanité. 

Les matins
Nationalisme russe en Ukraine / La vie chère en Martinique / Quels pouvoirs pour le nouveau gouvernement ?

Les matins

Play Episode Listen Later Sep 23, 2024 150:17


durée : 02:30:17 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Jules Sergei Fediunin, auteur de “Les nationalismes russes - Gouverner, mobiliser, contester dans la Russie en guerre” (Calmann-Lévy) / Ivan Odonnat, président de l'Iedom / Nicolas Roussellier, Professeur des universités à Sciences P, spécialiste d'histoire politique - réalisation : Félicie Faugère

L'Histoire nous le dira
La grande histoire du TATOUAGE ! | L'Histoire nous le dira # 102

L'Histoire nous le dira

Play Episode Listen Later Sep 18, 2024 39:43


Pourquoi le tatouage et, surtout, ça vient d'où ? Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Jérôme Pierrat et Éric Guillon, Les hommes illustrés. Le tatouage des origines à nos jours, Larivière, 2000. Jérôme Pierrat et Éric Guillon, Les vrais, les durs, les tatoués, Larivière, 2005. Jérôme Pierrat et Éric Guillon, Les gars de la marine, Larivière, 2005. Jérôme Pierrat et Éric Guillon, Mauvais garçons, portraits de tatoués 1900-1830, La manufacture de livres, 2013. Jérôme Pierrat, Une histoire du milieu. De 1850 à 2000, grand banditisme et crime organisé en France, La manufacture de livres, 2023. Jérôme Pierrat et Alfred, Le tatouage, Bruxelles, Le Lombard, 2021. Marc Kober, « Fleurs de peau », dans Tatouages, une histoire et des histoires, sous la dir. d'Alain Pozzuoli, collectif, Paris, Les Belles Lettres, 2005, p. 11-37. Michel Thévoz, Le corps peint, Genève, Skira, 1984. R. Giraud et J. Delarue, Les tatouages du Milieu, Paris, La Roulotte, 1950. Tim Brown, Tattoos : An Illustrated History, Amberley, 2019. Jane Caplan (ed.), Written on the Body. The Tattoo in European and American History, Princeton, Princeton University Press, 2000. David Le Breton, Signes d'identité, tatouages, piercing et autres marques corporelles, Métailé, 2002. Philippe Artières, À fleur de peau : médecins, tatouages et tatoués, 1880-1910, Paris, éditions Allia, 2004. Régine Plas, « Tatouages et criminalité (1880-1914) », dans Laurent Mucchielli (dir.), Histoire de la criminologie française, Paris, L'Harmattan, 1994, p. 157-167. Yvon Larose, « La mémoire sur la peau », Au fil des évènements, 31 oct. 2002. https://archives.nouvelles.ulaval.ca/Au.fil.des.evenements/2002/10.31/tatouage.html Arnaud Balvay, « Tatooing and its Role in French-Navie American Relations in the Eighteenth Century », French Colonial History, vol. 9 (2008), pp. 1-14. France Borel, Le vêtement incarné : les métamorphoses du corps, Paris, Calmann-Lévy, 1992. Philippe Pons, Peau de brocart. Le corps tatoué au Japon, Paris, Seuil, 2000. Anna Friedman Herlihy, « Tattooed Transculturites: Western Expatriates Among Amerindian and Pacific Islander Societies, 1500-1900 », University of Chicago, 2012 https://tattoohistorian.com/2014/04/05/the-cook-myth-common-tattoo-history-debunked/ Manon Brill, « Conserver votre tatouage après votre mort ? », C'est une autre histoire, 4 mars 2020. https://youtu.be/d8yldHzyuIs?si=529vly0ZLO0vMEt6 Nina G. Jablonski, Skin. A natural History, Berkeley, University of California Press, 2006. https://savoirsdhistoire.wordpress.com/2018/10/21/histoire-du-tatouage-1-la-mode-du-brodanchage-de-couenne/ Ralph Evêque, « Surveiller et punir. La pratique du tatouage dans l'antiquité gréco-romaine », Droit et cultures [En ligne], 85 | 2023/1, http://journals.openedition.org/droitcultures/9149 Jill K. Robinson, « En Polynésie, le tatouage est un art profondément symbolique », National Geographic, 5 août 2022. Jeanne Barnicaud, « James Cook, l'homme qui [n']a [pas] redécouvert le tatouage », Femmes et tatouage : approches historiques. Guillaume Delacroix, « Après la banalisation du tatouage, le boom du détatouage », Le Monde, 14 mars 2024, Gilles Havard, « Virilité et “ensauvagement” », Clio. Histoire, femmes et sociétés, 1 décembre 2008, vol. 27, no 1, p. 57 74. Kellen Perry, « Tattoo Photographs and Trends from the 19th century », Ranker, 13 août 2019. « Détatouage », Wikipédia, « Pourquoi le tatouage a-t-il mauvaise réputation ? », Les EthnoChroniques, 9 juin 2024. https://youtu.be/_K2uTyrBzAk?si=TYlgF6l8zt-Kljx- Addison Anderson, « L'histoire des tatouages », TED-Ed, 18 septembre 2014. https://www.youtube.com/watch?v=MYn15yDBvxM « The Old And Bizarre History Of Tattoos », Grunge, 15 avril 2020. Christophe Granger, Joseph Kabris ou les possibilités d'une vue : 1780-1822, Paris, Anamosa, 2020. « Tatouage », Wikipédia. https://fr.wikipedia.org/wiki/Tatouage Tatouage et bagnes militaires - avec Éric Guillon https://www.youtube.com/watch?v=h8oE1MANnwo Sarah Gibbens, « Les premiers tatouages figuratifs découverts sur deux momies égyptiennes », National Geographic. Traci Watson, « Intricate animal and flower tattoos found on Egyptian mummy », Nature, 533, 155, 2016. Christophe Granger, Joseph Kabris ou les possibilités d'une vue : 1780-1822, Paris, Anamosa, 2020. https://vessel-magazine.no/issues/7/transforming-bodies/tattoo-archaeology Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #tatouage #tatoo

Au cœur de l'histoire
Anne, l'inconnue de la Seine qui a sauvé des millions de vies

