#Histoirede est l’émission des étudiant.e.s du département d’histoire de l’UQAM. L’objectif est d’aborder l’actualité dans une perspective historique, de vulgariser certains aspects de la pratique historienne et d’offrir une tribune aux étudiant.e.s d’histoire pour discuter de leurs recherches. Le…
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Jean-Philip Desjardins Warren nous parle du Réveil religieux catholique dans le Canada français du XIXe siècle. Si l'image d'une société canadienne-française excessivement catholique, pieuse et religieuse occupe une place importante dans l'imaginaire collectif, ce n'est vraiment qu'au XIXe siècle que se construit cette Église-nation qui a tant marqué les esprits. Mais qu'est-ce qui en a été l'élément déclencheur? De son côté, Philippe Comeau nous parle de l'occupation et de la reconstruction de l'Allemagne par les puissances alliées, de 1945 à 1949. Finalement, Marjorie Charbonneau nous fait voyager entre l'Italie et la France, en nous présentant des moments marquants de la vie de Léonard de Vinci, ce fils de notaire sans éducation devenu icône de la Renaissance.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Alexandre Haché nous invite à découvrir les Aztèques, mais sous un angle décolonial. Il nous propose ainsi une nouvelle lecture de cette civilisation. Frédérick Poulin se penche quant à lui sur la défaite allemande lors de la Première Guerre mondiale. L'armée allemande a-t-elle perdu la guerre ou fut-elle « poignardée dans le dos » par le gouvernement?
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Joel Bienvenue nous présente la figure bien connue du bourreau. Cet individu inspirant la crainte représente toutes les atrocités du monde médiéval. Mais quelle était la véritable nature de ce métier? Responsable de l'application des peines, mais marginalisé dans la société tout en jouissant de certains privilèges, le bourreau est au cœur du fonctionnement du système judiciaire médiéval. Alors, est-ce une bonne situation d'être bourreau? De son côté, Catherine Thiebault nous raconte l'histoire de l'une des prisons les plus célèbres de la Russie soviétique, la Loubianka. Ce bâtiment a été, et demeure aujourd'hui, le quartier général de la police politique. Meurtre, violence et secret ont laissé une marque indélébile sur les murs de ce bâtiment. Toujours une prison, mais également un musée, elle continue encore aujourd'hui de faire trembler les opposants.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Alexandre Haché nous raconte l'histoire des trois empires anglais qui se sont succédé au cours du Moyen Âge : l'Empire viking, l'Empire anglo-normand et l'Empire des Plantagenêts. Avant l'Empire britannique des 19e et 20e siècles, ces empires se sont développés avant de décliner, laissant néanmoins une trace durable en Grande-Bretagne et en Europe continentale.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Pierre-Luc Noël nous raconte l'histoire de Michel Chartrand, grande figure du monde syndical québécois, qui vécut une vie remplie de rebondissements et de combats au service du bien commun. Marjorie Charbonneau, de son côté, nous parle des diverses métamorphoses du musée du Louvre et de l'exposition actuelle Louvre Couture.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Alexandre Haché nous présente l'histoire du livre en Occident, de son apparition au IVe siècle jusqu'à nos jours. D'abord un bien de luxe, le livre va progressivement devenir plus abordable grâce à diverses innovations. Claudèle Richard nous raconte comment les viaducs et tunnels de Montréal ont transformé le paysage de la ville. Construits pour renforcer la sécurité routière et ferroviaire en remplaçant les passages à niveau où se produisent de nombreux accidents, ils fournissent du travail aux chômeurs pendant les périodes de crise économique et fluidifient le réseau routier alors en pleine expansion. Finalement, Catherine Thiebault revient sur la vie de Viatcheslav Molotov. Si son nom est associé au pacte germano-soviétique ou encore au célèbre cocktail, que savons-nous exactement de cet homme qui, dans l'ombre de Staline, est parvenu à se maintenir dans les plus hautes sphères du pouvoir soviétique tout au long de l'histoire de l'URSS?
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Fritz-Gerald Lewis vient nous parler de l'ancre du navire de Christophe Colomb, la Santa Maria, sous l'angle de la sémiologie. Comment peut-on aborder ce sujet aujourd'hui et qu'évoque-t-il? En analysant la symbolique de cet objet, nous découvrirons qu'il porte plusieurs messages, de la rencontre entre l'Ancien et le Nouveau Monde au les débuts de la colonisation en passant par l'introduction du Christianisme en Amérique, cette ancre possède une force symbolique puissante. Pierre-Luc Noël nous parle de la guerre du charbon en Virginie-Occidentale, un terme qui désigne la succession de conflits syndicaux ayant eu lieu dans cette région de 1912 à 1921 et qui atteint son paroxysme avec la bataille de Blair Mountain en août 1921.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Sophie Quirion explore les transformations de l'industrie du bois de sciage au XIXe siècle, en mettant en lumière l'importance des échanges commerciaux transfrontaliers. De son côté, Pierre-Luc Noël vient nous rappeler l'histoire du NPD, le Nouveau Parti démocratique du Canada, de sa fondation à aujourd'hui.
Cette semaine, à Histoire de Passer le temps, Gabriel Jarvis s'intéresse aux mesures législatives du gouvernement québécois pour aménager la diversité linguistique. La Loi 101 est perçue par les défenseurs de la langue française comme une grande victoire. Cependant, cette loi s'inscrit dans la reconnaissance du pluralisme au Québec. Simon Provost nous invite à examiner les réactions des minorités culturelles à l'égard de ces mesures linguistiques prises par les différents gouvernements québécois. Bien que les politiques linguistiques soient relativement bien documentées, il en va autrement pour leur impact sur les communautés concernées. Sarah Miles se penche sur l'histoire fascinante des éditions Parti Pris. Pendant près de deux décennies, entre 1964 et 1984, un petit groupe de bénévoles a fait tourner la seule maison d'édition de gauche au Québec.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Catherine Thibeault vient nous expliquer l'importance des Jeux olympiques en Union soviétique entre 1952 à 1991. De son côté, Alexandre Haché revient sur les grands évènements marquants de l'épidémie de la covid-19 au Québec.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, on célèbre la journée internationale des femmes! Pour cette occasion, Émilie Bédard nous présente la guitariste et chanteuse gospel Sister Rosetta Tharpe (1915-1973). Ingénieuse, talentueuse, mais malheureusement trop peu connue aujourd'hui, elle aurait contribué à l'essor du fameux rock'n'roll. Mélissa Andrianasolo nous parle quant à elle de Ranavalona Ire (1778-1861). Dépeinte comme cruelle envers les Européens, mais protectrice envers son peuple, Mélissa nous explique que cette ancienne reine de Madagascar, à l'image de l'histoire de son pays, est au cœur d'enjeux de narration.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Alexandre Haché nous explique le médiévalisme en nous présentant le jeu Kingdom Come, fidèle au Moyen Âge. Catherine Thibeault donne suite à sa chronique à propos de la période de la Grande Terreur et nous parle de la « purge des purgeurs ». Pierre-Luc Noël entame le troisième épisode de sa série de chroniques sur l'histoire de l'agriculture au Québec, abordant cette fois la période 1945-1990 et l'impact de la mécanisation et de la mondialisation.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Alexandre Haché nous présente les origines médiévales de la Saint-Valentin, entre l'amour courtois chanté par les troubadours et la figure de Saint-Valentin. Joel Bienvenue nous emmène à la rencontre du fou du roi - personnage excentrique, haut en couleur et adepte des plaisanteries, dont l'histoire demeure pourtant méconnue. Plus qu'un simple « amuseur », son rôle à la cour s'avère bien plus complexe qu'il n'y paraît. Pierre-Luc Noël décortique pour nous la vision de l'histoire telle que présentée dans les différents jeux de la série Sid Meier's Civilization. Si ces jeux permettent d'incarner des personnages importants à la tête de différents pays et cultures, il convient de se demander comment les visions historiographiques et la représentation des factions sont traitées.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Catherine Thibeault nous parle de la période de la Grande Terreur. Elle nous apprend que sous Staline, de 1936 à 1938, le gouvernement de l'Union soviétique aurait entrepris une purge au sein de sa population, mais aussi de son gouvernement. Lucie Lemieux nous présente quant à elle le mouvement féministe anglais de la seconde moitié du XIXe siècle. Elle nous explique que ces premières féministes, bien qu'elles pointent du doigt les mêmes problèmes sociétaux, ont des discours qui diffèrent.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Alexandre Haché nous parle de l'histoire de la mode au Moyen Âge, depuis la fabrication des vêtements jusqu'à leur usage en passant par la production des teintures. Il en profite pour corriger certains a priori que nous avons sur cette période. De son côté, Julie Mermet nous présente le manège de Pierre Avezard dit « Petit Pierre », un artiste autodidacte au parcours de vie bien particulier. Œuvre d'art incomparable, le manège est composé d'une centaine de sculptures, d'automates bricolés et de « surprises hydrauliques ». Aujourd'hui encore, le manège de Petit Pierre ne cesse d'émerveiller et d'émouvoir petits et grands.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Alexandre Haché revient sur la découverte du site d'occupation viking de l'Anse au Meadows, sur l'île de Terre-neuve, 400 ans avant la venue de Jacques Cartier. Fritz-Gerald Louis nous raconte l'histoire de l'ancre de la Santa Maria, le navire de Christophe Colomb. Conservée au Musée du Panthéon National Haïtien, elle a été confrontée à différents régimes de valeurs dans le temps et dans l'espace. Enfin, Franck Privat Gonné nous présente le naufrage du ravitailleur britannique Dumana qui survient durant la bataille de l'Atlantique au large de la Côte d'Ivoire.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Alexandre Haché nous présente le dernier épisode de sa série sur les croisades en nous parlant de la croisade des barons. Pierre-Luc Noël revient sur le contexte ayant conduit à la guerre d'Espagne de 1936 à 1939 et Catherine Thibeault nous explique la politique étrangère de l'URSS et son implication dans ce conflit.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Pierre-Luc Noël réalise la deuxième partie de son exposé sur l'agriculture au Québec. Cette fois-ci, il nous explique comment et pourquoi, de 1914 à 1945, l'agriculture au Québec passe d'un modèle traditionnel a un modèle industriel. Mickaël Aubin-Jobin revient sur la pratique judiciaire de la torture au Moyen Âge et Alexandre Haché, dans le cadre de sa série de chroniques sur les croisades, nous explique les conséquences du prêche pour la croisade du Pape Urbain II au concile de Clermont.
Cette semaine, pour ce 350e épisode d'Histoire de passer le temps, Marjorie Charbonneau nous raconte – en musique – comment, dans le Paris du XVIIIe siècle, qui accueille des compositeurs tels que Rameau, Piccinni, Haydn et Gluck, le style galant laisse sa place à celui de la période classique. Sophie Quirion nous parle d'une innovation présentée lors de l'Exposition universelle de 1867. Les États-Unis, tout juste sortis de la guerre de Sécession, présentent deux bâtiments d'apparence ordinaire : une maison et une école préfabriquées. Au-delà de l'aspect révolutionnaire sur le plan de la construction, les Américains en profitent pour mettre de l'avant la prospérité de la conquête de l'Ouest.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Samuel Bernard nous explique le concept de « government trifecta » dans le système politique américain et le fonctionnement du Congrès. De plus, Pierre-Luc Noël revient sur l'histoire de l'agriculture au Québec, des origines à 1914 et Émilie Bédard nous propose une histoire de la guitare et discute de la place qu'occupe cet instrument au sein de la musique classique.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Maxime Tessier nous présente le premier épisode de sa série intitulée Pecunia ex machina : l'invention de la dette souveraine, cette innovation apparue au Moyen Âge. Alliant histoire et économie, il n'hésite pas à invoquer Saint Thomas d'Aquin, Fibonacci et Dante Alighieri pour nous faire comprendre les rouages de cette invention.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Joel Bienvenue revient sur l'histoire des magasins Archambault et sur celle de leur créateur, Edmond Archambault. Jean-Philip Desjardins Warren nous parle de la communauté religieuse féminine des Sœurs Grises et du rôle social qu'elle a joué dans le Montréal du milieu du XIXe siècle. Alexandre Haché nous présente quant à lui le contexte politique et religieux de l'Europe du XIe siècle, lequel conduira à la première croisade.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Hugues Edik nous présente le phénomène de la fuite des athlètes lors de compétitions internationales. Depuis l'époque de la guerre froide, des athlètes décident de fuir leur pays lors de participation à des évènements sportifs internationaux, au Canada ou ailleurs. Mais si pour les uns c'est un succès, pour d'autres, c'est le début d'un long un calvaire. De son côté, Julien Legris nous fait découvrir les origines de la Société des alcools du Québec (SAQ). À travers l'histoire de la SAQ, marquée par l'héritage de la prohibition, son évolution et les batailles syndicales, nous découvrons comment cette institution a façonné le paysage social québécois.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Pierre-Luc Noël nous parle de l'émergence, des enjeux et des influences de l'idée de décolonisation dans le Québec des années 1960. Marjorie Charbonneau nous présente quatre femmes influentes de la fin du XVIIIe siècle et avec elles, l'ambition féminine à cette époque en France. Finalement, Marie-Pier Berthelet revient sur certaines normes de genre et sur les rapports entre classes sociales qui ont émergés suite au nouveau modèle domestique à l'ère victorienne.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Joel Bienvenue nous présente la première d'une série de chronique sur l'histoire des entreprises québécoises et des personnes qui les ont fondées avec l'histoire d'Alphonse Desjardins et des caisses populaires. Nous accueillons également Alexandre Haché qui nous parle du voïvode de Valachie, Vlad III Basarab, dit Tepes (l'empaleur), le personnage historique qui servit d'inspiration à l'écrivain Bram Stoker pour le personnage de Dracula.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Catherine Thibeault nous présente la crise dynastique qui suit le décès du dernier souverain de la dynastie des Riourikides, Fédor Ier. Connue sous le nom de « Temps des troubles », cette période marquée par une guerre civile voit l'ascension au trône de la dernière famille impériale de Russie, les Romanov. De son côté, Alexandre Haché nous invite à découvrir comment le mythe arthurien a largement influencé la culture occidentale. Avec lui, nous partons sur les traces des origines historiques de la littérature médiévale la plus connue du monde occidental en passant par Chrétien de Troyes, Tolkien et même l'univers de Star Wars.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, dans le cadre de la thématique des cultures politiques, Alexis Kelly nous explique le rôle et le fonctionnement du mos maiorum (« la coutume des ancêtres ») au sein de la République romaine. Simon Provost nous parle de l'influence incontournable de l'autonomisme au sein du monde politique québécois du XXe siècle. Gabriel Jarvis aborde quant à lui l'aspect religieux des discours scolaires québécois d'avant la Révolution tranquille et ses répercussions dans la construction d'une identité franco-canadienne.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Catherine Thibeault revient dans nos studios pour parler de la fin du règne du premier tsar de Russie, Ivan IV. Elle nous explique en quoi il est surnommé « le Terrible » et nous présente l'opritchnina, une période sombre de l'histoire russe. Nous accueillons également Alexandre Haché qui nous parle de J.R.R. Tolkien, le célèbre écrivain mais aussi médiéviste, auteur de la trilogie du Seigneur des anneaux. Il nous démontre en quoi les expériences de sa vie ont grandement influencé son œuvre. Finalement, nous cédons la parole à Marjorie Charbonneau qui nous parle de l'histoire du lieu du Petit Trianon et du rôle que l'ancienne reine de France, Marie-Antoinette, a joué dans sa construction et son aménagement.