POPULARITY
«Le Conseil présidentiel est-il dysfonctionnel ?», s'interroge Le Nouvelliste. Le CPT n'a tenu que que «deux conseils des ministres en trois mois». Ses membres semblent avoir du mal à travailler ensemble. Dans les colonnes du quotidien haïtien, l'un d'entre eux, Smith Augustin, met en cause le leader du Conseil présidentiel de transition, Fritz Alphonse Jean. «Il n'est pas très aimé de ses collègues. Il n'y a pas de collaboration», explique Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, qui ajoute que les relations au sein du Conseil ont toujours été compliquées. «Depuis le début, il y a des blocs au sein du Conseil et des tiraillements et des dissensions entre eux.» Les membres du CPT ne tiennent pas de conseils des ministres, mais ils voyagent beaucoup ces derniers temps, relève Le Nouvelliste. Des voyages auxquels n'est pourtant pas associé le ministère des Affaires étrangères. «Chacun voyage avec son cabinet et ses conseillers, mais personne du ministère», s'étonne Frantz Duval qui estime que «la diplomatie haïtienne navigue à vue». Le président du Conseil présidentiel de transition est ainsi au Brésil. Il prendra part demain à un sommet de la Caricom consacré à la situation en Haïti, organisé à l'initiative du président Lula. Les Haïtiens «espèrent beaucoup mais attendent peu», commente Frantz Duval pour qui aucune décision forte ne sera prise à Brasilia. «La communauté internationale hésite depuis des années et n'est pas prête à s'impliquer réellement» pour résoudre la crise qui secoue le pays. Donald Trump «politise» l'armée Aux États-Unis, après Los Angeles, Donald Trump pourrait envoyer l'armée dans d'autres villes du pays en cas de manifestations contre sa politique migratoire. «La Maison Blanche de Trump ouvre la porte à un déploiement militaire historique sur le sol américain», titre du Washington Post qui souligne que Donald Trump a durci le ton envers tous les manifestants, même ceux qui protestent pacifiquement. Un langage comparable à celui «utilisé par les autocrates dans des pays étrangers», écrit le quotidien. Intervenir lors de manifestations, mais aussi protéger la frontière avec le Mexique, ce n'est pas vraiment le rôle de l'armée. En demandant à des «militaires entraînés pour se battre à l'étranger de jouer le rôle traditionnellement dévolu à la police locale et à la police aux frontières», Donald Trump teste «les limites légales et politiques», analyse le New York Times. Dans les colonnes du New York Times, des analystes et des militaires à la retraite estiment que le but de Donald Trump, c'est en réalité que les Américains s'habituent à voir des soldats dans les rues, ce qui lui permettrait ensuite d'utiliser «ses pouvoirs de commandant en chef de manière plus agressive pour réprimer tout trouble et toute dissidence». Les détracteurs du président américain s'inquiètent de cette dérive «vers la politisation des forces armées et un autoritarisme rampant». Cette décision d'envoyer l'armée à Los Angeles divise en tout cas les Américains qu'Edward Maille a rencontrés en Géorgie. À écouter aussiÉtats-Unis: les démocrates accusent Donald Trump de «provoquer le chaos» en déployant la Garde nationale Le président du Costa Rica invité de RFI Le sommet des Nations unies sur l'océan, organisé par la France et le Costa Rica, se tient en ce moment à Nice. À cette occasion, le président du pays latino-américain, