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Lorsqu'on évoque les relations avec l'Afrique du Sud, il y a toujours un petit froid qui s'installe dans la conversation, une ombre au tableau dans l'histoire suisse du XXème siècle, parce que l'apartheid a été condamné tardivement et qu'il n'a pas empêché qu'on fasse des affaires avec ce pays où le racisme d'Etat a très officiellement dominé de 1949 à 1991. Retour sur quarante ans de cette relation sulfureuse avec la plateforme indépendante geneveMonde.ch éditée par la FONSART, Fondation pour la sauvegarde et le développement du patrimoine audiovisuel de la RTS Jan Smuts est un homme d'État sud-africain, juriste et philosophe, qui défend tout à la fois la paix internationale et une vision impérialiste et raciste dans la gouvernance planétaire. Né dans la colonie du Cap britannique, il est premier ministre d'Afrique du Sud à la sortie de la Première guerre mondiale de 1919 à 1924 et pendant la Deuxième guerre mondiale. David Glaser a rencontré Thomas Gidney, chercheur postdoctoral à l'université de Genève, qui a publié sur les relations des colonies avec les grandes instances internationales comme l'ONU et son ancêtre, la Société Des Nations.
Nous poursuivons le portrait de Jan Smuts, homme d'Etat sud-africain, impérialiste et raciste convaincu, qui illustre les ambivalences de l'ordre colonial mondial à la recherche d'un équilibre mondial de paix incarné par la Société des Nations puis par l'ONU. Un équilibre étrange à nos yeux du XXIe siècle ou le racisme d'Etat cohabite avec la recherche d'un universalisme mais un universalisme hiérarchisé, où paix et progrès ne remettent pas en question les discriminations raciales. Chercheur à l'université de Genève, Thomas Gideney retrace la suite de la trajectoire politique internationale de Jan Smuts au micro de David Glaser.
J'ouvre un studio de podcast et Vidéo à Paris Montparnasse : https://studiostoriz.com/ (20% avec le code WELCOME20 pour notre lancement, offre valable jusqu'au15 Octobre)Dans cet épisode d'Extraterrien, j'ai eu le plaisir d'interviewer Ludovic Pommeret, véritable légende du trail et ultra-traileur accompli. On a parlé préparation mentale, gestion de la douleur et dépassement de soi, mais aussi de longévité et de l'art de garder la flamme année après année. Ludovic partage ses astuces pour rester au top, s'adapter aux changements et concilier passion, famille et réussite. Une conversation inspirante, pleine d'humilité et de conseils concrets pour progresser, que vous soyez sportif ou entrepreneur !Chapitres00:00 Présentation invité05:10 Légende vivante du trail13:47 Gestion de l'allure en course17:09 Objectif de couple : UTMB22:09 Paradoxe de l'ultra-endurance28:53 Satisfaction et adaptation en course34:25 Courir sans plan B37:41 Bouillon salé et imprévus alimentaires45:22 Impact des glucides sur la performance52:23 Objectifs réalisables : découper la course53:48 Recherche de soi par les mots01:02:20 Équilibre entre sport et vie sociale01:04:22 Course et voyage en harmonieBon épisode
Sommes-nous seuls dans l'univers ? C'est impossible, non ? Car l'univers est tellement grand que nous ne pouvons pas être la seule forme de vie intelligente… Mais alors, où sont les extraterrestres ? Cette réflexion, c'est le paradoxe de Fermi ! Enrico Fermi est la première personne à poser cette question. C'est un physicien italien, prix Nobel en 1938. Il pose le paradoxe pour la première fois lors d'une discussion avec ses collègues à l'été 1950, au laboratoire de Los Alamos au Nouveau-Mexique. Avons-nous des réponses à ce paradoxe ? Pourquoi est-il important ? Est-ce qu'un jour nous pourrons créer un contact avec une civilisation extraterrestre ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez ". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. Date de première diffusion : 13/09/2024 À écouter aussi : Pourquoi le dragon est-il présent dans tant de cultures ? Qu'est-ce que la malédiction du pharaon ? Comment Jennifer Lopez a-t-elle participé à l'invention de Google Images ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Quelle est la VRAIE forme de l'Univers ? L'infini est-il réel, ou ne serait-il qu'une illusion cosmique ? Dans cette vidéo, nous explorons en profondeur la forme de l'Univers, une question vertigineuse au croisement de la cosmologie, de la physique théorique et de la philosophie. Et si l'Univers avait une topologie surprenante, comme celle d'un donut cosmique, d'un dodécaèdre de Poincaré ou d'un tore tridimensionnel ? Ces modèles fascinants proposent un Univers fini sans bord, où l'on pourrait voyager en ligne droite… et revenir à son point de départ.Grâce aux dernières données du fond diffus cosmologique, issues des missions Planck et WMAP, les cosmologistes affirment que l'Univers est presque parfaitement plat. Mais une géométrie plate n'exclut pas une topologie complexe. C'est là qu'intervient le concept de topologie cosmique, qui pourrait révéler une structure d'espace multi-connectée.Cette vidéo vous plonge dans les mystères de l'Univers infini, ou peut-être… de l'Univers fini qui nous fait croire à l'infini. En mêlant science, mathématiques et métaphores visuelles, elle offre une perspective nouvelle sur ce que pourrait être la vraie forme de l'Univers.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pékin instrumentalise l'anniversaire de la fin de la Seconde guerre mondiale pour projeter sa nouvelle puissance face aux États-Unis. Donald Trump reproche à Xi Jinping de minimiser le soutien américain à la Chine dans la défaite des Japonais, et de « comploter » contre l'Amérique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pékin instrumentalise l'anniversaire de la fin de la Seconde guerre mondiale pour projeter sa nouvelle puissance face aux États-Unis. Donald Trump reproche à Xi Jinping de minimiser le soutien américain à la Chine dans la défaite des Japonais, et de « comploter » contre l'Amérique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Et si le vide n'était pas vide ? Cette vidéo vous plonge dans un voyage captivant au cœur d'un paradoxe de la physique quantique. Loin d'être une simple absence, le vide se révèle être un océan invisible, plein d'énergie et de champs quantiques.Penser le néant est une illusion : dès qu'on tente de le concevoir, on le transforme en quelque chose. De la philosophie grecque, qui rejetait le vide, aux expériences de Torricelli et Pascal au XVIIe siècle, notre compréhension du vide a radicalement évolué. La physique quantique nous apporte la preuve que même un espace apparemment vide bouillonne de particules virtuelles, un phénomène mesuré grâce à l'effet Casimir ou au décalage de Lamb.Le champ de Higgs, omniprésent dans le vide, donne leur masse aux particules, rendant possible l'existence de la matière. Plus mystérieux encore, l'énergie du vide pourrait expliquer l'expansion accélérée de l'univers, liée à l'énigmatique énergie noire.Explorez avec nous comment ce « rien » cache un secret sur le fondement de tout. Le vide est la toile de fond de la réalité, une source d'énergie infini.
Il y a 3600 ans, l'une des éruptions les plus violentes de l'histoire humaine a détruit une civilisation... mais l'a aussi préservée pour l'éternité. Rejoignez-moi dans cette exploration fascinante de Santorin, l'île qui défie le temps et son lien avec la mythique Atlantide. Des rues figées d'Akrotiri aux cratères fumants de Nea Kameini, découvrez comment la destruction peut devenir le plus grand acte de préservation de l'histoire.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le temps existe-t-il vraiment ? Il existe des paradoxes fascinants du temps, de la relativité à la perception humaine. Dans cette vidéo nous verrons ensemble pourquoi certains scientifiques affirment que le temps est une illusion, comment les horloges atomiques montrent que le temps n'est pas universel, et les implications incroyables de ces découvertes sur notre compréhension de l'univers.
Die Themen in den Wissensnachrichten: +++ Künstliche Intelligenz ist erstaunlich schlecht bei Sudokus +++ Big Problem Paradox: Bei großen Problemen fühlen wir uns nicht verantwortlich +++ Gorilla-Frauen profitieren von Netzwerken +++ **********Weiterführende Quellen zu dieser Folge:Explaining Puzzle Solutions in Natural Language: An Exploratory Study on 6x6 Sudoku, ACL Anthology, Juli 2025The Bigger the Problem the Littler: When the Scope of a Problem Makes It Seem Less Dangerous, APA PsycNet, 2025Dispersed female networks: female gorillas' inter-group relationships influence dispersal decisions, Proceedings of the Royal Society Biology Letters, 06.08.25Out-of-School Learning: Subtitling vs. Dubbing and the Acquisition of Foreign-Language Skills, ifo Institut, 2025Enhancing Sustainability Label Effectiveness Through Logo Design Modification: An Analysis of the EU Green Leaf Logo, Agribusiness, 27.07.25Alle Quellen findet ihr hier.**********Ihr könnt uns auch auf diesen Kanälen folgen: TikTok und Instagram .
Jamais l'écart n'a semblé aussi grand. D'un côté, une sélection nationale au sommet, championne du monde, guidée par Lionel Messi et une génération dorée. De l'autre, un football local qui s'effondre, entre clubs endettés, fuites de talents précoces et structures vétustes. Comment un pays qui triomphe à l'international peut-il sombrer chez lui ?Avec Rafael du compte X @pibevolante, on revient sur les racines profondes de ce paradoxe. On explore l'héritage de Julio Grondona et la gestion de l'AFA depuis sa disparition, les effets dévastateurs de la crise économique sur les clubs, et les stratégies de survie mises en place pour financer un football à bout de souffle.Enfin, on aborde un tournant majeur pour l'avenir : la possible arrivée des Sociétés Anonymes (SAD) dans les clubs argentins. Est-ce la seule voie de sauvetage viable, ou un reniement de l'identité populaire du football local ?Un épisode à mi-chemin entre politique et économie pour comprendre pourquoi le football argentin est à la fois l'un des plus brillants et des plus fragiles au monde.
La Chine en plein paradoxe. La Chine reste extrêmement dépendante du charbon… et à la fois elle tente de relever par tous les moyens le défi des énergies renouvelables. Gros enjeux : cela lui permettrait de dominer le marché mondial du solaire ou de l'éolien. Deux fers au feu : puisqu'elle s'est engagée à atteindre un pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici la fin de la décennie et à les éliminer d'ici 2060. (Rediffusion) À l'heure de la Conférence internationale sur le Climat de Bakou, essentielle pour l'avenir, la Chine a adopté vendredi dernier (8 novembre 2024) une nouvelle loi sur l'énergie dans l'optique de «promouvoir la neutralité carbone».Notre envoyée spéciale permanente à Pékin nous emmène à la rencontre d'une Chine volontaire, face à ses vieux démons…«Énergie verte et dépendance au charbon : le paradoxe chinois ?», un Grand reportage de Clea Broadhurst, avec la collaboration de Chi Xiangyuan. À écouter aussiLa Chine influenceuse du mouvement climatique mondial
3 portes, 1 chance sur 3 de gagner une voiture !
J'ai retrouvé Olivia Gazalé, avec qui on a plongé dans les méandres du rire, de l'humour et du sarcasme en explorant leur rôle et leur histoire à travers les âges. Elle nous a expliqué comment le rire, loin d'être anodin, peut exclure, souder, dénoncer ou humilier, et comment il est profondément ancré dans des logiques sociales, politiques et culturelles.On a aussi abordé des sujets brûlants comme les limites de l'humour aujourd'hui, les polémiques autour de Guillaume Meurice ou encore les blagues sur la Belgique...00:00:00 Intro00:02:11 Présentations00:06:26 L'équilibre délicat de l'humour00:10:53 Transgression et normes dans le rire00:17:27 Le rire animal et humain : différences00:24:53 L'évolution du rire à travers l'histoire00:38:57 Le rire comme menace pour le pouvoir00:46:15 L'humour face aux oppressions00:50:52 Les controverses autour de l'humour actuel01:11:32 Le pouvoir et les limites de l'humour01:20:17 Stéréotypes et blagues : impact social01:25:19 De l'autodérision ?01:35:35 Outrocontact@septanteminutes.beNote: le sommaire et la liste de chapitres ont été générés par un outil IA.SEPTANTE MINUTES AVECEmail: contact@septanteminutes.beYouTube : Septante Minutes AvecInstagram et Threads : @GuiHachezTikTok: @GuiHachezFacebook : Septante Minutes Avec
Une demande qui ne cesse d'augmenter, mais des prix qui sont au plus bas. C'est le paradoxe du marché du lithium, un métal clé pour les batteries électriques. Ceux qui en parlent le mieux sont les opérateurs miniers eux-mêmes. Les opérateurs miniers ne font pas semblant que tout va bien. Ce serait difficile face à des cours mondiaux qui ont chuté d'environ 90% en deux ans, un contexte qui a eu pour conséquences des rachats d'entreprises, des licenciements et retardé des projets. Réunis la semaine dernière à Las Vegas pour une conférence organisée par Fastmarkets sur les matières premières pour batteries, les opérateurs miniers ont partagé leurs états d'âme. Jon Evans, le PDG de Lithium Americas, une entreprise qui construit la plus grande mine de lithium du Nevada, reconnaît traverser « des périodes d'euphorie, suivies de moments de souffrance et de douleur ». D'autres expliquent qu'« après le déni l'année dernière, le temps de l'acceptation est venu », comme le rapporte l'agence Reuters. La période est très difficile, mais le secteur est toujours perçu comme stratégique. Une offre toujours trop abondante Ce qui fait mal à la filière, c'est l'offre trop abondante : les opérateurs miniers se sont engouffrés ces dernières années dans le secteur du lithium. « Il est difficile d'imaginer un avenir dans lequel le lithium ne jouera pas un rôle central » justifie Paul Lusty, responsable de la recherche sur les matières premières des batteries chez Fastmarkets. La Chine est l'un des principaux moteurs de la surproduction, elle pourrait dépasser l'Australie l'année prochaine comme premier producteur mondial. Contrairement aux miniers australiens qui ont réduit la cadence, les chinois n'ont que très peu ralenti, même si l'activité n'est pas rentable dans les conditions actuelles de prix. D'ici 2035, les mineurs chinois devraient extraire 900 000 tonnes de lithium, contre 680 000 tonnes pour l'Australie, 435 000 tonnes pour le Chili et 380 000 tonnes pour l'Argentine, selon les prévisions de Fastmarkets. En face, la demande en lithium est importante. Elle a augmenté de 24 % l'année dernière et augmentera potentiellement de 12% par an dans la prochaine décennie selon le même cabinet d'expert, mais cela ne suffit pas à rétablir la balance. Un déséquilibre parti pour durer L'avenir dépendra des besoins et de la capacité des opérateurs miniers à lever le pied. Project Blue, un cabinet de conseil sur les métaux, prévoit une demande qui pourrait tripler d'ici 2040. Il y aura donc forcément un point de bascule. Selon les sources, la demande pourrait dépasser l'offre à partir de 2030, voire un peu plus tard. Cela veut dire encore plusieurs années qui s'annoncent rudes pour les investisseurs qui tentent actuellement d'économiser là où ils peuvent, notamment sur les coûts d'exploitation. En attendant, les licenciements continuent. SQM, le géant chilien du lithium, a annoncé la semaine dernière se séparer de 5% de ses effectifs. Le numéro un mondial Albemarle avait lui, dès l'année dernière, annoncé des suppressions de poste pour compenser la faiblesse des prix. À lire aussiLes prix bas du lithium pèse toujours sur l'essor des projets miniers
Le "paradoxe français" désigne une observation intrigante : les Français, malgré une alimentation riche en graisses saturées (fromages, beurre, charcuterie), ont un taux relativement bas de maladies cardiovasculaires, en comparaison avec d'autres pays occidentaux comme les États-Unis. Cette contradiction apparente a été mise sous les projecteurs aux États-Unis le 17 novembre 1991, lors d'un épisode de l'émission très populaire 60 Minutes diffusée sur CBS. Le segment, intitulé "The French Paradox", présentait l'idée que la consommation régulière de vin rouge par les Français pourrait être la clé de leur bonne santé cardiovasculaire.L'impact de cette émission a été immédiat : selon les données du Wine Market Council, les ventes de vin rouge ont augmenté de 44 % aux États-Unis dans les mois qui ont suivi. En 1992, le vin rouge représentait environ 70 % des nouvelles ventes de vin sur le marché américain, contre seulement 50 % l'année précédente. Certaines marques françaises comme Château Lafite Rothschild ont vu leur popularité exploser, et les importations de vin français ont fortement progressé.Sur le plan scientifique, l'un des principaux promoteurs de ce concept était le chercheur Serge Renaud de l'INSERM à Lyon. Dans un article publié en 1992 dans The Lancet, il avance que la consommation modérée de vin rouge – un à deux verres par jour – pourrait réduire le risque de maladies coronariennes de 40 %. Le vin rouge contient en effet des polyphénols, dont le plus connu est le resvératrol, un antioxydant présent dans la peau du raisin. Des études comme celle de J.P. Fremont (1999, Life Sciences) ont suggéré que le resvératrol inhibe l'agrégation des plaquettes et protège les vaisseaux sanguins.Le "paradoxe français" est alors devenu un argument marketing massif. L'industrie vinicole, en France comme aux États-Unis, s'en est emparée pour promouvoir le vin rouge comme un produit "santé". Cette stratégie a contribué à modifier l'image du vin outre-Atlantique, le faisant passer d'un produit de luxe européen à un choix de consommation perçu comme bénéfique.Cependant, cette idée a été nuancée depuis. En 2018, une méta-analyse majeure publiée dans The Lancet a conclu qu'aucun niveau de consommation d'alcool n'est totalement sans risque. Malgré cela, l'effet du paradoxe français reste un exemple frappant de la manière dont une hypothèse scientifique, relayée par les médias, peut transformer un marché entier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez La Vizo Conférence avec Alex Vizorek du 17 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le "paradoxe français" désigne une observation intrigante : les Français, malgré une alimentation riche en graisses saturées (fromages, beurre, charcuterie), ont un taux relativement bas de maladies cardiovasculaires, en comparaison avec d'autres pays occidentaux comme les États-Unis. Cette contradiction apparente a été mise sous les projecteurs aux États-Unis le 17 novembre 1991, lors d'un épisode de l'émission très populaire 60 Minutes diffusée sur CBS. Le segment, intitulé "The French Paradox", présentait l'idée que la consommation régulière de vin rouge par les Français pourrait être la clé de leur bonne santé cardiovasculaire.L'impact de cette émission a été immédiat : selon les données du Wine Market Council, les ventes de vin rouge ont augmenté de 44 % aux États-Unis dans les mois qui ont suivi. En 1992, le vin rouge représentait environ 70 % des nouvelles ventes de vin sur le marché américain, contre seulement 50 % l'année précédente. Certaines marques françaises comme Château Lafite Rothschild ont vu leur popularité exploser, et les importations de vin français ont fortement progressé.Sur le plan scientifique, l'un des principaux promoteurs de ce concept était le chercheur Serge Renaud de l'INSERM à Lyon. Dans un article publié en 1992 dans The Lancet, il avance que la consommation modérée de vin rouge – un à deux verres par jour – pourrait réduire le risque de maladies coronariennes de 40 %. Le vin rouge contient en effet des polyphénols, dont le plus connu est le resvératrol, un antioxydant présent dans la peau du raisin. Des études comme celle de J.P. Fremont (1999, Life Sciences) ont suggéré que le resvératrol inhibe l'agrégation des plaquettes et protège les vaisseaux sanguins.Le "paradoxe français" est alors devenu un argument marketing massif. L'industrie vinicole, en France comme aux États-Unis, s'en est emparée pour promouvoir le vin rouge comme un produit "santé". Cette stratégie a contribué à modifier l'image du vin outre-Atlantique, le faisant passer d'un produit de luxe européen à un choix de consommation perçu comme bénéfique.Cependant, cette idée a été nuancée fortement depuis. Aujourd'hui on sait que scientifiquement, la consommation modérée d'alcool n'est pas totalement sans risque, même à faibles doses.Citons l'étude de référence : The Lancet, 2018 – Global Burden of Disease StudyIl s'agit de l'une des études les plus vastes jamais réalisées sur le sujet, couvrant plus de 28 millions de personnes dans 195 pays. Elle conclut que le niveau de consommation d'alcool le plus sûr est zéro. Même à faibles doses, l'alcool augmente les risques de certains cancers, de maladies cardiovasculaires et de blessures.Cette étude remet donc totalement en cause l'idée selon laquelle une consommation modérée, comme un verre de vin par jour, pourrait être bénéfique pour la santé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'humour romand vit son âge d'or: Thomas Wiesel, Yann Marguet, Alexandre Kominek ou Cinzia Cattaneo sont partout, dans les théâtres, les médias, les festivals spécialisés, voire les fêtes d'entreprise. Dans leur sillage, des dizaines de jeunes tentent de les imiter, parfois d'en faire un métier. Mais l'humour n'existe pas que sur scène. Au quotidien, il est un outil puissant et utile. Qui sait provoquer le rire est bien placé.e pour séduire, vendre, imposer un point de vue, désamorcer un conflit ou simplement attirer l'attention. Or il en va de l'humour comme du sport. Le talent compte mais le travail davantage encore. Le rire s'enseigne, se pratique, s'étudie, se cultive. Les ateliers d'écriture et autres formations n'ont jamais connu autant de succès. Production :Laurence Difélix Réalisation :Jean-Daniel Mottet Les invité.es: Olivia Gazalé Philosophe, autrice du livre "Paradoxe du rire. Peut-on rire de tout sans blesser personne ?", collection AGORA chez Pocket, 2025. & Mathieu Exhenry Programmateur du festival Morges-sous-Rire.
Les résultats de mon sondage LinkedIn sont sans appel : ce n'est plus la peur de perdre son job qui domine… mais celle de faire un burn-out ou, à l'inverse, de s'ennuyer. Un paradoxe étonnant qui en dit long sur l'évolution de notre rapport au travail.
Si tu souhaites qu'on travaille ensemble sur ton projet d'indépendance : ✨ Option 1 – Pour rejoindre l'Odyssée Liberté – Mon accompagnement individuel le plus poussé pour construire ton métier-passion en 8 semaines et devenir un Entrepreneur (Nomade) Libre, Accompli et pleinement Indépendant.
durée : 00:42:46 - En pistes, contemporains ! du dimanche 25 mai 2025 - par : Emilie Munera - Au programme les compositeurs Fabien Levy, Michael Jarrell, Mark Summer et Robert Fokkens - réalisé par : Arthur Rayrole
Steampunk et manga font-ils bon ménage ? à l’occasion de la sortie de Erio and The Electric Doll (Mangetsu), la 5e de Couv’ vous propose une expédition : explorer le genre Steampunk, redéfinir les frontières... L'article Le paradoxe du manga Steampunk – La 5e de Couv – #5DC – Saison 10 épisode 33 est apparu en premier sur La 5e de Couv' - Le podcast de débat autour du manga !.
durée : 00:46:47 - La 20e heure - par : Eva Bester - Journaliste et écrivain, Eric Fottorino ne manque pas d'idées, ni d'envies. Attaché à faire entrer la littérature dans notre univers hyperréaliste, il a publié un nouveau roman "Des gens sensibles" aux éditions Gallimard, une plongée dans le monde de l'édition dans les années 1990 à Paris.
Warnungen bringen nichts mehr. Was großmäulig auftretende – in Wahrheit atemberaubend phantasie- und verantwortungslose – deutsche Politiker mit einer möglichen Tauruslieferung an die Ukraine anrichten könnten und wohin sie unser Land damit führen würden, das sollte längst jeder wissen, der noch in der Lage ist, eins und eins zusammenzuzählen. – Probieren wir es also einmalWeiterlesen
À force de vociférer contre l'OTAN, de menacer l'Ukraine et de s'attaquer à la banque centrale américaine, Donald Trump a fait plus pour l'Europe que ce que vingt sommets européens n'ont jamais réussi à faire : il a réveillé un continent qui roupillait. Merci, Donald, d'avoir réussi là où la Banque centrale européenne a échoué, c'est-à-dire faire remonter l'euro. Résultat : les capitaux fuient les États-Unis pour se loger en Europe. Merci, Donald, d'avoir offert à l'Allemagne un prétexte pour abandonner son austérité. Même le sacro-saint frein à l'endettement a été mis entre parenthèses. Vous avez réussi à faire changer d'avis les Allemands. Merci, Donald, de donner un sens nouveau au mot "chaos". Car, dans le brouillard que vous créez à chaque tweet, les investisseurs cherchent des refuges. Et ils découvrent que l'Europe, malgré ses lenteurs, peut être un havre de stabilité. Merci, Donald, de nous rappeler, par la menace, l'urgence d'un vrai marché unique. Votre chaos nous redonne de la clarté. Merci, Donald, d'être un négociateur de souk. Votre art du deal, c'est surtout l'art du bruit. Mais ce bruit-là, paradoxalement, permet à l'Europe de se remettre en ordre de marche. Merci de faire tomber les masques. Votre imprévisibilité oblige l'Europe à penser à long terme, à parler souveraineté, à se projeter stratégiquement. Vous êtes donc le plus grand agent de transformation involontaire du Vieux Continent. Merci, Donald Trump. Et surtout, continuez comme ça. Mots-clés : consistance, Danemark, pro-americain, doute, Jerome Powell, président, banque centrale américaine, FED, Russie, droits de douane, dollar, fonds européen, bourse,infrastructure, défense, armée, armement, investissement, constitution, oligarque, tech, Ursula von der Leyen, règle, prévisibilité, opportunité, Mario Draghi, calcul, biens, services, apocalypse, annonce, ristourne, moteur, changement --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux un téléphone éthique ? Loue ton Fairphone avec Commown. _Un de mes épisodes préférés de cette année ! Voici Olivia Gazalé, philosophe et autrice du Paradoxe du Rire. Pourquoi le rire n'est jamais neutre ? Comment peut-il à la fois faire du mal et faire du bien ?Comment quelque chose d'aussi superficiel est en fait infiniment plus profond qu'il n'y paraît ?SOMMAIRE02:54 L'anecdote de la classe08:56 Celui qui peut rire11:24 Le rire réservé aux mecs ?15:47 Rire et classisme18:38 Meurice et la Dernière de Radio Nova25:52 Génération sarcasme50:18 Anecdotes_Merci au sponsor du mois : le téléphone éthique Fairphone et la coopérative Commown !Découvre leur offre de téléphone éthique sur t.ly/fairphone.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux un téléphone éthique ? Loue ton Fairphone avec Commown. _Voici un extrait de l'épisode de demain avec Olivia Gazalé, philosophe et autrice du Paradoxe du Rire. Pourquoi le rire n'est jamais neutre ? Comment peut-il à la fois faire du mal et faire du bien ?Comment quelque chose d'aussi superficiel est en fait infiniment plus profond qu'il n'y paraît ?_Merci au sponsor du mois : le téléphone éthique Fairphone et la coopérative Commown !Découvre leur offre de téléphone éthique sur t.ly/fairphone.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si le vélo était une brèche vers une société plus calme, saine et joyeuse ? Voici Baptiste Lemaître du documentaire Les Roues de l'Avenir !Pour rejoindre ou organiser une projection : https://lesrouesdelavenir.comOu écrivez à lesrouesdelavenir@gmail.comSOMMAIRE01:33 L'anecdote des Pays-Bas04:51 Paradoxe de la voiture12:13 Les Roues de l'Avenir15:25 Bénéfices du vélo17:08 Vivre 7 ans de plus20:21 Devenir autonome25:52 La civilisation du cocon30:14 Le RER V32:35 Projections_Merci au sponsor du mois : le téléphone éthique Fairphone et la coopérative Commown !Découvre leur offre de téléphone éthique sur t.ly/fairphone.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sara Serpa, Ingrid Laubrock, Nels Cline, Brulez Les Meubles, Kris Davis, Camila Nebbia & Angelica Sanchez, Sylvie Courvoisier, Sylvie Courvoisier & Mary Halvorson, Thumbscrew, Kirsten Carey & Aaron Edgecomb, Jessica Ackerley, Jairus Sharif and Mustafa RafiqPlaylist: Sara Serpa - Story 1 / LanguageIngrid Laubrock, featuring Fay Victor & Mariel Roberts - Koan 13Nels Cline, featuring Ingrid Laubrock, Chris Lightcap & Tom Rainey - The 23Brûlez les meubles - Paradoxe de la joieKris Davis, featuring Robert Hurst & Johnathan Blake - Coda QueenCamila Nebbia, Angelica Sanchez - vislumbreSylvie Courvoisier - Edging Candytuft (for Mary Halvorson)Sylvie Courvoisier & Mary Halvorson - Bone BellsThumbscrew, featuring Mary Havlorson, Michael Formanek & Tomas Fujiwara - WingbeatsThumbscrew, featuring Mary Halvorson, Michael Formanek & Tomas Fujiwara - Greenish TentsThumbscrew, featuring Mary Halvorson, Michael Formanek & Tomas Fujiwara - Somewhat AgreeKirsten Carey, Aaron Edgecomb - Brian Wilson's Bad DayJessica Ackerley - The dots are the connectionsJairus Sharif - MawuMustafa Rafiq - Triumph
Pour vous abonner à ma newsletter : https://hop.kessel.media/Il y a quelques jours, je me suis inscrit dans une nouvelle salle de sport. Une décision anodine mais si je vous en parle, c'est que mon critère décisif de choix en surprendrait plus d'un : son café ! Alors pourquoi je vous raconte ça ? Après treize années en tant qu'indépendant, j'ai appris à apprécier la liberté d'organiser mon temps, cette capacité à façonner mes journées selon mes envies.J'ai toujours choisi des appartements me permettant de faire cela dans les meilleures conditions et pourtant, la solitude des journées commence à peser.Partageant la raison principale de mon inscription dans cette gym avec mon ami John Krakauer, neuroscientifique américain reconnu, il m'a répondu par une formule qui résonne comme un diagnostic de notre époque : "we need to practice humans".En français dans le texte « Nous devons pratiquer l'art d'être humain ».A priori un non-sens et pourtant c'est tout l'inverse.Comme un muscle qui s'atrophie faute d'exercice, de manière insidieuse, notre capacité à créer du lien se délite dans le confort de notre isolement choisi.D'ailleurs, j'ai reçu sur Vlan ! une chercheuse du MIT, Valérie Gauthier pour nous aider à récréer du dialogue si cela vous intéresse.Cette semaine j'ai envie d'explorer ce que le magazine « The Atlantic » a justement nommé de « siècle anti-social ». Mais alors c'est quoi le paradoxe de notre solitude moderne ?La langue anglaise, dans sa précision, distingue "solitude" de "loneliness".Le premier terme décrit un choix enrichissant, une pause réparatrice. Le second évoque une forme d'isolement toxique, un repli qui nous éloigne de notre nature profondément sociale.Notre langue française peine à capturer cette nuance essentielle - "isolement" porte une connotation trop négative pour traduire fidèlement ce "loneliness" contemporain que nous nous imposons collectivement.Alors attentin, ressentir de la solitude est une réponse saine, comme le souligne le sociologue Eric Klinenberg.C'est cette énergie qui m'a poussé vers cette salle de sport, ce besoin viscéral de reconnecter avec le monde.Mais voilà le paradoxe de notre époque : nous répondons au sentiment de solitude par davantage de solitude, dans une spirale qui nous éloigne toujours plus les uns des autres.Les chiffres racontent une histoire paradoxale de notre temps.Pour chaque heure passée en présence d'autrui hors de chez soi, l'Américain moyen en passe 7 devant sa télévision.La fréquence des dîners entre amis a chuté de 45% entre 1970 et les années 2000.Nous croyons chercher le bien-être dans cette retraite, mais les études en psychologie moderne révèlent une réalité contre-intuitive : nous sommes particulièrement mauvais pour identifier ce qui nous rend véritablement heureux.En fait ce que l'on nomme le Me-time a un vrai coté sombre !!! Je vous explique ca !! Une expérience fascinante menée à Chicago par le psychologue Nick Epley l'illustre parfaitement. Il a demandé aux usagers du métro d'imaginer leur trajet idéal : la majorité a opté pour un voyage silencieux et solitaire, considérant qu'une conversation avec un inconnu serait désagréable.L'expérience a prouvé exactement l'inverse - les interactions, même brèves, ont significativement amélioré leur bien-être et plus longues étaient ces dernières, meilleur était l'impact.C'est ce que les chercheurs appellent le "paradoxe de la connexion sociale" : nous fuyons précisément ce qui pourrait nous rendre plus heureux.Pourtant même dans un espace social tel que le métro nous nous enfermons dans l'isolement de nos écouteurs qui annulent le bruit ou simplement en plaçant l'écran glacé de notre téléphone entre soi et les autres.Et ce qui est mauvais pour notre santé mentale fini par également être mauvais pour notre santé physique comme le prouvent de nombreuses études sur la longévité.Etre utile à sa communauté comme me le rappelait Jean-Marc Lemaître, Directeur de recherche à l'Inserm, est fondamental. Et par ailleurs il y a un prix politique à notre deconnexion sociale ! je vous explique Cette citation de Deleuze prend ici tout son sens : "Le pouvoir exige des corps tristes. Le pouvoir a besoin de tristesse parce qu'il peut la dominer. La joie est résistance, parce qu'elle n'abandonne pas."Sans verser dans le complotisme, l'idée n'est pas dire que le pouvoir en place nous invite à rester chez nous mais force est de constater que notre isolement volontaire fragilise le tissu social.Nous renforçons nos liens avec ceux qui pensent comme nous, tandis que notre seule exposition à des opinions divergentes se fait à travers le prisme déformant des algorithmes des reseaux sociaux.La nuance qu'apportait une discussion au café du commerce, la modération qu'insufflait une conversation avec un voisin de palier, tout cela s'efface progressivement.Trump a parfaitement profité de cette situation et l'a renforcé en créant son propre réseau social ironiquement appelé « Truth social » (selon le Washington Post, durant son 1er mandat il a menti 30 573 fois soit 21 mensonges par jour en moyenne - cqfd).Situation encore renforcée avec un Musk prenant la main sur X évidemment.Comme l'explique le sociologue Dunkelman, "si la famille nous apprend l'amour, la tribu nous apprend la loyauté et le village nous apprend la tolérance."Sans ce village, nous perdons notre capacité à comprendre des narratifs différents des nôtres.La réalité c'est que parler avec des personnes bienveillantes ayant des opinions légèrement différentes des nôtres permet de se modérer politiquement automatiquement.A partir du moment où nous n'avons plus d'interactions avec nos voisins, nous n'arrivons plus à nous connecter à la nuance et cela donne envie de renverser la table.D'ailleurs, cette déconnexion sociale est aussi en partie ce qui explique l'incompréhension chez les démocrates aux U.S. qui continuaient à parler des minorités invisibilisées quand la majorité des Américains n'arrivaient pas à joindre les 2 bouts.Nous ne parlons plus avec les mêmes faits ni les mêmes vérités quand nous pourrions être relativement d'accord la plupart du temps comme l'a prouvé la convention citoyenne en France.Mais dans cette période particulièrement dystopique, ce que j'observe surtout, c'est ce besoin de se réfugier avec un besoin croissant de se divertir.Or on le sait, l'extrême-droite gagne faute de participants, le nihilisme gagne partout et est particulièrement dangereux.Alors on écoute des podcasts d'humour ou léger, on regarde des séries et tout cela renforce le temps passé seul.C'est assez classique de gérer le stress à travers une forme d'isolement mais en réalité cela est inversement proportionnel à notre niveau de bonheur.Même nos rituels sociaux ont été touché mais l‘avez-vous réalisé ? Dans les années 1970, le foyer américain moyen recevait des amis plus d'une fois par mois. Aujourd'hui, ces rituels de socialisation s'effritent. Les livraisons à domicile représentent désormais 74% du trafic des restaurants aux U.S., transformant des lieux de convivialité en simples points de collecte.Cette évolution reflète une transformation plus profonde de notre rapport au temps et à l'espace. Entre 1965 et 1995, nous avons gagné collectivement six heures de temps libre par semaine - soit 300 heures par an.Au lieu d'investir ce temps dans des activités sociales, nous l'avons massivement réinvesti dans les écrans.Un choix qui semblait offrir plus de liberté mais qui, paradoxalement, nous a enfermés dans une nouvelle forme de solitude.Et je dois confesser, non sans gêne, que mon propre compteur est probablement plus élevé que les 30% de temps éveillé moyen passés devant un écran.Plus inquiétant, les études démontrent une corrélation directe : plus nous passons de temps devant nos écrans, moins nous sommes naturellement attirés par l'engagement social.Certes, une partie de ce temps d'écran est supposément "sociale", mais partager des liens TikTok ne remplace pas la richesse d'une conversation en face à face.Même dans le couple, il arrive régulièrement qu'un écran s'interfère entre les 2 personnes, la psychologue Esther Perel m'a parlé alors de solitude paradoxale dans cet épisode de Vlan !Vous n'êtes pas seul mais vous ressentez un sentiment d'ignorance qui parfois peut avoir des impacts délétères. Et alors si vous avez des enfants, l'impact chez les ado est halluninante Oui ! La transformation est encore plus frappante chez les jeunes générations.Les statistiques révèlent une réalité troublante : ils sont moins nombreux à vouloir passer leur permis, à sortir en "date", ou même simplement à voir des amis en dehors de l'école.Ils font moins de bêtises, ont moins de relations sexuelles, restent dans leurs chambres et quand ils sont en famille, mettent un écran entre eux et leurs parents.Le nombre d'adolescents qui voient quotidiennement un ami hors du cadre scolaire a chuté de 50% par rapport à 1990.L'anxiété atteint des sommets, particulièrement chez les jeunes filles, dont près de 50% rapportent une tristesse persistante.Ce n'est plus seulement une redéfinition de l'adolescence à laquelle nous assistons, mais une transformation profonde de sa psychologie même.Comme l'explique Nicholas Carr, nous avons perdu cette frontière salutaire entre "être seul" et "être dans la foule". Notre solitude est constamment parasitée par le flux ininterrompu des réseaux sociaux, créant un état paradoxal : plus connectés que jamais, mais aussi plus anxieux et épuisés.Un phénomène qui explique peut-être cette tendance étrange sur TikTok à célébrer l'annulation de diners ou de plans sociaux. Et alors il y a un truc que je n'avais pas du tout vu venir De manière surprenante - du moins pour moi - la courbe du bonheur est inversement proportionnelle au confort que nous construisons dans nos maisons, comme le note le sociologue Patrick Sharkey.Plus nous y sommes confortables moins nous voulons en sortir et plus nous nous recroquevillons sur nous-même.D'ailleurs, il note qu'un changement profond s'est opéré dans la conception même de nos espaces de vie. Les architectes ne débattent plus de la luminosité des pièces ou de l'ouverture des espaces, mais du nombre d'écrans qu'on peut y installer – il faut désormais s'assurer que l'on peut accrocher un écran dans chaque pièce.Le confort moderne s'est transformé en cocon digital, dessinant une architecture intrinsèquement antisociale.Les "routines matinale" exhibées sur les réseaux sociaux illustrent parfaitement cette mutation.Ces vidéos, souvent réalisée par des personnes fortunées au physique mettent en scène une existence quasi monacale : méditation matinale, séance de journaling, repas healthy, yoga... mais étrangement, pas trace d'enfants, de conjoint ou d'amis.La présence de l'autre y est souvent perçue comme une nuisance, une interruption dans cette chorégraphie parfaitement orchestrée du "me-time". Et ca pourrait être pire demain si on ne se réveille pasNotre fuite vers le digital pourrait bientôt prendre une nouvelle dimension avec l'émergence des IA conversationnelles.J'ai ce pressentiment que les réseaux sociaux traditionnels vont perdre du terrain au profit des conversations avec des intelligences artificielles.Cela peut sembler relever de la science-fiction, mais je le vois venir inexorablement.Le plus troublant n'est pas que nous ne réalisions pas parler à une machine - nous le savons parfaitement.Non, ce qui inquiète, c'est que nous choisissions consciemment ces interlocuteurs artificiels. La raison est simple : l'IA ne nous challenge jamais, elle nous valide constamment et reste disponible 24/7, sans le moindre jugement.Une facilité qui nous éloigne encore davantage de la complexité enrichissante des relations humaines.La prescription est pourtant simple pour quiconque évalue son bien-être en dessous de 7/10 : privilégier les appels téléphoniques aux messages texte, oser la conversation avec des inconnus dans un café, s'engager dans de nouvelles activités pour rencontrer des personnes ou simplement travailler depuis un espace social pour les indépendants.Ces petits pas peuvent sembler insignifiants, mais ils sont le début d'une transformation profonde.C'est précisément ce qui m'a poussé à choisir cette salle de sport avec mon amie Fatou.Un simple rituel matinal qui devient une norme, qui elle-même se transforme en valeur, pour finalement redéfinir mes comportements.Car au fond, tout commence par ces petits choix quotidiens.Face à ce défi, il ne s'agit pas simplement de nostalgie pour un monde pré-numérique.Notre besoin de connexion humaine n'est pas un luxe ou une option - c'est une nécessité vitale pour notre espèce.Les études démontrent invariablement que contrairement à nos croyances modernes, une plus grande maison, une voiture de luxe, ou un salaire doublé au prix de notre temps libre ne font que générer plus d'anxiété.Le véritable paradoxe de notre époque réside dans cette conviction que ce dont nous avons le plus besoin est du temps seul (« me-time).C'est peut-être la plus grande erreur de notre génération.Nous possédons d'innombrables opportunités de nous connecter les uns aux autres, et pourtant nous les rejetons systématiquement, une par une, jour après jour."Pratiquer l'humain" n'est donc pas un simple exercice de « développement personnel » - c'est un acte de résistance contre l'atomisation de notre société.Chaque conversation initiée, chaque sourire échangé, chaque moment de présence authentique compte. Ces interactions peuvent sembler insignifiantes face à l'ampleur du défi, mais elles sont les fils qui retissent le tissu social effiloché.Pour paraphraser Deleuze une dernière fois, la joie que nous procurent les vraies connexions humaines nous emmène dans des endroits où la tristesse de l'isolement ne nous mènerait jamais.Peut-être que la vraie révolution de notre époque serait simplement de redécouvrir le courage d'être présent les uns pour les autres, de cultiver ces petits moments d'humanité partagée qui, finalement, donnent tout son sens à notre existence.Car au fond, ce n'est pas tant la technologie qui nous isole que nos choix quotidiens.Et chacun de ces choix est une opportunité de réinventer notre façon d'être ensemble.Alors la prochaine fois que vous hésitez entre commander une livraison ou aller au restaurant, entre envoyer un message ou passer un appel, entre rester chez vous ou rejoindre des amis, rappelez-vous : ce n'est pas juste un choix pratique, c'est un choix de société.Et peut-être même, un choix de civilisation.
Le Groenland continue de développer ses aéroports et se prépare à un afflux de voyageurs. Mais comment concilier le développement du tourisme avec un écosystème très sensible au réchauffement climatique ? Le Groenland face au défi du tourismeLes régions arctiques attirent de plus en plus de visiteurs, et le Groenland, une terre jusqu'ici très isolée, ne fait pas exception, il se prépare à vivre un « boom touristique » grâce à la construction de nouveaux aéroports capables d'accueillir des vols long courrier. C'est un vrai défi pour l'environnement : plus les voyageurs sont nombreux plus, il est difficile de préserver la nature qu'ils viennent découvrir. Mais c'est une très bonne nouvelle pour l'économie et pour le désenclavement de l'île. Reportage, Ottilia Ferey. La Chronique musique de Vincent Théval : Amizadi, un titre de l'album Port'ingles de Carmen Souza. Quelle transition écologique pour l'agriculture ? Avec près d'un million et demi de fruits récoltés chaque année, la France est le troisième producteur de pommes de l'Union européenne. Mais la pomme est l'un des fruits qui reçoivent le plus de traitements phytosanitaires, plus de 30 produits chimiques sont pulvérisés en moyenne sur les récoltes. Face aux risques pour l'environnement et la santé, l'objectif est de réduire de moitié leur usage d'ici 2030. Pour y parvenir, des chercheurs de l'INRAE développent de nouvelles méthodes. Reportage en Pays de Loire, Jeanne Richard. Entretien avec Pierre-Marie Aubert, directeur du programme Politiques agricoles et alimentaires à l'IDDRI (Institut du Développement durable et des Relations internationales) Vers un nouveau modèle agricole ; quelle transition pour la France et l'Europe ? (Odile Jacob). Au micro de Frédérique Lebel.
