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Le rendez-vous Tech
Surprise, ChatGPT a besoin d'argent – RDV Tech

Le rendez-vous Tech

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 71:47


Au programme :La pub bientôt sur ChatGPT ?Le smartphone disparait aussi des lycées à la rentrée 2026Le reste de l'actualité : téléphone pliable, Aluminium OS, l'IA remplace les emplois…Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric de Luca (Bluesky).Co-animé par Korben (site)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 643 – Surprise, ChatGPT a besoin d'argent – ChatGPT & pub, smartphones aux lycée, Samsung Trifold---Liens :

Trench Tech
Europe : Le moment de vérité | Philo Tech - Emmanuel Goffi

Trench Tech

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 3:31


L'Europe vit-elle son “moment mélien” numérique ?Sous pression, la Commission pourrait alléger ses règles digitales, au risque de sacrifier les valeurs qui fondent son modèle.Entre justice et rapport de force, l'épisode interroge : l'Europe doit-elle résister… ou céder pour survivre ?Philo Tech : la chronique philosophie de Trench Tech animée par Emmanuel Goffi.  ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast

Trench Tech
[Extrait] IA et création artistique sont-elles compatibles ? - Marion Carré (AskMona)

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 9:58


Les artistes y comprennent-ils quelque chose à l'IA ?Oui, évidemment. Il existe même certains pionniers qui mobilisent l'intelligence artificielle depuis les années 90s comme Anna Ridler ou encore Mario Klingemann.Mais aujourd'hui, la plupart des autres artistes semblent encore découvrir l'outil. Son potentiel, et ses limites.Mais au-delà de l'IA comme outil d'aide à la production, ou à l'inspiration, quel rapport l'artiste entretient-il à la machine ?

ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet
Simplification du RGPD, simple lifting ou attaque sur la vie privée des européens ?

ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 3:08


Aujourd'hui, on parle d'un tournant majeur en Europe.L'Union européenne envisage en effet d'assouplir fortement le RGPD, ce règlement qui encadre le traitement des données en Europe.Et c'est l'intelligence artificielle qui est clairement au cœur de cette évolution. Une « stratégie de simplification numérique »Premièrement donc, la Commission européenne vient de présenter une « stratégie de simplification numérique » qui inclut plusieurs modifications ciblées du RGPD.L'objectif affiché est de faciliter l'accès aux données nécessaires au développement de l'IA en Europe.Et parmi les mesures envisagées, on note la simplification des pop-ups de consentement liés aux cookies. Mais surtout un assouplissement de certaines obligations pesant sur les entreprises. Il s'agit d'un signal fort dans un contexte où l'Europe cherche à accélérer sur l'IA alors que les géants américains et chinois dominent déjà ce secteur.Un simple ajustement ?Le second point, c'est que pour la Commission, il s'agit d'un simple ajustement. La vice-présidente exécutive Henna Virkkunen parle même d'un « lifting » destiné à refléter l'évolution des technologies.Elle rappelle que les États membres considèrent à date le RGPD comme « efficace et équilibré ». Et que les changements visent surtout à harmoniser, clarifier et simplifier son application.C'est une manière de répondre aux critiques récurrentes des grandes entreprises technologiques, mais aussi aux pressions internationales, notamment de la part des États-Unis, dont l'AI Action Plan a ouvertement appelé à réduire les régulations jugées trop contraignantes.Une levée de boucliers chez les défenseurs européens de la vie privéeReste que ces propositions provoquent une levée de boucliers chez les défenseurs européens de la vie privée.Pour Max Schrems, figure incontournable du militantisme numérique, il s'agit purement et simplement de « la plus grande attaque contre les droits numériques des Européens depuis des années ».D'autres, comme Johnny Ryan de l'Irish Council for Civil Liberties, estiment que cet assouplissement ne renforcera en rien la compétitivité européenne. Au contraire, il risquerait d'entériner la domination des géants américains et chinois en matière d'IA.Selon eux, le vrai problème n'est pas le trop-plein de règles, mais leur manque d'application. Ils craignent surtout que ces changements ouvrent davantage la voie à l'utilisation de données personnelles pour entraîner des modèles d'IA, sans garanties suffisantes pour les citoyens.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le rendez-vous Tech
Google prend la pole position de l'IA – RDV Tech

Le rendez-vous Tech

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 104:55


Au programme :Gemini 3: Google repasse devant dans la course à l'IAMicrosoft met plus d'IA agentique dans Windows et OfficeL'UE propose une simplification du RGPD et de l'AI ActLe reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Guillaume Vendé (Bluesky).Co-animé par Christophe Camicas (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 642 – Google prend la pole position de l'IA – Gemini 3, Nano Banana Pro, Windows Agentique, simplification RGPD & AI Act---Liens :

Trench Tech
Le piège des machines qui nous ressemblent | Patch Tech - Fabienne Billat

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 4:38


Soluble(s)
Comment faire la paix avec nos écrans ? - Avec François Saltiel

Soluble(s)

Play Episode Listen Later Nov 24, 2025 24:48


Dans cet épisode, j'interroge François Saltiel, journaliste et producteur spécialiste des enjeux numériques, que l'on entend chaque matin sur France Culture dans "Un monde connecté" et le vendredi à 14h pour "La Fabrique de l'information". Avec Virginie Sassoon, directrice adjointe du CLEMI et docteure en sciences de l'information, ils ont co-écrit *Faire la paix avec nos écrans* (Flammarion), un essai très bien documenté et qui part de leur expérience de parents. Le couple à trois enfants vivant au quotidien avec dix écrans connectés.Loin de tout manichéisme, ils proposent un regard lucide et constructif sur notre "société amphinétique", ce néologisme qu'ils proposent pour décrire notre condition d'êtres évoluant en permanence entre le monde tangible et le monde numérique. François partage les tensions familiales autour des écrans, la méthode P.L.A.Y. qu'ils ont développée pour une parentalité numérique apaisée, et les solutions concrètes pour reprendre le contrôle face aux plateformes qui exploitent nos vulnérabilités.Lire l'article complet et les repères sur le site de l'émission : https://csoluble.media/epsode/faire-la-paix-avec-ecrans-francois-saltielOn explore aussi pourquoi le smartphone est devenu "l'écran total", comment l'éducation aux médias est notre seule arme face aux GAFAM, et pourquoi l'interopérabilité pourrait transformer notre captivité numérique. Écoutez.POUR ALLER PLUS LOINLire : « Faire la paix avec nos écrans », Flammarion https://editions.flammarion.com/faire-la-paix-avec-nos-ecrans/9782080476845Écouter : François Saltiel à la radio sur France Culture ou dans l'application Radio France8h50 : “Un monde connecté” chaque matin“La Fabrique de l'information”, chaque vendredi à 14hTIMECODES00:00 Introduction : Faire la paix avec nos écrans01:55 Le parcours de François Saltiel : le numérique comme fenêtre sur le monde03:39 Le smartphone : l'écran amplificateur qui a tout bouleversé04:49 La réalité des parents : osciller entre "gendarme" et "dealer" 06:23 La "parentalité numérique" : une génération de pionniers08:29 Sentiment d'impuissance et fin du mythe du "monde virtuel" 11:37 Une clé du dialogue : "Comment s'est passée ta journée en ligne ?12:46 La méthode P.L.A.Y. (Partager, Libérer, Accueillir, Yes/No)16:17 La captivité numérique : comprendre le piège des données18:57 L'interopérabilité : pourquoi on ne peut pas emmener ses abonnés avec soi20:09 L'éducation aux médias : notre seule véritable arme22:21 "La Fabrique de l'information" sur France Culture23:23 Merci à François Saltiel24:48 FinSimon Icard***

Trench Tech
[Extrait] Il faut SANCTUARISER la créativité humaine ! - Marion Carré (AskMona)

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 22, 2025 11:55


L'iA menace-t-elle l'art et la créativité humaine ?Cette crainte du dépassement de l'humain par la machine est, pour Marion Carré, toujours la même rengaine, alors que comprendre comment utiliser l'intelligence artificielle n'est rien d'autre qu'une forme d'apprentissage comme une autre.En outre, l'IA n'est pas l'alpha et l'omega : la place de l'humain et de la créativité humaine est cruciale. Il faut créer des sas de créativité humaine et les sanctuariser pour éviter le slop et les contenus standardisés.

XY Mag
L'Etat français est-il toujours souverain ?

XY Mag

Play Episode Listen Later Nov 22, 2025 12:21


L’Etat français est-il toujours souverain, c’est la question que l’on peut se poser pour plusieurs raisons. Souveraineté numérique de la France L’intégration de la France dans l’ensemble européen impose de renoncer à des compétences régaliennes. Le niveau de dette rend la politique française dépendante de ses créanciers. Mais le destin numérique de la France est-il bien protégé. Un rapport récent de la cour des comptes nous éclaire sur ce sujet. L’Etat français est-il toujours souverain On imagine que l’État protège jalousement ses données les plus sensibles, les enfermant dans des forteresses numériques impénétrables. La souveraineté numérique est devenue un mot d’ordre politique, une promesse de contrôle et d’indépendance face aux géants technologiques étrangers. Ceux que l’on nomme les GAFAM. Le paradoxe standard du marché ou souveraineté Il faut garder en tête que les standard du marché sont américains et ensuite Chinois. L’Europe arrive ensuite en ordre dispersé. Sur le plan analytique, il existe une tension concernant la politique numérique française : d’un côté, l’ambition affichée de souveraineté ; de l’autre, le besoin des administrations de disposer d’outils performants, modernes et à un coût maîtrisé. J’ajoute aussi que les agents de l’Etat veulent utiliser des outils qu’ils connaissent car ils ont été formés dessus avec ou en disposent chez eux. Bien souvent, c’est le second impératif qui l’emporte. Le cas le plus notable est celui du nouveau système d’information de ressources humaines du ministère de l’Éducation nationale, Virtuo, pour lequel le ministère a choisi une solution cloud opérée par une entreprise américaine. Ce choix a été fait en passant outre les recommandations initiales de la doctrine “Cloud au centre”, car aucune offre souveraine ne répondait aux exigences de performance et de coût. Le ministère estime a posteriori que sa décision est conforme à la version finale de la loi SREN, qui a restreint le champ d’application de l’obligation de souveraineté en exigeant non seulement que les données soient sensibles, mais aussi que leur violation présente un risque direct pour l’ordre public. Quand la loi se met elle même une balle dans le pied et fait de la vertu un vice. Circulaire Cloud au centre Revenons sur ce texte important, la circulaire cloud au centre. La doctrine « Cloud au centre » est une orientation édictée par le Premier ministre pour que les administrations privilégient les infrastructures cloud (informatique en nuage) pour leurs nouveaux projets numériques. Le cloud est appelé à devenir l'environnement par défaut de tout nouveau projet informatique de l’État. Cette doctrine est la déclinaison opérationnelle de la Stratégie nationale pour le cloud lancée en mai 2021, qui vise à encourager l’utilisation du cloud tout en assurant l’autonomie de l’État, la maîtrise de ses données et le respect des règles européennes en matière de protection des données à caractère personnel. Version de juillet 2021 : La première version de la circulaire, diffusée en juillet 2021, stipulait que toute application manipulant des données d'une sensibilité particulière, notamment les données personnelles des citoyens français, devait être hébergée sur une infrastructure souveraine. Voir mon article sur ce sujet ici Version de mai 2023 : La doctrine a été mise à jour en mai 2023 (circulaire n° 6404/SG). Cette version a restreint l'obligation de recourir à une offre souveraine, ne l’exigeant que lorsque deux critères sont cumulativement observés : Les données doivent relever de secrets protégés par la loi. Leur violation doit être susceptible « d'engendrer une atteinte à l'ordre public, à la sécurité publique, à la santé et à la vie des personnes, ou à la protection de la propriété intellectuelle ». Voilà comment faire entrer le loup dans la bergerie. Loi SREN : Ces critères cumulatifs ont été élevés au niveau législatif par l’Article 31 de la loi du 21 mai 2024 visant à sécuriser et à réguler l'espace numérique (dite loi SREN). La restriction du champ d’application de cette obligation visait notamment à consolider la doctrine sur le plan juridique en limitant les risques de recours par des opérateurs étrangers au regard des règles du marché intérieur européen et du principe de non-discrimination de l'OMC. Le Cloud de confiance et SecNumCloud Le concept de « cloud de confiance » remplace la notion initiale de « cloud souverain ». Il repose sur deux solutions jugées équivalentes en termes de sécurité pour les données sensibles : Les clouds internes de l'État (dits du 1er cercle), comme Nubo (opéré par la DGFiP) et Pi (opéré par le ministère de l'Intérieur). Les offres commerciales qualifiées SecNumCloud. La qualification SecNumCloud est un référentiel d'exigences techniques, opérationnelles et juridiques élaboré par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi). Il garantit le plus haut niveau de sécurité pour les services de l'État et les opérateurs d'importance vitale (OIV). Un apport essentiel de ce référentiel est l’accent mis sur la souveraineté. Il garantit une immunité aux lois non européennes à portée extraterritoriale, telles que le Cloud Act ou le Foreign Intelligence Surveillance Act (Fisa) américain. Cela impose notamment que le siège social du prestataire soit situé dans l'Union européenne et qu’une entité non européenne ne détienne pas, à elle seule, plus de 24 % du capital et des droits de vote du prestataire. Les limites de la mise en œuvre Cloud au centre Malgré l’ambition politique affichée, la mise en œuvre de la doctrine « Cloud au centre » rencontre des difficultés. Bien que la commande publique en services cloud soit passée de 1 M€ en 2020 à 52 M€ en 2024, atteignant 120 M€ au total sur cette période, cela reste très modeste par rapport aux dépenses informatiques annuelles de l'État, de l'ordre de 3 Md€. De plus, le recours aux solutions qualifiées SecNumCloud induit un surcoût par rapport aux offres cloud non qualifiées, estimé entre +25 % et +40 %. Ce point est à challenger car, pour avoir fait le travail de passer tout une entreprise SECNUMCLOUD, cela à pu être fait à ISO cout en partant d’un système déjà Cloud. C’est sur que si on part de On premise, on a ce surcout. Mais on ne compare pas la même solution. Cloud au centre L'échec des clouds internes Face à la domination des géants américains, l’État a tenté de construire ses propres solutions Cloud souverain. Deux clouds interministériels ont ainsi vu le jour : Nubo, porté par le ministère des Finances, et Pi, porté par celui de l’Intérieur. L’ambition était de fournir une alternative sûre et maîtrisée pour les données les plus sensibles. La réalité est cependant bien loin des ambitions affichées. Les chiffres sont sans appel : “la part d'interministériel pour les clouds Pi et Nubo plafonne à 5 %”. En clair, ces solutions sont très peu utilisées en dehors des ministères qui les ont créées. La raison principale ? Un sous-investissement chronique. Le rapport note que Nubo a coûté 55 millions d’euros en neuf ans, une somme modeste au regard des dépenses numériques annuelles de l’État qui s’élèvent à environ 3 milliards d’euros. En conséquence, la gamme de services offerts reste limitée et la tarification est jugée inadaptée. Cet échec à attirer les utilisateurs empêche Nubo et Pi d’atteindre la “taille critique” nécessaire pour justifier de nouveaux investissements, créant ainsi un cercle vicieux de sous-performance et de sous-utilisation qui les rend non compétitifs. Peut être aussi la stratégie n’est pas bonne de vouloir créer son propose cloud plutôt qu’externaliser cela à un hyperscaler souverain qui pourra mutualiser les couts. La souveraineté SECNUMCLOUD un coût : jusqu’à 40 % plus cher Qu’est-ce qu’une solution numérique “vraiment” souveraine ? En France, le plus haut standard est défini par la qualification SecNumCloud, délivrée par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Ce label garantit non seulement un très haut niveau de sécurité technique, mais aussi une immunité juridique contre les lois extraterritoriales, comme le fameux Cloud Act américain. Cette loi qui permet aux autorités américaines de contraindre les fournisseurs de services américains à livrer des données, où qu’elles soient stockées dans le monde. Services secnumcloud Cette garantie a un prix. Le rapport de la Cour des comptes met un chiffre précis sur ce coût, une donnée rarement rendue publique : le surcoût d’une infrastructure qualifiée SecNumCloud par rapport à une offre cloud traditionnelle est estimé “entre +25 et +40 %”. De nouveau, je pense que ce montant est un maximum et que en faisant appels à un hyperscaler et en optimisant, on peut le faire à iso cout. Marché public cloud Vos logiciels de bureautiques sont un enjeu stratégique majeur D’un point de vue politique, le débat sur la souveraineté devient le plus tangible lorsqu’il touche aux outils quotidiens des agents publics. Exemple très concret des suites bureautiques pour illustrer ce défi. La dépendance historique de l’administration française à la suite Microsoft Office est devenue un problème stratégique lorsque l’entreprise a commencé à pousser agressivement son offre cloud, Microsoft 365. Face à ce mouvement, la Direction interministérielle du numérique (DINUM) a demandé aux ministères de ne pas y souscrire, afin de protéger la souveraineté des communications électroniques. La réponse de l’État a été pour le moins fragmentée. D’un côté, le ministère de l’Éducation nationale, le plus grand employeur de France, a entrepris de remplacer la suite Office par une solution basée sur un logiciel libre (Collabora Online). De l’autre, la DINUM, l’autorité numérique de l’État, développe sa propre alternative (“La Suite”) en coopération avec l’Allemagne et les Pays-Bas. Cette divergence entre le plus grand ministère et l’autorité interministérielle illustre un manque de stratégie unifiée, même sur un sujet aussi fondamental que l’outil de travail quotidien de ses agents. La France, une voix isolée dans la bataille pour la souveraineté en Europe Le combat pour la souveraineté numérique ne se joue pas seulement à l’échelle nationale. C’est au niveau européen que se dessinent les règles du jeu, et sur ce terrain, la France peine à imposer sa vision exigeante. Le cas du projet de certification européen des services cloud (EUCS) est emblématique. La France a plaidé pour y inclure un niveau de sécurité maximal, inspiré de son propre label SecNumCloud, afin de garantir une immunité totale face aux lois extraterritoriales. La conclusion de la Cour des comptes est sans équivoque : “La démarche de la France est restée jusqu'à présent isolée au sein de l'UE.” Cet isolement n’est pas purement idéologique ; il est alimenté par de dures réalités économiques. Comme le note le rapport, la position de l’Allemagne s’est considérablement assouplie après l’annonce par Amazon Web Services d’un investissement de 7,8 milliards d’euros dans un cloud “souverain” sur son territoire, démontrant comment la puissance d’investissement des géants américains de la tech peut directement influencer la politique européenne. La quête de souveraineté numérique de la France n’est pas une stratégie assez coordonnée. Comme souvent c’est une série de compromis tactiques où la performance prime sur le principe, où les solutions internes échouent à se déployer à l’échelle, et où l’ambition européenne est contrecarrée par la réalité économique. Le parfait exercice des missions de service public peut être garanti sans nécessairement aligner les spécifications des systèmes d'information sur le plus haut niveau technologique dès lors qu'un degré trop élevé de performance à court terme peut constituer un double écueil : par la mise en cause de la souveraineté sur les données et par une dépendance de l'administration vis-à-vis de la politique commerciale d'un éditeur dominant.The post L'Etat français est-il toujours souverain ? first appeared on XY Magazine.

