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Ecoutez La Vizo Conférence avec Alex Vizorek du 17 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le "paradoxe français" désigne une observation intrigante : les Français, malgré une alimentation riche en graisses saturées (fromages, beurre, charcuterie), ont un taux relativement bas de maladies cardiovasculaires, en comparaison avec d'autres pays occidentaux comme les États-Unis. Cette contradiction apparente a été mise sous les projecteurs aux États-Unis le 17 novembre 1991, lors d'un épisode de l'émission très populaire 60 Minutes diffusée sur CBS. Le segment, intitulé "The French Paradox", présentait l'idée que la consommation régulière de vin rouge par les Français pourrait être la clé de leur bonne santé cardiovasculaire.L'impact de cette émission a été immédiat : selon les données du Wine Market Council, les ventes de vin rouge ont augmenté de 44 % aux États-Unis dans les mois qui ont suivi. En 1992, le vin rouge représentait environ 70 % des nouvelles ventes de vin sur le marché américain, contre seulement 50 % l'année précédente. Certaines marques françaises comme Château Lafite Rothschild ont vu leur popularité exploser, et les importations de vin français ont fortement progressé.Sur le plan scientifique, l'un des principaux promoteurs de ce concept était le chercheur Serge Renaud de l'INSERM à Lyon. Dans un article publié en 1992 dans The Lancet, il avance que la consommation modérée de vin rouge – un à deux verres par jour – pourrait réduire le risque de maladies coronariennes de 40 %. Le vin rouge contient en effet des polyphénols, dont le plus connu est le resvératrol, un antioxydant présent dans la peau du raisin. Des études comme celle de J.P. Fremont (1999, Life Sciences) ont suggéré que le resvératrol inhibe l'agrégation des plaquettes et protège les vaisseaux sanguins.Le "paradoxe français" est alors devenu un argument marketing massif. L'industrie vinicole, en France comme aux États-Unis, s'en est emparée pour promouvoir le vin rouge comme un produit "santé". Cette stratégie a contribué à modifier l'image du vin outre-Atlantique, le faisant passer d'un produit de luxe européen à un choix de consommation perçu comme bénéfique.Cependant, cette idée a été nuancée fortement depuis. Aujourd'hui on sait que scientifiquement, la consommation modérée d'alcool n'est pas totalement sans risque, même à faibles doses.Citons l'étude de référence : The Lancet, 2018 – Global Burden of Disease StudyIl s'agit de l'une des études les plus vastes jamais réalisées sur le sujet, couvrant plus de 28 millions de personnes dans 195 pays. Elle conclut que le niveau de consommation d'alcool le plus sûr est zéro. Même à faibles doses, l'alcool augmente les risques de certains cancers, de maladies cardiovasculaires et de blessures.Cette étude remet donc totalement en cause l'idée selon laquelle une consommation modérée, comme un verre de vin par jour, pourrait être bénéfique pour la santé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'humour romand vit son âge d'or: Thomas Wiesel, Yann Marguet, Alexandre Kominek ou Cinzia Cattaneo sont partout, dans les théâtres, les médias, les festivals spécialisés, voire les fêtes d'entreprise. Dans leur sillage, des dizaines de jeunes tentent de les imiter, parfois d'en faire un métier. Mais l'humour n'existe pas que sur scène. Au quotidien, il est un outil puissant et utile. Qui sait provoquer le rire est bien placé.e pour séduire, vendre, imposer un point de vue, désamorcer un conflit ou simplement attirer l'attention. Or il en va de l'humour comme du sport. Le talent compte mais le travail davantage encore. Le rire s'enseigne, se pratique, s'étudie, se cultive. Les ateliers d'écriture et autres formations n'ont jamais connu autant de succès. Production :Laurence Difélix Réalisation :Jean-Daniel Mottet Les invité.es: Olivia Gazalé Philosophe, autrice du livre "Paradoxe du rire. Peut-on rire de tout sans blesser personne ?", collection AGORA chez Pocket, 2025. & Mathieu Exhenry Programmateur du festival Morges-sous-Rire.
Les résultats de mon sondage LinkedIn sont sans appel : ce n'est plus la peur de perdre son job qui domine… mais celle de faire un burn-out ou, à l'inverse, de s'ennuyer. Un paradoxe étonnant qui en dit long sur l'évolution de notre rapport au travail.
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durée : 00:42:46 - En pistes, contemporains ! du dimanche 25 mai 2025 - par : Emilie Munera - Au programme les compositeurs Fabien Levy, Michael Jarrell, Mark Summer et Robert Fokkens - réalisé par : Arthur Rayrole
durée : 00:42:46 - En pistes, contemporains ! du dimanche 25 mai 2025 - par : Emilie Munera - Au programme les compositeurs Fabien Levy, Michael Jarrell, Mark Summer et Robert Fokkens - réalisé par : Arthur Rayrole
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Steampunk et manga font-ils bon ménage ? à l’occasion de la sortie de Erio and The Electric Doll (Mangetsu), la 5e de Couv’ vous propose une expédition : explorer le genre Steampunk, redéfinir les frontières... L'article Le paradoxe du manga Steampunk – La 5e de Couv – #5DC – Saison 10 épisode 33 est apparu en premier sur La 5e de Couv' - Le podcast de débat autour du manga !.
durée : 00:46:47 - La 20e heure - par : Eva Bester - Journaliste et écrivain, Eric Fottorino ne manque pas d'idées, ni d'envies. Attaché à faire entrer la littérature dans notre univers hyperréaliste, il a publié un nouveau roman "Des gens sensibles" aux éditions Gallimard, une plongée dans le monde de l'édition dans les années 1990 à Paris.
Version française disponible ! Auto-doublée de YouTube avec l'IA (la qualité peut varier) Pour activer ou désactiver la version doublée en français de cet épisode en anglais, cliquez sur l'icône ⚙️ en bas de la vidéo, puis sélectionnez votre piste audio préférée. Les sous-titres français sont également disponibles dans les paramètres. ⚠️ Découvrez du contenu EXCLUSIF (pas sur la chaîne) ⚠️ ⇒ https://the-flares.com/y/bonus/ ⬇️⬇️⬇️ Infos complémentaires : sources, références, liens... ⬇️⬇️⬇️ Le contenu vous intéresse ? Abonnez-vous et cliquez sur la
Warnungen bringen nichts mehr. Was großmäulig auftretende – in Wahrheit atemberaubend phantasie- und verantwortungslose – deutsche Politiker mit einer möglichen Tauruslieferung an die Ukraine anrichten könnten und wohin sie unser Land damit führen würden, das sollte längst jeder wissen, der noch in der Lage ist, eins und eins zusammenzuzählen. – Probieren wir es also einmalWeiterlesen
À force de vociférer contre l'OTAN, de menacer l'Ukraine et de s'attaquer à la banque centrale américaine, Donald Trump a fait plus pour l'Europe que ce que vingt sommets européens n'ont jamais réussi à faire : il a réveillé un continent qui roupillait. Merci, Donald, d'avoir réussi là où la Banque centrale européenne a échoué, c'est-à-dire faire remonter l'euro. Résultat : les capitaux fuient les États-Unis pour se loger en Europe. Merci, Donald, d'avoir offert à l'Allemagne un prétexte pour abandonner son austérité. Même le sacro-saint frein à l'endettement a été mis entre parenthèses. Vous avez réussi à faire changer d'avis les Allemands. Merci, Donald, de donner un sens nouveau au mot "chaos". Car, dans le brouillard que vous créez à chaque tweet, les investisseurs cherchent des refuges. Et ils découvrent que l'Europe, malgré ses lenteurs, peut être un havre de stabilité. Merci, Donald, de nous rappeler, par la menace, l'urgence d'un vrai marché unique. Votre chaos nous redonne de la clarté. Merci, Donald, d'être un négociateur de souk. Votre art du deal, c'est surtout l'art du bruit. Mais ce bruit-là, paradoxalement, permet à l'Europe de se remettre en ordre de marche. Merci de faire tomber les masques. Votre imprévisibilité oblige l'Europe à penser à long terme, à parler souveraineté, à se projeter stratégiquement. Vous êtes donc le plus grand agent de transformation involontaire du Vieux Continent. Merci, Donald Trump. Et surtout, continuez comme ça. Mots-clés : consistance, Danemark, pro-americain, doute, Jerome Powell, président, banque centrale américaine, FED, Russie, droits de douane, dollar, fonds européen, bourse,infrastructure, défense, armée, armement, investissement, constitution, oligarque, tech, Ursula von der Leyen, règle, prévisibilité, opportunité, Mario Draghi, calcul, biens, services, apocalypse, annonce, ristourne, moteur, changement --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux un téléphone éthique ? Loue ton Fairphone avec Commown. _Un de mes épisodes préférés de cette année ! Voici Olivia Gazalé, philosophe et autrice du Paradoxe du Rire. Pourquoi le rire n'est jamais neutre ? Comment peut-il à la fois faire du mal et faire du bien ?Comment quelque chose d'aussi superficiel est en fait infiniment plus profond qu'il n'y paraît ?SOMMAIRE02:54 L'anecdote de la classe08:56 Celui qui peut rire11:24 Le rire réservé aux mecs ?15:47 Rire et classisme18:38 Meurice et la Dernière de Radio Nova25:52 Génération sarcasme50:18 Anecdotes_Merci au sponsor du mois : le téléphone éthique Fairphone et la coopérative Commown !Découvre leur offre de téléphone éthique sur t.ly/fairphone.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux un téléphone éthique ? Loue ton Fairphone avec Commown. _Voici un extrait de l'épisode de demain avec Olivia Gazalé, philosophe et autrice du Paradoxe du Rire. Pourquoi le rire n'est jamais neutre ? Comment peut-il à la fois faire du mal et faire du bien ?Comment quelque chose d'aussi superficiel est en fait infiniment plus profond qu'il n'y paraît ?_Merci au sponsor du mois : le téléphone éthique Fairphone et la coopérative Commown !Découvre leur offre de téléphone éthique sur t.ly/fairphone.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si le vélo était une brèche vers une société plus calme, saine et joyeuse ? Voici Baptiste Lemaître du documentaire Les Roues de l'Avenir !Pour rejoindre ou organiser une projection : https://lesrouesdelavenir.comOu écrivez à lesrouesdelavenir@gmail.comSOMMAIRE01:33 L'anecdote des Pays-Bas04:51 Paradoxe de la voiture12:13 Les Roues de l'Avenir15:25 Bénéfices du vélo17:08 Vivre 7 ans de plus20:21 Devenir autonome25:52 La civilisation du cocon30:14 Le RER V32:35 Projections_Merci au sponsor du mois : le téléphone éthique Fairphone et la coopérative Commown !Découvre leur offre de téléphone éthique sur t.ly/fairphone.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sara Serpa, Ingrid Laubrock, Nels Cline, Brulez Les Meubles, Kris Davis, Camila Nebbia & Angelica Sanchez, Sylvie Courvoisier, Sylvie Courvoisier & Mary Halvorson, Thumbscrew, Kirsten Carey & Aaron Edgecomb, Jessica Ackerley, Jairus Sharif and Mustafa RafiqPlaylist: Sara Serpa - Story 1 / LanguageIngrid Laubrock, featuring Fay Victor & Mariel Roberts - Koan 13Nels Cline, featuring Ingrid Laubrock, Chris Lightcap & Tom Rainey - The 23Brûlez les meubles - Paradoxe de la joieKris Davis, featuring Robert Hurst & Johnathan Blake - Coda QueenCamila Nebbia, Angelica Sanchez - vislumbreSylvie Courvoisier - Edging Candytuft (for Mary Halvorson)Sylvie Courvoisier & Mary Halvorson - Bone BellsThumbscrew, featuring Mary Havlorson, Michael Formanek & Tomas Fujiwara - WingbeatsThumbscrew, featuring Mary Halvorson, Michael Formanek & Tomas Fujiwara - Greenish TentsThumbscrew, featuring Mary Halvorson, Michael Formanek & Tomas Fujiwara - Somewhat AgreeKirsten Carey, Aaron Edgecomb - Brian Wilson's Bad DayJessica Ackerley - The dots are the connectionsJairus Sharif - MawuMustafa Rafiq - Triumph
Gedanken von Oliver Jeske zum Bibeltext 1. Korinther 1,21b (Autor: Oliver Jeske)
Gedanken von Oliver Jeske zum Bibeltext 1. Korinther 1,21b (Autor: Oliver Jeske)
Pour vous abonner à ma newsletter : https://hop.kessel.media/Il y a quelques jours, je me suis inscrit dans une nouvelle salle de sport. Une décision anodine mais si je vous en parle, c'est que mon critère décisif de choix en surprendrait plus d'un : son café ! Alors pourquoi je vous raconte ça ? Après treize années en tant qu'indépendant, j'ai appris à apprécier la liberté d'organiser mon temps, cette capacité à façonner mes journées selon mes envies.J'ai toujours choisi des appartements me permettant de faire cela dans les meilleures conditions et pourtant, la solitude des journées commence à peser.Partageant la raison principale de mon inscription dans cette gym avec mon ami John Krakauer, neuroscientifique américain reconnu, il m'a répondu par une formule qui résonne comme un diagnostic de notre époque : "we need to practice humans".En français dans le texte « Nous devons pratiquer l'art d'être humain ».A priori un non-sens et pourtant c'est tout l'inverse.Comme un muscle qui s'atrophie faute d'exercice, de manière insidieuse, notre capacité à créer du lien se délite dans le confort de notre isolement choisi.D'ailleurs, j'ai reçu sur Vlan ! une chercheuse du MIT, Valérie Gauthier pour nous aider à récréer du dialogue si cela vous intéresse.Cette semaine j'ai envie d'explorer ce que le magazine « The Atlantic » a justement nommé de « siècle anti-social ». Mais alors c'est quoi le paradoxe de notre solitude moderne ?La langue anglaise, dans sa précision, distingue "solitude" de "loneliness".Le premier terme décrit un choix enrichissant, une pause réparatrice. Le second évoque une forme d'isolement toxique, un repli qui nous éloigne de notre nature profondément sociale.Notre langue française peine à capturer cette nuance essentielle - "isolement" porte une connotation trop négative pour traduire fidèlement ce "loneliness" contemporain que nous nous imposons collectivement.Alors attentin, ressentir de la solitude est une réponse saine, comme le souligne le sociologue Eric Klinenberg.C'est cette énergie qui m'a poussé vers cette salle de sport, ce besoin viscéral de reconnecter avec le monde.Mais voilà le paradoxe de notre époque : nous répondons au sentiment de solitude par davantage de solitude, dans une spirale qui nous éloigne toujours plus les uns des autres.Les chiffres racontent une histoire paradoxale de notre temps.Pour chaque heure passée en présence d'autrui hors de chez soi, l'Américain moyen en passe 7 devant sa télévision.La fréquence des dîners entre amis a chuté de 45% entre 1970 et les années 2000.Nous croyons chercher le bien-être dans cette retraite, mais les études en psychologie moderne révèlent une réalité contre-intuitive : nous sommes particulièrement mauvais pour identifier ce qui nous rend véritablement heureux.En fait ce que l'on nomme le Me-time a un vrai coté sombre !!! Je vous explique ca !! Une expérience fascinante menée à Chicago par le psychologue Nick Epley l'illustre parfaitement. Il a demandé aux usagers du métro d'imaginer leur trajet idéal : la majorité a opté pour un voyage silencieux et solitaire, considérant qu'une conversation avec un inconnu serait désagréable.L'expérience a prouvé exactement l'inverse - les interactions, même brèves, ont significativement amélioré leur bien-être et plus longues étaient ces dernières, meilleur était l'impact.C'est ce que les chercheurs appellent le "paradoxe de la connexion sociale" : nous fuyons précisément ce qui pourrait nous rendre plus heureux.Pourtant même dans un espace social tel que le métro nous nous enfermons dans l'isolement de nos écouteurs qui annulent le bruit ou simplement en plaçant l'écran glacé de notre téléphone entre soi et les autres.Et ce qui est mauvais pour notre santé mentale fini par également être mauvais pour notre santé physique comme le prouvent de nombreuses études sur la longévité.Etre utile à sa communauté comme me le rappelait Jean-Marc Lemaître, Directeur de recherche à l'Inserm, est fondamental. Et par ailleurs il y a un prix politique à notre deconnexion sociale ! je vous explique Cette citation de Deleuze prend ici tout son sens : "Le pouvoir exige des corps tristes. Le pouvoir a besoin de tristesse parce qu'il peut la dominer. La joie est résistance, parce qu'elle n'abandonne pas."Sans verser dans le complotisme, l'idée n'est pas dire que le pouvoir en place nous invite à rester chez nous mais force est de constater que notre isolement volontaire fragilise le tissu social.Nous renforçons nos liens avec ceux qui pensent comme nous, tandis que notre seule exposition à des opinions divergentes se fait à travers le prisme déformant des algorithmes des reseaux sociaux.La nuance qu'apportait une discussion au café du commerce, la modération qu'insufflait une conversation avec un voisin de palier, tout cela s'efface progressivement.Trump a parfaitement profité de cette situation et l'a renforcé en créant son propre réseau social ironiquement appelé « Truth social » (selon le Washington Post, durant son 1er mandat il a menti 30 573 fois soit 21 mensonges par jour en moyenne - cqfd).Situation encore renforcée avec un Musk prenant la main sur X évidemment.Comme l'explique le sociologue Dunkelman, "si la famille nous apprend l'amour, la tribu nous apprend la loyauté et le village nous apprend la tolérance."Sans ce village, nous perdons notre capacité à comprendre des narratifs différents des nôtres.La réalité c'est que parler avec des personnes bienveillantes ayant des opinions légèrement différentes des nôtres permet de se modérer politiquement automatiquement.A partir du moment où nous n'avons plus d'interactions avec nos voisins, nous n'arrivons plus à nous connecter à la nuance et cela donne envie de renverser la table.D'ailleurs, cette déconnexion sociale est aussi en partie ce qui explique l'incompréhension chez les démocrates aux U.S. qui continuaient à parler des minorités invisibilisées quand la majorité des Américains n'arrivaient pas à joindre les 2 bouts.Nous ne parlons plus avec les mêmes faits ni les mêmes vérités quand nous pourrions être relativement d'accord la plupart du temps comme l'a prouvé la convention citoyenne en France.Mais dans cette période particulièrement dystopique, ce que j'observe surtout, c'est ce besoin de se réfugier avec un besoin croissant de se divertir.Or on le sait, l'extrême-droite gagne faute de participants, le nihilisme gagne partout et est particulièrement dangereux.Alors on écoute des podcasts d'humour ou léger, on regarde des séries et tout cela renforce le temps passé seul.C'est assez classique de gérer le stress à travers une forme d'isolement mais en réalité cela est inversement proportionnel à notre niveau de bonheur.Même nos rituels sociaux ont été touché mais l‘avez-vous réalisé ? Dans les années 1970, le foyer américain moyen recevait des amis plus d'une fois par mois. Aujourd'hui, ces rituels de socialisation s'effritent. Les livraisons à domicile représentent désormais 74% du trafic des restaurants aux U.S., transformant des lieux de convivialité en simples points de collecte.Cette évolution reflète une transformation plus profonde de notre rapport au temps et à l'espace. Entre 1965 et 1995, nous avons gagné collectivement six heures de temps libre par semaine - soit 300 heures par an.Au lieu d'investir ce temps dans des activités sociales, nous l'avons massivement réinvesti dans les écrans.Un choix qui semblait offrir plus de liberté mais qui, paradoxalement, nous a enfermés dans une nouvelle forme de solitude.Et je dois confesser, non sans gêne, que mon propre compteur est probablement plus élevé que les 30% de temps éveillé moyen passés devant un écran.Plus inquiétant, les études démontrent une corrélation directe : plus nous passons de temps devant nos écrans, moins nous sommes naturellement attirés par l'engagement social.Certes, une partie de ce temps d'écran est supposément "sociale", mais partager des liens TikTok ne remplace pas la richesse d'une conversation en face à face.Même dans le couple, il arrive régulièrement qu'un écran s'interfère entre les 2 personnes, la psychologue Esther Perel m'a parlé alors de solitude paradoxale dans cet épisode de Vlan !Vous n'êtes pas seul mais vous ressentez un sentiment d'ignorance qui parfois peut avoir des impacts délétères. Et alors si vous avez des enfants, l'impact chez les ado est halluninante Oui ! La transformation est encore plus frappante chez les jeunes générations.Les statistiques révèlent une réalité troublante : ils sont moins nombreux à vouloir passer leur permis, à sortir en "date", ou même simplement à voir des amis en dehors de l'école.Ils font moins de bêtises, ont moins de relations sexuelles, restent dans leurs chambres et quand ils sont en famille, mettent un écran entre eux et leurs parents.Le nombre d'adolescents qui voient quotidiennement un ami hors du cadre scolaire a chuté de 50% par rapport à 1990.L'anxiété atteint des sommets, particulièrement chez les jeunes filles, dont près de 50% rapportent une tristesse persistante.Ce n'est plus seulement une redéfinition de l'adolescence à laquelle nous assistons, mais une transformation profonde de sa psychologie même.Comme l'explique Nicholas Carr, nous avons perdu cette frontière salutaire entre "être seul" et "être dans la foule". Notre solitude est constamment parasitée par le flux ininterrompu des réseaux sociaux, créant un état paradoxal : plus connectés que jamais, mais aussi plus anxieux et épuisés.Un phénomène qui explique peut-être cette tendance étrange sur TikTok à célébrer l'annulation de diners ou de plans sociaux. Et alors il y a un truc que je n'avais pas du tout vu venir De manière surprenante - du moins pour moi - la courbe du bonheur est inversement proportionnelle au confort que nous construisons dans nos maisons, comme le note le sociologue Patrick Sharkey.Plus nous y sommes confortables moins nous voulons en sortir et plus nous nous recroquevillons sur nous-même.D'ailleurs, il note qu'un changement profond s'est opéré dans la conception même de nos espaces de vie. Les architectes ne débattent plus de la luminosité des pièces ou de l'ouverture des espaces, mais du nombre d'écrans qu'on peut y installer – il faut désormais s'assurer que l'on peut accrocher un écran dans chaque pièce.Le confort moderne s'est transformé en cocon digital, dessinant une architecture intrinsèquement antisociale.Les "routines matinale" exhibées sur les réseaux sociaux illustrent parfaitement cette mutation.Ces vidéos, souvent réalisée par des personnes fortunées au physique mettent en scène une existence quasi monacale : méditation matinale, séance de journaling, repas healthy, yoga... mais étrangement, pas trace d'enfants, de conjoint ou d'amis.La présence de l'autre y est souvent perçue comme une nuisance, une interruption dans cette chorégraphie parfaitement orchestrée du "me-time". Et ca pourrait être pire demain si on ne se réveille pasNotre fuite vers le digital pourrait bientôt prendre une nouvelle dimension avec l'émergence des IA conversationnelles.J'ai ce pressentiment que les réseaux sociaux traditionnels vont perdre du terrain au profit des conversations avec des intelligences artificielles.Cela peut sembler relever de la science-fiction, mais je le vois venir inexorablement.Le plus troublant n'est pas que nous ne réalisions pas parler à une machine - nous le savons parfaitement.Non, ce qui inquiète, c'est que nous choisissions consciemment ces interlocuteurs artificiels. La raison est simple : l'IA ne nous challenge jamais, elle nous valide constamment et reste disponible 24/7, sans le moindre jugement.Une facilité qui nous éloigne encore davantage de la complexité enrichissante des relations humaines.La prescription est pourtant simple pour quiconque évalue son bien-être en dessous de 7/10 : privilégier les appels téléphoniques aux messages texte, oser la conversation avec des inconnus dans un café, s'engager dans de nouvelles activités pour rencontrer des personnes ou simplement travailler depuis un espace social pour les indépendants.Ces petits pas peuvent sembler insignifiants, mais ils sont le début d'une transformation profonde.C'est précisément ce qui m'a poussé à choisir cette salle de sport avec mon amie Fatou.Un simple rituel matinal qui devient une norme, qui elle-même se transforme en valeur, pour finalement redéfinir mes comportements.Car au fond, tout commence par ces petits choix quotidiens.Face à ce défi, il ne s'agit pas simplement de nostalgie pour un monde pré-numérique.Notre besoin de connexion humaine n'est pas un luxe ou une option - c'est une nécessité vitale pour notre espèce.Les études démontrent invariablement que contrairement à nos croyances modernes, une plus grande maison, une voiture de luxe, ou un salaire doublé au prix de notre temps libre ne font que générer plus d'anxiété.Le véritable paradoxe de notre époque réside dans cette conviction que ce dont nous avons le plus besoin est du temps seul (« me-time).C'est peut-être la plus grande erreur de notre génération.Nous possédons d'innombrables opportunités de nous connecter les uns aux autres, et pourtant nous les rejetons systématiquement, une par une, jour après jour."Pratiquer l'humain" n'est donc pas un simple exercice de « développement personnel » - c'est un acte de résistance contre l'atomisation de notre société.Chaque conversation initiée, chaque sourire échangé, chaque moment de présence authentique compte. Ces interactions peuvent sembler insignifiantes face à l'ampleur du défi, mais elles sont les fils qui retissent le tissu social effiloché.Pour paraphraser Deleuze une dernière fois, la joie que nous procurent les vraies connexions humaines nous emmène dans des endroits où la tristesse de l'isolement ne nous mènerait jamais.Peut-être que la vraie révolution de notre époque serait simplement de redécouvrir le courage d'être présent les uns pour les autres, de cultiver ces petits moments d'humanité partagée qui, finalement, donnent tout son sens à notre existence.Car au fond, ce n'est pas tant la technologie qui nous isole que nos choix quotidiens.Et chacun de ces choix est une opportunité de réinventer notre façon d'être ensemble.Alors la prochaine fois que vous hésitez entre commander une livraison ou aller au restaurant, entre envoyer un message ou passer un appel, entre rester chez vous ou rejoindre des amis, rappelez-vous : ce n'est pas juste un choix pratique, c'est un choix de société.Et peut-être même, un choix de civilisation.
Le Groenland continue de développer ses aéroports et se prépare à un afflux de voyageurs. Mais comment concilier le développement du tourisme avec un écosystème très sensible au réchauffement climatique ? Le Groenland face au défi du tourismeLes régions arctiques attirent de plus en plus de visiteurs, et le Groenland, une terre jusqu'ici très isolée, ne fait pas exception, il se prépare à vivre un « boom touristique » grâce à la construction de nouveaux aéroports capables d'accueillir des vols long courrier. C'est un vrai défi pour l'environnement : plus les voyageurs sont nombreux plus, il est difficile de préserver la nature qu'ils viennent découvrir. Mais c'est une très bonne nouvelle pour l'économie et pour le désenclavement de l'île. Reportage, Ottilia Ferey. La Chronique musique de Vincent Théval : Amizadi, un titre de l'album Port'ingles de Carmen Souza. Quelle transition écologique pour l'agriculture ? Avec près d'un million et demi de fruits récoltés chaque année, la France est le troisième producteur de pommes de l'Union européenne. Mais la pomme est l'un des fruits qui reçoivent le plus de traitements phytosanitaires, plus de 30 produits chimiques sont pulvérisés en moyenne sur les récoltes. Face aux risques pour l'environnement et la santé, l'objectif est de réduire de moitié leur usage d'ici 2030. Pour y parvenir, des chercheurs de l'INRAE développent de nouvelles méthodes. Reportage en Pays de Loire, Jeanne Richard. Entretien avec Pierre-Marie Aubert, directeur du programme Politiques agricoles et alimentaires à l'IDDRI (Institut du Développement durable et des Relations internationales) Vers un nouveau modèle agricole ; quelle transition pour la France et l'Europe ? (Odile Jacob). Au micro de Frédérique Lebel.
Le Groenland continue de développer ses aéroports et se prépare à un afflux de voyageurs. Mais comment concilier le développement du tourisme avec un écosystème très sensible au réchauffement climatique ? Le Groenland face au défi du tourismeLes régions arctiques attirent de plus en plus de visiteurs, et le Groenland, une terre jusqu'ici très isolée, ne fait pas exception, il se prépare à vivre un « boom touristique » grâce à la construction de nouveaux aéroports capables d'accueillir des vols long courrier. C'est un vrai défi pour l'environnement : plus les voyageurs sont nombreux plus, il est difficile de préserver la nature qu'ils viennent découvrir. Mais c'est une très bonne nouvelle pour l'économie et pour le désenclavement de l'île. Reportage, Ottilia Ferey. La Chronique musique de Vincent Théval : Amizadi, un titre de l'album Port'ingles de Carmen Souza. Quelle transition écologique pour l'agriculture ? Avec près d'un million et demi de fruits récoltés chaque année, la France est le troisième producteur de pommes de l'Union européenne. Mais la pomme est l'un des fruits qui reçoivent le plus de traitements phytosanitaires, plus de 30 produits chimiques sont pulvérisés en moyenne sur les récoltes. Face aux risques pour l'environnement et la santé, l'objectif est de réduire de moitié leur usage d'ici 2030. Pour y parvenir, des chercheurs de l'INRAE développent de nouvelles méthodes. Reportage en Pays de Loire, Jeanne Richard. Entretien avec Pierre-Marie Aubert, directeur du programme Politiques agricoles et alimentaires à l'IDDRI (Institut du Développement durable et des Relations internationales) Vers un nouveau modèle agricole ; quelle transition pour la France et l'Europe ? (Odile Jacob). Au micro de Frédérique Lebel.
durée : 01:47:02 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1975, de grands comédiens expliquent comment ils se définissent en tant qu'acteurs, leurs rapports avec le public, quels éléments influent sur leur jeu, et comment ils voient l'avenir de leur profession. Seront-ils un jour remplacés par des voix synthétiques ou par des robots "intelligents" ? - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Judith Magre Comédienne; Silvia Monfort Comédienne, directrice de théâtre, metteuse en scène; Madeleine Renaud Comédienne; Jean-Louis Trintignant Comédien français; Jean Négroni Comédien et metteur en scène; François Périer Comédien; Michel Bouquet Comédien; Michel Piccoli Acteur et réalisateur (1925-2020); Émile Leipp Physicien et acousticien français
REDIFF - Souhaiter se mettre en couple tout en gardant son indépendance. C'est l'ambivalence rencontrée par de plus en plus de personnes. Comment cela-peut-il être possible ? - "Tout pour plaire... et toujours célibataire" de Sophie Cadalen et Sophie Guillou, Albin Michel - Parlons Encore : Aimer quelqu'un d'inaccessible : https://audmns.com/aHAbqzW Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 28 octobre 2024. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct.
Le Sommet mondial pour l'action sur l'intelligence artificielle débute à Paris. La France veut se positionner comme un acteur clé du secteur malgré plusieurs paradoxes.Durant plusieurs jours, des figures majeures comme Sam Altman (OpenAI), Sundar Pichai (Google) ou encore Brad Smith (Microsoft) échangeront sur les opportunités et défis de l'IA. Côté français, Yann LeCun et Arthur Mensch (Mistral AI) seront présents, aux côtés de leaders politiques européens et internationaux.Derrière la volonté de structurer une gouvernance internationale de l'IA et de faire briller la France, se cachent cependant trois grands paradoxes. D'abord, si la France excelle en recherche IA elle peine toujours à transformer ses avancées en succès commerciaux, faute de capitaux et d'entreprises de grande envergure. Ensuite, l'Europe, malgré son poids économique, voit son marché freiné par des réglementations strictes, suscitant des inquiétudes parmi les géants du secteur. Enfin, la confiance dans l'IA est en berne, avec 79% des Français se déclarant inquiets, alimentés par un discours souvent alarmiste.Alors que la France mise sur l'open source et une IA "éthique et frugale", le sommet vise à poser les bases d'une action concrète. Reste à savoir si cette dynamique suffira à renforcer la compétitivité et la confiance dans l'IA.Mots-clés : intelligence artificielle, sommet IA, France, open source, régulation IA, Europe, Yann LeCun, Arthur Mensch, Sam Altman, Sundar Pichai, Brad Smith, innovation technologique-----------
Le paradoxe de la tolérance, formulé par le philosophe autrichien Karl Popper dans son ouvrage La société ouverte et ses ennemis (1945), soulève une question fondamentale sur les limites de la tolérance dans une société démocratique. Il met en lumière le risque qu'une tolérance illimitée puisse, paradoxalement, conduire à la disparition même de la tolérance.1. Énoncé du paradoxePopper affirme que "si une société est infiniment tolérante, elle risque d'être détruite par les intolérants". Autrement dit, si une société accepte sans restriction toutes les idées et opinions, y compris celles prônant l'intolérance et la destruction des valeurs démocratiques, ces forces intolérantes finiront par dominer et supprimer la tolérance elle-même.Ce paradoxe suggère qu'une société ouverte et tolérante doit établir des limites à la tolérance, notamment envers les idéologies qui cherchent à la détruire. Popper ne préconise pas une suppression immédiate des idées intolérantes, mais il insiste sur la nécessité de les confronter par le débat rationnel. Toutefois, si ces idées se montrent imperméables à la raison et incitent à la violence ou à la suppression des droits fondamentaux, alors la société doit légitimement interdire leur expression et leur diffusion.2. Les implications du paradoxeLe paradoxe de la tolérance soulève des questions cruciales pour les démocraties modernes, notamment en matière de liberté d'expression. Jusqu'où une société démocratique doit-elle tolérer des discours ou des mouvements qui remettent en cause ses principes fondamentaux, comme l'égalité, la liberté et le respect des droits humains ?En d'autres termes, faut-il tolérer les idées totalitaires, racistes ou extrémistes sous prétexte de liberté d'opinion ? Popper soutient que si ces idées ne sont pas contrôlées, elles peuvent prendre de l'ampleur et miner les bases de la démocratie, rendant impossible toute cohabitation pacifique.3. Application contemporaineAujourd'hui, le paradoxe de Popper est souvent invoqué dans les débats sur les discours de haine, l'extrémisme politique et la censure sur les réseaux sociaux. Il sert d'argument pour justifier des lois contre les discours incitant à la haine ou à la violence, tout en soulevant la difficulté de fixer les limites sans compromettre la liberté d'expression légitime.Le paradoxe de la tolérance met en évidence une tension inhérente aux sociétés démocratiques : pour préserver un espace de liberté, elles doivent parfois imposer des restrictions. Cela signifie qu'une tolérance absolue peut conduire à sa propre disparition, rendant nécessaire une vigilance et des mesures adaptées face aux menaces intolérantes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:30:02 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'émission "Heure de culture française", consacrait en 1969 une série aux humoristes anglais, dont "L'humour de Chesterton", une archive diffusée pour la première fois le 29/01/1969. - réalisation : Virginie Mourthé
Monter sur le chemin de la réussite professionnelle et entendre une voix s'amplifier, une voix qui dit “ne prends pas trop de place, ne dérange pas, reste prudente”. C'est ça, le paradoxe de l'ascension : réussir davantage tout en s'autorisant moins. Dans cet épisode, Alice Greetham, coach chez Coachappy, décortique ce tiraillement invisible qui freine tant de femmes leaders. Elle répond à ces questions essentielles :Pourquoi, malgré vos compétences, vos réussites et votre avancement de carrière, la peur de briller peut-elle encore vous retenir ? Et surtout, comment dépasser ces freins pour occuper pleinement votre place, avec authenticité et impact ? Un épisode puissant pour embrasser pleinement votre ambition, sans compromis ni retenue.****Grande nouvelle pour toutes les décideuses qui nous écoutent : dirigeantes, top managers et entrepreneures ! Le 3 février marque le début de la prochaine promotion de Sensées, notre programme exclusif de coaching et de mentoring, conçu pour seulement 20 femmes. Si vous en avez assez de jongler avec un stress permanent, de vous sentir seule face à vos responsabilités, ou de perdre le fil de ce qui compte vraiment, ce programme est fait pour vous.Pendant 4 mois, vous bénéficierez :D'un accompagnement individuel et collectif pour retrouver de la clarté et une sérénité durable.D'un mentoring personnalisé pour vos défis stratégiques et humains.Et d'une journée exceptionnelle à Paris, pour rencontrer vos pairs et vous inspirer.Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 24 janvier. Cliquez ici pour en savoir plus.***Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.**Chaque semaine, je partage mes conseils au sujet du leadership des femmes dans Sensées, la newsletter. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici.
There's a guest host this week: Andrew Waller, from Breaking The Tethers!Playlist: Janel and Anthony - Surf the deadFilii Nigrantium Infernalium - Chuva douradaZal Yanovsky - Lt. SchtinckhausenLuis Tovar - CriollsimaGenesis - Back in N.Y.C.Brûlez les meubles - Paradoxe de la joieHitman Blues Band - Green thingRadio Massacre International - Galactic furnace part 2 (radio edit)Alfredo Santa Ana and Miranda Wong - Lessons for oblivionTipula - Wake upNicole McCabe - Nicole McCabeShirley Collins & the Albion Country Band - Murder of Maria MartenG-bolo - Hard to breatheThe Former Yugoslavia - Setup ambienceThumbscrew - KnotsPat Metheny - Part 4Joel Jeschke - ExperimentationsGrachan Moncur III and the Jazz Composer's Orchestra - Angela's angel
Chaque matin dans son édito, Judith Waintraub revient sur l'actualité politique du jour.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Pomart et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le "paradoxe du singe savant" est une expérience de pensée fascinante qui illustre des concepts de probabilité et d'infinité. Il repose sur l'idée suivante : imagine un singe frappant aléatoirement les touches d'une machine à écrire pendant une durée infinie. Le paradoxe suggère que, dans un tel contexte, ce singe finirait par taper tous les textes possibles, y compris les œuvres complètes de Shakespeare, par pur hasard. Ce paradoxe se base sur la notion mathématique d'événements aléatoires sur une période infinie. En théorie, si on laisse un nombre infini de séquences de lettres se produire, même les combinaisons les plus complexes ou improbables finiront par apparaître. Cela ne signifie pas que le singe est intelligent ou qu'il comprend ce qu'il tape ; il s'agit simplement de l'effet de l'aléatoire lorsqu'on lui donne un temps illimité. En termes de probabilité, l'idée est que la chance de taper une œuvre spécifique, comme Hamlet, en une seule tentative est astronomiquement faible. Pour donner une idée : si un singe tape une suite de lettres aléatoirement, les chances de produire ne serait-ce que la première phrase de Hamlet sont si minimes qu'elles frôlent l'impossible. Pourtant, avec un temps infini, ces chances, aussi minuscules soient-elles, finiraient par se réaliser. C'est le principe des événements rares qui deviennent inévitables lorsqu'on augmente le nombre de tentatives jusqu'à l'infini. Alors, le paradoxe du singe savant a-t-il de la valeur ? En un sens, oui, mais principalement en tant qu'outil conceptuel pour comprendre la théorie des probabilités et l'infini. Il est utile pour expliquer comment des événements improbables peuvent se produire dans des contextes spécifiques. Par exemple, il aide à comprendre pourquoi certaines séquences semblent extraordinaires ou comment le hasard peut générer de la complexité. Cependant, le paradoxe est avant tout théorique. Dans le monde réel, où les ressources (temps, espace, etc.) sont limitées, ce concept n'a pas d'applications pratiques directes. Personne n'a un temps infini pour tester de telles expériences, et elles ne se produisent pas naturellement. Malgré cela, l'idée reste précieuse pour illustrer des concepts abstraits de mathématiques et de logique, et elle est souvent utilisée comme exemple pour discuter des idées liées à l'aléatoire et à l'infini dans divers contextes scientifiques et philosophiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le "paradoxe du singe savant" est une expérience de pensée fascinante qui illustre des concepts de probabilité et d'infinité. Il repose sur l'idée suivante : imagine un singe frappant aléatoirement les touches d'une machine à écrire pendant une durée infinie. Le paradoxe suggère que, dans un tel contexte, ce singe finirait par taper tous les textes possibles, y compris les œuvres complètes de Shakespeare, par pur hasard. Ce paradoxe se base sur la notion mathématique d'événements aléatoires sur une période infinie. En théorie, si on laisse un nombre infini de séquences de lettres se produire, même les combinaisons les plus complexes ou improbables finiront par apparaître. Cela ne signifie pas que le singe est intelligent ou qu'il comprend ce qu'il tape ; il s'agit simplement de l'effet de l'aléatoire lorsqu'on lui donne un temps illimité. En termes de probabilité, l'idée est que la chance de taper une œuvre spécifique, comme Hamlet, en une seule tentative est astronomiquement faible. Pour donner une idée : si un singe tape une suite de lettres aléatoirement, les chances de produire ne serait-ce que la première phrase de Hamlet sont si minimes qu'elles frôlent l'impossible. Pourtant, avec un temps infini, ces chances, aussi minuscules soient-elles, finiraient par se réaliser. C'est le principe des événements rares qui deviennent inévitables lorsqu'on augmente le nombre de tentatives jusqu'à l'infini. Alors, le paradoxe du singe savant a-t-il de la valeur ? En un sens, oui, mais principalement en tant qu'outil conceptuel pour comprendre la théorie des probabilités et l'infini. Il est utile pour expliquer comment des événements improbables peuvent se produire dans des contextes spécifiques. Par exemple, il aide à comprendre pourquoi certaines séquences semblent extraordinaires ou comment le hasard peut générer de la complexité. Cependant, le paradoxe est avant tout théorique. Dans le monde réel, où les ressources (temps, espace, etc.) sont limitées, ce concept n'a pas d'applications pratiques directes. Personne n'a un temps infini pour tester de telles expériences, et elles ne se produisent pas naturellement. Malgré cela, l'idée reste précieuse pour illustrer des concepts abstraits de mathématiques et de logique, et elle est souvent utilisée comme exemple pour discuter des idées liées à l'aléatoire et à l'infini dans divers contextes scientifiques et philosophiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
▶ Rejoins la Nef : lanef.comComment aimer les femmes qu'on nous apprend à mépriser ?Voici un extrait de l'interview de demain avec Léane Alestra, autrice du livre : "Les hommes hétéros le sont-ils vraiment ?" _
La Chine en plein paradoxe. La Chine reste extrêmement dépendante du charbon… et à la fois elle tente de relever par tous les moyens le défi des énergies renouvelables. Gros enjeux : cela lui permettrait de dominer le marché mondial du solaire ou de l'éolien. Deux fers au feu : puisqu'elle s'est engagée à atteindre un pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici la fin de la décennie et à les éliminer d'ici 2060. À l'heure de la Conférence internationale sur le Climat de Bakou, essentielle pour l'avenir, la Chine a adopté vendredi dernier (8 novembre 2024) une nouvelle loi sur l'énergie dans l'optique de «promouvoir la neutralité carbone».Notre envoyée spéciale permanente à Pékin nous emmène à la rencontre d'une Chine volontaire, face à ses vieux démons…«Énergie verte et dépendance au charbon : le paradoxe chinois ?», un Grand reportage de Clea Broadhurst, avec la collaboration de Chi Xiangyuan. À écouter aussiLa Chine influenceuse du mouvement climatique mondial
Selon un sondage du Point en 2023, 44% des utilisateurs d'applis de rencontre se disent “insatisfaits” du service. Tinder, Bumble, happen… Il semblerait que ces applis n'ont plus vraiment la côte. De plus, leur financement repose sur un paradoxe : si vous trouviez l'amour, vous arrêteriez d'utiliser l'application. C'est ce que la scientifique spécialiste des algorithmes Aurélien Jean définit comme le paradoxe de Tinder. Peut-on trouver l'amour sur Tinder ? Qu'est-ce qu'un algorithme de matching ? Et un algorithme de recommandation ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". À écouter aussi : Comment utiliser Tinder en sécurité ? La méthode du date stacking permet-elle vraiment de trouver l'amour ? Faut-il payer pour trouver l'amour aujourd'hui ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Souhaiter se mettre en couple tout en gardant son indépendance. C'est l'ambivalence rencontrée par de plus en plus de personnes. Comment cela-peut-il être possible ? - "Tout pour plaire... et toujours célibataire" de Sophie Cadalen et Sophie Guillou, Albin Michel - Parlons Encore : Aimer quelqu'un d'inaccessible : https://audmns.com/aHAbqzW Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 28 octobre 2024. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct.
Dans les prisons de Montargis et Besançon, les prisonniers en semi-liberté peuvent depuis quelques mois utiliser librement leur téléphone en cellule. Une expérimentation qui suscite l'indignation au sein du personnel pénitentiaire, quelques jours après le drame survenu à Marseille.
Sommes-nous seuls dans l'univers ? C'est impossible, non ? Car l'univers est tellement grand que nous ne pouvons pas être la seule forme de vie intelligente… Mais alors, où sont les extraterrestres ? Cette réflexion, c'est le paradoxe de Fermi ! Enrico Fermi est la première personne à poser cette question. C'est un physicien italien, prix Nobel en 1938. Il pose le paradoxe pour la première fois lors d'une discussion avec ses collègues à l'été 1950, au laboratoire de Los Alamos au Nouveau-Mexique. Avons-nous des réponses à ce paradoxe ? Pourquoi est-il important ? Est-ce qu'un jour nous pourrons créer un contact avec une civilisation extraterrestre ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez ". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter aussi : La pollution peut-elle vraiment atteindre l'espace ? Qu'est-ce qu'une injonction paradoxale ? Qu'est-ce que le jour du dépassement ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« L'été 2024 a été le plus chaud jamais enregistré, plaçant l'Afrique au cœur de la crise climatique avec des conséquences catastrophiques. » C'est ce que relève le site d'information Afrik.com. « Si le phénomène touche tous les continents, l'Afrique en paie un prix particulièrement lourd. Sécheresses, pénurie d'eau, et risques accrus de famines sont autant de conséquences que subit durement le continent africain, rendant l'urgence climatique plus palpable que jamais. De juin à août, le thermomètre a battu les records précédents établis en 2023, selon le service européen Copernicus, précise Afrik.com. Dans le monde entier, des régions comme la Laponie, l'Australie, le Canada ou encore les États-Unis ont été frappées par des canicules dévastatrices, des sécheresses et des incendies. Toutefois, c'est l'Afrique qui se trouve en première ligne face à ces bouleversements climatiques, avec des températures dépassant les 40°C dans certaines régions, mettant en péril des millions de vies. (…) Avec des précipitations réduites et des périodes de sécheresse prolongées, plusieurs pays africains sont confrontés à une pénurie d'eau sans précédent. Les zones agricoles, vitales pour la subsistance de millions de personnes, sont touchées de plein fouet, provoquant des perturbations majeures dans la production alimentaire. Selon Copernicus, cette situation alarmante n'est pas uniquement due à des phénomènes naturels comme El Niño, mais résulte également des actions humaines qui amplifient le réchauffement global. »De la sécheresse au déluge !Paradoxe : certains pays du continent ont connu un véritable déluge ces dernières semaines. Le changement climatique exacerbe les phénomènes météorologiques.Le pays le plus touché est le Tchad, pointe Le Monde Afrique. « Les pluies diluviennes et inondations qui ont affecté cet été le continent africain ont fait 341 morts et 1,5 million de sinistrés depuis le mois de juillet au Tchad, selon un bilan publié par le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires au Tchad. La semaine dernière, précise Le Monde Afrique, 14 élèves et leur professeur ont perdu la vie dans l'effondrement d'une école après des pluies torrentielles dans la province du Ouaddaï, dans l'est semi-aride du Tchad. Mi-août, au moins 54 personnes sont mortes dans des inondations qui ont affecté la province du Tibesti, dans l'extrême-nord désertique du Tchad. En temps normal, "les précipitations atteignent difficilement les 200 mm par an" dans cette région montagneuse, mais ce phénomène climatique survient "chaque cinq ou dix ans", selon Idriss Abdallah Hassan, directeur du réseau d'observation et prévisions météorologiques à l'Agence nationale de la météorologie. »Masses d'air en collisionAutre pays touché : le Maroc. C'est ce que constate Jeune Afrique. « Des pluies torrentielles, provoquant des inondations, ont fait au moins 11 morts et 9 disparus depuis le 6 septembre dans 17 régions et provinces du royaume, dont certaines sont habituellement semi-arides. (…) En Algérie, un front pluvieux de violence similaire a touché des zones désertiques dans le Sahara, selon des images publiées sur les réseaux sociaux. »Des images que l'on peut voir notamment sur le site algérien TSA. TSA qui précise que « ce phénomène, peu habituel, trouve son origine dans le déplacement vers le nord de la zone de convergence intertropicale, une bande d'orages et de basses pressions qui s'étend d'est en ouest à travers l'Afrique centrale, là où se rencontrent les alizés (les vents) des hémisphères nord et sud. Lorsque les masses d'air entrent en collision, l'air est poussé vers le haut, générant des cumulus et des orages. »L'une des régions les plus touchées est la région de Béchar, avec plus de 60 mm de pluie, constate Le Matin d'Algérie : « "On n'a pas vu de telles pluies s'abattre sur la région depuis octobre 2008", ont déclaré plusieurs citoyens de Béchar, estimant aussi que ces pluies sont "bénéfiques pour la région", confrontée à une sévère sécheresse depuis plusieurs années. »Revoir les politiques de l'eauEnfin, on revient au Maroc, avec le quotidien Le Matin qui a recueilli l'avis d'un météorologue, Mohamed Benabbou : d'après lui, « ces récentes pluies pourraient avoir un effet positif en réapprovisionnant les nappes phréatiques dans les oasis du Sud-Est. » Et il insiste aussi sur « la nécessité de mettre à jour la stratégie nationale de l'eau, afin d'optimiser l'utilisation des ressources en eau, dont une grande partie se perd en mer ou est absorbée par le désert, faute de barrages ou de retenues. »
D'avril à juin 2024 ,les élections générales indiennes se sont déroulées dans un contexte climatique très dur. Dans les derniers jours de vote, le thermomètre a dépassé plusieurs fois les 49°C. L'Inde est l'un des pays au monde les plus touchés par la crise climatique et écologique : les vagues de chaleur se multiplient, l'eau manque, la pollution tue plus d'un million de personnes par an. Le pays continent est d'ailleurs le troisième émetteur mondial de CO2. Ce n'est donc pas une exagération : l'avenir de la planète se joue aussi en Inde.Et pourtant, ce sujet était quasiment absent de la campagne électorale. Ni le Premier ministre sortant Narendra Modi et son parti hindouiste, qui ont remporté l'élection, ni leurs opposants, ni les électeurs, ne semblent en avoir fait une priorité.Alors comment expliquer ce paradoxe indien ? Et quel avenir pour la lutte contre le réchauffement et ses conséquences en Inde ? Sur le Fil a posé la question à Bhuvan Bagga, un des journalistes de l'AFP à New Delhi, et à deux spécialistes, Christophe Jaffrelot, professeur à Sciences Po spécialiste de l'Asie du Sud, et à Harjeet Singh, militant pour le climat.Sur le terrain: Aishwarya Kumar, Shubham KoulRéalisation : Michaëla Cancela-KiefferPremière diffusion le 3 juin 2024Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:39 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Au second tour de la présidentielle de 2022, 57% des ouvriers et 47 des employés avaient voté pour Marine Le Pen. Deux ans plus tard les européennes ont confirmé la tendance, alors que, paradoxe, le Rassemblement National élude largement les questions de travail dans son programme. - invités : Christine Erhel Economiste, professeure au Conservatoire national des arts et métiers, titulaire de la chaire Economie du travail et de l'emploi et directrice du Centre d'études de l'emploi et du travail; Bruno Palier Directeur de recherche au CNRS, co-directeur du Laboratoire Interdisciplinaire d'évaluation des politiques publiques (LIEPP).
Dans nos sociétés démocratiques, la tolérance est un principe fondamental, qui peut se définir ainsi : l'acceptation de la différence. Mais le philosophe Karl Popper remarque qu'il y a une catégorie d'individus qui met à mal ce principe de tolérance, à savoir les intolérants. Car tolérer l'intolérance, c'est prendre le risque de voir disparaître la tolérance. Analyse de ce paradoxe.
Extrait de l'épisode KARL POPPER - Le paradoxe de la tolérance Cet épisode sera publié sur YouTube et en podcast vendredi prochain le 14 juin Il est d'ores et déjà disponible en intégralité sur ma page Patreon : https://www.patreon.com/posts/105551034
durée : 00:04:53 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Comment la diversité planctonique peut-elle être si grande alors que les nutriments à partager sont rares ? C'est le paradoxe du plancton. En combinant données génomiques et modélisations, une nouvelle étude révèle que les microbes marins coopèrent par échange de vitamines B et d'acides aminés.