Le Groenland continue de développer ses aéroports et se prépare à un afflux de voyageurs. Mais comment concilier le développement du tourisme avec un écosystème très sensible au réchauffement climatique ? Le Groenland face au défi du tourismeLes régions arctiques attirent de plus en plus de visiteurs, et le Groenland, une terre jusqu'ici très isolée, ne fait pas exception, il se prépare à vivre un « boom touristique » grâce à la construction de nouveaux aéroports capables d'accueillir des vols long courrier. C'est un vrai défi pour l'environnement : plus les voyageurs sont nombreux plus, il est difficile de préserver la nature qu'ils viennent découvrir. Mais c'est une très bonne nouvelle pour l'économie et pour le désenclavement de l'île. Reportage, Ottilia Ferey. La Chronique musique de Vincent Théval : Amizadi, un titre de l'album Port'ingles de Carmen Souza. Quelle transition écologique pour l'agriculture ? Avec près d'un million et demi de fruits récoltés chaque année, la France est le troisième producteur de pommes de l'Union européenne. Mais la pomme est l'un des fruits qui reçoivent le plus de traitements phytosanitaires, plus de 30 produits chimiques sont pulvérisés en moyenne sur les récoltes. Face aux risques pour l'environnement et la santé, l'objectif est de réduire de moitié leur usage d'ici 2030. Pour y parvenir, des chercheurs de l'INRAE développent de nouvelles méthodes. Reportage en Pays de Loire, Jeanne Richard. Entretien avec Pierre-Marie Aubert, directeur du programme Politiques agricoles et alimentaires à l'IDDRI (Institut du Développement durable et des Relations internationales) Vers un nouveau modèle agricole ; quelle transition pour la France et l'Europe ? (Odile Jacob). Au micro de Frédérique Lebel.
durée : 01:47:02 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1975, de grands comédiens expliquent comment ils se définissent en tant qu'acteurs, leurs rapports avec le public, quels éléments influent sur leur jeu, et comment ils voient l'avenir de leur profession. Seront-ils un jour remplacés par des voix synthétiques ou par des robots "intelligents" ? - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Judith Magre Comédienne; Silvia Monfort Comédienne, directrice de théâtre, metteuse en scène; Madeleine Renaud Comédienne; Jean-Louis Trintignant Comédien français; Jean Négroni Comédien et metteur en scène; François Périer Comédien; Michel Bouquet Comédien; Michel Piccoli Acteur et réalisateur (1925-2020); Émile Leipp Physicien et acousticien français
REDIFF - Souhaiter se mettre en couple tout en gardant son indépendance. C'est l'ambivalence rencontrée par de plus en plus de personnes. Comment cela-peut-il être possible ? - "Tout pour plaire... et toujours célibataire" de Sophie Cadalen et Sophie Guillou, Albin Michel - Parlons Encore : Aimer quelqu'un d'inaccessible : https://audmns.com/aHAbqzW Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 28 octobre 2024. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct.
Le Sommet mondial pour l'action sur l'intelligence artificielle débute à Paris. La France veut se positionner comme un acteur clé du secteur malgré plusieurs paradoxes.Durant plusieurs jours, des figures majeures comme Sam Altman (OpenAI), Sundar Pichai (Google) ou encore Brad Smith (Microsoft) échangeront sur les opportunités et défis de l'IA. Côté français, Yann LeCun et Arthur Mensch (Mistral AI) seront présents, aux côtés de leaders politiques européens et internationaux.Derrière la volonté de structurer une gouvernance internationale de l'IA et de faire briller la France, se cachent cependant trois grands paradoxes. D'abord, si la France excelle en recherche IA elle peine toujours à transformer ses avancées en succès commerciaux, faute de capitaux et d'entreprises de grande envergure. Ensuite, l'Europe, malgré son poids économique, voit son marché freiné par des réglementations strictes, suscitant des inquiétudes parmi les géants du secteur. Enfin, la confiance dans l'IA est en berne, avec 79% des Français se déclarant inquiets, alimentés par un discours souvent alarmiste.Alors que la France mise sur l'open source et une IA "éthique et frugale", le sommet vise à poser les bases d'une action concrète. Reste à savoir si cette dynamique suffira à renforcer la compétitivité et la confiance dans l'IA.Mots-clés : intelligence artificielle, sommet IA, France, open source, régulation IA, Europe, Yann LeCun, Arthur Mensch, Sam Altman, Sundar Pichai, Brad Smith, innovation technologique-----------
Le paradoxe de la tolérance, formulé par le philosophe autrichien Karl Popper dans son ouvrage La société ouverte et ses ennemis (1945), soulève une question fondamentale sur les limites de la tolérance dans une société démocratique. Il met en lumière le risque qu'une tolérance illimitée puisse, paradoxalement, conduire à la disparition même de la tolérance.1. Énoncé du paradoxePopper affirme que "si une société est infiniment tolérante, elle risque d'être détruite par les intolérants". Autrement dit, si une société accepte sans restriction toutes les idées et opinions, y compris celles prônant l'intolérance et la destruction des valeurs démocratiques, ces forces intolérantes finiront par dominer et supprimer la tolérance elle-même.Ce paradoxe suggère qu'une société ouverte et tolérante doit établir des limites à la tolérance, notamment envers les idéologies qui cherchent à la détruire. Popper ne préconise pas une suppression immédiate des idées intolérantes, mais il insiste sur la nécessité de les confronter par le débat rationnel. Toutefois, si ces idées se montrent imperméables à la raison et incitent à la violence ou à la suppression des droits fondamentaux, alors la société doit légitimement interdire leur expression et leur diffusion.2. Les implications du paradoxeLe paradoxe de la tolérance soulève des questions cruciales pour les démocraties modernes, notamment en matière de liberté d'expression. Jusqu'où une société démocratique doit-elle tolérer des discours ou des mouvements qui remettent en cause ses principes fondamentaux, comme l'égalité, la liberté et le respect des droits humains ?En d'autres termes, faut-il tolérer les idées totalitaires, racistes ou extrémistes sous prétexte de liberté d'opinion ? Popper soutient que si ces idées ne sont pas contrôlées, elles peuvent prendre de l'ampleur et miner les bases de la démocratie, rendant impossible toute cohabitation pacifique.3. Application contemporaineAujourd'hui, le paradoxe de Popper est souvent invoqué dans les débats sur les discours de haine, l'extrémisme politique et la censure sur les réseaux sociaux. Il sert d'argument pour justifier des lois contre les discours incitant à la haine ou à la violence, tout en soulevant la difficulté de fixer les limites sans compromettre la liberté d'expression légitime.Le paradoxe de la tolérance met en évidence une tension inhérente aux sociétés démocratiques : pour préserver un espace de liberté, elles doivent parfois imposer des restrictions. Cela signifie qu'une tolérance absolue peut conduire à sa propre disparition, rendant nécessaire une vigilance et des mesures adaptées face aux menaces intolérantes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:30:02 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'émission "Heure de culture française", consacrait en 1969 une série aux humoristes anglais, dont "L'humour de Chesterton", une archive diffusée pour la première fois le 29/01/1969. - réalisation : Virginie Mourthé
Monter sur le chemin de la réussite professionnelle et entendre une voix s'amplifier, une voix qui dit “ne prends pas trop de place, ne dérange pas, reste prudente”. C'est ça, le paradoxe de l'ascension : réussir davantage tout en s'autorisant moins. Dans cet épisode, Alice Greetham, coach chez Coachappy, décortique ce tiraillement invisible qui freine tant de femmes leaders. Elle répond à ces questions essentielles :Pourquoi, malgré vos compétences, vos réussites et votre avancement de carrière, la peur de briller peut-elle encore vous retenir ? Et surtout, comment dépasser ces freins pour occuper pleinement votre place, avec authenticité et impact ? Un épisode puissant pour embrasser pleinement votre ambition, sans compromis ni retenue.****Grande nouvelle pour toutes les décideuses qui nous écoutent : dirigeantes, top managers et entrepreneures ! Le 3 février marque le début de la prochaine promotion de Sensées, notre programme exclusif de coaching et de mentoring, conçu pour seulement 20 femmes. Si vous en avez assez de jongler avec un stress permanent, de vous sentir seule face à vos responsabilités, ou de perdre le fil de ce qui compte vraiment, ce programme est fait pour vous.Pendant 4 mois, vous bénéficierez :D'un accompagnement individuel et collectif pour retrouver de la clarté et une sérénité durable.D'un mentoring personnalisé pour vos défis stratégiques et humains.Et d'une journée exceptionnelle à Paris, pour rencontrer vos pairs et vous inspirer.Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 24 janvier. Cliquez ici pour en savoir plus.***Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.**Chaque semaine, je partage mes conseils au sujet du leadership des femmes dans Sensées, la newsletter. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici.
There's a guest host this week: Andrew Waller, from Breaking The Tethers!Playlist: Janel and Anthony - Surf the deadFilii Nigrantium Infernalium - Chuva douradaZal Yanovsky - Lt. SchtinckhausenLuis Tovar - CriollsimaGenesis - Back in N.Y.C.Brûlez les meubles - Paradoxe de la joieHitman Blues Band - Green thingRadio Massacre International - Galactic furnace part 2 (radio edit)Alfredo Santa Ana and Miranda Wong - Lessons for oblivionTipula - Wake upNicole McCabe - Nicole McCabeShirley Collins & the Albion Country Band - Murder of Maria MartenG-bolo - Hard to breatheThe Former Yugoslavia - Setup ambienceThumbscrew - KnotsPat Metheny - Part 4Joel Jeschke - ExperimentationsGrachan Moncur III and the Jazz Composer's Orchestra - Angela's angel
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Pomart et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le "paradoxe du singe savant" est une expérience de pensée fascinante qui illustre des concepts de probabilité et d'infinité. Il repose sur l'idée suivante : imagine un singe frappant aléatoirement les touches d'une machine à écrire pendant une durée infinie. Le paradoxe suggère que, dans un tel contexte, ce singe finirait par taper tous les textes possibles, y compris les œuvres complètes de Shakespeare, par pur hasard. Ce paradoxe se base sur la notion mathématique d'événements aléatoires sur une période infinie. En théorie, si on laisse un nombre infini de séquences de lettres se produire, même les combinaisons les plus complexes ou improbables finiront par apparaître. Cela ne signifie pas que le singe est intelligent ou qu'il comprend ce qu'il tape ; il s'agit simplement de l'effet de l'aléatoire lorsqu'on lui donne un temps illimité. En termes de probabilité, l'idée est que la chance de taper une œuvre spécifique, comme Hamlet, en une seule tentative est astronomiquement faible. Pour donner une idée : si un singe tape une suite de lettres aléatoirement, les chances de produire ne serait-ce que la première phrase de Hamlet sont si minimes qu'elles frôlent l'impossible. Pourtant, avec un temps infini, ces chances, aussi minuscules soient-elles, finiraient par se réaliser. C'est le principe des événements rares qui deviennent inévitables lorsqu'on augmente le nombre de tentatives jusqu'à l'infini. Alors, le paradoxe du singe savant a-t-il de la valeur ? En un sens, oui, mais principalement en tant qu'outil conceptuel pour comprendre la théorie des probabilités et l'infini. Il est utile pour expliquer comment des événements improbables peuvent se produire dans des contextes spécifiques. Par exemple, il aide à comprendre pourquoi certaines séquences semblent extraordinaires ou comment le hasard peut générer de la complexité. Cependant, le paradoxe est avant tout théorique. Dans le monde réel, où les ressources (temps, espace, etc.) sont limitées, ce concept n'a pas d'applications pratiques directes. Personne n'a un temps infini pour tester de telles expériences, et elles ne se produisent pas naturellement. Malgré cela, l'idée reste précieuse pour illustrer des concepts abstraits de mathématiques et de logique, et elle est souvent utilisée comme exemple pour discuter des idées liées à l'aléatoire et à l'infini dans divers contextes scientifiques et philosophiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le "paradoxe du singe savant" est une expérience de pensée fascinante qui illustre des concepts de probabilité et d'infinité. Il repose sur l'idée suivante : imagine un singe frappant aléatoirement les touches d'une machine à écrire pendant une durée infinie. Le paradoxe suggère que, dans un tel contexte, ce singe finirait par taper tous les textes possibles, y compris les œuvres complètes de Shakespeare, par pur hasard. Ce paradoxe se base sur la notion mathématique d'événements aléatoires sur une période infinie. En théorie, si on laisse un nombre infini de séquences de lettres se produire, même les combinaisons les plus complexes ou improbables finiront par apparaître. Cela ne signifie pas que le singe est intelligent ou qu'il comprend ce qu'il tape ; il s'agit simplement de l'effet de l'aléatoire lorsqu'on lui donne un temps illimité. En termes de probabilité, l'idée est que la chance de taper une œuvre spécifique, comme Hamlet, en une seule tentative est astronomiquement faible. Pour donner une idée : si un singe tape une suite de lettres aléatoirement, les chances de produire ne serait-ce que la première phrase de Hamlet sont si minimes qu'elles frôlent l'impossible. Pourtant, avec un temps infini, ces chances, aussi minuscules soient-elles, finiraient par se réaliser. C'est le principe des événements rares qui deviennent inévitables lorsqu'on augmente le nombre de tentatives jusqu'à l'infini. Alors, le paradoxe du singe savant a-t-il de la valeur ? En un sens, oui, mais principalement en tant qu'outil conceptuel pour comprendre la théorie des probabilités et l'infini. Il est utile pour expliquer comment des événements improbables peuvent se produire dans des contextes spécifiques. Par exemple, il aide à comprendre pourquoi certaines séquences semblent extraordinaires ou comment le hasard peut générer de la complexité. Cependant, le paradoxe est avant tout théorique. Dans le monde réel, où les ressources (temps, espace, etc.) sont limitées, ce concept n'a pas d'applications pratiques directes. Personne n'a un temps infini pour tester de telles expériences, et elles ne se produisent pas naturellement. Malgré cela, l'idée reste précieuse pour illustrer des concepts abstraits de mathématiques et de logique, et elle est souvent utilisée comme exemple pour discuter des idées liées à l'aléatoire et à l'infini dans divers contextes scientifiques et philosophiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Chine en plein paradoxe. La Chine reste extrêmement dépendante du charbon… et à la fois elle tente de relever par tous les moyens le défi des énergies renouvelables. Gros enjeux : cela lui permettrait de dominer le marché mondial du solaire ou de l'éolien. Deux fers au feu : puisqu'elle s'est engagée à atteindre un pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici la fin de la décennie et à les éliminer d'ici 2060. À l'heure de la Conférence internationale sur le Climat de Bakou, essentielle pour l'avenir, la Chine a adopté vendredi dernier (8 novembre 2024) une nouvelle loi sur l'énergie dans l'optique de «promouvoir la neutralité carbone».Notre envoyée spéciale permanente à Pékin nous emmène à la rencontre d'une Chine volontaire, face à ses vieux démons…«Énergie verte et dépendance au charbon : le paradoxe chinois ?», un Grand reportage de Clea Broadhurst, avec la collaboration de Chi Xiangyuan. À écouter aussiLa Chine influenceuse du mouvement climatique mondial
Souhaiter se mettre en couple tout en gardant son indépendance. C'est l'ambivalence rencontrée par de plus en plus de personnes. Comment cela-peut-il être possible ? - "Tout pour plaire... et toujours célibataire" de Sophie Cadalen et Sophie Guillou, Albin Michel - Parlons Encore : Aimer quelqu'un d'inaccessible : https://audmns.com/aHAbqzW Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 28 octobre 2024. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct.