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C'est du moins l'expression utilisée par Le Temps à Genève. « Les trois États du Golfe qui accueilleront Donald Trump pour sa première tournée présidentielle, à partir d'aujourd'hui, vont faire office de Rois mages. Arabie saoudite, Qatar et Émirats arabes unis attendent le président américain les bras chargés de cadeaux. 600 milliards de dollars pour l'Arabie saoudite, pratiquement autant pour le Qatar, et plus du double promis par les Émirats arabes unis : en guise de signe de bénédiction de son deuxième mandat, le président Trump entend revenir aux États-Unis auréolé des largesses provenant des fonds souverains de ces pays, parmi les plus riches de la planète comparativement au nombre d'habitants ».« Un deal est un deal »« Faire des affaires, pas la guerre, relève Le Monde à Paris. L'ambition de Donald Trump peut se résumer ainsi, à l'heure de sa première tournée à l'étranger depuis son investiture, en janvier ».« Trump cherche avant tout des deals », insiste Le Soir à Bruxelles. « Quitte à confondre voyage diplomatique et business trip dans le Golfe. Sachant qu'il n'obtiendra probablement rien à court terme, ni de la Russie, ni d'Israël sur une paix, ni de l'Arabie saoudite, ni de l'Iran sur les dossiers de la normalisation avec Israël et du nucléaire, Trump pourrait détourner l'attention avec des contrats affichant un nombre de zéros à n'en plus finir. Car dans la vision du monde transactionnelle du président américain, peu importe s'il s'agit de paix ou de pétrodollars : un deal est un deal ».Le Figaro à Paris précise : « des investissements massifs aux États-Unis, des contrats d'armement ou aéronautiques, ou des accords sur l'intelligence artificielle, les cryptomonnaies ou les métaux rares pourraient être proclamés, permettant à Trump d'afficher des succès commerciaux. La Maison-Blanche dit espérer obtenir mille milliards de dollars de contrats et d'investissements ».Israël en berne…« Un pays suivra d'un mauvais œil cette visite, relève pour sa part La Croix : Israël. Contrairement à 2017, l'État hébreu n'est pas sur la feuille de voyage de Trump (…). Galvanisé initialement par ses annonces sur la “Riviera“ et le “déplacement“ des Gazaouis, Benyamin Netanyahu redoute désormais les déclarations de son imprévisible partenaire. Ce dernier pourrait-il soutenir le plan arabe pour Gaza, porté par l'Égypte, la Jordanie et la France ? Ou bien lâcher le Premier ministre israélien et imposer un règlement politique pour l'enclave ? Les supputations vont bon train dans les médias arabes et israéliens. Mais la séquence contrarie déjà l'État hébreu, remarque encore La Croix : non seulement Donald Trump va être pressé par ses alliés du Golfe de conclure un accord avec l'Iran sur le nucléaire, mais il devrait aussi rencontrer lors de sa tournée trois des ennemis jurés d'Israël : le président palestinien Mahmoud Abbas, le Syrien Ahmed Al Charaa et le Libanais Joseph Aoun ».Un cadeau somptueux…Mais le sujet qui accapare l'attention de la presse américaine c'est l'avion d'une valeur de 400 millions de dollars que le Qatar a l'intention de mettre à disposition de Donald Trump…« Ce don potentiel soulève de grandes inquiétudes, pointe le Washington Post, non seulement en matière de sécurité, mais aussi de corruption et d'abus de confiance. On a là un président qui, au cours de la première année de son mandat de quatre ans, accepte un cadeau historique et extraordinairement coûteux de la part d'un gouvernement étranger qui a de nombreux intérêts dans les actions de son administration ».Qui plus est, poursuit le Washington Post, « cet avion pourrait apparemment être affecté ultérieurement à l'usage personnel de Donald Trump, bien que ce dernier ait déclaré hier qu'il ne l'utiliserait pas. Certains experts affirment que cela violerait clairement la clause “émoluments“ de la Constitution ».Des contrats juteux pour la famille Trump…Dans le même temps, le New York Times soulève un autre lièvre… Des contrats mirifiques pour la famille Trump… « Les deux fils aînés du président se sont en effet lancés récemment dans une série de contrats juteux en capitalisant sur le nom et le pouvoir de leur père, chacun essayant apparemment de surpasser l'autre. On parle là de milliards de dollars », s'exclame le New York Times qui précise : « un hôtel de luxe à Dubaï. Une deuxième tour résidentielle haut de gamme à Djeddah, en Arabie saoudite. Deux entreprises de cryptomonnaies basées aux États-Unis. Un nouveau parcours de golf et un complexe de villas au Qatar. Et un nouveau club privé à Washington. Dans bien des cas, pointe le journal, ces nouvelles transactions promues la semaine dernière bénéficieront non seulement à Eric et Donald Jr., mais aussi au président Trump lui-même ».
C dans l'air du 9 mai 2025 : Léon XIV, le vatican contre la maison blanche ?« Habemus Papam ! » il est 19h15 lorsque la célèbre formule a été prononcée sur la place Saint-Pierre. Un nouveau pape, le premier américain de l'Histoire, allait être présenté au monde catholique. Robert Francis Prevost, qui prit le nom de Léon XIV, a alors prononcé un premier discours, placé sous le signe de la paix. « Le mal ne l'emportera pas ! », a-t-il affirmé.Prevost, âgé de 69 ans, est réputé être le plus latino des cardinaux états-uniens. De père français et de mère italienne, il s'inscrit dans le sillage d'une Église engagée sur les questions sociales et tournée vers le monde. Sur X, quand il était cardinal ou évêque, Prevost n'hésitait pas à prendre position contre Donald Trump, notamment concernant la question des migrants. Celui-ci l'a toutefois félicité hier, "Quel grand honneur pour notre pays", a-t-il lancé sur Truth Social.Léon XIV se retrouve le chef d'une Église catholique perdant des fidèles malgré le milliard de catholiques dans le monde. Une crise de la foi et des vocations, marquée par une baisse des pratiques religieuses, qui l'oblige à réfléchir à sa volonté de réformer. Pourtant, le nombre de baptêmes catholiques d'adultes en France ne cesse de progresser. En deux ans, il a même doublé.Mais quel regard porte l'Église sur les enjeux de la société moderne, comme le genre ou l'écologie ? Le sujet des violences sexuels devra aussi être traité par Léon XIV. Ce sujet demeure l'un des plus grands défis pour l'Église. Le Vatican était notamment au courant des violences sexuelles commises par l'abbé Pierre, d'après une enquête des journalistes Laetitia Cherel et Marie-France Etchegoin.Alors, le pontificat de Léon XIV sera-t-il dans la continuité de celui de François ? Comment l'Église catholique réfléchit-elle à son avenir ? Que savait le Vatican du cas l'Abbé Pierre ? LES EXPERTS : ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales Christine PEDOTTI - Directrice de la rédaction de Témoignage chrétien VIRGINIE RIVA - Journaliste politique à Contexte, spécialiste des religions, auteure de « Ce pape qui dérange » Alban MICOCZY - Ancien correspondant à Rome pour France Télévisions PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En tant qu'agence de presse internationale, l'AFP fait partie du club encore très fermé de médias directement accrédités à la Maison Blanche.Deux correspondants et cinq photographes de l'AFP travaillent directement sur place pour couvrir les activités et déclarations du président de la première puissance mondiale. Ce podcast fait partie de notre série "Making of" sur les coulisses du métier de journaliste à l'AFP. Depuis que le républicain Donald Trump est de retour au pouvoir, le rythme est haletant, imprévisible et les prises de parole innombrables. L'administration de ce président qui aime dire que la presse est “l'ennemie du peuple”, a aussi pris des mesures contre certains médias accrédités, comme la grande agence américaine Associated Press.Selon Reporters sans frontières (RSF), qui publie son classement annuel sur la liberté de la presse ce vendredi 2 mai, ce second mandat de Trump a déjà entraîné, je cite “une dégradation inquiétante de la liberté de la presse”.Pour cet épisode, nous vous proposons d'écouter le récit de ces 100 jours par Aurélia End et Danny Kemp, nos deux correspondants et l l'historien spécialiste des médias Jon Marshall, professeur associé à l'école de journalisme de Medill (Université Northwestern) à Chicago, auteur de Clash: Presidents and the Press in Times of Crisis Réalisation et présentation : Michaëla Cancela-KiefferEnregistrements sonores : chaîne YouTube de la Maison Blanche, chaîne YouTube de Clay Travis Doublages : Djilali Belaïd, Michel MoutotSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le conseiller à la sécurité nationale tombe finalement. Pourquoi Trump a-t-il attendu pour prendre ses distances avec Waltz ? Coup d'œil sur des élections présidentielles très importantes en Roumanie. La rencontre Bureau-Dumont avec Stéphan Bureau et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qubPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 1er mai 2025 : "100 premiers jours à la Maison Blanche, Trump a-t-il échoué ?" avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat.
Le cellulaire sera interdit à l’école. Colère à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Hausse du salaire minimum. Pas d’autre argent pour Lion Électrique. Carney ira à la Maison-Blanche. Alain Choquette s’est fait voler un numéro! Le CH est éliminé. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Le point dans cette édition sur le Doge, le département de l'efficacité gouvernementale aux États-Unis, cent jours après le retour au pouvoir de Donald Trump.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Le point dans cette édition sur le Doge, le département de l'efficacité gouvernementale aux États-Unis, cent jours après le retour au pouvoir de Donald Trump.
durée : 00:04:19 - Le Zoom de France Inter - Pour fêter ses 100 premiers jours à la Maison-Blanche, Donald Trump a tenu un discours d'autosatisfaction dans le Michigan mardi. Mais que pensent ses partisans, trois mois après son élection ? Reportage dans l'un des comtés les plus trumpistes de Géorgie, le comté de Franklin.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des 100 premiers jours du second mandat présidentielle de Donald Trump.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Le point dans cette édition sur le Doge, le département de l'efficacité gouvernementale aux États-Unis, cent jours après le retour au pouvoir de Donald Trump.
durée : 00:14:29 - Journal de 7 h - Focus dans ce journal sur la guerre qu'il mène contre certains musée et plus largement contre le travail des historiens.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des 100 premiers jours du second mandat présidentielle de Donald Trump.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:29 - Journal de 7 h - Focus dans ce journal sur la guerre qu'il mène contre certains musée et plus largement contre le travail des historiens.
Donald Trump fête ses 100 jours à la Maison Blanche avec un meeting dans le Michigan. Le président américain a défendu son bilan malgré des sondages qui ne lui sont pas favorables. Il promet "de rendre à l'Amérique sa grandeur". En 100 jours, l'état du monde a été ébranlé par les décisions et les prises de position de Donald Trump. Roselyne Febvre en parle avec David Revault-d'Allonnes de l'Hémycicle et Pierre Jacquemain de Politis.
Ce mercredi 30 avril, Donald Trump célèbre le centième jour de son deuxième mandat à la tête des États-Unis. Que retenir des actions d'un Trump 2.0 qui a déjà signé plus de 130 décrets en moins de trois mois, soit presque autant que son prédécesseur Joe Biden sur l'ensemble de son mandat? Derrière le show permanent, qu'a réellement accompli le 47e (et 45e) président de la première puissance économique mondiale? Pour tenter de dresser le bilan d'une stratégie difficile à déchiffrer, Ondine Werres reçoit dans le studio du Brief deux fins connaisseurs des États-Unis: Frank Vranken, stratégiste en chef de la banque Edmond de Rothschild et Serge Jaumain, professeur d'histoire contemporaine à l'ULB et spécialiste de l'Amérique du Nord. Présentation, écriture et réalisation: Ondine Werres Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les 100 premiers jours de Donald Trump à la Maison-Blanche. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les 100 premiers jours de Donald Trump à la Maison-Blanche. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Produire plus de pétrole n'est pas un problème climatique pour le président américain, mais un moyen de faire baisser les prix à la pompe. Une politique résumée par le slogan « Drill Baby Drill ». Mission réussie : les prix du brut ont chuté à leur plus bas niveau en quatre ans. À vouloir satisfaire ses électeurs, Donald Trump court cependant le risque de se mettre à dos l'industrie pétrolière et rend déjà service paradoxalement à la Chine. En encourageant la production d'hydrocarbures, le président américain s'est positionné en allié des majors pétrolières qui sont implantées aux États-Unis, mais la baisse des prix qu'il alimente avec cette politique – qui s'explique aussi par la décision de l'OPEP+ de mettre fin progressivement à ses coupes de production à partir du mois de mai – pèse aussi sur les résultats financiers des entreprises.La société britannique BP, déjà en difficulté, vient d'annoncer un bénéfice divisé par trois au premier trimestre 2025. Parmi les raisons invoquées, la volatilité des marchés. Chevron, ExxonMobil, Shell ou encore TotalEnergies traversent, elles aussi, une zone de turbulence économique et pourraient, selon plusieurs analystes, être tentées de repenser leurs investissements. Inquiétude dans le secteur du schisteCe pétrole extrait des couches de schiste du sous-sol américain a un coût de production plus élevé et la baisse des recettes entame encore plus la rentabilité des exploitations. Pour réduire leurs dépenses, plusieurs opérateurs ont ralenti leur activité de forage comme ils avaient déjà été contraints de le faire pendant la pandémie en 2020. Si les prix ne se redressent pas dans les prochains mois, un avenir dévastateur se prépare pour le secteur du schiste, préviennent déjà des producteurs. Le scénario est écrit, expliquent-ils au Financial Times : à moins de 60 dollars, les sociétés qui réaliseront des bénéfices seront de moins en moins nombreuses et, avec un pétrole sous la barre des 50 dollars, la moitié des entreprises pourraient disparaître au profit des plus puissantes d'entre elles et la production baisser à court ou moyen terme.La baisse des prix profite à la Chine, 1ᵉʳ acheteur mondialLa stratégie de Donald Trump rend paradoxalement service à la Chine, son premier ennemi sur le front commercial. La Chine est le premier importateur mondial de brut et remplit ses stocks dès qu'ils sont bas, et dès que les prix sont favorables. Qu'importe presque le niveau de la demande, la Chine a une politique d'achat stratégique, ouverte à toutes les origines, que le pétrole soit russe, iranien ou vénézuélien.Au mois de mars, ses importations ont bondi et s'accélèrent encore en avril. En ce moment, le pays importe environ 11 millions de barils par jour. Cela fait 18 mois que l'Empire du Milieu n'a pas tenu un tel rythme. Certaines raffineries auraient même repoussé leur maintenance annuelle pour continuer à produire de l'essence, du diesel et du carburant pour l'aviation. La cadence finira par ralentir une fois que les stocks seront reconstitués, mais ce ne sera peut-être pas avant le second semestre, selon le Financial Times.
Mercredi 30 avril 2025, dans 2 jours, cela fera 100 jours que Donald Trump gouverne les États-Unis, et au-delà qu'il fait frissonner la planète. Avec un tourbillon d'ordres et contre-ordres et de coups de balai. Licenciements massifs de fonctionnaires, coupes des aides internationales, augmentation des droits de douanes… des décrets signés presque quotidiennement. -Stratégie du chaos pour le monde-. Afrique comprise. Pour les 100 jours, RFI se mobilise mercredi avec une journée spéciale. Dès aujourd'hui : premier de nos Grands reportages sur l'événement.Avant de se rendre à Maseru, capitale du Lesotho, royaume tourné en dérision par Donald Trump ; direction l'Afrique du Sud, en pleine crise diplomatique avec Washington. «Trump à la Maison Blanche, impact particulier pour l'Afrique australe», un Grand reportage de Valentin Hugues.
Au menu de ce vendredi avec Nicolas Vidal :00:00 Edito : Macron fait le petit chef à Mayotte et Brigitte danse la Debaa Dette10:00 « Donald Trump n'a de comptes à rendre à personne ! »
Ce lundi 28 avril, Marek Hudon, professeur à Solvay vient donner son analyse sur les changements radicaux de valeurs prônées par la Maison Blanche depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump. Des changements qui s'observent facilement en comparant cette administration avec les précédente.
durée : 00:02:05 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Petit point « marché immobilier » dans le sillage du New York Times qui fait le portrait de Mark Zuckerberg à travers les différents lieux où il habite ou a habité.
Les chiffres de fréquentation dans les salles de cinéma indiquent une hausse pour les films soutenus par le Centre du Cinéma de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La Maison Blanche vient de restreindre davantage l'accès des grandes agences de presse internationales au président Donald Trump. La radio-télévision belge de langue allemande, la BRF, célèbre ses 80 ans. Le groupe Linkin Park va se produire en ouverture de la finale de la Ligue des Champions le 31 mai prochain à Munich. Présenté par Nicolas Bogaerts Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
145% de surtaxes pour les produits chinois importés aux Etats-Unis : c'est le résultat d'une guerre commerciale lancée par Donald Trump, guerre qui a viré rapidement au duel. La Maison Blanche a suspendu la majeure partie de ses droits de douane, les importations des autres pays ne sont plus taxées “qu'à” la hauteur de 10%. En face, Pékin répond de manière bien organisée : droits de douane à 125% et des mesures économiques très ciblées. Le pays cherche aussi à conforter ses alliances. Et si la Chine profitait de la crise pour rebattre les cartes de la scène géopolitique et économique mondiale ?Pour en débattre : -Stéphanie Balme, directrice du Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po, professeure à sciences PO, spécialiste de la diplomatie scientifique, de la Chine globale et des relations Chine-US-UE- Benjamin Bürbaumer maître de conférences en sciences économiques au Centre Emile Durkheim/Sciences Po Bordeaux, auteur du livre Chine/Etats-Unis, le capitalisme contre la mondialisation (éditions La Découverte)
145% de surtaxes pour les produits chinois importés aux Etats-Unis : c'est le résultat d'une guerre commerciale lancée par Donald Trump, guerre qui a viré rapidement au duel. La Maison Blanche a suspendu la majeure partie de ses droits de douane, les importations des autres pays ne sont plus taxées “qu'à” la hauteur de 10%. En face, Pékin répond de manière bien organisée : droits de douane à 125% et des mesures économiques très ciblées. Le pays cherche aussi à conforter ses alliances. Et si la Chine profitait de la crise pour rebattre les cartes de la scène géopolitique et économique mondiale ?Pour en débattre : -Stéphanie Balme, directrice du Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po, professeure à sciences PO, spécialiste de la diplomatie scientifique, de la Chine globale et des relations Chine-US-UE- Benjamin Bürbaumer maître de conférences en sciences économiques au Centre Emile Durkheim/Sciences Po Bordeaux, auteur du livre Chine/Etats-Unis, le capitalisme contre la mondialisation (éditions La Découverte)
Chronique de Marie Vancutsem Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Maison Blanche frappe fort avec un tableau de surtaxes douanières inédit, ciblant alliés et rivaux. Les marchés asiatiques vacillent, les valeurs techno plongent, et l'or flambe. Wall Street a l'air plus sévèrement touchée que les autres marchés, ce qui suggère que les investisseurs sont préoccupés par l'impact de cette offensive sur l'économie américaine. Une lueur d'espoir toutefois : les négociations bilatérales à venir. A condition qu'elles aient lieu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est aujourd'hui que Donald Trump impose des droits de douanes sans précédents pour "se libérer du joug du reste du monde". Selon le président américain, c'est un "Jour de libération". La Maison Blanche a préparé plusieurs scénarios : soit un taux universel, soit des secteurs plus ciblés. Les pays partenaires comme l'Union européenne ou le Canada ripostent. Ursula Von der Leyen affirme que l'Union européenne a un plan solide. Les marchés de leurs côtés sont fébriles.
durée : 00:03:39 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Un journaliste invité par erreur dans un groupe de discussion sur des informations ultrasensibles : le « Signalgate » fait la une de toute la presse américaine cette semaine. La Maison Blanche minimise l'affaire qui pourrait bien poursuivre longtemps certains membres du gouvernement.
durée : 00:20:12 - Journal de 18h - Kiev demande des "consultations" pour s'accorder sur les "détails" de l'accord.
durée : 00:20:12 - Journal de 18h - Kiev demande des "consultations" pour s'accorder sur les "détails" de l'accord.
Le rédacteur en chef du magazine "The Atlantic", Jeffrey Goldberg, a révélé dans un article publié lundi 24 mars avoir été inclus par erreur dans un groupe de discussion ultraconfidentiel de hauts responsables américains consacré à des frappes contre les rebelles houthistes au Yémen. La Maison Blanche a assuré qu'aucune information confidentielle n'avait été dévoilée. Écoutez l'analyse de Peer de Jong, ancien colonel des troupes de Marine. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le rédacteur en chef du magazine "The Atlantic", Jeffrey Goldberg, a révélé dans un article publié lundi 24 mars avoir été inclus par erreur dans un groupe de discussion ultraconfidentiel de hauts responsables américains consacré à des frappes contre les rebelles houthistes au Yémen. La Maison Blanche a assuré qu'aucune information confidentielle n'avait été dévoilée. Écoutez l'analyse de Peer de Jong, ancien colonel des troupes de Marine. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:01 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Et oui, parmi les mille choses surprenantes, voire un peu aberrantes de la période actuelle, il y en a une qui mérite d'être soulignée : la présence de l'anthropologue, philosophe, historien—il a eu différentes casquettes—René Girard dans la bibliothèque des Trumpistes. - réalisation : Félicie Faugère
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Passe d'armes entre R. Glucksmann et la Maison Blanche G. Darmanin : "Je crains davantage LFI que le RN". Et vous ? Papier toilette lavable : crado ou écolo ?
On vous emmène au Mexique, où vit une petite salamandre d'eau unique au monde : l'Axolotl. Cet animal possède des pouvoirs régénérateurs, mais cela ne le protège pas des activités humaines. Aujourd'hui, l'espèce est en voie de disparition. L'Axolotl a un certain nombre de super-pouvoirs : en plus d'afficher en permanence un sourire fascinant, il possède une incroyable capacité de régénération. Comment vit cet animal unique au monde ? Notre correspondante au Mexique, Marine Lebègue, est allée à sa rencontre à Xochimilco, dans le sud de la capitale mexicaine. Cet amphibien est étudié par des scientifiques pour ses capacités exceptionnelles : s'il perd sa queue, une patte, voire même la moitié de son cœur ou de son cerveau, il peut les régénérer. Mais aujourd'hui, son habitat est en danger, et l'animal aussi. Très lié à la culture mexicaine, l'Axolotl est au cœur de luttes environnementales. Des militants écologistes se mobilisent pour assurer sa survie.L'expulsion controversée des membres de gangs présumés au SalvadorLa presse commente et analyse la décision de Donald Trump d'expulser plus de 200 membres présumés du gang vénézuélien Tren de Aragua des États-Unis vers le Salvador. Le président américain a utilisé une vieille loi datant des périodes de guerre pour procéder à ces expulsions, en dépit d'une injonction d'un juge fédéral. La Maison Blanche affirme que les trois avions transportant ces détenus avaient déjà décollé au moment de la décision de justice. Washington estime d'ailleurs que cette décision n'a « aucun fondement légal ». Pour le New York Times, on se dirige vers un véritable showdown – le moment du duel dans les westerns – entre Donald Trump et la justice. Le quotidien évoque même le risque d'une crise constitutionnelle si l'administration américaine continue d'ignorer les injonctions des juges.Une mise en scène très politiqueL'arrivée des expulsés a été largement mise en scène par le président salvadorien Nayib Bukele. Dans une vidéo, on voit les détenus débarquer à l'aéroport avant d'être conduits dans une prison de haute sécurité. Là, ils sont identifiés, puis rasés. D'après le journal El Salvador, 238 membres présumés du Tren de Aragua ont été expulsés au total. Cet accord entre les États-Unis et le Salvador prévoit que Washington verse 20 000 dollars par détenu et par an, avec une enveloppe supplémentaire de 15 millions de dollars en cas d'autres expulsions.La nouvelle politique migratoire de l'administration Trump commence à avoir un impact sur les Vénézuéliens qui fuient leur pays. Le quotidien de Caracas El Nacional observe un changement de destination pour ces migrants, qui se dirigent désormais moins vers les États-Unis, le Pérou ou le Chili. L'Espagne et le Brésil apparaissent comme de nouvelles terres d'accueil.Haïti : des médias attaquésEn Haïti, les violences se poursuivent. Dans la nuit du 15 au 16 mars 2025, des hommes lourdement armés ont incendié et saccagé les locaux de Télé Pluriel, situés à Delmas 19. L'information a été confirmée par le média sur son compte Facebook. Un responsable de Télé Pluriel, interrogé par Le Nouvelliste, explique que l'accès à la zone est difficile, ce qui complique l'évaluation des dégâts. Mais les pertes seraient importantes. Cette attaque s'inscrit dans une série de violences visant les médias. En début de semaine, Radio Télé Caraïbes et Radio Mélodie ont aussi été prises pour cible. L'Association des journalistes haïtiens (AJH) a fermement condamné ces attaques, qu'elle attribue à la coalition criminelle Viv Ansanm.Le travail d'une ONG en HaïtiParmi les organisations humanitaires présentes en Haïti, l'ONG Alima tente d'apporter son soutien à quelque 12 000 personnes dans la région métropolitaine de Port-au-Prince. Elle s'engage en particulier auprès des personnes déplacées.Sa représentante en Haïti, Virginie Vialass, décrit le quotidien de son travail : chaque jour, trois cliniques mobiles parcourent la capitale pour assurer des consultations médicales générales, accompagner les femmes enceintes et prendre en charge les victimes de violences sexuelles.Journal La 1èreIl y a cinq ans, débutait le confinement lié à la pandémie de Covid-19.
La Maison Blanche, résidence officielle et bureau du président des États-Unis, tire son nom de son apparence caractéristique, mais son appellation n'a pas toujours été évidente. L'histoire de son nom est liée à son architecture, un incendie majeur et des usages populaires avant d'être officiellement adoptée en 1901.1. Une inspiration architecturale et une première appellation (1792-1800)La construction de la Maison Blanche débute en 1792, sous la présidence de George Washington. L'architecte irlandais James Hoban s'inspire du château de Rastignac, une demeure néoclassique française située en Dordogne, ainsi que du Leinster House de Dublin. Le bâtiment est conçu en grès aquia, une pierre grisâtre extraite en Virginie.Initialement, l'édifice est appelé "Executive Mansion", un terme générique qui désigne les résidences des gouverneurs dans plusieurs États américains.2. L'incendie de 1814 et la reconstruction (1814-1817)Pendant la guerre de 1812, le 24 août 1814, les troupes britanniques envahissent Washington D.C. et incendient plusieurs bâtiments officiels, dont l'Executive Mansion. Après ce saccage, la structure est sévèrement endommagée, et la reconstruction s'étale jusqu'en 1817, sous la présidence de James Monroe.Pour masquer les traces de l'incendie et protéger le grès des intempéries, le bâtiment est recouvert d'une épaisse couche de peinture blanche à base de chaux. Cette caractéristique donne naissance au surnom "White House" ("Maison Blanche"), qui commence à être utilisé par le public.3. L'usage populaire et l'officialisation du nom (1817-1901)Tout au long du XIXe siècle, le terme "White House" devient courant dans le langage populaire et dans la presse, même si le gouvernement continue d'utiliser "Executive Mansion" dans les documents officiels.Finalement, en 1901, le président Theodore Roosevelt officialise le nom en faisant inscrire "The White House" sur la papeterie présidentielle et les documents administratifs. Cette décision vise à unifier les références au bâtiment et à ancrer son identité unique.ConclusionLa Maison Blanche doit son nom à un concours de circonstances historiques et esthétiques : son architecture inspirée du style néoclassique, l'incendie de 1814 et la nécessité de la repeindre en blanc. Ce nom, d'abord un simple surnom, s'est imposé dans l'usage courant avant d'être institutionnalisé par Roosevelt en 1901, devenant ainsi un symbole universel du pouvoir américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 12 mars 2025 : Alexandra de Hoop Scheffer, politologue, spécialiste des relations transatlantiques et internationales, présidente du think tank German Marshall Fund of the United States.Plus de huit heures de "discussions productives". L'Ukraine a affirmé que les négociations mardi avec les États-Unis à Jeddah (Arabie saoudite) avaient débuté de manière "très constructive", avec une proposition de cessez-le-feu partiel. La Maison Blanche a applaudi de son côté des discussions "productives", après huit heures de pourparlers.Les négociateurs ukrainiens sont arrivés à Jeddah avec une proposition de "trêve dans les airs" et "en mer" avec Moscou, avait indiqué lundi à l'AFP un haut responsable ukrainien. Et ce mardi soir, à la fin des réunions, l'offre d'une trêve de 30 jours avec la Russie est sur la table.L'Ukraine "accepte cette proposition" et "est prête pour la paix", a répété le président ukrainien Volodymyr Zelensky sur ses réseaux sociaux. Cependant "la Russie doit montrer si elle est prête à mettre fin à la guerre ou à la poursuivre" a-t-il ajouté. Washington doit donc désormais convaincre le Kremlin d'accepter cette trêve. Le président américain a déclaré dans la soirée qu'il "allait parler à Vladimir Poutine", sans doute cette semaine.En échange de l'accord de l'Ukraine, les États-Unis acceptent de leur côté de lever leurs restrictions, selon la déclaration commune. "Les États-Unis feront savoir à la Russie que la réciprocité russe est la clé de la paix", déclare le communiqué
durée : 00:14:46 - Journal de 8 h - Deux délégations, ukrainienne et américaine, ont rendez-vous en Arabie saoudite ce mardi. Le point dans cette édition avec notre correspondant à Washington.
durée : 00:14:46 - Journal de 8 h - Deux délégations, ukrainienne et américaine, ont rendez-vous en Arabie saoudite ce mardi. Le point dans cette édition avec notre correspondant à Washington.
durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Qui sont les six personnes qui ont pris la décision de geler l'aide militaire à l'Ukraine, après le clash du bureau ovale avec Volodymyr Zelensky ? Leurs profils ont de quoi inquiéter l'Ukraine et l'Europe, qui incarnent à leurs yeux le monde d'hier à abattre.
C'est un bouleversement majeur qui se passe ici aux États-Unis. La Maison-Blanche accepte désormais les influenceurs dans la sacro-sainte salle de presse. D'autre part, la famille et les proches de Donald Trump ont désormais leur propre podcast ou leur propre émission sur Fox News. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
C'est un bouleversement majeur qui se passe ici aux États-Unis. La Maison-Blanche accepte désormais les influenceurs dans la sacro-sainte salle de presse. D'autre part, la famille et les proches de Donald Trump ont désormais leur propre podcast ou leur propre émission sur Fox News. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:05:29 - Le Reportage de la rédaction - Un peu plus d'un mois après le retour au pouvoir de Donald Trump, réactions de partisans de la première heure, d'opposants, de républicains et de démocrates. Témoignages recueillis dans le Maryland et à New York, à quelques heures du discours au Congrès que prononcera Donald Trump.
Une réunion à la Maison-Blanche pour la signature d'un accord sur les minéraux entre les dirigeants des Etats-Unis et de l'Ukraine s'est terminée par un clash vendredi passé. Tout comme de nombreux leaders du monde entier, le Premier ministre australien Anthony Albanese a réaffirmé samedi son soutien à l'Ukraine.
durée : 00:02:54 - Le billet de Sophia Aram - par : Sophia Aram - "Ça ressemble à un cross-over bâclé de 'Hanouna devient chef d'état-major des armées' et 'Les Tuches à l'OTAN'. Alors, je ne voudrais pas divulgacher, mais sans déconner, il n'y a rien qui colle. C'est écrit à la testostérone et au lasso".