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C dans l'air du 4 décembre 2025 - Qui peut encore sauver le budget... et Lecornu ? Il ne reste plus que quelques jours aux députés pour examiner le projet de budget de la Sécurité sociale, dont le vote solennel est prévu mardi 9 décembre. Le Premier ministre a redit hier qu'il n'utiliserait pas le 49.3 pour le faire passer et a estimé possible de « trouver une zone d'atterrissage […] autour de 20 milliards d'euros de déficit ». Mais les discussions se tendent à l'Assemblée nationale, et Sébastien Lecornu a annulé l'intégralité de ses rendez-vous de la journée, notamment avec la CGT et la CFDT, pour se consacrer « aux débats parlementaires sur le PLFSS ».Beaucoup de tensions se cristallisent autour de la suspension de la réforme des retraites et de l'augmentation de la CSG sur le capital, un point qui doit être examiné ce jeudi par les députés. Le débat promet d'être explosif. Le PS en fait un point clé pour voter le PLFSS (ce qui n'est pas encore acquis), tandis que Les Républicains (LR) et Horizons ne veulent pas en entendre parler. Édouard Philippe et ses troupes ont menacé ces dernières heures de ne pas voter le PLFSS si ces « irritants » restent dans le texte. Ce qui n'a pas manqué de faire réagir le patron de Renaissance : Gabriel Attal a appelé le fondateur d'Horizons à garder « son sang-froid » et ses « nerfs solides ». « Dans la période où l'air de la vie politique est devenu totalement irrespirable […], on a besoin de points de repère (…) Il faut tout faire pour avoir un budget d'ici la fin de l'année », a-t-il ajouté à destination de son prédécesseur à Matignon.Le socle commun, sur lequel s'appuie Sébastien Lecornu et qui va de Renaissance à LR en passant par le MoDem et Horizons, se fracture alors que, chez LR, à l'approche des municipales, la tentation d'une alliance avec l'extrême droite gagne du terrain. Invité de la matinale de TF1 mercredi, Laurent Wauquiez a expliqué la ligne de son parti si jamais le candidat LR n'était pas présent au second tour : « Nous appellerons à voter tout sauf LFI. Cela veut dire voter blanc, cela veut dire voter pour ceux qui sont en face, quel que soit le parti. Tout sauf LFI, je ne peux pas être plus clair », a déclaré le président des députés LR. Et, dans certaines communes, certains franchissent le pas dès le premier tour. Ainsi, à Bourg-en-Bresse, des élus d'opposition Les Républicains ont décidé de se ranger derrière le candidat Reconquête pour constituer une liste commune.Alors, un compromis est-il possible sur le budget de la Sécurité sociale ? Édouard Philippe veut-il faire tomber le gouvernement Lecornu ? Quelle est la position du parti LR vis-à-vis du RN et de Reconquête ? Enfin, après trois ans au pouvoir, quel est le bilan de la politique de Giorgia Meloni ?Nos experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Métamorphoses françaises
C dans l'air du 4 décembre 2025 - Qui peut encore sauver le budget... et Lecornu ? Il ne reste plus que quelques jours aux députés pour examiner le projet de budget de la Sécurité sociale, dont le vote solennel est prévu mardi 9 décembre. Le Premier ministre a redit hier qu'il n'utiliserait pas le 49.3 pour le faire passer et a estimé possible de « trouver une zone d'atterrissage […] autour de 20 milliards d'euros de déficit ». Mais les discussions se tendent à l'Assemblée nationale, et Sébastien Lecornu a annulé l'intégralité de ses rendez-vous de la journée, notamment avec la CGT et la CFDT, pour se consacrer « aux débats parlementaires sur le PLFSS ».Beaucoup de tensions se cristallisent autour de la suspension de la réforme des retraites et de l'augmentation de la CSG sur le capital, un point qui doit être examiné ce jeudi par les députés. Le débat promet d'être explosif. Le PS en fait un point clé pour voter le PLFSS (ce qui n'est pas encore acquis), tandis que Les Républicains (LR) et Horizons ne veulent pas en entendre parler. Édouard Philippe et ses troupes ont menacé ces dernières heures de ne pas voter le PLFSS si ces « irritants » restent dans le texte. Ce qui n'a pas manqué de faire réagir le patron de Renaissance : Gabriel Attal a appelé le fondateur d'Horizons à garder « son sang-froid » et ses « nerfs solides ». « Dans la période où l'air de la vie politique est devenu totalement irrespirable […], on a besoin de points de repère (…) Il faut tout faire pour avoir un budget d'ici la fin de l'année », a-t-il ajouté à destination de son prédécesseur à Matignon.Le socle commun, sur lequel s'appuie Sébastien Lecornu et qui va de Renaissance à LR en passant par le MoDem et Horizons, se fracture alors que, chez LR, à l'approche des municipales, la tentation d'une alliance avec l'extrême droite gagne du terrain. Invité de la matinale de TF1 mercredi, Laurent Wauquiez a expliqué la ligne de son parti si jamais le candidat LR n'était pas présent au second tour : « Nous appellerons à voter tout sauf LFI. Cela veut dire voter blanc, cela veut dire voter pour ceux qui sont en face, quel que soit le parti. Tout sauf LFI, je ne peux pas être plus clair », a déclaré le président des députés LR. Et, dans certaines communes, certains franchissent le pas dès le premier tour. Ainsi, à Bourg-en-Bresse, des élus d'opposition Les Républicains ont décidé de se ranger derrière le candidat Reconquête pour constituer une liste commune.Alors, un compromis est-il possible sur le budget de la Sécurité sociale ? Édouard Philippe veut-il faire tomber le gouvernement Lecornu ? Quelle est la position du parti LR vis-à-vis du RN et de Reconquête ? Enfin, après trois ans au pouvoir, quel est le bilan de la politique de Giorgia Meloni ?Nos experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Métamorphoses françaises
Inchiesta in Europa sulla corruzione, la Russia esulta;Abu Mazen ad Atreju: il colpo di genio di Giorgia Meloni.
