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Et si on arrêtait de faire porter la responsabilité du numérique aux seuls parents ?Dans ce débrief de l'épisode, Mick Lévy et Cyrille Chaudoit résument l'idée clé défendue par Virginie Sassoon : les écrans ne sont pas le cœur du problème.- Le vrai scandale, c'est l'absence de régulation efficace des géants de la tech.- Le vrai danger, c'est un modèle numérique conçu pour capter toujours plus l'attention.- Et le vrai malaise, c'est de voir les parents sommés d'éduquer seuls… dans un monde qui ne joue pas franc-jeu.
durée : 00:14:26 - Journal de 8 h - L'ex-commissaire européen et ancien ministre de l'Économie français n'a désormais plus le droit de séjour sur le territoire américain, tout comme quatre autres personnalités européennes qui veulent réguler les GAFAM.
durée : 00:14:26 - Journal de 8 h - L'ex-commissaire européen et ancien ministre de l'Économie français n'a désormais plus le droit de séjour sur le territoire américain, tout comme quatre autres personnalités européennes qui veulent réguler les GAFAM.
durée : 00:14:26 - Journal de 8 h - L'ex-commissaire européen et ancien ministre de l'Économie français n'a désormais plus le droit de séjour sur le territoire américain, tout comme quatre autres personnalités européennes qui veulent réguler les GAFAM.
La tension monte d'un cran entre les États-Unis et l'Union européenne. En réaction aux règles européennes qui encadrent les géants du numérique, Washington cible des personnalités européennes, dont Thierry Breton, privé de visa. Washington menace désormais des entreprises du Vieux Continent, engageant un bras de fer politique, économique et géopolitique.
Au programme :Cassim nous parle de son aventure pour « déGAFAMiser » sa vie et son environnement tech.Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cassim Montilla (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 646 – Peut-on déGAFAMiser sa vie ---Liens :
Comment vivre avec les écrans sans qu'ils prennent toute la place ?Virginie Sassoon révèle notre dépendance au numérique, son impact sur la vie de famille… et la possibilité de retrouver un équilibre réel dans un monde saturé de notifications.On explore la dépendance aux écrans, les mécanismes des réseaux sociaux, la culpabilité parentale, les tensions au sein du foyer, mais aussi l'émancipation numérique des adolescents, leurs émotions en ligne et la manière dont les smartphones redéfinissent l'identité, l'éducation et le quotidien.Virginie Sassoon aussi des solutions avec un modèle simple et puissant, PLAY, pour partager la vie numérique des enfants, libérer du temps sans écran, accueillir leurs émotions et créer un cadre durable.On parle aussi régulation, responsabilité parentale, inégalités numériques, maturité collective face aux technologies, et des nouveaux défis portés par l'iA.Un épisode éclairant, concret et profondément humain, pour tous ceux qui veulent instaurer une véritable paix numérique dans leur famille.
La France peut-elle encore peser dans l'IA avec des champions tricolores au niveau mondial ?Parmi les prétendants au titre, il y a H Company, souvent appeler H.Avec une levée de fond record annoncé il y a 2 ans à Vivatech, H était sur les rangs.Dans la foulée, 3 des 5 associés annoncent leur départ. En juin dernier, c'est Charles Kantor, fondateur et CEO, qui quitte l'entreprise.C'est dans ce contexte de promesse ambitieuse et de contexte interne complexe, que Gautier Cloix reprend les rennes de H.Là où les géants de l'IA se concentrent sur les chatbots et les LLM, il a décidé d'investir un autre terrain : l'IA agentique. Des agents qui voient l'écran, bougent la souris, tapent au clavier, remplissent un formulaire, enchaînent les actions comme une petite équipe invisible derrière votre curseur.Pour l'instant sans concurrent, H Company avance avec une méthode simple : on repère d'abord les problèmes pour créer ensuite des “androïdes” sur mesure pour y répondre. Une tâche, un agent IA dédié.Dans cet épisode, Gautier nous raconte son arrivée et ses premiers discours aux collaborateurs : comment rassurer, comment s'intégrer et comment affirmer sa vision.Mais il revient aussi sur son parcours : de prof de maths dans un lycée et en prison jusqu'à passer 10 ans chez Palantir, et son arrivée chez H pour retrouver l'atmosphère des débuts dans un projet ambitieux.Il nous parle aussi de :son projet avec “Rêvons” sur l'égalité des chancesson avis sur la souveraineté, et comment le secteur public peut encore s'améliorer dans es collaborations avec le privéson admiration pour François Damiens !À l'animation :Thomas Benzazon, cofondateur de FeuilleBlancheFlorent Garcia, Directeur de WAI by BNP Paribas.Un épisode en partenariat avec BNP Paribas.Un podcast conçu par FeuilleBlanche, producteurs de médias, podcasts et récits stratégiques pour les marques.À vos écouteurs
