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Au XIXe siècle, l'Orient Express relie l'Europe aux portes de l'Orient. Intrigues, espionnage, mystères, crimes : les histoires les plus folles naissent dans ses wagons bleu nuit. Le palace sur rails transporte avec raffinement des rois, des aventuriers ou des artistes jusqu'à Istanbul. Prenez place à bord d'un train pas comme les autres et préparez vous à rêver à bord des mythiques wagons. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, à Histoire de passer le temps, Sophie Quirion explore les transformations de l'industrie du bois de sciage au XIXe siècle, en mettant en lumière l'importance des échanges commerciaux transfrontaliers. De son côté, Pierre-Luc Noël vient nous rappeler l'histoire du NPD, le Nouveau Parti démocratique du Canada, de sa fondation à aujourd'hui.
Au XIXe siècle, préserver les êtres vivants devient un argument pour légitimer la révolution industrielle. Humains et animaux partagent alors les tâches : tirer, moudre, pomper. Le moteur animal coexiste longtemps avec les premières machines à énergie fossile, avant d'être relégué au rang d'archaïsme. François Jarrige, auteur de La Ronde des Bêtes (La Découverte), explore cette histoire effacée du travail partagé.
Au XIXe siècle, ils ont semé la terreur et le racisme dans l'ombre, vêtus de leurs tuniques blanches à cagoule et armés d'une idéologie suprémaciste. Le Ku Klux Klan, à l'origine une société secrète créée par de jeunes vétérans de la guerre de Sécession, a disparu plusieurs fois au fil des siècles avant de renaître inexorablement. Découvrez l'histoire de ces fantômes éphémères qui ont hanté les États-Unis. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au XIXe siècle, ils ont semé la terreur et le racisme dans l'ombre, vêtus de leurs tuniques blanches à cagoule et armés d'une idéologie suprémaciste. Le Ku Klux Klan, à l'origine une société secrète créée par de jeunes vétérans de la guerre de Sécession, a disparu plusieurs fois au fil des siècles avant de renaître inexorablement. Découvrez l'histoire de ces fantômes éphémères qui ont hanté les États-Unis. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Virginie Girod raconte la naissance des grands magasins parisiens et du shopping moderne. Au XIXe siècle, le baron Haussman, préfet de la Seine, est chargé par Napoléon III de transformer Paris pour en faire la capitale de l'Europe. De grandes artères sont alors percées dans la ville, où se dressent désormais de nouveaux bâtiments qui serviront bientôt d'écrin aux grands magasins. Dès l'ouverture du Bon Marché, de la Samaritaine, ou des Galeries Lafayette, la foule se presse dans ces nouveaux temples de consommation, lieux de commerce, de détente et de loisirs, devenus des symboles de Paris.
durée : 00:34:28 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Chiffons, os, ferraille, boue... Au XIXe siècle, les excreta urbains sont de précieuses matières premières que l'on récupère pour faire tourner l'économie. Avec la Révolution Industrielle, notre rapport aux ordures se transforme profondément. Que raconte de nos sociétés l'histoire de nos déchets ? - invités : Sabine BARLES - Sabine Barles : Professeure d'urbanisme et d'aménagement à l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne - réalisé par : Jérôme BOULET
Au XIXe siècle, la France a envisagé de taxer les célibataires pour plusieurs raisons, à la fois économiques, sociales et démographiques. Ce projet, souvent qualifié d'« impôt sur le célibat », trouve ses origines dans les préoccupations de l'époque concernant le renouvellement de la population et la stabilité sociale du pays. Contexte démographique et social La France du XIXe siècle est marquée par des transformations profondes. Après les guerres napoléoniennes, la population est en déclin relatif par rapport à d'autres grandes puissances européennes, comme l'Allemagne, où les taux de natalité sont plus élevés. Le gouvernement français s'inquiète de cette stagnation démographique qui menace la puissance militaire et économique du pays. La natalité est perçue comme un devoir civique, et le mariage est encouragé pour assurer le renouvellement des générations. À cette époque, les célibataires sont souvent vus d'un mauvais œil, perçus comme égoïstes ou réfractaires aux valeurs familiales. L'idéologie dominante prône une société structurée autour de la famille, considérée comme le fondement de la stabilité sociale et économique. L'État estime que ceux qui ne contribuent pas à l'effort démographique doivent être pénalisés fiscalement. Les motivations économiques et fiscales Le projet de taxer les célibataires a aussi des motivations économiques. Le gouvernement cherche de nouvelles sources de revenus pour financer les dépenses publiques croissantes, notamment après les bouleversements de la Révolution et des guerres du Premier Empire. Les célibataires, n'ayant pas de famille à charge, sont considérés comme disposant de ressources financières plus importantes que les ménages, et donc plus aptes à contribuer à l'impôt. Certains économistes de l'époque soutiennent l'idée que les célibataires consacrent une part disproportionnée de leurs revenus à des dépenses jugées superflues, comme les loisirs et les plaisirs personnels, plutôt qu'à l'éducation et au bien-être des enfants. Taxer les célibataires est donc vu comme une manière de les inciter à se marier et à participer activement à la reproduction de la nation. Héritage et conséquences Bien que plusieurs projets d'imposition sur le célibat aient été débattus au XIXe siècle, ils n'ont jamais été pleinement appliqués de manière systématique en France. Cependant, cette idée influencera des politiques ultérieures, notamment celles du XXe siècle en matière de natalité, où des incitations financières seront mises en place pour encourager les familles nombreuses. Ainsi, l'impôt sur le célibat illustre les préoccupations de la France du XIXe siècle quant à la démographie