A Turin, en Italie, vendredi, les locaux du quotidien la Stampa, l'un des plus vieux et des plus importants du pays, ont été mis à sac par des activistes pro-palestiniens. En marge d'une manif, une cinquantaine de militants pro palestiniens cagoulés ont pénétré de force dans la rédaction qu'ils ont saccagée. Les murs ont été tagués de messages «Free Palestine» ou «Les journaux complices d'Israël». On a entendu des cris glaçants : “journaliste terroriste, tu es le premier sur la liste”. L'affaire fait scandale en Italie La classe politique s'indigne unanimement. C'est un «acte très grave qui mérite la plus ferme condamnation», selon Giorgia Meloni. Dans ce concert d'indignation, une voix discordante. Celle de Francesca Albanese, italienne rapporteur spéciale des Nations Unies sur les territoires palestiniens, qui, depuis le 7 octobre, multiplie les sorties douteuses et les dérapages, expliquant que les pogroms devaient « être replacés dans leur contexte». Après une condamnation de pure forme, elle a expliqué que le saccage devait servir “d'avertissement” à la presse italienne pour «qu'elle reprenne son travail, qu'elle remette les faits au centre de ses préoccupations et qu'elle fournisse un minimum d'analyse et de contextualisation». Une justification. Pire : une carte blanche. Pour Francesca Albanese, il est légitime que des nervis fanatisés s'en prennent à journal dont le sérieux est reconnu en Europe. On peut utiliser la menace, les représailles pour imposer aux journalistes une lecture de l'actualité. En parlant d'”avertissement”, elle suggère que la presse est responsable de la violence qui peut la frapper si elle ne plie pas. Dicter l'analyse à coup de nerfs de boeuf et de terreur ça s'appelle le fascisme. Cette volonté d'imposer à la presse une “ vérité” peut prendre d'autres formes. Oui, plus douces, plus insidieuses, mais qui doivent alerter. Ainsi, Emmanuel Macron veut-il relancer une de ses obsessions : la labellisation des médias pour trier la bonne de la mauvaise information. Mais qui décide de ce qui est une bonne information? Une bonne analyse de faits? Des ONG ? Des organisations professionnelles ? D'autres médias ? Et qui décidera que les juges de l'info correcte sont eux mêmes impartiaux ? Le pouvoir en place qui n'aurait évidemment aucun intérêt dans l'affaire ? C'est vertigineux. Comme s'il n'y avait qu'une seule analyse qui s'imposait à tous les médias face aux mêmes faits. Rien de mieux pour tuer la liberté de la presse que de lui imposer une vitrification officielle Selon vous, l'affaire italienne démontre par l'absurde que c'est dangereux. Une fois qu'on aura admis le concept de vérité certifiée, il y aura toujours des Francesca Albanese, persuadées de détenir la vérité, qui estimeront que le coup de poing est un label, un label légitime pour faire taire les "mauvais" journalistes. Oui, la désinformation est un problème et les RS n'arrangent rien. Mais il existe chez nous un droit de la presse. Il punit lourdement la diffusion de fausses informations. Chacun peut s'en saisir. Il existe aussi un autre garde-fou, le bien le plus précieux de la presse. Ses lecteurs, libres de déterminer ce qui est, ou pas, un bon ou un mauvais média, dans la diversité qui leur est offerte. Oui, on doit les inciter à affuter leur esprit critique. Mais la tentation des gardiens de la vérité de décider à leur place, que ce soit sous forme de milice cagoulée ou de grand jury de la pureté, doit faire horreur à la Démocratie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A Turin, en Italie, vendredi, les locaux du quotidien la Stampa, l'un des plus vieux et des plus importants du pays, ont été mis à sac par des activistes pro-palestiniens. En marge d'une manif, une cinquantaine de militants pro palestiniens cagoulés ont pénétré de force dans la rédaction qu'ils ont saccagée. Les murs ont été tagués de messages «Free Palestine» ou «Les journaux complices d'Israël». On a entendu des cris glaçants : “journaliste terroriste, tu es le premier sur la liste”. L'affaire fait scandale en Italie La classe politique s'indigne unanimement. C'est un «acte très grave qui mérite la plus ferme condamnation», selon Giorgia Meloni. Dans ce concert d'indignation, une voix discordante. Celle de Francesca Albanese, italienne rapporteur spéciale des Nations Unies sur les territoires palestiniens, qui, depuis le 7 octobre, multiplie les sorties douteuses et les dérapages, expliquant que les pogroms devaient « être replacés dans leur contexte». Après une condamnation de pure forme, elle a expliqué que le saccage devait servir “d'avertissement” à la presse italienne pour «qu'elle reprenne son travail, qu'elle remette les faits au centre de ses préoccupations et qu'elle fournisse un minimum d'analyse et de contextualisation». Une justification. Pire : une carte blanche. Pour Francesca Albanese, il est légitime que des nervis fanatisés s'en prennent à journal dont le sérieux est reconnu en Europe. On peut utiliser la menace, les représailles pour imposer aux journalistes une lecture de l'actualité. En parlant d'”avertissement”, elle suggère que la presse est responsable de la violence qui peut la frapper si elle ne plie pas. Dicter l'analyse à coup de nerfs de boeuf et de terreur ça s'appelle le fascisme. Cette volonté d'imposer à la presse une “ vérité” peut prendre d'autres formes. Oui, plus douces, plus insidieuses, mais qui doivent alerter. Ainsi, Emmanuel Macron veut-il relancer une de ses obsessions : la labellisation des médias pour trier la bonne de la mauvaise information. Mais qui décide de ce qui est une bonne information? Une bonne analyse de faits? Des ONG ? Des organisations professionnelles ? D'autres médias ? Et qui décidera que les juges de l'info correcte sont eux mêmes impartiaux ? Le pouvoir en place qui n'aurait évidemment aucun intérêt dans l'affaire ? C'est vertigineux. Comme s'il n'y avait qu'une seule analyse qui s'imposait à tous les médias face aux mêmes faits. Rien de mieux pour tuer la liberté de la presse que de lui imposer une vitrification officielle Selon vous, l'affaire italienne démontre par l'absurde que c'est dangereux. Une fois qu'on aura admis le concept de vérité certifiée, il y aura toujours des Francesca Albanese, persuadées de détenir la vérité, qui estimeront que le coup de poing est un label, un label légitime pour faire taire les "mauvais" journalistes. Oui, la désinformation est un problème et les RS n'arrangent rien. Mais il existe chez nous un droit de la presse. Il punit lourdement la diffusion de fausses informations. Chacun peut s'en saisir. Il existe aussi un autre garde-fou, le bien le plus précieux de la presse. Ses lecteurs, libres de déterminer ce qui est, ou pas, un bon ou un mauvais média, dans la diversité qui leur est offerte. Oui, on doit les inciter à affuter leur esprit critique. Mais la tentation des gardiens de la vérité de décider à leur place, que ce soit sous forme de milice cagoulée ou de grand jury de la pureté, doit faire horreur à la Démocratie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 novembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.REDRESSEMENT ITALIEN, DÉCLIN FRANÇAIS : UN PARALLÈLE EN TROMPE-L'ŒILAlors que la France s'enfonce dans la dette, l'Italie redresse ses dépenses publiques. Le 2 octobre, le gouvernement d' « union des droites » de Giorgia Meloni a approuvé les dernières prévisions financières pour fin 2025 : le déficit serait ramené autour de 3% du PIB, ouvrant la porte à une sortie de la procédure pour déficit excessif engagée par la Commission européenne. L'Italie est devenue la quatrième puissance exportatrice mondiale se classant derrière l'Allemagne, elle devance désormais la Corée du Sud. En 2014, elle était classée au septième rang.Ces résultats ne doivent pas occulter une dette italienne restée à des niveaux très préoccupants (140% du PIB). De plus, le redressement financier de l'Italie est facilité par les effets du plan de relance européen décidé durant la crise sanitaire de 2020-2022, particulièrement généreux