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, nous accueillons Alexandre Haché qui nous emmène sur les traces du frère franciscain Guillaume de Rubrouck, qui dut se rendre auprès du Grand Khan Mongkë sur ordre du roi de France Louis IX. Catherine Thibeault nous présente le règne du premier Tsar de Russie, Ivan IV, dit Ivan le Terrible, et nous dresse les aspects positifs de son règne. Enfin, Pierre-Luc Noël nous parle d'une figure influente mais méconnue du monde syndical québécois, Léa Roback.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Marjorie Charbonneau revient sur la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Elle nous propose de décoder le tableau mettant en scène une Marie-Antoinette, tête décapitée, chantant aux fenêtres de la Conciergerie sur l'air d'une musique rock de Gojira. Sophie Quirion nous présente quant à elle la charpente à claire-voie et nous explique ses logiques d'apparition et de diffusion, via l'imprimé, aux Etats-Unis et plus largement en Amérique du Nord. Finalement, nous écoutons Samuel Bernard qui nous parle du président américain Bill Clinton et du récent débat entre Kamala Harris et Donald Trump.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, nous accueillons Catherine Thibeault qui nous parle de l'évolution de la mode en URSS entre 1917 et 1945. Alexandre Haché quant à lui nous parle du procès des Templiers survenu un vendredi 13, et nous rappelle comment cette date est devenue synonyme de malchance pour beaucoup.
Cette semaine à histoire de passer le temps, rédérick Poulin tente d'explorer la mémoire de la Seconde Guerre mondiale en Allemagne et en Autriche. En deuxieme lieu, Gabrielle Pomerleau abordera la mémoire du règne d'Alexandre VI s'articulant autour de ses actions militaires, de ses ambiguïtés politiques et de sa légende noire. Enfin, Basile Blanchard Larochelle présentera les deux classes sociales oubliées du Japon pré-meiji ainsi que l'impact toujours présent dans la société japonaise de leur présence.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, pour une deuxième chronique sur l'histoire du punk rock, Charles-Vannak Dupin-Létourneau discutera de l'éthique « Do it yourself » (DIY) prônée par le mouvement punk. Il se penchera sur l'exemple de Washington DC dans les années 1980. En dernière partie d'émission, nous recevons Camille Champagne qui va nous parler de divers textes mêlant histoire et humour.
Cette semaine à histoire de passer le temps, nos chroniqueurs vont venir nous parler de plusieurs sujets fascinants en lien avec le vingtième siècle. Basile Blanchard-Larochelle démontre comment le règne de l'empereur Taisho viendra changer le Japon. Julien Lehoux termine sa deuxième chronique sur l'histoire de la vie du dernier empereur de Chine : Pu Yi. Finalement, Charles-Vannak Dupin-Létourneau raconte l'histoire de la musique punk rock dans les années 1970 à 1980. À l'animation, vous aurez le plaisir d'entendre Maxime Bourbonnais et à la régie Pierre-Luc Noël.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Frédérick Poulin revisite les grandes étapes de «l'Affaire Waldheim» et ses conséquences sur les questions mémorielles en Autriche. Kurt Waldheim, secrétaire général des Nations unies entre 1972 à 1981, fut au centre d'une véritable tempête médiatique au milieu des années 1980. Alors qu'il était candidat en vue des élections présidentielles autrichiennes de 1986, des allégations le reliant possiblement à des crimes commis durant la Seconde Guerre mondiale furent relayées par les médias du monde entier. Frédérick Poulin revisite les grandes étapes de «l'Affaire Waldheim» et ses conséquences sur les questions mémorielles en Autriche.En seconde partie d'émission, Histoire de passer le temps reçoit pour la première fois Naomie Allard qui vient nous parler des origines de la dépendance aux jeux vidéos. Enfin, Julia Godart explorera comment le commandement militaire américain a vendu le Débarquement non seulement comme un acte héroïque, mais aussi comme une aventure érotique. Restez à l'écoute pour plonger dans une époque où propagande, hypersexualisation, et conflit mondial se sont entrelacés de façon particulièrement troublante.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, nous recevons Julia Godart qui poursuit ses explications sur la Chinese Labor Corps. En seconde partie d'émission, Elias Banese Betare nous présente comment l'église a contribué à l'émancipation des personnes réduites en esclavage dans la ville de Ngaoudéré au Cameroun au cours du XXe siècle.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Frederick Poulin nous présente l'histoire et les défis présentés par l'étude du journal du parti national-socialiste, le Völkischer Beobachter. En deuxième lieu, Joel Bienvenue expliquera, en se basant sur les hypothèses de Flutsch, que le monde du 21e siècle ne laissera pas autant de vestiges qu'on peut le penser. Enfin, Catherine Thibeault abordera l'histoire des archives russes et son expérience avec celles-ci.
10 mai 2001 : le Sénat français adopte la loi Taubira et reconnait officiellement l'esclavage comme un crime contre l'humanité, soit 159 années après son abolition. Depuis, en France, cette journée nationale des mémoires de la traite des noirs et de l'esclavage invite à commémorer et honorer le souvenir des victimes et esclaves. Cette semaine à Histoire de passer le temps, Solange Lafolle retrace, en première partie d'émission, l'instauration et la mise en application d'une législation telle que promulguée par le “Code Noir” (1685 à 1848), et ses impacts sur la psychologie transgénérationnelle. En deuxième partie, Julia Godart nous invite à explorer l'histoire méconnue de ces 140 000 travailleurs chinois recrutés par les gouvernements français et britannique dès 1916. Trois semaines avant la fin de la Première Guerre mondiale, Le Panthéon de la Guerre, alors la plus grande peinture au monde, fut dévoilé au public à Paris. Après la bataille de la Marne en septembre 1914, les artistes français Pierre Carrier-Belleuse et Auguste François-Marie Gorguet avaient voulu représenter une France victorieuse entourée de ses alliés. Cependant, en 1917, les États-Unis étant entrés en guerre, les artistes durent remanier leur œuvre presque achevée pour y inclure les Américains, effaçant ainsi une scène préexistante, celle du Corps de travail chinois. Même dans cette œuvre commémorative censée symboliser l'unité, leur effacement témoigne de la manière dont la guerre « a été commémorée — et oubliée ». Mais qui étaient ces travailleurs chinois et pourquoi étaient-ils présents en Europe pendant la Première Guerre mondiale ? Enfin, en dernière partie d'émission, Julie Mermet nous parle de Raymond Isidore, surnommé alors « Pique-Assiette ». De 1935 à 1964, ce balayeur du cimetière de la ville française de Chartes a passé « 33 ans de travail en dehors de ses journées, 29000 heures de travail » et utilisé « 4 millions de débris de vaisselles, soit 15 tonnes » pour construire et décorer son espace de résidence. Son travail intrigue ses contemporains. Il est traité de fou. Mais bien vite, la maison Picassiette fascine les visiteurs, attire les photographes et vidéastes pour son impression esthétique unique, incitant à la rêverie.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Gabrielle Pomerleau abordera les moyens employés par Alexandre VI afin de renforcer son autorité sur ses États et la Chrétienté. A sa suite, Claudèle Richard remonte aux origines de la corvée printanière à Montréal.
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Sophie Quirion raconte l'histoire de cette publication méconnue et propose de soulever des aspects curieux et surprenants, aspects qui sont symptomatiques des pratiques vernaculaires de la presse familiale à grand tirage. En deuxieème lieu, Joel Bienvenue termine sa trilogie sur l'histoire de la musique metal. Pour cette dernière chronique: les années 1990 à aujourd'hui. Enfin, Basile Blanchard Larochelle nous parlera des mouvements religieux au cours de la période Edo et de leur impact sur les politiques internes.