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Quaranta anys de vida d'una de les bandes catalanes m
Depuis que je raconte des histoires à la radio, j'ai souvent eu l'occasion de me rendre compte que s'il y a des détenteurs d'anecdotes incroyables du show bizness, ce sont les photographes. Ainsi on connaît tous ou presque le formidable Jean-Marié Périer, témoin de l'époque bénie des yéyés et des débuts du rock britannique. Mais il faut bien le reconnaître, peu d'autres noms sont passés à la postérité alors qu'ils ont approché les plus grands dans leur exercice et bien souvent, ont assisté à ce que personne ne voit : la création d'un disque, les coulisses d'un concert, les voyages promos.Le nom de grands témoins belges comme Guido Marcon, Philippe Carly ou Paul Coerten ne vous dit peut-être rien et pourtant, de Jacques Brel à U2, en passant par Queen, Bob Marley et Claude François, ils les ont tous photographiés et fréquentés de leurs débuts au sommet de leur gloire. Et justement, nous avons cet automne et cet hiver l'occasion d'aller admirer en Belgique, à La Boverie, à Liège, les photos du plus célèbre des témoins de l'ère du noir et blanc : Robert Doisneau.Vous venez sans doute, à l'évocation de son nom, de vous la projeter dans votre tête, sa légendaire photo du baiser de l'hôtel de ville ! Doisneau, c'est rien moins que le photographe le plus célèbre du XX° siècle. Et donc, le plus connu de tous les temps. Pas seulement parce qu'il a laissé 450.000 clichés, à une époque où, bien évidemment, on ne trimballe pas un appareil en permanence dans sa poche. Mais surtout parce que ces instants captés majoritairement dans les rues de Paris, sont de véritables témoignages historiques d'une vie quotidienne aujourd'hui disparue. On dit de Robert Doisneau qu'il voyait le monde tel qu'il est mais en soulignant le merveilleux, et tout ça avec la magie du noir et blanc. Et si au départ, ces photos étaient destinées à illustrer l'actualité dans de nombreux et prestigieux magazines français et américains, elles ont, avec la notoriété croissante de Doisneau, fini par constituer une bibliothèque d'images qui montre la vie des gens des années 30 à 80, qu'ils soient riches, célèbres, pauvres, défavorisés. Car c'est ça aussi Doisneau : à la fois le photographe de Vogue et de Life, correspondant permanent pour l'Amérique de la vie parisienne, mais aussi l'homme qui parcourt inlassablement et tranquillement les rues de sa ville pour capter le bon moment quand il se présente. Était-il conscient, à ses débuts, qu'il était occupé à découper le temps en lamelles fines pour les générations à venir ? Probablement pas, du moins à ses débuts. On a du mal à imaginer de nos jours où nous prenons des milliers de photos digitales dont l'espoir de vie est d'ailleurs bien maigre, un Robert Doisneau transformant la salle de bains familiale en chambre noire, en laboratoire de développement, avec les négatifs et les tirages qui pendent, accrochés à une corde. L'oeuvre de l'artiste qu'il était, c'est la vision d'un monde qui n'était pas meilleur qu'aujourd'hui et pourtant, quand on visite son expo ou qu'on feuillette un de ses livres, on n'y voit que des gens aimables, montrant que oui, un monde meilleur existe. La preuve : Doisneau l'a photographié.
On a tous des scènes de notre enfance bien ancrées dans notre mémoire. Ce n'est pas un hasard si ce sont celles que nous avons pris l'habitude d'évoquer quand il s'agit de raconter des souvenirs de cette époque où le monde nous paraissait beaucoup plus grand. Mais à présent, si je vous demande de chercher dans les coins de votre mémoire d'autres scènes que celles-là, des banales de votre quotidien quand vous étiez mômes, comme disaient les Parisiens. Tenez, vous l'entendez sonner, la cloche de la récréation, vous la reconnaissez. Vous vous voyez en train de courir quand la porte s'ouvre et crier en vous élançant dans la cour de l'école. Et tous ces rires, et puis les jeux avec vos camarades. Vous jouiez à quoi d'ailleurs ?Une chose est sûre : ceux qui ont vécu leur enfance dans les années d'avant et après-guerre, disposent d'images de ces instants incroyables que furent leurs jeux durant l'enfance. Grâce à Robert Doisneau, l'homme du baiser de l'hôtel de ville qui a autant profité de la fabuleuse notoriété acquise par cette photo qu'elle en cache les 450.000 autres. Car ce que Doisneau a photographié le plus, ce sont les enfants qui, à l'époque, jouaient dans les rues et les terrains vagues de la capitale française. Ainsi en 1944, sa photo d'un groupe d'enfants courant et sautant en criant au pied de la Tour Eiffel est aussi passée à la postérité. Comment ne pas être sensible à cette explosion de jeunesse, cette joie de tout découvrir et expérimenter, de former un chouette groupe, aussi. Doisneau dira que pour être bien lisible, une image doit avoir la forme d'une lettre. La Tour Eiffel est ici un “I”, c'est une évidence, quant à la nuée d'enfants à ses pieds, elle ressemble à une vague déferlante de lettres. Et quand on sait que Doisneau a perdu son job chez Renault car il était toujours en retard et trafiquait l'heure de son arrivée sur ses cartes de présence, s'il est devenu un artiste, c'est probablement parce qu'il était resté l'enfant qu'il cherchait en vain dans le regard des adultes photographiés pour ses magazines.Des photos, il a commencé à en prendre dès l'adolescence. Il préfère ça de loin à la profession que tentent de lui imposer ses parents. Apprends d'abord un métier, entend-il quand il leur montre fièrement ses premiers clichés. C'est vrai, ils sont tous d'accord dans la famille : les photos de Robert, c'est de la pellicule gâchée. Ça coûte cher, un film ! Je m'en fous, confie Doisneau, à sa plume et son cahier de brouillon, je continuerai quand même. Un jour peut-être quelqu'un y verra autre chose que de la pellicule Kodak gâchée.
On a tous en nous quelque chose de Robert Doisneau. De ce baiser de l'hôtel de ville qu'une copine avait en poster dans sa chambre ou un pote dans son kot, une affiche sur un mur, une couverture de farde de cours. Cette image a fait plus que le tour du monde, c'est un vrai tube, celui qui a fait connaître le nom d'un artiste dont la destinée n'est justement pas d'être connu de tous. Tout a commencé au printemps 1950 quand le magazine américain Life demande à Doisneau un reportage photo sur l'amour à la parisienne. Car c'est bien connu, les Américains le savent, que les Français ont une façon de vivre qu'ils n'imaginent pas, qu'on ne tolérerait pas aux Etats-Unis. Les hommes et les femmes n'hésitent pas à s'embrasser dans la rue, mieux, ou pire, personne n'y prête attention. Et donc dans ce numéro de Life qui, croyez-moi, va faire grand bruit et circuler partout suscitant fantasmes et envie de voir Paris, bref qui va créer un véritable mythe, on voit donc en grand sur la page de gauche, un homme et une femme s'embrasser sur un escalier, au milieu de la foule. Ah non, ce n'est pas le fameux baiser de l'hôtel de ville. Lui, il partage la page suivante avec d'autres clichés dont celui des amants qui se bécottent sur un banc public sous le regard d'une vieille dame en noir, bien en évidence. Non, coincé entre deux photos en haut de page, et recadré, ne permettant pas de reconnaître l'hôtel de ville, ce cliché ne ressort pas du lot de toutes ces images réalisées par Doisneau et qui ont fait rêver ou choqué plus d'un Américain. Et puis on oublie tout ça dans les années 60, 70, jusqu'à ce qu'un éditeur, en 1985, demande à Robert Doisneau, les droits pour en faire un poster. Doisneau signe mais quand même, il doute que ça marche. Des milliers et des milliers de cartes postales, affiches et une foule de produits dérivés plus tard, sa fortune faite et tombée du ciel sans prévenir, Doisneau profite de cette notoriété mondiale inattendue et sur le tard, quand un couple lui intente un procès, lui reprochant d'avoir utilisé leur image. Mais devant le tribunal, c'est un Robert Doisneau bien embêté qui vient leur dire qu'ils se trompent, ce n'est pas eux qu'il a photographié 40 ans plus tôtmais deux comédiens du cours Simon auxquels il avait proposé de poser pour 500 francs de l'époque. Françoise, la modèle, vient d'ailleurs confirmer à la barre, tenant dans les mains un tirage original signé par l'artiste. Le procès remporté par Doisneau casse un peu le mythe. Mais il est bien la preuve que l'artiste avait raison de recourir à deux modèles pour illustrer le Paris romantique cher aux Américains. Il n'avait pas le droit d'exploiter l'image de deux personnes à leur insu. Et demander le consentement des gens dans la rue aurait autant brisé la spontanéité. Le fait que vous n'ayez probablement pas entendu parler de cette affaire judiciaire illustre parfaitement la totale réussite de cette image, le mouvement, l'attitude des passants impassibles qui, eux, n'étaient pas dans le coup. Dernière preuve, s'il en faut : en novembre 2015, on a vu s'afficher Place de la République en réponse aux attentats qui venaient de blesser Paris, la photo du baiser de l'hôtel de ville avec cette légende : Même pas mal !
Au printemps 1945, il y a du monde au Louvre, aujourd'hui. Les visiteurs ont tous revêtu leur tenue du dimanche pour venir au grand musée. On n'imagine plus ça, aujourd'hui. Ils sont venus voir, entre autres, mais principalement elle, La Joconde, évidemment. Une Joconde placée sur un chevalet, de sorte que le public puisse faire le tour du tableau. On n'imagine plus ça, non plus.Pourquoi je vous raconte ça ? Et bien parce qu'un jeune photographe de 32 ans s'y trouve pour un reportage et qu'il va prendre une photo comme on le fait encore rarement, sinon jamais. En effet, au lieu de prendre l'image de Mona Lisa, ce qui n'aurait pas manqué d'intéresser les lecteurs de publications, il photographie le public, six personnes en plan rapproché, trois hommes, deux femmes et un enfant dont on devine l'émotion dans le regard ébloui, interpellé, fasciné, pris dans son flash. Sans doute faut-il voir dans ce coup de génie, la trace d'un homme qui connaît aussi bien les gens, le public qu'il capte à toute heure dans les rues, que les peintres. Certains des plus grands plus d'entre eux sont d'ailleurs ses voisins, à Montrouge. Et oui, bien avant qu'on y entende résonner la voix du jeune Jean-Jacques Goldman, à Montrouge, cette localité collée à Paris, au-delà du périphérique parisien, abrite l'atelier de photographie de Robert Doisneau, originaire d'une commune voisine. Et de l‘atelier du célébrissime Fernand Léger, il passera à celui de Picasso avec des portraits qui ne manquent pas d'humour, l'incroyable Giacometti au milieu de ses statues longilignes, Niki de Saint Phalle, à table entre deux de ses monumentales nanas ou encore le dessinateur Sempé qui projette sur le mur et lui-même une de ses foules innombrables de petits personnages qui tentent de monter dans le même bus. Ami de Jacques Prévert, Robert Doisneau est un artiste qui aime les artistes. Cela lui permet d'approcher tout le monde, même avant la starification comme la jeune Brigitte Bardot encore mannequin, 16 ans, mais déjà la coqueluche d'un magazine féminin. Resplendissante en tenue de bal, elle contraste avec un Orson Welles gouailleur, un ballon à la main au comptoir d'un bistrot. Le bistrot est un incontournable chez Doisneau, comme pour la majorité des Parisiens de l'époque, la pièce supplémentaire de tous les appartements du quartier, comme il aimait à le dire. Alors, quoi de plus normal de prendre une photo de la jeune et rebelle Isabelle Huppert se faisant servir un canon de rouge au comptoir, sous le regard de tous ces messieurs autour d'elle. Ou la même année 1985, et toujours en noir et blanc, la merveilleuse Sabine Azéma, buvant à la paille à la terrasse de chez Gégène. D'ailleurs, c'est simple, si vous aviez voulu croiser Robert Doisneau, à l'époque, il suffisait de vous pointer en fin de journée au café Chez Fraysse, rue de Seine, à St Germain. C'est là qu'il retrouvait quelques amis écrivains dont Jacques Prévert mais aussi Robert Giraud, frère d'argot de René Falet et Michel Audiard. Et puis des peintres, un patron de presse, un prof des Beaux-Arts, l'école est juste en face. Et tout ça, discute, boit le coup, Doisneau qui n'a jamais fini sa journée sortira plus d'une fois son appareil pour prendre des clichés d'une époque où on savait encore vivre ensemble. On terminera le parcours avec un splendide cliché de la grande Simone de Beauvoir, seule à table, sur la moleskine d'une banquette du Café de Flore, à l'époque où il était encore exclusivement le rendez-vous d'artistes. On veut cette époque authentique, elle nous appelle, dommage qu'on n'y ait pas plus prêté attention à l'époque, et heureusement qu'il y avait des gens comme Doisneau pour l'immortaliser en soulignant le merveilleux qui planait dans l'air.
Un homme et son chien. Un gros Briard noir frisé dont les poils hirsutes cachent le regard bravement couché au pied de la chaise de son maître assis à la terrasse d'une buvette parisienne. L'homme porte le costume cravate et chapeau classique comme tout le monde après-guerre mais il se tient légèrement avachi face à son verre de guignolet, la clope au bec et le regard dans le vide. On devine que son esprit est perdu dans une probable inspiration, assemblant des phrases et des rimes puisque l'homme en question se nomme Jacques Prévert, immédiatement reconnaissable, il est le poète le plus connu de sa génération.Dialoguiste d'une vingtaine de classiques du cinéma des Enfants du Paradis aux Visiteurs du soir, en passant par Quai des brumes et Drôle de drame… (bizarre, bizarre), Prévert a été chanté avec succès par son ami Yves Montand, Les feuilles mortes, et puis par Juliette Gréco, Serge Reggiani, et même Serge Gainsbourg qui lui rend hommage dans un superbe titre … Un Prévert qui à Paris, a longtemps préféré vivre à l'hôtel ou dans des meublés. Et quand il s'installe enfin dans un appartement, c'est derrière le Moulin Rouge, dans une rue en cul-de-sac, avec pour voisin de pallier, Boris Vian …L'homme qui prend cette photo sous les platanes d'un trottoir parisien, c'est bien évidemment Robert Doisneau. Prévert et lui se sont rencontrés grâce à son frère Pierre qui bosse dans un cabaret. Prévert et Doisneau se sont très vite trouvés. Je devrais dire, reconnus car ils partagent l'amour des petites gens : tu dois mettre dans le rectangle les laissés pour compte envoyés par le hasard pour en faire un bouquet, dit le poète au photographe. L'exposition de photos montées sur des planches dans ledit cabaret est un succès éclair puisque l'acteur Anthony Quinn, star d'Hollywood, Zorba le Grec et Quasimodo de Notre-Dame de Paris, achète toutes les photos. Il avait raison, Prévert. C'est autrement plus passionnant et enrichissant de cadrer les gens du peuple dans leur quotidien que d'aller photographier les têtes couronnées pour une couverture de magazine ou la nouvelle Renault pour une pub. Alors quand son ami Prévert, dont l'âme poétique accorde une importance particulière au nom des rues, l'appelle pour lui dire : Tu sais qu'il existe une rue des cinq diamants ? Viens, on va la photographier. Il est fréquent pour les Parisiens de croiser Prévert et Doisneau, dans l'improbable rue du Pont-aux-biches, comment auraient-ils pu louper ça, ou en train de flâner rue du Dessous-des-Berges ou encore au Passage de la Main d'Or. On ne croit donc pas au hasard de cette photo mythique de Prévert à la terrasse de La buvette du pont, sous les platanes, avec des tractions sur la rue en arrière-plan, les deux amis se complétaient à merveille, l'un faisait danser les mots, l'autre donnait une vie rêvée aux images.
Invité : - Eric Castellani, ancien arbitre assistant international et ancien président du syndicat des arbitres français Chroniqueurs : - Sébastien Lignier, chef du service politique à Valeurs actuelles - Eric Revel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Et si la joie, même discrète, devenait un soin à part entière ? Dans cet épisode, je t'emmène dans ces petits moments de lumière qui subsistent même quand la fin approche : un rire partagé, une odeur familière, une glace dégustée ensemble.
Une salle d'attente, des regards qui se croisent, des mots qui tombent à côté.Puis ce moment de vide, en sortant du cabinet, quand on se dit : “Encore un rendez-vous pour rien.”Ce sentiment si familier à celles et ceux qui cherchent des réponses, et ne trouvent que l'épuisement.Une scène du quotidien, courte mais lourde de sens , parce que parfois, tout se joue dans un instant.Cet épisode inaugure Les Instants États Dames, une nouvelle capsule du podcast États Dames.Des épisodes courts, immersifs et sensibles, qui racontent les petits moments du quotidien que vivent les malades, ceux qu'on tait souvent, mais qui disent tout.Entre émotions brutes, silences, et respiration, chaque instant explore ce que signifie vivre avec la maladie, au-delà des diagnostics.
durée : 00:57:23 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Dans quelle catégorie ranger "Le matin des magiciens" de Louis Pauwels et Jacques Bergier : essai, récit... ou affabulation littéraire sur le registre de l'ésotérisme et des pseudo-sciences ? En 1964, Louis Pauwels évoquait cet ouvrage et le "réalisme fantastique" au micro de José Pivin - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
Chaque week-end, Emilie Broussouloux vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir. Ce samedi 30 août, Crise politique : Bayrou vit-il ses derniers instants ?
REDIFF - Éric Dudoit, psychologue en soins palliatifs, accompagne les patients en fin de vie avec une approche humaine et intime. À travers des moments de partage et de légèreté, il aide ses patients à vivre intensément leurs derniers instants... Livre - « D'une vie à L'autre » aux éditions Larousse. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Mode "Apéro" (Part 6) Retrouvez 1h de Mix, Pour Passer un Moment Apéro sur des Sons "Lounge & Chill Out Mixer à 118 BPM ! Bonne Ecoute !
Continuing the conversation of the Goal of Truth. Here is the Holy Instants Role in Truth! Can we not interfer with it?
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L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
durée : 01:09:47 - Les Nuits de France Culture - par : Mathias Le Gargasson - Par José Pivin - Avec Francis Ponge (écrivain et poète) - Lectures Michel Bouquet - Réalisation José Pivin - réalisation : Louise Devillard
Muriel Dotta, 52 ans, est sculptrice à Grasse (Alpes-Maritimes). En 2018, sa fille Salomé Garnesson, 21 ans, se met en couple et emménage très rapidement avec un homme. Muriel s'inquiète pour sa fille qui arrête ses études, s'éloigne de ses proches et change rapidement de style vestimentaire et de comportement.Muriel Dotta comprend que le compagnon de sa fille contrôle tous ses faits et gestes. Elle n'a quasiment plus de nouvelles. Le 31 août 2019, le corps de la jeune femme est retrouvé au fond d'une impasse à Cagnes-sur-Mer, près de Grasse. Elle a été étranglée et battue à mort.Dans cet épisode de Code Source, Muriel Dotta raconte son histoire et celle de sa fille au micro de Barbara Gouy.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti, Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:15:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - À travers un choix de près de 400 photographies, le musée Maillol propose de (re)découvrir le photographe Robert Doisneau qui, à travers ses clichés du quotidien, livre un regard unique sur Paris et sur le monde. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro; Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur
durée : 00:27:07 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, deux expositions : "Robert Doisneau, instants donnés" au musée Maillol et "Le Paris d'Agnès Varda, de-ci de-là" au musée Carnavalet. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur; Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro
Vent de Fraîcheur | CJMD 96,9 FM LÉVIS | L'ALTERNATIVE RADIOPHONIQUE
Les débuts de la vie sont cruciaux. Natacha Slater, maman de cinq enfants et coordonatrice de Ressources-Naissances, nous parle de l'importance de l'accompagnement parental, des défis rencontrés par les familles et de l'impact durable des premiers moments sur le développement de l'enfant.#VentDeFraîcheur #manonpoulin #RessourcesNaissances Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Éric Dudoit, psychologue en soins palliatifs, accompagne les patients en fin de vie avec une approche humaine et intime. À travers des moments de partage et de légèreté, il aide ses patients à vivre intensément leurs derniers instants... Livre- « D'une vie à L'autre » aux éditions Larousse. Ecoutez Héros avec Faustine Bollaert du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une étude publiée en juillet 2023 dans la revue Cell Genomics par des chercheurs du Boston Children's Hospital et de la Harvard Medical School apporte un éclairage nouveau sur les origines précoces de la schizophrénie. Traditionnellement considérée comme résultant de facteurs génétiques héréditaires et environnementaux, cette recherche suggère que des mutations génétiques somatiques, survenant in utero, pourraient jouer un rôle crucial dans le développement ultérieur de ce trouble. Les chercheurs ont analysé les données génétiques de plus de 24 000 individus, dont la moitié diagnostiqués avec une schizophrénie. Ils ont identifié des mutations somatiques, c'est-à-dire des altérations génétiques non héritées des parents mais apparaissant spontanément au cours du développement embryonnaire. Ces mutations, présentes seulement dans une fraction des cellules en fonction du moment et de l'endroit où elles se produisent, peuvent influencer le risque de développer une schizophrénie à l'âge adulte. Deux gènes ont particulièrement retenu l'attention des chercheurs : 1. NRXN1 : Ce gène code pour une protéine essentielle à la régulation des connexions entre les neurones. Des altérations de NRXN1 peuvent perturber la communication neuronale, un facteur potentiellement impliqué dans la schizophrénie. 2. ABCB11 : Principalement connu pour son rôle dans le transport des sels biliaires dans le foie, ce gène a également été associé à des cas de schizophrénie lorsqu'il est muté. Ces découvertes suggèrent que la schizophrénie pourrait trouver une partie de son origine dans des événements génétiques se produisant dès les premiers stades de la vie. Les mutations somatiques identifiées, bien que non héréditaires, peuvent avoir des conséquences significatives sur le développement cérébral et prédisposer un individu à la schizophrénie. Il est important de noter que ces mutations ne sont présentes que dans certaines cellules, en fonction du moment et du lieu de leur apparition durant le développement embryonnaire. Cette mosaïcité génétique pourrait expliquer la variabilité des symptômes et de la sévérité observée chez les personnes atteintes de schizophrénie. Cette étude ouvre de nouvelles perspectives pour la compréhension des origines de la schizophrénie et souligne l'importance d'examiner les mutations somatiques dans les recherches futures. En identifiant ces altérations précoces, il serait possible de développer des stratégies d'intervention plus précoces et ciblées, offrant ainsi de meilleures chances de prévention ou de traitement efficace de ce trouble complexe. En conclusion, la schizophrénie pourrait effectivement se jouer dès les premiers instants de la vie, avec des mutations génétiques somatiques survenant in utero qui influencent le développement cérébral et augmentent le risque de ce trouble à l'âge adulte. Cette perspective enrichit notre compréhension de la schizophrénie et ouvre la voie à de nouvelles approches diagnostiques et thérapeutiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
The 650th of a series of weekly radio programmes created by :zoviet*france: First broadcast 21 December 2024 by Resonance 104.4 FM and CJMP 90.1 FM Thanks to the artists and sound recordists included here for their fine work. track list 00 Lee Patterson - Intro 01 Tarkatak / C. Reider - Uerdt Scepir Dhir I: Eclecia 02 Marcus Fischer - Among the Long Shadows 03 John Grzinich - Weathering Inside 04 Vongoiva - Here It All Began 05 Anton Mobin - Slow If Not 06 Freetousesounds - AMBRoom, Room Tone, Small Room, Apartment, Distance Movements, Traffic, Birds, Closed Windows, Izmir, Turkey, FTUS, 19232, 03 07 Ambientsketchbook - Leviathan Awakes 08 [unknown sound recordist / University of Iowa] - Earth Proton Whistlers 09 Kid 606 - Fuck Up Everything You Can Before You Plan on Slowing Down [extract] 10 [unknown sound recordist / BBC] - Germany – Precinct – Pedestrian Precinct (Cologne) 11 Cooper Raines - Wait Out the Rain ++ Lee Patterson - Outro
Lecture musicale par Arthur H & Alejandro VanZandt-Escobar Rencontre avec Marie-José Mondzain, Nancy Huston, Jean Mouttapa, Olivier Mongin, Amina Meddeb & Hind Meddeb De par ses origines, Abdelwahab Meddeb se situe dans une lignée de théologiens, d'écrivains et de poètes. Cela explique la diversité de son approche à la fois érudite, philosophique, littéraire et historique. Peu avant sa mort en novembre 2014, deux ouvrages sont parus : Portrait du poète en soufi et Instants soufis. Ces deux livres sont emblématiques de ce qu'il était profondément : un poète soufi et un penseur. C'est cet aspect de son œuvre qui sera mis en lumière pour lui rendre hommage dix ans après sa disparition. Arthur H lira des extraits de carnets de voyage (à paraître chez Stock au printemps 2025), sur une création sonore d'Alejandro VanZandt-Escobar. Marie-José Mondzain, Nancy Huston évoqueront leurs souvenirs et échanges avec l'écrivain, Olivier Mongin rappellera le cheminement d'Abdelwahab Meddeb avec la revue Esprit, tandis qu'Amina Meddeb et Hind Meddeb présenteront L'islam au croisement des cultures, ouvrage posthume ainsi que la réédition du livre d'entretiens Face à l'Islam. Également projection d'un extrait du film d'Abraham Segal, De page en page (à l'occasion de l'exposition « L'aventure des écritures » à la BNF (1999), avec la participation d'Abdelwahab Meddeb, Jean-Claude Carrière, Jean Bottéro, Edwy Plenel, Plantu. À lire – Abdelwahab Meddeb, L'islam au croisement des cultures, Albin Michel, 2024 – Face à lslam, Textuel, rééd. 2024 – Instants soufis, Albin Michel, 2015 – Portrait du poète en soufi, Belin, 2014.
Is it possible that science can help explain miracles? Can the laws of quantum physics prove how miraculous healings are possible? Lisa continues the conversation today with researcher, teacher, and author Joseph Selbie who breaks down these concepts and shares documented stories of miraculous healings. We all have innate soul powers for healing, and it IS possible to take charge of our own health. Joseph believes that no disease is incurable. Today Joseph discusses his new book, “The Physics of Miraculous Healing -- How Emotion, Mind, and Spirit Enable Unlimited Self-Healing.” Joseph shares a story about a woman who was diagnosed with Multiple Sclerosis. She had gone up and down with her health and was declining to the point that her parents were ready to move her into Hospice. Yet, even in that position of being so ill, she was clear of mind and strong of heart. She would spend hours and hours each day praying for others. She felt that she was in the flow of the Divine. She reports hearing a voice that said, “Get up and walk.” So she did. She removed her oxygen mask, got out of bed, and began to walk. She saw her doctor the next day who declared that she had absolutely no MS. Her subtle energy body had changed. Instants later, her physical body had changed. This woman had a powerful connection with the Divine. She had no idea that she would be cured. She just wanted to be a contributing member of society, so she spent her time praying for others. Emotions, mind, and spirit all play a part in healing. This is something that needs to be built. Joseph talks about how you may have created your illness, so therefore you may be able to heal it. If you harbor a belief and you believe something will happen to you, it very well may. If you feel a lack of forgiveness or feel betrayed in some way, this may contribute to diseases manifesting. Emotions of sadness and regret, even running in the background, can cause the subtle energy body to become distorted. This hologram makes it difficult to manifest a healthy body. The template is distorted. If these distortions are running a lot, people may get illnesses that may be difficult to cure. Your body begins to disfunction. It causes a negative distortion in your cells. How can self-healing happen? In the full potential of yourself, you could heal. If you knew with utter certainty, and believed in unlimited powers of healing, miracles can happen. Getting strength of mind can help. Joseph talks about meditation and how it can put you in touch with your spirit. You can feel it. You begin to leave unwanted beliefs. You can learn to feel and then move your subtle energy. You can do this through breathing exercises and intention. Happier people tend not to get sick. Cells are supported by a strong, healthy flow of energy. Joseph talks about living in an intentional community and his decades of meditation practice. He discusses the importance of believing in yourself. He talks about being a soul first. We must have a consistent practice to be able to self-heal. We can also believe in the power of medicine to heal. Science is so important, then you can go deeper into physics, and therefore healing can happen. It is a combination of science and spirituality. Joseph is a researcher of physics and combines this with his decades of meditation practice. The universal spiritual teachings are all based on prayer and intention. Visualization can also help to accelerate the healing. We are all in a sea of Infinite Intelligence. Those powers are always available to us and working with us whether we focus them or not. If you meditate even a little, if you choose more positive thoughts, it will help with your concentration and creativity, as well as your healing abilities. The more you take control of your health, the greater the benefits. Even if you do not heal, you may experience a more elevated sense of being. Medicine may be necessary, and spirituality can help. You are awakening to who you are. Our bodies have an innate sense of healing. It is natural to regenerate, and we can tap into these healing abilities. Our thoughts can definitely help us along the way! This is Part 2 of the interview. Info: josephselbie.com.
durée : 01:59:28 - Mélanges apéritifs (3/3) : Instants pop et ambiances planantes - par : Thierry Jousse - "Au programme de ce troisième et dernier mélange apéritif, chansons pop, spiritual jazz et musiques latines. Avec, entre autres, Nancy Sinatra, Paul Weller ou Kamasi Washington… Ça plane pour nous !" Thierry Jousse
BRAVES VS ASTROS INSTANT REPLAY 4.17.24 Pitch by pitch, play by play of your Atlanta Braves vs the Houston Astros
Envie de découvrir le monde du tennis ? Eric Salliot vous propose son coup de fil à un ami !Pour ce seconde épisode, Arthur Raymond, jeune tennisman français qui a frôlé la mort après un accident de voiture en juillet 2023, est de retour à la compétition. Il revient sur son long combat pour réapprendre à vivre tout d'abord, puis se relancer dans le tennis.
C dans l'air l'invité du 13 mars 2024 avec Thomas Misrachi, grand reporter pour TF1, auteur de “Le dernier soir”. Thomas Misrachi est grand reporter pour TF1. Il publie "Le dernier soir" chez Grasset, dans lequel il raconte les dernières heures de son amie de 77 ans qu'il appelle Sylvie, qui a mis fin à ses jours chez elle à Paris, et qu'il a accompagné. Cette Sylvie, c'est Jacqueline Jencquel, une femme libre, militante, qui s'est toujours battue pour que les gens puissent pouvoir choisir de mourir dans la dignité. Jacqueline Jencquel lui a demandé d'être là le dernier soir, chez elle, à Paris. Pour Thomas Misrachi, cette "présence était à la fois un privilège immense et un terrible fardeau". Avant de partir, Jacqueline Jencquel avait écrit plusieurs lettres : une pour la police, une pour Mathilde sa voisine et une autre pour ses fils. Tout était très réfléchi et préparé à son arrivée. "Il fallait juste que je sois là, sans rien faire, en ami, en compagnon de route, en témoin, en ombre, en prêtre et en dernier fidèle" explique Thomas Misrachi. Dans un entretien accordé à La Croix et Libération dimanche dernier, Emmanuel Macron a annoncé qu'un projet de loi ouvrant une "aide à mourir", sous “conditions strictes”, serait présenté en avril en Conseil des ministres, en vue d'une première lecture en mai à l'Assemblée nationale. Cette loi, selon lui, est "nécessaire parce qu'il y a des cas qu'on ne peut pas accepter humainement". Elle prévoit que les patients majeurs, "capables d'un discernement plein et entier", atteints d'une "maladie incurable" avec "pronostic vital engagé à court ou moyen terme" et subissant des souffrances ne pouvant être soulagées, pourront “demander à pouvoir être aidés afin de mourir”. Dans ce qui est prévu, Jacqueline Jencquel n'aurait pas pu y avoir recours. Elle n'était pas condamnée à court ou moyen terme comme le dit la loi. Thomas Misrachi est grand reporter pour TF1. Dans son témoignage"Le dernier soir" publié chez Grasset, il raconte comment et pourquoi il a accompagné son amie Jacqueline Jencquel à mourir. Il reviendra également sur le projet de loi d'Emmanuel Macron sur la fin de vie, qui instaure notamment une "aide à mourir".
durée : 01:04:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par José Pivin - Avec Albert Cossery - Réalisation José Pivin
Who doesn't love some unknown cards? Be the cool one who people say, "Hey what's that do?" Here are some cards! Two rules: 1. Printed Before 8th Edition 2. Less than 2000 decks on EDHRec.com Get some food tokens HERE: https://ko-fi.com/andyweekend/shop HEY! We got a YouTube channel where we'll be uploading our episodes, as well! Check it out and SUBSCRIBE! We might upload the occasional non-episode there as well. Temple of the False Pod on YouTube! Come bask with us in the casual formats, and may your fifth land always be the Temple. We are available wherever podcasts are found, so subscribe and leave us a review! It helps us out and drop us a line at falsepodmtg@gmail.com to tell us about your big plays! You can also find us on Twitter: @FalsePodMTG We are: Andy Stocker (@andyweekend) Bruce Richard (@manaburned)
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par José Pivin - Avec Armand Gatti - Réalisation José Pivin
durée : 01:09:45 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par José Pivin - Avec Francis Ponge - Lectures Michel Bouquet - Réalisation José Pivin
Tanya Bossy, la fille du célèbre joueur de hockey Mike Bossy, a partagé un récit émouvant sur les derniers moments de son père. Entrevue avec Tanya Bossy, fille du joueur de hockey Mike Bossy et proche aidante et Stéphanie Charette, directrice des communications de L'Appui pour les proches aidants.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans cette émission simple et sereine en deux parties, je vous parle de l'importance de savourer les moments ordinaires qui nous entourent ici et maintenant, sans condition de vie future ; puis nous discutons avec Camille, la Community Manager de Café aux étoiles, de nos plaisirs quotidiens propres à l'automne...Notes et script en PDF : https://florieteller.com/bn194/Pour me soutenir : https://www.patreon.com/florietellerLa lettre créative et sereine du mois : https://florieteller.com/lettre/Café aux étoiles, ma maison d'édition sereine et onirique : https://cafeauxetoiles.fr/Discord de Café aux étoiles : https://discord.gg/ytjReRaKmKTout ce que je fabrique : https://florieteller.com/ Qui suis-je ?Je m'appelle Florie Vine, je suis une artiste plurielle & slow et la fondatrice de la maison d'édition Café aux étoiles. Avec les Bulles Nomades, je pose mon micro casque sur la tête et je vous parle de ma vie d'artiste, mes inspirations, des explorations qui m'ont menée ici et des idées qui m'émerveillent… Crédit musique : Teller of the Tales by Kevin MacLeodLink: https://incompetech.filmmusic.io/song/4467-teller-of-the-talesLicense: http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
Y'all like niche cards? Y'all like the color black? Well, here are some instants! Rules: 1. Under 2000 decks on EDHRec.com 2. First Printed before 8th Edition Get some food tokens HERE: https://ko-fi.com/andyweekend/shop HEY! We got a YouTube channel where we'll be uploading our episodes, as well! Check it out and SUBSCRIBE! We might upload the occasional non-episode there as well. Temple of the False Pod on YouTube! Come bask with us in the casual formats, and may your fifth land always be the Temple. We are available wherever podcasts are found, so subscribe and leave us a review! It helps us out and drop us a line at falsepodmtg@gmail.com to tell us about your big plays! You can also find us on Twitter: @FalsePodMTG We are: Andy Stocker (@andyweekend) Bruce Richard (@manaburned)
Invité: Philippe Delerm. Dans l'instant présent, si l'on observe ce qui se présente devant nous, nous sommes devant un spectacle simple et beau. Une lumière, un paysage, un son particulier. Comment se laisser atteindre par ces instants? Tribu en parle en compagnie de Philippe Delerm, écrivain. Il publie "Les instants suspendus" aux éditions du Seuil.
Invité: Philippe Delerm. Dans l'instant présent, si l'on observe ce qui se présente devant nous, nous sommes devant un spectacle simple et beau. Une lumière, un paysage, un son particulier. Comment se laisser atteindre par ces instants? Tribu en parle en compagnie de Philippe Delerm, écrivain. Il publie "Les instants suspendus" aux éditions du Seuil.
We're back with some Favorite Temple's Treasures! This time: blue instants! Reminder of the rules: 1. Less than 2000 decks on EDHRec 2. First Printed BEFORE 8th Edition HEY! We got a YouTube channel where we'll be uploading our episodes, as well! Check it out and SUBSCRIBE! We might upload the occasional non-episode there as well. Temple of the False Pod on YouTube! Come bask with us in the casual formats, and may your fifth land always be the Temple. We are available wherever podcasts are found, so subscribe and leave us a review! It helps us out and drop us a line at falsepodmtg@gmail.com to tell us about your big plays! You can also find us on Twitter: @FalsePodMTG We are: Andy Stocker (@andyweekend) Bruce Richard (@manaburned)