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Ce vendredi 12 septembre, la campagne médiatique menée par Gabriel Zucman pour défendre sa taxe sur les hauts patrimoines a été abordée par Aurélien Colson, co-directeur académique de l'Institut Géopolitique & Business de l'ESSEC, Laurent Vronski, directeur général d'Ervor, Patrick Artus, économiste et conseiller économique de la société de gestion Ossiam, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Après la chute de François Bayrou, Emmanuel Macron s'apprête à nommer un nouveau Premier ministre. Parmi les dossiers brûlants qui l'attendent figure la taxation des plus fortunés : comment augmenter leur contribution sans provoquer un exode fiscal ? La “taxe Zucman” proposée par le PS, centrée sur les patrimoines de plus de 100 millions d'euros, promet 15 milliards de recettes… mais inquiète par ses effets potentiels. Risques et alternatives pour faire contribuer davantage les ultra-riches avec Marc Vignaud, journaliste à L'Opinion. Ecorama du 9 septembre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Bienvenue dans le 107ème épisode de "Chez Kevin Razy". Deux fois par semaine, on se retrouve ici pour parler de ce qui se passe dans la vie comme dans un groupe WhatsApp. On ne s'interdit aucun sujet.Pour soutenir notre podcast :https://fr.tipeee.com/ckr-podcast/Rejoins notre canal Telegram :https://t.me/CKRnews▬▬▬▬▬▬ DANS CET EPISODE ▬▬▬▬▬▬▬Cette semaine :HMD : départ de la Global Sumud Flotilla depuis Barcelone pour briser le blocus de Gaza.Mezzes :Sarah Knafo & Sabrina Medjebeur sur le voile (rappels juridiques simples).“C'est parce qu'on est juifs !” : on démonte l'amalgame avec la théorie du bouclier miroir.Kalfon et la “Gauche Gaza” (le mythe supérieur au fait), Beligh Nabli démonte la com' de Netanyahu.“Palestinisme” : mot-épouvantail pour pathologiser la solidarité ; Rachel Khan parle de “solution finale”… lunaire.Steve Suissa pleure l'antisémitisme pour justifier un flop ; sur RMC, “chasse aux nègres” en plateau (!).Influence pro-Israël & YouTube : Tibi Jones en Afghanistan, “hospitalité” talibane vs réalité CPI.Bompard pose les termes ; Tapiro pipeaute ; Bossuet relaie l'écosystème de l'info-spectacle.Partagez, commentez, débunkez▬▬▬▬▬▬▬ ON EN A PARLE ▬▬▬▬▬▬▬▬Livres :"Fake news: Évite de tomber dans le piège !" Kevin Razy, Hamza Garrush : https://amzn.to/3S9rOSz▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LA TEAM ▬▬▬▬▬▬▬▬▬Host : Kevin RazyRéalisation & Montage : Gaëlle Cany Canian Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 06/09/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Mariam Pirzadeh, rédactrice en chef à France 24, Daniele Zappalà, correspondant du quotidien "Avvenire" et docteur en géopolitique, Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse Blick.fr et le dessinateur de presse Pierre Kroll.La France a-t-elle un problème avec la taxation des plus riches ?Taxer les plus riches est devenu l'une des principales lignes de fracture politique. En France, les grandes fortunes et les grandes entreprises paient proportionnellement moins d'impôt que les PME et les contribuables. Cet état de fait avait conforté la proposition de loi du groupe écologiste pour mettre en place la taxe Zucman, qui entend imposer les 1 800 patrimoines les plus élevés à hauteur de 2 %. En juin, le Sénat l'a rejeté, ses détracteurs estimant qu'il allait favoriser l'exil fiscal et un ralentissement de l'économie. Pourtant, le Conseil d'analyse économique, un organisme rattaché au Premier ministre, a rendu des conclusions qui excluent ces conséquences, alors que cette taxe pourrait rapporter entre 15 et 25 milliards d'euros. Cette dichotomie est-elle typiquement française ? La Chine est-elle inarrêtable ?À l'occasion des 80 ans de la capitulation du Japon, le président chinois a organisé un défilé militaire en grandes pompes sur la place Tiananmen, à Pékin. Accompagné de Vladimir Poutine et Kim Jong-Un, le président chinois a profité de cette procession martiale pour affirmer que "la renaissance de la nation chinoise est inarrêtable". Une annonce qui intervient quelques jours après la fin du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, qui a réuni de nombreux pays asiatiques ainsi que la Russie pour renforcer la coopération entre ces nations. Une séquence diplomatique intense pour la Chine, qui tente ainsi de conforter son leadership face à un camp occidental fragilisé. Ce dernier doit-il se méfier d'une Chine qui se rêve en superpuissance, ou acter qu'elle est un partenaire indispensable dans un monde multipolaire ?Nous recevons Germaine Acogny, chorégraphe et danseuse. La Sénégalaise de 81 ans, figure majeure de la danse contemporaine africaine, présente son spectacle "Joséphine" du 24 au 28 septembre au théâtre des Champs-Elysées, un hommage à Joséphine Baker, figure emblématique de la “Revue nègre"; créée il y a 100 ans. Valérie Brochard s'intéresse à nos chers voisins d'outre-Manche qui ont décidé d'interdire la vente de boissons énergisantes aux moins de 16 ans. L'annonce a été faite par Wes Streeting, le ministre de la Santé, avec l'objectif de protéger les plus jeunes des substance nocives et d'améliorer “leur santé physique et mentale". Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Laurent Freixe, éphémère directeur général de Nestlé, licencié pour avoir entretenu "une relation amoureuse non déclarée avec une subordonnée directe". Le géant de l'agroalimentaire, qui avait défrayé la chronique cet été avec l'affaire Nestlé Waters, a justifié cette décision au nom des "valeurs de Nestlé" et de la "bonne gouvernance".Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télé allemande où un néonazi condamné à de la prison ferme en 2023 a changé de genre avant son incarcération. Objectif double : bénéficier de conditions de détention plus souples dans un centre pénitentiaire féminin, et faire un pied-de-nez à la loi d'autodétermination de genre allemande, qui permet de changer de genre et de prénom sur simple demande. Natacha Triou s'interroge sur un changement de mode : après le tatouage, voici sa némésis : le détatouage. L'opération consiste à faire disparaître un tatouage à coups de laser. Utile pour faire fi d'erreurs de jeunesse, cette pratique témoigne aussi d'une nouvelle esthétique. Enfin, ne manquez pas Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 6 septembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
C dans l'air du 4 septembre 2025 - Faut-il plus taxer les riches ?En cette rentrée, la question revient en force dans le débat politique. Et cette fois, c'est le Parti socialiste qui remet le sujet sur la table en proposant d'inclure la taxe Zucman au budget 2026, sur lequel le gouvernement promet de faire des compromis, alors qu'il se trouve sur la sellette à l'approche d'un vote de confiance prévu le 8 septembre.Mais de quoi parle-t-on ? Qu'est-ce que la taxe Zucman, au cœur du contre-budget du PS ? Adoptée à l'Assemblée nationale en février dernier (par 116 voix contre 39), puis rejetée au Sénat en juin, cette mesure, inspirée des travaux de l'économiste Gabriel Zucman (qui lui a donné son nom), propose un impôt plancher sur la fortune (IPF) équivalent à 2 % du patrimoine net des ultra-riches dépassant 100 millions d'euros — soit 0,01 % des contribuables, environ 1 800 foyers français. Avec à la clé : entre 15 et 25 milliards de recettes supplémentaires.Soutenue par la gauche, contestée par la droite et l'extrême droite, la mise en œuvre de cette taxe soulève de nombreux débats depuis des semaines.Cet été, sept prix Nobel d'économie ont apporté leur soutien à la mesure : Daron Acemoglu (2024), George Akerlof (2001), Abhijit Banerjee (2019), Esther Duflo (2019), Simon Johnson (2024), Paul Krugman (2008) et Joseph Stiglitz (2001), réunis dans une tribune du Monde parue en juillet. D'autres, en revanche, comme le président du Medef, Patrick Martin, évoquent la menace de l'exil fiscal.Parallèlement, alors qu'une vague historique de transmissions se profile, les propositions de réforme de l'impôt sur les successions se multiplient. Dans un entretien accordé aux Échos, la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet (Renaissance), évoque la nécessité de ne pas « exclure d'emblée toute hausse d'impôts » et de « se pencher sur la taxation des "super-héritages" ». L'élue des Yvelines explique : « 0,1 % des héritiers reçoivent des montants supérieurs à 13 millions d'euros et ne paient en moyenne que 10 % de droits de succession. »Aujourd'hui, près de la moitié des ménages français ne touche pas d'héritage. Parmi ceux qui en bénéficient, 87 % ne paient aucun droit de succession (chaque parent peut donner jusqu'à 100 000 euros par enfant sans qu'il y ait de droits de donation à payer). Au-dessus, le taux moyen d'imposition effectif sur les successions en France est d'environ 5 %.Autre sujet dans le débat : le train de vie des élus. En réponse à de nombreux messages de Français, le Premier ministre a promis de passer au crible et de supprimer d'éventuels avantages indus dont bénéficieraient les responsables politiques. Il a confié une mission à l'ex-député socialiste René Dosière pour les identifier.LES EXPERTS :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Le vacataire - RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter - Le Monde , auteure de Successions - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service France – Nouvel Obs
Ce jeudi 4 septembre, Agnès Verdier Molinié s'intéresse à la taxe Zucman.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que le vote de confiance approche, François Bayrou — toujours Premier ministre, pour l'instant — a multiplié les passages médias pour défendre un budget d'austérité. Dimanche 31 août, sur un plateau commun CNEWS-BFM-LCI-Franceinfo, le locataire de Matignon a martelé un discours de rigueur : trop de dette, trop de dépenses, trop d'impôts. Une comparaison “stupide” entre budget de l'État et dettes de ménage a servi de point de départ, décrit Thomas Porcher. L'économiste relativise le danger autour de la dette et dépeint des “mensonges” et “approximations” par François Bayrou. Objectif assumé : 44 milliards d'économies pour revenir à 3 % de déficit d'ici 2029. Mais à force d'insister sur la “responsabilité” des parlementaires, Bayrou retourne l'argument : ne pas voter la confiance serait “irresponsable”. Le gouvernement, lui, ne serait responsable de rien, puisque “ce sont les Français qui dépensent”. Des arguments que Thomas Porcher dénonce fermement : c'est la politique de l'offre, et la politique libérale et néolibérale au pouvoir depuis des années qui nous amènent à ce résultat. Sur la jeunesse, le Premier Ministre appelle les retraités aisés à la solidarité, tout en restant flou sur la justice fiscale. Rien sur la répartition des richesses, rejet de la taxe Zucman, et refus de peser davantage sur les plus riches. Un moment interpellant : l'Observatoire de l'immigration cité comme source, alors que think tank du milliardaire d'extrême droite Pierre-Edouard Stérin. L'immigration a un coût quasi nul selon plusieurs études donc l'OCDE. Bayrou, jusqu'au bout, reste fidèle à sa ligne : rigueur, modération... et flou stratégique.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !⚠️ Le Média est diffusé sur le canal 165 de la Freebox et sur le bouquet gratuit de Molotov TV.Suivez Le Média sur sa seconde chaîne Youtube :
Ce mardi 2 septembre, l'alerte de Gabriel Zucman sur la taxe de 2% sur tous les hauts patrimoines de plus de 100 millions d'euros a été abordée par Agnès Verdier-Molinié, directrice de la Fondation IFRAP, Christian Poyau, PDG de Micropole, et Patrick Bertrand, directeur général des opérations d'Holnest, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
È stato un accenno rapidissimo. L'accusa di dumping fiscale che il primo ministro francese François Bayrou ha lanciato all Italia nel corso dell intervista rilasciata a quattro reti televisive domenica, avevano lo scopo di criticare le proposte del Parti socialiste, e non le politiche italiane. Proprio per questo motivo è innegabile la gaffe o meglio la scortesia diplomatica verso il nostro Paese. L'accusa non riguarda, innanzitutto, le imprese italiane; riguarda piuttosto le persone fisiche e le politiche, introdotte dal governo Renzi e poi corrette dal governo Meloni, per favorire l immigrazione dei più ricchi. Il Parti socialiste ha infatti proposto per risanare il bilancio pibblico francese una contromanovra che prevede un forte aumento delle imposte: 32 miliardi, secondo i calcoli di Bayrou. La misura che ha raccolto maggiore attenzione è la tassa Zucman , dal nome dell economista francese Gabriel Zucman, oggi all Università di Berkeley in California. La proposta punta a introdurre un imposta annuale del 2% sui patrimoni superiori ai 100 milioni, che potrebbe raccogliere circa 15 miliardi. Ne parliamo con Fabrizio Pagani, Partner Vitale&Co e docente a SciencesPo di Parigi. Da febbraio 2014 a giugno 2018 ha ricoperto la carica di Capo della segreteria tecnica del MEF.Cina India il disgelo grazie ai dazi di TrumpDopo sette anni di quasi guerra sull Himalaya i giganti asiatici si ritrovano. Xi Jinping tende la mano a Narendra Modi e prova a mandare fuori tempo Donald Trump. Il summit della Sco (Organizzazione per la Cooperazione di Shanghai) si è aperto ieri con uno dei piatti forti: l'incontro tra Cina e India, i due grandi rivali asiatici uniti dall'insofferenza per i dazi degli Stati Uniti. In una Tianjin blindata e scintillante per l'evento con cui la Cina reclama la leadership del cosiddetto Sud globale, il primo bilaterale Xi-Modi in terra cinese dopo sette anni può segnare un punto di svolta per le ambizioni di Sco, Brics e la galassia anti G7. «Possiamo essere partner e non rivali», dicono i due leader, confermando la ripresa del commercio transfrontaliero dopo cinque anni. Pechino avrebbe anche garantito la ripresa del flusso delle sue ambitissime terre rare, cruciali per elettronica e difesa. Tutto affinché Nuova Delhi sottolinei la sua autonomia strategica, che alle orecchie cinesi significa prendere le distanze dagli Usa. Approfondiamo il tema con Alessandro Plateroti, direttore Newsmondo.it.
Le Parti socialiste a présenté son contre-budget, bien décidé à marquer sa différence avec le gouvernement. Derrière les annonces, un pari : réduire de moitié l'effort de consolidation budgétaire en misant davantage sur les hauts patrimoines et les grandes entreprises. Un programme « moins austère », mais aussi plus risqué ? Réponse avec Guillaume Duval, ancien rédacteur en chef du magazine « Alternatives économiques ». Ecorama du 1er septembre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
This week on The Sound Kitchen, you'll hear the answer to the question about France's proposed wealth tax. There's “The Listener's Corner” with Paul Myers, Erwan Rome's “Music from Erwan, and of course, the new quiz and bonus question, so click the “Play” button above and enjoy! Hello everyone! Welcome to The Sound Kitchen weekly podcast, published every Saturday – here on our website, or wherever you get your podcasts. You'll hear the winners' names announced and the week's quiz question, along with all the other ingredients you've grown accustomed to: your letters and essays, “On This Day”, quirky facts and news, interviews, and great music … so be sure and listen every week. The ePOP video competition is open! The ePOP video competition is sponsored by the RFI department “Planète Radio”, whose mission is to give a voice to the voiceless. ePOP focuses on the environment and how climate change has affected “ordinary” people. The ePOP contest is your space to ensure these voices are heard. How do you do it? With a three-minute ePOP video. It should be pure testimony, captured by your lens: the spoken word reigns supreme. No tricks, no music, no text on the screen. Just the raw authenticity of an encounter, in horizontal format (16:9). An ePOP film is a razor-sharp look at humanity that challenges, moves, and enlightens. From June 12 to September 12, 2025, ePOP invites you to reach out, open your eyes, and create that unique bridge between a person and the world. Join the ePOP community and make reality vibrate! Click here for all the information you need. We expect to be overwhelmed with entries from the English speakers! Erwan and I are busy cooking up special shows with your music requests, so get them in! Send your music requests to thesoundkitchen@rfi.fr Tell us why you like the piece of music, too – it makes it more interesting for us all! Facebook: Be sure to send your photos to thesoundkitchen@rfi.fr for the RFI English Listeners Forum banner! More tech news: Did you know we have a YouTube channel? Just go to YouTube and write “RFI English” in the search bar, and there we are! Be sure to subscribe to see all our videos. Would you like to learn French? RFI is here to help you! Our website “Le Français facile avec RFI” has news broadcasts in slow, simple French, as well as bilingual radio dramas (with real actors!) and exercises to practice what you have heard. Go to our website and get started! At the top of the page, click on “Test level” and you'll be counselled to the best-suited activities for your level. Do not give up! As Lidwien van Dixhoorn, the head of “Le Français facile” service, told me: “Bathe your ears in the sound of the language, and eventually, you'll get it.” She should know – Lidwien is Dutch and came to France hardly able to say “bonjour” and now she heads this key RFI department – so stick with it! Be sure you check out our wonderful podcasts! In addition to the news articles on our site, with in-depth analysis of current affairs in France and across the globe, we have several podcasts that will leave you hungry for more. There's Spotlight on France, Spotlight on Africa, The International Report, and of course, The Sound Kitchen. We also have an award-winning bilingual series – an old-time radio show, with actors (!) to help you learn French, called Les voisins du 12 bis. Remember, podcasts are radio, too! As you see, sound is still quite present in the RFI English service. Please keep checking our website for updates on the latest from our journalists. You never know what we'll surprise you with! To listen to our podcasts from your PC, go to our website; you'll see “Podcasts” at the top of the page. You can either listen directly or subscribe and receive them directly on your mobile phone. To listen to our podcasts from your mobile phone, slide through the tabs just under the lead article (the first tab is “Headline News”) until you see “Podcasts”, and choose your show. Teachers take note! I save postcards and stamps from all over the world to send to you for your students. If you would like stamps and postcards for your students, just write and let me know. The address is english.service@rfi.fr If you would like to donate stamps and postcards, feel free! Our address is listed below. Independent RFI English Clubs: Be sure to always include Audrey Iattoni (audrey.iattoni@rfi.fr) from our Listener Relations department in your RFI Club correspondence. Remember to copy me (thesoundkitchen@rfi.fr) when you write to her so that I know what is going on, too. N.B.: You do not need to send her your quiz answers! Email overload! This week's quiz: On 12 July, I asked you a question about our article “Seven Nobel laureates urge France to adopt a tax on the 'ultra-rich'”. The open letter, written by seven Economics Nobel laureates, urged the French government to implement a minimum tax on the wealthiest households in France. The laureates noted that while global billionaires hold assets equivalent to 14 percent of global GDP, French billionaires control wealth worth nearly 30 percent of France's GDP. Our article cited a proposed wealth tax, which was voted down by the French Senate (it did pass in the lower house, the Assembly). I asked you to send in the name of the bill and why it has that name. The answer is: The bill is called the Zucman bill, after Gabriel Zucman. As noted in our article, “The bill was based on proposals by French economist Gabriel Zucman. Initially passed by the National Assembly, the bill would have introduced a 'differential contribution' ensuring that individuals with more than €100 million in assets pay at least 2 percent of their annual wealth in taxes. “The aim was to curb the kinds of avoidance strategies employed by some ultra-wealthy individuals, who are often able to structure their assets in ways that greatly reduce their tax burdens.” In addition to the quiz question, there was the bonus question, suggested by Sultan Sarker, the president of the Shetu RFI Fan Club in Naogaon, Bangladesh. Sultan's question was: “What do you do when tragedy enters your life? How do you deal with the sorrow, the grief?” Do you have a bonus question idea? Send it to thesoundkitchen@rfi.fr The winners are: RFI Listeners Club member Admand Parajuli, the president of the Bandhu Listeners Club in Sunsari, Nepal. Admand is also the winner of this week's bonus quiz. Congratulations, Admand, on your double win. Also on the list of lucky winners this week are Ferhat Bezazel, the president of the RFI Butterflies Club Ain Kechera in W. Skikda, Algeria, and Nahid Hossain, a member of the Shetu RFI Listeners Club in Naogaon, Bangladesh. Last but not least, RFI Listeners Club members Rasel Sikder from Madaripur, Bangladesh, and Father Steven Wara, who lives and serves in the Cistercian Abbey at Bamenda, Cameroon. Congratulations, winners! Here's the music you heard on this week's programme: “Les Sauvages” from Jean Philippe Rameau's opera-ballet Les Indes Galantes; “Hail, Hail the Gang's All Here” by Theodora Morse and Arthur Sullivan, sung by the The Childen's Music Band; “Money Makes the World Go Around” from John Kander and Fred Ebb's musical Cabaret, sung by Liza Minnelli and Joel Grey; “The Flight of the Bumblebee” by Nicolai Rimsky-Korsakov; “The Cakewalk” from Children's Corner by Claude Debussy, performed by the composer, and “Azúcar pa' ti” by Eddy Palmieri, performed by Eddy Palmieri and La Perfecta. Do you have a music request? Send it to thesoundkitchen@rfi.fr This week's question ... you must listen to the show to participate. After you've listened to the show, re-read our article “French PM puts government on line with call for confidence vote”, which will help you with the answer. You have until 13 October to enter this week's quiz; the winners will be announced on the 18 October podcast. When you enter, be sure to send your postal address with your answer, and if you have one, your RFI Listeners Club membership number. Send your answers to: english.service@rfi.fr or Susan Owensby RFI – The Sound Kitchen 80, rue Camille Desmoulins 92130 Issy-les-Moulineaux France Click here to learn how to win a special Sound Kitchen prize. Click here to find out how you can become a member of the RFI Listeners Club, or form your own official RFI Club.
In this exhausting deep dive, Matt and Chris take a break from counting their billionaire stipends to devote (what some might call) an inordinate amount of time to Gary Stevenson's recent appearance with a challenging interviewer: Tomás from Despolariza. They grapple with the indeterminacy of Schrödinger's Gary, who oscillates between being an economic and mathematical genius revealing what THEY don't want you to know on YouTube, and a pragmatic but selfless political activist who oversimplifies complex problems and sacrifices nuance (and himself) in the name of urgent reform.Despite insisting that he hates fame and has no desire to promote his best-selling book or be a popular YouTuber, Gary takes the time to remind us all of how often he's recognised on the street and precisely how many millions of views his channel racks up each month. These are depressingly familiar guru tropes, as are his sweeping claims that you can't trust politicians, economists, academics, journalists, the media, his old colleagues… or even graphs.Gary's core message that growing inequality is economically and politically unsustainable is an important one. And his ability to communicate the stakes of that problem to a large audience could be beneficial. So the criticism lies not with his stated goals but with the guru-tastic packaging and unwillingness to deal with complexity.Luckily, there is a solution... Gary. Only he and his YouTube channel can save your grandchildren from abject poverty and Nigel Farage. And if you doubt him, just look at how many millions he made for himself and the bank with his uncanny predictions… or those monthly viewer stats. Oh, and did we mention he has an elite education from LSE?Links#89 GARY STEVENSON - Economics, Trading, Inequality, Wealth, Populism, Tax, Depolarize.Zucman, G. (2015). The hidden wealth of nations: The scourge of tax havens. In The hidden wealth of nations. University of Chicago Press.Francis-Devine, B. (2025). Income inequality in the UK. House of Commons Library.Francis-Devine, B. (2025). Wealth in Great Britain. House of Commons Library.
In this Berkeley Talks episode, economist Gabriel Zucman discusses how wealth inequality and billionaire wealth has soared in recent decades, prompting the need for a global minimum tax of 2% on billionaires. “The key benefit of a global minimum tax on billionaires is not only that it would generate substantial revenue for governments worldwide — about $250 billion a year — but also, and maybe most importantly, that it would restore a sense of fairness,” says Zucman, a UC Berkeley summer research professor and director of the Stone Center on Wealth and Income Inequality's Summer Institute. Today, billionaires pay only about 0.2% of their wealth in taxes, says Zucman, because they often structure their wealth to minimize taxable income through control over corporate dividends, delaying capital gains and using holding company structures, among other methods. The 2% tax rate proposal is a modest one, he argues, and would merely ensure that billionaires, comprising about 3,000 families around the world, pay at least as high an effective tax rate as those in the middle class.“For the first time in decades,” he continues, “billionaires would pay at least the same effective tax rate as nurses, teachers or secretaries, ending a situation where, in many countries, the very richest pay less than the middle class. It's a modest, pragmatic reform, but it would make a big difference for our democracies and social cohesion.”Zucman spoke at Berkeley on June 23 as part of the campus's annual Stone Lecture series. Now a professor of economics at the Paris School of Economics, Zucman previously served on the Berkeley faculty for a decade, first as an assistant professor of economics and then as founding director of the Stone Center on Wealth and Income Inequality. He co-authored the 2019 book The Triumph of Injustice: How the Rich Dodge Taxes and How to Make Them Pay with Berkeley economics professor Emmanuel Saez. Watch a video of his lecture, followed by a Q&A.Listen to the episode and read the transcript on UC Berkeley News (news.berkeley.edu/podcasts).Music by HoliznaCC0.Photo courtesy of UC Berkeley. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
C dans l'air du 19 juillet 2025 - Budget 2026 : Bayrou déjà dans le durLe Premier ministre se donne "deux mois" pour mettre un point final à son plan de rigueur budgétaire présenté cette semaine, sur lequel les oppositions le menacent de censure. "Il y aura probablement toutes sortes de prises de parole pour préciser, affiner, répondre. On a deux mois devant nous pour que ce plan trouve son achèvement", a expliqué ce samedi le chef du gouvernement, sous le feu des critiques depuis qu'il a dévoilé son projet de budget 2026.Car si Emmanuel Macron estime que le budget présenté par François Bayrou a "la vertu du courage, de l'audace et de la lucidité", le Rassemblement national, La France insoumise, les écologistes et les socialistes demandent au Premier ministre de "revoir sa copie", sans quoi il sera censuré. Parmi les soutiens du gouvernement, les Républicains et Horizons en tête, entendent eux aussi faire bouger certains curseurs et peser sur les négociations à venir. Les syndicats, eux, entrent déjà en résistance. La CGT et Force ouvrière annoncent des mobilisations dès la rentrée, tandis que la CFDT juge certaines mesures " inacceptables".Dans un entretien accordé à nos journalistes, la secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon, réaffirme son soutien à la taxe Zucman, qui viserait à faire davantage contribuer les hauts revenus à l'effort national. Elle dénonce par ailleurs les propositions de François Bayrou, qualifiées de "profondément injustes et inéquitables".Parmi les mesures les plus controversées : l'instauration d'une "année blanche", la suppression de deux jours fériés, la transformation de l'abattement fiscal de 10 % sur les pensions de retraite en un abattement forfaitaire de 2 000 euros, ou encore la monétisation de la cinquième semaine de congés payés. Cette dernière, confirmée par la porte-parole du gouvernement, offrirait aux salariés la possibilité d'échanger une semaine de congé contre une rémunération supplémentaire — une idée qui passe mal auprès des syndicats.Ce plan de rigueur, censé réduire le déficit et contenir la dette, pourrait bien devenir un test politique majeur pour François Bayrou. D'autant que, selon un sondage Odoxa - Backbone Consulting pour Le Figaro, 87 % des Français estiment que ce budget nuira à leur pouvoir d'achat, et 78 % déclarent ne pas faire confiance au Premier ministre pour redresser les finances publiques.LES EXPERTS : - Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Info TV- Brice TEINTURIER - Directeur général d'IPSOS BVA- Christophe RAMAUX - Économiste maître de conférences à l'université Paris I- Anne de GUIGNÉ - Grand reporter économie - Le Figaro
O primeiro-ministro francês, François Bayrou, apresentou esta semana um conjunto de medidas de austeridade para enfrentar as dificuldades económicas do país e poupar 44 mil milhões de euros. A proposta para o Orçamento do Estado de 2026 prevê, nomeadamente, o congelamento de pensões e o corte no número de funcionários públicos. O economista Pascal de Lima considera que se trata de um plano "coerente do ponto de vista contabilístico", porém, admite que lhe falta "a longo prazo, sustentabilidade económica e social". O primeiro-ministro francês, François Barrot, apresentou esta semana um conjunto de medidas de austeridade para enfrentar as dificuldades económicas do país e poupar 44 mil milhões de euros. Este plano será capaz de equilibras as contas públicas francesas? O plano apresentado é muito ambicioso. Fazer cortes de 44 mil milhões de euros numa só legislatura orçamental, sem aumentar impostos, é uma operação difícil. Pretende-se assim reduzir o défice para 4,6% do PIB e tentar iniciar uma trajectória de consolidação. Mas,este esforço está focalizado na compreensão da despesa pública e na contenção dos direitos sociais, sem que haja uma reforma fiscal profunda, ou seja, não há um verdadeiro motor de crescimento. Refiro-me a um plano ambicioso de investimento produtivo, de transformação numérica ecológica, o que pode comprometer o equilíbrio orçamental a médio prazo. Em conclusão, o plano é coerente do ponto de vista contabilístico, mas falta-lhe, a longo prazo, sustentabilidade económica e social. A proposta para o próximo Orçamento Geral do Estado prevê, entre outras, o congelamento de pensões e um corte no número de funcionários públicos. Esta medida não pode pôr em causa o poder de compra dos franceses, num país onde o nível de pobreza tem vindo a aumentar? Sim, esse é uma das principais críticas formuladas por muitos economistas. Ao congelar as pensões e os salários da função pública, o chamado um ano branco, o Governo introduz um mecanismo de perda do poder de compra, especialmente para os pensionistas e trabalhadores com rendimentos fixos. Ora, esses grupos são precisamente os que mais consomem no comércio local e nos serviços básicos. O problema é que num país onde 15% da população vive abaixo do limiar da pobreza e onde a inflação, apesar de estar a abrandar, continua a limitar os rendimentos, estas medidas podem gerar uma contracção da procura interna. Portanto, o ajustamento orçamental corre o risco de ser ainda mais regressivo para o crescimento económico. O primeiro-ministro anunciou a supressão de dois feriados, a segunda-feira de Páscoa e 8 de Maio, sublinhando que em França há muitos feriados. Esta medida poderá afectar o sector do turismo? É uma medida controversa, tanto pela dimensão simbólica como económica. Do ponto de vista simbólico, o 8 de Maio -dia do Armistício- é uma data de memória, histórica, onde se assinala a vitória sobre o nazismo. A supressão pode ser também percebida como uma forma de desrespeito pela memória colectiva. Quanto ao impacto económico, os feriados são também momentos chave para o turismo interno e o primeiro feriado pode de facto provocar perda de líquidas, para o sector do turismo, avaliadas -segundo alguns estudos - em cerca de 500 milhões euros. Neste caso, a produtividade teórica recuperada poderá não compensar o impacto económico real num sector já fragilizado. O Governo quer rever as baixas médicas de longa duração. Existe, de facto, um aproveitamento das baixas médicas, ou o Governo estará a fazer pagar sempre os mesmos? É um debate sensível, porque se é verdade que há situações de baixas médicas legítimas; também existem situações de fraude, como em todos os sistemas sociais. Porém, os dados disponíveis não indicam que estas situações são realmente representativas e a esmagadora maioria dos trabalhadores -que estão em baixa médica fá-lo por necessidade médica real, muitas vezes associados ao esgotamento profissional e a problemas de saúde mental ou doenças crónicas. Portanto, apontar o dedo às baixas médicas pode criar uma cultura de desconfiança generalizada, penalizar os doentes e desincentivar os diagnósticos precoces. O risco é também que esta política acabe por afectar os mais vulneráveis, sem resolver os problemas estruturais de absentismo laboral, ligados sobretudo à precariedade e à degradação das condições de trabalho. Como é que se equilibram as contas de um país, fazendo com que ele cresça -ao mesmo tempo? Pode haver um plano de investimentos, a longo prazo, no sector numérico, nos empregos do futuro, inteligência artificial e-em paralelo- priviligiar-se uma política económica assente em bases sociais-democratas. O Governo descartou a taxa Zucman, apesar de sete prémios Nobel da Economia terem vindo defender que com esta taxa a França estaria a enviar um sinal ao mundo... Ao recusar aplicar esta taxa de imposto mínimo global sobre as grandes fortunas, o Governo revela uma escolha política clara de evitar qualquer sinal de fiscalidade progressiva que possa alienar os investidores ou parte da classe média alta. François Bayrou e Emmanuel Macron temem uma fuga de capitais, sobretudo no contexto europeu, ainda sem uma coordenação fiscal robusta. Porém precisamos de redistribuição, porque se pensarmos no mercado de trabalho do futuro, essa redistribuição será necessária. Como defende o ensaísta norte-americano, Jeremy Rifkin, as desigualdades vão aumentar -frente ao desenvolvimento da inteligência artificial- e nesse contexto serão importantes as receitas do Governo, mas também o rendimento universal. O chefe de Estado, Emmanuel Macron, e alguns partidos de direita aplaudiram, de certa forma, este plano de austeridade. Os partidos de esquerda e a extrema-direita são críticos, ameaçando derrubar o executivo francês. Este plano pode levar à queda do Governo? O risco é real, isto porque Governo não dispõe de maioria absoluta na Assembleia Nacional. Sabemos que a instabilidade política impacta directamente o crescimento económico. Se o primeiro-ministro decidir avançar com o artigo 49/3, para forçar a aprovação do Orçamento, poderá haver outra crise parlamentar, precipitando a queda do Governo ou desencadear uma remodelação ou eleições antecipadas com impacto no crescimento económico. O crescimento económico já muito fraco em França. Que mudanças é que podem ainda ser feitas neste plano de austeridade para que se torne mais exequível, mais justo? Faltam medidas que privilegiem os investimentos no mercado dos empregos do futuro e falta uma reforma estrutural no mercado de trabalho. Mas quando fala em reforma estrutural de trabalho, refere-se a que tipo de reformas? A um ajustamento adequado entre a oferta no mercado de trabalho e as competências dos trabalhadores, à reforma das 35 horas semanais que, no contexto actual, é totalmente absurda. É preciso aumentar as horas de trabalho, tendo em conta as condições laborais. Precisamos de fazer reformas estruturais no mercado de trabalho, nas pensões, nos subsídios e rever a carga fiscal, através da simplificação administrativa. Admito que são mudanças que levam tempo, que muitas fezes pela falta de tempo os responsáveis políticos se recusam a querer implementar, mas se não as fizermos não vamos resolver os verdadeiros problemas.