Trench Tech
Culture et iA : le paradoxe du tapis roulant - Marion Carré

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 64:36


Et si l'intelligence artificielle, en nous aidant à créer plus vite, nous rendait tous… pareils ?C'est le paradoxe du tapis roulant : l'iA booste la productivité, mais risque d'uniformiser la créativité.Marion Carré, fondatrice de AskMona, entrepreneuse à la croisée de l'art et de la tech, explore avec nous la frontière mouvante entre création, technologie et culture. Cet épisode questionne :L'IA est-elle un outil d'émancipation ou un moteur de standardisation ?Comment préserver la diversité culturelle face à des modèles d'IA globaux ?L'erreur et l'imperfection peuvent-elles devenir des sources de créativité ?Quelle est la responsabilité des concepteurs d'IA dans cette transformation ?

Aujourd'hui l'économie
La Commission européenne prête à sacrifier la protection de la vie privée sur l'autel de la simplification numérique?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 19, 2025 3:25


L'exécutif européen doit présenter, ce mercredi 19 novembre, un projet de loi de simplification numérique. Une révision des textes en vigueur qui ont fait de l'Europe la superpuissance régulatrice des activités en ligne. Objectif affiché : relancer la compétitivité européenne et favoriser le développement de l'intelligence artificielle (IA). Mais les associations spécialisées craignent surtout une dilution de la protection de la vie privée des Européens sous la pression de Washington et des Gafam. Règlement général sur la protection des données (RGPD) en 2018, Digital Markets Act et Digital Services Act en 2022, toute première règlementation au monde sur l'intelligence artificielle en 2024 : à défaut de briller sur le plan de l'innovation, depuis bientôt dix ans l'Union européenne se présente comme la superpuissance régulatrice du numérique. Forte de son marché unique aux 500 millions de consommateurs, l'Europe est parvenue à imposer ses règles aux grandes plateformes du numérique, qu'elles soient américaines ou chinoises. Mais tout pourrait changer avec la proposition dite « Omnibus numérique » que la Commission doit présenter ce mercredi 19 novembre. Un projet de loi qui devrait de toute façon en passer par le Parlement européen et les États membres mais dont une première version a fuité une semaine avant sa présentation. L'exécutif européen y défend une série de mesures présentées comme le moyen de relancer la compétitivité européenne et notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle. Pour cela la Commission propose de réécrire tous les textes en vigueur pour en assouplir les règles ou laisser une plus grande place à l'interprétation. De quoi susciter l'inquiétude des associations spécialisées qui y voient une « dilution » de tout le bouclier réglementaire dont s'est dotée l'Union européenne ces dix dernières années. Mort à petit feu du parapluie réglementaire européen Par exemple, à l'heure actuelle la loi européenne empêche les acteurs du numérique d'exploiter les données personnelles d'un internaute, pour lui proposer de la publicité ciblée en fonction de son état de santé, son orientation politique ou sexuelle. Des données très sensibles mais qu'il est facile d'obtenir ou de deviner si vous avez accès à l'historique de navigation d'un internaute, à la liste des applications installées sur son téléphone, ce genre de chose. Avec les nouvelles règles proposées par la Commission au nom de la compétitivité, tant que l'internaute en question n'est pas directement identifié, les entreprises pourraient exploiter ces données personnelles : les vendre à des tiers ou les utiliser pour entraîner une intelligence artificielle. L'ONG autrichienne Noyb (pour « None of your business »), la référence en la matière, estime que ce projet de la Commission est de nature à tuer à petit feu tout le parapluie réglementaire qui protège la vie privée des Européens. La Commission se défend en expliquant vouloir ne pas vouloir freiner le développement des acteurs européens. Certaines entreprises se réjouissent par avance de la diminution de ce qu'elles considèrent comme un carcan administratif trop lourd. Mais les mesures proposées vont surtout servir les intérêts des géants américains, déjà en place : Google, Amazon, Meta, Open AI... Vassalisation numérique Alors pourquoi ce soudain volte-face européen ? Peut-être à cause d'un certain Donald Trump qui n'a de cesse d'accuser l'Europe de faire preuve de protectionnisme en citant son cadre réglementaire et en particulier numérique. Déjà mise en difficulté par les droits de douane l'UE semble vouloir donner des gages à Washington, quitte à devenir plus encore le vassal numérique des États-Unis.

ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet
TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google

ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

Play Episode Listen Later Nov 19, 2025 3:40


Aujourd'hui, on va parler d'un accord stratégique qui illustre parfaitement la convergence absolument nécessaire entre transition énergétique et infrastructures numériques.L'entreprise française TotalEnergies va alimenter en électricité solaire les datacenters de Google aux États-Unis.C'est un partenariat majeur à la fois pour l'industrie énergétique et pour les géants du cloud, dont la consommation ne cesse de grimper.Un PPA de 1,5 térawattheure sur une durée de 15 ansD'abord, il s'agit d'un PPA massif de 1,5 térawattheure sur une durée de 15 ans.TotalEnergies a signé avec Google un contrat de vente d'électricité, un PPA pour Power Purchase Agreement qui porte sur un volume total de 1,5 térawattheure d'électricité solaire certifiée.Cette énergie proviendra de la centrale solaire nommée « Montpelier », située dans l'État de l'Ohio, aujourd'hui en phase finale de construction.Une fois pleinement opérationnelle, cette centrale sera connectée au réseau PJM, le plus grand réseau électrique des États-Unis, et contribuera directement à l'alimentation des datacenters de Google dans la région.Pour Google, c'est un moyen d'intégrer davantage d'électricité décarbonée sur les réseaux où l'entreprise opère, et d'avancer vers ses objectifs climatiques.Mais il ne faut absolument pas croire à cette belle histoire d'énergie verte.Un défi énergétique mondialCar, et c'est le second point, l'alimentation des data centers représente un défi énergétique mondial.TotalEnergies rappelle que les centres de données ont représenté près de 3 % de la demande énergétique mondiale en 2024.Et ce chiffre illustre la pression croissante exercée par l'IA, le cloud, la vidéo et l'explosion des usages numériques.Pour les exploitants de datacenter, il s'agit surtout de faire feu de tout bois et de sécuriser des approvisionnements énergétiques d'où qu'ils viennent. Ici il s'agit d'une centrale solaire, mais on ne compte plus les redémarrages de centrales nucléaires pour les besoins des Gafam outre-Atlantique. Bref, à l'ère de l'IA les besoins en électricité explosent, et cela ne va pas bien sûr sans poser d'énormes problèmes de production d'énergie.Montée en puissance des fournisseurs d'énergie dans la transformation numériqueEnfin, cette annonce montre aussi naturellement la montée en puissance des fournisseurs d'énergie dans la vague de la transformation numérique.Cet accord avec Google s'ajoute à une longue liste de PPA déjà signés par TotalEnergies avec des entreprises majeures, dont Microsoft, Amazon, Air Liquide, Orange, Saint-Gobain, STMicroelectronics ou encore Data 4.Aux États-Unis, le groupe déploie aujourd'hui un portefeuille de 10 gigawatts de projets renouvelables incluant solaire, éolien et batteries.La stratégie du groupe consiste à fournir des solutions énergétiques sur mesure à des acteurs technologiques dont les besoins explosent, tout en cherchant à atteindre un objectif de 12 % de rentabilité.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le rendez-vous Tech
Chez Apple, une chaussette peut cacher un Tim Cook – RDV Tech

Le rendez-vous Tech

Play Episode Listen Later Nov 18, 2025 55:34


Au programme :Chez Apple, l'APRÈS-APRÈS Steve Jobs se prépareDes lunettes IA sans caméra ni haut parleur, ça vous dit?Le reste de l'actualité, avec le journal de l'IAInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Jeff Clavier (Instagram, Twitter).Co-animé par Stéphane Le Boisselier (Instagram, Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 641 – Chez Apple, une chaussette peut cacher un Tim Cook---Liens :

Trench Tech
La planche à voile | Un moment d'égarement - Laurent Guérin

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 18, 2025 3:46


On ressort notre planche à voile ? Une innovation qui promettait la liberté… et offrait surtout des courbatures.Un sport trop technique pour le vacancier, trop grand public pour le pro, coincé entre le rêve tahitien et la réalité en combinaison néoprène.Bref : l'histoire d'une invention brillante et renversante... surtout pour ceux qui tentaient de tenir debout.Un moment d'égarement, la chronique animée par Laurent Guérin, qui traite avec humour des échecs les plus retentissants de la tech.***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast

Trench Tech
[Extrait] Aurions-nous pu résister en 1940 avec la reconnaissance faciale ?

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 3:12


Des drones sans base légale aux caméras omniprésentes, au nom de notre sécurité, l'État surveille de plus en plus - et souvent sans contrôle.Félix Tréguer, chercheur associé au CNRS et cofondateur de La Quadrature du Net, dénonce une bascule démocratique silencieuse : celle d'un État qui généralise la surveillance au nom de la sécurité, sans rendre de comptes.Le risque avancé par Félix ? Glisser d'un régime libéral à une société de contrôle fascisante, où la dissidence devient impossible.

Trench Tech
[Extrait] Tous en liberté surveillée - Félix Tréguer

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 10:30


Et si la sécurité servait désormais à justifier la surveillance ?Dans cet extrait percutant, Félix Tréguer démonte la rhétorique politique qui, depuis des décennies, a réduit la sécurité à une affaire de police et de contrôle des citoyens.

Aujourd'hui l'économie
Comment Meta gagne des milliards grâce aux publicités frauduleuses

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 3:07


Selon des révélations de l'agence Reuters, Meta tirerait une part considérable de ses revenus de publicités frauduleuses – arnaques financières, casinos illégaux ou produits interdits. Des documents internes montrent que le groupe assume ce modèle économique et anticipe même le coût des sanctions qui en découle. Selon nos confrères de Reuters, Meta - le groupe qui détient les réseaux sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp - gagnerait chaque année des milliards de dollars grâce aux publicités frauduleuses. Arnaques, casinos illégaux, produits interdits, ces annonces, dont les utilisateurs sont régulièrement exposés, font partie d'une économie bien réelle. En vous connectant récemment sur votre compte Facebook, vous êtes sans doute tombés sur des publicités promettant un enrichissement rapide, de fausses interviews de célébrités ou des produits miracles pour maigrir. Ces contenus sont payés par ceux qui les conçoivent pour apparaître sur les écrans des utilisateurs. Selon Reuters, 10 % du chiffre d'affaires 2024 de Meta, soit près de 16 milliards de dollars, proviendraient de ces publicités douteuses. Et ce qui surprend, c'est que cela fait pleinement partie du business model (« modèle d'entreprise », en anglais) du groupe. Meta assume le risque et fait payer davantage les annonceurs suspects Les documents internes montrent que Meta a parfaitement conscience de ce modèle. L'entreprise anticipe même le risque judiciaire. Elle s'attend à un milliard de dollars d'amendes, un montant qu'elle juge acceptable au regard des revenus générés. Autrement dit, mieux vaut payer pour les sanctions que perdre des parts de marché. Et malgré l'existence d'un système de modération, celui-ci atteint vite ses limites. Un annonceur n'est bloqué que si les algorithmes estiment à 95 % qu'il commet une fraude. En dessous de ce seuil, Meta ne suspend pas le compte. Elle lui fait payer plus cher ses publicités. C'est ce que le groupe décrit comme une « pénalité économique ». Les annonceurs suspects paient davantage, mais leurs messages continuent de circuler. Les algorithmes, eux, aggravent encore le phénomène. Les publicités étant personnalisées, un seul clic sur une annonce douteuse suffit à en générer d'autres dans les heures et jours suivants. L'algorithme amplifie donc la fraude… et chaque clic reste rentable pour Meta. Victimes, annonceurs et confiance fragilisés D'abord pour les victimes, qui perdent parfois des sommes importantes. Pour les annonceurs honnêtes, qui subissent une concurrence déloyale dans les enchères publicitaires. Et surtout pour les utilisateurs, dont la confiance s'érode : à force de croiser de fausses publicités, beaucoup finissent par se méfier même des marques légitimes. Au-delà de Meta, cette affaire pose une question de fond : comment réguler un marché publicitaire mondial où les plateformes sont juges et parties ? Elles hébergent, diffusent et profitent parfois des fraudes qu'elles prétendent combattre. Avec plus de trois milliards d'utilisateurs, 120 milliards de dollars de chiffre d'affaires et un pouvoir colossal sur la publicité mondiale, Meta occupe une place centrale dans cet écosystème. En réalité, cette affaire interroge la soutenabilité du modèle publicitaire numérique : tant que la fraude rapportera plus qu'elle ne coûte, les géants du numérique auront peu d'intérêt à l'éradiquer. Et dans cette équation, la régulation mondiale semble encore loin derrière l'innovation. À lire aussiLe groupe Meta met fin aux publicités politiques dans l'Union européenne

Le Crayon
Qui sont les "nouveaux fascistes" ? | Entretien avec Asma Mhalla

Le Crayon

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 62:07


Qui menace le plus la démocratie aujourd'hui ? Dis-nous ton avis en commentaire !Aujourd'hui, on reçoit Asma Mhalla, politologue et essayiste. Spécialiste des enjeux politiques et géopolitiques de la Tech, autrice de « Techno-politique » (2024) et « Cyberpunk - Le nouveau système totalitaire » (2025). Dans cet entretien, elle répond à toutes nos questions :

C dans l'air
Réforme des retraites: la suspension passe...à quel prix? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 64:47


C dans l'air du 12 novembre 2025 : Réforme des retraites: la suspension passe...à quel prix?C'est le grand jour pour la réforme des retraites. Sa suspension a été débattue ce mercredi à l'Assemblée nationale, lors de la réouverture des discussions sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Mesure clé, elle conditionne la non-censure du gouvernement Lecornu par les socialistes, qui proposent de financer cette suspension par une hausse de la CSG sur les revenus du capital. Les échanges s'annonçaient houleux à gauche, et certains s'attendaient à un scrutin bien plus serré que prévu.Les députés du Rassemblement national ont approuvé la suspension. Leurs représentants avaient déjà voté en ce sens lors du débat en commission des affaires sociales, où la mesure a été adoptée par 22 voix contre 12. Le groupe socialiste a également voter pour, tout comme le groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (Liot), considéré comme l'électron libre du Parlement. « Liot était l'auteur de la motion de censure contre la réforme Borne en 2023 », a rappelé Harold Huwart, député d'Eure-et-Loir. Une motion rejetée à l'époque à neuf voix près.Les députés de La France insoumise, eux, ont voté contre l'article 45 bis. Selon eux, la suspension de la réforme ne vaut pas abrogation. Les écologistes et les communistes, longtemps indécis entre un vote contre et l'abstention, se sont réunis en fin de matinée et en début d'après-midi pour trancher.Les Républicains, qui avaient soutenu la réforme d'Élisabeth Borne et prévu dans leur programme présidentiel un recul de l'âge légal de départ à la retraite, ont voté contre la suspension.Même position du côté d'Horizons, malgré la présence de plusieurs ministres du parti au sein du gouvernement Lecornu.Le MoDem de François Bayrou a annoncé qu'il s'orientait « majoritairement vers l'abstention », tout comme les députés Renaissance.Le chef de file des députés Renaissance, Gabriel Attal, a d'ailleurs appelé ses troupes à s'abstenir, afin de ne pas compromettre le compromis avec le Parti socialiste.Dans le même temps, il plaide pour une « révolution » d'ici 2027, proposant de verser 1 000 euros à chaque enfant dès sa naissance pour anticiper sa retraite — une mesure dont le coût est estimé à 660 millions d'euros par an.« Très concrètement, on veut développer la capitalisation en France. Cela passe par un développement des plans d'épargne retraite, par un fléchage de l'intéressement et de la participation des entreprises vers ces plans, et par cette nouvelle mesure », a expliqué l'ancien Premier ministre. Il nous a accordé une longue interview diffusée dans le #danslair du jour.Pendant ce temps, outre-Atlantique, Donald Trump a de nouveau provoqué la polémique. Lors d'un échange houleux avec une journaliste de Fox News, lundi 10 novembre, l'ancien président américain a critiqué la France, estimant qu'elle « ne vaut pas mieux » que la Chine.« On a eu beaucoup de problèmes avec les Français. Nos technologies ont été taxées de manière très injuste. Ils ont mis 25 % de taxes sur les produits américains », a-t-il insisté, en référence au doublement de la taxe Gafam voté en octobre dernier par les députés de l'Assemblée nationale.Nos experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Lucie ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche- Pauline DE SAINT-REMY - Directrice adjointe de la rédaction de Politico- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions des Echos

Trench Tech
Langage en voie d'homogénéisation | La Tech entre les Lignes - Louis de Diesbach

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 3:19


Et si l'IA influençait déjà notre façon de parler sans qu'on s'en rende compte ?Une étude du Max Planck Institute révèle que les modèles de langage laissent leurs « tics » dans nos phrases.Petit détour par un phénomène discret… mais potentiellement massif.(c) Trench Tech, LE podcast « Esprits Critiques pour Tech Éthique »---

Le rendez-vous Tech
Elon Musk va-t-il vraiment toucher 100 milliards de salaire? – RDV Tech

Le rendez-vous Tech

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 82:36


Au programme :Tesla va-t-elle vraiment payer 1000 milliards à Elon Musk?Amazon lance la guerre contre les navigateurs agentiquesGoogle donne à Epic tout ce qu'ils voulaient sur AndroidLe reste de l'actualité : news et rumeursInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric Ingrand (Twitter et Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 640 – Elon Musk va-t-il vraiment toucher 100 milliards de salaire?---Liens :

Trench Tech
Technosurveillance en France : entre sécurité et liberté – Félix Tréguer

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 66:36


Reconnaissance faciale, police prédictive, Chat Control : quel prix pour nos libertés ?Caméras intelligentes, reconnaissance faciale, police prédictive : la surveillance algorithmique s'installe partout en France. Promises comme des outils de sécurité, elles posent pourtant une question centrale : jusqu'où peut-on sacrifier nos libertés au nom de la protection ?Félix Treguer (Quadrature du Net) décrypte avec nous les dérives de la technosurveillance. Nous explorons l'essor massif de la vidéosurveillance, les risques discriminatoires liés aux algorithmes, l'absence totale d'évaluation malgré des milliards dépensés, et les implications politiques de mesures comme le Chat Control.

Le rendez-vous Tech
OpenAI : le p*rno est-il d'intérêt général ? - RDV Tech

Le rendez-vous Tech

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 111:58


Au programme :Résultats financiers de la tech : 3 choses à retenirNvidia atteint $5000 milliards de capitalisationOpenAI devient une vraie société qui peut générer de vrais profitsLe reste de l'actualité : le robot Néo, la Cour de Justice Internationale va utiliser OpenDesk, Uber et les taxis robots, licenciements chez Amazon…Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric de Luca (Bluesky).Co-animé par Korben (site)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 639 – OpenAI : le p*rno est-il d'intérêt général ?---Liens :

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Pourquoi Nvidia ne fait pas partie des GAFAM ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 1:58


Nvidia est une entreprise américaine fondée en 1993, histortiquement spécialisée dans les processeurs graphiques et devenue un acteur central de l'intelligence artificielle et du calcul haute performance. bat tous les records pour une société cotée : 5 000 milliards de dollars de valorisation, dont 1 000 milliards supplémentaires en trois mois... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Pascal Praud et vous
Budget : «si on taxe les GAFAM attention au retour de bâton de Trump», avertit G.Fenech

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 8:48


Invités : - Richard Millet, écrivain - Hervé Poyet, Président d'Orphéopolis Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On marche sur la tête
Budget : «si on taxe les GAFAM attention au retour de bâton de Trump», avertit G.Fenech

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 8:48


Invités : - Richard Millet, écrivain - Hervé Poyet, Président d'Orphéopolis Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Trench Tech
Le LévIAthan, le vrai et le faux | Mémoire Vive - Laura Sibony

Trench Tech

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 4:26


À travers une nouvelle de Joseph Roth, cet épisode interroge la frontière fragile entre authenticité et artifice.Une parabole littéraire qui éclaire, avec poésie, nos rapports à l'iA et au danger de perdre le goût de créer.Mémoire Vive, la chronique de Trench Tech qui raconte les mythes et légendes qui façonnent notre vision de l'iA, animée par Laura Sibony.  ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast

Monde Numérique - Jérôme Colombain

Les géants du numérique accélèrent encore dans la course à l'intelligence artificielle. Meta, Google et Microsoft investissent des sommes vertigineuses pour dominer le futur de l'IA. Et aussi : Macron et les réseaux sociaux, le nouveau robot Neo, IA et fausses vacances. Avec Bruno Guglielminetti (Mon Carnet) L'IA, un gouffre financier… et une arme stratégiqueLes GAFAM viennent d'investir 80 milliards de dollars en trois mois dans leurs infrastructures d'intelligence artificielle. Data centers, serveurs, énergie, talents : tout y passe. Une véritable course à la puissance s'engage, où chaque acteur veut disposer de la plus grande capacité de calcul. Google, par exemple, prévoit déjà 100 milliards supplémentaires pour 2025. Derrière ces chiffres, une bataille mondiale pour le contrôle de l'innovation et, surtout, de l'économie de demain.Une bulle IA sur le point d'exploser ?Face à ces montants astronomiques, certains, comme le chercheur Yoshua Bengio, appellent à un ralentissement. L'expert estime qu'un éclatement de la bulle serait peut-être salutaire pour freiner la fuite en avant actuelle. Entre spéculation et surenchère, la question d'une crise de l'IA revient sur la table, alors même que les usages explosent.Musique : Universal et Udio signent la paixPendant ce temps, l'industrie musicale s'adapte. Universal Music a trouvé un accord inédit avec la start-up Udio, spécialisée dans la génération de musique par IA. Objectif : permettre de revisiter légalement le catalogue Universal grâce à des outils d'IA générative. Une première mondiale qui pourrait redéfinir les droits d'auteur à l'ère de l'intelligence artificielle.Réseaux sociaux : Macron sonne l'alerteEn France, Emmanuel Macron a dénoncé la dérive des plateformes et leurs effets délétères sur la société. Addiction, désinformation, radicalisation : les réseaux deviennent un champ de bataille politique. Derrière cette sortie présidentielle, une inquiétude bien réelle sur la cohésion nationale et le pouvoir des algorithmes.Robots et fausses vacances : quand l'IA envahit le quotidienDes robots humanoïdes à 20 000 dollars aux photos de vacances totalement inventées par IA, le futur s'installe dans nos vies avec une vitesse vertigineuse. Entre fascination technologique et vertige éthique, l'IA ne cesse de redéfinir notre rapport au réel.VERSION VIDEOhttps://youtu.be/Mnwv-7sz7gQ-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique

Monde Numérique - Jérôme Colombain

L'influence des réseaux sociaux sur l'information inquiète à l'approche des élections. Dans cet épisode, on analyse les appels à la régulation, les investissements massifs dans l'IA et les dérives potentielles de la technologie.

Aujourd'hui l'économie
Comment l'IA va modifier le marché du travail

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 3:07


Amazon, le géant du commerce en ligne a annoncé la suppression de 14 000 postes liée « en grande partie au développement de l'IA » selon l'entreprise. Une annonce qui ravive les craintes dans certaines professions particulièrement exposées, car l'essor de l'intelligence artificielle pourrait avoir de lourdes conséquences sur l'emploi dans le monde.  Amazon présente ces 14 000 licenciements comme la première étape d'une vague qui pourrait concerner 30 000 personnes au sein du groupe qui emploie 1,5 million de salariés à travers le monde. Mais le géant du commerce en ligne n'est pas la seule entreprise à avoir annoncé des départs en raison de l'IA. Et si le phénomène reste progressif pour le moment, les effets de l'essor de l'IA se font en effet déjà lourdement sentir en particulier aux États-Unis. Au sein du cabinet de conseil Accenture, 12 000 postes ont été supprimés au cours des trois derniers mois, des employés « qui ne pourront pas apprendre les compétences nécessaires pour utiliser l'IA » selon la direction du groupe, qui a prévenu les autres salariés : ceux qui ne s'adapteront pas à cette nouvelle technologie pourraient subir le même sort. Microsoft, de son côté, a licencié 15 000 employés cette année, et de nombreux observateurs font le lien entre cette cure d'amaigrissement et le déploiement de l'intelligence artificielle. Chez Amazon, les emplois touchés sont pour la plupart dans les bureaux (les « cols blancs ») et non pas dans les entrepôts. Parmi les métiers les plus exposés ce sont logiquement ceux qui reposent sur le traitement de données et les tâches numériques qui peuvent être facilement automatisées, cela concerne donc en particulier l'analyse de données, la comptabilité, tout ce qui est de l'ordre des supports informatiques, mais aussi des services clients, des achats... Le patron de la chaîne américaine de supermarchés Walmart, le plus gros employeur des États-Unis a estimé qu'il ne connaissait pas un seul métier, un seul secteur, qui ne sera pas affecté par l'arrivée de l'IA.  À lire aussiComment l'IA a déjà commencé à remodeler le marché du travail « Job apocalypse »? Qu'en est-il vraiment du nombre d'employés menacés ? Plusieurs études vont du scénario le plus optimiste au scénario catastrophe, certaines prédictions parlent même de « job apocalypse ». Mais si l'on s'en tient au rapport de l'Organisation internationale du travail (OIT) datant de 2023, il semblerait qu'environ 2,3% des emplois dans le monde, et jusqu'à 5% dans les pays riches, pourraient, en théorie, être entièrement automatisée par l'intelligence artificielle.  L'OIT précise qu'il s'agit d'un potentiel, pas d'une prévision. En revanche, près de 60% des métiers dans le monde sont partiellement exposés à l'automatisation par l'IA, c'est donc plutôt à une évolution de la plupart des métiers qu'il faut s'attendre, et le tsunami de licenciements prévu par certains se traduira plutôt par une adaptation de secteurs entiers. Certains comparent l'arrivée de l'IA sur le marché du travail à celui d'internet, alors l'inconnu est la suivante : quelle sera la rapidité du développement de ce nouveau bouleversement technologique, plusieurs décennies, plusieurs mois ou plusieurs années ? Pour ce qui est de l'IA, tout va déjà très vite et notre capacité à intégrer cette nouvelle donne est la clé pour les employeurs, la formation jouera bien sûr un rôle essentiel.  Nécessité de rentabiliser les investissements dans l'IA Au final, il est intéressant de poser la question de savoir de ces annonces de licenciements, sont elles réellement toutes motivées par l'arrivée de l'IA ? Mais l'intelligence artificielle joue certainement un rôle. Si ce n'est en raison de l'automatisation de certaines tâches, c'est a minima en raison d'une nécessité d'amortir les investissements colossaux dans les infrastructures de l'IA. Amazon a ainsi annoncé, dans la foulée de cette vague de licenciements, un investissement de cinq milliards de dollars en Corée du Sud, notamment pour y construire des centres de données IA à horizon 2031. À lire aussiAmazon annonce la suppression de 14 000 postes à travers le monde

Les histoires de 28 Minutes
Trêve commerciale, taxes sur les multinationales, Grokipédia… : Le Club 28'

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 46:20


L'émission 28 minutes du 31/10/2025 Ce vendredi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Géraldine Woessner, rédactrice en chef au "Point", Pierre Jacquemain, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire "Politis", Paul Melun, essayiste et écrivain et la dessinatrice de presse Marie Morelle. Trêve commerciale entre Pékin et Washington : et l'Europe dans tout ça ?Le président américain, Donald Trump, a rencontré son homologue chinois, Xi Jinping, à Busan, en Corée du Sud, ce jeudi. Elle s'est soldée par un apaisement général. La Chine a, notamment, annoncé suspendre ses restrictions sur l'exportation de ses terres rares pendant un an, tandis que les États-Unis décident de lever leur embargo sur les exportations de semi-conducteurs à destination de la Chine. Est-ce une bonne nouvelle pour les Européens, victimes directes et collatérales de cet affrontement ?Taxer les multinationales : folie fiscale ou impérieuse nécessité ?Mardi dernier, la taxe Gafam, ciblant les grandes entreprises de la tech, a vu son taux doubler, passant de 3 % à 6 %, contre l'avis du ministre de l'Économie, Roland Lescure. En parallèle, un impôt universel sur les multinationales, visant à taxer leurs bénéfices proportionnellement à leur activité réalisée en France a été voté à l'Assemblée nationale. Il pourrait rapporter 26 milliards d'euros. Ces nouvelles taxes sont-elles pertinentes et nécessaires ?Nous recevons François Suchel, pilote de ligne, mais également auteur, qui publie "Même les poissons volent" aux éditions Paulsen. Après avoir mené une enquête pendant quatre ans, l'aviateur remet en question et relate les coulisses de la mondialisation aérienne, où valises, poissons, fleurs, animaux et fruits voyagent conjointement. Elon Musk vient tout juste de créer son encyclopédie en ligne, Grokipédia, entièrement alimentée par l'intelligence artificielle, censée concurrencer Wikipédia. Entretenue par les internautes du monde entier sur un mode contributif, cette dernière est décriée par Elon Musk, ainsi que les Républicains, qui la considère comme un repère du wokisme, contrôlée par l'extrême gauche. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. Au musée du Louvre, Mona Lisa a de la concurrence : une nouvelle pièce déchaîne les visiteurs et engrange moult selfies. L'œuvre en question n'est autre que la fenêtre par laquelle se sont introduits les cambrioleurs qui ont dérobé d'inestimables bijoux. C'est le Point Com de Natacha Triou. Martin Lorentz, charpentier ayant œuvré trois ans à la reconstruction de Notre-Dame de Paris rêvait de se marier dans la cathédrale parisienne. Un souhait exaucé par l'évêque de Paris. C'est l'histoire de la semaine de Frédéric Pommier. Enfin, ne manquez pas notre Une internationale sur le ravage de l'ouragan Mélissa, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la remise en question par Aurore Vincenti de la théorie du régime pour perdre du poids. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 31 octobre 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio

Les Grandes Gueules
Le tunnel du jour - Kamal, chef d'entreprise, au 3216 : "Vous êtes démago : aucun patron de PME/TPE ne souhaite que les GAFAM soient taxés à 25 %. On veut juste que nos taxes baissent." - 29/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 2:55


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Trench Tech
[Extrait] L'IA, cette "couche de sucre" qui va finir par nous écoeurer - Ophélie Coelho

Trench Tech

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 3:17


Et si l'intelligence artificielle n'était que le joli glaçage d'un gâteau finalement indigeste ?L'IA nous semble fluide, intuitive, bluffante. Mais sous cette "couche sucrée" se cache un "mille-feuille" technlogique bien plus complexe… et destructeur.C'est une technologie addictive, extractiviste, et financiarisée que décrit Ophélie Coelho dans cet extrait de notre Trench Tech - All Star.Écoutez l'épisode complet : "ALL STAR n°3 - L'onde de choc IA" ou tapez directement "Trench Tech Ophélie Coelho" dans votre plateforme de podcast

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 10h30 du 29/10/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 2:35


Chaque jour, retrouvez le journal de 10h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 10h30 du 29/10/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 2:35


Chaque jour, retrouvez le journal de 10h30 de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le rendez-vous Tech
ChatGPT Atlas, Samsung Galaxy XR : nouvelles interfaces (mais c'est pas encore ça) - RDV Tech

Le rendez-vous Tech

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 89:54


Au programme :Samsung et Google ont annoncé le Samsung Galaxy XR, le concurrent du Vision Pro d'AppleOpenAI a lancé ChatGPT Atlas : est-ce qu'intégrer ChatGPT dans le navigateur suffira à concurrencer Chrome ?Le reste de l'actualité avec news et rumeurs : Grokipedia, l'effervescence (selon Guillaume) sur les sujets liés à Apple, Free TV, licenciements chez Amazon…Infos :Animé par Guillaume Vendé (Bluesky).Co-animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 638 – ChatGPT Atlas, Samsung Galaxy XR : nouvelles interfaces (mais c'est pas encore ça)---Liens :

Trench Tech
Facebook a-t-il manipulé nos émotions ? | La Tech entre les Lignes - Louis de Diesbach

Trench Tech

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 3:03


En 2014, une étude interne a testé la « contagion émotionnelle » sur 700 000 utilisateurs… sans les prévenir.Un scandale éthique retentissant qui interroge encore notre rapport aux plateformes numériques.La tech entre les lignes, la chronique qui décrypte les articles tech, animée par Louis de Diesbach.   ***** À PROPOS DE TRENCH TECH *****LE talkshow « Esprits Critiques pour Tech Ethique »Écoutez-nous sur toutes les plateformes de podcast

Trench Tech
[Extrait] : l'IA aggrave la crise des médias - François Saltiel

Trench Tech

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 3:48


Et si l'IA ne réconciliait pas le public avec l'information, mais achevait de le faire fuir ?Avant même ChatGPT, les journalistes étaient parmi les professions les plus détestées de France. Désormais, l'IA accélère la méfiance, la fatigue informationnelle, et pousse à l'exode médiatique.C'est ce que dénonce François Saltiel dans cet extrait percutant, enregistré en public lors de l'événement Trench Tech - All Star.L'IA amplifierait les mécanismes de désinformation, en rendant encore plus difficile le lien entre médias et citoyens.Écoutez l'épisode complet : "ALL STAR n°3 - L'onde de choc IA"ou tapez directement "Trench Tech François Saltiel" dans votre plateforme de podcast

Le rendez-vous Tech
Les comptes ado d'Instagram deviennent ce qu'ils auraient du être – RDV Tech

Le rendez-vous Tech

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 63:11


Au programme :Sous pression, Instagram augmente la protection des comptes adoUne vidéo par IA d'un opposant qui lit un texte qui n'était qu'écrit… c'est mal ?Apple met à jour ses processeurs, mais prépare surtout un Mac tactileLe reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Marion Doumeingts (Instagram, Bluesky, Twitter).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 637 – Les comptes ado d'Instagram deviennent ce qu'ils auraient du être---Liens :

Trench Tech
[Extrait] Cyberviolence : violences politiques, censure et déshumanisation - Laure Salmona

Trench Tech

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 4:46


Et si le cyberharcèlement n'était pas qu'une violence interpersonnelle, mais un "projet véritablement organisé" ? Mené par des agences d'influence (comme dans l'affaire du PSG/Neymar), elles inscrivent dans une véritable logique politique, nous dit Laure Salmona, directrice de l'association féministe contre le cyberharcèlement.Manque de volonté politique. Manque de budget alloué à la lutte et à l'accompagnement des victimes. Ces violences, systémiques et politiques, visent selon Laure à "faire taire" les femmes et les groupes minorés. Conséquence directe sur la liberté d'expression : 76% des femmes victimes de cyberviolence s'autocensurent en ligne. Et ainsi, elles se retirent progressivement du débat démocratique au profit des contenus masculins et masculinistes. Ecoutez l'épisode complet : → https://smartlink.ausha.co/trench-tech/cyberviolence-67-des-plaintes-refusees-scandale-ou-fatalite-laure-salmona(c) Trench Tech, LE podcast des « Esprits Critiques pour une Tech Éthique »Épisode enregistré le 04/09/2025---

Trench Tech
[Extrait] Cyberviolence, doxing... : le profil des agresseurs !

Trench Tech

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 8:16


Et si on s'intéressait au profil des cybers agresseurs ? Dans 74% des cas, il s'agit d'hommes, présents dans toutes les tranches d'âge et les couches de la société ! Du harceleur de 50 ans sur LinkedIn au jeune gamer sur Twitch. Laure Salmona, directrice de l'association féministe contre le cyberharcèlement, souligne que cette violence, loin du cliché du "nerd boutonneux", est extrêmement banalisée, comme en témoigne la philosophie du mouvement Incel (faisant référence à l'affaire Elliot Roger). La normalisation de ces actes a été aggravée par le manque d'outils sur les plateformes Web 2.0.Pire, le doxing (diffusion de données personnelles) illustre la gravité de la menace : dans 72% des cas, les cyberviolences se poursuivent par des actes de violence dans le monde réel...Ecoutez l'épisode complet : → https://smartlink.ausha.co/trench-tech/cyberviolence-67-des-plaintes-refusees-scandale-ou-fatalite-laure-salmona(c) Trench Tech, LE podcast « Esprits Critiques pour Tech Éthique »Épisode enregistré le 04/09/2025---

Monde Numérique - Jérôme Colombain

Cette semaine, on franchit une nouvelle étape dans la course effrénée à l'intelligence artificielle générative. Les géants de la tech – Google, OpenAI, Microsoft – rivalisent d'audace avec des outils toujours plus puissants, au point de brouiller définitivement la frontière entre réel et artificiel. Un Rubicon est franchi.Dans ce nouvel épisode du Debrief Transat, nous analysons la multiplication des applications d'IA générative de vidéo et d'image : les annonces de Google avec VEO 3.1, celles de Microsoft avec MAI-Image 1, et la manière dont Sora (OpenAI) est en train d'échapper à son propre enclos. Alors que les filigranes disparaissent et que les vidéos truquées inondent les réseaux, la menace géopolitique grandit : désinformation, manipulation, propagande... L'Europe est en première ligne.Nous parlons également :De l'arrivée des podcasts vidéo sur Netflix grâce à un partenariat avec Spotify : offensive stratégique pour contrer YouTube ?Du mécontentement grandissant vis-à-vis des GAFAM en Europe et du retour en grâce du logiciel libre : plusieurs administrations (Lyon, Schleswig-Holstein…) basculent vers Linux.De l'effet domino du retrait de Windows 10 sur les parcs informatiques publics.Et de Pixxle Places, une alternative française aux plateformes américaines pour la valorisation locale des contenus.-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique

Le rendez-vous Tech
Shein au BHV, le loup dans la bergerie ? – RDV Tech

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Play Episode Listen Later Oct 14, 2025 91:38


Au programme :Shein annonce des boutiques en France et provoque un tolléContrôle de l'âge: début de consensus aux USChat Control: la loi anti chiffrement échoue à l'UE… pour le momentLe reste de l'actualité avec news et rumeurs : naissance en direct, Youtube, etcInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric Ingrand (Twitter et Bluesky).Co-animé par Laetitia Lamari (LinkedIn).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 636 – Shein au BHV, le loup dans la bergerie ? – Boutiques Shein, Chat Control, contrôle de l'age, accouchement sur Twitch, seconde chance YouTube---Liens :

Le rendez-vous Tech
Avec trois produits majeurs, OpenAI confirme son avance sur l'industrie – RDV Tech

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Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 87:14


Au programme :OpenAI: Instant Checkout permet à ChatGPT de faire des achatsCameo: le coup de génie d'OpenAI dans la génération vidéoAvec les Apps, OpenAI ouvre ChatGPT à toute la techLe reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Jérôme Keinborg (Bluesky)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode 635 - Avec trois produits majeurs, OpenAI confirme son avance sur l'industrie---Liens :

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État des Lieux – sept 2025 – RDV Tech

Le rendez-vous Tech

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 17:59


Cette semaine je lance un nouveau format premium pour le RDV Tech ! Chaque trimestre je vous proposerai un épisode qui fera un état des lieux des grandes tendances de l'industrie et de ce que je vois dans ma veille, à l'horizon de quelques mois ou de l'année plutôt que celui du quotidien ou de la semaine. L'idée est de fournir une vision complémentaire de l'actu, qui vous permettra de mieux appréhender les évolutions réelles de l'industrie, ainsi que la manière dont elles influencent nos sociétés. A trop avoir la tête dans le guidon, on peut rater un bus qui déboule, pourrait-on dire. :)Au programme :Les grandes tendances :Autonomie stratégique (disponible pour tous)Contrôle de l'âge sur Internet (réservé aux patreotes)Montée en puissance de l'IA (réservé aux patreotes)Tendances émergeantes (réservé aux patreotes)Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode 634 – État des Lieux – sept 2025---Liens :