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durée : 00:04:39 - Le Reportage de la rédaction - En Syrie, des centaines de familles se sont réfugiées dans le nord du Liban suite aux exactions commises sur la côte ces dernières semaines. L'Observatoire syrien des droits de l'homme évoque près de 1 500 morts. Des groupes radicaux et combattants étrangers sont pointés du doigts.
durée : 00:04:39 - Le Reportage de la rédaction - En Syrie, des centaines de familles se sont réfugiées dans le nord du Liban suite aux exactions commises sur la côte ces dernières semaines. L'Observatoire syrien des droits de l'homme évoque près de 1 500 morts. Des groupes radicaux et combattants étrangers sont pointés du doigts.
Dve leti pred smrtjo in sredi sporov z brati, je sv. Frančišek na gori La Verna Boga spraševal, ali je imelo njegovo življenje smisel ali ne. V odgovor je prejel stigme ali Kristusove rane. Takrat je spoznal, da je ljubezen povezana s trpljenjem odpovedi. Minorit in dober poznavalec frančiškovske tradicije, p. Danilo Holc nam je odstiral globok duhovni pomen teh tednov, ki jih je Frančišek preživel na gori, saj ga je Bog sam nanje pripravljal že od spreobrnjenja naprej.
Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité.
Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Os conflitos internos na Síria que explicam a morte da minoria alauíta estão ligados à tomada de poder pelo HTS (Hay'at Tahrir al-Sham), um grupo rebelde, após a queda do regime de Bashar al-Assad, que esteve no poder por seis décadas. Este novo governo é liderado por sunitas, representando a maioria étnica da população síria. Apesar de inicialmente tentar projetar uma imagem de moderação, confrontos recentes em cidades costeiras foram desencadeados por apoiadores do ex-líder. A resposta agressiva do atual governo a esses confrontos resultou em acusações de limpeza étnica, com o Observatório Sírio para os Direitos Humanos reportando mais de mil mortes, majoritariamente civis. Segundo o doutor em Relações Internacionais, Vladimir Feijó, existe um grande ressentimento da maioria da população em relação ao regime anterior, que priorizou minorias, seguindo o exemplo da França durante sua ocupação após a Primeira Guerra Mundial. O HTS alega que os confrontos são instigados por apoiadores do antigo regime, que estão sendo expulsos e vendo suas perspectivas de vida diminuírem. A violência tem sido direcionada a grupos minoritários, incluindo os alauítas (cerca de 11% da população e parte da família Assad), os drusos e os cristãos. Há um temor de que o HTS esteja tentando construir uma unidade síria de forma forçada, e minorias como drusos e cristãos também podem se tornar alvos. Ao Jornal Eldorado, Feijó sugere que uma possível saída seria a criação de uma coalizão internacional de potências que normalmente competem entre si (como França, Reino Unido, Estados Unidos e Rússia), que historicamente classificam o HTS como uma entidade terrorista.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Cada 28 de febrer es commemora el Dia Mundial de les Malalties Minorit
Les persécutions religieuses ont connu une augmentation l'an dernier (2024), envers les communautés chrétiennes selon l'index publié en janvier 2025, mais aussi envers les musulmans notamment en Inde… Cette tendance à la hausse est observée dans plusieurs régions dont la zone sahélienne en Afrique. Témoignages croisés du Nigeria, du Burkina Faso et d'Inde dans cette émission.
Les persécutions religieuses ont connu une augmentation l'an dernier (2024), envers les communautés chrétiennes selon l'index publié en janvier 2025, mais aussi envers les musulmans notamment en Inde… Cette tendance à la hausse est observée dans plusieurs régions dont la zone sahélienne en Afrique. Témoignages croisés du Nigeria, du Burkina Faso et d'Inde dans cette émission.
« Les alaouites, premières victimes du pouvoir », titre Marianne, qui est allée à la rencontre de cette minorité qui représente environ 10% de la population syrienne. Une minorité qui « souffre d'un double anathème », nous dit l'hebdomadaire : « le clan al-Assad en était issu. Et les plus fondamentalistes du régime actuel la considèrent comme apostat ». L'envoyé spécial de Marianne s'est rendu à Fahl, dans l'ouest du pays. Fahl, une « bourgade de 16 000 habitants, tous alaouites, perchée à 800 mètres d'altitude dans une vallée en terrasse où l'on cultive la pomme et l'olive ». C'est dans cette petite ville qu'ont débarqué, le 23 janvier dernier, « plus de 150 hommes lourdement armés », « diffusant les chants religieux chers aux djihadistes », raconte Abou Moataz, un dignitaire de la bourgade. Ils ont fouillé le village, une « fouille qui a duré une grande partie de la journée, avant de virer au pillage de maisons ». Le soir, poursuit Marianne, « les habitants ont fait une terrible découverte dans un champ à l'entrée du bourg ». « On a trouvé des corps », raconte Abou Moataz. « Certains avaient le crâne complètement enfoncé, d'autres avaient été égorgés ». « Les autorités de transition menées par Ahmed el Charaa prétendent faire tout leur possible pour assurer la sécurité et la concorde entre les citoyens syriens, sans faire de distinction », précise Marianne, qui remarque : « leur argument s'effrite pourtant devant les nombreux témoignages recueillis ». Duo infernal Dans la presse hebdomadaire également, des Américains traumatisés. « Washington est en état de choc » face à « la grande purge », nous dit le Nouvel Obs. « En moins de trois semaines,Donald Trump a mis à terre la bureaucratie fédérale. Au cœur de la manœuvre : Elon Musk qui applique à l'État sa méthode éprouvée dans ses usines Tesla et lors de son rachat de Twitter. « On est pétrifiés », reconnaît un fonctionnaire. « Impossible de recueillir des témoignages à visage découvert », explique le Nouvel Obs : « il faut taire les noms, les fonctions et les services. Tous les fonctionnaires racontent la même histoire : « une gigantesque purge, une révolution à la russe ». « Personne n'avait imaginé que le duo infernal taperait si vite, si fort », conclut le Nouvel Obs.Les gays n'existent plusLe Point, de son côté, note que la colère commence à se faire entendre. Elle se fait entendre lors de « manifestations quasi quotidiennes à Washington », remarque l'hebdomadaire. Parmi les slogans : « Musk doit s'en aller ! », « jetez-le en taule ! ». Il y a aussi « ces vidéos parodiques sur les réseaux sociaux », où l'on pratique l'humour noir : « l'Allemagne des années 30 est à nouveau cool », « Satan est nommé à la tête de la commission d'éthique » ou encore « c'est officiel : les gays n'existent plus ». Certains juges tentent de résister. Le Point nous parle d'une « avalanche de procès », dans les tribunaux où les juges sont hostiles à Trump (Boston, New York ou Washington).L'Ukraine et notre porte-monnaieDans la Tribune Dimanche, une chronique a attiré l'attention. C'est la chronique Votre Argent, du médiatique spécialiste des marchés financiers Marc Fiorentino. Chronique sobrement intitulée : « ce que changerait la paix en Ukraine ». La démonstration est simple : « Si Trump arrive à ses fins », dit Marc Fiorentino, « les conséquences économiques et financières seront assez claires : baisse du prix de l'énergie, accélération du recul de l'inflation, reprise, modeste certes, mais reprise tout de même de la croissance allemande et européenne », etc. Les conditions de la paix sont « brutales » pour l'Ukraine, reconnaît Marc Fiorentino, mais, « Trump est déterminé ». Autant donc se frotter les mains tout de suite. « Les investisseurs », explique le spécialiste des marchés financiers, « commencent à se positionner sur ce scénario qu'ils jugent positif ». Taux, actions, placements immobiliers – la paix en Ukraine n'aurait donc que des avantages pour notre porte-monnaie. C'est une vision du monde quelque peu étriquée.Pas d'écran avant trois ansUne mise en garde, enfin, pour les enfants, et surtout les parents. Une mise en garde sur le temps d'écran, « du temps volé à l'enfant », explique la pédiatre Sylvie Dieu Osika, dans le Nouvel Obs. « Du temps volé », explique-t-elle, « à son sommeil, son activité physique, ses interactions avec les adultes. Ce sont parfois des années de vie perdue ». Selon cette pédiatre, les enfants ne devraient pas être exposés aux écrans avant l'âge de trois ans. Une recommandation gouvernementale que seuls 10% des parents français respectent. « Aujourd'hui », conclut Sylvie Dieu Osika, « on trouve choquant qu'un adulte fume à côté d'un enfant. J'aimerais qu'un jour, on trouve également choquant de voir des parents confier un téléphone à un tout petit ».
durée : 00:06:57 - L'invité de 6h20 - Dans un rapport dévoilé ce jeudi sur France Inter, Greenpeace dénonce la manipulation de la gestion de l'eau par des "lobbies agro-industriels". Une mainmise qui se fait avec "la complicité de l'État", dénonce Suzanne Dalle, chargée de campagne Agriculture chez Greenpeace.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Un document recueilli par Mediapart et provenant du service EducationUSA, en charge des étudiants étrangers aux États-Unis, détaille comment le trumpisme entend supprimer les femmes, les minorités et les personnes défavorisées des cercles académiques. Un article de Benjamin Jung publié lundi 10 février et lu par Jérémy Zylberberg.