pour Rome (avec 194 milliards d'euros perçus, le pays est le premier bénéficiaire du dispositif). Une dette souveraine qui n'a pas empêché le 19 septembre l'agence de notation Fitch d'en relever la note à BBB+, quelques jours après avoir abaissé celle de la France à A+, donnant l'impression que les courbes, entre les deux pays, étaient destinées à se croiser, le redressement italien ne faisant que mettre en lumière, par contraste, l'affaiblissement des positions de la France.L'économie italienne conserve de grandes fragilités structurelles, notamment une productivité atone, une croissance en berne et une crise démographique qui ne cesse de s'aggraver, notamment par le départ à l'étranger des Italiens diplômés. Le pays connait une productivité du travail faible, estimée par l'OCDE à 65,60 € par heure en 2024, soit beaucoup moins que la France (90,86€). Deuxième puissance manufacturière d'Europe, l'Italie arrive seulement quatorzième dans le classement des pays membres les plus innovants en 2025, selon la Commission, tandis que le climat social se détériore. Le recul du chômage de 7,8% en 2022 à 6% en 2024 cache une augmentation du nombre de travailleurs pauvres et un temps partiel contraint qui frappe d'abord les femmes. Dans ces circonstances, le nombre de familles en situation de pauvreté absolue se maintient au-dessus de 8 millions, quand le taux de population à risque de pauvreté est de 23,1% en 2024. De plus, une étude d'octobre 2024 menée par plusieurs universités analysant les données de la Banque centrale européenne a mis en évidence le caractère profondément inégalitaire du système fiscal italien. Les principaux avantages fiscaux y seraient ainsi concentrés entre les mains des 7% des plus riches, dont le taux moyen d'imposition se révèle inférieur à celui des classes moyennes moins favorisées.En dépit de ces faiblesses, 39% des Italiens, selon le baromètre publié en février 2025 par le Centre de recherches politiques de Sciences Po, déclarent faire confiance à la politique, contre 26% des Français. L'Italie, il est vrai, connait depuis trois ans, contrairement à la France, une stabilité gouvernementale inédite.LE PLAN DE PAIX DE TRUMP POUR L'UKRAINELe 18 novembre, un plan de paix en Ukraine, détaillé en 28 points a sidéré les Ukrainiens et les Européens, tant cette esquisse inacceptable à leurs yeux était alignée sur les positions russes. Il stipule notamment que la Crimée (annexée par la Russie en 2014) ainsi que Louhansk et Donetsk seront « reconnues comme russes de facto, y compris par les Etats-Unis ». Il évoque aussi la création d'une « zone tampon démilitarisée » et neutre dans la partie de l'oblast de Donetsk contrôlée par l'Ukraine, qui serait « internationalement reconnue comme territoire appartenant à la Fédération de Russie », mais où les forces russes n'entreraient pas. Il y est énoncé encore que l'Ukraine devrait renoncer à son projet d'adhérer à l'OTAN et réduire à 600.000 soldats ses forces armées. Il ouvre la voie à une amnistie générale, y compris pour les crimes de guerre dont est accusé le dirigeant russe, Vladimir Poutine, ainsi qu'à une levée progressive des sanctions occidentales, voire à un retour de la Russie dans le G8.Les négociations entreprises dimanche à Genève, entre les conseillers à la sécurité nationale américains, ukrainiens et européens, ont permis de remodeler le plan Trump et de le nettoyer de ses aspects les plus problématiques. Sur les 28 points initiaux, il n'en restait plus que 19 lundi. Certains paragraphes ont été tout simplement rayés, comme la suggestion de réintégrer la Russie dans le G8, ou d'offrir la possibilité pour les Etats-Unis d'utiliser les actifs russes gelés, majoritairement détenus dans des pays européens, afin de financer l'effort de reconstruction. Les mentions concernant directement les intérêts européens, comme les sanctions, la perspective que l'Ukraine adhère à l'Union européenne ou qu'elle n'intègre jamais l'OTAN ont été remises à plus tard. Ce nouveau plan en 19 points n'est pas définitif. Divers ajustements et précisions doivent encore être négociées dans les coulisses, avant d'être soumis à la Russie. Mais la copie paraît désormais acceptable à la fois aux Ukrainiens, aux Américains et aux Européens. Il n'est plus question pour Kyiv de renoncer aux territoires conquis par la Russie, ni d'établir une zone tampon sur son sol mais de proposer un armistice sur la ligne de front actuelle qui serait gelée. Il n'est plus envisagé de réduire par deux la taille de l'armée ukrainienne. « Beaucoup de choses justes ont été prises en compte » à Genève, a observé Volodymyr Zelensky, lundi, indiquant qu'il négociera lui-même avec Donald Trump les points les plus sensibles laissés de côté, lors d'une rencontre dont la date est incertaine. En écho, Vladimir Poutine a déclaré jeudi que « les combats cesseront » quand l'armée ukrainienne « quittera les territoires qu'elle occupe » (= les régions revendiquées par Moscou) et qu'il ne peut pas y avoir d'accord de paix car le gouvernement ukrainien n'est pas légitime.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dal fronte ucraino dove regna lo stallo, ma almeno non si spara, a quello italiano della politica con il commento di Mario Ajello sul confronto diretto tra Giorgia Meloni ed Elly Schlein, quindi voliamo in America dove è morta la soldatessa Sara Beckstrom colpita durante la sparatoria alla Casa Bianca da un ex parà afgano che ha collaborato con la Cia e di cui Anna Guaita ci tratteggia il profilo, per la cronaca torniamo in Abruzzo con Michele Milletti e Sonia Paglia e il caso della famiglia che vive nel bosco di cui ci rivelano il contenuto di una lettera, per la storia di sport Massimo Boccucci ci parla di calcio internazionale e di una opportunità per l'Italia, chiudiamo con un altro film scelto da Momenti di Gloria la rubrica di cinema dell'esperta del Messaggero Gloria Satta.
Oggi parliamo dei vitalizi degli ex parlamentari, della sfida di Elly Schlein a Giorgia Meloni, dell'attentato a Washington e di Afghanistan. ... Per iscriverti al canale Whatsapp: https://whatsapp.com/channel/0029Va7X7C4DjiOmdBGtOL3z Per iscriverti al canale Telegram: https://t.me/notizieacolazione Qui per provare MF GPT ... Gli altri podcast di Class Editori: https://milanofinanza.it/podcast Musica https://www.bensound.com Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dal fronte ucraino dove regno lo stallo, ma almeno non si spara, a quello italiano della politica con il commento di Mario Ajello sul confronto diretto tra Giorgia Meloni ed Elly Schlein, quindi voliamo in America dove è morta la soldatessa Sara Beckstrom colpita durante la sparatoria alla Casa Bianca da un ex parà afgano già collaboratore della Cia e dell'intelligence Usa e di cui Anna Guaita ci tratteggia il profilo, per la cronaca torniamo in Abruzzo con Michele Milletti e Sonia Paglia e il caso della famiglia che vive nel bosco di cui ci rivelano il contenuto di una lettera, per la storia di sport Massimo ci racconta in esclusiva per Prima Pagina Messaggero quella di un centravanti che sarà famoso, Chiudiamo con un altro film scelto da Momenti di Gloria la rubrica di cinema dell'esperta del Messaggero Gloria Satta.
Dal fronte ucraino dove regno lo stallo, ma almeno non si spara, a quello italiano della politica con il commento di Mario Ajello sul confronto diretto tra Giorgia Meloni ed Elly Schlein, quindi voliamo in America dove è morta la soldatessa Sara Beckstrom colpita durante la sparatoria alla Casa Bianca da un ex parà afgano già collaboratore della Cia e dell'intelligence Usa e di cui Anna Guaita ci tratteggia il profilo, per la cronaca torniamo in Abruzzo con Michele Milletti e Sonia Paglia e il caso della famiglia che vive nel bosco di cui ci rivelano il contenuto di una lettera, per la storia di sport Massimo Boccucci ci racconta in esclusiva per Prima Pagina Messaggero quella di un centravanti che sarà famoso, Chiudiamo con un altro film scelto da Momenti di Gloria la rubrica di cinema dell'esperta del Messaggero Gloria Satta.
L'apertura è sulle attenzioni per Roma, mentre l'analisi di Andrea Bulleri ci parla di un possibile faccia a faccia tra Giorgia Meloni ed Elly Schlein, quindi ci spostiamo in America con Anna Guaita, l'attacco ai militari della Casa Bianca e il fermo di un ventinovenne, quindi torniamo in Italia con l'inviata Federica Pozzi, il processo per morte di Willy e niente sconti per i suoi assassini, con Michele Milletti e Sonia Paglia ci spostiamo in Abruzzo dove il caso della famiglia che vive nel bosco fa ancora discutere, per lo spettacolo andiamo al cinema con l'esperta del Messaggero Gloria Satta e un film molto particolare, per la storia di sport oggi Massimo Boccucci ci porta a Rimini dove per il calcio non sono rose e fiori, domani con il Messaggero c'è l'inserto gratuito MoltoDonna da Giampiero Valenza alcune interessanti anticipazioni.
«La Suisse dépasse en général assez brillamment ses crises existentielles et d'identité»A l'occasion du sixième Forum des médias romands https://forum-medias.ch, «Sous la coupole» a rencontré en public l'auteur et analyste politique Giuliano da Empoli. Le mage du Kremlin, Les ingénieurs du chaos, L'heure des prédateurs, c'est lui! Sa spécialité? Cet obscur objet de désir et de répulsion qu'est le pouvoir. Les «miracles» version Donald Trump , le cas Elon Musk, l'inoxydable modèle suisse, Giorgia Meloni, l'Europe, la migration, la convergence des luttes entre « conquistadors de la tech» et politiques: autant de sujets abordés sans tabou au micro de Romain Clivaz. Bonne écoute! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Due ore. Tanto è durato il vertice dei leader a Palazzo Chigi per mettere a punto alcune possibili modifiche alla legge di bilancio.
Pace per le vittime di Sarajevo Antonia Klugmann lancia un appello per la tutela del territorio Elly Schlein e Giorgia Meloni collaborano contro la violenza di genere La nave di Teseo festeggia il suo decimo compleanno La festa prima della festa
Samuele Finetti spiega che cosa rivelano sulla trattativa per la pace in Ucraina le trascrizioni delle telefonate fra l'inviato di Trump e Yuri Ushakov, consigliere di Putin. Cesare Zapperi elenca le ragioni politiche che hanno spinto il leader della Lega a criticare il ddl nato da un accordo fra Giorgia Meloni ed Elly Schlein, ora fermo al Senato. Velia Alvich parla dell'indagine aperta per abuso di posizione dominante a causa dell'AI su WhatsApp.I link di corriere.it:La clamorosa telefonata in cui Witkoff dava consigli al Cremlino sull'Ucraina: «Putin chiami Trump prima che lui veda Zelensky»Salvini boccia la legge sul consenso: «Testo troppo discrezionale, lascia spazio alle vendette»L'Antitrust indaga Meta per abuso di posizione dominante: su WhatsApp vietato distribuire chatbot diversi da MetaAI
#notizie #podcast #politica #rassegnastampa
Federico Fubini racconta come procede la trattativa sulla pace, con i nodi sulla cessione di territori da parte di Kiev, che chiede anche più garanzie di sicurezza. Valentina Santarpia parla della richiesta di approfondimento voluta dalla maggioranza sull'emendamento nato dall'accordo fra Giorgia Meloni ed Elly Schlein. Valentina Baldisserri riepiloga il caso della coppia anglo-australiana cui il Tribunale dei minori de L'Aquila ha revocato la potestà genitoriale.I link di corriere.it:Così Putin vuole bloccare i fondi per l'Ucraina. Le esche e le trappole del CremlinoIl reato di femminicidio è legge. Scontro invece sul Ddl consenso, la maggioranza fa mancare l'unanimità: il testo slitta al Senato, ira delle opposizioni: «Salta il patto Meloni-Schlein»I bimbi tolti alla famiglia nel bosco: «Fateci tornare a casa». I punti critici: malattie, casa, scuola e amici
È durato circa venti minuti l'incontro di ieri (19 novembre) al Quirinale tra Giorgia Meloni e Sergio Mattarella. Un incontro "riparatorio" - si dice - dopo le tensioni per l'attacco al Colle di Fratelli d'Italia.
El gobierno laborista de Keir Starmer presentó este lunes la reforma más dura de la política de asilo desde la posguerra. Entre las medidas que contempla son deportaciones más rápidas, alargar de cinco a veinte años el plazo para obtener la residencia permanente, establecer un cupo anual máximo de refugiados, revisar periódicamente la seguridad de los países de origen y confiscar dinero y joyas a los solicitantes para sufragar su alojamiento y los trámites burocráticos. Además de eso, Starmer amenaza con restringir visados a países, sobre todo africanos, que se nieguen a aceptar repatriaciones. La reforma llega cuando las entradas ilegales en la Unión Europea han caído casi un 25% en el último año, pero en el Reino Unido las solicitudes de asilo superaron las 100.000 en 2024, muchas de ellas cruzando el Canal de la Mancha en pequeñas embarcaciones. El coste de alojar a unos 30.000 solicitantes en hoteles alcanzó los 2.000 millones de libras el año pasado, un gasto que ha disparado el rechazo ciudadano y el ascenso de Reform UK, el partido de Nigel Farage. Dentro del Partido Laborista la propuesta ha desatado una tormenta. Decenas de diputados de izquierda amenazan con votar en contra y esto podría provocar una gran crisis interna dentro del laborismo. El anuncio británico se inscribe en una ola de endurecimiento de la política de asilo que recorre toda Europa, y que pone en cuestión el sistema internacional de asilo tal y como se concibió en 1951. Aquel régimen nació para proteger a disidentes del bloque soviético y como respuesta moral al rechazo a los judíos en los años treinta. Setenta y cinco años después, con 1.000 millones de personas deseando emigrar y viajes muy asequibles, la figura del refugio político se utiliza como coartada para la inmigración económica. La mayoría de solicitudes se rechazan, pero los procesos duran años y permiten permanecer en el país mientras se resuelven. Los críticos señalan que acoger a los refugiados a miles de kilómetros de sus países resulta carísimo, sirve sólo a los más jóvenes y genera rechazo entre los ciudadanos del país de acogida. La historia demuestra que los desplazados por un conflicto que se refugian en países vecinos con cultura y lengua similares regresan antes cuando se acaban los problemas en su país. Un refugiado en un país vecino es mucho más barato de sostener que en Europa o Estados Unidos donde los Gobiernos tienen que asignarles viviendas sociales y subsidios. Cada vez más voces piden replantearse el modelo desde cero. Reforzar la ayuda a ACNUR y a los países de primera acogida, procesar las solicitudes en terceros países seguros (como propone Giorgia Meloni con Albania) y separar con claridad el asilo político genuino de la inmigración laboral. Europa necesita mano de obra por el envejecimiento de su población, pero debe poder decidir cuánta, de dónde y con qué perfil. Eso con el sistema actual es imposible ya que se emplea como puerta trasera para la inmigración irregular. Con el plan de Starmer y los que se están adoptando en otras partes de Europa, el debate ya no es si el actual régimen de asilo está agotado, sino cómo sustituirlo. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:37 La crisis del refugio político 33:30 “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R 35:29 La burbuja de la IA 44:47 Milei Superstar 50:06 Por qué huyen del centro - https://youtu.be/6Wjklc7hyfE · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #inmigracion #asilo Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
En una nueva edición de Página 13, Iván Valenzuela y Kike Mujica conversaron con los columnistas Paula Escobar y Cristián Valdivieso sobre de la primera ministra de Italia, Giorgia Meloni, la referente del abanderado republicano José Antonio Kast. Además, comentaron las claves de la elección y lo que se viene para la segunda vuelta.
Per la Suprema Corte, "Cetto la qualunque" detto al sindaco non è insulto, ma satira, il commento di Mario Ajello cerca di rispondere a un quesito mica semplice: armare o non armare ancora l'Ucraina? Quindi il rapporto sulla povertà in Italia con l'analisi di Michela Allegri, quante volte “all you can eat” o “al you can fly” è una truffa, alla questione risponde il servizio di Laura Pace; Momenti di Gloria oggi è dedicato al compleanno molto speciale di Carlo Verdone che ci racconta Gloria Satta, per la di sport oggi Massimo Boccucci si annuncia un super sabato dedicato al tennis.
Surnommée « la COP de la vérité » par le président brésilien Lula, la 30ᵉ Conférence des Nations unies pour le Climat s'est ouverte, ce lundi 10 novembre 2025, à Belém. S'attaquer à la désinformation climatique figure parmi les nombreux enjeux de cette messe annuelle sur le climat. Pour la première fois, plusieurs États se sont engagés à lutter contre ce phénomène. « Infliger une nouvelle défaite aux négationnistes. » C'est avec ces mots que le président brésilien Lula a ouvert la 30ᵉ Conférence de l'ONU pour le climat, qui se déroule actuellement, au Brésil, à Belém. Ce mercredi, une douzaine d'États, dont la France, l'Allemagne et le Brésil, ont signé un texte inédit appelant à lutter contre la désinformation climatique. Alors simples effets d'annonce ou véritable prise de conscience ? Comment ces infox entravent la lutte contre le réchauffement climatique ? On en parle avec notre invité, Eva Morel, secrétaire générale et cofondatrice de l'association Quota Climat qui lutte pour une meilleure représentation des informations environnementales dans les médias. Niger: la junte sème le doute sur un exercice militaire français Quand un exercice de l'armée française dans le golfe de Guinée est présenté, à tort, comme une opération de déstabilisation. Dans sa chronique, Olivier Fourt revient sur cette nouvelle infox diffusée par le pouvoir en place au Niger. Ce n'est pas la première fois que le chef du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) affiche des positions hostiles à la France. Cette fois-ci, il pointe du doigt la présence d'un porte-hélicoptères français dans le port de Cotonou, alors que les relations entre le Bénin et le Niger sont dans l'impasse. À lire aussiNiger: la junte tente de semer le trouble autour d'un exercice naval de l'armée française Non, l'Italie n'a pas quitté l'UE Contrairement à ce qui circule sur les réseaux sociaux depuis plusieurs mois, Giorgia Meloni n'a pas annoncé que l'Italie allait se retirer de l'Union européenne. Kahofi Suy, journaliste pour AFP Factuel, nous explique l'origine de cette rumeur.
There was a time when women like Jacinda Ardern in New Zealand and Angela Merkel in Germany seemed to rewrite the rules of leadership. They led with calm, empathy and reason.But the picture has changed. Across countries, a new generation of women leaders is rising. There's Giorgia Meloni in Italy, Marine Le Pen in France, Alice Weidel in Germany and now Sanae Takaichi in Japan. They're shattering glass ceilings while standing on nationalist, conservative platforms.So what does this really mean for women? Is their rise a step forward or just another version of the old power? Guest: Suhasini Haider, National Editor, The HinduHost: Anupama Chandrasekaran Edited and produced by Sharmada Venkatasubramanian Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
E dopo la sentenza della Cassazione in apertura, Francesco Bechis ci racconta il duello a distanza tra Maurizio Landini e Giorgia Meloni ; in America continua la crisi nera per la mancanza di fondi federali, sentiamo i motivi da Angelo Paura; cosa spinge i giovani agli eccessi a tutti i costi? Ce lo spiega Laura Pace nel suo servizio; con la storia di sport di Massimo Boccucci ci spostiamo a Torino dove sono puntati tutti gli occhi del tennis mondiale e chiudiamo con Momenti di gloria e con Gloria Satta che rievoca la commedia sexy all'italiana.
Il 30 ottobre il senato italiano ha approvato, tra le proteste delle opposizioni, la riforma della giustizia, uno dei pilastri del programma di governo di Giorgia Meloni, che prevede tra le altre cose la separazione delle carriere dei magistrati. Con Carlo Canepa, responsabile editoriale di Pagella politica.Il 29 ottobre sono scoppiate grandi manifestazioni in diverse città della Tanzania, in concomitanza con le elezioni presidenziali, per denunciare l'assenza dei candidati dell'opposizione e i metodi autoritari della presidente Samia Suluhu Hassan. Con Stefano Pancera, giornalista.Oggi parliamo anche di:Cinema • The ugly stepsister di Emilie BlichfeldtCi piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti
SHOW 11-4-25 CBS EYE ON THE WORLD WITH JOHN BATCHELOR 18865 PUBLISHER ROW THE SHOW BEGINS IN THE DOUBTS ABOUT NEW YORK CITY AND LONDON. FIRST HOUR 9-915 Economic Policy and China Trade. Elizabeth Peek discusses the US economy, where Treasury Secretary Bessent asserts that housing is in recession due to high Federal Reserve rates. Peek argues that lower rates are needed to "unstick" the housing market. The Fed, led by Jay Powell, is fixated on inflation, though Peek questions his rationale regarding tariffs and labor demand. The conversation also covers the Trump-Xi meeting, which was anticlimactic, postponing confrontation for a year. Key concessions included China relenting on rare earth exports and American soybean boycotts. 915-930 Economic Policy and China Trade. Elizabeth Peek discusses the US economy, where Treasury Secretary Bessent asser 930-945 The Far Right in Europe and German Rearmament. Judy Dempsey examines the rise of Europe's far right, noting that while they succeed in complaining, they often struggle to govern, exe. 945-1000 The Far Right in Europe and German Rearmament. Judy Dempsey examines the rise of Europe's far right, noting that while they succeed in complaining, they often struggle to govern, exemplified by t. SECOND HOUR 1245-100 AM Nigeria, Venezuela Intervention, and China Power Struggles. Gregory Copley discusses Trump's order for military action in Nigeria, noting the violence is complex and not strictly genocide against Christians, contrasting it with US refusal to provide past aid. Discussion shifts to the overwhelming US military buildup near Venezuela, which might force Maduro's departure by damaging his credibility, possibly via anti-narcotics action. The interview concludes by analyzing the anticlimactic Trump-Xi meeting, attributing the lack of confrontation to Xi Jinping's significantly weakened position due to China's shattered economy and internal power struggles. SHOW 11-4-25 CBS EYE ON THE WORLD WITH JOHN BATCHELOR THE SHOW BEGINS IN THE DOUBTS ABOUT NEW YORK CITY AND LONDON. FIRST HOUR 9-915 Economic Policy and China Trade. Elizabeth Peek discusses the US economy, where Treasury Secretary Bessent asserts that housing is in recession due to high Federal Reserve rates. Peek argues that lower rates are needed to "unstick" the housing market. The Fed, led by Jay Powell, is fixated on inflation, though Peek questions his rationale regarding tariffs and labor demand. The conversation also covers the Trump-Xi meeting, which was anticlimactic, postponing confrontation for a year. Key concessions included China relenting on rare earth exports and American soybean boycotts. 915-930 Economic Policy and China Trade. Elizabeth Peek discusses the US economy, where Treasury . 930-945 The Far Right in Europe and German Rearmament. Judy Dempsey examines the rise of Europe's far right, noting that while they succeed in complaining, they often struggle to govern, exemplified by the AfD's lack of concrete policies. Hungary's Viktor Orbán, though long-ruling, now faces popular pressure. Dempsey highlights Italy's Giorgia Meloni as an exception who has successfully governed by clearly communicating her reform agenda. She confirms that Russia supports destabilizing far-right movements across Europe, particularly hoping for an AfD win. Additionally, Germany's Chancellor Merz is committed to redeveloping the military and infrastructure for NATO defense. 945-1000 The Far Right in Europe and German Rearmament. Judy Dempsey examines the rise of Europe's far right, noting that while they succeed in complaining, they often struggle to govern, exemplified by the AfD's lack of concrete policies. Hungary's Viktor Orbán, though long-ruling, now faces popular pressure. Dempsey highlights Italy's Giorgia Meloni as an exception who has successfully governed by clearly communicating her reform agenda. She confirms that Russia supports destabilizing far-right movements across Europe, particularly hoping for an AfD win. Additionally, Germany's Chancellor Merz is committed to redeveloping the military and infrastructure for NATO defense. SECOND HOUR 10-1015 Venezuela Pressure Campaign and Asian Diplomacy. Mary Kissel analyzes the massive US military buildup near Venezuela, staged from Roosevelt Roads, noting that the Trump administration prioritizes removing Maduro due to national security threats. She emphasizes that the State Department possesses numerous non-military levers, like sanctions and international pressure through the OAS, to induce Maduro's exit without direct intervention. Kissel also characterizes President Trump's diplomatic engagement at ASEAN and APEC as very successful, securing vital commitments on rare earth mining and processing to counter Chinese economic threats in the Pacific. 1015-1030 Venezuela Pressure Campaign and Asian Diplomacy. Mary Kissel analyzes the massive US military buildup near Venezuela, staged from Roosevelt Roads, noting that the Trump administration prioritizes removing Maduro due to national security threats. She emphasizes that the State Department possesses numerous non-military levers, like sanctions and international pressure through the OAS, to induce Maduro's exit without direct intervention. Kissel also characterizes President Trump's diplomatic engagement at ASEAN and APEC as very successful, securing vital commitments on rare earth mining and processing to counter Chinese economic threats in the Pacific. 1030-1045 Hamas Leverage, Gaza Ruin, and Hezbollah Rearmament. Jonathan Schanzer explains that Hamas is stalling hostage releases to maintain leverage, banking on Israel's lack of "strategic patience" for indefinite occupation. He explores the idea of a "Tale of Two Gazas," where Israel controls 53% and Hamas 47%, warning that reconstruction aid is improbable if Hamas remains in power. He highlights growing dangers, including the rearming of Hezbollah by Iran and unexpectedly Turkey, forcing Israel to reconsider the northern front. He adds that the Israeli military is actively engaged in "constant gardening" to address armed gangs in the West Bank. 1045-1100 Hamas Leverage, Gaza Ruin, and Hezbollah Rearmament. Jonathan Schanzer explains that Hamas is stalling hostage releases to maintain leverage, banking on Israel's lack of "strategic patience" for indefinite occupation. He explores the idea of a "Tale of Two Gazas," where Israel controls 53% and Hamas 47%, warning that reconstruction aid is improbable if Hamas remains in power. He highlights growing dangers, including the rearming of Hezbollah by Iran and unexpectedly Turkey, forcing Israel to reconsider the northern front. He adds that the Israeli military is actively engaged in "constant gardening" to address armed gangs in the West Bank. THIRD HOUR 1100-1115 The Rise of Extremist Politics in the US and UK. Joseph Sternberg analyzes the rise of extreme political figures like New York mayoral candidate Zohran Mamdani, warning conservatives that opponents' political mistak 1115-1130 The Rise of Extremist Politics in the US and UK. Joseph Sternberg analyzes the rise of extreme political figures like New York mayoral candidate Zohran Mamdani, warning conservatives that opponents' political mistakes do not guarantee their success, citing the UK's Jeremy Corbyn as a parallel. He notes that frustrated voters seek "sledgehammers" on both the left and right. In the UK, he details how Chancellor Rachel Reeves and the Labour government are suffering plummeting approval due to economic mismanagement, forcing tax hikes and breaking promises, benefiting Nigel Farage's Reform UK party. 1130-1145 Nuclear Testing, Venezuela Buildup, and Gaza Occupation. Colonel Jeff McCausland criticizes Secretary Hegseth's suggestion that resuming nuclear testing would make nuclear war "less likely," noting that the US deterrent is already credible and testing would destabilize adversaries. He highlights the excessive US military buildup near Venezuela, questioning the post-intervention mission, referencing the "Pottery Barn theory." Regarding Gaza, he suggests the potential creation of "two Gazas" leads to an indefinite, burdensome Israeli occupation and creates a breeding ground for future insurgency. 1145-1200 Nuclear Testing, Venezuela Buildup, and Gaza Occupation. Colonel Jeff McCausland criticizes Secretary Hegseth's suggestion that resuming nuclear testing would make nuclear war "less likely," noting that the US deterrent is already credible and testing would destabilize adversaries. He highlights the excessive US military buildup near Venezuela, questioning the post-intervention mission, referencing the "Pottery Barn theory." Regarding Gaza, he suggests the potential creation of "two Gazas" leads to an indefinite, burdensome Israeli occupation and creates a breeding ground for future insurgency. FOURTH HOUR 12-1215 Nigeria, Venezuela Intervention, and China Power Struggles. Gregory Copley discusses Trump's order for military action in Nige. 1215-1230 Nigeria, Venezuela Intervention, and China Power Struggles. Gregory Copley discusses Trump's order for military 1230-1245 Nigeria, Venezuela Intervention, and China Power Struggles. Gregory Copley discusses Trump's order for military action in Nigeria, noting the violence is complex and not strictly genocide against Christians, contrasting it with US refusal to provide past aid. Discussion shifts to the overwhelming US military buildup near Venezuela, which might force Maduro's departure by damaging his credibility, possibly via anti-narcotics action. The interview concludes by analyzing the anticlimactic Trump-Xi meeting, attributing the lack of confrontation to Xi Jinping's significantly weakened position due to China's shattered economy and internal power struggles. 1245-100 AM Nigeria, Venezuela Intervention, and China Power Struggles. Gregory Copley d
För tre år sedan bildade Giorgia Meloni sin koalitionsregering i Italien. Men har hennes parti verkligen distanserat sig från den fascistiska historien? Författaren Anders Carlberg intervjuar partiets Europaparlamentariker Nicola Procaccini. Inläsare: Staffan Dopping
The Far Right in Europe and German Rearmament. Judy Dempsey examines the rise of Europe's far right, noting that while they succeed in complaining, they often struggle to govern, exemplified by the AfD's lack of concrete policies. Hungary's Viktor Orbán, though long-ruling, now faces popular pressure. Dempsey highlights Italy's Giorgia Meloni as an exception who has successfully governed by clearly communicating her reform agenda. She confirms that Russia supports destabilizing far-right movements across Europe, particularly hoping for an AfD win. Additionally, Germany's Chancellor Merz is committed to redeveloping the military and infrastructure for NATO defense.
The Far Right in Europe and German Rearmament. Judy Dempsey examines the rise of Europe's far right, noting that while they succeed in complaining, they often struggle to govern, exemplified by the AfD's lack of concrete policies. Hungary's Viktor Orbán, though long-ruling, now faces popular pressure. Dempsey highlights Italy's Giorgia Meloni as an exception who has successfully governed by clearly communicating her reform agenda. She confirms that Russia supports destabilizing far-right movements across Europe, particularly hoping for an AfD win. Additionally, Germany's Chancellor Merz is committed to redeveloping the military and infrastructure for NATO defense.
La Russia attacca l’Italia e ironizza sul crollo della torre - Quanto guadagna Giorgia Meloni?
Las elecciones en los Países Bajos, celebradas el pasado miércoles, se han saldado con una sorpresa: la victoria del partido liberal-progresista D66 de Rob Jetten. D66 ha conseguido triplicar sus escaños pasando de 9 a 26 y convertirse así en el más votado. Ha sido por la mínima, eso sí, pero el segundo, el Partido por la Libertad (PVV) de Geert Wilders cosechó unos resultados especialmente malos si los comparamos con los de hace solo dos años. Estas elecciones eran anticipadas tras la salida de la coalición de Gobierno del PVV en el mes de junio. La coalición era frágil y se rompió por donde todos los analistas esperaban que lo hiciese: por el tema de la inmigración. El primer ministro Dick Schoof, sucesor de Mark Rutte, perdió la mayoría y eso le forzaba a adelantar las elecciones. El ganador, Rob Jetten, de sólo 38 años, se convierte así en la estrella indiscutible de la política holandesa. Su triunfo marca el mejor resultado histórico del D66 y puede exigir el puesto de primer ministro cuando se siente a negociar un Gobierno. La derrota de Wilders, que hasta hace no tanto tiempo era el hombre de moda de la derecha identitaria europea, es una advertencia para partidos de este tipo que en estos momentos encabezan las encuestas en varios países del continente. Ganar no basta; deben gobernar y controlar directamente las coaliciones. Algo parecido a lo que ha hecho Giorgia Meloni en Italia. Formar gobierno en los Países Bajos es de una complejidad notable ya que los Estados Generales se encuentran muy fragmentados desde hace tiempo. La cámara baja alberga a nada menos que 15 partidos que se reparten sus 150 escaños. La mayoría absoluta es 76, pero Jetten está muy lejos de eso. Sólo tendrá 26 diputados propios, por lo que para poder ser investido y disfrutar de un Gobierno estable necesitara entre tres y cuatro socios. Las negociaciones pueden durar meses y no van a ser fáciles. El hecho es que, a pesar de que en muchas partes de Europa los resultados de las elecciones holandesas se han recibido con alborozo, lo cierto es que la derecha identitaria no ha retrocedido. Es cierto que el partido de Wilders se ha dejado muchos votos y escaños, pero son los mismos que han ganado otros dos partidos con posiciones ideológicas muy similares: el JA21 de Joost Eerdmans y el Foro por la Democracia. La victoria de Jetten se debe a que la izquierda ha perdido peso. El candidato de Groenlinks, Frans Timmermans, se ha visto incluso obligado a dimitir tras llevar al partido al cuarto puesto. El D66 hizo una muy buena campaña que cimentó sobre un mensaje optimista con el que trataba de atraerse a votantes de izquierda y de derecha. El cambio de voto es muy habitual en Holanda, no existe nada parecido a una suerte política comprada. Esa es la principal lección que deberían extraer los liberales de otras partes de Europa que quieran seguir el ejemplo holandés que, a la luz de un análisis más sosegado de los resultados, electoralmente no es tan excepcional como pudiera parecer. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:33 La excepción holandesa 34:52 Contra el pesimismo - https://amzn.to/4m1RX2R 36:51 Elecciones en Irlanda 40:48 Sanciones a Rusia 47:15 Tower Hamlets y las zonas "no go" · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #holanda #robjetten Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Il 10 ottobre Enrico Mentana usa la parola “transumanza” in riferimento al ritorno della popolazione palestinese a Gaza City. Il 14 ottobre Maurizio Landini definisce “cortigiana” Giorgia Meloni. Alcune mie considerazioni sull'impiego di questi termini e sulle reazioni che hanno generato.La parola della settimana è phubbing. Qui puoi iscriverti alle "Dieci lezioni di un certo genere". - Mentana- Landini- Phubbing Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Russia strikes Ukraine’s rail links and uses a ‘secret’ missile, Italy’s proposals for judicial reform win backing from lawmakers and the city as a public living room as we stop by London’s biggest fireworks display.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Diesmal: Trump macht Demenz-Test, Sudan, Ukraine, Glücksatlas, Justizreform in Italien, Mindestlohn, Superreiche und Hitzetote, Feuerwehrfrauen, Sham Jaff zu Brasilien, Das "S" in SPD. Mit einem Faktencheck von Nándor Hulverscheidt und einem Limerick von Jens Ohrenblicker.
Im Nachgang zur eskalierten Gaza-Demonstration in Bern fordern bürgerliche Parlamentsmitglieder ein nationales Handeln «gegen Gewaltextremismus». Am Donnerstag haben sie dazu ein gemeinsames Massnahmenpaket präsentiert. Was ist darin vorgesehen? Weitere Themen: Bei ihrem ersten Treffen seit sechs Jahren haben sich Trump und Xi im fortwährenden Handelskonflikt auf verschiedene Massnahmen geeinigt, um die Situation zu entspannen. Vom grossen Durchbruch zwischen China und den USA mag dennoch niemand sprechen. Italiens Regierung unter Giorgia Meloni hat eine ihrer grossen Reformen durchs Parlament gebracht: Die umstrittene Justizreform. Das letzte Wort soll allerdings das Volk haben. Damit beginnt ein Abstimmungskampf, der auch für die Gesamterneuerungswahl von Bedeutung ist.
Musée du Louvre : la France sous le choc après le cambriolage du siècle Giorgia Meloni franchit sans encombre le cap des 1000 jours à la tête de l'Italie Berlin, pionnière européenne des « ville éponges » Le regain d'amour des Américains pour la Côte d'Azur Miel : une année record pour les apiculteurs français
Three years after her arrival at the Palazzo Chigi, Italian Prime Minister Giorgia Meloni still enjoys high approval ratings. The strict budget policies of her government have paid off: credit rating agencies have upgraded Italy's sovereign debt rating.
¡Vótame en los Premios iVoox 2025! Giorgia Meloni acaba de cumplir tres años en el cargo, un hito notable en un país como Italia, caracterizado desde hace décadas por la inestabilidad política y los gobiernos efímeros. Desde el final de la segunda guerra mundial sólo Silvio Berlusconi ha conseguido superar los tres años en el Palazzo Chigi. Si Meloni se mantiene otros diez meses más le igualará. Es muy posible que así sea porque goza de una posición sólida, su popularidad está por encima del 40%, un porcentaje de aprobación mucho más elevado que el de Emmanuel Macron, Keir Starmer o Pedro Sánchez. Italia, antes un dolor de cabeza para Bruselas por sus vaivenes políticos y económicos, es ahora todo un modelo a seguir. En estos tres años Meloni ha reducido el déficit público a la mitad, los rendimientos de los bonos a 10 años han bajado hasta situarse a la par de los de Francia, y el desempleo ha pasado del 8% al 6%, lo que está animando la recaudación fiscal. En septiembre la agencia Fitch mejoró la calificación crediticia del país precisamente por eso, porque el cuadro macroeconómico pinta mejor que el de otros países europeos. Sólo la monstruosa deuda pública, del 137% sobre PIB, ensombrece el panorama. Meloni se las ha apañado para transformar en muy poco tiempo la imagen internacional de Italia, especialmente si lo comparamos con el caos político en el que se han sumido sus vecinos franceses, que coleccionan primeros ministros, protestas callejeras y mociones de censura en el parlamento. La coalición de Meloni, que ganó en 2022 con el 44% de los votos, mantiene su ventaja en las encuestas. Esto es así porque ha sabido equilibrar su base electoral más dura con cierto pragmatismo que tranquiliza a los moderados y a Bruselas. Aunque en el pasado, cuando estaba en la oposición, criticaba sin piedad a la Unión Europea, ahora prioriza el control del déficit y ha desarrollado una relación muy constructiva con Ursula von der Leyen. En el interior da satisfacción a sus votantes con medidas típicamente conservadoras como los límites que ha impuesto al aborto pero sin derogar la ley de 1978, ha convertido en delito la gestación subrogada y ha endurecido las penas contra quienes atenten contra la policía. Su política migratoria no es tan agresiva como se esperaba, pero ha reducido las llegadas gracias a un acuerdo con Túnez, que la Unión Europea ha firmado en su nombre. Eso sí, su plan de procesar las solicitudes de asilo en Albania no ha terminado de salir. Sus críticas al Pacto Verde de la UE han encontrado eco en otras partes de Europa, especialmente en Alemania, donde el canciller Friedrich Merz se ha convertido en su aliado. Su éxito es innegable, pero tiene por delante algunos escollos como el problema del raquítico crecimiento económico de Italia. La economía no se ha recuperado del todo del impacto de la pandemia y la inflación que le siguió. Sus aliados de la Liga le buscan algunos problemas en el extranjero, pero ha conseguido domar a Matteo Salvini y ponerle esencialmente a su servicio. Por suerte para ella la oposición de izquierda está dividida y desconectada de las preocupaciones del italiano medio. Su sentido práctico quizá no apasione a la mayoría, pero si parece convencerles. Es quizá la opción menos mala posible y eso mismo es lo que hace que se mantenga en el poder. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:54 Por qué gusta Meloni 32:45 Premios iVoox - https://premios.ivoox.com/ 35:10 Trump y Milei 42:10 La caída de AWS 48:53 Cuba: infierno o paraíso - https://diazvillanueva.com/cuba-infierno-o-paraiso · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #meloni #italia Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
In this episode, Oden and fellow Left Voice member Julia Wallace interview Luca Otello Gieri, a Master's Student in Journalism at the University of Bologna, Italy who is a militant of Frazione Internazionalista Rivoluzionaria and has been active in the movement for Palestine for the past two years. They discuss the powerful worker- and student-led actions in Italy in solidarity with Palestine, including huge strikes and mobilization in September and October, and organizing amid the far-right government of Giorgia Meloni. Learn More:- “Blocchiamo Tutto!” Strikes and Blockades Paralyze Italy in Solidarity with Gaza- 2 Million People Paralyze Italy in a General Strike for Gaza and the FlotillaLuca is also a contributor to Left Voice's sister site, La Voce delle Lotte.Support Left Voice on Patreon Follow us on social media! We're on Instagram, Twitter, and TikTok as @left_voice, on Facebook as @leftvoice, and Bluesky at leftvoice.bsky.social.
Ce lundi 27 octobre, le bilan des trois années passées au pouvoir de Giorgia Meloni, ainsi que l'espoir d'un accord commercial entre Donald Trump et Xi Jinping, ont été abordés par Christian Saint-Étienne, économiste et auteur de "Trump et nous : comment sauver la France et l'Europe", Éric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'OFCE, et Mathieu Jolivet, éditorialiste BFM Business, dans l'émission Les Experts, présentée par Ludovic Desautez sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Il Presidente ungherese Victor Orban in visita in Italia: incontro con il Papa e Giorgia Meloni. Sentiamo Lina Palmerini, commentatrice politica e quirinalista de Il Sole 24 Ore. Prosegue il tour asiatico del Presidente Donald Trump, tra accordi di pace e dazi. Sentiamo Mario Del Pero, professore di storia internazionale a SciencesPo, esperto di politica americana. Autore di "Buio americano. Gli Stati Uniti e il mondo nell'era Trump", il Mulino. La Polizia postale indaga su un altro sito sessista: "spoglia" donne note con l'intelligenza artificiale. Con noi Vincenzo Cosenza, divulgatore, esperto di intelligenza artificiale e innovazione. Il suo blog è Vincos.it. La sconfitta con la Lazio è stata decisiva per la fine dell'esperienza di Tudor sulla panchina bianconera. E adesso? Ci racconta tutto il nostro Dario Ricci.
durée : 00:14:06 - Le Débat d'On n'arrête pas l'éco - Le parti postfasciste de la dirigeante italienne, Fratelli d'Italia, a célébré ses trois ans au pouvoir mercredi 22 octobre. Quel est le secret de sa longévité et peut-on l'ériger en modèle économique ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:40 - Le Grand reportage de France Inter - Giorgia Meloni a passé le cap des trois ans au pouvoir en Italie. Elle reste populaire et la longévité de son gouvernement, qui associe droite et extrême-droite, est une exception. Mais quel est son bilan ? Plongée dans l'Italie de Meloni, d'abord lors d'un meeting à Ancône. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Giorgia Meloni is Italy's first female Prime Minister, and her political star has risen rapidly - from working class roots in Rome, to becoming one of the most important and divisive leaders in Europe. A populist whose party has roots in Italian fascism, and who takes a hard right stance on migration and family values, she has formed a kinship with Donald Trump, who this month alone has promoted her autobiography and her speeches online, and called her “beautiful” on stage. In today's episode, journalist Barbara Serra joins us to discuss Meloni's increasingly crucial role in US-European relations. Producers: Hannah Moore and Valerio Esposito Executive producer: James Shield Mix: Travis Evans Senior news editor: China CollinsPhoto: YOAN VALAT/POOL/EPA/Shutterstock
Hablamos en Bogotá con el penalista Francisco Bernate y con el analista Camilo Granada; en Roma con la ex corresponsal de la Agencia France Presse Kelly Velásquez, y en Miami con el historiador de la salsa César Miguel Rondón
Weiß, Lisa www.deutschlandfunk.de, Kommentare und Themen der Woche
Giorgia Meloni est au pouvoir depuis très exactement trois ans, ce qui représente déjà une performance dans un pays aussi instable, politiquement, que l'Italie. Présidente du Conseil des ministres depuis le 22 octobre 2022, elle est à la tête du 3è exécutif à la durée de vie la plus longue de l'histoire de la République italienne. Elle pourrait même réussir l'exploit de terminer une législature entière de 5 ans, peut-être sans remaniement. Élue «personnalité la plus puissante d'Europe» par le magazine Politico, la dirigeante, à la tête du parti post-fasciste Fratelli d'Italia, parvient pour le moment à convaincre y compris au-delà des frontières italiennes. Giorgia Meloni est-elle l'exemple à suivre pour l'extrême droite européenne ?
It's been three years since Giorgia Meloni became Italy's prime minister. During her tenure, she has cut public deficit by more than half and brought unemployment down. But beneath the surface, Italy's economy is still struggling, with weak growth, persistent structural weaknesses and an aging population. We also take a closer look at a row over Chinese-owned chipmaker Nexperia and the Dutch government is starting to raise concern in Europe's manufacturing sector.
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