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Nous sommes le 20 novembre 1975, à Madrid. Il est 5h20 du matin. Après trente-cinq jours d'agonie, le général Franco expire. Celui qui se faisait appeler «caudillo (le chef) par la grâce de Dieu » a imposé, à son pays, d'une main de fer, trente-huit années durant, son pouvoir presque sans partage. Du soulèvement militaire de 1936, et la guerre civile qui va ravager l'Espagne, à l'annonce de sa maladie l'été 1974. Sa longue fin a tenu en haleine les journaux du monde entier. Les informations ont alterné entre espoir et déception, vérité et manipulation. Les communiqués officiels ont inondé la presse, ne cachant rien des opérations de dernières chance tentées sur le généralissime. Il s'agissait de prouver que le vieil homme de passé 80 ans n'était pas vraiment malade et qu'il ne pouvait cesser ses activités. Mais le 20 novembre 1975, Franco est mort. Aujourd'hui encore, son souvenir divise. Avec nous : Vincent Genin, Chercheur à l'université de Liège et aux Archives de État sujets traités : Général Franco, Madrid, Espagne, guerre civile Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:02 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Francisco Franco est né en 1892 à Ferrol en Galice. Comment grimpe-t-il progressivement les échelons du commandement militaire, notamment lors de la guerre du Rif ? Quel rôle joue-t-il dans le coup d'État de juillet 1936, qui fait basculer l'Espagne dans la guerre civile, jusqu'à devenir Caudillo ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Pierre Salmon Maître de conférences en histoire contemporaine à l'École normale supérieure; Mercedes Yusta Rodrigo Professeure d'histoire de l'Espagne contemporaine à l'Université Paris 8
Cette semaine à Histoire de passer le temps, Claudèle Richard discute de l'importance stratégique du chemin de fer durant la guerre civile américaine, et Catherine Thibeault aborde l'histoire des Jeux olympiques de Sotchi.
Ce mercredi 5 novembre, la situation actuelle du conflit au Soudan et les réactions de la communauté internationale face à cette guerre ont été abordées par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il s'intéresse à la guerre civile au Soudan.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis plus de deux ans et demi, la guerre civile fait rage au Soudan, devenu un « trou noir de l'information ». Alors que s'y rendre est très compliqué, comment informer sur ce qui se passe dans ce pays ? Le journaliste Eliott Brachet, ancien correspondant de RFI à Khartoum, est l'invité de L'atelier des médias pour en discuter. La guerre civile qui ravage le Soudan depuis le 15 avril 2023 oppose les forces armées soudanaises du général Burhan aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du général Hemetti. L'ONU décrit la situation comme la « pire crise humanitaire au monde » : 150 000 morts, 13 millions de déplacés et 25 millions de personnes en proie à la famine. Dans ce contexte, le journaliste indépendant Eliott Brachet, ancien correspondant à Khartoum (2020-2023) désormais installé au Caire, décrypte les défis qu'il rencontre pour continuer d'informer sur le Soudan. Eliott Brachet rappelle que son arrivée en octobre 2020 visait à raconter « la fenêtre de liberté qui venait de s'entrouvrir avec la chute d'Omar el-Béchir ». La révolution soudanaise de décembre 2018 avait engendré une effervescence culturelle et une grande liberté de ton, favorisant la naissance d'un journalisme indépendant. Mais la nouvelle génération de journalistes a vu son travail prendre « un grand coup dans l'aile » depuis l'éclatement du conflit et a souvent été contrainte à l'exil. L'une des difficultés majeures pour la couverture médiatique est de faire franchir au Soudan le « plafond de verre dans les médias et dans l'espace public ». L'exposition Soudan, la guerre sur les cendre de la révolution, qu'Eliott Brachet a supervisée à Bayeux, en Normandie, visait d'ailleurs à recontextualiser cette guerre, en rappelant les avertissements des manifestants après le coup d'État de 2021 : la présence des deux généraux à la tête de l'État ne pouvait mener qu'au chaos. Difficulté d'accès et courage des journalistes soudanais Informer sur ce conflit est rendu extrêmement complexe par les difficultés d'accès pour la presse internationale. Les visas sont délivrés «au compte-goutte», et tout journaliste qui parvient à entrer dans les zones contrôlées par l'armée régulière est souvent suivi de près. C'est ce qu'Eliott Brachet a pu constater lors de son dernier reportage au Soudan, fin 2024. Les accès sont encore plus compliqués du côté des FSR, milice aux lignes de commandement floues, où le risque est de «servir la propagande des groupes en place». Le danger le plus grand pèse sur les journalistes soudanais : 32 ont été tués depuis le début de la guerre, indique Eliott Brachet qui insiste sur l'importance de ces regards locaux, souvent équipés d'un simple téléphone portable, qui documentent la guerre. Ces sources, issues de la génération révolutionnaire (activistes, bénévoles dans des réseaux d'entraide civils), sont essentielles pour obtenir des informations. Malgré les risques, la population reste désireuse de parler aux journalistes étrangers, explique Eliott Brachet pour qui ce conflit n'est pas une «guerre oubliée, c'est plutôt une guerre négligée ou une guerre ignorée», car les informations et les images existent, même si elles sont difficiles à obtenir. Guerre d'influence et enjeu technologique Au-delà de l'affrontement fratricide, le conflit est une « guerre d'influence » avec des ramifications régionales. Le Soudan, riche en ressources comme l'or et le pétrole, voit l'exportation de ses ressources doubler, alimentant cette « économie de guerre » qui permet aux belligérants de s'armer. Chaque camp est soutenu par un réseau d'influence : l'armée régulière reçoit l'appui de l'Égypte, du Qatar, de l'Iran et de la Turquie, tandis que les FSR bénéficient d'un soutien des Émirats arabes unis, qui fournissent notamment des drones chinois de dernière technologie. Un autre défi moderne réside dans le rôle de Starlink. Ces connexions internet, souvent amenées par les acteurs armés (notamment les FSR), créent «une dépendance énorme des populations civiles aux acteurs militaires». Les civils doivent payer «un forfait à la minute pour pouvoir se connecter», transformant la communication en une source de revenus et un moyen de contrôle pour les forces en présence. Le recours aux sources ouvertes (OSINT) Face aux restrictions d'accès sur le terrain, le croisement des informations est crucial en raison de l'énorme propagande diffusée par les deux belligérants. L'utilisation de l'OSINT (enquête en sources ouvertes) et des images satellites est un moyen essentiel de suivre le conflit à distance. Eliott Brachet s'est rapproché de réseaux de journalistes et chercheurs, comme le laboratoire de recherche humanitaire de l'université de Yale, dont le travail permet de « documenter le pillage et la mise à sac et l'incendie en fait de nombreux villages au Darfour ». Ces outils, associés aux témoignages des jeunes Soudanais, constituent aujourd'hui les sources d'information les plus fiables sur ce conflit qui dure.
Pour rejoindre le club Ownrs ➡️ https://link.influxcrew.com/OwnrsClub-Legend Merci à Cédric O'Neill, fondateur de Bricks, d'être venu nous voir chez LEGEND !Cédric a également créé le Ownrs Club : une communauté d'entraide dédiée à l'investissement immobilier. Il y partage ses conseils pour investir intelligemment (comment repérer les erreurs d'un bien, quelle stratégie adopter pour gérer son patrimoine..) et a pour objectif de rendre l'immobilier accessible à tous.Merci également à David et Remy, deux survivalistes passionnés, venus partager leurs expériences, conseils et leur vision de la préparation face aux différentes crises.Retrouvez la chaine Youtube de Rémy ➡️ https://www.youtube.com/@apprendrepreparersurvivre6007Et son site ➡️ https://apprendre-preparer-survivre.com/"Investir comporte des risques et ceci n'est pas un conseil en investissement. Vous devez vous former pour investir par vous même et faire travailler votre argent."Collaboration commercialeRetrouvez la boutique LEGEND ➡️: https://shop.legend-group.fr/Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lorsque la Guerre civile prend fin en 1939, les nationalistes, mené par Franco, emportent la victoire. La Deuxième Guerre mondiale commence alors et l'Espagne reste neutre. La dictature s'installe au pouvoir et modèle la société espagnole selon ses valeurs, ses lois et sa version de l'histoire. On découvre L'Espagne des premières années de la dictature avec l'historien Sébastien Farré, directeur exécutif de la Maison de l'Histoire à Genève et spécialiste de l'Espagne contemporaine. Son livre : La Suisse et l'Espagne de Franco. De la Guerre civile à la mort du dictateur (Lausanne, Antipodes, 2006)
(00:00:40) Pourquoi certains parlent de guerre civile en Occident? (00:09:20) Le Venezuela divisé face à la menace militaire américaine (00:14:07) Un Etat, ça se gère vraiment comme un ménage?
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tandis que les bombardements ont nettement diminué dans la bande de Gaza, le Hamas a lancé une répression violente contre des factions rivales s'opposant à son autorité, et accusées de collaboration avec Israël. Une vidéo dans laquelle plusieurs hommes sont agenouillés en pleine rue, puis exécutés froidement par le Hamas, a circulé sur les réseaux sociaux. Donald Trump a menacé d'intervenir pour désarmer de force les combattants du mouvement. L'analyse de Sarah Daoud, chercheuse associée au Centre de recherches internationales (CERI-Sciences-Po) et à l'EMAM à l'Université de Tours. À lire aussiÀ la Une: le Hamas exécute ses rivaux dans la bande de Gaza et réaffirme son pouvoir
Qui dit septembre, dit épisode de rentrée ! Présenté ce mois-ci par Mehdi, accompagné de Cyrielle et Maylis ! Au programme : L'autre moitié du soleil, Chimamanda Ngozi Adichie (03:14) L'attente infinie, Julia Wertz (35:40) Sables mouvants, Henning Mankell (50:04) Continuez à nous envoyer vos listes de livres à podcastdmed@gmail.com ! Bonne écoute !
// Sur YouTube https://www.youtube.com/channel/UC0cT8BZdFUmC0vgr1XS7aPA// Présentatrice du journal Le Fil d'Actu
L'émission 28 minutes du 16/09/2025 Climat, le prix de l'inaction : milliards gaspillés, nature sacrifiéeLe trou de la couche d'ozone est appelé à disparaître d'ici quelques décennies grâce, en majeure partie, à des mesures qui ont éliminé les produits chimiques qui l'appauvrissent, selon un rapport de l'ONU publié le 15 septembre. Cette bonne nouvelle est bien la seule concernant le changement climatique. Aujourd'hui, la Cour des comptes a publié un autre rapport qui indique que le coût du dérèglement climatique est estimé, par les grands réassureurs mondiaux, autour de 300 milliards d'euros pour la communauté internationale en 2024. Le coût de l'inaction est nettement plus élevé que celui d'une transition écologique, souligne l'institution française. Selon Dominique Bourg, philosophe spécialiste de l'écologie, la Terre a déjà dépassé sept des neuf limites planétaires (acidification des océans, appauvrissement de l'ozone, augmentation des aérosols, etc.) en raison des activités humaines. Il est notre invité ce soir. Assassinat de Charlie Kirk : une bascule pour la démocratie américaine ?“Expose Charlie's Murderers” est le nom du site internet qui a été lancé anonymement aux États-Unis pour dénoncer tous ceux qui se réjouiraient de la mort de Charlie Kirk, le jeune influenceur d'extrême droite pro-MAGA, tué le 10 septembre d'une balle en Utah. Officiellement, aucune donnée personnelle n'est dévoilée mais, en réalité, on peut y trouver les villes d'origine, les adresses mail et les comptes instagram des personnes signalées. Laura Loomer, une influenceuse MAGA, avait donné le ton la semaine dernière : “Préparez-vous à voir vos aspirations professionnelles ruinées.” Cette menace a été mise à exécution puisque plusieurs dizaines de personnes ont été licenciées depuis : un journaliste de MSNBC, une employée d'une université ou encore des pompiers ou des militaires. Au lieu d'appeler à l'unité après l'assassinat de son ami Charlie Kirk, Donald Trump a fustigé la “gauche radicale” dont les discours seraient “directement responsables du terrorisme observé dans notre pays”. Le principal suspect, un homme de 22 ans, Tyler Robinson, a été arrêté mais ses motivations, à l'heure actuelle, restent floues. Les démocrates ont pourtant unanimememnt condamné cet assassinat, de Barack Obama à Bernie Sanders. Les États-Unis pourraient-ils basculer d'une guerre culturelle anti-woke à une guerre civile ? On en débat avec Nicolas Conquer, porte-parole de Republicans overseas France, Elisa Chelle, professeur de science politique à l'université Nanterre et Pierre Bourgois, maître de conférences en science politique, spécialiste de la politique américaine. Enfin, Xavier Mauduit revient sur les massacres du “Bloody Sunday” en Irlande du Nord en 1972 alors que s'ouvre le procès d'un ancien soldat britannique jugé pour ce “dimanche sanglant”. Marie Bonnisseau nous emmène en Albanie qui vient de nommer sa nouvelle ministre anti-corruption… générée par l'IA.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 16/09/2025 Assassinat de Charlie Kirk : une bascule pour la démocratie américaine ?“Expose Charlie's Murderers” est le nom du site internet qui a été lancé anonymement aux États-Unis pour dénoncer tous ceux qui se réjouiraient de la mort de Charlie Kirk, le jeune influenceur d'extrême droite pro-MAGA, tué le 10 septembre d'une balle en Utah. Officiellement, aucune donnée personnelle n'est dévoilée mais, en réalité, on peut y trouver les villes d'origine, les adresses mail et les comptes instagram des personnes signalées. Laura Loomer, une influenceuse MAGA, avait donné le ton la semaine dernière : “Préparez-vous à voir vos aspirations professionnelles ruinées.” Cette menace a été mise à exécution puisque plusieurs dizaines de personnes ont été licenciées depuis : un journaliste de MSNBC, une employée d'une université ou encore des pompiers ou des militaires. Au lieu d'appeler à l'unité après l'assassinat de son ami Charlie Kirk, Donald Trump a fustigé la “gauche radicale” dont les discours seraient “directement responsables du terrorisme observé dans notre pays”. Le principal suspect, un homme de 22 ans, Tyler Robinson, a été arrêté mais ses motivations, à l'heure actuelle, restent floues. Les démocrates ont pourtant unanimememnt condamné cet assassinat, de Barack Obama à Bernie Sanders. Les États-Unis pourraient-ils basculer d'une guerre culturelle anti-woke à une guerre civile ? On en débat avec Nicolas Conquer, porte-parole de Republicans overseas France, Elisa Chelle, professeur de science politique à l'université Nanterre et Pierre Bourgois, maître de conférences en science politique, spécialiste de la politique américaine. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Des drapeaux en berne dans tout le pays, une Amérique qui pleure un martyr, un président qui promet une réponse “sans précédent” et une veuve bouleversée et menaçante…Un cri de guerre… L'assassinat de l'influenceur ultraconservateur, icone de la jeunesse MAGA, Charlie Kirk mercredi provoque une onde de choc aux Etats-Unis. Et une immense inquiétude. Dans un pays déjà polarisé à l'extrême,, ce drame alimente la crainte d'une dérive violente, voire d'une bascule vers la guerre civile. Une crainte qui se diffuse également en Europe. Hier à Londres, la figure de Charlie Kirk était très présente dans l'immense manifestation d'extrême droite pour la défense de la liberté d'expression,…Et en France, certains veulent aussi faire de Kirk un symbole, un martyr. Alors, sommes-nous à l'aube d'une flambée de violence politique aux Etats-Unis comme chez nous ? Et devons-nous nous résoudre à la radicalisation des opinions publiques ?Avec : Patrick WEIL Directeur de recherche au CNRS, historien, politologue, auteur de « Un fou à la Maison Blanche » aux éditions Odile Jacob (28.08.2024)Astrid VON BUSEKIST Professeure de Théorie Politique à Sciences Po, autrice de « L'ère des impostures» aux éditions Odile Jacob (01.09.25)Lumir LAPRAY Activiste rurale, autrice de « Ces gens là » aux éditions Payot (24.09.25)Hugo MICHERON Docteur en sciences politiques, maître de conférence à Sciences PoJean-Baptiste THORET Historien, critique de cinéma, réalisateur, documentaire « The Neon People » (sortie le 22.10.25), auteur de "Back to the Bone: John Carpenter 2025” aux éditions Magnani Editeur (14.02.25)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:02 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Entre déplacements massifs de populations, famines et épidémies, le Soudan traverse une crise humanitaire sans précédent. Un glissement de terrain massif dimanche dernier s'ajoute à cette situation déjà catastrophique. Pourquoi le Soudan s'enlise-t-il dans la crise ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Jérôme Tubiana Conseiller aux opérations de Médecins sans frontières
David Betz est un expert des stratégies militaires et de la Guerre. Ce dernier est persuadé qu'une guerre civile va éclater en Europe dans les prochaines années.
durée : 01:02:00 - La Conversation littéraire - par : Mathias Énard - "Beyrouth, 13 avril 1975 : autopsie d'une étincelle" paraît aux éditions Belfond, Marwan Chahine y déploie une enquête autour de l'attaque de l'autobus de Aïn el-Remmané, ayant conduit à la guerre civile au Liban. Ivan Jablonka explore la possibilité d'un monde entre l'histoire et la littérature. - réalisation : Laure-Hélène Planchet, Camille Mati - invités : Marwan Chahine Journaliste franco-libanais; Ivan Jablonka Historien, écrivain, professeur à l'université Sorbonne Paris Nord
Pour débuter l'émission de ce lundi 18 août 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Didier Giraud, agriculteur, débattent du sujet du jour : "La France va-t-elle sombrer dans une guerre civile ?".
La décennie noire. Du début des années 90 au début des années 2000. Dix ans de guerre civile en Algérie. Environ 200.000 morts. Mais un oubli fabriqué par loi. En Algérie, il est interdit d'évoquer cette guerre. L'écrivain franco-algérien Kamel Daoud brise le silence avec un roman important et remuant (« Houris », Gallimard, prix Goncourt 2024). Kamel Daoud est notre invité, cette semaine. Dans « A quoi tu penses ? », en ces temps de guerre, le journaliste et prof de philo Simon Brunfaut interroge notre consentement à l'inacceptable. Dans « En toutes lettres ! », l'historien et écrivain Gil Bartholeyns écrit à son beau-père, né à Beyrouth. Ce numéro vous avait déjà été proposé en octobre 2024. Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : -Alain Bauer, professeur de criminologie au Conservatoire national des arts et métiers et auteur des ouvrages Opération Zelensky et Menace sur Taïwan publiés aux Éditions First Débatteurs du soir : -Régis Le Sommier, grand reporter et directeur de la rédaction d'Omerta -Vincent Roy, écrivain et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : -Eliott Mamane, journaliste -Michel Fayad, analyste politique et géopolitique Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:52 - La Revue de presse internationale - par : Juliette Micheneau - D'après l'ONU, la famine menace plus de 20 millions de Soudanais, conséquence directe du conflit entre les rebelles des Forces de soutien rapide et l'armée soudanaise. La presse internationale se fait l'écho de populations déplacées, attaquées, affamées.
Plus de 20 ans après la fin de la guerre civile qui a fait 250 000 morts, le Liberia va-t-il enfin juger ses plus grands criminels de guerre ? Le président Joseph Boakai semble décidé à franchir ce pas historique. Il y a un mois, il a présenté les excuses de l'État aux innombrables victimes et un tribunal spécial pourrait voir le jour en 2027. De 1990 à 2003, le reporter-photographe Patrick Robert est allé maintes fois sur place. Il y a été grièvement blessé par balle. Aujourd'hui, il témoigne devant les tribunaux et dans un livre intitulé Chaque heure compte, la dernière tue (paru aux éditions Erick Bonnier). Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Dans votre livre, vous écrivez « Au Liberia, on tuait avec désinvolture et détachement ». En quoi cette guerre civile a-t-elle été différente des autres ? Patrick Robert : La première grosse différence, c'est que c'était une guerre totale commise avec la bonne conscience de gens qui font quelque chose avec la sensation qu'ils doivent le faire. La caractéristique d'une guerre civile, c'est que c'est une guerre d'amateurs. Ce sont des gens de la brousse qui, du jour au lendemain, se trouvent miliciens, combattants, une arme à la main. Et évidemment, les standards sont évidemment très éloignés des nôtres. Et c'était une guerre de villageois contre des citadins ? Pas que. C'était une guerre civile totale, d'ethnie contre ethnie, en fait. Vous racontez comment un milicien tue froidement un civil sous vos yeux, puis s'aperçoit que vous êtes là avec votre appareil photo et vous dit, tout sourire « Hey take my picture ! » (prends ma photo). Comment expliquez-vous une telle désinvolture ? Parce que ces gens simples avaient l'impression de faire leur travail afin d'accomplir leur mission. C'est tout le tragique de l'histoire. Moi, je ne pense pas qu'il y ait eu des crimes pour le plaisir de tuer… Oui, dans ces conditions-là, il y en a toujours. Mais je ne pense pas que l'ordre des politiciens était de le faire. Je pense que les chefs militaires, que ce soit Charles Taylor ou les autres, n'étaient pas plus émus que ça de la mort de leurs concitoyens. Mais je ne pense pas non plus qu'ils incitaient leurs miliciens à tuer aveuglément tout le monde. Je pense que c'est un pays où les gens étaient livrés à eux-mêmes avec une discipline inexistante. Il faut savoir aussi que Charles Taylor n'avait aucun moyen de communication avec ses troupes. Il avait un téléphone satellitaire que lui avait donné Félix Houphouët-Boigny, mais il n'avait pas de moyen de contacter ses soldats sur le front. Il n'y avait pas de téléphone cellulaire à l'époque et il n'avait pas de radio. Charles Taylor ne savait pas ce qui se passait sur le front. Il n'y allait pas lui-même. Il n'était pas un chef de guerre courageux. Ce n'était pas un bon chef de guerre. Son mouvement politique, le NPFL, a été bon tant qu'il avait Prince Johnson avec lui. Mais en fait, c'est Prince Johnson qui marquait les points sur le terrain. Comme Johnson a fait sécession et est parti dans son coin et a laissé tomber Taylor, Taylor n'a plus jamais avancé sérieusement sur le terrain et donc, parce que la situation a dégénéré, c'est devenu une guerre ethnique. Chaque ethnie avait son groupe armé avec son chef de guerre qui s'opposait aux autres. Alors, vous dites que chaque combattant faisait son travail, mais quand on abat une femme et ses enfants, ce n'est pas un travail comme un autre, non ? Non, je ne dis pas qu'il faisait son travail, je dis qu'il faisait ce qu'il pensait être son travail. Je pense que le milicien pensait que sa mission consistait à tuer des ennemis, quels qu'ils soient, hommes, femmes, enfants. Vous savez, dans une guerre ethnique, on est coupable de faire partie de l'ethnie adverse, quel que soit son âge ou son sexe. Les enfants, tant qu'ils peuvent porter une arme, ils sont en face de vous, donc ils sont des combattants. Les femmes, elles donnent naissance à des futurs combattants qui seront un jour en face de vos enfants. Et donc tout le monde est une cible légitime de ce point de vue de la guerre ethnique. C'est ça qui est effroyable. Comment se fait-il que, depuis 2003, il n'y ait jamais eu de procès de criminels de guerre au Liberia ? Je pense que les Libériens ont admis leur responsabilité collective. Ils ont admis que tout le monde avait perdu la tête. Et donc il n'y a pas un groupe ethnique qui a échappé au massacre commis par les leurs contre un autre groupe ethnique. Donc, il y a une sorte de nivellement par l'horreur, par le crime, qui fait que tout le monde s'est rendu coupable de choses répréhensibles devant la loi. Je pense qu'ils ont été tellement nombreux, dans tous les camps, à commettre des crimes que peut-être qu'ils n'ont pas très envie de remettre tout ça en cause et de se dire qu'il va falloir mettre les deux tiers du pays en prison. Mais je pense qu'aujourd'hui, les Libériens ont beaucoup évolué. Il y a un système démocratique qui s'est mis en place. Et en effet, je pense qu'ils ne doivent pas être très fiers de ce qu'ont fait leurs prédécesseurs pendant cette guerre civile. Et si en 2027, donc dans deux ans, un tribunal sur les crimes de la guerre civile s'ouvre à Monrovia, est-ce que vous serez prêt à venir témoigner ? Si on me le demande, oui, comme témoin de contexte pour expliquer mon expérience, c'est peut-être même un devoir puisque je l'ai vécue. Et quand vous avez témoigné au procès de Kunti Camara, c'était donc l'an dernier à Paris, est-ce que vous avez croisé son regard ? Il était très fuyant, il avait l'air totalement absent. Mais des criminels comme lui, il y en a des milliers au Liberia. La banalité de la mort ? Oui, la banalité de la mort. C'est une chose qui m'a beaucoup surpris au Liberia, comme en Sierra Leone d'ailleurs, parce qu'à cette époque-là, la mort était quelque chose de quotidien. On tuait les gens facilement sans que ça pose de problèmes éthiques, moraux. Cette banalité face à la mort, c'est peut-être un instinct de survie aussi, sinon personne ne s'en sortirait.
Invitée : -Carine Marret, linguiste et romancière, pour Les chrétiens d'Orient et la France - mille ans d'une passion tourmentée chez Balland Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hervé Moreau était capitaine de gendarmerie en milieu rural. Au bout de quelques années, il décide de rompre son devoir de réserve et de sortir son livre "Vérités d'un capitaine de gendarmerie". Le livre est un succès mais sa hiérarchie l'accueille très mal et choisi de le punir. Aujourd'hui il s'engage en politique et ne mâche pas ses mots concernant les partis traditionnels et le fonctionnement de l'État.
La guerre en Iran s'invite dans le débat français. « La gauche qui défend le régime iranien et son arsenal nucléaire, je ne m'y attendais pas », confie Ruth Elkrief. Pourtant, récemment, Marine Tondelier a dénoncé la logique de la force israélienne déployée depuis un an. On est bien d'accord que le régime iranien opprime les femmes, les homosexuels, et tous les opposants. Défendre la population iranienne contre ce régime devrait être une évidence pour la gauche, souligne-t-elle. Ce lundi 16 juin, le baril de pétrole s'échange à 71,5 dollars, en baisse de 5 % par rapport à la semaine dernière. Malgré les tensions au Moyen-Orient, François Lenglet rappelle : on est très loin d'une flambée des prix. » La production pétrolière iranienne a fortement diminué, modifiant la géoéconomie du pétrole au détriment du Moyen-Orient. Cette baisse de production et la diversification des approvisionnements expliquent le calme relatif sur le marché. Le Minnesota fait face à une grave crise sécuritaire. Une élue démocrate assassinée, son mari tué, une autre élue et un couple blessés : un homme blanc de 57 ans, Vance Boelther, fervent partisan de Trump et opposant farouche à l'avortement, est suspecté. « Il aurait visité les domiciles de quatre élus démocrates », précise Isabelle Lasserre. Dans sa voiture, un carnet recensait 70 cibles parmi des élus démocrates et des soignants pratiquant l'avortement. Ce climat exacerbé alimente les craintes d'un embrasement politique aux États-Unis. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur les manifestations du 1er mai et sur l'extrême gauche qui avance ses pions entre violence et instrumentalisation. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a deux ans, le 15 avril 2023, débutait la guerre civile qui, depuis, continue de faire des dégâts humains et métiers. Eric Topona et ses invités reviennent sous l'Arbre à palabres sur les raisons de ce conflit et proposent des voies de sortie de crise.
Le bilan officiel s'établit à 3 645 morts, mais continue d'augmenter au fur et à mesure que les décombres provoqués par le tremblement de terre sont déblayés et les corps découverts sous les gravats. Un bilan alourdi par la lenteur des secours et l'organisation défaillante de la junte militaire, au pouvoir depuis le coup d'Etat militaire, en février 2021.L'armée n'a pas été mobilisée pour les secours, et les Birmans n'ont pu compter que sur l'aide de secouristes et de pompiers, rapidement débordés. Selon l'Organisation des Nations unies, plus de deux millions de personnes ont toujours besoin d'assistance à la suite du séisme.Ce tremblement de terre vient s'ajouter à la souffrance des Birmans, qui subissent une guerre civile depuis le putsch qui a renversé la dirigeante élue Aung San Suu Kyi, en 2021. Le conflit a fait à ce jour plus de 6 300 morts civils et provoqué le déplacement de plus de 3,5 millions de personnes.Alexandre Mandri, envoyé spécial du Monde en Birmanie, s'est rendu près de l'épicentre du séisme, à Mandalay et à Sagaing. Il raconte son reportage, dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde ».Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Amandine Robillard et Thomas Zeng. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.Cet épisode a été publié le mercredi 16 avril 2025.---Que pensez-vous des podcasts du « Monde » ? Donnez votre avis en répondant à cette enquête. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Dans cette revue de presse internationale :La police espagnole a démantelé une cellule du Hezbollah à Barcelone, qui était impliquée dans la construction de plus de 1000 drones kamikazes destinés à Israël.Au Liban, le pays commémore les 50 ans du début de la guerre civile qui a fait près de 150 000 morts et 17 000 disparus, laissant une marque indélébile sur la société libanaise.Au Brésil, le nombre de naissances chez les adolescentes a été divisé par deux au cours de la dernière décennie, grâce à une meilleure éducation et un meilleur accès aux soins de santé, bien que des défis persistent chez les populations indigènes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:50:43 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Dans les années 1990, Beyrouth s'engage dans sa reconstruction après la guerre civile. Rebâtir la ville c'est la moderniser afin de renforcer son attractivité économique et retrouver des espaces de coexistence sociale. Confiée au secteur privé, cette reconstruction fait polémique. - réalisation : Milena Aellig, Eric Lancien - invités : Eric Verdeil Docteur en géographie, professeur de géographie et d'études urbaines à Sciences Po et chercheur au Centre de recherches internationales (CERI); Sophie Brones Maître de conférences à l'Ecole d'architecture de Versailles (ENSA-V), chercheur associée au LéAV.
durée : 00:12:36 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - « Il n'y a pas de mémoire de la guerre au Liban, mais une guerre des mémoires », écrit le journaliste et écrivain Marwan Chahine dans son roman Beyrouth, 13 avril 1975 - Autopsie d'une étincelle. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Pierre France Doctorant en science politique à l'Université Paris 1
durée : 00:15:34 - Séisme en Birmanie : l'aide internationale s'organise. Le plus puissant séisme ayant frappé la Birmanie depuis des décennies a tué plus de 1.600 personnes dans le pays en pleine guerre civile et fait des morts en Thaïlande voisine, causant des dommages co
L'ONU déplore une situation alarmante au Soudan du Sud et s'inquiète de l'arrestation du vice-président Riek Machar par des forces loyales au président Salva Kiir. Le vice-président a été interpellé dans sa résidence par des hommes armés conduits par le ministre de la Défense et le chef de la Sécurité nationale. La correspondance régionale de Bastien Renouil.
Algérie, années '90 : le jeune Salim Zerrouki aimerait être un jeune adolescent comme les autres. Mais comment vivre entre les bombes, les enlèvements et les assassinats qui ont été la vie quotidienne de ce que l'histoire et les autorités algériennes retiendra comme la décennie noire ? C'est ce que l'auteur, raconte aujourd'hui, dans un roman graphique, Rwama, dont le tome deux clôt le diptyque. Avec Salim Zerrouki, auteur-illustrateur algérien. Un séquence réalisée par Jean-Marc Panis. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:46 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le gouvernement éthiopien "suit attentivement" la situation au Tigré, région septentrionale où des tensions entre deux factions du parti au pouvoir menacent d'engendrer une nouvelle guerre civile.
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur l'accord passé entre les autorités syriennes et la communauté kurde et les taxes douanières américaines contre le Canada. Soudan du Sud : le pays est-il au bord de la guerre civile ? Au Soudan du Sud, les tensions sont au plus haut niveau entre le président et son vice-président. Qu'est-ce qui a provoqué ces tensions ? L'accord de paix de 2018 peut-il être remis en cause ? Avec Florence Miettaux, correspondante de RFI à Juba. Syrie : accord historique entre les autorités et les forces kurdes En Syrie, un accord a été trouvé entre les nouvelles autorités et la communauté kurde du nord-est du pays. Quel rôle exact joueront les institutions autonomes kurdes dans le nouvel État syrien ? Quel intérêt le régime syrien tire-t-il de cette intégration ? Cet accord signifie-t-il la fin des opérations turques sur le territoire ?Avec Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen. Etats-Unis/Canada : revirement de Donald Trump sur les taxes douanières Après avoir à nouveau menacé le Canada de doubler les taxes douanières, de 25% à 50%, le président américain a finalement renoncé à ces sanctions quelques heures après. Pourquoi Donald Trump fait-il volte-face ? Le nouveau Premier ministre canadien, Mark Carney, avait promis une riposte. Sur quels aspects économiques et commerciales pourrait-il contre-attaquer ?Avec Pierre-Alexandre Beylier, professeur à l'université Grenoble Alpes, spécialiste en civilisation nord-américaine. Et en fin d'émission, la chronique « Un oeil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, les réactions des internautes maliens face à l'augmentation des taxes de téléphonie.
Au Soudan, il y a « un énorme risque de partition du pays », affirme l'Union africaine, après la décision des Forces de soutien rapide (FSR) du général Hemedti de former prochainement un gouvernement parallèle. Presque deux ans après le début de la guerre civile dans ce pays, y a-t-il vraiment un risque de sécession ? Et peut-il y avoir un impact sur la stabilité politique du Tchad ? Décryptage avec Roland Marchal, chercheur à Sciences Po Paris. Il répond aux questions de C. Boisbouvier.
durée : 00:12:47 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Mercredi 12 mars, l'IGAD, un bloc d'États d'Afrique de l'Est, s'est réuni en urgence pour évoquer la situation au Soudan du Sud, où des affrontements ont repris au cours du mois de février. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Emmanuelle Veuillet Doctorante en science politique à l'Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne
Stéphane Bern raconte, à quelques heures de la 50e Cérémonie des César, un César plus ancien, beaucoup plus ancien : Jules César, conquérant audacieux et brillant stratège, qui a connu une ascension incroyable vers un pouvoir absolu, faisant de lui, aujourd'hui encore, le grand héros de Rome… Quel héritage politique reste-t-il de César ? En quoi son talent militaire lui a-t-il permis de gagner les cimes du pouvoir ? Comment a-t-il lui-même forgé sa propre légende ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Yann Le Bohec, historien, professeur émérite à l'Université de la Sorbonne, spécialiste de l'Antiquité romaine et auteur de ""César, chef de guerre'"" (Tallandier) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Mathieu Fret. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Clara Leger."
Stéphane Bern raconte, à quelques heures de la 50e Cérémonie des César, un César plus ancien, beaucoup plus ancien : Jules César, conquérant audacieux et brillant stratège, qui a connu une ascension incroyable vers un pouvoir absolu, faisant de lui, aujourd'hui encore, le grand héros de Rome… Quel héritage politique reste-t-il de César ? En quoi son talent militaire lui a-t-il permis de gagner les cimes du pouvoir ? Comment a-t-il lui-même forgé sa propre légende ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Yann Le Bohec, historien, professeur émérite à l'Université de la Sorbonne, spécialiste de l'Antiquité romaine et auteur de ""César, chef de guerre'"" (Tallandier) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Mathieu Fret. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Clara Leger."
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Virginie Girod raconte la Commune de Paris, dans un épisode inédit d'Au coeur de l'Histoire. En 1870, la France est envahie par la Prusse. Paris, assiégée, refuse de capituler. Dans ce contexte, la Commune rejette la nouvelle Assemblée nationale issue des élections de février 1871 et favorable à la paix. Une guerre sans merci débute alors, et voit s'opposer la Commune de Paris et les forces menées par le gouvernement d'Adolphe Thiers. Pendant deux mois, la ville est à feu et à sang. Alors que la répression fait rage, de nombreux monuments parisiens sont incendiés.
Virginie Girod raconte la reine Marie de Médicis (1575-1642), régente avide de pouvoir. Dans le second épisode de ce double récit inédit d'Au coeur de l'Histoire, Henri IV, roi de France et fondateur de la dynastie des Bourbons, meurt assassiné par Ravaillac. Son épouse, Marie de Médicis, devient alors régente du royaume, rôle qu'elle devra assurer jusqu'à la majorité de Louis XIII...
durée : 00:03:22 - Géopolitique - L'offensive surprise des rebelles syriens leur a permis de capturer en trois jours Alep, deuxième ville de Syrie. Les aviations syrienne et russe sont intervenues hier pour freiner l'avance des rebelles, et les contacts diplomatiques se sont multipliés. Le Moyen-Orient est en ébullition.
Virginie Girod raconte la lutte fratricide ayant marqué la dynastie impériale romaine des Sévères, dans un double épisode inédit d'Au cœur de l'Histoire.Le 26 décembre 211, à Rome, l'empereur Caracalla, annonce au Sénat la mort de son frère et co-empereur, Geta. Il aurait été contraint de faire assassiner son cadet qui, raconte-t-il, s'apprêtait à le trahir. Comment cette fratrie en est-elle arrivée là ? Pour le comprendre, il faut remonter le temps et s'intéresser à la prise de pouvoir de Septime Sévère, leur père, au crépuscule du Ier siècle. A la mort de l'empereur Commode, ce Libyen s'impose à la pourpre après un long épisode de guerre civile. Il prépare alors ses fils à prendre sa succession. Mais ces derniers se vouent une haine sans limites. Quelques mois à peine après la mort de Septime Sévère, ils vont mettre leur héritage en danger. Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.Présentation et écriture : Virginie GirodProduction : Armelle Thiberge et Morgane VianeyRéalisation : Nicolas GaspardComposition du générique : Julien TharaudPromotion et coordination des partenariats : Marie CorpetVisuel : Sidonie Mangin Bibliographie et sources :Marcel Le Glay, Jean-Louis Voisin, Yann Le Bohec, Histoire romaine, PUF, 2019Virginie Girod, Au cœur de l'Histoire antique, Perrin/Europe1, 2024Histoire d'Auguste
Virginie Girod raconte la suite de la lutte fratricide ayant marqué la dynastie impériale romaine des Sévères, dans un double épisode inédit d'Au cœur de l'Histoire.En 211, à la mort de l'empereur romain Septime Sévère - fondateur de la dynastie des Sévères -, ses fils, Caracalla et Geta, doivent partager le pouvoir. Mais le 26 décembre de la même année, pendant les fêtes des Saturnales, Caracalla fait assassiner son cadet dans les appartements de leur mère. Il doit désormais justifier son crime auprès de l'armée et du Sénat et achète bientôt leur silence.Durant son règne, Caracalla fait appliquer une série réformes : il augmente le budget de l'armée et le nombre de fonctionnaires de l'administration. Pour remplir les caisses, il fait augmenter les impôts. Dans la continuité du règne de son père, il mène une politique guerrière et défend activement les frontières de l'Empire romain. Mais Caracalla a de nombreux ennemis politiques. Bientôt, un complot est ourdi contre lui. Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.Présentation et écriture : Virginie GirodProduction : Armelle Thiberge et Morgane VianeyRéalisation : Nicolas GaspardComposition du générique : Julien TharaudPromotion et coordination des partenariats : Marie CorpetVisuel : Sidonie Mangin Bibliographie et sources :Marcel Le Glay, Jean-Louis Voisin, Yann Le Bohec, Histoire romaine, PUF, 2019Virginie Girod, Au cœur de l'Histoire antique, Perrin/Europe1, 2024Histoire d'Auguste