POPULARITY
Patrick Roussel, ancien chauffeur et garde du corps de Johnny Hallyday, a travaillé pour la star pendant 16 ans. Initialement engagé comme chauffeur, il est rapidement devenu un membre indispensable de l'entourage proche de Johnny, le suivant dans ses déplacements internationaux. Malgré une relation professionnelle respectueuse, Patrick a développé une complicité avec l'artiste, découvrant un homme généreux et timide derrière la légende du rock! Livre- "Pour ceux qui l'appelaient Johnny" (Mareuil Éditions)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme de "Héros" ce 2 juin 2025 : Patrick Roussel, ancien chauffeur et garde du corps de Johnny Hallyday, a travaillé pour la star pendant 16 ans. Initialement engagé comme chauffeur, il est rapidement devenu un membre indispensable de l'entourage proche de Johnny, le suivant dans ses déplacements internationaux. Malgré une relation professionnelle respectueuse, Patrick a développé une complicité avec l'artiste, découvrant un homme généreux et timide derrière la légende du rock ! Son livre - "Pour ceux qui l'appelaient Johnny" - est aux éditions Mareuil. Caroline, wedding planneuse depuis près de 20 ans, témoigne au micro de Faustine Bollaert, des défis uniques de son métier avec une clientèle haut de gamme : des incidents imprévus comme une cérémonie laïque dans un temple égyptien perturbée par des autorités locales mais aussi les tensions familiales lors des préparatifs, ou des demandes extravagantes ! Mais Caroline gère chaque événement avec ingéniosité et professionnalisme, assurant des cérémonies inoubliables! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je dis “que”, ce n'est pas tout à fait exact, le peintre dont je vais vous parler a aussi peint quelques autres tableaux mais tout à fait anecdotiques dans son oeuvre. Ce peintre est Roman Opałka. Un artiste franco-polonais, qui a donc consacré l'essentiel de sa vie à une œuvre singulière intitulée OPALKA 1965 / 1 – ∞. À partir de 1965, il s'est lancé dans la tâche monumentale de peindre, à la main, une suite ininterrompue de nombres entiers, débutant par le chiffre 1 et visant l'infini.Une œuvre unique et obsessionnelleChaque toile, qu'il appelait un "Détail", mesurait 196 x 135 cm — dimensions correspondant à sa propre taille et à la largeur de la porte de son atelier à Varsovie. Il peignait les nombres en rangées horizontales, de gauche à droite, en utilisant un pinceau n°0 et de la peinture blanche. Initialement, le fond était noir, mais en 1972, Opałka a commencé à ajouter 1 % de blanc supplémentaire à chaque nouvelle toile, rendant progressivement le fond plus clair. Ce processus visait à symboliser le passage du temps et l'approche de la fin, jusqu'à atteindre un "blanc mérité" où les chiffres blancs se fondaient dans le fond blanc, rendant les nombres presque invisibles .Un rituel quotidienAu-delà de la peinture, Opałka a instauré un rituel strict pour documenter le temps :Photographie : À la fin de chaque session de travail, il se photographiait devant la toile en cours, toujours dans les mêmes conditions d'éclairage et d'habillement, créant ainsi une série d'autoportraits montrant les effets du temps sur son visage.Enregistrement vocal : Il enregistrait sa voix en énonçant chaque nombre peint, ajoutant une dimension sonore à son œuvre.Centre PompidouCes pratiques renforçaient la dimension performative et méditative de son travail, transformant son œuvre en une chronique de l'existence humaine face au temps.Une quête vers l'infiniOpałka a poursuivi ce projet pendant 46 ans, jusqu'à sa mort en 2011. Au total, il a réalisé 233 toiles, atteignant le nombre 5 607 249 . Son œuvre est aujourd'hui considérée comme une réflexion profonde sur le temps, la mortalité et la persistance de l'artiste face à l'infini.Une œuvre exposée mondialementLes "Détails" d'Opałka sont présents dans de nombreuses collections publiques et musées à travers le monde, notamment au Centre Pompidou à Paris, au MoMA à New York et au Musée d'Art Moderne de Varsovie. Son travail continue d'inspirer et de susciter des discussions sur la nature du temps et de l'existence humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est l'histoire d'un des monuments de la politique française au XXIe siècle. 40 ans de carrière politique, une liste de mandat longue comme le bras. Mais surtout un politicien cultivé, érudit, inatteignable dans sa maîtrise oratoire, insaisissable dans ses débats télévisés. Initialement, dans le couloir de la gauche social, laïcarde, bien-pensante, alors que le champ de la facilité idéologique et électoral s'offrait à lui, il réussira l'impressionnant exploit de devenir l'homme le plus diabolisé de France. À raison.
ComicsDiscovery – Sentry : le héros oublié de l'univers Marvel
Dans cet épisode, Ombline Roche retrace l'histoire du groupe britannique Talk Talk. Initialement ancré dans le mouvement Synthépop des années 80, le groupe, mené par le chanteur Mark Hollis, a progressivement pris ses distances avec les codes de l'industrie musicale pour explorer une voie plus libre et expérimentale. Malgré un succès commercial important, notamment avec le titre "It's My Life", Talk Talk a su se réinventer, abandonnant les refrains faciles pour une quête purement musicale. L'épisode revient sur cette évolution singulière d'un groupe atypique, qui a marqué l'histoire de la musique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecolo est en pleine réflexion sur sa position politique à Bruxelles, dix mois après sa défaite électorale. Initialement, le parti avait choisi l'opposition, marqué par un fort ressentiment envers ses anciens alliés socialistes. Cependant, cette posture devient difficile à tenir et est de plus en plus contestée en interne. Dès l'automne, certains membres ont appelé à revoir cette position. La coprésidente Marie Lecocq affiche désormais une ouverture à des négociations, mais sous strictes conditions : pas de coalition avec la N-VA, priorité aux mesures écologiques, et préférence pour un gouvernement avec le PS et le MR. Ecolo refuse de s'allier avec Les Engagés et Défi, isolant potentiellement le MR de ses partenaires fédéraux. Cette stratégie vise à éviter un gouvernement trop à droite. Le parti est aussi tiraillé entre ses ailes gauche et droite. L'annonce publique de cette nouvelle position vise à redonner un rôle central à Ecolo dans les discussions. Malgré tout, les nombreux vetos entre partis empêchent pour l'instant la formation d'un gouvernement. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecolo est en pleine réflexion sur sa position politique à Bruxelles, dix mois après sa défaite électorale. Initialement, le parti avait choisi l'opposition, marqué par un fort ressentiment envers ses anciens alliés socialistes. Cependant, cette posture devient difficile à tenir et est de plus en plus contestée en interne. Dès l'automne, certains membres ont appelé à revoir cette position. La coprésidente Marie Lecocq affiche désormais une ouverture à des négociations, mais sous strictes conditions : pas de coalition avec la N-VA, priorité aux mesures écologiques, et préférence pour un gouvernement avec le PS et le MR. Ecolo refuse de s'allier avec Les Engagés et Défi, isolant potentiellement le MR de ses partenaires fédéraux. Cette stratégie vise à éviter un gouvernement trop à droite. Le parti est aussi tiraillé entre ses ailes gauche et droite. L'annonce publique de cette nouvelle position vise à redonner un rôle central à Ecolo dans les discussions. Malgré tout, les nombreux vetos entre partis empêchent pour l'instant la formation d'un gouvernement. Merci pour votre écoute Les coulisses du Pouvoir c'est également en direct tous les jours de la semaine vers 7h40 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Les coulisses du Pouvoir sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/11443 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrLes couleurs de l'info : https://audmns.com/MYzowgwMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQTransversales : notre collection de reportages infos longue forme : https://audmns.com/WgqwiUpN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Accrochez vos ceintures. Le futur domestique arrive plus vite qu'un drone d'Amazon. Dans DeepTechs, le podcast signé Challenges en partenariat avec Mascaret, le conseil en communication des entreprises de la Tech, nous recevons Pierre-Louis Biojout, 25 ans, jeune prodige de la robotique et cofondateur de Phospho, une startup qui veut injecter de l'intelligence dans la mécanique.Pierre Louis Biojout n'a jamais bossé en entreprise. Un parcours sans détour : Polytechnique, HEC, puis la Silicon Valley où il code jour et nuit pendant que le monde découvre ChatGPT. C'est là que naît l'envie de créer des outils capables de donner corps à l'intelligence