Cette semaine avec : Darina, Léo, Coco, Sem, Doc Joe et Catherine Sommaire cette semaine : Le Before - Les BlaBla (Chronique de Coco) - L'excuse de minorité (Débat de la semaine)
Wann eng Minoritéit vu Flüchtlingen a Migranten Auteur vun enger schroer Strofdot ginn, ginn all d'Flüchtlingen a Migrante bestrooft. Dat weist sech an der Lescht an Däitschland.
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député RN du Nord, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de l'agression mortelle d'Élias perpétrée par deux individus de 16 et 17 ans, de la justice des mineurs et l'abaissement de la majorité pénale à 16 ans, de la circulaire durcissant la régularisation des sans papiers, de la méthode Trump et du Budget.
François HéranMigrations et sociétésCollège de FranceAnnée 2024-2025Colonisation et migrationSéminaire - Religions et migrations : Le sort des minorités religieuses dans les démocraties occidentalesIntervenants :Daniele FerrariChercheur au département de droit et sciences politiques, économiques et sociales, université du Piémont OrientalJocelyne CesariProfesseure de Religion et Politique, université de Birmingham
« L'exceptionnalité humaine est une dangereuse illusion ». C'est ce que déclare le grand anthropologue français Philippe Descola. Ses recherches sont aujourd'hui une source d'inspiration importante pour celles et ceux qui font de l'urgence climatique et écologique une véritable priorité. Descola démontre dans ses travaux que le mot « nature » est une invention humaine relativement récente et locale. Selon lui, la séparation entre « nature » et « culture » abîme la Terre et ses habitants humains et non humains. Philippe Descola nous invite à repenser nos liens et nos relations avec l'ensemble du vivant. Il estime aussi que les sciences sociales ont pour mission de se tourner vers le futur. Alors, que nous indique-t-il pour cette année 2025 naissante ? Philippe Descola est notre invité, cette semaine. Un Cahier de L'Herne dirigé par Grégory Delaplace et Salvatore D'Onofrio lui est consacré. Dans son billet « A quoi tu penses ? », la philosophe et écrivaine Camille Moreau se penche sur le sort des Afghanes alors que les talibans interdisent les fenêtres dans les pièces occupées par des femmes. Enfin, dans « En toutes lettres ! », l'historien et écrivain Gil Bartholeyns écrit à l'anthropologue Nicolas Nova, mort à l'âge de 47 ans, après un malaise lors d'un trek. La playlist de Philippe Descola : - Pérotin le Grand – Beata Viscera - Ana Firmino - Chico Malandro - Les Gnossiennes d'Erik Satie Les choix culturels : - Philippe Descola : le roman d'Olga Tokarczuk, « Les Livres de Jacob » aux éditions Noir sur Blanc - Camille Moreau : le livre de Claire Dutrait, « Vivre en arsenic » chez Actes Sud - Gil Bartholeyns : le livre de Nicolas Nova, « Persistance du merveilleux » au Première Parallèle - Pascal Claude : « 12 », le dernier album de Ryūichi Sakamoto Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
François HéranMigrations et sociétésCollège de FranceAnnée 2024-2025Colonisation et migrationSéminaire - Religions et migrations : L'exil des minorités sexuellesIntervenants :Corinne FortierChargée de recherche au CNRS, laboratoire d'anthropologie sociale, EHESSFlorent ChossièreChercheur postdoctoral, Institut Convergences Migrations (CNRS)
À Damas, l'ouverture du nouveau chef syrien Ahmed al-Charaa envers les minorités suscite des réactions variées. Si certains estiment qu'il cherche à rassurer les États-Unis et la communauté internationale, d'autres voient dans cette démarche un message d'unité, rappelant que, par-delà les différences religieuses et culturelles, tous les Syriens partagent un même destin. Dès son arrivée au palais du peuple, situé au sommet du mont Qassioun à l'ouest de Damas, le président de la nouvelle administration syrienne, Ahmed al-Charaa, n'a cessé de recevoir des délégations officielles et non officielles, venant de l'intérieur et de l'extérieur du pays. Il s'efforce d'envoyer des messages rassurants aux Syriens, affirmant que l'ère de la répression des libertés est révolue avec le départ de Bachar el-Assad. Ces messages semblent avoir atteint de nombreux Syriens, comme en témoigne un groupe rencontré dans le quartier de Mezzeh. Ils ont particulièrement apprécié qu'al-Charaa, malgré ses origines islamiques conservatrices, reçoive une délégation représentant les communautés chrétiennes de Syrie, en pleine période des célébrations de Noël et du nouvel an.Quelques réactions de Syriens interrogés dans les rues de Damas concernant cette politique d'ouverture des nouvelles autorités syriennes : « Nous, Syriens, sommes unis et nos confessions ne font qu'un. Peu importe la diversité de nos confessions, nous resterons un seul peuple. Sous la direction du leader Ahmad al-Charaa et du conseil dirigeant, nous espérons renforcer notre coopération pour reconstruire la Syrie ensemble », dit un homme. « J'ai le sentiment que le pays se dirige vers une phase de reconstruction, même si cela prendra du temps. Ces rencontres prouvent que notre nation sera exempte de toute discrimination », ajoute une femme.Une politique internationale qui séduitSur le plan des relations internationales, les États-Unis, qui réclamaient autrefois la tête d'Ahmed al-Charaa, cherchent aujourd'hui à le courtiser et à le rencontrer. Cela reflète, selon les Syriens comme le jeune Obeid, sa capacité à construire de bonnes relations avec les nations, contrairement à l'ancien régime. « C'est le climat que souhaitent les États-Unis et l'Occident. L'image que présente al-Charaa est satisfaisante pour l'Occident, contrairement à l'ancien régime. al-Charaa est parfaitement conscient de ses objectifs dans ces démarches, visant à réconcilier la Syrie avec les différentes nations du monde ».Depuis la chute de Bachar al-Assad, al-Charaa a accueilli des dizaines de délégations issues de la plupart des pays arabes, de l'Union européenne et des voisins de la Syrie. Toutes ont exprimé leur volonté de soutenir économiquement le pays après ces rencontres.
À Damas, l'ouverture du nouveau chef syrien Ahmed al-Charaa envers les minorités suscite des réactions variées. Si certains estiment qu'il cherche à rassurer les États-Unis et la communauté internationale, d'autres voient dans cette démarche un message d'unité, rappelant que, par-delà les différences religieuses et culturelles, tous les Syriens partagent un même destin. Dès son arrivée au palais du peuple, situé au sommet du mont Qassioun à l'ouest de Damas, le président de la nouvelle administration syrienne, Ahmed al-Charaa, n'a cessé de recevoir des délégations officielles et non officielles, venant de l'intérieur et de l'extérieur du pays. Il s'efforce d'envoyer des messages rassurants aux Syriens, affirmant que l'ère de la répression des libertés est révolue avec le départ de Bachar el-Assad. Ces messages semblent avoir atteint de nombreux Syriens, comme en témoigne un groupe rencontré dans le quartier de Mezzeh. Ils ont particulièrement apprécié qu'al-Charaa, malgré ses origines islamiques conservatrices, reçoive une délégation représentant les communautés chrétiennes de Syrie, en pleine période des célébrations de Noël et du nouvel an.Quelques réactions de Syriens interrogés dans les rues de Damas concernant cette politique d'ouverture des nouvelles autorités syriennes : « Nous, Syriens, sommes unis et nos confessions ne font qu'un. Peu importe la diversité de nos confessions, nous resterons un seul peuple. Sous la direction du leader Ahmad al-Charaa et du conseil dirigeant, nous espérons renforcer notre coopération pour reconstruire la Syrie ensemble », dit un homme. « J'ai le sentiment que le pays se dirige vers une phase de reconstruction, même si cela prendra du temps. Ces rencontres prouvent que notre nation sera exempte de toute discrimination », ajoute une femme.Une politique internationale qui séduitSur le plan des relations internationales, les États-Unis, qui réclamaient autrefois la tête d'Ahmed al-Charaa, cherchent aujourd'hui à le courtiser et à le rencontrer. Cela reflète, selon les Syriens comme le jeune Obeid, sa capacité à construire de bonnes relations avec les nations, contrairement à l'ancien régime. « C'est le climat que souhaitent les États-Unis et l'Occident. L'image que présente al-Charaa est satisfaisante pour l'Occident, contrairement à l'ancien régime. al-Charaa est parfaitement conscient de ses objectifs dans ces démarches, visant à réconcilier la Syrie avec les différentes nations du monde ».Depuis la chute de Bachar al-Assad, al-Charaa a accueilli des dizaines de délégations issues de la plupart des pays arabes, de l'Union européenne et des voisins de la Syrie. Toutes ont exprimé leur volonté de soutenir économiquement le pays après ces rencontres.
636 après J.-C. Les conquérants musulmans venus d'Arabie battent l'empereur byzantin Héraclius. C'est la bataille du Yarmouk, à côté du plateau du Golan. La Syrie, qui était chrétienne depuis des siècles, est conquise et devient terre d'islam. Que vont devenir les habitants de la Syrie de confession chrétienne ?Dans ce nouvel épisode du Moment Histoire, Guillaume Perrault, rédacteur en chef au Figaro, revient sur l'histoire des chrétiens en Syrie, du VIIe siècle jusqu'à aujourd'hui.Vous pouvez retrouver le Moment Histoire sur Apple Podcast, Spotify, Deezer, Amazon Music et toutes les plateformes d'écoutes.Montage et mixage : Astrid LandonHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus de deux semaines après la chute de Bachar el-Assad et la prise du pouvoir par une coalition de rebelles, plusieurs manifestations dans des quartiers chrétiens de Damas se sont déroulées aujourd'hui 24 décembre en raison de l'incendie d'un sapin de Noël par des combattants cagoulés, près de Hama, dans le centre du pays. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, les combattants étaient des étrangers issus du groupe jihadiste Ansar al-Tawhid. Entretien avec Thomas Pierret, chargé de recherche à l'Institut de recherches et d'études sur les mondes arabes et musulmans (Iremam), spécialiste de la Syrie, auteur du livre Baas et islam en Syrie (PUF). À lire aussiSyrie: à Soueïda, fief de la communauté druze, entre identité nationale et désirs d'autonomie
Une semaine après la chute de Bachar el-Assad, le nouveau pouvoir s'installe progressivement. C'est une coalition de rebelles, dont des islamistes, qui promet de garantir les droits des minorités en Syrie. Mais dans la communauté chrétienne qui ne représenterait plus que 2% de la population, les inquiétudes sont bien là. De nos envoyés spéciaux, Murielle Paradon et Boris VichithDans une église, en banlieue de Damas, une vingtaine de fidèles assistent à la messe du matin. Le prêtre multiplie les messages rassurants après l'arrivée au pouvoir des rebelles, dont des islamistes. « N'ayez pas peur », dit-il. Le nouveau gouvernement a promis le respect des droits de toutes les communautés. Jihane Atallah est religieuse dans une congrégation catholique, elle attend de voir : « Puisqu'il y a eu des pourparlers entre hommes de religion, la première chose qu'on a cherché à assurer, c'est la liberté de culte. C'est une période transitoire, on a plein de promesses, donc on reprend confiance. Il faut donner une chance au nouveau pouvoir. »Nous rencontrons la famille Bittar, chez elle, dans un quartier où cohabitent plusieurs communautés : sunnites, druzes et chrétiens. La famille est grecque orthodoxe. Kamil, 23 ans, étudiant en médecine, fait la part des choses entre ses amis musulmans et ceux qui sont radicaux : « J'ai beaucoup d'amis musulmans, très gentils, je vis à leurs côtés chaque jour. Je ne pense pas qu'on puisse parler de peur, mais comme la situation n'est pas encore claire, nous sommes dans l'incertitude. Et ce qui nous fait peur, c'est le radicalisme, si on veut nous imposer des idées et des règles strictes. »À lire aussiLe pape François invite les Syriens à reconstruire un pays ouvert à toutes les religionsBachar el-Assad, le président déchu, se posait en défenseur de la minorité chrétienne en Syrie. Sa fuite du pays met en colère la mère de famille, May Bittar. Mais elle s'inquiète surtout d'une possible mainmise des islamistes radicaux sur le pouvoir. Et elle se demande si elle ne sera pas forcée un jour de quitter son pays : « Nous, les chrétiens d'Orient, nous vivons toujours dans l'inquiétude de savoir où aller, si on pourra rester dans notre pays, si on nous assurera les conditions pour rester. On a peur, on ne sait pas ce qui nous attend. Et ce n'est pas une vie de devoir quitter sa maison. »Malgré la peur, cette directrice d'école espère rester en Syrie, pour pouvoir continuer à éduquer les jeunes générations. « On a déjà perdu trop de temps », dit-elle, après 14 années de guerre.
Une semaine après la chute de Bachar el-Assad, le nouveau pouvoir s'installe progressivement. C'est une coalition de rebelles, dont des islamistes, qui promet de garantir les droits des minorités en Syrie. Mais dans la communauté chrétienne qui ne représenterait plus que 2% de la population, les inquiétudes sont bien là. De nos envoyés spéciaux, Murielle Paradon et Boris VichithDans une église, en banlieue de Damas, une vingtaine de fidèles assistent à la messe du matin. Le prêtre multiplie les messages rassurants après l'arrivée au pouvoir des rebelles, dont des islamistes. « N'ayez pas peur », dit-il. Le nouveau gouvernement a promis le respect des droits de toutes les communautés. Jihane Atallah est religieuse dans une congrégation catholique, elle attend de voir : « Puisqu'il y a eu des pourparlers entre hommes de religion, la première chose qu'on a cherché à assurer, c'est la liberté de culte. C'est une période transitoire, on a plein de promesses, donc on reprend confiance. Il faut donner une chance au nouveau pouvoir. »Nous rencontrons la famille Bittar, chez elle, dans un quartier où cohabitent plusieurs communautés : sunnites, druzes et chrétiens. La famille est grecque orthodoxe. Kamil, 23 ans, étudiant en médecine, fait la part des choses entre ses amis musulmans et ceux qui sont radicaux : « J'ai beaucoup d'amis musulmans, très gentils, je vis à leurs côtés chaque jour. Je ne pense pas qu'on puisse parler de peur, mais comme la situation n'est pas encore claire, nous sommes dans l'incertitude. Et ce qui nous fait peur, c'est le radicalisme, si on veut nous imposer des idées et des règles strictes. »À lire aussiLe pape François invite les Syriens à reconstruire un pays ouvert à toutes les religionsBachar el-Assad, le président déchu, se posait en défenseur de la minorité chrétienne en Syrie. Sa fuite du pays met en colère la mère de famille, May Bittar. Mais elle s'inquiète surtout d'une possible mainmise des islamistes radicaux sur le pouvoir. Et elle se demande si elle ne sera pas forcée un jour de quitter son pays : « Nous, les chrétiens d'Orient, nous vivons toujours dans l'inquiétude de savoir où aller, si on pourra rester dans notre pays, si on nous assurera les conditions pour rester. On a peur, on ne sait pas ce qui nous attend. Et ce n'est pas une vie de devoir quitter sa maison. »Malgré la peur, cette directrice d'école espère rester en Syrie, pour pouvoir continuer à éduquer les jeunes générations. « On a déjà perdu trop de temps », dit-elle, après 14 années de guerre.
Les craintes tout d'abord. Clairement exprimées par la Repubblica. « Les rebelles promettent qu'ils n'imposeront pas le voile, mais aujourd'hui à Damas, les hommes sont aux commandes, et les miliciens critiquent ceux qui ne respectent pas la loi islamique », affirme le quotidien italien, qui a interrogé de jeunes syriennes. L'une d'elles confie sa joie, dans un premier temps. « J'ai l'impression de naître, avec la liberté. Rien ne me fera jamais regretter [Bachar el-]Assad. Mais la minute suivante, j'ai peur, vraiment peur ». Elle raconte qu'il y a deux jours, un groupe de combattants d'Hayat Tahrir al Cham (HTS) lui a crié « couvre-toi les cheveux ».« L'angoisse alterne avec des moments d'optimisme », poursuit la Repubblica, « la rumeur se répand selon laquelle Abou Mohammed al-Joulani, le chef de rebelles, aurait donné l'ordre aux miliciens de ne pas déranger les filles à cause de leur tenue vestimentaire. » Rumeur invérifiable.Minorités religieusesL'espoir se manifeste aussi, après la prise du pouvoir par les rebelles d'HTS. L'espoir pour la minorité chrétienne notamment. « Malgré la peur, les chrétiens de Damas sont rassurés par les premiers signaux envoyés par HTS », titre l'Orient-Le Jour. Selon le quotidien francophone libanais, « des ecclésiastiques ont rencontré les autorités du nouveau gouvernement dirigé par HTS, qui les ont assurés de leur volonté de garantir la liberté de toutes les minorités religieuses ». À Damas, la communauté chrétienne reste toutefois prudente. Dans le quartier de Bab Touma, où s'est rendu l'Orient-Le Jour, « un message vocal est partagé en masse sur WhatsApp, dans lequel un homme de la communauté exhorte les chrétiens à ne pas faire de célébrations ou de diffuser des chants de Noël ». « Il n'en faudra pas plus », explique le quotidien « pour semer le doute dans les esprits, à moins de deux semaines des fêtes de fin d'année ».Austin TiceCraintes, mais aussi de l'espoir. Car l'espoir est aussi celui de retrouver certains prisonniers vivants. De nombreux syriens sont à la recherche de leurs proches. À Damas, « ils ratissent les locaux de la prison la plus célèbre du pays », raconte le Wall Street Journal, « parcourant les listes de détenus et creusant le sol en béton à la recherche de cellules ou de tombes cachées ». Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont disparu en Syrie, depuis le soulèvement de 2011. Des syriens bien sûr, mais aussi un américain, le journaliste Austin Tice, capturé en 2012.Cette semaine, explique El País, « le président américain Joe Biden a indiqué que son gouvernement pensait que le journaliste était vivant ». Ceci étant, précise le Washington Post, « les responsables de l'administration Biden, affirment que pour l'instant, il est trop dangereux de déployer du personnel pour rechercher l'Américain ». Même si HTS, a annoncé sa volonté de « coopérer directement avec Washington, pour localiser les Américains détenus par la dictature Assad », précise El País.Premier ministreEnfin, en France, l'attente continue même si François Bayrou doit être reçu à l'Élysée à 8h30. Il s'agit bien sûr de l'attente pour connaître le nouveau premier ministre que doit nommer Emmanuel Macron. « Pourquoi c'est si long ? » se demande Aujourd'hui en France, alors qu'Emmanuel Macron devrait finalement annoncer son choix ce vendredi matin. « Hier », poursuit Aujourd'hui en France, « les rumeurs se sont succédé dans une ambiance de pétaudière ». Le quotidien qui pointe du doigt les politiques qui « à défaut de travailler leur programme, s'enferment dans des postures ». Libération, de son côté, constate avec amusement que le nouveau Premier ministre sera donc nommé un « vendredi 13 ». S'il ne lui souhaite pas malheur, le quotidien français n'en énumère pas moins les dossiers brûlants qui attendent le nouveau chef du gouvernement : « budget, agriculteurs, plans sociaux, école ».Plus à gauche, l'Humanité n'hésite pas à accabler Emmanuel Macron. « Il est l'artisan du chaos », s'exclame le quotidien, « il s'embourbe dans une crise politique qu'il a lui-même provoquée ».
Aujourd'hui, Frédéric Farah, Zohra Bitan et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
#120 Métissage : transmettre quand on est une « minorité dans la minorité » La quête d'identité peut être un processus introspectif à travers notre héritage familial et culturel et nos choix de transmission à nos enfants. Comment se construit-on quand on connaît mal l'un des pays dont nous sommes originaires, et cette partie de notre famille ? Qu'est-ce qui fait qu'on peut se sentir une minorité dans la minorité ? Comment cette quête, couplée avec la littérature, peut nous guider, nous soulager et nous réparer un tant soit peu sur notre chemin ?Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent l'auteur et journaliste Gurvan Kristanadjaja autour de son roman “Amok, mon père” paru aux éditions Philippe Rey en 2024, dans lequel il évoque son métissage, son parcours et le pays de son père, l'Indonésie.Références citées dans l'épisode : -Stéphane Zweig « Amok ou le fou de Malaisie » (1922)-François Héran, Collège de France https://www.college-de-france.fr/fr/chaire/francois-heran-migrations-et-societes-chaire-statutaire -Interview de Gurvan Kristanadjaja sur France 3 Régions (2024) https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/temoignage-mes-cousins-et-mon-oncle-sont-traites-comme-des-clandestins-sa-famille-indonesienne-n-obtient-pas-de-visa-pour-assister-a-son-mariage-3005741.htmlÉmission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:26:09 - 8h30 franceinfo - Le ministre de la Justice était l'invité du "8h30 franceinfo", mardi 5 novembre 2024.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie et militant CGT. Élise Goldfarb, militante féministe et entrepreneur. Et Robert Sebbag, infectiologue à l'hôpital La Pitié-Salpêtrière à Paris. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:39:14 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Les minorités hispaniques aux États-Unis sont loin d'être un bloc homogène. Composée majoritairement de Mexicains-Américains, cette communauté inclut aussi des Portoricains, Cubains et Haïtiens aux parcours d'intégration et aux enjeux distincts. En 1999, "Voix du silence" sonde ces singularités. - réalisation : Massimo Bellini
Olivier de Lagarde revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
ČEZ má pověst nejmocnější firmy v zemi. Dostavba nových jaderných bloků, daň z neočekávaných zisků a teď navrch debaty o vykoupení minoritních akcionářů. Proto jsme si pozvali zakladatele spolku Minoritáři ČEZ, Pavla Grünfelda. Ten teď řeší hlavně WFT, spojence pro ústavní žalobu hledá v osobě prezidenta republiky, už teď se jejich stížnosti věnuje Evropská komise. Ministr financí dle něj může být rád, že není vyšetřován nebo ve vazbě… Partnerem podcastu je advokátní kancelář ROWAN LEGAL a provozovatel zdravotnických zařízení PENTA HOSPITALS. Sledujte nás:
durée : 00:25:01 - 8h30 franceinfo - Olivier Faure, premier secrétaire du PS et député de Seine-et-Marne était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 10 octobre 2024.
Un ex-résident de Montréal qui habite maintenant aux États-Unis ne se sent plus obligé de cacher qui il est réellement : un anglophone. C'est ce qu'il a écrit dans une lettre d'opinion dans une lettre d'opinion publiée dans le Montreal Gazette. La rencontre Villemure-Durocher avec Rémi Villemure.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité. Aujourd'hui, Hervé Morin, président du parti Les Centristes, répond aux questions de notre journaliste.
Chaque matin de l'été, à 8h15, Anthony Favalli reçoit une personnalité au centre de l'actualité. Ce mardi, Menna Rawlings, ambassadrice du Royaume-Uni en France.
Neste episódio, o Doutor fala sobre: 1. O lado mais bonito dos Jogos Olímpicos: discussões de genitália. E como esta discussão devolveu o CDS aos grandes debates. 2. A aplicação de IA na melhoria da sociedade: arte em geral, recriação do Relatório Minoritário na Argentina do Dr. Milei e selecção de alvos em bombardeamentos. Segmento extra em: https://www.patreon.com/jcdireita Instagram: https://www.instagram.com/jovemconservadordedireita Anda tudo a mamar: https://youtu.be/igrGXcPBTrI?si=Qrj22zQqzN-B-vBI
durée : 00:11:16 - La Question du jour - par : Quentin Lafay - Face aux nombreux rebondissements que connaît la campagne électorale américaine, chaque voix compte. Dans ce contexte, certaines catégories d'électeurs pouvant faire basculer le scrutin sont scrutées de près. Parmi elles, les communautés latino et noires américaines. - invités : Olivier Richomme Maître de conférence en civilisation américaine à l'université de Lyon 2.
durée : 02:00:29 - Les Matins d'été - par : Quentin Lafay - .
durée : 00:09:50 - L'invité de 7h50 - par : Simon Le Baron - Laurence Nardon, docteure en sciences politiques, responsable du programme États-Unis de l'Ifri, estime que Kamala Harris, qui pourrait remplacer Joe Biden dans la course à la Maison Blanche, peut faire revenir une partie de l'électorat.
durée : 00:09:50 - L'invité de 7h50 - par : Simon Le Baron - Laurence Nardon, docteure en sciences politiques, responsable du programme États-Unis de l'Ifri, estime que Kamala Harris, qui pourrait remplacer Joe Biden dans la course à la Maison Blanche, peut faire revenir une partie de l'électorat.
Viktor Orban l-a rugat pe președintele Volodimir Zelensky să ia în considerare un armistițiu pentru o perioadă de timp prestabilită, care ar oferi posibilitatea de a accelera discuțiile de pace, relatează publicația maghiară Telex.hu. Viktor Orban a mers în vizită la Kiev pentru prima dată la atacul Rusiei asupra Ucrainei pentru a discuta despre soluții de pace și relațiile bilaterale. Unul din subiectele utilizat de Rusia pentru propagandă anti-ucraineană este reprezentat de drepturile minorităților.
durée : 00:02:03 - Le vrai ou faux - À quelques jours du premier tour des élections législatives, le vrai ou faux se pose une question : les mesures que les partis politiques proposent sont-elles applicables ? Ce vendredi, on s'intéresse à la proposition d'Ensemble de revenir sur le principe de l'excuse de minorité en droit pénal des mineurs.
Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Antoine Diers et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:38:13 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Récemment, un parti de la coalition gouvernementale slovène a proposé une loi visant à octroyer des droits culturels aux personnes originaires des Balkans. Après l'indépendance de 1991 des milliers de personnes se sont retrouvées sans droits. Quelle est la place des minorités aujourd'hui ? - invités : Laurent Hassid Enseignant en relations internationales à Paris XIII et spécialiste de la Slovénie; Nebojsa Vukadinovic Enseignant à Sciences po Paris au campus de Dijon
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 19 avril 2024 : "Faut-il revenir sur l'excuse de minorité ?", avec Frédéric Farah, professeur d'économie, Antoine Diers, consultant en entreprise, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique.
Pour débuter l'émission de ce mardi 9 avril 2024, les GG : Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, prof de philosophie, débattent du sujet du jour : la violence chez les jeunes et la fin de l'excuse de minorité.
☕ No Morning Call de hoje, Henrique Esteter destaca a abertura mais cautelosa dos mercados globais.O petróleo opera de lado, mas beirando os US$ 87, enquanto, o minério de ferro dispara.*Dentre os principais destaques: *(i) Representante de acionistas privados quer 5ª cadeira no Conselho da Petrobras;(ii) Gol (GOLL4) retira projeções de guidance, em meio à recuperação judicial;(iii) Nvidia apresenta o Blackwell, um chip 5x mais poderoso.
Malgré les critiques répétées de ses partenaires occidentaux qui ont même pris des sanctions contre son pays, le Premier ministre kosovar reste déterminé à mener son bras de fer avec Belgrade pour pousser la Serbie à reconnaître l'indépendance de son pays. Et Albin Kurti a déjà réussi une partie de son pari : établir la souveraineté de Pristina dans la très contestée région nord à majorité serbe. Après avoir imposé les plaques d'immatriculation, l'électricité ou les pièces d'identité, les autorités kosovares ont même interdit l'usage du dinar serbe et imposé l'euro. Mais cette politique de fermeté est dénoncée par les Serbes locaux qui se sentent pris au piège. Le reportage de notre correspondant au Kosovo est à retrouver dans son intégralité dans Accents d'Europe à 12h10 et 20h10 heure de Paris ou en podcast sur l'appli pure radioÀ lire aussiAlbin Kurti, l'intransigeant dirigeant du Kosovo