Au cœur de l'histoire

Play Episode Listen Later Sep 6, 2024 13:21


Dans la seconde partie du XIXe siècle, alors que la Seine charrie quotidiennement les cadavres de noyés, la dépouille d'une très jeune femme est repêchée à Paris. Non identifiée, elle est appelée Anne et bientôt, son visage fait le tour de la capitale. Dans un récit inédit, Virginie Girod vous raconte comment Anne, qui demeure aujourd'hui encore l'inconnue de la Seine, a contribué à sauver des millions de vie.Thèmes abordés : médecine légale, Paris, XIXe siècle, secours Au cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1- Présentation : Virginie Girod- Auteure : Solène Grandclaude- Production : Caroline Garnier, Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition des musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie :-Louis Aragon, Aurélien, Gallimard, 1944-Guillaume Musso, L'inconnue de la Seine, Calmann-Lévy, 2021-Vladimir Nabokov, "L'inconnue de la Seine", 1934 Ressources en ligne : Reportage du New-York Times sur l'inconnue de la Seine La morgue du quai de l'Archevêché Fondation Laerdal Les origines du massage cardiaque

Un Jour dans l'Histoire
Raymond Aron ou l'unité politique de l'Europe

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Sep 1, 2024 38:13


C'est dans la Revue de Genève que l'on peut lire le premier article publié de Raymond Aron. Jeune intellectuel de vingt et un an, à l'époque. Sous le titre « Ce que je pense de la jeunesse universitaire d'Europe », il écrit : « Je crois à la nécessité de créer une conscience internationale qui serait à la réalité européenne ce que la conscience morale est à la réalité sociale : prendre conscience de l'interdépendance des nations, de la vie commune, économique et intellectuelle, qui unit les pays d'Europe, ce n'est pas poursuivre une utopie, c'est rapprocher la pensée de la réalité. » Tout au long de sa vie, Raymond Aron, avec plus ou moins d'enthousiasme, va porter l'idée d'une Europe politique. Difficilement réalisable, il le savait, mais souhaitable car il pensait que l'interdépendance des économies nationales ne suffirait pas à faire émerger une communauté de citoyens prêts à mourir pour leur patrie. Pour Raymond Aron, le salut des démocraties européennes n'était pas dans l'intégration au sein d'un ensemble supranational, mais dans leur alliance collective avec les Etats-Unis d'Amérique. A quoi ressemble l'Europe selon Raymond Aron ? Peut-elle éclairer notre chemin ? Invité : Joël Mouric, docteur en histoire contemporaine. « L'Europe selon Aron », recueil de textes choisis et préfacés par JM aux éditions Calmann-Lévy. Sujets traités : Raymond Aron, Europe, utopie, conscience , nation, politique , patrie Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Le club RFI
Le Club RFI / L'écume des mots : rencontre avec l'écrivain Marc Alexandre Oho Bambe

Le club RFI

Play Episode Listen Later Aug 18, 2024 19:30


Cette semaine, le Club RFI, dans le cadre de son atelier littéraire interactif «L'écume des mots» reçoit Marc Alexandre Oho Bambe dit Capitaine Alexandre, auteur du roman « Souviens-toi de ne pas mourir sans avoir aimé », paru aux éditions Calmann-Lévy. L'auteur dialogue avec des élèves et membres du Club RFI Kigali (Rwanda), autour de son roman. (Rediffusion) Avec la participation de : Marie-Claire Mwimuka, Neema Zihalirwa, Aboubakar Ombeni, Mika Jaden Mugaruka, Kigangu Lazare Jacques, Mulumeoderhwa Kareka Gédéon.Musique : «Lady sing the blues», Billie Holiday.Présentation : Myriam Guilhot et Éric Amiens.Réalisation : Cécile Bonici. Si vous voulez un bonus, cliquez ci-dessous pour écouter la version longue de l'émission. 

Buscadores de la verdad
Blasco Ibáñez.Tras el velo capítulo 6

Buscadores de la verdad

Play Episode Listen Later Jul 28, 2024 37:01


06 El iniciado exiliado del 98 (0601) Joan Fuster, otro de los más reconocidos escritores valencianos, decía sobre Blasco Ibáñez: (0602) “A Blasco le ocurrió que, por una circunstancia cronológica clara, no fue ni carne ni pescado: ni del siglo XIX ni del siglo XX. Su mismo naturalismo resultaba «anacrónico»: tardío respecto de doña Emilia Pardo-Bazán, por ejemplo, y demodé cuando Azorín, Valle-Inclán y Baroja ganaban terreno…” (0603) Y es que prácticamente todos los escritores de la llamada generación del 98 se llevaron mal con Blasco y su nombre no está ligado a la generación que por méritos y año de nacimiento le correspondería. En “Blasco Ibáñez i la Generació del 98” de Francisco Fuster podemos leer: (0604) “Blasco tenía tres años menos que Miguel de Unamuno, dos menos que Ángel Ganivet, uno menos que Ramón María del Valle-Inclán, cinco más que Pío Baroja, seis más que Azorín, siete más que Ramiro de Maeztu y ocho más que Antonio Machado. Fue, por lo tanto, coetáneo de los autores citados, a la mayoría de los cuales, además, conoció personalmente…” “…a la altura de 1905, Blasco Ibáñez era, después de Galdós, «el novelista que más vendía en España, alcanzando tiradas que, como hemos visto, eran superiores a los 15.000 ejemplares»…” (0605) El público se casaba con Blasco pero la crítica y los literatos coetáneos no lo podían ni ver. [0606] “Por desgracia para él, y a pesar del incontestable de su triunfo comercial, sus novelas fueron tan bien recibidas por el público, como despreciadas por la crítica, que puso objeciones a su estilo, que juzgó de precipitado o poco elaborado, e incluso al uso de un castellano que, al estar influido por su bilingüismo, también fue tildado de incorrecto. En el caso concreto de su relación con el 98, la diferencia entre Blasco y los miembros canónicos de esa generación es que fueron estos los que, por diferentes razones, le lanzaron ataques personales o, en el mejor de los casos, mantuvieron con él una relación cordial que, sin embargo, nunca llegó al grado de la amistad. Por su parte, y ante las diferentes muestras de desconsideración que recibió de todos ellos, Blasco optó, casi siempre, por un elegante silencio…” 0607 Uno de sus archienemigos fue Pio Baroja. Coincidieron en un restaurante en París en 1913 como ya les contamos en el capítulo 4: 0608 “Diez años más tarde me aseguraba [Blasco Ibáñez] en París, en el café la Closerie des Lilas: «Que digan que yo soy un autor bueno o malo, me tiene sin cuidado. Lo que es evidente es que yo soy el escritor mundial que gana más dinero de la época»” 0609 Tanto es así que una vez fallecido Blasco un grupo de artistas valencianos envió un telegrama a Valle-Inclán en el cual se lo acusaba de ser una «víbora» que había pretendido envenenar la obra blasquista. Aquel 30 de enero de 1928 el diario Pueblo incluía también, además del citado telegrama, un durísimo artículo, elocuentemente titulado «Gritos de alcantarilla», en el cual tanto Baroja como Valle-Inclán eran atacados e insultados por la redacción del periódico, dolida por la recientísima muerte de quien lo había fundado el 1894: (0610 )“El señor Baroja, hipocondríaco panadero que cuando deja la tahona escribe sus libros, con el mismo desgaire que si se tratara de confeccionar un pan de Viena o una «pataqueta de huertas, ha hecho objeto a Valencia y a sus hombres, en su ya larga existencia de escritor, de insultos y vituperios a granel. Ora en su «Juventud Egolatría», bien en su «Mundo es Ansí», en «Silvestre Paradox» o en «Horas solitarias», las frases de desprecio y de burla a nuestra tierra se suceden en una página y en otra. A este hombre sombrío, la idea de que la raza nórdica es superior y de que los levantinos somos unos «chimpancés», se le ha subido a la cabeza. Profundamente democrático, hasta anarquista en algunos libros («Aurora Roja»), tiene enérgico empeño en sentirse superior y emparentarse con antepasados que en el cuaternario conocían la teoría de la relatividad, vertían de «frac» y se reunían en sus «clubs a la sombra de los grandes árboles». En cambio el miserable «chimpancé» levantino, cuando todo el centro de Europa era una selva abrupta y el hombre andaba a cuatro pies, ya había creado y destruido la civilización crètense, la egipcia, la babilónica, la griega, y había producido a Pericles, a Demóstenes, a Platón, a Aristóteles, a Praxiteles y a Sócrates. En cuanto al señor Valle Inclán, que piadosamente pone en duda la muerte de Blasco, por creerla un «bluf» más, le vemos de poco tiempo a esta parte muy neoyorquizado, muy siglo «Ollywood», en materia de llamar la atención. Si el «black-botón», el «charlestón» y todas esas danzas modernas necesitaran un digno representante en el mundo de las letras, elegirían sin duda a Valle Inclán. Sería de ver a este nuevo «barba de estopa», con su brazo hueco (lo del segundo «manco ilustre", decididamente ofende a los mancos auténticos y a la gloria), su voz campanuda y su aspecto de «covachuolista», dislocando las piernas y «esperpenteando» posturas. A nosotros no nos molestan las críticas en esta hora de dolor. Prueban además la fortaleza de corazón de los que reaccionan contra la estupidez de miles y miles de españoles y extranjeros que lloran la muerte del gran valenciano. Baroja y Valle Inclán, con su desenfado falsamente juvenil (no es joven quien quiere, sino quién puede) ponen una fea nota «clownesca» en medio del dolor general. Ellos no se enteran, по han querido enterarse que nosotros lloramos a don Vicente Blasco Ibáñez, al creador de Valencia, hecha a su imagen y semejanza al Gran Capitán de los ejércitos republicanos, al que en horas de angustia mientras esos «principes» de la escala zoológica de ambolaban su hipocondría, uno insultando desde las butacas de un teatro a una ilustre mujer y otro dando opiniones en revistas deportivas -abandonó su retiro de paz para poner su pluma y su corazón al servicio de una gran causa.” 0611 Francisco Fuster nos cuenta una de las etapas donde Blasco si mantuvo unos lazos amistosos con grandes figuras de la literatura durante su estancia en París en 1924: 0612 “En la capital francesa Blasco se encontró con un nutrido grupo de paisanos y viejos conocidos suyos, la mayoría de ellos de tendencia republicana. Allí estaban, además de Unamuno, los abogados y políticos Santiago Alba i Eduardo Ortega y Gasset, o los periodistas Carlos Esplá i Francisco Madrid, entre otros exiliados que acostumbraban a reunirse en el café de la Rotonde, en pleno Barrio Latino, donde mantenían una tertulia que se convirtió en una «especie de cuartel general de la resistencia a la dictadura, donde se reúnen los españoles desterrados y particularmente el Comité Revolucionario de París, calificación solemne atribuida por Primo de Rivera»” 0613 Blasco no convencía a su generación literaria pero entusiasmaba a un público ávido de emociones y encima, tal como sostiene Dolores Thion Soriano-Mollá en “Novelas con buena estrella: las traducciones de Vicente Blasco Ibáñez en Francia” parece que la buena estrella sonreía a Blasco: 0614 “…la novela del realismo y del naturalismo españoles en Francia entre 1880 y 1916, concluíamos que cuanti­tativamente las obras traducidas a la lengua francesa son relativamente pocas, con solo una veintena de títulos, frente a los centenares de volúmenes edita­dos en aquellos treinta y seis años.” “…el autor mejor representado en lengua francesa entre 1880 y 1914 fuese Vicente Blasco Ibáñez.” [0615] El propio Blasco nos cuenta como fueron sus primeros intentos de publicación en Francia: [0616] “Tuvieron que pasar ocho años para que Terres maudites (La barraca), que es una obra muy fuerte y hermosa, agotara su primera tirada de 2.500 ejemplares, y Calmann Lévy [importante editor francés] me dijo una vez: "Si pensara como un hombre de negocios, no imprimiría más obras de Blasco. Los libros que no se venden no son cosa de librerías.” (0617) ¿Y qué pasó para que el autor valenciano empezase a vender libros como churros en Francia? Sencillamente, un libro suyo cayó en las manos de George Hérelle, profesor del Liceo de Bayona y célebre traductor, quien se enamoró de la obra a primera vista. Hérelle insistió en comunicarse con Blasco, ya que este no respondió a sus primeras cartas. Hérelle fue un gran baluarte para la introducción del novelista en la pren­sa francesa, como plataforma de difusión de sus traducciones y de publicidad indirecta a través de las reseñas y críticas, las cuales fueron apareciendo en Le Temps y en Le Siécle, entre otras. Pero una vez franqueadas las primeras puer­tas con la salida de La barraca, las demás cabeceras fueron poco a poco aten­diendo las siguientes traducciones. Nos encontramos ante un caso interesante de subordinación del autor al traductor, y no únicamente por un simple retoricismo o por una falta de interés. A pesar del limitado conocimiento de francés que tenía Blasco en aquel entonces, le confesó a Hérelle que valoraba enormemente las brillantes versiones de su obra, argumentando que Hérelle tenía más renombre como traductor que él como autor. Después de haber ajustado, entre otras cosas, los primeros capítulos en la versión francesa de La barraca, el autor, lleno de entusiasmo, comunicaba lo siguiente a su traductor: (0618) “La barraca gana más y resulta mejor que en el original, lo que pocas veces se ve en las obras traducidas. Todas las modificaciones que usted marca en su carta y que he compulsado en el original de la traducción, parecen acertadísimas. Es usted un artista, más aún que un traductor, y sabe dar el golpe maestro que embellece la obra.” 0619 Así empezó a manar dinero del sifón francés, y Blasco siempre conservó ese afán por el dinero fácil. La profesora de Traducción Especializada de la Universidad Pablo de Olavide de Sevilla Inmaculada Serón descubrió en 2010 como tras el seudónimo R. Martínez Lafuente se escondía el mismísimo Blasco Ibáñez y, en menor medida, Fernando Llorca Die, yerno del novelista y socio, junto con Francisco Sempere Masiá de su editorial Prometeo. Leíamos la noticia en varios medios, curiosamente con el 33 como bandera: (0620) “El escritor valenciano Vicente Blasco Ibáñez creó un pseudónimo bajo el cual firmó traducciones al español de obras de William Shakespeare que fueron “copiadas” de otras adaptaciones realizadas anteriormente, según desvela en El País la profesora de Traducción Especializada de la Universidad Pablo de Olavide de Sevilla Inmaculada Serón. …en esas cartas, en las que el autor, político y periodista valenciano se refiere al plan de traducción: “Hay que ver lo que representa dar todo Shakespeare en tan poco precio y con obras desconocidas en su mayoría. Yo, tomando de unas ediciones y otras (sobre todo valiéndome de una edición antigua), tengo 33 dramas en español corregidos. Solo habrá que traducir tres a última hora, en el último tomo”, manifestaba Blasco.” (0621) Para el que no lo sepa este número representa la edad de la Maestría en la Iniciación de Jesús (su muerte, resurrección y ascensión), aparte de otros detalles esotéricos. El "33" simboliza el grado alto de consciencia espiritual por parte del ser humano”. Cuando hablamos de masones, y Blasco lo era, el 33 es el número de los maestros iniciados, el más alto grado dentro de la masonería. El 33 no se puede descomponer en una sola cifra ya que pertenece al grupo de los números maestros. En numerología están los números básicos que van del 1 hasta el 9 y luego números especiales que no se pueden reducir a una sola cifra, números llamados “maestros” 11, 22, 33. Si reducimos el 11 a un único dígito obtenemos el 2 (11=1+1=2) con lo que conseguimos es la perfecta combinación de la mayor energía masculina que se concentra en el 1 (Zeus) con la mayor energía femenina que se encuentra en el dos (Hera). Dicha unión supone que la energía que emana el once supera a cualquier otra numeración pese a que las energías del 1 y del 2 son totalmente opuestas. El número maestro 33 combina los poderes más competentes de expresión y realización (la del número 3) con el maestro y el tutor por excelencia, el 6. El rosario islámico tiene 33 cuentas. En la mitología hindú el 33 expresa perfección. Una de las cifras preferidas de todo masón que se precie y que desea lucir dentro de su estrella de seis puntas. Su verdadera esencia constituye la última etapa en la evolución espiritual, el Maestro de maestros. El 33 es el número maestro que en su perfección no se puede transformar en un 6. Tenemos un 6 infértil, un 6 egoista, un 6 que no es humano sino inhumano, del demonio del ego. Ese 33 representa plenamente a Blasco Ibáñez, en su maestría, en su autoidolatria, en su soberbia que lo impulsaba a ganar más y más dinero. 0622 El periodista José María Carretero Novillo más conocido como “el caballero audaz” nos describe en el libro que dedicó a Blasco como muchas de sus obras recordarían a otras anteriores. (Video Berlanga parte 2 50:07 a 50:18 Zola.mp4) 0623 “Yo le sabía en París amargado, contrariado. Los franceses no le conocían. El que más sabe de él, le cree un mediano imitador de Zola, cuya forma plagia: un discípulo de esos que ponen en ridículo al maestro. Allí nadie ignora que firmó como suyas las traducciones de Michelet, que en- tró a saco en «Salambó» para escribir su «Sónnica»; en Picabea para su «Catedral»; en «El Toreo», de Abreu, para su «Sangre y Arena», y en «Brujas la muerta» para «La Maja desnuda».” (0624) El reportero Enrique González Fiol (El Bachiller Corchuelo) a principios del año 1911 entrevistó a Blasco y allí podíamos escuchar en boca del propio escritor sobre su amor al dinero: (0625) “El artista debe aspirar á enriquecerse. Cuanto más dinero posea, con más comodidad puede laborar, mayor cultura podrá adquirir, mayores facilidades hallará para buscar impresiones. No hay nada que atrofie tanto la imaginación y aun la retina, como la vida sedentaria, cual es morar siempre en una misma localidad. El artista y particularmente el escritor, debe cambiar frecuentemente de horizontes físicos y sociales. De este modo, impresiones y sensaciones que cuando se permanece en un sitio, no llegan á percibirse, durante la ausencia parece como que se revelan y adquieren relieve y colorido, y al regresar, lo que dejamos tiene algo de novedad é impresiona mejor. Y el viajar cuesta mucho dinero…” (aqui hay dos videos de aquel partido “Suzanne Lenglen vs Helen Wills - 1926 Cannes, France.mp4” y “Suzanne Lenglen, Helen Wills at the French Tennis Tournament in 1926.mp4”) (0626) Nos cuentan otra anécdota pecuniaria sobre Blasco en un texto recogido en la web casa museo Blasco Ibáñez titulado «el partido del siglo»: (0627) “Uno de los retratos más amenos e interesantes de la existencia y las relaciones personales de Blasco Ibáñez durante sus años en la Costa Azul, es el que incorporó Josep Pla en su famosa colección de semblanzas Homenots. A través de él, el lector puede seguir los pasos de Blasco por ambientes bien distintos a los que alimentaron, por ejemplo, la imaginación creadora plasmada en