Podcasts about rastignac

On est tous un peu des Rastignac quand on est à Paris, des provinciaux qui sont montés à la capitale. Pourquoi cette capitale fascine-t-elle autant et pourquoi semble-t-elle si loin du reste de la France ? Le parisianisme fabrique-t-il des révoltes comme celle des "gilets jaunes" ? Est-ce qu'on refuse cette domination parisienne ? - Francis Brochet, auteur du livre "Quand Le Parisianisme écrase la France" aux Editions de l'Aube. - Alexandre Jardin, écrivain. - Naïma Moutchou, députée Horizon du Val d'Oise et Vice-Présidente de l'Assemblée Nationale. - Jean-Laurent Caselly, essayiste. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Maison Blanche, résidence officielle et bureau du président des États-Unis, tire son nom de son apparence caractéristique, mais son appellation n'a pas toujours été évidente. L'histoire de son nom est liée à son architecture, un incendie majeur et des usages populaires avant d'être officiellement adoptée en 1901.1. Une inspiration architecturale et une première appellation (1792-1800)La construction de la Maison Blanche débute en 1792, sous la présidence de George Washington. L'architecte irlandais James Hoban s'inspire du château de Rastignac, une demeure néoclassique française située en Dordogne, ainsi que du Leinster House de Dublin. Le bâtiment est conçu en grès aquia, une pierre grisâtre extraite en Virginie.Initialement, l'édifice est appelé "Executive Mansion", un terme générique qui désigne les résidences des gouverneurs dans plusieurs États américains.2. L'incendie de 1814 et la reconstruction (1814-1817)Pendant la guerre de 1812, le 24 août 1814, les troupes britanniques envahissent Washington D.C. et incendient plusieurs bâtiments officiels, dont l'Executive Mansion. Après ce saccage, la structure est sévèrement endommagée, et la reconstruction s'étale jusqu'en 1817, sous la présidence de James Monroe.Pour masquer les traces de l'incendie et protéger le grès des intempéries, le bâtiment est recouvert d'une épaisse couche de peinture blanche à base de chaux. Cette caractéristique donne naissance au surnom "White House" ("Maison Blanche"), qui commence à être utilisé par le public.3. L'usage populaire et l'officialisation du nom (1817-1901)Tout au long du XIXe siècle, le terme "White House" devient courant dans le langage populaire et dans la presse, même si le gouvernement continue d'utiliser "Executive Mansion" dans les documents officiels.Finalement, en 1901, le président Theodore Roosevelt officialise le nom en faisant inscrire "The White House" sur la papeterie présidentielle et les documents administratifs. Cette décision vise à unifier les références au bâtiment et à ancrer son identité unique.ConclusionLa Maison Blanche doit son nom à un concours de circonstances historiques et esthétiques : son architecture inspirée du style néoclassique, l'incendie de 1814 et la nécessité de la repeindre en blanc. Ce nom, d'abord un simple surnom, s'est imposé dans l'usage courant avant d'être institutionnalisé par Roosevelt en 1901, devenant ainsi un symbole universel du pouvoir américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

En cette année Olympique, la Bibliothèque Nationale de France François Mitterrand présente jusqu'au 24 octobre 2024, à travers des centaines de documents, photographies, affiches et couvertures de magazines, une exposition gratuite qui revient sur l'histoire du sport féminin depuis la fin du XIXème siècle.  « À nous les stades ! Une histoire du sport féminin ». Le nom de cette exposition -qui a pour écrin la prestigieuse Bibliothèque Nationale de France- sonne un peu comme le fameux « À nous deux Paris ! » de Rastignac, le personnage de Balzac à la fin du « Père Goriot ».Impression confirmée par la visite, qui révèle une histoire de conquêtes et de luttes –souvent en adéquation avec l'évolution de la condition féminine et les soubresauts politiques- et qui n'est sans aucun doute pas encore terminée. Avec des rebelles et des pionnières, des stars et des figures de l'ombre, des militants et des opposants.Une exposition à découvrir à la Bibliothèque François Mitterrand jusqu'au 13 octobre 2024.Christophe Da Silva, chef du service de la conservation et des entrées au département Sciences et Techniques de la BNF, et commissaire de cette exposition est l'invité de VMDN.Rediffusion de l'émission du mercredi 29 mai 2024.

En cette année Olympique, la Bibliothèque Nationale de France François Mitterrand présente jusqu'au 24 octobre 2024, à travers des centaines de documents, photographies, affiches et couvertures de magazines, une exposition gratuite qui revient sur l'histoire du sport féminin depuis la fin du XIXème siècle.  « À nous les stades ! Une histoire du sport féminin ». Le nom de cette exposition -qui a pour écrin la prestigieuse Bibliothèque Nationale de France- sonne un peu comme le fameux « À nous deux Paris ! » de Rastignac, le personnage de Balzac à la fin du « Père Goriot ».Impression confirmée par la visite, qui révèle une histoire de conquêtes et de luttes –souvent en adéquation avec l'évolution de la condition féminine et les soubresauts politiques- et qui n'est sans aucun doute pas encore terminée. Avec des rebelles et des pionnières, des stars et des figures de l'ombre, des militants et des opposants.Une exposition à découvrir à la Bibliothèque François Mitterrand jusqu'au 13 octobre 2024.Christophe Da Silva, chef du service de la conservation et des entrées au département Sciences et Techniques de la BNF, et commissaire de cette exposition est l'invité de VMDN.Rediffusion de l'émission du mercredi 29 mai 2024.

En cette année Olympique, la Bibliothèque Nationale de France François Mitterrand présente jusqu'au 24 octobre 2024, à travers des centaines de documents, photographies, affiches et couvertures de magazines, une exposition gratuite qui revient sur l'histoire du sport féminin depuis la fin du XIXème siècle.  « À nous les stades ! Une histoire du sport féminin ». Le nom de cette exposition -qui a pour écrin la prestigieuse Bibliothèque Nationale de France- sonne un peu comme le fameux « À nous deux Paris ! » de Rastignac, le personnage de Balzac à la fin du « Père Goriot ».Impression confirmée par la visite, qui révèle une histoire de conquêtes et de luttes –souvent en adéquation avec l'évolution de la condition féminine et les soubresauts politiques- et qui n'est sans aucun doute pas encore terminée. Avec des rebelles et des pionnières, des stars et des figures de l'ombre, des militants et des opposants.Une exposition à découvrir à la Bibliothèque François Mitterrand jusqu'au 13 octobre 2024.Christophe Da Silva, chef du service de la conservation et des entrées au département Sciences et Techniques de la BNF, et commissaire de cette exposition est l'invité de VMDN.Reportage : Solène Gardré qui présente le documentaire « Gracia, la Messi de Bangui », réalisé par Leïla Thiam. L'histoire d'une jeune joueuse centrafricaine qui souhaite à tout pris être sélectionnée dans l'équipe nationale.

En cette année Olympique, la Bibliothèque Nationale de France François Mitterrand présente jusqu'au 24 octobre 2024, à travers des centaines de documents, photographies, affiches et couvertures de magazines, une exposition gratuite qui revient sur l'histoire du sport féminin depuis la fin du XIXème siècle.  « À nous les stades ! Une histoire du sport féminin ». Le nom de cette exposition -qui a pour écrin la prestigieuse Bibliothèque Nationale de France- sonne un peu comme le fameux « À nous deux Paris ! » de Rastignac, le personnage de Balzac à la fin du « Père Goriot ».Impression confirmée par la visite, qui révèle une histoire de conquêtes et de luttes –souvent en adéquation avec l'évolution de la condition féminine et les soubresauts politiques- et qui n'est sans aucun doute pas encore terminée. Avec des rebelles et des pionnières, des stars et des figures de l'ombre, des militants et des opposants.Une exposition à découvrir à la Bibliothèque François Mitterrand jusqu'au 13 octobre 2024.Christophe Da Silva, chef du service de la conservation et des entrées au département Sciences et Techniques de la BNF, et commissaire de cette exposition est l'invité de VMDN.Reportage : Solène Gardré qui présente le documentaire « Gracia, la Messi de Bangui », réalisé par Leïla Thiam. L'histoire d'une jeune joueuse centrafricaine qui souhaite à tout pris être sélectionnée dans l'équipe nationale.

Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.

Episode spécial avec Clément Léonarduzzi, vice président de Publicis Groupe et ancien conseiller spécial d'Emmanuel Macron à la Présidence de la République de 2020 à 2022. La parole présidentielle, la gestion de la crise du covid, la campagne de 2022 sur fond de guerre en Ukraine, la fragmentation de la société française, McFly et Carlito, les nouveaux défis de la communication politique et de nombreux autres sujets. Et en coups de coeur de la semaine: Lettre à un jeune Rastignac de Michel Déon, et Souvenirs d'Alexis de Tocqueville.

Il faut avoir les épaules solides pour intituler un film De grandes espérances. Au minimum par la référence au classique éponyme de Dickens. Qui en apparence n'a pas grand-chose à voir avec le nouveau long métrage de Sylvain Desclous, sauf peut-être l'idée de suivre un transfuge de classe. En l'occurrence, une, Madeleine, fille de prolo qui prépare l'ENA, voire a quasiment déjà intégré sa sphère sociale en vivant avec un fils à papa. Un accident qui les implique va bousculer leurs ambitions. À partir d'un principe de thriller psychologique, De grandes espérances vire à une lecture de ce qu'une partie de la classe politique nomme le roman français. Soit une histoire collective, abordée au travers d'une militante qui devient peu Rastignac manipulatrice. Desclous tricotant habilement les ambiguïtés quand la noblesse des idéaux se dissout dans les règles pipées de la conquête du pouvoir. Celui politique, mais aussi celui de l'intime, quand De grandes espérances raconte aussi comment se fomentent les coups bas d'une guerre conjugale. Le véritable suspense de ce film résidant dans ce choix : que faut-il laisser derrière soi, jusqu'où faut-il aller pour pouvoir incarner ses convictions ?Desclous avait déjà approché ce terrain, l'an dernier, sous un angle documentaire avec La campagne de France, coulisses d'une élection municipale où s'affrontaient outsider improbable et maire aguerri. Curieusement, les armes incisives et la belle part romanesque de la fiction procurent à De grandes espérances, une sensation plus aiguë du réel, quand cette peinture de l'effritement de l'élément humain, dès qu'il se frotte à la mécanique politique, a quelque chose d'éminemment crédible dans ce qu'il exprime, sans manichéisme, de la fragilité de l'éthique. En ne renonçant par ailleurs jamais à combiner très efficaces ressorts narratifs de film de genre et très clair discours engagé (entre autres par des dialogues cinglants ou de phénoménales séquences se déroulant dans une usine menacée de plan social), De grandes espérances propose, comme son héroïne jusqu'au boutiste, un programme de réforme d'un cinéma français peu téméraire quand il s'agit de scruter les complexités de la morale ou mettre ainsi les mains dans le cambouis. Quitte à s'intéresser, comme ici, à la manière dont on peut se les salir quand on veut changer le monde.En salles le 22 mars Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Un livre, Un lecteur. Florence Berthout reçoit Jean-Michel LEGLISE pour parler du livre « L'Humeur vagabonde » d'Antoine Blondin À propos du livre : « L'Humeur vagabonde » paru aux éditions La Table Ronde Après la Seconde Guerre mondiale, les trains recommencèrent à rouler. On rétablit le tortillard qui reliait notre village à la préfecture. Benoît Laborie quitte femme et enfants pour tenter fortune à Paris. Rastignac triste, il s'égare dans le cimetière du Père-Lachaise. Quand il revient au pays, sa mère le prend pour un amant de sa femme et tue l'épouse supposée infidèle. Parce qu'il dégage un parfum de crime, la capitale s'offre à lui. Pas pour longtemps. Un nouveau caprice du Tout-Paris, et il est rejeté. L'humeur vagabonde est une fable comique et triste, une petite musique aigre-douce au ton inimitable. Fils unique de parents bohèmes, Antoine Blondin (1922-1991) a connu la notoriété dès la publication de son premier livre, L'Europe buissonnière, couronné en 1950 par le prix des Deux Magots. Se partageant entre le journalisme - il fut le chantre du Tour de France des années 1950 à 1980 - et la littérature, ce voyageur sans bagages a laissé cinq romans, tous publiés aux Editions de La Table Ronde. L'Humeur vagabonde est son troisième roman.

Le Père Goriot est un roman d'Honoré de Balzac, écrit en 1834, dont la publication débute dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : la Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. (Résumé par Wikipédia).Le Père Goriot (English: Father Goriot or Old Goriot) is an 1835 novel by French novelist and playwright Honoré de Balzac (1799–1850), included in the Scènes de la vie privée section of his novel sequence La Comédie humaine. Set in Paris in 1819, it follows the intertwined lives of three characters: the elderly doting Goriot; a mysterious criminal-in-hiding named Vautrin; and a naive law student named Eugène de Rastignac. (From Wikipedia).Advertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy

Le Père Goriot est un roman d'Honoré de Balzac, écrit en 1834, dont la publication débute dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : la Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. (Résumé par Wikipédia).Le Père Goriot (English: Father Goriot or Old Goriot) is an 1835 novel by French novelist and playwright Honoré de Balzac (1799–1850), included in the Scènes de la vie privée section of his novel sequence La Comédie humaine. Set in Paris in 1819, it follows the intertwined lives of three characters: the elderly doting Goriot; a mysterious criminal-in-hiding named Vautrin; and a naive law student named Eugène de Rastignac. (From Wikipedia).Advertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy

Le Père Goriot est un roman d'Honoré de Balzac, écrit en 1834, dont la publication débute dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : la Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. (Résumé par Wikipédia).Le Père Goriot (English: Father Goriot or Old Goriot) is an 1835 novel by French novelist and playwright Honoré de Balzac (1799–1850), included in the Scènes de la vie privée section of his novel sequence La Comédie humaine. Set in Paris in 1819, it follows the intertwined lives of three characters: the elderly doting Goriot; a mysterious criminal-in-hiding named Vautrin; and a naive law student named Eugène de Rastignac. (From Wikipedia).Advertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy

Le Père Goriot est un roman d'Honoré de Balzac, écrit en 1834, dont la publication débute dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : la Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. (Résumé par Wikipédia).Le Père Goriot (English: Father Goriot or Old Goriot) is an 1835 novel by French novelist and playwright Honoré de Balzac (1799–1850), included in the Scènes de la vie privée section of his novel sequence La Comédie humaine. Set in Paris in 1819, it follows the intertwined lives of three characters: the elderly doting Goriot; a mysterious criminal-in-hiding named Vautrin; and a naive law student named Eugène de Rastignac. (From Wikipedia).Advertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy

Le Père Goriot est un roman d'Honoré de Balzac, écrit en 1834, dont la publication débute dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : la Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. (Résumé par Wikipédia).Le Père Goriot (English: Father Goriot or Old Goriot) is an 1835 novel by French novelist and playwright Honoré de Balzac (1799–1850), included in the Scènes de la vie privée section of his novel sequence La Comédie humaine. Set in Paris in 1819, it follows the intertwined lives of three characters: the elderly doting Goriot; a mysterious criminal-in-hiding named Vautrin; and a naive law student named Eugène de Rastignac. (From Wikipedia).Advertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy

 Dans cet épisode, nous allons essayer de montrer en quoi Rastignac , par sa philosophie de vie, est un élément moteur de l'histoire ! Pour compléter l'épisode, n'oubliez pas de vous abonner à  la chaîne de CLAPOTEE sur YOU TUBE ! 

Moderna medier gör att vi kan uppfatta lidandet hos personer på andra sidan jordklotet i realtid. Thomas Steinfeld reflekterar över några av märkligheter som följer på empatins utvidgning. ESSÄ: Detta är en text där skribenten reflekterar över ett ämne eller ett verk. Åsikter som uttrycks är skribentens egna.Det är svårt, om inte omöjligt, att mäta kulturella framsteg, till skillnad från landvinningar inom teknik eller vetenskap. Men om det funnes ett framsteg inom kulturen som de flesta människor förmodligen kunde enas om, i alla fall inom västvärlden, så vore det utvidgandet av empatin. Medlidandet har blivit en företeelse så allmän, att man inte ens tänker på att också den har en historia. Men så är det, och den är inte ens gammal.I Honoré de Balzacs roman Pappa Goriot från 1835, förekommer en scen, där Eugène de Rastignac, en fattig och ambitiös ung man från landet, träffar en vän, medicinstudenten Horace Bianchon.Har du läst Rousseau?, frågar Rastignac. Minns du passagen, där han frågar läsaren vad denne skulle göra, om han kunde bli rik utan att lämna Paris, genom att döda en mandarin i Kina, enbart genom viljans makt? Medicinstudenten nickar, men förklarar sedan att han icke skulle vara i stånd att begå ett mord ens på distans. Rastignac tvekar. Kina är långt borta. Mandarinen känner han inte till, och världen är ond. Empatin skulle knappt ha ett objekt, för att inte tala om medlidandet. Så varför skulle han inte handla i det egna intresset, utan hänsyn och moral?Rastignac ställde sin fråga i en tid, när det skulle ha tagit månader för en nyhet från Kina att nå Paris, och i så fall torde det ha handlat om en mycket stor händelse. Tjugo år senare, när sjuksköterskan Florence Nightinghale tog hand om brittiska soldater på turkiska sjukhus, fanns redan telegrafin. Tidningsläsarna i England läste om nyheterna från Krimkriget med enbart några timmars fördröjning. De fick en föreställning om såren och lidandet. The Nightingale Fund blev den första insamlingen för välgörande ändamål som nådde en hel nation.Föreställningen, att en tanke skulle kunna döda över långa avstånd, föregriper teknikens utveckling. När Rastignac funderar över empatins räckvidd, står han fortfarande för ett samhälle som har en mer eller mindre sluten uppfattning om sig självt. Vad som händer i andra världsdelar, till och med i andra landsdelar, är främmande för honom. Och inte bara det: Empatin sträcker sig inte ens till de anhöriga av en annan klass, till bönderna på landet eller de eländiga på den egna gatan. Sedan dess tycks empatin bara vuxit, över alla gränser. Numera kan den åtminstone i teorin tänkas täcka hela globen. Litteraturen, och inte minst teatern och bildkonsten har sedan århundraden förmedlat föreställningen om andra människors lidande. Under det senaste seklet har fotografin och filmen kortat ner förmedlingens hastighet till några sekunder. Alla, var de än må befinna sig, kan reagera på en händelse, med uppmärksamhet, medkänsla och hjälpsamhet. Bilderna förmedlar sken av sinnlig närvaro.Aldrig tidigare hade filosofer och författare funderat så mycket över förhållandet mellan egoism och moral som under decennierna kring år 1800. Förmodligen inte heller senare, eftersom medkänslan med medieutvecklingen blev till en skenbar självklarhet. Balzacs romaner står för slutet av denna period. I dess begynnelse finns Jean-Jacques Rousseau, som pekar på att medkänslan är en ändlig resurs: Känslan av medmänsklighet tycks ånga bort, skriver han i en uppsats från år 1755, den blir svagare, när den sprider sig över hela jordklotet. Som en konsekvens av denna tanke pläderar Rousseau för en regionalisering av medkänslan. Det viktigaste är att vara god till människorna, som man lever ihop med, skriver han.Fotografin, filmen och kommunikationsteknikens utveckling förvisar Rousseaus och för den delen: Balzacs övertygelse till en gången tid. Man lever ihop med helt främmande människor på helt främmande ställen. Man blir partisk, bara för man ser en annans lidande. Men medkänslans tillväxt lockar fram motsägelser, paradoxer och andra märkligheter. Den första är att det blir oklart vem omtanken egentligen gäller. Att empatin egentligen handlar om att den medkännande njuter av medkänslan, att hen identifierar sig med ett fjärran offer för att uppleva den egna godheten, är en tanke som den skotske filosofen Adam Smith förde fram i sin Teori om de moraliska känslorna 1759. Det konstgjorda medlidandet, förklarar han, hindrar folk att ta ödet i sina egna händer och verka för de näras bästa.Ett annat problem, som Susan Sontag tar upp i sin bok Att se andras lidande från 2003, är att det är tveksamt om bilderna av civila krigsoffer verkligen främjar motståndet mot våldsamheterna. Fotografierna skulle till och med kunna uppfattas som en uppmaning till ännu större insatser i bekämpandet av fienden. Mer medkänsla skulle i så fall leda till mera våld.Den tredje märkligheten är en variation på Susan Sontags tanke, men den framfördes redan 1755, när den franske filosofen Denis Diderot, först en nära vän till Rousseau och sedan dennes värste fiende, sammankopplade medkänslan med sanningen: Den som vägrar att anpassa sig till sanningen, när den en gång för alla har upptäckts, är en dåre eller ond i moralisk mening. Han kunde tänka sig att utesluta folk ur mänskligheten, som inte delade hans idéer om vett och förnuft. Han önskade sig alltså ett slutet samhälle, som skulle omfatta hela världen. Det skulle vara det första slutna samhället som inte kunde öppna sig.Diderots uppsats om naturrätten, i vilken han formulerar denna slutsats, är synnerligen snabbt skriven. Senare skulle han bli mer nyanserad, men här framstår han som företrädare för en världsåskådning i vilken idén om mänskligheten får latent terroristiska drag. Den som står utanför den självpåtagna sanningen blir en laglös varelse, en pirat, en paria.Eugène de Rastignac, den unge mannen som kunde tänka sig att mörda en mandarin i Kina, enbart genom en tanke som utvecklade sin verkan på ett avstånd av många hundra mil, är en av de ofta återkommande gestalterna i Honoré de Balzacs romansvit som kallas för Den mänskliga komedien. I senare böcker blir Rastignac en förmögen man, han blir minister och greve. Vännen Horace Bianchon däremot blir den främste läkaren i Paris, alltid kunnig, utan en tanke på sig själv. När Balzac dog, i augusti 1850, lär hans sista ord varit: Bianchon. Man får ta det som ett svar på Rastignacs fråga: Fysisk närhet var ingen förutsättning för medlidandet längre. De räckte med en föreställning om närhet, över hur stora distanser som helst.Thomas Steinfeld, författare och professor i kulturvetenskap

Grand oublié de l'histoire, l'homme d'État Alexandre Millerand a pourtant suivi un impressionnant parcours, qui l'a mené jusqu'à la présidence de la République. Difficilement classable sur l'échiquier politique, il a fait de la condition ouvrière l'un de ses grands combats. En 1899, sous la IIIe République, le député socialiste Alexandre Millerand (1859-1943) est nommé ministre du Commerce et de l'Industrie. Le gouvernement Waldeck-Rousseau est composé d'hommes de sensibilités politiques très différentes. Avec l'arrivée de Millerand au pouvoir, c'est la première fois depuis le début de la IIIe République qu'un socialiste siège au gouvernement, et le jeune homme politique est loin de faire l'unanimité même dans sa famille politique. « J'étais hanté du souci que l'arrivée au pouvoir d'un socialiste fût marquée pour les travailleurs par une amélioration tangible de leur sort », note-il dans ses Mémoires. Brillant avocat, politique ambitieux à la carrière remarquable (député à 25 ans, ministre de la Guerre, président du Conseil, président de la République), il incarne une troisième voie entre le socialisme et le libéralisme. Comment a-t-il œuvré pour l'amélioration des conditions de travail des ouvriers ? Comment évolue sa pensée politique jusqu'à son élection à la présidence de la république ? Son parcours est-il particulièrement remarquable par sa réussite ? L' invité : Jean-Philippe Dumas est historien, ancien chartiste, conservateur général du patrimoine au ministère des Affaires étrangères et chercheur associé à l'École pratique des hautes études. Spécialiste d'histoire politique des XX et XXe siècles (L'État, moteur du progrès ; le ministère du commerce et de l'industrie, 1870-1914), Il vient de publier Millerand, un combattant à l'Élysée (2022, CNRS éditions, 384 pages, 26,00€). À lire aussi : Adolphe Thiers, le Rastignac de la politique : https://bit.ly/3AL9FUa Les communards : le prix de l'engagement : https://bit.ly/3yYqV6Y

I sjuttonde avsnittet av ”Har du inte läst den?” tar sig Hedvig och Lydia an ytterligare en fransk klassiker: berättelsen om den uppåtsträvande uppkomlingen Rastignac och hans granne Goriot, en gränslös gestalt med tveksam verklighetsförankring. Hedvig har snöat in på den lika ostoppbara som omåttliga författaren, Lydia frågar sig var gränsen mellan faderskap och galenskap går i Goriots fall. Bonusmaterial: en sprillans ny terapiform för effektivitetsivrare.  Musik: Linus Lahti

Tout le monde a pu voir des images de la Maison-Blanche, la célèbre résidence officielle des présidents américains. Il se pourrait bien que ses plans se soient inspirés de ceux d'un château français.Une visite de l'ambassadeurLe château de Rastignac se trouve en Dordogne, sur le territoire de la petite commune de La Bachellerie. Le visiteur le regardant d'un peu loin ne peut qu'être frappé par la ressemblance qu'il présente avec la Maison-Blanche.On trouve en effet, dans les deux bâtiments, la même façade rectangulaire, des proportions similaires et, surtout, ce portique central, avec ses six colonnes néoclassiques.Alors les Américains ont-ils copié le château de Rastignac ? L'un des indices qui pourraient le laisser croire est la présence en France, à la fin du XVIIIe siècle, d'un certain Thomas Jefferson, qui représentait son pays à Paris.Or, en 1789, le futur président des États-Unis visite l'école d'architecture de Bordeaux. C'est là qu'il aurait eu l'occasion de voir les plans du château de Rastignac.Une question de chronologieCependant, certains éléments tendent à relativiser l'affirmation selon laquelle la Maison-Blanche aurait imité le château de Rastignac.Le premier est à rechercher dans la chronologie. En effet, la Maison-Blanche a été bâtie entre 1792 et 1800. Or l'actuel château de Rastignac, dont la construction a été retardée par la Révolution, n'a été édifié qu'entre 1811 et 1817.Dans ces conditions, ne serait-ce pas plutôt l'architecte du château français qui se serait inspiré de la résidence des présidents américains ?Par ailleurs, d'autres châteaux français de cette époque adoptaient une architecture similaire, avec notamment la fameuse rotonde. Ils auraient pu tout aussi bien inspirer les Américains, d'autant que les relations entre les deux pays étaient alors très fréquentes.Cependant, il subsiste un élément qui, malgré sa construction plus tardive, aurait pu faire du château de Rastignac un modèle pour les architectes de la Maison-Blanche.En effet, si la construction de cette dernière débute bien en 1792, celle de la rotonde centrale est bien postérieure. Si bien qu'il n'est pas impossible d'imaginer que cet élément essentiel de la demeure présidentielle n'ait été inspiré par le château de Rastignac. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Dans cette série de podcasts, je vous propose de découvrir avec moi les grands classiques de la littérature française, résumés et commentés. Cette semaine, voici Le Père Goriot de Balzac. Le vieux père Goriot donne tout à ses filles, Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Elles sont riches pourtant ! Mais elles répugnent à lui rendre visite dans la pension malpropre où il a trouvé refuge. Le jeune Eugène de Rastignac venu à la conquête de Paris habite la même pension et se lie d'amitié avec le vieil homme. Peu à peu, il délaisse ses études et découvre le beau monde parisien... Les illusions du jeune homme vont tomber au contact de l'abrupte réalité. Ce roman est ainsi un chef-d'oeuvre fondateur du mouvement réaliste en littérature.

Revivez le podcast du club FG d'Eugene de Rastignac du Dimanche 30 Mai 2021

Revivez le podcast du club FG d'Eugene de Rastignac du Samedi 13 mars 2021

Richie : le Rastignac de Sciences Po -- Interview de Raphaëlle Bacqué, Grand reporter au Monde

The boys are back at it again. Evan discusses Rastignac’s Dilemma, Joe throws down on Deposit Schemes, and together take apart Farm Reform. As always if you want to contact us podcast@adequatelyinformed.com

"Le père Goriot" • Honoré de BALZACParis, automne 1819. Dans une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de Rastignac, fils d'une famille noble et désargentée de Charente venu faire son droit à Paris. Il y a également le père Goriot, pitoyable rentier de soixante neuf ans qui mène une vie nocturne énigmatique. Il est le plus âgé de la Maison Vauquer et aussi le plus ancien des pensionnaires. Il y est arrivé en 1813 après s'être retiré des affaires. Les premiers temps, sa fortune et ses revenus lui permettaient d'habiter au premier étage l'appartement le plus cossu de la pension. Puis ses revenus diminuant mystérieusement, le vieil homme finit par occuper une mansarde et est devenu le bouc émissaire de la Maison Vauquer. Les autres pensionnaires commentent son infortune avec peu d'élégance et le soupçonnent de se ruiner en entretenant des femmes du monde. Il y a aussi Eugène de Rastignac, jeune "ambitieux", rêve de s'introduire dans la haute société parisienne..."Les 5 premières minutes de..." un podcast de Studio Minuit.Retrouvez nos autres productions :Crimes : Histoires vraiesEspions : Histoires vraies Morts Insolites : Histoires vraies Meurtres en France : Histoires vraiesSherlock Holmes - Les enquêtes1 Mot 1 Jour : Le pouvoir des motsJe comprends R : le dictionnaire du nouveau millénaire Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/5-premieres-minutes-bibliotheque. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Maître Bernard Lamon est avocat depuis 1993. Inscrit au Barreau de Rennes, il a fondé il y a quelques années Nouveau Monde Avocats, cabinet spécialisé en droit des nouvelles technologies. Bernard nous parle :d’humanités ;de virus ;de Barack Obama ;de golden boys du droit ;de culot ;de t-shirts ;de Rastignac ;de compagnonnage ;de Saint-Pierre, d’Enfer et de Paradis ;d’hydrocution ;d’embruns ;de plume d’oie ;de grincements de dents ;de management par la qualité ;du bogue de l’an 2000 ;de Pascal ;de barbares ;de naphtaline ;de nombril ;de timesheet ;de balle de tennis Babolat ;de bluff ;de rugby ;ou encore de sweat à capuche. Références : La firme de John GrishamNouveau monde de Jérôme Colombain sur franceinfoRichard SusskindLe Livre blancLe Rapport sur l’avenir de la profession d’avocat, co-écrit avec Kami Haeri, Sophie Challan-Belval et Eléonore HannezoL’association pour le progrès du managementVous pouvez joindre Bernard par email à l’adresse bl@nouveaumonde-avocats.comMerci à la twittosphère, d’avoir répondu à mon appel à recommandations à Rennes, et à AuPalais en particulier de m’avoir recommandé Bernard.En synthèse : avoir du culot ; faire ses choix de sorte à ne pas avoir de regrets ; contacter des personnes qui pourraient être de bon conseil ; savoir quel cadre de vie nous correspond ; savoir de quelle manière on a envie d’exercer ; dire ce sur quoi on veut travailler ; prendre son temps ; définir ses valeurs ; faire un choix entre les deux modèles de rémunération ; savoir partir quand on n’est pas aligné avec le projet ; échouer ; ne pas avoir peur de revoir sa copie ; se former au management ; échanger avec des personnes qui ne sont pas avocats ; dédier du temps à la curiosité, la formation, la réflexion et la prise de hauteur comme entrepreneur ; tirer le meilleur parti des outils technologiques, ressembler à un avocat même avec les clients les plus cools. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

[Attention, la fin du film est spoilée] Boots Riley, rappeur dérangé, signe un étrange premier long-métrage. Dans cette frénétique comédie satirique, Cassius Green dit « Cash » décide d’entamer une carrière de vendeur dans un centre d’appels. Ce jeune noir désargenté, joué par Lakeith Stanfield déjà vu dans « Get out », excelle dans son job en se faisant passer pour un Blanc au téléphone.À mi-chemin entre un Michel Gondry et un Spike Lee, Boots Riley propose une critique déjantée de l’individualisme et du capitalisme dans un monde pas si éloigné de la réalité. Si les excentricités visuelles faites de bric et de broc piquent parfois les yeux, ces délires narratifs et intimistes permettent à chacun·e de se poser la question : la fin justifie-t-elle les moyens ?Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson.RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒURLA RECO DE PERRINE : pour les délires visuels, « Dans la tête de Charles Swan III » de Roman CoppolaLES RECOS DE DAVID : « Blindspotting », une bromance signée Carlos López Estrada, avec en toile de fond la gentrification d’Oakland et « Bread and Roses » de Ken Loach pour son côté syndicalisteLA RECO DE STÉPHANE : Anaconda.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONGet Out (Jordan Peele, 2017), Michel Gondry, Spike Lee, Bodied (Joseph Kahn, 2017), BlacKkKlansman – J’ai infiltré le Ku Klux Klan (Spike Lee, 2018), Eugène de Rastignac, Tessa Thompson, Girl 6 (Spike Lee, 1996), Bamboozled (Spike Lee, 2000), Charlie SheenCRÉDITSNoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 21 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Novela del escritor francés Honoré Balzac publicada en 1835. Considerada una de las obras más importantes del autor, forma parte de las escenas de la vida privada de la Comedia Humana. En ella se analiza la naturaleza de la familia, el matrimonio, la estratificación y la corrupción en la sociedad parisina durante la restauración francesa a partir del drama vivido por papá Goriot y Eugène Rastignac. Con Óscar Carrillo, Carlos Gassols, Jorge Villanueva y Wendy Vásquez. Adaptación de Alonso Cueto. Dirección: Alonso Alegría

Dans ce 3eme épisode, c'est Pipou qui nous parle à son tour de son parcours de lecteur, de l'oulipo, Alice au pays des Merveilles, ou encore Rastignac, et qui partage avec nous les livres qui ont marqué son parcours de lecteur. Retrouvez également le podcast sur Youtube : www.youtube.com/playlist?list=PLm…5myCj3kj4irAeHfFE Les audiolivres Lovecraft En Anglais : https://www.youtube.com/watch?v=3CRJm... En Français : https://www.youtube.com/watch?v=WQu_S... Mon profil Goodreads : www.goodreads.com/user/show/6... Les chroniques littéraires du blog : www.bymeryl.fr/i-also-write/l... Je suis aussi ici : ✔Blog : bymeryl.fr ✔Instagram : www.instagram.com/meryl_tm/ ✔Facebook : www.facebook.com/MerylParOuCo... ✔Twitter : www.twitter.com/Meryl_Tm x ℳeryl

"Papa Goriot" de Honore de Balzac (1819) es una de las obras mas conocidas de este autor frances, que forma parte de "La comedia humana", una coleccion que narra la realidad de Francia del siglo XIX. En este libro conocemos a Jean Joachim Goriot, que vive dedicado a sus hijas y a Eugène Rastignac que desea formar parte de la alta sociedad. Sus caminos se cruzan en el miserable edificio en el que viven.Conoce que tiene de bueno y de malo "Papa Goriot" en este episodio de A la aventura, podcast de libros y lectura.Musica de entrada: Gymnopedie No. 1 de Erik SatieMusica de salida: Jeux D'eau de Maurice Ravel   Contactowww.alaaventura.net/contactofacebook.com/alaaventurapodcastTwitter: @alaaventurajboscomendoza@gmail.com

Mon, 1 Jan 1748 12:00:00 +0100 http://epub.ub.uni-muenchen.de/11891/ http://epub.ub.uni-muenchen.de/11891/1/8Doell.18903_14.pdf Chapt de Rastignac, Louis Jacques de Chapt de Rastignac, Louis Jacques de: Instruction Pastorale De Monseigneur L'Archevêque De Tours, Sur La Communion. Paris: Desprez & Cavelier, 1748

Mon, 1 Jan 1748 12:00:00 +0100 http://epub.ub.uni-muenchen.de/11890/ http://epub.ub.uni-muenchen.de/11890/1/8Doell.18903_13.pdf Chapt de Rastignac, Louis Jacques de Chapt de Rastignac, Louis Jacques de: Instruction Pastorale De Monseigneur L'Archevêque De Tours, Sur La Penitence. Paris: Desprez & Cavelier, 1748

Sun, 1 Jan 1747 12:00:00 +0100 http://epub.ub.uni-muenchen.de/11892/ http://epub.ub.uni-muenchen.de/11892/1/8Doell.18903_15.pdf Chapt de Rastignac, Louis Jacques de Chapt de Rastignac, Louis Jacques de: Mandement De Monseigneur L'Archevêque De Tours, Au sujet d'un Livre intitulé, L'Esprit De Jesus-Christ Et De L'Eglise, Sur La