et à la structuration de la société autour de la famille, perçue comme un pilier de la nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au XIXe siècle, la France a envisagé de taxer les célibataires pour plusieurs raisons, à la fois économiques, sociales et démographiques. Ce projet, souvent qualifié d'« impôt sur le célibat », trouve ses origines dans les préoccupations de l'époque concernant le renouvellement de la population et la stabilité sociale du pays. Contexte démographique et social La France du XIXe siècle est marquée par des transformations profondes. Après les guerres napoléoniennes, la population est en déclin relatif par rapport à d'autres grandes puissances européennes, comme l'Allemagne, où les taux de natalité sont plus élevés. Le gouvernement français s'inquiète de cette stagnation démographique qui menace la puissance militaire et économique du pays. La natalité est perçue comme un devoir civique, et le mariage est encouragé pour assurer le renouvellement des générations. À cette époque, les célibataires sont souvent vus d'un mauvais œil, perçus comme égoïstes ou réfractaires aux valeurs familiales. L'idéologie dominante prône une société structurée autour de la famille, considérée comme le fondement de la stabilité sociale et économique. L'État estime que ceux qui ne contribuent pas à l'effort démographique doivent être pénalisés fiscalement. Les motivations économiques et fiscales Le projet de taxer les célibataires a aussi des motivations économiques. Le gouvernement cherche de nouvelles sources de revenus pour financer les dépenses publiques croissantes, notamment après les bouleversements de la Révolution et des guerres du Premier Empire. Les célibataires, n'ayant pas de famille à charge, sont considérés comme disposant de ressources financières plus importantes que les ménages, et donc plus aptes à contribuer à l'impôt. Certains économistes de l'époque soutiennent l'idée que les célibataires consacrent une part disproportionnée de leurs revenus à des dépenses jugées superflues, comme les loisirs et les plaisirs personnels, plutôt qu'à l'éducation et au bien-être des enfants. Taxer les célibataires est donc vu comme une manière de les inciter à se marier et à participer activement à la reproduction de la nation. Héritage et conséquences Bien que plusieurs projets d'imposition sur le célibat aient été débattus au XIXe siècle, ils n'ont jamais été pleinement appliqués de manière systématique en France. Cependant, cette idée influencera des politiques ultérieures, notamment celles du XXe siècle en matière de natalité, où des incitations financières seront mises en place pour encourager les familles nombreuses. Ainsi, l'impôt sur le célibat illustre les préoccupations de la France du XIXe siècle quant à la démographie et à la structuration de la société autour de la famille, perçue comme un pilier de la nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes entre 1515 et 1547, sous le règne de François Ier, roi de France. La légende raconte que celui que l'on surnomme Grand-nez a pris goût à la promenade, déguisé en homme du peuple. Or voilà qu'il s'égare dans la forêt. La nuit commence à tomber… Heureusement, le roi aperçoit la loge d'un sabotier. Sans hésiter, il va quérir l'hospitalité. Le sabotier lui répond que, bien que n'étant pas riche, il le recevra de son mieux. - Vous ne mangerez pas votre pain tout sec, lui dit-il, ce matin j'ai tué un lièvre et vous en aurez votre part. - vous savez, lui rétorque le souverain, que la chasse est sévèrement défendue. - Oui, lui répond son hôte, mais je pense que vous ne me vendrez pas au roi Grand-nez… Quelques temps après François appelle le sabotier à la cour et, pour le récompenser de l'avoir reçu de son mieux, en fait l'un de ses premiers sujets. Un peu plus de quatre siècles plus tard, en 1894, dans son ouvrage intitulé « Légendes et curiosités des métiers, », paru chez Flammarion, Paul Sébillot, l'un des chercheurs le plus prolifiques de son temps, écrit : « Entre eux, les sabotiers se traitent de cousins. C'est au reste une population à part qui naît, vit et meurt dans les bois ; elle forme à sa manière une sorte d'aristocratie. Pour être vrai sabotier, il faut être fils de père et de mère, de grands-pères et de grands-mères sabotiers, autrement, on n'est que sabotier bâtard ». Au XIXe siècle, et jusque dans les années 1950, la saboterie constitue un des métiers les plus pratiqués dans le sud de l'Entre-Sambre-et-Meuse. On produit les chaussures de bois par centaines de milliers et on les exporte dans toute la Belgique ainsi que dans les pays limitrophes. Les sabots ont chaussé les pieds de nos aïeux, paysans, ouvriers et marins, pendant des siècles et ont inspiré poètes, conteurs, chanteurs et peintres tels Brueghel, Millet et Van Gogh… Ils témoignent de labeurs et de combats émancipateurs. Invité : Pierre Cattelain, archéologue, historien de l'art et conservateur de l'Écomusée du Viroin à Treignes. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
En 1946, la loi Marthe Richard abolit le système de prostitution réglementé et entraine la fermeture des maisons closes en France. Depuis un siècle, la fréquentation de ces maisons de tolérance était une pratique masculine courante. Mais quelle était la réalité du quotidien de celles que l'on appelle les filles de joie dans les bordels ? Ces femmes, immortalisées par des artistes comme Henri de Toulouse-Lautrec ou Edgar Degas avait-elle la possibilité de sortir de la prostitution ? Pour en parler Virginie Girod reçoit l'historienne Catherine Menciassi-Authier. Spécialiste de l'histoire des femmes au XIXe siècle, elle est notamment l'auteure de l'ouvrage "Femmes d'exception, femmes d'influence, une histoire des courtisanes au XIXe siècle", paru aux éditions Armand Colin.
durée : 01:00:04 - Au coeur du Jazz du mercredi 22 janvier 2025 - par : Nicolas Pommaret - Parution de “The Baggage Room” du pianiste Emiliano D'Auria, chez Via Veneto Jazz.
L'histoire des premiers hackers remonte bien avant l'ère numérique, et l'exemple du piratage du télégraphe Chappe au XIXe siècle illustre de manière fascinante comment des individus ont exploité les systèmes de communication pour leur profit. Cet épisode est souvent considéré comme un précurseur des activités de hacking modernes, car il s'agit d'un cas d'intrusion dans un réseau de communication pour détourner son usage. Le télégraphe Chappe : un système révolutionnaireInventé par Claude Chappe en 1794, le télégraphe optique était un réseau de sémaphores permettant de transmettre des messages à grande vitesse entre différentes villes. Ce système, utilisé principalement par l'État français, servait pour des communications stratégiques et administratives. À l'époque, il était perçu comme une technologie avancée et sûre. Le piratage : une fraude ingénieuseDans les années 1830, deux financiers bordelais, François et Louis Blanc, décidèrent de détourner ce système pour obtenir des informations boursières avant leurs concurrents. À l'époque, les informations sur les marchés financiers mettaient plusieurs jours à voyager de Paris à Bordeaux. Les frères Blanc ont soudoyé des opérateurs travaillant sur le réseau télégraphique pour insérer secrètement des signaux codés dans les transmissions officielles. Ces signaux permettaient de transmettre des informations boursières cruciales, leur offrant un avantage considérable sur le marché. Un hacking avant l'heureCe piratage est remarquable car il présente des caractéristiques similaires au hacking moderne :- Exploitation d'un système de communication : Les frères Blanc ont détourné un réseau conçu pour des usages officiels afin de l'utiliser à des fins privées.- Ingéniosité technique : Ils ont utilisé des moyens discrets et codés pour dissimuler leurs activités au sein d'un système complexe.- Profit personnel : Leur objectif principal était d'obtenir un avantage économique, une motivation courante dans les cyberattaques modernes. Un procès emblématiqueLorsque leur fraude fut découverte, les frères Blanc furent traduits en justice. Cependant, en l'absence de lois spécifiques encadrant l'utilisation du télégraphe, ils furent acquittés. Cet épisode mit en lumière les limites juridiques face à l'innovation technologique, un problème qui persiste encore aujourd'hui. ConclusionLe piratage du télégraphe Chappe constitue un exemple emblématique de hacking avant l'ère numérique. Il illustre comment la maîtrise des systèmes de communication peut être utilisée à des fins détournées, posant déjà des questions éthiques et légales. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Joyeux Noël ! À l'occasion des fêtes de fin d'année, redécouvrez le meilleur d'Au cœur de l'Histoire. Aujourd'hui, Virginie Girod part à la chasse au trésor à Rennes-le-Château. Au XIXe siècle, dans ce petit village de l'Aude, un prêtre aurait fait une trouvaille fabuleuse…
“Le Savez-vous ? Nancy, c'est le podcast quotidien de l'Est Républicain consacré à la ville et à tout ce que vous ignorez sur elle.Un podcast raconté par Jean-Marie Russe basé sur les articles réalisés par la rédaction locale de Nancy.” Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment écoute-t-on la musique avant l'invention du phonographe par Thomas Edison en 1877. En prenant pour point de départ l'Antiquité classique, le musicologue Martin Kaltenecker, maître de conférence à l'Université Paris-Diderot dirige une monumentale anthologie consacrée à l'histoire de l'écoute: sens de l'ouïe, psychologie de l'audition, affects, lieux d'écoute, perception des bruits, effet des œuvres nouvelles, naissance de la critique et conditions matérielles de la création musicale. De quoi s'en mettre plein les oreilles. L'invité de Nicolas Bogaerts est l'auteur Martin Kaltenecker (dir.), "L'Écoute : De l'Antiquité au XIXe siècle", Editions MF Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Comment écoute-t-on la musique avant l'invention du phonographe par Thomas Edison en 1877. En prenant pour point de départ l'Antiquité classique, le musicologue Martin Kaltenecker, maitre de conférence à l'université Paris-Diderot dirige une monumentale anthologie consacrée à l'histoire de l'écoute: sens de l'ouïe, psychologie de l'audition, affects,lieux d'écoute perception des bruits, effet des œuvres nouvelles, naissance de la critique et conditions matérielles de la création musicale. De quoi s'en mettre plein les oreilles. L'invité de Nicolas Bogaerts est l'auteur ,Martin Kaltenecker (dir.), L'écoute. De l'Antiquité au XIXe siècle, Editions MF Sujets traités :Musique, phonographe, oeuvre, Thomas Edison, Antiquité, ouïe, psychologie, audition, création Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Le XIXe siècle voit l'émergence de l'industrie textile. Dandys, romantiques et dames de la cour impériale rivalisent d'exubérance, d'audace et d'esthétisme. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Partez à la chasse au trésor avec Virginie Girod à Rennes-le-Château ! Au XIXe siècle, un prêtre de ce petit village de l'Aude y aurait fait une fabuleuse trouvaille, sans jamais rien révéler. Depuis, des générations de chasseurs de trésor ont transformé le sous-sol de ce village en véritable gruyère, en vain. Un mystère qui a été jusqu'à inspirer le célèbre roman “Da Vinci Code” ! Thèmes abordés : trésor, IIIème République, religion, mystère, royalisme "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentatrice : Virginie Girod - Auteur : Frédéric Pennel- Production : Caroline Garnier- Réalisation : Clément Ibrahim- Direction artistique : Julien Tharaud- Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Edition et Diffusion : Nathan Laporte- Promotion et Coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie : Rennes-le-Château – Le trésor de l'abbé Saunière, de Vinciane Denis, éditions Marabout Rennes-le-Château, le grand héritage, de Christian Doumergue, éditions Lacour Colporteur La France mystérieuse, de David Galley, éditions de L'Opportun Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui !
Poétesse antique de génie, Sappho reste mal connue : les Grecs, tout en reconnaissant son talent, ont pris ombrage de sa célébrité ! À partir de ses rares poèmes qui nous sont parvenus, Virginie Girod reconstitue un vrai puzzle pour vous faire découvrir cette artiste qui a tant fait parler d'elle. Sappho naît au VIIe siècle de notre ère. Cette période correspond à “la Grèce archaïque” durant laquelle commence à émerger la polis, la cité, le centre de la vie politique. Côté militaire, c'est le triomphe des hoplites. Les femmes qui ne peuvent être ni citoyens, ni soldats, sont cantonnées au foyer. Issue de l'aristocratie de la cité de Mytilène, sur l'île de Lesbos, Sappho est très attachée à son rang comme en attestent ses écrits. Elle n'hésite pas à y critiquer son frère, qui s'est épris d'une esclave. Sappho elle-même est veuve et tient à jouer un rôle dans la société, en participant à l'éducation des jeunes filles grecques. La poétesse y transmet la poésie, la musique et le chant. Son école, très célèbre, prend le nom d'École des Muses. Ce qui vaut à Sappho, de la part de Platon, le surnom de dixième muse;lLa déesse qui préside symboliquement l'établissement est Aphrodite. Voilà pourquoi Sappho lui dédie un hymne et que la majorité de son œuvre parle d'amour ! La poétesse aurait également entretenu des relations homophiles avec ses élèves, un équivalent de la pédérastie masculine. Ses pratiques, socialement admises, sont donc un non-évènement dans la Grèce de l'époque et le nom de Sappho aurait pu tomber dans l'oubli. C'était sans compter sur plusieurs auteurs antiques grecs puis romains qui la citent ou réécrivent son histoire qui nous est parvenue déformée. Au XIXe siècle, le poète Charles Baudelaire la met à l'honneur dans son sulfureux recueil : Les Fleurs du Mal. C'est avec lui que le mot « lesbienne » prend sa connotation érotique et se popularise ! Thèmes abordés : poésie, Grèce antique, Rome Antique, lesbianisme, littérature "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Auteure et Présentatrice : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Edition et Diffusion : Nathan Laporte- Promotion et Coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Ressources en ligne https://www.cairn.info/revue-les-lettres-de-la-spf-2017-2-page-93.htm https://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1911_num_55_9_72931 https://remacle.org/bloodwolf/poetes/falc/sappho/vie.htm Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui !
Au XIXe siècle, l'opium se répand à travers toute l'Asie, sous l'impulsion des puissances coloniales.Parallèlement, l'industrie pharmaceutique occidentale découvre des produits miraculeux : morphine, cocaïne, héroïne. L'addiction devient un fléau mondial et un enjeu de santé publique ; la prohibition va progressivement s'imposer.“Histoire du trafic de drogue” est un podcast co-produit par Initial Studio et Yami 2, adapté du documentaire audiovisuel éponyme produit par Yami 2, écrit et réalisé par Julie Lerat et Christophe Bouquet.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Louise NguyenMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuelle Yacoubi
Au XIXe siècle, l'opium se répand à travers toute l'Asie, sous l'impulsion des puissances coloniales.Parallèlement, l'industrie pharmaceutique occidentale découvre des produits miraculeux : morphine, cocaïne, héroïne. L'addiction devient un fléau mondial et un enjeu de santé publique ; la prohibition va progressivement s'imposer.“Histoire du trafic de drogue” est un podcast co-produit par Initial Studio et Yami 2, adapté du documentaire audiovisuel éponyme produit par Yami 2, écrit et réalisé par Julie Lerat et Christophe Bouquet.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Production exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Louise NguyenMontage : Camille LegrasAvec la voix d'Emmanuelle Yacoubi
Au XIXe siècle, grâce à l'alphabétisation de la société et à l'émergence de la presse de masse, les journaux ont gagné en influence politique et économique et ont commencé à toucher un public plus large. Aujourd'hui, internet a révolutionné le journalisme, ce qui entraîne de nouveaux défis tels que la lutte contre les fausses informations. Nadège, journaliste d'actualité, nous raconte l'évolution de son métier, ses missions quotidiennes et son interview avec Judith Godrèche…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Partez à la chasse au trésor avec Virginie Girod à Rennes-le-Château ! Au XIXe siècle, un prêtre de ce petit village de l'Aude y aurait fait une fabuleuse trouvaille, sans jamais rien révéler. Depuis, des générations de chasseurs de trésor ont transformé le sous-sol de ce village en véritable gruyère, en vain. Un mystère qui a été jusqu'à inspirer le célèbre roman “Da Vinci Code” ! En 1885 l'abbé Saunière devient curé de Rennes-le-Château. Le christianisme est alors en perte de vitesse dans cette partie du sud de la France. L'église, dédiée à Marie-Madeleine, tombe en ruine. La croyance populaire veut que la sainte ait fini sa vie ici ! Fervent royaliste, l'abbé Saunière s'attire les faveurs de la Comtesse de Chambord, qui lui donne les fonds nécessaires pour rénover l'église. Or cette dernière semble renfermer bien des secrets : un pilier de l'autel creux renferme des rouleaux, un chaudron rempli de pièces d'or est enfoui sous les dalles… Le curé finit par fouiller son église seul, à l'abri des regards et son attitude est étrange. Il s'absente longuement, traîne dans le cimetière du village. Surtout son train de vie change du tout au tout ! C'est tout un domaine qu'il fait sortir de terre. Une tour néo-gothique, une villa dans laquelle l'abbé multiplie les réceptions fastueuses. Sa richesse ne passe pas inaperçue. L'Eglise le soupçonne de célébrer des messes privées pour arrondir ses fins de mois et l'affecte à une autre paroisse. Saunière démissionne pour rester à Rennes-le-Château. Il y décède en 1917 et emporte son secret dans sa tombe. Certains pensent qu'il aurait trouvé le trésor des Cathares, celui des Templiers, ou des Wisigoths. Bref, le mystère reste entier ! Thèmes abordés : trésor, IIIème République, religion, mystère, royalisme "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentatrice : Virginie Girod - Auteure : Frédéric Pennel- Production : Caroline Garnier- Réalisation : Clément Ibrahim- Direction artistique : Julien Tharaud- Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Edition et Diffusion : Nathan Laporte- Coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie : Rennes-le-Château – Le trésor de l'abbé Saunière, de Vinciane Denis, éditions Marabout Rennes-le-Château, le grand héritage, de Christian Doumergue, éditions Lacour Colporteur La France mystérieuse, de David Galley, éditions de L'Opportun
durée : 00:25:12 - Pianopolis 5 : Un phénomène européen - par : Anne-Charlotte Rémond - Au XIXe siècle, Paris est la capitale du piano. Les facteurs, compositeurs et virtuoses les plus renommés du moment se rassemblent dans la Ville Lumière. Dans ce cycle de 5 épisodes, nous nous intéressons aux évènements qui ont fait de Paris la "Pianopolis" de son époque - réalisé par : Philippe Petit
durée : 00:25:04 - Pianopolis 4 : De la pianomania à la pianophobie - par : Anne-Charlotte Rémond - Au XIXe siècle, Paris est la capitale du piano. Les facteurs, compositeurs et virtuoses les plus renommés du moment se rassemblent dans la Ville Lumière. Dans ce cycle de 5 épisodes, nous nous intéressons aux évènements qui ont fait de Paris la "Pianopolis" de son époque - réalisé par : Philippe Petit
durée : 00:24:57 - Pianopolis 3 : Un piano dans son salon - par : Anne-Charlotte Rémond - Au XIXe siècle, Paris est la capitale du piano. Les facteurs, compositeurs et virtuoses les plus renommés du moment se rassemblent dans la Ville Lumière. Dans ce cycle de 5 épisodes, nous nous intéressons aux évènements qui ont fait de Paris la "Pianopolis" de son époque. - réalisé par : Philippe Petit
durée : 00:25:22 - Pianopolis 2 : Facteurs de pianos et pianistes, un jeu à 4 mains - par : Anne-Charlotte Rémond - Au XIXe siècle, Paris est la capitale du piano. Les facteurs, compositeurs et virtuoses les plus renommés du moment se rassemblent dans la Ville Lumière. Dans ce cycle de 5 épisodes, nous nous intéressons aux évènements qui ont fait de Paris la "Pianopolis" de son époque - réalisé par : Philippe Petit
durée : 00:25:02 - Pianopolis 1 : Paris, capitale du Piano au XIXème siècle - par : Anne-Charlotte Rémond - Au XIXe siècle, Paris est la capitale du piano. Les facteurs, compositeurs et virtuoses les plus renommés du moment se rassemblent dans la Ville Lumière. Dans ce cycle de 5 épisodes, nous nous intéressons aux évènements qui ont fait de Paris la "Pianopolis" de son époque - réalisé par : Philippe Petit
Au XIXe siècle dans la région de Lyon, plusieurs bonnes sont agressées et trois d'entre elles sont assassinées. Pendant six ans, le juge Genod va recueillir preuves et témoignages, dessinant les débuts du profilage moderne, afin d'identifier le premier tueur en série français. Chaque week-end, retrouvez les meilleurs moments de l'émission "Ça va faire des histoires" diffusée l'été 2023 sur RTL. Stéphane Rotenberg avait réuni les meilleurs experts de RTL pour un grand concours d'anecdotes. Les épisodes sont disponibles sur RTL.fr et sur toutes nos plateformes partenaires.
Mes chers camarades, bien le bonjour ! J'ai reçu il y a quelque temps en entretien l'historienne Judith Rainhorn, qui est une spécialiste de la santé au travail aux XIXe et XXe siècles. On a abordé ensemble l'histoire de la révolution industrielle, de l'installation de l'industrie en ville, et des conséquences que cela a eu sur l'environnement urbain et sur la santé des travailleurs. Mais avant d'aller plus loin quand l'entretien intégral sera disponible dans quelques jours, je vous propose de nous attarder maintenant sur un point majeur : concrètement, à quoi ressemblaient les conditions de travail dans les usines à cette époque ? Étaient-elles fort différentes de celles que l'on connaît actuellement, et si oui en quoi ? Comment ont-elles évolué tout au long du XIXe siècle ? C'est ce que je vous propose de découvrir aujourd'hui, en nous attardant sur un exemple bien précis : celui des enfants ! Alors bonne écoute ! Become a member at https://plus.acast.com/s/notabenemovies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le crétin des Alpes, ce n'est pas le touriste qui se croit tout permis sur les pistes de ski deux semaines par an. Encore que. Vous risquez d'en croiser quelques-uns ce mois ci à la montagne. Le crétin des Alpes, c'est une personne malade mais au XIXe siècle, on ne sait pas encore de quoi ni comment le soigner. Retards mentaux et physiques, cous enflés, goitres disproportionnés, les souffrants sont rejetés par leurs familles, exposés comme des bêtes de foire ou servent de cobayes. Au XIXe siècle donc, le nombre de cas en France et dans le reste de l'Europe est inquiétant. Napoléon III exhorte la communauté médicale et scientifique de se pencher sur le phénomène devenu question de santé publique. On va comprendre et identifier la maladie à partir de la fin du XIXe siècle et trouver une solution efficace pour l'éradiquer au début du XXe. Les malades ont un problème de thyroïde, une insuffisance, d'où le goitre et leur croissance stoppée. On appellera cette maladie, le crétinisme. On se rend compte alors que ce sont les populations éloignées de la mer, souvent reculées dans les montagnes qui sont les plus touchées. Une carence est alors pointée chez elles, c'est le manque d'iode. Indispensable au fonctionnement de la thyroïde, elle-même indispensable au fonctionnement de notre organisme. Une thyroïde qui ne va pas bien et c'est tout le corps qui flanche. Pour remédier à ce manque d'iode, les Suisses ont une idée de génie. En 1922, ils décident d'enrichir le sel de cuisine en iode. Et ça marche ! Le sel iodé s'impose sur les tables et le nombre de cas de crétinisme chute en Europe et en Amérique au début du XXe siècle. Les scientifiques trouveront de nombreuses utilisations de l'iode pour nous protéger, notamment des ondes radioactives. Après la catastrophe de Tchernobyl, on donne des cachets d'iode pour empêcher une contamination trop importante. L'iode est donc essentiel pour nous, on trouve cet oligo-élément en bonne quantité dans tous les produits de la mer, algues, huitres, poissons, crustacés mais aussi dans les oeufs et les laitages, dans certains fruits comme l'ananas, les myrtilles ou encore les mûres. les quantités sont faibles mais bien présentes. Alors même s'il ne faut pas en abuser, n'hésitez pas à mettre votre grain de sel ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Les Anglais raffolent du thé, mais saviez-vous que l'Empire britannique est allé jusqu'à voler le secret de la boisson à l'empire Chinois ? Au XIXe siècle, le botaniste anglais Robert Fortune est envoyé en mission en Chine pour dérober des plants de thé et installer des cultures dans les colonies britanniques en Inde. Dans un récit inédit, Virginie Girod vous raconte cette histoire d'espionnage exotique. La Chine et la Grande-Bretagne commercent depuis le XVIIe siècle. Le libéralisme économique britannique se heurte cependant au protectionnisme chinois, qui détient le monopole du commerce du thé. L'empire du Milieu, très vaste, est également très fermé et se considère comme auto-suffisant. Aussi, les négociants anglais importent des quantités toujours plus importantes de thé mais ils n'ont rien à vendre en échange et n'aiment pas être dépendants d'une puissance étrangère. Le Comité du thé, chargé d'implanter le thé dans les colonies britanniques indiennes, se tourne alors vers le botaniste Robert Fortune, qui s'est déjà rendu en Chine. Il devra retourner dans le pays et rapporter les meilleurs plants de thé, ainsi que des secrets de fabrications. Un véritable espionnage industriel ! En 1848, Robert Fortune quitte Southampton pour la Chine. En dehors de missionnaires jésuites, personne avant Robert Fortune n'est allé aussi loin à l'Ouest de la Chine, là où pousse le thé. Les occidentaux ne sont pas les bienvenus dans l'empire du Milieu, le botaniste décide donc de porter des vêtements chinois et de se coiffer à la chinoise : une longue tresse en signe de soumission à l'empereur. Au fil de son avancée, il envoie des graines et des plants à travers l'Himalaya. Mais le plus dur reste de convaincre des Chinois de le suivre en Inde pour s'occuper des cultures qu'il y installe. On estime à 20 000 le nombre de plants introduits par Fortune. Le monopole chinois est brisé, le thé cultivé en Inde va conquérir le marché britannique. Thèmes abordés : thé, empire britannique, empire chinois, commerce "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier et Camille Bichler- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
durée : 00:03:31 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Au XIXe, vieillir dans les hospices parisiens était difficile mais des réformes et des liens sociaux émergèrent progressivement aboutissant à une pétition en 1908. Comment les résidents ont-ils lutter pour de meilleures conditions de vie ?
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! C'est au XIXe siècle que la haine des juifs prend ses caractéristiques modernes. En s'adossant à un discours pseudo-scientifique, elle prend un nouveau nom : "antisémitisme". Pour évoquer la montée de l'antisémitisme, qui culmine avec l'affaire Dreyfus, Virginie Girod s'entretient avec Denis Charbit, professeur de science politique à l'université libre d'Israël. "Il faut bien comprendre que ce qui fait le succès de l'antisémitisme à travers les siècles vient du fait qu'il se greffe sur un discours social dominant. Au XIXe siècle, le discours social principal est celui de la science" explique Denis Charbit. "La haine des Juifs va se greffer à un discours pseudo-scientifique pour décréter qu'il y a une race sémite, qui serait inférieure, mais surtout dangereuse". C'est en 1873 que le journaliste allemand Wilhelm Marr forge le néologisme "antisémitisme". Si la révolution industrielle fait entrer les sociétés dans l'ère moderne, elle donne aussi de nouvelles munitions à ceux qui prônent le rejet des Juifs, notamment à gauche. "La révolution industrielle va permettre à certains Juifs de s'élever dans l'échelle sociale et à travers la figure des Rothschild, par exemple, on va associer le juif à l'argent" illustre Denis Charbit. Si l'antisémitisme prospère dans les milieux socialistes et marxiste, la bourgeoisie est également hostile aux juifs. Un rejet encore teinté d'antijudaïsme. "L'homme qui fait la jonction, c'est Édouard Drumont" précise Denis Charbit. Polémiste et homme politique d'extrême-droite, il publie La France juive "où il essaie de démontrer que la révolution aurait profité aux Juifs seulement, et qu'elle aurait pénalisé en France les ouvriers et les catholiques". Le pamphlet antisémite est un best-seller. Huit ans après sa parution, l'affaire Dreyfus éclate et cristallise l'antisémitisme de l'époque. Alfred Dreyfus, parce qu'il est juif, est considéré comme le coupable idéal d'une affaire de haute trahison qui devient bientôt un conflit social entre deux France. Lorsqu'il s'achève, l'antisémitisme a encore changé de visage. "L'antisémitisme va passer de la gauche à la droite de manière définitive" détaille l'historien "les forces anti-républicaines vont récupérer politiquement l'antisémitisme pour en faire une valeur cardinale jusqu'à l'apothéose : le régime de Vichy". Autre conséquence moins connue, l'affaire Dreyfus contribue à forger le projet sioniste dans l'esprit du journaliste autrichien Theodore Herzl, correspondant à Paris. Accablé par la haine des Juifs qui se déverse dans le pays des droits de l'Homme, "il en arrive à concevoir que la solution politique pour les Juifs, c'est qu'ils disposent d'une terre et d'un État dont ils seraient à la tête" raconte Denis Charbit. Thèmes abordés : antisémitisme, judaïsme, marxisme, Affaire Dreyfus "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler et Nathan Laporte- Réalisation : Julien Tharaud- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
L'invité : Eric Fournier, MCF à l'université Paris-Sorbonne Le livre : « Nous reviendrons ! » Une histoire des spectres révolutionnaires, Ceyzérieu, Champ Vallon, 2023. La discussion : Introduction (00:00) Quelle politisation des revenants ? (01:00) Louise Michel, le « spectre de mai » (05:00) Spectres et romantisme au XIXe siècle (07 :00) Fantômes et révolution en 1830-1832 (10:00) Spectres de 1848 (16:30) Un changement … Continue reading "321. Revenants révolutionnaires au XIXe siècle"
De nombreuses gares, en France, portent des noms de saints. Et la sécularisation accélérée de la société, au cours du XXe siècle, n' a en rien modifié ces appellations.Mais d'où viennent ces noms ? Ils sont souvent donnés aux gares en raison du nom des lieux où elles se trouvent. Ainsi, la gare Saint-Jean, à Bordeaux, qui s'appela d'abord gare du Midi, doit son nouveau nom à celui de la rue à l'extrémité de laquelle elle se dresse.C'est donc ce cours Saint-Jean, devenu aujourd'hui cours de la Marne, qui est à l'origine de l'appellation actuelle de la gare. De son côté, la gare Saint-Charles, à Marseille, a été baptisée ainsi en raison d'un plateau dominant l'emplacement de la gare et qui portait ce nom.De même, si la gare Saint-Lazare, à Paris, située aujourd'hui rue d'Amsterdam, a reçu ce nom, c'est parce qu'elle a été bâtie, à l'époque, le long de la rue homonyme.Un lien possible avec la religionSi de nombreuses gares ont reçu un nom de saint, elles le doivent donc, la plupart du temps, au nom de la rue ou du quartier où elles ont été construites. Des quartiers qui avaient souvent hérité ce nom de celui de la paroisse.Mais parfois, le lien avec la religion semble plus palpable. Ainsi, la gare Saint-Roch de Montpellier ne devrait pas seulement son nom à celui de la rue ou du quartier où elle aurait vu le jour.En effet, il semble bien que la gare ait été baptisée ainsi en l'honneur de saint Roch, un personnage révéré des habitants, qui aurait protégé la ville de la peste. Lors de l'inauguration de la gare, en 2005, le maire de l'époque, Georges Frêche, a d'ailleurs ouvertement revendiqué cet héritage.Au XIXe siècle encore, les autorités religieuses étaient d'ailleurs souvent invitées à l'inauguration des gares. Ce fut notamment le cas de l'évêque de Marseille, qui est convié à l'inauguration de la gare Saint-Charles, en 1848. Il leur arrivait d'ailleurs, à cette occasion, de bénir les locomotives. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De nombreuses gares, en France, portent des noms de saints. Et la sécularisation accélérée de la société, au cours du XXe siècle, n' a en rien modifié ces appellations. Mais d'où viennent ces noms ? Ils sont souvent donnés aux gares en raison du nom des lieux où elles se trouvent. Ainsi, la gare Saint-Jean, à Bordeaux, qui s'appela d'abord gare du Midi, doit son nouveau nom à celui de la rue à l'extrémité de laquelle elle se dresse. C'est donc ce cours Saint-Jean, devenu aujourd'hui cours de la Marne, qui est à l'origine de l'appellation actuelle de la gare. De son côté, la gare Saint-Charles, à Marseille, a été baptisée ainsi en raison d'un plateau dominant l'emplacement de la gare et qui portait ce nom. De même, si la gare Saint-Lazare, à Paris, située aujourd'hui rue d'Amsterdam, a reçu ce nom, c'est parce qu'elle a été bâtie, à l'époque, le long de la rue homonyme. Un lien possible avec la religion Si de nombreuses gares ont reçu un nom de saint, elles le doivent donc, la plupart du temps, au nom de la rue ou du quartier où elles ont été construites. Des quartiers qui avaient souvent hérité ce nom de celui de la paroisse. Mais parfois, le lien avec la religion semble plus palpable. Ainsi, la gare Saint-Roch de Montpellier ne devrait pas seulement son nom à celui de la rue ou du quartier où elle aurait vu le jour. En effet, il semble bien que la gare ait été baptisée ainsi en l'honneur de saint Roch, un personnage révéré des habitants, qui aurait protégé la ville de la peste. Lors de l'inauguration de la gare, en 2005, le maire de l'époque, Georges Frêche, a d'ailleurs ouvertement revendiqué cet héritage. Au XIXe siècle encore, les autorités religieuses étaient d'ailleurs souvent invitées à l'inauguration des gares. Ce fut notamment le cas de l'évêque de Marseille, qui est convié à l'inauguration de la gare Saint-Charles, en 1848. Il leur arrivait d'ailleurs, à cette occasion, de bénir les locomotives. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Munich, résidence des ducs de Bavière, est une ville qui va sʹembellir de règne en règne. Au XIXe siècle, Louis 1er va même souhaiter faire de cette ville une "œuvre dʹart". Histoire de la capitale de la Bavière avec Jean-Paul Bled, professeur émérite à lʹUniversité Paris Sorbonne et auteur du livre "Histoire de Munich", aux éditions Fayard. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 15h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:58:19 - Concordance des temps - par : Jean-Noël Jeanneney - Siècle d'invention du noctambulisme, le XIXe siècle voit changer les nuits parisiennes, racontées par Simone Delattre. - invités : Simone Delattre Historienne, professeur de première supérieure au lycée Fénelon à Paris
durée : 00:03:51 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Pour que la prison cesse d'être l'"école du crime", Charles X décida la construction de la "Petite Roquette", qui fut la première prison cellulaire inaugurée en France et destinée aux délinquants mineurs. Mais, pourquoi cette prison d'abord prise pour modèle a-t-elle fermée en 1974 ?
L'invitée : Carole Christen professeure à l'Université Le Havre-Normandie Le livre : À l'école du soir. L'éducation du peuple à l'époque des révolutions (1815-1870), Champ Vallon, 2023. La discussion : Introduction (00:00) Le public populaire de l'école du soir (1:00) Émancipation ou paternalisme ? (7:30) Extrait d'archives : rapport de surveillance, décembre 1824, lu par Matthieu de Oliveira (14:30) Quelles … Continue reading "308. L'éducation populaire au XIXe siècle, avec Carole Christen"
Invité: Alain Corbin. Pierre, bronze, fer, marbre, plastique. Chaque époque à sa matière fétiche. Au XIXe siècle, le plâtre a été le roi: pas cher, malléable, il était utilisé pour bâtir, pour mouler, pour décorer. Fragile, friable, il a fait entrer le monde dans lʹéphémère, bien avant le plastique jetable. Tribu reçoit Alain Corbin, historien. Il signe "Fragilitas" aux éditions PLON.
Jusqu'en 1950, l'Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n'a pas inventé le Champagne tel qu'on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l'Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées.
Jusqu'en 1950, l'Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n'a pas inventé le Champagne tel qu'on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l'Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées.
Jusqu'en 1950, l'Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n'a pas inventé le Champagne tel qu'on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l'Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées.
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Jusqu'en 1950, l'Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n'a pas inventé le Champagne tel qu'on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l'Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées.
Jusqu'en 1950, l'Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n'a pas inventé le Champagne tel qu'on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l'Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées.
durée : 00:58:21 - Concordance des temps - par : Jean-Noël Jeanneney - Quelle place la société française réserve-t-elle à ses vieillards depuis la Révolution française ? Mathilde Rossigneux-Méheust nous plonge dans la vie privée des hospices et des maisons de retraite aux XIXe et XXe siècles. - invités : Mathilde Rossigneux-Méheust chercheuse au laboratoire de recherche historique Rhône-Alpes et maîtresse de conférences à l'université Lyon 2