artificielle. Initialement, Phospho développe une solution d'analyse pour applications IA, avant de pivoter. Leur nouveau terrain de jeu ? Les cerveaux pour robots. Des briques logicielles capables d'interpréter le réel pour faire agir un bras articulé, une pince, un moteur. Objectif : sortir la robotique de ses carcans industriels. Fini les machines monotâches ou les aspirateurs autonomes, place aux robots généralistes, capables de s'adapter et d'apprendre, comme des humains.Phospho mise sur les early adopters : développeurs, hackers, makers. Leur kit coûte 1 000 euros et comprend un bras robotisé, des caméras, un logiciel, et l'accès à une plateforme d'apprentissage. Pas besoin d'être ingénieur : tout est monté, calibré. Et l'entraînement se fait par imitation. L'utilisateur, casque de réalité augmentée sur le crâne, montre au robot quoi faire. Trente démonstrations suffisent pour que la machine sache faire. Phospho s'appuie sur les grands modèles d'IA, dérivés des LLM comme ChatGPT. L'ambition est de mettre un cerveau intelligent dans chaque robot. Et de faire entrer la robotique dans l'ère du plug & play. Car ce que propose Jean-Louis Biojout, c'est ni plus ni moins qu'un système d'exploitation pour le monde physique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'émission du 21/03/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Iannis Roder, professeur agrégé d'histoire dans un collège de Seine-Saint-Denis, Julie Graziani, essayiste, Catherine Tricot, directrice de la revue “Regards” et le dessinateur de presse, Eric Truant.“Non” au retour à la retraite à 62 ans : François Bayrou s'est-il auto-censuré ?Le Premier ministre François Bayrou a exprimé publiquement son opposition à un retour de l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans, dimanche 16 mars. Cette prise de parole a mis en péril le dialogue entamé depuis trois semaines par les partenaires sociaux au sein du conclave pour rediscuter de la réforme des retraites de 2023 “sans tabou” ni “totem” "Les 62 ans, c'est la question centrale. En disant cela, non seulement le Premier ministre trahit sa parole, mais il trahit des millions de salariés qui se sont mobilisés pour l'abrogation de la réforme des retraites pendant six mois", a réagi Sophie Binet, la secrétaire générale de la CGT qui a annoncé quitter la table des négociations. François Bayrou avait promis aux socialistes de renégocier les conditions de la réforme des retraites pour éviter la censure de son gouvernement en janvier dernier. Cette déclaration du Premier ministre peut-il lui coûter son poste ? Israël-Hamas : à Gaza, qui a voulu la fin de la trêve ?Un peu moins de deux mois après l'entrée en vigueur de la trêve entre l'armée israélienne et le Hamas, Tsahal a repris mardi 18 mars des frappes massives dans la bande de Gaza. Selon la Défense civile palestinienne, le bilan actuel est de 504 morts parmi lesquels 190 mineurs. L'accord initial de la trêve prévoyait une phase 2 qui incluait un cessez-le-feu permanent et un retrait de l'armée israélienne de la bande de Gaza contre la libération de tous les otages restants. Benyamin Nétanyahou justifie la reprise des hostilités par “le refus répété” du Hamas de libérer les 58 otages encore retenus à Gaza dont l'armée israélienne suppose que 34 sont morts. Le Premier ministre israélien “considère que “la pression militaire” est indispensable pour obtenir la libération des otages. Cette démarche a déclenché une vague de manifestations en Israël et la colère des familles d'otages encore en captivité.Le journaliste Jean-Paul Vespini publie “Zola à Bicyclette, libre et dans le vent” (éditions Arthaud). Il y raconte l'engouement général pour la “vélocipédie” qui saisit l'auteur Émile Zola et ses contemporains issus des élites intellectuelles à la fin du 19e siècle, de Guy de Maupassant à Colette, en passant par le prince de Sagan ou Maurice Leblanc. La bicyclette a eu plusieurs conséquences sur la société comme le développement de l'industrie ou la libération des femmes par le port du pantalon.Le gouvernement souhaite inscrire à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale l'étude d'une loi, déjà votée en février par le Sénat, prévoyant d'interdire le port du voile lors des compétitions sportives. Cette proposition est défendue par Bruno Retailleau qui estime qu'“un terrain de sport ne doit pas être un lieu d'entrisme religieux, d'entrisme politique”. La ministre des Sports Marie Barsacq a mis en garde contre les “confusions” et les “amalgames”, entre le port du voile et la radicalisation dans le sport. C'est le duel de la semaine de Valérie Brochard.Lors d'un congrès de militants de son parti Place publique, l'eurodéputé Raphaël Glucksmann, a appelé les États-Unis à rendre à la France la Statue de la liberté. Il juge que le pays n'est plus digne des valeurs du monument. Outre-Atlantique, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a souhaité lui rappeler, lors d'une conférence de presse, que “si les Français ne parlent pas allemand aujourd'hui, c'est uniquement grâce aux États-Unis”. C'est le Point com de Paola Puerari.Le dessinateur Jul s'est indigné en apprenant que l'Éducation nationale allait annuler l'impression des 900 000 exemplaires de sa BD reprenant le conte “La Belle et la Bête”. Initialement destiné à tous les CM2, l'ouvrage ne serait finalement “pas adapté à l'approche éducative attendue” pour des élèves de 10 à 11 ans, selon la directrice générale de l'enseignement scolaire, Caroline Pascal. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur l'entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 mars 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
L'agence en ligne Alterpresse estime qu'il ne suffirait que de quelques heures avant que les gangs armés ne s'emparent totalement de Port-au-Prince. 85% de la capitale haïtienne est aux mains des gangs, et seuls quelques quartiers sont encore épargnés. « Nous sommes livrés à nous-mêmes », peut-on lire dans l'article du Miami Herald. Notre consœur Jacqueline Charles a recueilli des témoignages édifiants qui décrivent une situation « insupportable depuis ces deux dernières semaines ». Selon Pierre Esperance, un défenseur des droits humains à Port-au-Prince, « la ville peut tomber à tout moment ».(AlterPresse | Port-au-Prince en flammes, le pouvoir en fête en Haïti. Où est le président du Cpt ?)La journaliste décrit une situation terrible, « une ville prise entre les hurlements et les tirs d'armes, les gangs armés et l'exode massif de la population, entre l'anxiété et le silence ». Les quartiers sont vidés un par an, les maisons brûlées, les commerces pillés, et 60 000 personnes ont fui en 1 mois, selon l'Organisation Internationale pour la Migration. Des habitants qui ne savent pas où aller et sont livrés à eux-mêmes.Dans le Nouvelliste, le rédacteur en chef Frantz Duval s'interroge : « que faire quand on ne peut rien faire ? ». Et il poursuit : « Chaque Port-au-Princien, ceux qui vivent dans les derniers quartiers non encore attaqués par les gangs, se pose cette question en échafaudant des plans, en se demandant combien de temps il leur reste avant de connaître le même sort que les autres ». « Ailleurs, pas un mot, pas un sit-in, pas une manifestation », constate-t-il. Les figures de la diaspora haïtienne sont aux abonnés absents, même chose pour l'opposition, silencieuse elle aussi, tout comme la communauté internationale. Aujourd'hui, « même l'ingérence est en vacances », selon Frantz Duval, alors que faire ? « Rien et attendre ». « Ce n'est pas du défaitisme » précise-t-il, « mais une façon de cultiver l'espoir et l'espérance ».Sur le terrain, un policier kenyan, membre de la Mission multinationale de sécurité a été blessé à Kenscoff lors d'un échange de tirs. La situation sécuritaire dans ce quartier de le capitale haïtienne « demeure préoccupante », peut-on lire dans Gazette Haïti. Le journal rappelle qu'il y a quelques semaines, un militaire haïtien avait déjà perdu la vie à Kenscoff. Et l'espoir d'un « retour à l'ordre s'amenuise au sein de la population de jour en jour ».Dans ce contexte, les autorités sont accusés de regarder ailleurs et l'agence en ligne Alterpresse (AlterPresse | Port-au-Prince en flammes, le pouvoir en fête en Haïti. Où est le président du Cpt ?) se pose la question, où est le président du Conseil présidentiel de transition ? Celui-ci est accusé de laisser le chaos s'installer, « alors que Port-au-Prince agonise sous l'emprise des gangs, que Delmas 32 lutte pour sa survie et que les quartiers tombent comme des dominos », souligne l'éditorialiste Pierre Legros. « Fritz Alphonse Jean, le président du CPT, préfère s'envoler en hélicoptère pour participer aux festivités de la Saint-Joseph à Fort-Liberté. »Au milieu de ce chaos, la culture résiste encore. Le festival international de jazz de Port-au-Prince, le PAPJAZZ, fait son retour. La 18è édition doit débuter ce jeudi (20 mars 2025), jusqu'à samedi. Initialement prévu en janvier, le festival a dû être reporté en raison du climat sécuritaire. Mais malgré les défis, la Fondation Haïti Jazz reste fidèle à son engagement : montrer une autre image d'Haïti, accompagner les artistes, faire rayonner la culture et prouver que, même dans les conditions actuelles, la musique et l'art peuvent encore rassembler. Milena Sandler, la directrice générale de la Fondation Haïti Jazz s'est confiée au correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama.►L'entretien est à retrouver dans son intégralité dans la version audio de ce podcast. Aux États-Unis, l'administration Trump accusée de briser des familles de migrantsAlors que le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, a menacé le Venezuela de nouvelles « sanctions sévères » s'il ne reprenait pas ses ressortissants expulsés des États-Unis, les familles de migrants expulsés témoignent.Dans le Boston Globe, on peut lire l'histoire d'un jeune migrant, Jose âgé de 17 ans, sans papier, arrêté alors qu'il se rendait à son travail sur un chantier dans la ville de Lewiston, dans le Maine. Sa mère a reçu un appel d'un agent de l'immigration lui expliquant que son fils allait être expulsé au Salvador. « Si vous voulez, vous pouvez vous aussi vous rendre et être envoyé là-bas, mais il sera expulsé de toutes façons », a poursuivi l'officier de police, alors que sa mère dans un sanglot explique que l'administration Trump veut détruire les familles de migrants. Depuis son arrestation, la famille de Joe n'ose plus sortir de chez elle de peur d'être elle aussi expulsée.Ses parents sont aux États-Unis depuis une dizaine d'années et les deux plus jeunes de la famille des citoyens américains. Jose est en transit dans un centre de rétention pour mineurs à New York, à près de 500 kilomètres de sa famille, « c'est effrayant, je n'ai jamais vu ça », témoigne son avocat. Mexico : les règles changent pour les corridasMexico vient de changer les règles concernant les corridas : il sera désormais interdit de blesser ou de tuer le taureau. Cette mesure a été approuvée hier, par la quasi-totalité des législateurs du gouvernement de la ville. Elle devrait entrer en vigueur d'ici quelques mois. Depuis des années, la ville de Mexico tergiverse sur ce sujet. Les corridas avaient été interdites une première fois en 2022 puis la décision avait été révoquée par la Cour suprême, un an plus tard.Depuis, la tauromachie a continué légalement dans la capitale mexicaine, au sein de la monumentale place des taureaux, la plus grande arène de corrida du monde qui peut accueillir 50 000 places.Cette-fois ci, il s'agit donc d'une sorte de compromis, mais qui ne plaît pas aux pro-corridas. Ils ont manifesté et bloqué le centre de la capitale. Gwendolina Duval était sur place pour RFI. L'actualité des OutremerDeux radars et un scanner doivent arriver prochainement en Martinique. Avec Tessa Grauman de la 1ère .
La Maison Blanche, résidence officielle et bureau du président des États-Unis, tire son nom de son apparence caractéristique, mais son appellation n'a pas toujours été évidente. L'histoire de son nom est liée à son architecture, un incendie majeur et des usages populaires avant d'être officiellement adoptée en 1901.1. Une inspiration architecturale et une première appellation (1792-1800)La construction de la Maison Blanche débute en 1792, sous la présidence de George Washington. L'architecte irlandais James Hoban s'inspire du château de Rastignac, une demeure néoclassique française située en Dordogne, ainsi que du Leinster House de Dublin. Le bâtiment est conçu en grès aquia, une pierre grisâtre extraite en Virginie.Initialement, l'édifice est appelé "Executive Mansion", un terme générique qui désigne les résidences des gouverneurs dans plusieurs États américains.2. L'incendie de 1814 et la reconstruction (1814-1817)Pendant la guerre de 1812, le 24 août 1814, les troupes britanniques envahissent Washington D.C. et incendient plusieurs bâtiments officiels, dont l'Executive Mansion. Après ce saccage, la structure est sévèrement endommagée, et la reconstruction s'étale jusqu'en 1817, sous la présidence de James Monroe.Pour masquer les traces de l'incendie et protéger le grès des intempéries, le bâtiment est recouvert d'une épaisse couche de peinture blanche à base de chaux. Cette caractéristique donne naissance au surnom "White House" ("Maison Blanche"), qui commence à être utilisé par le public.3. L'usage populaire et l'officialisation du nom (1817-1901)Tout au long du XIXe siècle, le terme "White House" devient courant dans le langage populaire et dans la presse, même si le gouvernement continue d'utiliser "Executive Mansion" dans les documents officiels.Finalement, en 1901, le président Theodore Roosevelt officialise le nom en faisant inscrire "The White House" sur la papeterie présidentielle et les documents administratifs. Cette décision vise à unifier les références au bâtiment et à ancrer son identité unique.ConclusionLa Maison Blanche doit son nom à un concours de circonstances historiques et esthétiques : son architecture inspirée du style néoclassique, l'incendie de 1814 et la nécessité de la repeindre en blanc. Ce nom, d'abord un simple surnom, s'est imposé dans l'usage courant avant d'être institutionnalisé par Roosevelt en 1901, devenant ainsi un symbole universel du pouvoir américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
▶ Dans le Tempo # 87 Ce 87e épisode de DLT conclut une série d'émissions dédiées à la composition dans le rap. Après avoir laissé la parole à des compositeurs (épisode 83), puis des journalistes (épisode 85), Salman et Daz ont convié des rappeurs : Sheldon et Furlax. Le choix d'inviter Sheldon et Furlax n'est pas anodin. En effet, ces deux rappeurs sont également compositeur, et même ingénieur du son dans le cas de Sheldon. Ce dernier est actif depuis le milieu des années 2010, et est un membre fondateur du collectif parisien 75e Session (Népal, Georgio, Sopico, Zinée, etc.). C'est d'ailleurs avec ses collègues qu'il va monter un studio, le "dojo", et ainsi développer de multiples compétences pour lui-même (3 albums solo) et les autres (Di-meh, Limsa, Flynt, Isha, etc.). Aujourd'hui, Sheldon est un rappeur identifié et respecté, aussi bien pour ses qualités en tant qu'artiste qu'ingénieur du son mastering au sein du studio Winslow. Furlax, quant à lui, a débuté en Afrique du Sud. Initialement uniquement rappeur, il se met à la production le jour où son beatmaker quitte le pays. De retour en France, il va développer une singularité esthétique qu'il nomme lui-même la "jazzwave". En pleine ascension, Furlax est ultra productif puisqu'il sort un EP par an depuis 2018, tout en composant pour d'autres (Niska, pour Dinos, Jewel Usain, La Fouine). Comment trouver sa patte sonore ? Écrit-on différemment lorsqu'on compose ? Comment jongler entre les rôles d'artiste et d'artisan au service des autres ? L'équipe du podcast a posé toutes ces questions à Sheldon et furlax, et cela a donné des discussions passionnantes. N'hésitez pas à naviguer entre les chapitres en fonction de vos intérêts ! ▶ Sommaire : 00:00 Présentation des invités 11:28 Les débuts de Sheldon et Furlax 27:24 Trouver sa patte artistique 49:03 Artistes ou artisans ? 57:57 Les difficultés de la collaboration 1:13:54 Une approche individualiste ? 1:19:57 Ecrire en tant que compositeur 1:33:19 Les meilleurs textes de Furlax et Sheldon 1:47:36 Recommandations Technique : La Bouclette Montage : François Brétéché
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
Embarquez dans une véritable intrigue amoureuse au cœur de l'histoire du rock ! Dans cet épisode, découvrez les coulisses fascinantes de la chanson « Leïla » d'Eric Clapton, l'un des plus grands guitaristes de tous les temps.Tout commence lorsque Clapton reçoit en cadeau un recueil de poésie intitulé « The Story of Leila and Majdan ». Cette histoire d'un homme amoureux d'une femme déjà engagée va l'inspirer pour créer l'un de ses plus grands titres. Mais le twist de cette anecdote est que la femme en question n'est autre que Patty, l'épouse de George Harrison, l'un des membres des Beatles ! Clapton, fou amoureux, n'hésite pas à dévoiler ses sentiments à travers cette chanson, malgré la situation délicate.Retracez avec nous les différentes étapes de cette histoire d'amour tourmentée, qui va finalement mener Patty à quitter George Harrison pour se mettre en couple avec Clapton. Leur relation passionnée durera jusqu'en 1974, avant qu'ils ne se marient en 1979 puis divorcent en 1989. Découvrez les réactions surprenantes de George Harrison, qui n'a finalement pas tenu rigueur à son ex-femme et à son ami Clapton.Profitez également d'un éclairage musical passionnant sur la création de ce titre emblématique. Initialement enregistré avec le groupe Derek and the Dominoes en 1971, « Leïla » aura plusieurs versions, dont une acoustique captivante, extraite de l'album « Unplugged » d'Eric Clapton, lauréat de 6 Grammy Awards.Laissez-vous emporter par cette histoire d'amour et de rock'n'roll