sus novelas y cuentos valencianos. El mismo Pla verificaría de primera mano cómo el éxito y, en consecuencia, la bonanza económica habían contribuido decisivamente en los nuevos hábitos diarios del novelista, así como influyeron en la orientación de su literatura. Y fue también Pla quien refirió una anécdota que ponía de manifiesto la popularidad internacional del autor valenciano: Estaban a punto de empezar en Cannes los partidos internacionales de tenis de la Copa Davis. En el curso de la comida Blasco se sacó un telegrama del bolsillo. Era un telegrama de un sindicato de diarios americanos que ofrecía al autor de La barraca setecientos dólares por cada telegrama que tuviera a bien enviarlos sobre los partidos del concurso que señalábamos. ¿Aceptaría Blasco un ofrecimiento que, de forma puntual, le iba a transformar en comentarista deportivo? Teniendo en cuenta que el novelista confesó no tener idea alguna del citado deporte, tanto Plá como los ilustres comensales que le acompañaban a la mesa en el Café de París, quedaron extrañados por el cariz de su respuesta: «La proposición se tiene que aceptar aunque solo sea por cortesía. Haré los telegramas». Sobre tal escrito o escritos y su autoría Josep Pla arrojó una sombra de duda, al decir: «Blasco no hizo los telegramas, pero los hizo hacer a otro, los firmó y los cobró. Lo único desagradable es que tuvo que ir a Cannes y asistir a los partidos».” 0628 Blasco Ibáñez murió rodeado de lujos en un entorno de lujo. Siempre apreció el dinero como podemos leer en un breve artículo de 1916 que abrió la sección ¿Cómo y cuándo ganó usted su primera peseta? de la revista madrileña La Semana: 0629 “Mi primera peseta fué doble y me la dió la Iglesia. Para los que conocen mis ideas esto exige una pronta explicación. Tenía yo nueve años, estaba en un colegio de Valencia. El maestro de música había formado un coro con los alumnos de mejor voz, y entre ellos figuraba como tenor el que esto escribe… …Muchos años después, al leer en Aristófanes otros autores griegos la descripción de las Tesmóforias, fiestas en honor de las diosas, a las que sólo asistían las mujeres, me he acordado del mes de María en la parroquia de San Bartolomé. Pero el diablo, envidioso de los ángeles que cantaban en las alturas, rondaba en torno de ellos, sugeriéndoles las más perversas intenciones. …Empezábamos a perder el recuerdo de estas nueve tardes de diversión, cuando el maestro de música nos hizo comparecer ante una mesa adornada con una pequeña columna de monedas blancas... Y empezó el reparto: dos pesetas por cantor. Salimos a menos de real por función; la Iglesia no se corría mucho al retribuir loores María. Pero nosotros quedamos estupefactos ante la inesperada evidencia de que nuestras gargantas valían dinero…(poner video Belcebú.mp4) En Carnaval me disfrazaba de demonio, alquilando en una ropería el vestido más costoso; en cada estación exigía nuevos trajes, ante el menor intento de resistencia, exclamaba amargamente: «Y las dos pesetas?»…” (069c Blasco demonio Benlliure desde Italia.jpg)(video Moloch, from Calabria (1914).mp4) (0630) José Jerique corresponsal de Le Figaro escribe “Desde Montecarlo: una visita a Blasco Ibáñez”: (0631) “—Realmente, Los cuatro jinetes del Apocalipsis (0631a)—dice el maestro— (0631b) es uno de mis mejores éxitos. “…Vendí los derechos de traducción a una de las casas editoriales más reputadas de Nueva York. Recibí dos ejemplares de la traducción, con el título The Four Horsemen of the Apocalypse, hermosa edición, elegantemente impresa y encuadernada, a dos dólares ejemplar. Pasaron dos meses y un día recibí un fajo enorme de cartas de los Estados Unidos, de misses, que pedían mi retrato y me preguntaban si yo era yo.” “…En octubre habían salido veinte ediciones, y desde entonces la venta es de 20 o 30 mil ejemplares por mes. Los agentes literarios y los editores envidiosos del mío se encargan de hacerme saber la marcha vertiginosa del libro. Hoy van vendidos más de doscientos mil ejemplares, y muchos me dicen que llegará a trescientos mil. ¡A dos dólares! Mi éxito es fulminante, si se quiere brutal, que, como ves, me tiene aturdido…” (0631c) “—¿Y el éxito pecuniario? (0631d) —Es lo amargo. Mis anteriores novelas las cedí en un 15 por 100 cada ejemplar. En esta me dieron mil dólares por los derechos. No ha sido buen negocio. De haber hecho como con las anteriores, el 15 por 100 representaría una fortuna: trescientas mil pesetas. Siempre el dinero de la literatura parece embrujado. Cuando se le espera no viene, y cuando viene inesperadamente, tuerce el camino y va al bolsillo de otro. No puedo, sin embargo, quejarme, porque mis editores son unos caballeros. Hace pocos días recibí un cable que empezaba así: «Dígnese aceptar, como compensación, el regalo de…» Hay que advertir que yo no me había quejado. ¿Y la forma del envío? ¡Unos caballeros! (0631e) —Y ¿cuánto? Blasco Ibáñez hace un gesto. Y añade: (0631f) —Eso solo puede interesarme a mí, y estoy satisfecho. Además, si los Cuatro jinetes siguen galopando por todos los Estados Unidos espero que lleguen otros cables como este.” (0632) Vicente Molina Foix nos habla de su negro de Cuenca en el articulo “Blasco Ibáñez, entre Galdós y Pla”: (0633)“Comparado por tanto con Azorín, con Valle-Inclán o Unamuno, Blasco Ibáñez no tenía acomodo en aquel parnaso de grandes artífices de la lengua. Pero Blasco era consciente de tal cortapisa, “la carcoma de su vida”. Y como en Madrid, si creemos el relato de Josep Plá, al valenciano se le tomaba por “un escritor basto”, en la última década de su vida, ya multimillonario, Blasco tuvo albergado full time en su lujosa villa de Mentón, junto a los mecánicos de sus grandes coches, las gobernantas y los cocineros de más postín, a un ex seminarista de Cuenca en calidad de secretario perpetuo. O más que eso. Según Plá, a Blasco le indignaba que a Pío Baroja, por citar a un rival de escritura no muy depurada, sus colegas le perdonasen “las más grandes extorsiones al espíritu de la lengua”, mientras él se veía obligado a demostrar a diario que era un escritor “situado dentro del diccionario y de la Gramática de la Academia, que sabía que el verbo haber se escribe con h”. De ahí la contratación del mortecino pero escrupuloso corrector, “que se encargaba del pluscuamperfecto” (Plá dixit) en cada una de las páginas de cada una de sus numerosas novelas de los últimos años, más impecables gramatical y sintácticamente pero “hervidas y evaporadas” después de pasar por las manos conquenses.” (0634) En honor a la verdad los últimos años del escritor fueron años de enfermedad como podemos leer en la revista número 2 de estudios sobre Blasco Ibáñez: (0635) “Esto es, más allá de la gloria y la bonanza económica, en el ánimo del escritor se alojaba una tristeza inconfesable que, en primera instancia, cabría atribuir a unos problemas de salud. Recordemos que en 1907 Blasco acude al balneario de Vichy para probar los efectos benéficos de sus aguas, atendiendo a las recomendaciones de su médico sobre una posible dolencia hepática. Si por aquel entonces su estancia en dicha estación termal sería la primera etapa de un largo viaje hasta Constantinopla, cuyo itinerario quedó plasmado en el libro Oriente (1907), un año después escribe desde la misma ciudad francesa informando a su esposa del tratamiento que está recibiendo para afrontar su diabetes. Se trataba de una dolencia que le afectó física y psicológicamente, determinando sus costumbres y aficiones. En principio, tuvo que refrenar su apetito y limitar su dependencia del tabaco. Hacia 1914 el seguimiento de la dieta empezó a dar sus resultados. Sin embargo, la enfermedad se le recrudeció en 1916, siendo uno de los motivos por los que eligió la Costa Azul como futuro lugar de residencia. Ahora bien, la evolución progresiva de la diabetes le produjo una hemorragia en su ojo derecho cuyos efectos no logró mitigar una operación de retina. Así, en su correspondencia privada de 1927, se refleja el impacto que los problemas oculares estaban dejando en su misma forma de trabajar. Condicionado por la salud y con signos evidentes de vejez prematura, el escritor necesita contar con el apoyo de un secretario al que le dicta sus invenciones sin poder controlar su innata facundia.” (0636) Nosotros, desde Buscadores de la verdad, estamos realizando este trabajo de investigación de forma totalmente altruista. No pretendemos arruinarle a nadie su reputación ni mucho menos difamar, pero es que el alma de las personas a veces no deja lugar a dudas como bien expresó Josep Plá: (0637) “Blasco vivía en este mundo en medio de un proceso alternado de melancolía depresiva y de exaltación verbal. Tan pronto parecía un búho moribundo como un emperador romano febricitante. Era un mundo para él totalmente ininteligible, como él era ininteligible para la gente que le rodeaba.” “Cuando hablo de la ininteligibilidad de los elementos de ese mundo, quiero decir que Blasco no era entendido ni cuando hablaba. Su castellano hacía morir de risa, y su francés era el de una vaca española. Tendía a convertir la lengua de Cervantes y de Racine en espesos y extravagantes patois. Lo que sabía realmente –era lo único que sabía– era el magnífico valenciano de su madre –y por eso cuando trataba de hacerse entender lo hacía en función del valenciano. El resultado era abracadabrante, pero inescamoteable; no se habría podido producir otro. A veces se producían situaciones auténticamente cómicas, situaciones ocasionadas por momentáneos desinflamientos del sentido del ridículo, que provocaban en las fisonomías de sus interlocutores risitas nunca suficientemente vagosas para no ser sarcásticas. El escritor entraba en la natural depresión anímica y hacía algo curioso: de vez en cuando daba una mirada de reojo a la roseta de la Legión de Honor que llevaba al ojal de la solapa (esquina izquierda) de su americana. Sin duda la contemplación del honor objetivizado en un botoncito rojo le producía una sensación de seguridad y contribuía a mantenerle los espíritus en una posición tensa.” ……………………………………………………………………………………………………. Enlaces citados en el podcast: Bibliografia completa https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/su_obra_bibliografia/ Cronología de Vicente Blasco Ibáñez https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/autor_cronologia/#anyo_1900 Cronologia literaria Blasco Ibáñez https://anyblascoibanez.gva.es/va/cronologia-literaria Time line de su vida https://www.timetoast.com/timelines/vicente-blasco-ibanez-5ac50faf-ff35-40dd-be42-708435362932 Galeria de imágenes https://www.google.com/imgres?imgurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fimages%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fgraf%2Fcronologia%2F03_cro_blasco_ibanez_retrato_1018_s.jpg&tbnid=s0ix0VfxLAJ4aM&vet=12ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ..i&imgrefurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fautor_cronologia%2F&docid=rpcl3y5OiYotjM&w=301&h=450&q=Mar%C3%ADa%20Blasco%20blasco%20iba%C3%B1ez&hl=es&client=firefox-b-d&ved=2ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ …… Capitulo 6 Joan Fuster sobre blasco. https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/0-PORT.PROLOG.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/I-FUSTER-BLASCO_compressed.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/2-BLASCO-FUSTER_compressed.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/3-ACCIO-BLASCO_compressed.pdf Blasco Ibáñez i la Generació del 98 https://roderic.uv.es/bitstream/handle/10550/85159/05_Fuster_Espill-66.pdf?sequence=1 El Pueblo : diario...: diario republicano de Valencia - Año XXXVI Número 12451 - 1928 enero 30 (30/01/1928) https://prensahistorica.mcu.es/es/consulta/registro.do?id=11000220299 Blasco Ibáñez en francés: Una aproximación. Mª del Pilar Blanco García https://web.ua.es/es/histrad/documentos/las-letras-valencianas/09-blasco-ibanez-en-frances-pilar-blanco.pdf Novelas con buena estrella: las traducciones de Vicente Blasco Ibáñez en Francia / Dolores Thion Soriano-Mollá https://www.cervantesvirtual.com/obra/novelas-con-buena-estrella-las-traducciones-de-vicente-blasco-ibanez-en-francia-1134842/ https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwi195WHydL-AhWM76QKHbDrAhgQFnoECAsQAQ&url=https%3A%2F%2Fwww.letrasgalegas.org%2FdescargaPdf%2Fnovelas-con-buena-estrella-las-traducciones-de-vicente-blasco-ibanez-en-francia-1134842%2F&usg=AOvVaw39ihgL0DXzCrwzrVW_ETt8 Blasco Ibáñez plagió obras de Shakespeare https://www.elperiodicomediterraneo.com/sociedad/2014/03/13/blasco-ibanez-plagio-obras-shakespeare-41913070.html Blasco Ibáñez plagió traducciones de Shakespeare https://www.levante-emv.com/cultura/2014/03/12/blasco-ibanez-plagio-traducciones-shakespeare-12793600.html Cultura: El plagio de Blasco Ibáñez https://www.ivoox.com/cultura-el-plagio-blasco-ibanez-audios-mp3_rf_2919989_1.html Blasco Ibáñez plagió traducciones de Shakespeare con un seudónimo https://www.elmundo.es/comunidad- valenciana/2014/03/12/532088e022601d96078b4574.html Sobre imitación literaria Baroja y Blasco Ibáñez https://helvia.uco.es/bitstream/handle/10396/16668/8.pdf?sequence=3&isAllowed=y Muocas; crítica y sátira Autor:Emilio Bobadilla pag 277 (plagio de la obra EL PROBLEMA NACIONAL de RICARDO MACIAS PICAVEA sobre la decadencia nacional para ponerlo en La Catedral) https://books.google.es/books?hl=es&id=2hGEUkKrbqEC&focus=searchwithinvolume&q=Catedral José María Carretero Novillo https://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Mar%C3%ADa_Carretero_Novillo EL NOVELISTA QUE VENDIO A SU PATRIA O TARTARIN, REVOLUCIONARIO. (TRISTE HISTORIA DE ACTUALIDAD) https://www.iberlibro.com/NOVELISTA-VENDIO-PATRIA-TARTARIN-REVOLUCIONARIO-TRISTE/972584489/bd LA FERTILIDAD DEL 42, LA INFERTILIDAD DEL 33 Y EL HOMBRE COMO UN 6 https://tecnicopreocupado.com/2023/01/01/la-fertilidad-del-42-la-infertilidad-del-33-y-el-hombre-como-un-6/ Confesiones, 1911- Parte I http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201911 BI en «el partido del siglo» http://www.casamuseoblascoibanez.es/bi-en-el-partido-del-siglo/ Suzanne Lenglen vs Helen Wills - 1926 Cannes, France https://www.youtube.com/watch?v=8HSsH7V3Ml8 Suzanne Lenglen, Helen Wills at the French Tennis Tournament in 1926 https://www.youtube.com/watch?v=XOlbEpMlumA Su primera peseta http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201876 José Jerique Desde Montecarlo: una visita a Blasco Ibáñez https://www.casamuseoblascoibanez.es/wp-content/uploads/2021/02/Jose-Jerique-Desde-Montecarlo.-Una-visita-a-Blasco-Ibanez-El-Figaro-1919-3-6.pdf REVISTA DE ESTUDIOS SOBRE BLASCO IBÁÑEZ. Revista numero 2 http://www.casamuseoblascoibanez.es/wp-content/uploads/2018/01/Revista-n%C2%BA2.pdf Blasco Ibáñez, entre Galdós y Pla https://letraslibres.com/revista/blasco-ibanez-entre-galdos-y-pla/ Así pues, cuando hablo de la obra literaria de este autor... (Josep Pla i Casadevall, Casa museo de Vicent Blasco Ibáñez) https://www.endrets.cat/obres/homenots-tercera-serie/1113 Revista La Semana 20-5-1916 https://hemerotecadigital.bne.es/hd/es/viewer?id=04f77d5d-5d62-45e6-b598-bd52eeb7e01a

Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience
Jusqu'où peut-on aller par amour ? avec l'écrivain Julien Sandrel

Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience

Play Episode Listen Later Jun 18, 2024 37:45


Alexandre Dana reçoit dans Graine de Métamorphose Julien Sandrel, écrivain. Que diriez-vous si l'on vous proposait de partir à l'autre bout du monde faire une chasse au trésor accompagné de quatre autres inconnus ? Ce pari un peu fou, c'est celui qu'ont décidé de prendre Lucia, Hortense, Joséphine, Arsène et Max les cinq personnages principaux du nouveau livre du Julien Sandrel, Beaucoup d'amour et quelques cendres, aux éditions Calmann Lévy. Dans ce roman initiatique, ces cinq personnes, qui n'auraient jamais dû se rencontrer, finissent par voyager ensemble, se connecter et grandir dans l'amour et la découverte d'eux-mêmes. Épisode #100Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Recevez un mercredi sur deux la newsletter Métamorphose avec des infos inédites sur le podcast et les inspirations d'AnneFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Julien Sandrel :L'inspiration de l'amour à long terme d'après l'exemple des parents de Julien SandrelLa transmission d'une vision positive de la vie à travers ses romansL'importance de la communication et du dialogue dans les relations authentiquesL'exploration des différentes formes d'amour entre les êtresJusqu'où peut-on aller par amour ?Les bienfaits thérapeutiques de la lecture pour ralentir le rythme, développer l'empathie et cultiver sa concentrationL'influence du voyage pour s'inspirerQuelques citations du podcast avec Julien Sandrel :"Il y a l'obsession chez moi de cette question lancinante : jusqu'où est-ce qu'on est prêt à aller par amour ?""Il y a dans le voyage deux dimensions, une première qui est une dimension de déstabilisation, on sort de sa zone de confort, on est plus ouvert à la nouveauté et donc je pense qu'on en apprend énormément sur soi.""C'est très important d'avoir accès à l'intériorité des autres parce que ça nous permet de mieux les comprendre et ça nous permet de mieux les accepter aussi."Photo Bruno Levy Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Vamos Todos Morrer
Calmann Lévy

Vamos Todos Morrer

Play Episode Listen Later Jun 18, 2024 13:28


O editor francês morreu há 133 anos.

Graine de Métamorphose
Jusqu'où peut-on aller par amour ? avec l'écrivain Julien Sandrel

Graine de Métamorphose

Play Episode Listen Later Jun 18, 2024 37:32


Alexandre Dana reçoit dans Graine de Métamorphose Julien Sandrel, écrivain. Que diriez-vous si l'on vous proposait de partir à l'autre bout du monde faire une chasse au trésor accompagné de quatre autres inconnus ? Ce pari un peu fou, c'est celui qu'ont décidé de prendre les cinq personnages du nouveau livre de Julien Sandrel, Beaucoup d'amour et quelques cendres, aux éditions Calmann Lévy. Julien Sandrel nous partage sa vision de l'amour, inspiré par l'histoire de ses parents, mais aussi, les vertus de la lecture et de l'écriture ou encore l'importance du voyage dans la découverte de soi et des autres. Alors, jusqu'où peut-on aller par amour ? Épisode #100Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Recevez un mercredi sur deux la newsletter Métamorphose avec des infos inédites sur le podcast et les inspirations d'AnneFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Julien Sandrel :L'inspiration de l'amour à long terme d'après l'exemple des parents de Julien SandrelLa transmission d'une vision positive de la vie à travers ses romansL'importance de la communication et du dialogue dans les relations authentiquesL'exploration des différentes formes d'amour entre les êtresJusqu'où peut-on aller par amour ?Les bienfaits thérapeutiques de la lecture pour ralentir le rythme, développer l'empathie et cultiver sa concentrationL'influence du voyage pour s'inspirerQuelques citations du podcast avec Julien Sandrel :"Il y a l'obsession chez moi de cette question lancinante : jusqu'où est-ce qu'on est prêt à aller par amour ?""Il y a dans le voyage deux dimensions, une première qui est une dimension de déstabilisation, on sort de sa zone de confort, on est plus ouvert à la nouveauté et donc je pense qu'on en apprend énormément sur soi.""C'est très important d'avoir accès à l'intériorité des autres parce que ça nous permet de mieux les comprendre et ça nous permet de mieux les accepter aussi."Photo Bruno Levy Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'invité de RTL
UKRAINE - Marie Mendras, spécialiste de la politique russe, est l'invitée de Yves Calvi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later May 14, 2024 7:29


L'armée ukrainienne fait face depuis le 10 mai à une vaste offensive des troupes russes dans l'oblast de Kharkiv, région frontalière de la Russie. En l'espace de quelques jours, le président russe a multiplié les menaces et les déclarations triomphales. Faut-il s'en inquiéter ? Marie Mendras auteure de "La guerre permanente" aux éditions Calmann Lévy, est l'invitée de Yves Calvi.

Géopolitique, le débat
La guerre comme mode d'existence pour l'État russe ?

Géopolitique, le débat

Play Episode Listen Later May 12, 2024 38:58


Marie Mendras est notre invitée. Politologue au CNRS et au CERI de Sciences Po. Professeure à Sciences Po. Membre du comité de rédaction de la revue ESPRIT. Spécialiste de la Russie et de l'Ukraine. Marie Mendras vient de publier « La guerre permanente. L'ultime stratégie du Kremlin » chez Calmann Lévy. (Rediffusion)

Géopolitique, le débat
La guerre comme mode d'existence pour l'État russe ?

Géopolitique, le débat

Play Episode Listen Later Apr 14, 2024 50:00


Marie Mendras est notre invitée. Politologue au CNRS et au CERI de Sciences Po. Professeure à Sciences Po. Membre du comité de rédaction de la revue ESPRIT. Spécialiste de la Russie et de l'Ukraine. Marie Mendras vient de publier « La guerre permanente. L'ultime stratégie du Kremlin » chez Calmann Lévy. 

Géopolitique, le débat
Enjeux stratégiques des océans et réarmement naval (Part 2)

Géopolitique, le débat

Play Episode Listen Later Jan 28, 2024 50:00


L'augmentation des crises internationales, voire leur superposition ainsi que la permanence du discours autour d'une confrontation future sino-américaine dans l'espace indopacifique, créent une période d'intenses bouleversements géopolitiques, avec une très forte croissance des enjeux maritimes. Le XXIè siècle sera maritime. L'importance de l'océan ne cesse d'être soulignée, que ce soit du point de vue du climat, pour les immenses ressources qu'il abrite, ou dans les échanges ou la géopolitique. (Rediffusion) La mer est devenue indispensable à l'essence même de la puissance : la création de richesse et la projection des forces. Ce qui fait craindre le retour au combat sur, sous et au-dessus des mers -les fameux conflits de haute intensité. Invités :  L'amiral Bernard Rogel, ancien chef d'état major de la Marine et ancien chef de l'état major particulier des présidents François Hollande et Emmanuel Macron. « Un marin à l'Elysée. Des sous-marins nucléaires au bureau du Président », éditions Tallandier  Maxence Brischoux, enseignant en Relations internationales à Paris II Panthéon Assas. Membre du comité de rédaction de la revue COMMENTAIRE. « Le commerce et la force », éd. Calmann-Lévy. Et « Géopolitique des MERS » PUF 2023    Cyrille Coutansais, directeur du Département recherches du Centre d'Études Stratégiques de la Marine et enseignant à Sciences Po. « L'Empire des mers. Atlas historique de la France maritime ». et « La mer. Une infographie », CNRS éditions.  ⇒ Vaincre en mer au XXIè siècle. La tactique au cinquième âge du combat naval

Géopolitique, le débat
Enjeux stratégiques des océans et réarmement naval (Part 1)

Géopolitique, le débat

Play Episode Listen Later Jan 27, 2024 50:00


Dans un monde où certaines puissances s'affirment non sans beaucoup d'audace et recourent sans complexe à la force sous toutes ses formes pour faire valoir leurs intérêts, la mer est devenue un lieu d'expression privilégié des revendications désinhibées. Après des décennies d'apparente accalmie, la tempête du combat naval est, selon les spécialistes, de nouveau une hypothèse plausible. (Rediffusion) Le XXè siècle fut marqué par une domination sans partage de la puissance navale occidentale. Le XXIè siècle nous fait assister à une désinhibition des États-puissances et une contestation des équilibres anciens, en particulier sur les océans, espace commun à l'humanité. La rivalité entre forces navales fait son retour. Les espaces maritimes sont le théâtre d'une compétition croissante où s'aiguisent appétits de conquête ou de suprématie.  Regard sur les enjeux stratégiques des océans dont l'importance géopolitique n'est plus à démontrer.  Invités :  L'amiral Bernard Rogel, ancien chef d'état major de la Marine et ancien chef de l'état major particulier des présidents François Hollande et Emmanuel Macron. « Un marin à l'Elysée. Des sous-marins nucléaires au bureau du Président », éditions Tallandier Maxence Brischoux, enseignant en Relations internationales à Paris II Panthéon Assas. Membre du comité de rédaction de la revue COMMENTAIRE. « Le commerce et la force », éd. Calmann-Lévy. Et « Géopolitique des Mers » PUF 2023 Cyrille Coutansais, directeur du Département recherches du Centre d'Études Stratégiques de la Marine et enseignant à Sciences Po. « L'Empire des mers. Atlas historique de la France maritime ». et « La mer. Une infographie », CNRS éditions.