C dans l'air du 15 juillet 2025 : Stop à la dette: le plan Bayrou pour sortir du "piège mortel"C'est le grand jour pour François Bayrou. Après des semaines de discussions, le Premier ministre dévoile ce mardi à partir de 16 heures sa copie budgétaire. Il lui faut faire 40 milliards d'euros d'économies pour ramener le déficit public à 4,6 % en 2026. Un "Himalaya" budgétaire selon ses mots, d'autant plus raide qu'il n'a pas de majorité à l'Assemblée nationale.Gel des dépenses publiques, y compris retraites et prestations sociales, taxation des hauts patrimoines, réduction des dépenses de l'État, coups de rabot dans les agences et opérateurs de l'État, mais aussi sur les niches fiscales... Plusieurs pistes sont évoquées depuis des semaines. Mais l'équation s'annonce bien difficile à résoudre pour le chef du gouvernement, ses marges étant réduites aussi bien sur le plan financier que politique.Le Rassemblement national a menacé de censurer François Bayrou, quelques heures avant que celui-ci ne présente les orientations de son gouvernement sur le budget, s'il entend "faire les poches des Français". La France insoumise s'oppose également à une "année blanche qui serait une année rouge pour les Français". Une partie des LR est, elle aussi, vent debout contre toute hausse d'impôts, alors que le débat est relancé sur la taxe Zucman sur les ultra-riches, après l'appel lancé dans une tribune par sept prix Nobel d'économie. Autre sujet au centre des débats depuis la publication la semaine dernière d'un rapport sénatorial : les aides publiques aux entreprises.Selon les travaux d'une commission d'enquête parlementaire, en 2023, les entreprises ont bénéficié de 211 milliards d'euros de subventions, aides fiscales et allègements de cotisations sociales en France. "Premier budget de l'État", il est financé sans aucun contrôle sur son utilisation, d'après les sénateurs qui appellent à un "choc de transparence et de rationalisation". Dans ce sens, ils souhaitent que l'Insee crée, d'ici le 1er janvier 2027, un tableau "détaillé et actualisé chaque année" des aides publiques versées aux entreprises. Ils appellent également à une forme de reprise en main des dispositifs, avec la fixation de nouvelles contreparties dans leur octroi et l'imposition de leur remboursement dans certaines situations, notamment si l'entreprise procède à une délocalisation.LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Journaliste et éditorialiste politique- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique à France Info et La Tribune - Philippe DESSERTINE - Economiste, directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"- Myriam ENCAOUA - Journaliste à France info
Le Premier ministre François Bayrou doit présenter ce mardi ses grandes orientations budgétaires pour 2026. Dans un contexte de déficit public alarmant et de dettes record, il lui faudra trancher entre coupes drastiques et hausses d'impôts. Une décision à fort enjeu économique et politique. Décryptage. Avec un déficit public atteignant 5,8 % du PIB en 2024, la France affiche le plus mauvais score de la zone euro. Sa dette publique dépasse désormais les 114 % du PIB, un niveau critique qui engendre un coût croissant pour l'État : 58 milliards d'euros d'intérêts payés l'an dernier et une prévision de 67 milliards pour 2025. Cette dynamique inquiète fortement les marchés, les agences de notation, mais aussi les partenaires internationaux de la France. À lire aussiDéficit, croissance, inflation: les priorités pour le prochain gouvernement français Objectif : jusqu'à 45 milliards d'économies Face à ce constat, François Bayrou doit proposer dans la journée des pistes pour économiser entre 40 et 45 milliards d'euros. Le cap est clair, restaurer la confiance budgétaire. Plusieurs leviers sont évoqués en coulisse. Une « année blanche » sur les dépenses, c'est-à-dire un gel sans revalorisation liée à l'inflation, pourrait permettre jusqu'à 10 milliards d'économies. La désindexation des retraites est aussi sur la table, bien que politiquement très sensible. D'autres mesures sont évoquées, comme une TVA sociale, une réforme des agences publiques ou une taxe sur les hauts patrimoines, surnommée taxe Zucman”. À lire aussiLa France, championne d'Europe des investissements étrangers Une équation politique à haut risque Le défi pour le Premier ministre est aussi parlementaire. Sans majorité à l'Assemblée nationale, il devra composer avec une gauche opposée à toute réduction du modèle social sans hausse d'impôts, et une droite qui exige l'inverse. Cette présentation budgétaire engage donc bien plus que la seule trajectoire économique du pays : elle conditionne l'avenir du gouvernement et la stabilité politique de la France. Un échec ou une solution mal calibrée pourraient raviver la défiance des investisseurs et aggraver encore la crise de confiance.
Bienvenue dans le 93ème épisode de "Chez Kevin Razy". Deux fois par semaine, on se retrouve ici pour parler de ce qui se passe dans la vie comme dans un groupe WhatsApp. On ne s'interdit aucun sujet.Pour soutenir notre podcast :https://fr.tipeee.com/ckr-podcast/Rejoins notre canal Telegram :https://t.me/CKRnews▬▬▬▬▬▬ DANS CET EPISODE ▬▬▬▬▬▬▬Cette semaine :⚖️ Marine Le Pen reste inéligible : la CEDH rejette sa demande. Rappel de l'affaire des 4,4 M€ de détournement de fonds publics.
Was, wenn die Krypto-Daten, dein Bankkonto und deine Stiftung bald nicht mehr dir gehören? Wenn dein gesamtes Vermögen in digitalen Euro umgewandelt wird – über Nacht sperrbar? In diesem Video zeige ich dir die vier zentralen Pfeiler eines globalen Kontrollsystems, das längst geplant ist:
C dans l'air du 8 juillet 2025 : Budget : attention, ça va faire mal...François Bayrou s'est rendu à Chartres ce mardi pour présenter la nouvelle réforme de l'administration territoriale de l'État. L'idée est d'octroyer davantage de pouvoir aux 133 préfets de l'Hexagone, leur conférant ainsi une autorité plus importante que celle des agences de l'État et des directions générales publiques, afin de simplifier l'action des pouvoirs publics, dans l'espoir de faire des économies. "Les préfets ont pour responsabilité de faire travailler ensemble ceux qui travaillent pour l'État", a expliqué le Premier ministre. "C'est une légitimité nouvelle donnée à la décentralisation. Les élus n'auront plus qu'un seul interlocuteur. C'est un moyen de rendre la dépense publique plus efficace. Cette nouvelle organisation de l'action publique est une manière de rendre plus efficace l'utilisation de l'argent", a ajouté le chef du gouvernement, qui alerte depuis des semaines sur la nécessité de redresser les finances publiques.François Bayrou a d'ailleurs insisté sur le fait que la France "est en danger mortel. Cela va demander des efforts à tout le monde", a-t-il une nouvelle fois reconnu à huit jours de dévoiler les grandes lignes du budget 2026.Après avoir consulté pendant des semaines, Bercy a rendu sa copie. Il revient désormais au Premier ministre d'effectuer les derniers arbitrages pour dégager 40 milliards d'euros d'économies. Année blanche, instauration d'une TVA sociale, baisse des dépenses de la Sécurité sociale, création d'une "taxe Zucman", rabotage des niches fiscales et crédits d'impôt… Plusieurs pistes ont déjà été lancées.Alors, que va décider François Bayrou ? Où trouver les 40 milliards d'euros ? Certains, à droite et à l'extrême droite, appellent à prendre exemple sur les politiques mises en œuvre par Javier Milei en Argentine et Giorgia Meloni en Italie. Mais quel est le bilan de la "politique de la tronçonneuse" de Javier Milei ? Comment l'Italie a-t-elle redressé ses comptes publics ? Depuis vendredi 4 juillet, "la France emprunte à des taux plus élevés que l'Italie", a glissé le ministre de l'Économie Eric Lombard afin d'alerter les Français sur le remboursement de la dette de l'Etat.LES EXPERTS :- Dominique Seux - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos- François Ecalle - Ancien magistrat à la Cour des comptes et président du site spécialisé dans la gestion des finances publiques Fipeco - Anne de Guigné - Journaliste au service économie - Le Figaro- Thomas Porcher - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Tại thượng đỉnh của khối NATO ngày 25/06/2025, ở La Haye, Hà Lan, các quốc gia thành viên Liên minh phòng thủ Bắc Đại Tây Dương đã quyết định sẽ tăng ngân sách dành cho quốc phòng lên đến 5% GDP/năm trong 10 năm tới. Đe dọa ngày càng lớn từ Nga, nhưng đặc biệt là các áp lực chưa từng có từ chính nước Mỹ « đồng minh » buộc nhiều nước châu Âu phải chấp nhận đưa ra cam kết tài chính đặc biệt nói trên, vốn được coi là vượt xa khả năng thực hiện. Nếu như cam kết 5% được một số nhà quan sát nhìn nhận như là một chuyển biến chiến lược của NATO nói chung, của châu Âu nói riêng, thì không ít người hoài nghi cao độ, coi đây chỉ như một biện pháp mang tính tình thế để đối phó với « đồng minh » Hoa Kỳ ngày càng trở nên khó chơi. Theo một số thẩm định, cam kết 5% tương đương với việc các nước châu Âu sẽ phải chi thêm khoảng 500 tỉ đô la/năm cho quốc phòng trong bối cảnh một số nước châu Âu đang trong khó khăn chồng chất về tài chính. Nhiều nước châu Âu không chấp nhận hy sinh mô hình xã hội hiện có để tăng mạnh chi phí cho quân sự. Các nước châu Âu sẽ xoay sở ra sao với cam kết 5% ? Sườn đông châu Âu sẵn sàng, nhiều nước Tây Âu dè dặt Con đường để đạt được mục tiêu 5% còn rất dài và đầy bất trắc. Trong hiện tại, 32 quốc gia thành viên cam kết chi 2% GDP/năm cho quốc phòng, mục tiêu được đề ra từ năm 2006, và chính thức khẳng định từ năm 2014. Tuy nhiên, theo số liệu của NATO, trong năm 2024, chỉ có 23 trên 32 nước đạt chỉ tiêu 2%. Theo một dữ liệu mới nhất từ Ngân hàng Thế giới năm 2023, chỉ có 10 trên tổng số 32 nước có khả năng thực thi được mục tiêu chung nói trên của NATO đặt ra cho năm 2035. Đọc thêm : Không có Hoa Kỳ liệu châu Âu có thể đối đầu quân sự với Nga ? Khác biệt là rất rõ giữa các nước phía đông châu Âu, giáp với Nga, và nhiều nước ở phía tây. Ba Lan, quốc gia coi Nga như đe dọa nhãn tiền, là nước có khả năng sớm đạt được mục tiêu 5%. Vacxava đã chi 4,1% GDP cho quốc phòng hồi năm ngoái. Các nước Baltic, đơn cử như Estonia với 3,4% GDP, cũng đang nỗ lực hướng đến mục tiêu này. Ngược lại, trong số các nước chi phí dưới 2% cho quốc phòng, có nhiều nước Tây Âu, như Tây Ban Nha, Bỉ, hay Luxembourg. Pháp đứng thứ 19 trong danh sách, với mức cam kết 2% chỉ mới được thực thi vào năm 2025. « Đỉnh Himalaya » khó vượt : Để đạt 5% phải hy sinh nhiều chi phí căn bản khác Mục tiêu 5% cho quốc phòng hiện « chưa gây ra bất kỳ cuộc tranh luận thực sự nào trong giới chính trị Pháp ». Bộ trưởng Quân Lực Pháp, Sébastien Lecornu, trong cuộc trả lời phỏng vấn tờ Le Parisien, Chủ Nhật, 22/06, « hy vọng rằng đây sẽ là trọng tâm của chiến dịch tranh cử tổng thống trong tương lai, bởi vì giai đoạn địa chính trị mà chúng ta đang trải qua sẽ còn kéo dài ». Ưu tiên trước mắt của chính quyền Pháp là thực thi hai đạo luật về ngân sách quốc phòng (LPM - loi de programmation militaire), vốn đã giúp tăng ngân sách của lực lượng vũ trang thêm 56%, từ 2017 đến 2025. Tuy nhiên, việc đạt được mục tiêu 5%, tương đương khoảng 170 tỉ euro, gấp khoảng ba lần so với hiện nay, đòi hỏi phải có một thay đổi lớn hơn nhiều. Trả lời La Croix, người phụ trách Cơ quan Chiến lược và Kế hoạch của chính phủ Pháp, Clément Beaune cho biết, « để thực thi mục tiêu tăng ngân sách quân sự thêm 3,5% vào năm 2030, sẽ phải tăng thêm 10% thuế TVA ». Nhật báo Công giáo Pháp La Croix gọi đây là « đỉnh Himalaya » khó vượt. Ông Clément Beaune cũng muốn dùng sắc thuế Zucman 2%, nhắm vào các tài sản của những người giàu nhất, từ 100 triệu euro trở lên, để cho thấy tầm mức hết sức lớn của khoản tiền cần huy động. Việc đánh thuế Zucman, nếu được tiến hành hàng năm, cũng chỉ mang lại từ 15 đến 25 tỉ euro, và như vậy là hoàn toàn không đủ. Nếu chỉ dựa trên chiếc bánh ngân sách, việc gia tăng ngân sách quân sự sẽ không tránh khỏi « ảnh hưởng đến số tiền phân bổ cho phúc lợi xã hội » và « lương của các công chức ». Mà động chạm đến « mô hình xã hội » cho đến nay vẫn là một chủ đề húy kị. Theo truyền thông Pháp, rất ít lãnh đạo đảng phái sẵn sàng đưa vấn đề này ra thảo luận, do lo ngại tác động đến sự ủng hộ của cử tri. Để huy động được nguồn tài chính khổng lồ nói trên, cần đến các phương thức khác. Cam kết 5% để đối phó với Mỹ hay vì nhu cầu an ninh thực sự ? Cam kết chi 5% GDP cho quốc phòng có phải là nhu cầu thực sự của châu Âu, hay chủ yếu là một phản ứng mang tính tình thế của các nước châu Âu trước áp lực chưa từng có của Mỹ dưới thời Donald Trump, đe dọa cắt bỏ ô bảo trợ an ninh đối với các nước không gia tăng chi phí cho quân sự. Sau thượng đỉnh NATO, truyền thông Bỉ chú ý đến phát biểu của thủ tướng Bart De Wever về trao đổi giữa ông với tổng thống Mỹ : « Ông ấy (Trump) nói rằng ''2% là rất tốt, nhưng tôi cho rằng very low'', tức là rất thấp. Về phần mình, tôi đáp lại ‘‘Đúng, ông cho rằng mức đó là rất thấp, nhưng đó là tiêu chuẩn chi tiêu của khối NATO cho đến nay. Vì vậy, hãy cho phép chúng tôi tăng các chi tiêu theo tốc độ của riêng mình, theo các quyết định độc lập mà mỗi quốc gia thành viên có thể đưa ra''. Như vậy đấy, ông ấy không nói thêm gì về điều đó nữa, nên tôi hy vọng ông ấy hài lòng. Nhưng tôi không chắc lắm ! » Tăng ngân sách quân sự lên 5% không đồng nghĩa với việc toàn bộ số tiền này để dành cho quân đội, để mua vũ khí và trang thiết bị quân sự. Theo thỏa thuận của NATO vừa qua, trong số tiền 5% này, 3,5% sẽ được dành cho chi tiêu thuần túy quân sự, và 1,5% còn lại được dành cho các chi phí liên quan đến an ninh quốc phòng, như an ninh mạng, xây dựng các tuyến đường giao thông, có thể được sử dụng cho mục tiêu quân sự. Xác định đầu tư nào thuộc lĩnh vực 1,5% này tùy thuộc khá nhiều vào mỗi quốc gia. Trang mạng truyền thông Pháp ngữ RTBF, trong bài « 5% du PIB pour l'OTAN, un chiffre, beaucoup d'hypocrisie » (5% GDP của NATO, một con số nhiều phần đạo đức giả), nhận định : « nước Bỉ cũng như nhiều nước khác nói rằng sẽ tôn trọng quy định 5% này, nhưng sẽ không thực hiện. Chắc chắn là sẽ có một thứ đạo đức giả ở đây, nhưng trên thực tế chi phí cho quốc phòng cũng sẽ phải tăng ồ ạt trong những năm tới, như điều Donal Trump muốn ». Báo chí châu Âu, trong đó có nhật báo thiên hữu Le Figaro, nhấn mạnh đến thái độ « quỵ lụy » của « các đồng minh » châu Âu trước « hoàng đế » Donald Trump khi chấp nhận mục tiêu 5% tại thượng đỉnh NATO. Nhiều nhà quan sát dự báo châu Âu sẽ gia tăng mua vũ khí Mỹ. Cơ hội phát triển nền công nghiệp quốc phòng tự chủ của châu Âu Trên thực tế, mục tiêu tăng cường chi phí cho an ninh quốc phòng cũng nằm trong chính nhu cầu của châu Âu. Đặc biệt kể từ khi Nga xâm lược Ukraina, việc tăng cường xây dựng năng lực phòng thủ của châu lục, trong bối cảnh vai trò của nước Mỹ ngày càng thu hẹp, và bất trắc gấp bội phần với chính quyền Donald Trump, khối 27 nước đang ngày càng quyết tâm hơn trong việc tăng cường sức mạnh quân sự của châu Âu, bên trong NATO. Đọc thêm : Tổng thống Pháp kêu gọi châu Âu từ chối « làm chư hầu » « lệ thuộc » vào Mỹ Đầu năm nay, Ủy Ban Châu Âu đã xác lập kế hoạch huy động 150 tỉ euro trên thị trường tài chính, để cung cấp đòn bẩy tài chính cho các quốc gia thành viên, tăng đầu tư vào các lĩnh vực quốc phòng quan trọng, chẳng hạn như phòng thủ tên lửa, drone, hay các trang thiết bị chiến lược khác. Kế hoạch được gọi là « ReArm Europe » (Tái vũ trang châu Âu), mới được đổi tên lại là Chuẩn bị cho chân trời 2030. Việc xây dựng một quân đội chung của châu Âu là chuyện viễn tưởng, nhưng huy động vốn đầu tư mạnh mẽ cho quốc phòng châu Âu, kể cả từ các nguồn đầu tư bên ngoài, là điều nằm trong tầm tay. Trong một cuộc tọa đàm của đài Arte (OTAN : l'UE doit-elle devenir une machine de guerre ? / NATO : Liên Âu phải chăng đang trở thành một cỗ máy chiến tranh ?), nhân dịp thượng đỉnh NATO, nhà kinh tế học Anne-Sophie Alsif, phụ trách văn phòng thẩm định tài chính BDO France, nhận định : « Tôi không thực sự tin tưởng vào một hệ thống phòng thủ châu Âu thống nhất, phản ứng nhanh chóng này, với một quân đội châu Âu, vì chúng ta có những bất đồng chính trị rất đáng kể, với nguyên tắc đồng thuận 100%. Vì vậy, mọi việc sẽ rất phức tạp. Các quốc gia không phải nước nào cũng có cùng ngân sách, lợi ích, và cùng chung một hệ tư tưởng. Vì vậy, mọi việc sẽ rất phức tạp. Mặt khác, trên thực tế, theo tôi, cơ chế hợp tác tùy theo lợi ích này sẽ là phù hợp tương tự, như với các lĩnh vực, như trí tuệ nhân tạo, dân số lão hóa : đó sẽ là sự hợp tác dựa trên lợi ích. Nghĩa là, trên thực tế, các quốc gia, ngay cả khi không thuộc Liên Hiệp Châu Âu, vẫn có thể gia nhập, đầu tư tiền, được hưởng nguồn tài chính ưu đãi và ngược lại, sẽ phải mua các sản phẩm của châu Âu. Thực sự đó là kiểu hợp đồng, một dạng deal, như mọi người nói hiện nay. Khi tham gia, bạn phải thực hiện những gì đã cam kết, và bạn sẽ được hưởng lợi từ sự bảo vệ và cơ chế này trong trường hợp bị tấn công. Để tham gia cần phải có một tầm nhìn chiến lược chung, đúng vậy, nhưng không có nghĩa là tất cả 27 quốc gia đều có nghĩa vụ phải tham gia. Mỗi quốc gia tự quyết định. Chúng ta đã thấy điều đó khi có sự rút lui phần nào của Mỹ, khi Emmanuel Macron bắt đầu tổ chức một cuộc họp và ông nói rằng : ‘‘Quý vị hãy xem, ai yêu quý chúng tôi sẽ đồng hành với chúng tôi''. Ta thấy rằng, trong bối cảnh này, người Canada có lẽ đã là nước đầu tiên quan tâm, cũng như Vương quốc Anh, cho dù không còn nằm trong Liên Hiệp Châu Âu. Vì vậy, điều này sẽ cho phép chúng ta có được sự hợp tác ở phạm vi rộng hơn, linh hoạt hơn và hiệu quả hơn nhiều. » Tiền tiết kiệm, nguồn tài chính dồi dào Kinh tế gia Anne-Sophie Alsif cũng nhấn mạnh đến một nguồn tài chính khác : « Và có một nguồn tài trợ thứ hai, cũng là yếu tố vô cùng cơ bản, chính là tiền tiết kiệm. Tiết kiệm của người Pháp gởi trong ngân hàng rất lớn. Chưa bao giờ số tiền tiết kiệm lại lớn đến như vậy. Trước khi xảy ra Covid, tỷ lệ này vào khoảng 14%, còn hiện tại là đến gần 19%. Cơ quan thống kê quốc gia Pháp INSEE đặt tiêu đề cho một báo cáo về tình hình kinh tế hiện nay là ‘‘Hãy cẩn thận với việc tiết kiệm quá nhiều'', ‘‘chúng ta đã vượt qua Nhật Bản với 19%''. Chúng ta có 3.600 tỷ euro tiền tiết kiệm trong lúc nợ là 3.200. Như vậy chúng ta có nhiều tiền tiết kiệm hơn nợ, và vấn đề là những khoản tiết kiệm này được đầu tư rất ít. Chúng chỉ được dùng để đầu tư vào trái phiếu kho bạc và bất động sản, nhưng rất ít đầu tư vào lĩnh vực sản xuất. Vì vậy, nếu chúng ta chỉ dành một vài phần trăm cho quốc phòng, cũng cho các lĩnh vực khác, chúng ta có thể tìm được nguồn tài trợ. Ngân hàng đầu tư BPI đã thành lập quỹ quốc phòng nhà nước để đáp ứng chuyện này. » Đầu tư cho quốc phòng rất lời nhưng cần một tầm nhìn dài hạn Trả lời báo La Croix, dân biểu đảng Xã Hội Pháp Anna Pic nhấn mạnh đến việc đầu tư cho quốc phòng của từng nước cần đến các công cụ « ở cấp liên chính phủ, cấp độ châu Âu và ở cấp độ NATO ». Trong cuộc tọa đàm với đài Arte về nền quốc phòng của Liên Âu, nhà sử học về quân sự Guillaume Lasconjarias, giám đốc nghiên cứu IHEDN (Viện Nghiên cứu Cấp cao về Quốc phòng) nhấn mạnh đến tầm nhìn dài hạn : « Chúng ta đang trong bối cảnh phải đứng trước các đòi hỏi mâu thuẫn nhau, tuy nhiên, chúng ta vẫn có những cách thức để tiến về phía trước. Đầu tiên là bạn biết về tính hiệu quả của đầu tư. Có nghĩa là, nếu bạn đầu tư nhiều hơn vào quốc phòng châu Âu, mà ở đó nước Pháp vẫn duy trì được nền tảng công nghiệp công nghệ tân tiến. Như vậy, quý vị sẽ có một dạng đầu tư vào quốc phòng. Ví dụ, người ta ước tính cứ đầu tư 1 euro, bạn có thể thu được lợi nhuận từ 2 đến 3 euro. Như vậy, điều này là tốt. Có điều đáng lo ngại là việc này đòi hỏi thời gian. Ví dụ như quý vị có một dây chuyền lắp ráp, bạn sẽ có thể tăng tốc độ sản xuất, nhưng trước tiên bạn phải có được các đơn đặt hàng và các nhà sản xuất phương tiện quốc phòng. Vấn đề đặt ra ở đây là khả năng dự báo để lập kế hoạch. Lo lắng của chúng ta là không biết việc này sẽ kéo dài được bao lâu vì khi bạn tăng tốc độ, bạn sẽ phải đối mặt với vấn đề đào tạo, vấn đề tuyển dụng và sau đó là vấn đề bán hàng. Và đó là một cuộc thảo luận thực sự vì chúng ta không chỉ thực hiện việc này ở cấp quốc gia mà còn ở cấp châu Âu hoặc cấp độ quốc tế ». Cơ hội để Liên Âu có được tiếng nói về « chiến lược » ? Theo nhiều nhà quan sát, việc cam kết đầu tư mạnh hơn hẳn cho an ninh quốc phòng của châu Âu không chỉ để xoa dịu tổng thống Mỹ Donald Trump, mà cũng để phục vụ cho chính lợi ích của châu Âu. Vấn đề là việc đầu tư này liên quan ra sao đến mục tiêu thúc đẩy nền công nghiệp quốc phòng của chính châu Âu, và vấn đề « kiến trúc an ninh tập thể » của châu Âu. Đọc thêm - Nửa thế kỷ ''Hiệp định Helsinki'': Chiến tranh Ukraina xóa sổ "Kiến trúc an ninh châu Âu" Nguyên lãnh đạo ngoại giao Liên Âu, người Tây Ban Nha, Joseph Borell (2019-2024), cựu chủ tịch Nghị Viện Châu Âu, được coi là người nỗ lực thúc đẩy việc tăng cường tiềm lực quốc phòng của khối khi tại nhiệm, trong một hội nghị về tương lai quốc phòng châu Âu tại Chantilly (Pháp), tổ chức cùng dịp với thượng đỉnh NATO vừa qua (có sự tham gia của bộ trưởng Quân lực Pháp) đã lên án mạnh mẽ thái độ « chư hầu » của khối 27 nước chấp thuận chính sách tăng chi 5% GDP cho quốc phòng, theo đòi hỏi của Trump (Tây Ban Nha là nước duy nhất trong Liên Âu không chấp thuận mục tiêu 5% dưới áp lực của Mỹ). Joseph Borell nhấn mạnh đến quan điểm « đế quốc » của chính quyền Mỹ thời Donald Trump hoàn toàn trùng khớp với chính sách của nước Nga Putin, và « châu Âu trong một thời gian dài đã là một xứ sở nằm dưới sự bảo trợ của Mỹ ». Gia tăng chi phí cho an ninh tập thể, liệu tiếng nói của các nước châu Âu sẽ có trọng lượng hơn trong tương lai hay không, trong các đàm phán chiến lược với Nga, thực thể địa chính trị được coi là đối thủ hiện nay ?
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 15 juin 2025.Avec cette semaine :Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 18 juin, l'utilisation de l'intelligence artificielle dans les PME, l'industrie pharmaceutique qui est de moins en moins séduite par le marché français, les points d'achoppement sur la réforme des retraites, et le débat autour de la taxe Zucman, ont été abordés par Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, Sylvain Orebi, président d'Orientis, et Christian Poyau, PDG de Micropole, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
In this podcast, we discuss Greg's article "Obscene Wealth" from MLToday, based on Gabriel Zucman's research on U.S. wealth inequality. Zucman reveals that in 2024, the wealth of the top 0.00001% (19 households) increased by $1 trillion, surpassing Switzerland's GDP. The top 10% possess 67% of the wealth, while the bottom 50% hold just 3%, leading to economic and political marginalization. The article argues that capitalism inherently concentrates wealth, reinforcing class divisions between capital owners and workers. A few topics we cover in our conversation include: Why wealth inequality is worse than income inequality—and how it strangles democracy. The death of the middle class: From thriving factory towns to hollowed-out economies. Cold War secrets: How post-WWII prosperity was a fluke (and why it collapsed). Why both Democrats & Republicans serve the ultra-rich (hint: lobbyists, gerrymandering, and media control). Possible answer: Replacing capitalism with socialism is presented as a viable solution. Article in MLToday: https://mltoday.com/obscene-wealth/ Greg's Blog: http://zzs-blg.blogspot.com/ Pat's Substack: https://patcummings.substack.com/about #Obscene Wealth #Wealth Inequality #Billionaires #Late Stage Capitalism #Robber Barons #1Percent #Oligarchy #Marxist Analysis #Rust Belt #Working Class #Leftist Podcast #Economic Justice #Jeff Bezos #Elon Musk #Dark Money#Rust Belt #Democracy In Decline#Leftist Podcast##Pat Cummings#Greg Godels#ZZ Blog#Coming From Left Field#CFLF#Podcast#zzblog#mltoday
Ultra-riches épargnés, retraites repoussées : la taxe Zucman est rejetée pendant que le COR propose 66,5 ans en 2070. Dans L'Instant Porcher, Thomas Porcher démonte l'injustice d'un système qui fait toujours payer les mêmes.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Ce mardi 17 juin, les arguments en défaveur de la taxe Zucman ont été abordés par Agnès Verdier-Molinié, directrice de la Fondation IFRAP, Guillaume Poitrinal, co-fondateur de WO2, promoteur immobilier bas carbone, et Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Études Européennes de Paris-8 Saint-Denis, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 17 juin, la décision du Sénat de rejeter la proposition de loi sur la taxe Zucman, ainsi que la possibilité d'une solution fiscale pour sortir le budget 2026 de l'impasse, ont été abordées par Agnès Verdier-Molinié, directrice de la Fondation IFRAP, Guillaume Poitrinal, co-fondateur de WO2, promoteur immobilier bas carbone, et Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Études Européennes de Paris-8 Saint-Denis, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:35 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Le sénat a rejeté la “taxe Zucman”, un impôt de 2% sur le patrimoine des ultras-riches. Une très grande majorité de Français l'aurait pourtant souhaitée. Nous recevons la ministre des comptes publics, bonjour Amélie de Montcharline…
durée : 00:03:35 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Le sénat a rejeté la “taxe Zucman”, un impôt de 2% sur le patrimoine des ultras-riches. Une très grande majorité de Français l'aurait pourtant souhaitée. Nous recevons la ministre des comptes publics, bonjour Amélie de Montcharline…
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 15 juin 2025.Avec cette semaine :Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT RÉPARTIR L'EFFORT DU DÉSENDETTEMENT ?Visant un déficit à 4,6 % du PIB l'année prochaine, au lieu de 5,4 % cette année, le gouvernement entend serrer la vis budgétaire, avec un effort de 40 milliards d'euros en 2026. La répartition de cet effort devrait être précisée à la mi-juillet. Dans ce contexte budgétaire alarmant, et quatre mois après avoir été votée par une large majorité de députés, la proposition de loi des Ecologistes visant à instaurer un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des ultra-riches, dite « taxe Zucman » a été rejetée jeudi par le Sénat par 188 voix contre 129 voix.Aux côtés de deux économistes français reconnus internationalement - Olivier Blanchard, ancien chef économiste du Fonds monétaire international et Jean Pisani-Ferry, architecte du programme économique d'Emmanuel Macron en 2017 -, Gabriel Zucman a défendu mercredi dans Le Monde ce mécanisme pour rétablir le « principe constitutionnel d'égalité devant l'impôt ». « Nous partageons le constat que les plus riches ne contribuent pas aujourd'hui à hauteur de ce qui est demandé aux autres catégories sociales, et que le mécanisme voté à l'Assemblée est le plus efficace pour remédier à cette situation. » L'Institut des politiques publiques, fondé sur de nouvelles données administratives, a établi que les plus grandes fortunes payent dans l'ensemble très peu d'impôts sur le revenu, car elles peuvent le contourner – légalement – grâce à diverses techniques d'optimisation, comme l'utilisation de sociétés holdings. En conséquence, alors que l'ensemble des Français acquittent environ 50 % de leurs revenus en impôts et cotisations sociales, tous prélèvements compris, ce chiffre tombe à 27 % pour les milliardaires, soit presque deux fois moins. Le dispositif voté à l'Assemblée ne concerne que les fortunes d'au moins 100 millions d'euros, soit environ 1.800 foyers fiscaux. Il rapporterait entre 15 et 25 milliards d'euros.Le gouvernement est opposé à la taxe Zucman. « Une telle contribution serait à la fois confiscatoire et inefficace », a tranché la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, en février. « Confiscatoire », parce qu'elle est trop élevée : sans mécanisme de plafonnement, la proposition pourrait être censurée par le Conseil constitutionnel, met aussi en garde la commission des finances du Sénat. « Inefficace », dans la mesure où elle pousserait, de façon « catastrophique », les contribuables visés à fuir la France. Pour relativiser l'argument, Gabriel Zucman s'appuie sur des études qui tendent à démontrer que, lorsqu'un impôt sur la fortune est créé, le nombre de départs à l'étranger pour y échapper est marginal.Cette taxe pourrait revenir au budget 2026 à l'automne. Gabriel Zucmanrappelle que l'impôt sur le revenu, voté en 1909 par la Chambre des députés a attendu 1914 pour que le Sénat, déjà dominé par la droite conservatrice, finisse par l'adopter.TRUMP CONTRE LA CALIFORNIE Après des heurts à Los Angeles sur fond d'expulsions d'immigrés en situation irrégulière le président américain a envoyé le 7 juin la garde nationale dans la ville, contre l'avis des autorités locales. Désormais, 4.800 membres de la garde nationale de Californie et marines se trouvent déployés autour des bâtiments fédéraux, pour apporter leur soutien à la police locale et aux agents de l'ICE, l'agence chargée de l'immigration. Officiellement, il s'agit de protéger bâtiments et agents fédéraux. En s'en prenant au « Golden State », Le choix de cibler la Californie n'a rien d'anodin. « Le déploiement sans fondement de la garde nationale par l'administration Trump est manifestement une mesure de rétorsion contre la Californie, bastion des communautés immigrées, et s'apparente à une déclaration de guerre à l'égard de tous les Californiens », a dénoncé l'ACLU, influente organisation de défense des libertés civiles.Depuis son retour à la Maison Blanche, soutenu par un Congrès à majorité conservatrice, la confrontation s'est envenimée. Véhicules électriques, protection des transgenres, gestion de l'eau : aucun domaine n'échappe à la croisade. Plus que jamais ciblée, la Californie riposte dans l'arène judiciaire. Lors du premier mandat de Trump, l'État avait intenté plus de 120 recours contre son administration, en majorité remportés, se dressant notamment contre le décret anti-immigration Muslim Ban, le démantèlement des protections des jeunes sans papiers et la sortie de l'accord de Paris sur le climat. Depuis janvier, le rythme s'est accéléré. Seule ou alliée à d'autres États, la Californie a déjà déposé plus d'une vingtaine de recours : contre la remise en cause du droit du sol, contre l'accès du Doge (le département de l'Efficacité gouvernementale) au système de paiement du Trésor, contre les coupes dans la recherche médicale ou contre l'augmentation des droits de douane. Sur le plan économique, l'escalade commerciale avec la Chine menace lourdement l'État de la côte ouest, dont les ports jouent un rôle majeur dans les importations venues d'Asie.Sur le sujet central de l'immigration, la « résistance » californienne passe aussi par la loi. Fin 2017, malgré les menaces répétées de l'administration Trump, les élus de l'État avaient adopté une loi limitant strictement la coopération entre polices locales et agents fédéraux chargés des expulsions. Surnommée « loi sur les valeurs californiennes », cette législation a fait de l'Étatle premier « sanctuaire » du pays pour les immigrés sans papiers. Validée en 2019 par la justice, elle reste une épine dans le pied de l'administration Trump, qui accuse la Californie d'entraver sa politique migratoire.Jeudi, le sénateur Padilla, successeur de Kamala Harris, a été arrêté et menotté pour avoir interrompu la conférence de presse de Kristi Noem, Secrétaire à la sécurité intérieure et vigoureuse promotrice des lois anti-immigrés. Samedi, de grandes manifestations ont été organisées pour s'opposer la politique du président républicain, tandis que la présidente démocrate de la chambre des représentants du Minnesota était assassinée.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 13 juin, la question de la politique budgétaire de Donald Trump, qui creuse le déficit et émet des titres d'obligations pour financer la croissance américaine, la réaction des investisseurs à ces taux obligataires en hausse aux États-Unis, et la taxe Zucman, qui cible les patrimoines des Français ultra-riches, ont été abordées par Dorothée Rouzet, cheffe économiste de la direction générale du Trésor, Roland Gilet, professeur d'économie à Paris-Sorbonne et à l'Université Libre de Bruxelles, et Anne-Charlotte Fredenucci, présidente d'Ametra Groupe, dans l'émission Les Experts, présentée par Laure Closier sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'émission 28 minutes du 13/06/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Isabelle Saporta, essayiste et éditorialiste, Jean-Loup Bonnamy, essayiste, docteur en philosophie et spécialiste de géopolitique, Pierre Jacquemain, rédacteur en chef de l'hebdomadaire “Politis” ainsi que le dessinateur de presse et président de Cartooning for Peace, Kak.Taxe Zucman : l'impôt sur le patrimoine qui fait cauchemarder les riches ?Jeudi 12 juin, la proposition de loi sur la "taxe Zucman" a été refusée par le Sénat. Cette initiative, portée par le groupe écologiste et pensée par l'économiste Gabriel Zucman, ambitionne de créer un impôt plancher à hauteur de 2 % sur les patrimoines au-delà de 100 millions d'euros. Le projet de loi avait été adopté par l'Assemblée nationale le 20 février, grâce à un vote uni de la gauche, qui a pu s'imposer face aux députés du camp présidentiel et des Républicains grâce à l'abstention du Rassemblement national. Les partisans de cette taxe expliquent qu'elle pourrait rapporter jusqu'à 25 milliards d'euros, alors que le gouvernement est à la recherche de 40 milliards d'euros pour réduire le déficit. Ce dernier dénonce une mesure "confiscatoire et inefficace" qui pourrait favoriser l'exil fiscal des plus riches. Israël attaque l'Iran : le point de non-retour est atteint au Moyen-Orient ?Dans la nuit du 12 au 13 juin, Israël a bombardé l'Iran à plusieurs reprises afin de mettre un terme au programme nucléaire iranien, et de tuer la chaîne de commandement militaire iranienne. Alors que Benyamin Netanyahu s'est félicité du "succès" de l'opération, Abbas Araghchi, ministre des Affaires étrangères iranien, a dénoncé "une déclaration de guerre". Cette attaque israélienne permet à Donald Trump d'accentuer la pression mise sur Téhéran dans le cadre des négociations sur le nucléaire iranien. "L'Iran doit conclure un accord avant qu'il ne reste plus rien", a-t-il tonné dans un post sur sa plateforme Truth Social. L'escalade entre Israël et l'Iran a-t-elle atteint un point de non-retour ? Samia Lorrain-Djidar est commissaire de la série d'expositions "Machine arrière", qui se tient à la Cité des sciences et de l'industrie, à Paris, jusqu'au 2 novembre. Elles proposent de remonter le temps au travers de trois objets et technologies emblématiques de la communication. La première d'entre elles présente le radio-transistor. L'objectif de cette série d'expositions "intergénérationnelle" est de mettre en avant l'aspect "collectif" de ces objets.Le Madleen, un navire affrété pour apporter de l'aide humanitaire et dénoncer le blocus imposé à Gaza par Israël, a été arraisonné lundi 9 juin dans les eaux internationales par la marine israélienne. Ses passagers ont été placés en détention avant leur expulsion. Parmi eux figurent plusieurs Français mais également l'activiste suédoise Greta Thunberg qui a porté le projet à l'international. Donald Trump s'est saisi du cas de cette dernière, affirmant qu'elle "devrait prendre des cours de gestion de la colère". C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. Suite au meurtre d'une surveillante d'un collège de Nogent (Haute-Marne), poignardée par un élève mardi 10 juin, les réseaux sociaux sont mis en cause par les responsbales politiques. Alors que la ministre de l'Éducation nationale, Élisabeth Borne, dénonce "la surexposition aux écrans" des jeunes, Emmanuel Macron a annoncé vouloir interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans. C'est le Point com de Paola Puerari. Brian Wilson, leader du groupe de rock californien les Beach Boys, est décédé mercredi 11 juin. Dans les années 1960, ce chanteur et bassiste a constitué le fer de lance de la réponse américaine à la déferlante liverpuldienne des Beatles. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur les manifestations à Los Angeles contre les arrestations d'immigrés ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 juin 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Poussée par la gauche et des économistes reconnus, l'instauration de la taxe "Zucman", impôt plancher sur le patrimoine des "ultra-riches", est examinée ce jeudi après-midi au Sénat où elle risque d'être rejetée.
durée : 00:05:59 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Une taxe de 2% sur les patrimoines dépassant 100 millions d'euros arrive au Sénat. Cette proposition de loi écologiste, inspirée par les travaux de l'économiste Gabriel Zucman, ciblerait 1 800 contribuables et pourrait rapporter 20 milliards d'euros par an selon ses promoteurs.
durée : 00:13:29 - Taxe Zucman : une solution pour le budget 2026 ?
durée : 00:55:02 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour d'Agathe Lambret et de Jean-Rémi Baudot.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Poussée par la gauche et des économistes reconnus, l'instauration de la taxe "Zucman", impôt plancher sur le patrimoine des "ultra-riches", est examinée ce jeudi après-midi au Sénat où elle risque d'être rejetée.
Ce jeudi 12 juin, le rôle réel que joue la banque centrale en matière de solvabilité des États et de capacité des États à rembourser leurs dettes, l'état de la productivité en Europe, ainsi que l'arrivée de la taxe Zucman au Sénat, ont été abordés par Nathalie Janson, professeure d'économie à Neoma Business School, Laurent Vronski, directeur général d'Ervor, secrétaire général de Croissance, et Philippe Trainar, professeur au Cnam et membre du Cercle des économistes, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Poussée par la gauche et des économistes reconnus, l'instauration de la taxe "Zucman", impôt plancher sur le patrimoine des "ultra-riches", est examinée ce jeudi après-midi au Sénat où elle risque d'être rejetée.
durée : 00:24:59 - 8h30 franceinfo - Le gouverneur de la Banque de France est l'invité du 8.30 franceinfo du jeudi 12 juin 2025
Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Ce jeudi 12 juin, la taxe Zucman, qui marque le retour de l'impôt sur la fortune, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 12 juin, la taxe Zucman, qui marque le retour de l'impôt sur la fortune, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:58:59 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Adoptée en première lecture à l'Assemblée le 21 février 2025, la “taxe Zucman” entend instaurer un impôt minimum de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 M€. Débattue au Sénat le 11 juin, elle vise à corriger la régressivité fiscale et pourrait générer jusqu'à 20 milliards d'euros. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Gabriel Zucman Économiste français
Olivier Babeau analyse en détail la proposition de loi visant à instaurer une "taxe Zucman" sur les très gros patrimoines. Il explique pourquoi cette mesure, bien qu'elle semble séduisante, pourrait en réalité avoir des effets dévastateurs sur l'investissement et l'innovation en France. Il met en garde contre les illusions que peut susciter cette taxe, qui risquerait de fragiliser les entreprises et de pousser les plus riches à l'exil fiscal.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In this episode, Bob breaks down the Triffin dilemma, explaining why it's wrong to assume that maintaining global reserve currency status requires ever-increasing U.S. trade deficits. He shows that America's chronic deficits are driven more by government spending and fiat money than by global necessity, making the case that returning to fiscal discipline and sound money—not tariffs—is the key to reversing America's economic decline.Bob and Jonathan Newman on Misleading Charts: Mises.org/HAP495aHow Economists Evaluate Tariffs Versus Income Taxes: Mises.org/HAP495bThe St. Louis Federal Reserve Article on Historical U.S. Trade Deficits: Mises.org/HAP495cThe Charts Referenced in this Episode: Mises.org/HAP495dSaez and Zucman, "The Rise of Income and Wealth Inequality in America": Mises.org/HAP495eTrump's Remarks on the US being a "Tariff-Backed Nation": Mises.org/HAP495fThe Tucker Carlson Show with Bob Lighthizer: Mises.org/HAP495gThe Mises Institute is giving away 100,000 copies of Murray Rothbard's, What Has Government Done to Our Money? Get your free copy at Mises.org/HAPodFreeJoin the Mises Institute on April 26 in Phoenix, Arizona, as we expose the danger and waste of bureaucracy: Mises.org/Phoenix25
In this episode, Bob breaks down the Triffin dilemma, explaining why it's wrong to assume that maintaining global reserve currency status requires ever-increasing U.S. trade deficits. He shows that America's chronic deficits are driven more by government spending and fiat money than by global necessity, making the case that returning to fiscal discipline and sound money—not tariffs—is the key to reversing America's economic decline.Bob and Jonathan Newman on Misleading Charts: Mises.org/HAP495aHow Economists Evaluate Tariffs Versus Income Taxes: Mises.org/HAP495bThe St. Louis Federal Reserve Article on Historical U.S. Trade Deficits: Mises.org/HAP495cThe Charts Referenced in this Episode: Mises.org/HAP495dSaez and Zucman, "The Rise of Income and Wealth Inequality in America": Mises.org/HAP495eTrump's Remarks on the US being a "Tariff-Backed Nation": Mises.org/HAP495fThe Tucker Carlson Show with Bob Lighthizer: Mises.org/HAP495gThe Mises Institute is giving away 100,000 copies of Murray Rothbard's, What Has Government Done to Our Money? Get your free copy at Mises.org/HAPodFreeJoin the Mises Institute on April 26 in Phoenix, Arizona, as we expose the danger and waste of bureaucracy: Mises.org/Phoenix25
C dans l'air du 20 mars 2025 - Prêts à financer la défense ?Face au désengagement américain, les Européens pressent le pas pour tenter d'assurer eux-mêmes leur défense. Après avoir validé le plan d'investissements "ReArm Europe" au début du mois, les Vingt-Sept se réunissent de nouveau ce jeudi pour examiner les orientations du Livre blanc sur la défense, présenté par la Commission européenne. On y retrouve les grandes lignes du plan dévoilé par Ursula von der Leyen il y a deux semaines, avec un objectif affiché de 800 milliards d'euros pour réarmer l'Europe d'ici 2030 ainsi que des propositions pour aider les États à augmenter leurs dépenses militaires et renforcer l'industrie de défense. Mais des divergences persistent quant au financement de ce plan.En France, le chef de l'Etat a promis mardi d'augmenter les commandes de Rafale ainsi que "d'importantes décisions pour nos armées" dans les "prochaines semaines", dans le cadre de nouveaux investissements décidés en raison de la "bascule" géopolitique. En quelques semaines, la défense est devenue la priorité du gouvernement. Son budget, de plus de 50 milliards d'euros en 2025, devrait doubler d'ici 2030 pour se rapprocher de 100 milliards d'euros, selon le ministre de la Défense. Mais comment financer le réarmement de la France ? A-t-on les moyens de nos ambitions ? Alors qu'investisseurs et entreprises sont réunis ce jeudi au ministère de l'Economie pour réfléchir à une montée en cadence, dans le contexte de la guerre en Ukraine, Eric Lombard a annoncé ce jeudi la création d'un fonds de 450 millions d'euros dans lequel les Français pourront investir pour financer le secteur de la défense. "Il ne peut pas y avoir de nouveau 'quoi qu'il en coûte'" a prévenu de son côté le gouverneur de la Banque de France. La réunion de ce jeudi répond à "une première question 'Qui va prêter au début aux industries de défense ?'""Mais la question plus difficile qui viendra ensuite, qui est plus difficile, c'est : 'Qui va payer à la fin ?'", a poursuivi François Villeroy de Galhau.Si l'exécutif exclut toute hausse d'impôts, le Premier ministre, François Bayrou, a défendu l'idée d'une "reconquête de la production" sur France Inter, sans préciser comment. En travaillant plus, dans la semaine ou dans l'année et tout au long de la vie, a expliqué de son côté Edouard Philippe alors qu'à gauche c'est l'idée d'un grand emprunt européen et d'une taxe Zucman sur les ultrariches qui est poussée. L'Observatoire européen de la fiscalité dirigé par l'économiste français Gabriel Zucman propose de taxer à hauteur de 2 % ou 3 % le patrimoine des ultrariches européens (plus de 100 millions d'euros) pour financer l'effort de défense du Vieux Continent. Cette taxe rapporterait, en fonction du taux retenu, de 67 milliards à 121 milliards d'euros par an.Parallèlement, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel, Olivier Faure, Mathilde Panot ou encore Marine Tondelier ont alerté l'éxécutif sur la situation de Vencorex, un sous-traitant stratégique pour la dissuasion nucléaire française, placée en redressement judiciaire en septembre dernier. "On ne peut pas laisser Vencorex fermer" a estimé le leader de la France insoumise que nous avons suivi lors de son déplacement sur le site ce mercredi. Il a également exhorté le gouvernement à cesser "son baratin sur la souveraineté".Nos journalistes sont également allés en Estonie. Ce pays frontalier de la Russie est désormais l'un des pays de l'OTAN qui investit le plus dans sa défense. Il y consacre 3,4 % de son PIB depuis l'année dernière et entend passer à plus de 5 % de son PIB à partir de 2026. "Avec la Russie, nous avons un délai de trois à cinq ans" a expliqué le ministre des Affaires étrangères estonien qui appelle les autres pays européens à investir de la défense européenne. Les experts :- ALAIN PIROT - Journaliste spécialiste des questions de défense- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro , spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- SYLVIE MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors, auteure de Géopolitique de l'économie - PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce jeudi 13 février, le nouvel impôt planché sur la fortune et le budget alloué à la sécurité sociale, ont été abordés par Alain Villemeur, directeur scientifique de la Chaire TDTE, Christian Parisot, économiste et conseiller auprès d'Aurel BGC, et Christian Poyau, PDG de Micropole, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 12 février, l'utilité de la nouvelle taxe régionale des entreprises appelée "versement mobilité", la discussion autour de la taxe sur la fortune et ce que signifie la taxe Zucman, le patron de la CPME qui veut s'inspirer d'Elon Musk pour réduire les dépenses publiques, ainsi que le taux de chômage qui est en légère baisse, ont été abordés par Céline Antonin, économiste à l'OFCE, Sylvain Orebi, président d'Orientis et de Kusmi Tea, et Agnès Michel, associée chez Ixos Formation, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.