Au programme :Deal Disney / OpenAI: tout comprendreVous pouvez parler à Photoshop dans ChatGPTEn Australie, l'interdiction des réseaux aux -16 ans devient une réalitéLe reste de l'actualité et le journal de l'IAInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Guillaume Vendé (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 645 - OpenAI et Disney: qui y gagne, qui y perd?---Liens :
Un musicien pointe un paradoxe : le machine learning promet la créativité, mais fabrique surtout de la moyenne.Même morceaux, mêmes goûts, mêmes structures… la standardisation avance masquée.Et si certains artistes montraient que l'IA peut, au contraire, dérailler pour mieux inventer ?La tech entre les lignes, la chronique qui décrypte les articles tech, animée par Louis de Diesbach. ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
Et si la vraie menace de l'IA n'était pas de nous remplacer… mais de nous faire renoncer à notre propre pouvoir d'agir ?Pour Apolline Guillot, la technologie ne nous déresponsabilise pas toute seule. C'est nous qui, par confort ou par peur de l'erreur, acceptons peu à peu de déléguer nos décisions aux machines. Et c'est ce consentement, discret mais massif, qui pourrait changer radicalement notre rapport au travail.Moins d'effort, moins de friction, mais aussi moins de fierté, moins d'estime de soi, et à terme : moins de sens.L'épisode complet est à retrouver ici : https://smartlink.ausha.co/trench-tech/ia-et-travail-emancipation-ou-alienation-apolline-guillotApolline Guillot est professeure de philosophie et rédactrice en chef du Philonomist. Avec elle, on explore le glissement insidieux entre assistance et abdication, à l'heure où l'IA devient un prétexte idéal pour ne plus faire face à la complexité.(c) Trench Tech, LE podcast « Esprits Critiques pour Tech Éthique »Épisode enregistré le 28/11/2025---
Et si le travail n'était plus un simple gagne-pain, mais le principal critère d'existence sociale ?C'est l'analyse d'Apolline Guillot, qui rappelle que depuis le XXe siècle, le travail ne sert plus seulement à produire ou à s'émanciper : il est devenu un marqueur de reconnaissance, voire de dignité.Mais alors, avec l'iA qui promet de travailler à notre place, que nous reste-t-il pour "mériter notre place" dans la société ? L'épisode complet est à écouter ici : https://smartlink.ausha.co/trench-tech/ia-et-travail-emancipation-ou-alienation-apolline-guillotApolline Guillot est professeure de philosophie et rédactrice en chef du Philonomist. Avec elle, on explore la manière dont notre rapport au travail structure notre rapport à nous-mêmes - et ce que cela implique à l'ère de l'automatisation.(c) Trench Tech, LE podcast « Esprits Critiques pour Tech Éthique »Épisode enregistré le 28/11/2025---
Au programme :Netflix veut Warner Bros., Paramount riposteL'UE inflige une amende de 120 millions à TwitterLa conduite autonome enfin en Europe?Le reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric Ingrand (Twitter et Bluesky).Co-animé par Julien Lausson (Bluesky)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 644 – Qui va racheter Warner?---Liens :
Un livre de 1948 imaginait déjà nos bibliothèques infinies et le “Ctrl+F” avant l'heure.Mais il redoutait un monde où l'information devient seulement utile.Et si la technologie oubliait ce qui ne se mesure pas : le beau, le sensible, le vécu ?Mémoire Vive, la chronique de Trench Tech qui raconte les mythes et légendes qui façonnent notre vision de l'iA, animée par Laura Sibony. ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
L'IA va-t-elle nous émanciper ou nous déshumaniser ?
Au programme :La pub bientôt sur ChatGPT ?Le smartphone disparait aussi des lycées à la rentrée 2026Le reste de l'actualité : téléphone pliable, Aluminium OS, l'IA remplace les emplois…Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric de Luca (Bluesky).Co-animé par Korben (site)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 643 – Surprise, ChatGPT a besoin d'argent – ChatGPT & pub, smartphones aux lycée, Samsung Trifold---Liens :
L'Europe vit-elle son “moment mélien” numérique ?Sous pression, la Commission pourrait alléger ses règles digitales, au risque de sacrifier les valeurs qui fondent son modèle.Entre justice et rapport de force, l'épisode interroge : l'Europe doit-elle résister… ou céder pour survivre ?Philo Tech : la chronique philosophie de Trench Tech animée par Emmanuel Goffi. ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
Les artistes y comprennent-ils quelque chose à l'IA ?Oui, évidemment. Il existe même certains pionniers qui mobilisent l'intelligence artificielle depuis les années 90s comme Anna Ridler ou encore Mario Klingemann.Mais aujourd'hui, la plupart des autres artistes semblent encore découvrir l'outil. Son potentiel, et ses limites.Mais au-delà de l'IA comme outil d'aide à la production, ou à l'inspiration, quel rapport l'artiste entretient-il à la machine ?
Au programme :Gemini 3: Google repasse devant dans la course à l'IAMicrosoft met plus d'IA agentique dans Windows et OfficeL'UE propose une simplification du RGPD et de l'AI ActLe reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Guillaume Vendé (Bluesky).Co-animé par Christophe Camicas (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 642 – Google prend la pole position de l'IA – Gemini 3, Nano Banana Pro, Windows Agentique, simplification RGPD & AI Act---Liens :
Pourquoi veut-on à tout prix fabriquer des machines qui nous ressemblent ?
L'iA menace-t-elle l'art et la créativité humaine ?Cette crainte du dépassement de l'humain par la machine est, pour Marion Carré, toujours la même rengaine, alors que comprendre comment utiliser l'intelligence artificielle n'est rien d'autre qu'une forme d'apprentissage comme une autre.En outre, l'IA n'est pas l'alpha et l'omega : la place de l'humain et de la créativité humaine est cruciale. Il faut créer des sas de créativité humaine et les sanctuariser pour éviter le slop et les contenus standardisés.
Et si l'intelligence artificielle, en nous aidant à créer plus vite, nous rendait tous… pareils ?C'est le paradoxe du tapis roulant : l'iA booste la productivité, mais risque d'uniformiser la créativité.Marion Carré, fondatrice de AskMona, entrepreneuse à la croisée de l'art et de la tech, explore avec nous la frontière mouvante entre création, technologie et culture. Cet épisode questionne :L'IA est-elle un outil d'émancipation ou un moteur de standardisation ?Comment préserver la diversité culturelle face à des modèles d'IA globaux ?L'erreur et l'imperfection peuvent-elles devenir des sources de créativité ?Quelle est la responsabilité des concepteurs d'IA dans cette transformation ?
L'exécutif européen doit présenter, ce mercredi 19 novembre, un projet de loi de simplification numérique. Une révision des textes en vigueur qui ont fait de l'Europe la superpuissance régulatrice des activités en ligne. Objectif affiché : relancer la compétitivité européenne et favoriser le développement de l'intelligence artificielle (IA). Mais les associations spécialisées craignent surtout une dilution de la protection de la vie privée des Européens sous la pression de Washington et des Gafam. Règlement général sur la protection des données (RGPD) en 2018, Digital Markets Act et Digital Services Act en 2022, toute première règlementation au monde sur l'intelligence artificielle en 2024 : à défaut de briller sur le plan de l'innovation, depuis bientôt dix ans l'Union européenne se présente comme la superpuissance régulatrice du numérique. Forte de son marché unique aux 500 millions de consommateurs, l'Europe est parvenue à imposer ses règles aux grandes plateformes du numérique, qu'elles soient américaines ou chinoises. Mais tout pourrait changer avec la proposition dite « Omnibus numérique » que la Commission doit présenter ce mercredi 19 novembre. Un projet de loi qui devrait de toute façon en passer par le Parlement européen et les États membres mais dont une première version a fuité une semaine avant sa présentation. L'exécutif européen y défend une série de mesures présentées comme le moyen de relancer la compétitivité européenne et notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle. Pour cela la Commission propose de réécrire tous les textes en vigueur pour en assouplir les règles ou laisser une plus grande place à l'interprétation. De quoi susciter l'inquiétude des associations spécialisées qui y voient une « dilution » de tout le bouclier réglementaire dont s'est dotée l'Union européenne ces dix dernières années. Mort à petit feu du parapluie réglementaire européen Par exemple, à l'heure actuelle la loi européenne empêche les acteurs du numérique d'exploiter les données personnelles d'un internaute, pour lui proposer de la publicité ciblée en fonction de son état de santé, son orientation politique ou sexuelle. Des données très sensibles mais qu'il est facile d'obtenir ou de deviner si vous avez accès à l'historique de navigation d'un internaute, à la liste des applications installées sur son téléphone, ce genre de chose. Avec les nouvelles règles proposées par la Commission au nom de la compétitivité, tant que l'internaute en question n'est pas directement identifié, les entreprises pourraient exploiter ces données personnelles : les vendre à des tiers ou les utiliser pour entraîner une intelligence artificielle. L'ONG autrichienne Noyb (pour « None of your business »), la référence en la matière, estime que ce projet de la Commission est de nature à tuer à petit feu tout le parapluie réglementaire qui protège la vie privée des Européens. La Commission se défend en expliquant vouloir ne pas vouloir freiner le développement des acteurs européens. Certaines entreprises se réjouissent par avance de la diminution de ce qu'elles considèrent comme un carcan administratif trop lourd. Mais les mesures proposées vont surtout servir les intérêts des géants américains, déjà en place : Google, Amazon, Meta, Open AI... Vassalisation numérique Alors pourquoi ce soudain volte-face européen ? Peut-être à cause d'un certain Donald Trump qui n'a de cesse d'accuser l'Europe de faire preuve de protectionnisme en citant son cadre réglementaire et en particulier numérique. Déjà mise en difficulté par les droits de douane l'UE semble vouloir donner des gages à Washington, quitte à devenir plus encore le vassal numérique des États-Unis.
Au programme :Chez Apple, l'APRÈS-APRÈS Steve Jobs se prépareDes lunettes IA sans caméra ni haut parleur, ça vous dit?Le reste de l'actualité, avec le journal de l'IAInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Jeff Clavier (Instagram, Twitter).Co-animé par Stéphane Le Boisselier (Instagram, Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 641 – Chez Apple, une chaussette peut cacher un Tim Cook---Liens :
On ressort notre planche à voile ? Une innovation qui promettait la liberté… et offrait surtout des courbatures.Un sport trop technique pour le vacancier, trop grand public pour le pro, coincé entre le rêve tahitien et la réalité en combinaison néoprène.Bref : l'histoire d'une invention brillante et renversante... surtout pour ceux qui tentaient de tenir debout.Un moment d'égarement, la chronique animée par Laurent Guérin, qui traite avec humour des échecs les plus retentissants de la tech.***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
Des drones sans base légale aux caméras omniprésentes, au nom de notre sécurité, l'État surveille de plus en plus - et souvent sans contrôle.Félix Tréguer, chercheur associé au CNRS et cofondateur de La Quadrature du Net, dénonce une bascule démocratique silencieuse : celle d'un État qui généralise la surveillance au nom de la sécurité, sans rendre de comptes.Le risque avancé par Félix ? Glisser d'un régime libéral à une société de contrôle fascisante, où la dissidence devient impossible.
Et si la sécurité servait désormais à justifier la surveillance ?Dans cet extrait percutant, Félix Tréguer démonte la rhétorique politique qui, depuis des décennies, a réduit la sécurité à une affaire de police et de contrôle des citoyens.
Selon des révélations de l'agence Reuters, Meta tirerait une part considérable de ses revenus de publicités frauduleuses – arnaques financières, casinos illégaux ou produits interdits. Des documents internes montrent que le groupe assume ce modèle économique et anticipe même le coût des sanctions qui en découle. Selon nos confrères de Reuters, Meta - le groupe qui détient les réseaux sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp - gagnerait chaque année des milliards de dollars grâce aux publicités frauduleuses. Arnaques, casinos illégaux, produits interdits, ces annonces, dont les utilisateurs sont régulièrement exposés, font partie d'une économie bien réelle. En vous connectant récemment sur votre compte Facebook, vous êtes sans doute tombés sur des publicités promettant un enrichissement rapide, de fausses interviews de célébrités ou des produits miracles pour maigrir. Ces contenus sont payés par ceux qui les conçoivent pour apparaître sur les écrans des utilisateurs. Selon Reuters, 10 % du chiffre d'affaires 2024 de Meta, soit près de 16 milliards de dollars, proviendraient de ces publicités douteuses. Et ce qui surprend, c'est que cela fait pleinement partie du business model (« modèle d'entreprise », en anglais) du groupe. Meta assume le risque et fait payer davantage les annonceurs suspects Les documents internes montrent que Meta a parfaitement conscience de ce modèle. L'entreprise anticipe même le risque judiciaire. Elle s'attend à un milliard de dollars d'amendes, un montant qu'elle juge acceptable au regard des revenus générés. Autrement dit, mieux vaut payer pour les sanctions que perdre des parts de marché. Et malgré l'existence d'un système de modération, celui-ci atteint vite ses limites. Un annonceur n'est bloqué que si les algorithmes estiment à 95 % qu'il commet une fraude. En dessous de ce seuil, Meta ne suspend pas le compte. Elle lui fait payer plus cher ses publicités. C'est ce que le groupe décrit comme une « pénalité économique ». Les annonceurs suspects paient davantage, mais leurs messages continuent de circuler. Les algorithmes, eux, aggravent encore le phénomène. Les publicités étant personnalisées, un seul clic sur une annonce douteuse suffit à en générer d'autres dans les heures et jours suivants. L'algorithme amplifie donc la fraude… et chaque clic reste rentable pour Meta. Victimes, annonceurs et confiance fragilisés D'abord pour les victimes, qui perdent parfois des sommes importantes. Pour les annonceurs honnêtes, qui subissent une concurrence déloyale dans les enchères publicitaires. Et surtout pour les utilisateurs, dont la confiance s'érode : à force de croiser de fausses publicités, beaucoup finissent par se méfier même des marques légitimes. Au-delà de Meta, cette affaire pose une question de fond : comment réguler un marché publicitaire mondial où les plateformes sont juges et parties ? Elles hébergent, diffusent et profitent parfois des fraudes qu'elles prétendent combattre. Avec plus de trois milliards d'utilisateurs, 120 milliards de dollars de chiffre d'affaires et un pouvoir colossal sur la publicité mondiale, Meta occupe une place centrale dans cet écosystème. En réalité, cette affaire interroge la soutenabilité du modèle publicitaire numérique : tant que la fraude rapportera plus qu'elle ne coûte, les géants du numérique auront peu d'intérêt à l'éradiquer. Et dans cette équation, la régulation mondiale semble encore loin derrière l'innovation. À lire aussiLe groupe Meta met fin aux publicités politiques dans l'Union européenne
C dans l'air du 12 novembre 2025 : Réforme des retraites: la suspension passe...à quel prix?C'est le grand jour pour la réforme des retraites. Sa suspension a été débattue ce mercredi à l'Assemblée nationale, lors de la réouverture des discussions sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Mesure clé, elle conditionne la non-censure du gouvernement Lecornu par les socialistes, qui proposent de financer cette suspension par une hausse de la CSG sur les revenus du capital. Les échanges s'annonçaient houleux à gauche, et certains s'attendaient à un scrutin bien plus serré que prévu.Les députés du Rassemblement national ont approuvé la suspension. Leurs représentants avaient déjà voté en ce sens lors du débat en commission des affaires sociales, où la mesure a été adoptée par 22 voix contre 12. Le groupe socialiste a également voter pour, tout comme le groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (Liot), considéré comme l'électron libre du Parlement. « Liot était l'auteur de la motion de censure contre la réforme Borne en 2023 », a rappelé Harold Huwart, député d'Eure-et-Loir. Une motion rejetée à l'époque à neuf voix près.Les députés de La France insoumise, eux, ont voté contre l'article 45 bis. Selon eux, la suspension de la réforme ne vaut pas abrogation. Les écologistes et les communistes, longtemps indécis entre un vote contre et l'abstention, se sont réunis en fin de matinée et en début d'après-midi pour trancher.Les Républicains, qui avaient soutenu la réforme d'Élisabeth Borne et prévu dans leur programme présidentiel un recul de l'âge légal de départ à la retraite, ont voté contre la suspension.Même position du côté d'Horizons, malgré la présence de plusieurs ministres du parti au sein du gouvernement Lecornu.Le MoDem de François Bayrou a annoncé qu'il s'orientait « majoritairement vers l'abstention », tout comme les députés Renaissance.Le chef de file des députés Renaissance, Gabriel Attal, a d'ailleurs appelé ses troupes à s'abstenir, afin de ne pas compromettre le compromis avec le Parti socialiste.Dans le même temps, il plaide pour une « révolution » d'ici 2027, proposant de verser 1 000 euros à chaque enfant dès sa naissance pour anticiper sa retraite — une mesure dont le coût est estimé à 660 millions d'euros par an.« Très concrètement, on veut développer la capitalisation en France. Cela passe par un développement des plans d'épargne retraite, par un fléchage de l'intéressement et de la participation des entreprises vers ces plans, et par cette nouvelle mesure », a expliqué l'ancien Premier ministre. Il nous a accordé une longue interview diffusée dans le #danslair du jour.Pendant ce temps, outre-Atlantique, Donald Trump a de nouveau provoqué la polémique. Lors d'un échange houleux avec une journaliste de Fox News, lundi 10 novembre, l'ancien président américain a critiqué la France, estimant qu'elle « ne vaut pas mieux » que la Chine.« On a eu beaucoup de problèmes avec les Français. Nos technologies ont été taxées de manière très injuste. Ils ont mis 25 % de taxes sur les produits américains », a-t-il insisté, en référence au doublement de la taxe Gafam voté en octobre dernier par les députés de l'Assemblée nationale.Nos experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Lucie ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche- Pauline DE SAINT-REMY - Directrice adjointe de la rédaction de Politico- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions des Echos
Et si l'IA influençait déjà notre façon de parler sans qu'on s'en rende compte ?Une étude du Max Planck Institute révèle que les modèles de langage laissent leurs « tics » dans nos phrases.Petit détour par un phénomène discret… mais potentiellement massif.(c) Trench Tech, LE podcast « Esprits Critiques pour Tech Éthique »---
Au programme :Tesla va-t-elle vraiment payer 1000 milliards à Elon Musk?Amazon lance la guerre contre les navigateurs agentiquesGoogle donne à Epic tout ce qu'ils voulaient sur AndroidLe reste de l'actualité : news et rumeursInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric Ingrand (Twitter et Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 640 – Elon Musk va-t-il vraiment toucher 100 milliards de salaire?---Liens :
Reconnaissance faciale, police prédictive, Chat Control : quel prix pour nos libertés ?Caméras intelligentes, reconnaissance faciale, police prédictive : la surveillance algorithmique s'installe partout en France. Promises comme des outils de sécurité, elles posent pourtant une question centrale : jusqu'où peut-on sacrifier nos libertés au nom de la protection ?Félix Treguer (Quadrature du Net) décrypte avec nous les dérives de la technosurveillance. Nous explorons l'essor massif de la vidéosurveillance, les risques discriminatoires liés aux algorithmes, l'absence totale d'évaluation malgré des milliards dépensés, et les implications politiques de mesures comme le Chat Control.
Au programme :Résultats financiers de la tech : 3 choses à retenirNvidia atteint $5000 milliards de capitalisationOpenAI devient une vraie société qui peut générer de vrais profitsLe reste de l'actualité : le robot Néo, la Cour de Justice Internationale va utiliser OpenDesk, Uber et les taxis robots, licenciements chez Amazon…Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric de Luca (Bluesky).Co-animé par Korben (site)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 639 – OpenAI : le p*rno est-il d'intérêt général ?---Liens :
Nvidia est une entreprise américaine fondée en 1993, histortiquement spécialisée dans les processeurs graphiques et devenue un acteur central de l'intelligence artificielle et du calcul haute performance. bat tous les records pour une société cotée : 5 000 milliards de dollars de valorisation, dont 1 000 milliards supplémentaires en trois mois... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À travers une nouvelle de Joseph Roth, cet épisode interroge la frontière fragile entre authenticité et artifice.Une parabole littéraire qui éclaire, avec poésie, nos rapports à l'iA et au danger de perdre le goût de créer.Mémoire Vive, la chronique de Trench Tech qui raconte les mythes et légendes qui façonnent notre vision de l'iA, animée par Laura Sibony. ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
Invités : - Richard Millet, écrivain - Hervé Poyet, Président d'Orphéopolis Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Richard Millet, écrivain - Hervé Poyet, Président d'Orphéopolis Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les géants du numérique accélèrent encore dans la course à l'intelligence artificielle. Meta, Google et Microsoft investissent des sommes vertigineuses pour dominer le futur de l'IA. Et aussi : Macron et les réseaux sociaux, le nouveau robot Neo, IA et fausses vacances. Avec Bruno Guglielminetti (Mon Carnet) L'IA, un gouffre financier… et une arme stratégiqueLes GAFAM viennent d'investir 80 milliards de dollars en trois mois dans leurs infrastructures d'intelligence artificielle. Data centers, serveurs, énergie, talents : tout y passe. Une véritable course à la puissance s'engage, où chaque acteur veut disposer de la plus grande capacité de calcul. Google, par exemple, prévoit déjà 100 milliards supplémentaires pour 2025. Derrière ces chiffres, une bataille mondiale pour le contrôle de l'innovation et, surtout, de l'économie de demain.Une bulle IA sur le point d'exploser ?Face à ces montants astronomiques, certains, comme le chercheur Yoshua Bengio, appellent à un ralentissement. L'expert estime qu'un éclatement de la bulle serait peut-être salutaire pour freiner la fuite en avant actuelle. Entre spéculation et surenchère, la question d'une crise de l'IA revient sur la table, alors même que les usages explosent.Musique : Universal et Udio signent la paixPendant ce temps, l'industrie musicale s'adapte. Universal Music a trouvé un accord inédit avec la start-up Udio, spécialisée dans la génération de musique par IA. Objectif : permettre de revisiter légalement le catalogue Universal grâce à des outils d'IA générative. Une première mondiale qui pourrait redéfinir les droits d'auteur à l'ère de l'intelligence artificielle.Réseaux sociaux : Macron sonne l'alerteEn France, Emmanuel Macron a dénoncé la dérive des plateformes et leurs effets délétères sur la société. Addiction, désinformation, radicalisation : les réseaux deviennent un champ de bataille politique. Derrière cette sortie présidentielle, une inquiétude bien réelle sur la cohésion nationale et le pouvoir des algorithmes.Robots et fausses vacances : quand l'IA envahit le quotidienDes robots humanoïdes à 20 000 dollars aux photos de vacances totalement inventées par IA, le futur s'installe dans nos vies avec une vitesse vertigineuse. Entre fascination technologique et vertige éthique, l'IA ne cesse de redéfinir notre rapport au réel.VERSION VIDEOhttps://youtu.be/Mnwv-7sz7gQ-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
L'influence des réseaux sociaux sur l'information inquiète à l'approche des élections. Dans cet épisode, on analyse les appels à la régulation, les investissements massifs dans l'IA et les dérives potentielles de la technologie.
Et si l'IA au travail n'était pas tant là pour vous aider… quer pour mieux vous contrôler ?
Amazon, le géant du commerce en ligne a annoncé la suppression de 14 000 postes liée « en grande partie au développement de l'IA » selon l'entreprise. Une annonce qui ravive les craintes dans certaines professions particulièrement exposées, car l'essor de l'intelligence artificielle pourrait avoir de lourdes conséquences sur l'emploi dans le monde. Amazon présente ces 14 000 licenciements comme la première étape d'une vague qui pourrait concerner 30 000 personnes au sein du groupe qui emploie 1,5 million de salariés à travers le monde. Mais le géant du commerce en ligne n'est pas la seule entreprise à avoir annoncé des départs en raison de l'IA. Et si le phénomène reste progressif pour le moment, les effets de l'essor de l'IA se font en effet déjà lourdement sentir en particulier aux États-Unis. Au sein du cabinet de conseil Accenture, 12 000 postes ont été supprimés au cours des trois derniers mois, des employés « qui ne pourront pas apprendre les compétences nécessaires pour utiliser l'IA » selon la direction du groupe, qui a prévenu les autres salariés : ceux qui ne s'adapteront pas à cette nouvelle technologie pourraient subir le même sort. Microsoft, de son côté, a licencié 15 000 employés cette année, et de nombreux observateurs font le lien entre cette cure d'amaigrissement et le déploiement de l'intelligence artificielle. Chez Amazon, les emplois touchés sont pour la plupart dans les bureaux (les « cols blancs ») et non pas dans les entrepôts. Parmi les métiers les plus exposés ce sont logiquement ceux qui reposent sur le traitement de données et les tâches numériques qui peuvent être facilement automatisées, cela concerne donc en particulier l'analyse de données, la comptabilité, tout ce qui est de l'ordre des supports informatiques, mais aussi des services clients, des achats... Le patron de la chaîne américaine de supermarchés Walmart, le plus gros employeur des États-Unis a estimé qu'il ne connaissait pas un seul métier, un seul secteur, qui ne sera pas affecté par l'arrivée de l'IA. À lire aussiComment l'IA a déjà commencé à remodeler le marché du travail « Job apocalypse »? Qu'en est-il vraiment du nombre d'employés menacés ? Plusieurs études vont du scénario le plus optimiste au scénario catastrophe, certaines prédictions parlent même de « job apocalypse ». Mais si l'on s'en tient au rapport de l'Organisation internationale du travail (OIT) datant de 2023, il semblerait qu'environ 2,3% des emplois dans le monde, et jusqu'à 5% dans les pays riches, pourraient, en théorie, être entièrement automatisée par l'intelligence artificielle. L'OIT précise qu'il s'agit d'un potentiel, pas d'une prévision. En revanche, près de 60% des métiers dans le monde sont partiellement exposés à l'automatisation par l'IA, c'est donc plutôt à une évolution de la plupart des métiers qu'il faut s'attendre, et le tsunami de licenciements prévu par certains se traduira plutôt par une adaptation de secteurs entiers. Certains comparent l'arrivée de l'IA sur le marché du travail à celui d'internet, alors l'inconnu est la suivante : quelle sera la rapidité du développement de ce nouveau bouleversement technologique, plusieurs décennies, plusieurs mois ou plusieurs années ? Pour ce qui est de l'IA, tout va déjà très vite et notre capacité à intégrer cette nouvelle donne est la clé pour les employeurs, la formation jouera bien sûr un rôle essentiel. Nécessité de rentabiliser les investissements dans l'IA Au final, il est intéressant de poser la question de savoir de ces annonces de licenciements, sont elles réellement toutes motivées par l'arrivée de l'IA ? Mais l'intelligence artificielle joue certainement un rôle. Si ce n'est en raison de l'automatisation de certaines tâches, c'est a minima en raison d'une nécessité d'amortir les investissements colossaux dans les infrastructures de l'IA. Amazon a ainsi annoncé, dans la foulée de cette vague de licenciements, un investissement de cinq milliards de dollars en Corée du Sud, notamment pour y construire des centres de données IA à horizon 2031. À lire aussiAmazon annonce la suppression de 14 000 postes à travers le monde
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Et si l'intelligence artificielle n'était que le joli glaçage d'un gâteau finalement indigeste ?L'IA nous semble fluide, intuitive, bluffante. Mais sous cette "couche sucrée" se cache un "mille-feuille" technlogique bien plus complexe… et destructeur.C'est une technologie addictive, extractiviste, et financiarisée que décrit Ophélie Coelho dans cet extrait de notre Trench Tech - All Star.Écoutez l'épisode complet : "ALL STAR n°3 - L'onde de choc IA" ou tapez directement "Trench Tech Ophélie Coelho" dans votre plateforme de podcast
Chaque jour, retrouvez le journal de 10h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme :Samsung et Google ont annoncé le Samsung Galaxy XR, le concurrent du Vision Pro d'AppleOpenAI a lancé ChatGPT Atlas : est-ce qu'intégrer ChatGPT dans le navigateur suffira à concurrencer Chrome ?Le reste de l'actualité avec news et rumeurs : Grokipedia, l'effervescence (selon Guillaume) sur les sujets liés à Apple, Free TV, licenciements chez Amazon…Infos :Animé par Guillaume Vendé (Bluesky).Co-animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 638 – ChatGPT Atlas, Samsung Galaxy XR : nouvelles interfaces (mais c'est pas encore ça)---Liens :
En 2014, une étude interne a testé la « contagion émotionnelle » sur 700 000 utilisateurs… sans les prévenir.Un scandale éthique retentissant qui interroge encore notre rapport aux plateformes numériques.La tech entre les lignes, la chronique qui décrypte les articles tech, animée par Louis de Diesbach. ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast
Au programme :Sous pression, Instagram augmente la protection des comptes adoUne vidéo par IA d'un opposant qui lit un texte qui n'était qu'écrit… c'est mal ?Apple met à jour ses processeurs, mais prépare surtout un Mac tactileLe reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Marion Doumeingts (Instagram, Bluesky, Twitter).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 637 – Les comptes ado d'Instagram deviennent ce qu'ils auraient du être---Liens :
Cette semaine, on franchit une nouvelle étape dans la course effrénée à l'intelligence artificielle générative. Les géants de la tech – Google, OpenAI, Microsoft – rivalisent d'audace avec des outils toujours plus puissants, au point de brouiller définitivement la frontière entre réel et artificiel. Un Rubicon est franchi.Dans ce nouvel épisode du Debrief Transat, nous analysons la multiplication des applications d'IA générative de vidéo et d'image : les annonces de Google avec VEO 3.1, celles de Microsoft avec MAI-Image 1, et la manière dont Sora (OpenAI) est en train d'échapper à son propre enclos. Alors que les filigranes disparaissent et que les vidéos truquées inondent les réseaux, la menace géopolitique grandit : désinformation, manipulation, propagande... L'Europe est en première ligne.Nous parlons également :De l'arrivée des podcasts vidéo sur Netflix grâce à un partenariat avec Spotify : offensive stratégique pour contrer YouTube ?Du mécontentement grandissant vis-à-vis des GAFAM en Europe et du retour en grâce du logiciel libre : plusieurs administrations (Lyon, Schleswig-Holstein…) basculent vers Linux.De l'effet domino du retrait de Windows 10 sur les parcs informatiques publics.Et de Pixxle Places, une alternative française aux plateformes américaines pour la valorisation locale des contenus.-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
Au programme :Shein annonce des boutiques en France et provoque un tolléContrôle de l'âge: début de consensus aux USChat Control: la loi anti chiffrement échoue à l'UE… pour le momentLe reste de l'actualité avec news et rumeurs : naissance en direct, Youtube, etcInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric Ingrand (Twitter et Bluesky).Co-animé par Laetitia Lamari (LinkedIn).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 636 – Shein au BHV, le loup dans la bergerie ? – Boutiques Shein, Chat Control, contrôle de l'age, accouchement sur Twitch, seconde chance YouTube---Liens :
Au programme :OpenAI: Instant Checkout permet à ChatGPT de faire des achatsCameo: le coup de génie d'OpenAI dans la génération vidéoAvec les Apps, OpenAI ouvre ChatGPT à toute la techLe reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Jérôme Keinborg (Bluesky)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode 635 - Avec trois produits majeurs, OpenAI confirme son avance sur l'industrie---Liens :