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
Dans cet épisode de Sage-Femme Authentique, j'accueille de nouveau Anaïs, sage-femme et créatrice du compte Développement et Accompagnement, qui avait déjà partagé son travail de fin d'études sur ce podcast. Aujourd'hui, elle revient pour nous parler d'un projet concret issu de ses recherches : un guide de poche dédié à la préparation à la naissance et à l'accompagnement du travail.Anaïs nous explique comment ce guide est né de son envie d'apporter aux futures mamans et à leurs accompagnants des outils concrets, accessibles et faciles à mettre en œuvre pendant le travail. Initialement pensé pour les sages-femmes, ce support a finalement trouvé un écho chez de nombreuses mamans qui voulaient aussi s'y référer pour mieux se préparer à leur accouchement.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-VzJHLHeL L'émission retrace l'histoire fascinante et controversée de Coca-Cola, révélant les dessous d'une marque emblématique à travers son expansion mondiale, ses choix stratégiques et ses alliances ambiguës.Elle débute par la genèse de la boisson en 1886, conçue par John Stith Pemberton, un pharmacien vétéran de la guerre de Sécession. Initialement pensée comme un élixir médicinal, sa composition originale incluait du vin, des feuilles de coca et des noix de kola. Face à la prohibition, Pemberton remplace l'alcool par de l'eau gazeuse, marquant un tournant décisif. Son manque de sens des affaires et sa santé déclinante l'empêchent toutefois de tirer profit de son invention, qu'il cède peu avant sa mort.Asa Candler reprend la marque et la transforme en un empire commercial grâce à des stratégies marketing novatrices, dont la publicité massive et la standardisation du produit. Il cède ensuite la société à Robert W. Woodruff, qui propulse Coca-Cola à l'international et en fait un symbole américain.L'émission explore ensuite l'implication de Coca-Cola dans la Seconde Guerre mondiale. L'entreprise bénéficie de soutiens politiques pour maintenir son approvisionnement en sucre malgré les rationnements, et elle alimente les troupes américaines avec un accès prioritaire au soda. En Allemagne, la filiale locale, privée de sirop américain, crée la boisson Fanta pour pallier le manque de Coca-Cola. Cette initiative permet à l'entreprise de continuer ses activités sous le régime nazi, soulevant des interrogations sur sa responsabilité morale.L'histoire de Coca-Cola est aussi celle d'une expansion qui a traversé des régimes autoritaires, notamment en Amérique latine sous les dictatures militaires et en Afrique du Sud sous l'apartheid. Si la marque a souvent justifié ses choix par des impératifs commerciaux, ces décisions ont nourri des controverses sur l'éthique des multinationales.Enfin, l'émission aborde le rôle clé du marketing dans la construction du mythe Coca-Cola. Entre le culte du secret autour de sa recette, son association iconique avec Noël et des campagnes publicitaires mémorables, la marque s'est imposée comme une icône culturelle mondiale. Pourtant, cette image soigneusement entretenue repose sur une stratégie commerciale calculée, jouant sur les émotions et l'imaginaire collectif.À travers cette plongée dans l'histoire de Coca-Cola, l'émission interroge la responsabilité des grandes entreprises dans les choix qu'elles font et leur impact sur le monde.
L'émission 28 minutes du 28/02/2025 Ce vendredi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : l'essayiste Antoine Bueno, la directrice de la revue “Regards” Catherine Tricot, la rédactrice en chef “Opinions” au “JDD” Aziliz Le Corre et la dessinatrice Louison.Retour sur deux actualités de la semaine :Taxe à 25% sur les produits européens : Trump est-il encore notre allié ?Donald Trump a annoncé dans la nuit du mercredi 26 au jeudi 27 février qu'il taxerait prochainement les produits européens à hauteur de 25 %. Une décision qu'il a accompagnée d'une critique : “L'Union européenne a été conçue pour emmerder les États-Unis. C'était l'objectif et ils y sont parvenus.” La balance commerciale sur les biens entre les États-Unis et l'Europe est largement excédentaire (environ 230 milliards de dollars l'an dernier), notamment grâce à l'exportation de produits pharmaceutiques, chimiques et agricoles, et de voitures européens. Ces taxes mettraient à mal ces exportations. Par conséquent, le consommateur américain paierait ces produits beaucoup plus chers. “L'Union européenne fera de même” si les Américains ”maintiennent des hausses” de taxes, a prévenu Éric Lombard, le ministre français de l'Économie.Jusqu'où ira le bras de fer entre la France et l'Algérie ?À l'issue du comité interministériel de contrôle de l'immigration, le Premier ministre François Bayrou a adressé un ultimatum à l'Algérie, la sommant de récupérer les ressortissants algériens sous le coup d'une OQTF énumérés sur une “liste d'urgence”. Il menace de remettre en cause les accords migratoires passés entre les deux pays, en particulier celui de 1968 qui facilite l'installation des Algériens en France pour une longue durée. Cette décision survient quatre jours après une attaque au couteau qui a fait un mort et cinq blessés à Mulhouse, dont le suspect est un ressortissant algérien sous le coup d'une OQTF. Les autorités algériennes auraient empêché à dix reprises son retour. Les tensions entre les deux pays se sont intensifiées ces derniers mois avec l'arrestation et la détention de l'écrivain Boualem Sansal par les autorités algériennes, ainsi que la reconnaissance par la France de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.Nous recevons Richard Brunel, metteur en scène, acteur et directeur de l'Opéra national de Lyon depuis 2021. Il présente le projet “Camion-Opéra” : un opéra itinérant à travers la région Auvergne-Rhône-Alpes pour aller directement à la rencontre du public. Ce projet met en scène “Le Sang du glacier”, un spectacle axé sur le réchauffement climatique, créé pour l'occasion. Cette représentation, à prix réduit, a pour but “d'abolir les frontières de l'opéra”, selon Richard Brunel.Initialement invité à la CPAC — une conférence qui réunit toutes les droites conservatrices du monde à Washington — pour y prononcer un discours, Jordan Bardella a finalement décidé d'annuler son intervention. Cette décision intervient après que Steve Bannon, l'ancien conseiller de Donald Trump, a exécuté un salut nazi lors de cette même conférence. Un départ que ce dernier a durement critiqué. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Malgré le classement sans suite de plaintes pour harcèlement moral et abus de faiblesse visant l'ancien secrétaire national d'Europe Écologie Les Verts Julien Bayou, l'affaire continue de diviser le parti écologiste. La députée Sandrine Rousseau estime que "la justice a ses critères, maintenant, il reste la question politique" concernant l'ancien membre du parti qui a déjà fait l'objet de deux enquêtes internes. C'est le point com de Paola Puerari.Que ce soient les arbitres exerçant dans la Ligue de football professionnel, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), ou encore l'Office français de la biodiversité qui contribue à la surveillance, la préservation, la gestion et la restauration de la biodiversité, les institutions arbitrales font l'objet de vives contestations en France. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur la cérémonie d'hommage en Israël, lors du passage du cortège funéraire de trois otages du Hamas décédés pendant leur captivité ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 28 février 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Dans ce nouvel épisode, Antoine Rouet, raconte son parcours d'entrepreneur dans le secteur immobilier. Il partage également sa philosophie d'entreprise tres “ boostrap “ et tournée vers l'humain et les valeurs. Initialement formé dans des matières techniques, il a évolué dans le domaine de l'investissement hôtelier avant de fonder sa propre société, Delpha conseil, qui se spécialise dans l'assistance à maîtrise d'ouvrage et la gestion de projets immobiliers. Il a ensuite lancé Delpha contract, une entreprise proposant des projets clés en main. Antoine met l'accent sur l'importance d'un état d'esprit positif chez ses collaborateurs, privilégiant des valeurs de transparence et de liberté au sein de son organisation. Cela inclut des pratiques peu conventionnelles telles que l'absence de hiérarchie stricte et la possibilité pour les employés de prendre autant de congés qu'ils le souhaitent.Au fil de l'entretien, il révèle sa stratégie de croissance, qui repose sur une gestion décentralisée avec deux directeurs généraux pour ses entreprises. Il partage également ses ambitions futures, espérant qu'Delpha Conseil et Delpha contract atteindront un chiffre d'affaires de 60 millions d'euros d'ici 2030. En parallèle, Antoine est business angel dans des start-ups, ayant déjà réalisé 27 investissements. Il évoque l'importance de se lancer sans trop hésiter, tout en reconnaissant sa propre réticence initiale à embrasser l'entrepreneuriat. Il souligne l'importance du chemin parcouru plutôt que de l'objectif final, et aspire à maintenir un état de "flow" qui lui permet de rester motivé et enthousiaste.[00:00:00]: Introduction et mise en place[00:01:17]: Antoine Rouet, entrepreneur depuis 10 ans[00:05:04]: Le déclic de l'entrepreneuriat[00:09:19]: Développement de deux structures[00:12:28]: Valeurs de l'entreprise[00:16:59]: Valeur ajoutée face à la concurrence[00:21:05]: Transition vers une organisation plus grande[00:22:36]: Recrutement des directeurs généraux[00:24:06]: Investissements en startups[00:27:14]: Critères de choix d'investissement[00:30:36]: Conseils pour les jeunes entrepreneurs[00:31:44]: Ambitions pour l'avenir de l'entreprise[00:36:40]: Recommandations de lecture et podcasts[00:38:27]: Importance de l'état de flow[00:40:48]: Conclusion et remerciements
La startup française Tut Tut s'est imposée comme le "Blablacar des colis" en révolutionnant la livraison collaborative de proximité. Fondée en 2019 par Vincent Chabbert, l'idée est née d'un besoin personnel : ne trouvant pas le cadeau souhaité pour sa fille en magasin et manquant de temps pour aller le chercher après l'avoir repéré en ligne, il a imaginé un service où des particuliers pourraient livrer des colis lors de leurs trajets quotidiens. Lancée officiellement en avril 2021, Tut Tut a rapidement gagné en popularité grâce à son concept simple et efficace. L'application met en relation des particuliers souhaitant faire livrer un colis avec d'autres particuliers, appelés "co-transporteurs", qui effectuent déjà des trajets dans un rayon de 30 km. Les livraisons peuvent être express, en moins de deux heures, ou planifiées à l'avance, offrant une flexibilité appréciée par les utilisateurs. Le modèle économique de Tut Tut repose sur une rémunération attractive pour les co-transporteurs, variant de 5,25 euros à 25 euros selon la taille du colis et la distance parcourue. En moyenne, un co-transporteur peut ainsi gagner jusqu'à 150 euros par mois, avec un plafond fixé à 400 euros mensuels pour préserver le caractère occasionnel de l'activité. Cette approche permet aux particuliers d'arrondir leurs fins de mois sans contrainte professionnelle. Au-delà de l'aspect financier, Tut Tut s'inscrit dans une démarche écologique en optimisant les trajets existants, réduisant ainsi l'empreinte carbone liée aux livraisons. En mutualisant les déplacements, la startup contribue à diminuer le nombre de véhicules sur les routes et les émissions associées. Depuis son lancement, Tut Tut connaît une croissance exponentielle. En 2024, l'entreprise célébrait son troisième anniversaire en tant que leader de la livraison durable en France, avec une valorisation estimée à plusieurs dizaines de millions d'euros. Cette réussite s'explique par une expansion rapide sur l'ensemble du territoire français, comptant plus de 220 000 co-transporteurs, dont près de 4 000 dans le seul département du Vaucluse. Initialement focalisée sur les livraisons pour les professionnels, notamment les distributeurs alimentaires, Tut Tut a élargi son offre en décembre 2024 en proposant ses services aux particuliers. Cette diversification permet désormais aux utilisateurs de faire livrer ou récupérer des objets volumineux, des commandes en ligne ou même des objets oubliés, renforçant ainsi la position de Tut Tut comme acteur incontournable de la livraison collaborative en France. En résumé, Tut Tut a su s'imposer comme le "Blablacar des colis" en combinant une idée innovante, une exécution efficace et une expansion stratégique, répondant ainsi aux besoins croissants de livraison rapide, économique et écologique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis quelques années apparaissent de nombreux produits de toutes sortes avec le label Montessori : des jeux, des livres, des cahiers, des écoles, des activités, des vidéos, des formations, etc... et parfois tout cela est bien éloigné de la pédagogie scientifique créée par Maria Montessori. On a aussi vu récemment une nouvelle tendance apparaître sur les réseaux sociaux : ghettossori. Initialement portée par des mères de famille, qui parodient une méthode éducative dite "à la montessori", dans l'objectif de dédramatiser et de déculpabiliser certaines pratiques éducatives, ces contenus ont dernièrement connu un glissement vers la banalisation des violences dans l'éducation des enfants.Tous ces phénomènes sont la preuve que la pédagogie Montessori est encore mal comprise et sujette à des interprétations erronées.Sylvie d'Esclaibes a donc tenté de vous partager les grandes valeurs et les grands principes que Maria Montessori a développé aux travers de ses observations des enfants. Une pédagogie au service des enfants, loin des clichés et de la violence qui persiste encore tristement dans l'éducation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Soudan du Sud, les autorités tentent de contrôler l'épidémie de choléra qui dure depuis octobre 2024. Initialement déclarée au Soudan voisin, elle s'est propagée au Soudan du Sud suite à l'arrivée de plus d'un million de personnes fuyant le conflit armé. Le choléra est alors d'abord apparu dans la zone frontalière, puis s'est rapidement propagé sur la quasi-totalité du territoire, avec le retour des rapatriés sud-soudanais dans leurs régions d'origine. De notre correspondante à Juba,À ce jour, 26 811 cas de choléra ont été répertoriés au Soudan du Sud, et 455 personnes sont mortes de la maladie. À Gurei, dans la banlieue ouest de Juba, où l'épidémie de choléra n'est pas encore terminée, jusqu'à huit patients sont admis quotidiennement dans une unité de traitement du choléra gérée par l'ONG Médecins sans frontières, sous une grande tente blanche d'une capacité de dix lits. Vêtus de combinaisons intégrales, les employés en charge de la désinfection pulvérisent de l'eau chlorée sur les semelles des visiteurs, sur le sol et sur les lits. « Le choléra est une maladie causée par une bactérie. Elle se propage par l'eau ou les aliments contaminés, généralement à cause du manque d'hygiène et d'assainissement, explique Guta Epulo, infirmier dans la structure. Une fois que vous avez le choléra, vous commencez à vomir beaucoup et à avoir une diarrhée aqueuse continue. C'est dangereux car vous perdez beaucoup de liquides corporels et pouvez mourir en quelques heures. »Hawati Ajong, 27 ans, et son mari Saber Juma, 33 ans, se désinfectent les mains avant de rentrer chez eux. Hawati est tombée malade la première, elle a été soignée, puis c'est son mari qui a développé les symptômes : « C'était le matin, mon mari allait partir au travail. Il est allé aux toilettes trois ou quatre fois. Et puis il a commencé à vomir, et ensuite, il ne pouvait plus bouger, témoigne-t-elle. C'est lui qui m'avait accompagnée ici quand j'étais malade, il s'est occupé de moi, j'ai su tout de suite qu'il avait attrapé le choléra à son tour. Donc, j'ai appelé à l'aide et on l'a amené ici hier. » Pour elle, la cause est évidente : « Nous buvons le plus souvent l'eau d'un puits creusé dans la terre, je pense que c'est ça qui nous a rendus malades. »À lire aussiSoudan du Sud: l'afflux de réfugiés soudanais aggrave l'épidémie de choléra, s'alarme MSF« Tout ça, c'est à cause de notre environnement qui est sale »À l'intérieur de la tente, Daniel Kenyi, un garçon de quatre ans, reçoit une perfusion de réhydratation. Arrivé très mal en point, en à peine une heure, il est à nouveau capable de se tenir assis, au grand soulagement de sa mère, Sejerina Keji, qui veille sur lui, son bébé de huit mois dans les bras : « Je m'inquiète pour mes autres enfants. Tout ça, c'est à cause de notre environnement qui est sale, dénonce-t-elle. Il faut faire très attention à bien nettoyer la vaisselle, à la laver après l'avoir touchée, la sécher et la couvrir pour éviter que des mouches se posent dessus. »Le personnel médical souligne l'importance d'une prise en charge rapide du choléra, car si les 270 patients soignés ici par MSF ont survécu, neuf personnes sont mortes de la maladie chez elles, dans les quartiers avoisinants, ces dernières semaines. En cause : des traitements inadéquats et trop tardifs.À écouter dans Le conseil santéComment reconnaître les symptômes du choléra et réagir face à ces signes?
Arthur est d'abord un guerrier qui devient roi grâce à l'imagination des auteurs et aux usages qui en sont faits. Initialement solitaire, il dirige sa cour et son royaume, s'entourant de chevaliers comme Lancelot, Perceval et Gauvain. Camelot représente un gouvernement idéal avec ses règles, ses grandes valeurs, mais aussi ses péripéties, ses conflits et ses trahisons, le tout autour de la Table Ronde. Emanuele Arioli, historien, a étudié les multiples versions médiévales de la Table Ronde à travers l'Europe. Avec : Emanuele Arioli (acteur, auteur et médiéviste), Alban Gautier (historien, spécialiste de l'histoire médiévale), Estelle Doudet (chercheuse en sciences humaines), William Blanc (historien), Alain Corbellari (professeur associé de littérature française médiévale)
durée : 00:25:45 - Cantate BWV 82 « Ich habe genug » - Bach compose la Cantate pour soliste BWV 82 « Ich habe genug » / « Je suis comblé » à Leipzig pour la Fête de la Purification de la Vierge (2 février 1727). Initialement conçue pour la voix de basse, elle est ensuite adaptée pour les voix de soprano et d'alto.
Jean-François Poulin s'intéresse cette semaine à l'expérience utilisateur dans la billetterie en ligne avec Yannick Cimon-Mattar du site LePointdevente.com. L'entreprise, fondée autour de 2008-2010, a évolué avec la transition du papier au billet électronique. Initialement conçue pour simplifier la mise en vente d'événements et réduire les frais excessifs, la plateforme s'est adaptée aux besoins des organisateurs et des acheteurs.
Donald Trump a lancé sa cryptomonnaie. Son nom, le Trump Coin. Mise en service quelques heures avant son investiture, cette cryptomonnaie soulève de nombreuses interrogations. Comment analyser cette initiative ? Décryptage. Commençons par le commencement. Le Trump Coin, c'est un jeton virtuel à l'effigie de Donald Trump. C'est un peu comme s'il vendait des tasses ou des t-shirts avec son visage dessus finalement. Attention à ne pas confondre avec le BitCoin qui pour le coup sert à effectuer des paiements. Là, ce Trump Coin n'a pas utilité de paiement. Sa valeur repose uniquement sur la personnalité du président américain et donc aussi sur sa popularité ! Le TrumpCoin n'a pas de valeur fixe. Comme toute cryptomonnaie, elle fluctue de minute en minute, en fonction de la demande. Le seul montant qui a été fixé c'est lorsque les jetons ont été émis c'est 7 dollars l'unité. Immédiatement, ils ont été pris d'assaut pour atteindre les 75 dollars l'unité. Mais la subtilité est là: seulement 200 millions de jetons ont été mis sur le marché sur le milliard qui doit l'être d'ici trois ans. Quel est l'intérêt de cette crypto ? Plusieurs raisons de créer et de posséder du TrumpCoin. Déjà, pour Donald Trump, avoir une source de liquidités supplémentaire. L'occasion aussi pour lui de monnayer et son image et son pouvoir finalement pour augmenter sa fortune. Pour les acheteurs, l'intérêt est d'abord symbolique. Beaucoup d'entre eux sont de simples fans de Donald Trump et donc faire partie de cette aventure c'est renforcer le sentiment de proximité avec lui. Pour d'autres, c'est évidemment et surtout spéculatif, l'occasion de gagner un peu d'argent en revendant ce Trump Coin. À lire aussiCryptomonnaies: Donald Trump lance le «Trump Meme» porté par une envolée des cryptosMais il y a surtout un enjeu politique derrière tout cela. Initialement opposé à ce système, Donald Trump a revu sa copie pour la simple et bonne raison qu'il y a beaucoup d'argent dans le milieu. Durant sa campagne, il a même été soutenu par de grands noms du secteur. Il s'agit là de les rassurer et de faire partie du même monde qu'eux. D'ailleurs, dans sa logique de dérégulation du système, Donald Trump a promis que son administration serait favorable aux cryptomonnaies ! De nombreuses craintes On parle de Donald Trump mais aussi et surtout du président des États-Unis d'Amérique. Ces jetons, ils sont à son effigie. Aucune mention de son statut actuel. C'est subtil mais c'est légal. Dans les faits, il existe un débat sur l'existence de conflits d'intérêts potentiels, même si légalement cela semble compatible et admissible. En revanche, le risque c'est que s'il vend trop vite ses jetons et qu'il cause des pertes importantes aux personnes qui en ont acheté, il pourrait y avoir des actions en justice contre lui de personnes qui considèreraient avoir été trompées. Du côté des défenseurs des cryptomonnaies, on est aussi très dubitatif et beaucoup estiment que ce n'est pas une bonne publicité pour le secteur. Quoi qu'il en soit, comme le veut la formule anglosaxonne, business is business, as usual !
Hugo Spini, passionné d'art et de patrimoine, a su se réinventer pendant la pandémie. Initialement formé en sciences, il a utilisé ses compétences pour préserver les œuvres d'art. Pendant le confinement, il s'est lancé sur les réseaux sociaux, vulgarisant l'art à travers des vidéos courtes. En 45 jours, il est passé de 800 à 28 000 abonnés. Aujourd'hui, il collabore avec des musées pour rendre le patrimoine accessible à tous. Cet épisode explore son parcours inspirant et des lieux insolites comme le Musée de la Poste, révélant les trésors de la culture française.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Initialement, j'avais prévu de vous partager cette semaine un épisode intitulé: "5
Les API, ou interfaces de programmation d'applications, sont le moteur invisible de nos sites webs et applications en proposant des fonctionnalités supplémentaires. Initialement fournies par les géants de l'Internet, elles peuvent désormais l'être par des opérateurs télécom, ceux qui nous proposent normalement de la fibre optique ou de la 5G. Mais alors, qui est à l'origine de cette initiative et pour quel usage ? On fait le point avec Jérôme Bouteiller, le fondateur d'ecranmobile.fr. -----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Les BRICS sont un groupe économique et politique composé de cinq grandes nations : le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud. Ce bloc représente une coalition des principales économies émergentes, visant à coopérer sur des enjeux mondiaux et à renforcer leur influence collective. L'acronyme BRICS provient des initiales de ces pays.Le concept des BRICS a été introduit en 2001 par Jim O'Neill, économiste de Goldman Sachs, pour désigner les économies émergentes ayant un fort potentiel de croissance et susceptibles de remodeler l'économie mondiale. Initialement appelé BRIC (sans l'Afrique du Sud), le groupe s'est formellement constitué en 2009 lors d'un sommet inaugural à Ekaterinbourg, en Russie. En 2010, l'Afrique du Sud a rejoint l'alliance, donnant naissance aux BRICS.Les BRICS représentent une part significative de l'économie mondiale :•Population : Ces cinq pays rassemblent environ 40 % de la population mondiale, soit plus de 3 milliards d'habitants.•Économie : En termes de PIB global, les BRICS représentent environ 25 % du PIB mondial, avec une croissance souvent supérieure à celle des pays développés.Ces pays se distinguent par des économies diversifiées : la Chine et l'Inde sont des géants industriels et technologiques, le Brésil et la Russie sont riches en ressources naturelles, et l'Afrique du Sud est une porte d'entrée vers le marché africain.Les BRICS se réunissent régulièrement pour discuter de sujets tels que le commerce, le développement, l'environnement et la gouvernance mondiale. Ils visent à :•Réformer les institutions financières internationales comme le FMI et la Banque mondiale, jugées trop centrées sur les pays développés.•Promouvoir un ordre mondial multipolaire en réduisant la domination des pays occidentaux.Une réalisation notable est la création de la Nouvelle Banque de Développement (NDB) en 2014, destinée à financer des projets d'infrastructure dans les pays membres et au-delà.Malgré leur potentiel, les BRICS font face à des défis tels que des intérêts divergents, des niveaux de développement disparates et des tensions géopolitiques (notamment entre la Chine et l'Inde). Néanmoins, ils restent un acteur clé dans le remodelage de l'économie mondiale, offrant une alternative à l'hégémonie occidentale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plongez dans l'histoire savoureuse des biscuits normands de l'Abbaye, une entreprise familiale née pendant la Première Guerre mondiale. Initialement conçus pour réconforter les soldats, ces biscuits sont devenus une spécialité normande incontournable, exportée jusqu'au Japon. Charles Lebody, président de la biscuiterie, partage les secrets d'une réussite qui allie tradition et innovation. Avec des recettes diversifiées, dont des biscuits salés à base d'ingrédients locaux, l'entreprise perpétue un savoir-faire unique en Normandie.Produisant 200 000 biscuits par heure dans ses deux usines, cette saga gourmande vous donnera envie de goûter ces délices normands authentiques !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Quand Elon Musk, Sam Altman et leurs partenaires lançaient OpenAI en 2015, leur objectif semblait limpide : créer une intelligence artificielle générale (AGI) bénéfique pour l'humanité. Mais derrière cette ambition idéaliste se cachaient des tensions, des ambitions personnelles et des luttes de pouvoir. Des e-mails internes dévoilent une atmosphère électrique. Ilya Sutskever, alors scientifique en chef, exprimait déjà ses doutes face à Elon Musk, l'accusant de viser un « contrôle absolu sur l'AGI ». Une crainte de « dictature technologique » qui illustre les désaccords profonds. Parmi les idées discutées, un projet audacieux de rachat du fabricant de puces Cerebras par Tesla reflète l'ingéniosité, mais aussi les divisions stratégiques. Microsoft, déjà intéressé, avait proposé 60 millions de dollars en ressources cloud. Musk, toujours méfiant, refusa l'offre initiale, redoutant de devenir un simple outil marketing pour la firme de Redmond. Par ailleurs, Andrej Karpathy imaginait une intégration d'OpenAI à Tesla, avec la promesse de décupler la valeur de l'entreprise. Un scénario avorté, mais révélateur de l'audace des esprits de la Silicon Valley. Initialement à but non lucratif, OpenAI a finalement adopté un modèle commercial, provoquant la colère de Musk, qui s'en éloigna avant de lancer des poursuites judiciaires. Pourtant, ce changement a conduit à un succès colossal : OpenAI est aujourd'hui valorisée à 157 milliards de dollars et son chatbot ChatGPT est utilisé par 250 millions de personnes chaque jour. Mais ce triomphe cache une histoire tumultueuse : celle de visions divergentes, de négociations tendues et d'ego démesurés. L'histoire d'OpenAI montre que derrière chaque révolution technologique, il y a des batailles, autant idéologiques que stratégiques, qui façonnent le destin de nos outils les plus puissants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous voulez me soutenir pour continuer à développer ces podcasts qui me prennent beaucoup de temps et d'investissement personnel : https://fr.tipeee.com/horizon-podcast merci d'amour. Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Horizon Podcast. Aujourd'hui, le sujet porte sur un thème fascinant et souvent entouré de mystère et de questionnements : les esprits possessifs et les entités qui semblent interagir avec notre monde et parfois nous squatter ou même nous posséder (les coquins). L'invité du jour est Thierry Penin, animateur TV/radio, journaliste, reconnu dans le domaine du paranormal. Initialement issu du monde du théâtre, Thierry s'est tourné vers l'investigation des phénomènes inexpliqués et explore les mondes subtils ainsi que la parapsychologie. Au cours de cet épisode, nous allons explorer qui sont ces entités, pourquoi elles restent parfois liées à notre réalité, et comment elles peuvent influencer subtilement nos comportements, voire squatter notre énergie. Il sera aussi question de la manière dont on peut reconnaître les signes d'une telle possession spirituelle et des méthodes pour s'en libérer. L'épisode abordera également des sujets comme le rôle des guides spirituels et des archanges dans la protection contre ces entités, ainsi que l'usage de la technologie pour capter des traces de ces présences à travers la transcommunication instrumentale. Enfin, Thierry partagera ses expériences personnelles et des histoires intrigantes. Cet épisode est divisé en 2, la suite dans 2 semaines. Bonne écoute ! //Show notes : -Instagram de Thierry : @thierry_penin -Mon instagram : @lena_champy
Bruno Guglielminetti s'entretient avec Jérôme Colombain, malgré une situation particulière : Colombain a temporairement perdu sa voix, créant une touche d'humour. La discussion porte principalement sur les robots Optimus de Tesla, récemment présentés par Elon Musk. Initialement, ces robots semblaient fonctionner de manière autonome, mais il a rapidement été révélé qu'ils étaient en grande partie assistés par des humains.
L'expatriation ... Ça peut être une aventure exaltante lié à un projet professionnel, un désir personnel profond ou encore une quête de renouveau.Mais elle peut également imposer des défis émotionnelle et personnelle considérable. C'est ce dont on parle dans le podcast chaque semaine, et celle ci transforme le quotidien et les relations familiales.Aujourd'hui, je vous invite à découvrir l'histoire intense de Laura Pouliquen, une Française aujourd'hui parisienne, amoureuse des cultures du monde, qui un jour, a eu l'opportunité de partir vivre en famille à Dubai. Alors je vous vois venir : Laura est créatrice de contenus et de podcasts accomplie, elle s'est installée à Dubai. On est en plein dans le cliché ? On pourrait oui, mais pas du tout.Initialement dure à appréhender, la ville les a accueillis avec ses contrastes étonnants et ses possibilités infinies. A Dubaï, Laura a développer différents projets professionnels. Elle a collaboré avec des médias locaux et participer à l'Exposition universelle de 2020. Malgré ses succès professionnels, la vie à Dubaï n'est pas sans défis. Entre introspection et persévérance, Laura partage aujourd'hui son propre cheminement vers une meilleure compréhension de ces besoins professionnels et personnels. Ensemble on évoque sa phase de croissance personnelle qui a résulté de ces difficultés et de l'adaptation nécessaire une fois de retour en France où, malgré tout, elle a pu trouver un épanouissement autant professionnel que personnel.Dubai en famille, loin des clichés pour se construire, c'est maintenant, c'est tout de suite, c'est parti !Retrouvez Laura Pouliquen sur son podcast l'Alea, juste ici. Et son podcast Histoires de Dubai par ici.French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
«Le coupé-décalé est un genre musical ayant émergé au début des années 2000 dans la communauté ivoirienne à Paris, et devenu populaire en Côte d'Ivoire et en Afrique subsaharienne. Le coupé décalé naît d'un groupe d'ambianceurs ivoiriens en France appelé la Jet Set (connus pour leurs sapes avant-gardistes et leur manière de danser). Initialement les membres de ce mouvement sont tous des «binguistes», c'est-à-dire les Ivoiriens qui sont allés se «chercher en Europe (pour améliorer leurs conditions de vie).» Crystelles Yohou (Rediffusion) Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Douk Saga - SagacitéLinda de Lindsay - StylmoulanceChristina DJ - SagesseChristy B - Gouanou DanceMaty Dollar - PistoleroBamba Amy Sarah - DouahoudéVitale - Doyo doyo Teeyah - Coupé DécaléRetrouvez notre playlist sur Deezer.
«Le coupé-décalé est un genre musical ayant émergé au début des années 2000 dans la communauté ivoirienne à Paris, et devenu populaire en Côte d'Ivoire et en Afrique subsaharienne. Le coupé décalé naît d'un groupe d'ambianceurs ivoiriens en France appelé la Jet Set (connus pour leurs sapes avant-gardistes et leur manière de danser). Initialement les membres de ce mouvement sont tous des «binguistes», c'est-à-dire les Ivoiriens qui sont allés se «chercher en Europe (pour améliorer leurs conditions de vie).» Crystelles Yohou (Rediffusion) Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Douk Saga - SagacitéLinda de Lindsay - StylmoulanceChristina DJ - SagesseChristy B - Gouanou DanceMaty Dollar - PistoleroBamba Amy Sarah - DouahoudéVitale - Doyo doyo Teeyah - Coupé DécaléRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Deux astronautes acheminés par Boeing jusqu'à la Station spatiale internationale début juin ne pourront pas rentrer avec le vaisseau de cette entreprise, qui a rencontré plusieurs problèmes en vol, et devront à la place revenir sur Terre avec un vaisseau de SpaceX, a annoncé la Nasa samedi. Initialement partis pour une mission de huit jours, les deux astronautes Butch Wilmore et Suni Williams resteront donc finalement environ huit mois dans la Station spatiale (ISS). Ils prendront place à bord d'une mission de SpaceX qui doit les ramener sur Terre en février. Pour tout comprendre, écoutez François Forget, directeur de recherches CNRS, et Philippe Perrin, astronaute.
"Mieux veut être seul(e) que mal accompagné(e)" : En tant qu'introverties, ce proverbe s'applique à nous... la plupart du temps. Nous parlons ici des choses que nous préférons faire seule, et de celles que, pour des raisons personnelles ou pour le regard des autres
Le plus grand suicide collectif de l'histoire des sectes est celui du Temple du Peuple, également connu sous le nom de Jonestown massacre. Cet événement tragique s'est déroulé le 18 novembre 1978, dans une colonie agricole isolée en Guyane, établie par le groupe religieux connu sous le nom de Temple du Peuple, dirigé par Jim Jones.Contexte et OriginesLe Temple du Peuple a été fondé dans les années 1950 par Jim Jones, un prêcheur charismatique qui prônait une combinaison de christianisme, de socialisme et de justice raciale. Initialement basé à Indianapolis, le groupe a déménagé à San Francisco et Los Angeles, attirant des milliers de membres en raison de ses messages progressistes et de son travail communautaire.En raison des critiques croissantes et des enquêtes sur les abus physiques, psychologiques et financiers au sein du Temple, Jones a décidé de déplacer son groupe vers une enclave isolée en Guyane, en Amérique du Sud, qu'il a nommé Jonestown. Il a présenté Jonestown comme une utopie socialiste où les membres pourraient vivre en paix et en harmonie, loin de la persécution et de la surveillance du gouvernement américain.La Vie à JonestownLa réalité de Jonestown était bien différente de l'utopie promise. Les conditions de vie étaient difficiles, avec un contrôle strict exercé par Jones sur les résidents. Il y avait de longues heures de travail, une surveillance constante et des punitions sévères pour ceux qui manifestaient des signes de mécontentement ou tentaient de partir. Jim Jones, dont la santé mentale semblait se détériorer, tenait des discours paranoïaques et manipulait psychologiquement ses fidèles.La Visite du CongrèsEn novembre 1978, le représentant du Congrès américain Leo Ryan a conduit une délégation à Jonestown pour enquêter sur les allégations de mauvais traitements. Bien que les membres du Temple aient initialement présenté une façade positive, plusieurs ont exprimé leur désir de quitter la communauté. Ryan a décidé de ramener avec lui quelques dissidents, mais avant de pouvoir partir, lui et plusieurs membres de sa délégation ont été attaqués par des gardes de Jonestown, entraînant la mort de Ryan et de quatre autres personnes.Le Suicide CollectifAprès l'attaque, Jones a ordonné à ses partisans de commettre un suicide collectif. Une grande cuve de punch au cyanure a été préparée, et sous la pression et les menaces des gardes armés, les membres de la communauté ont été forcés de boire le poison. Ceux qui refusaient étaient abattus. Au total, 918 personnes, dont plus de 300 enfants, sont mortes à Jonestown ce jour-là.Conséquences et HéritageLe massacre de Jonestown a choqué le monde entier et est devenu un symbole des dangers des sectes et du pouvoir de la manipulation mentale. Jim Jones est mort d'une blessure par balle, présumée auto-infligée. Les événements de Jonestown ont conduit à une réflexion accrue sur les droits et les vulnérabilités des personnes impliquées dans des groupes religieux extrêmes, ainsi qu'à des enquêtes sur la réglementation des mouvements sectaires.Le massacre de Jonestown reste l'un des suicides collectifs les plus tragiques et les plus importants de l'histoire, mettant en lumière les dangers des cultes et de la dévotion aveugle à des leaders charismatiques mais destructeurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La dissolution de l'Assemblée nationale du 9 juin 2024, et les élections législatives anticipées qui doivent suivre, mettent en pleine lumière la chambre des députés et questionnent les rapports entre les pouvoirs. Un équilibre subtil, qui s'est construit au fil du temps et des constitutions depuis la Révolution française. Éric Anceau, historien spécialiste du XIXe siècle, directeur de la rédaction de l'ouvrage collectif "Les quarante-huitards et les autres, Dictionnaire des dirigeants de 1848" chez Sorbonne Université Presse, remonte avec Virginie Girod l'histoire de la représentation nationale. Et elle ne date d'hier ! Au XIVe siècle déjà, on retrouve une assemblée nationale qui rassemble les représentants des trois ordres : noblesse, clergé et tiers état. Consultative, "elle dépend uniquement de la volonté du roi" souligne Éric Anceau. En 1789, ces États Généraux n'ont pas été convoqués près de deux siècles. "Très rapidement les États généraux vont se transformer en Assemblée nationale. On change d'époque" rappelle l'historien. Cette nouvelle assemblée, qui se donne pour mission de donner sa première constitution au pays, met symboliquement fin à l'Ancien Régime. C'est la révolution ! Si la période de l'Empire constitue un net recul du processus de parlementarisation, la Restauration ne parvient pas pour autant à rétablir une monarchie absolue. "Le roi va accepter d'octroyer une charte Constitutionnelle qui pose le principe d'une assemblée élue, qu'on appelle la chambre des députés". Ce sont les prémices du régime parlementaire, qui connaît son apogée sous la IIIe République. On parle même de "République des députés" ! Napoléon III, fossoyeur de la République précédente, puis le maréchal Mac-Mahon, font figures d'épouvantail pour rejeter une trop forte personnalisation du pouvoir républicain, ce qui profite aux députés. Rappelé au pouvoir du fait de la guerre en Algérie, le général de Gaulle est le principal artisan de la Ve République, toujours en vigueur. Initialement pensé comme un régime parlementaire, l'élection du président de la République au suffrage universel direct a radicalement transformé l'équilibre des pouvoirs, au détriment de l'Assemblée. Thèmes abordés : politiques, histoire constitutionnelle, régime parlementaire, France, Révolution Française, députés, Assemblée nationale "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentatrice : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier et Nathan Laporte- Réalisation : Clément Ibrahim- Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Edition et Diffusion : Nathan Laporte- Promotion et Coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui !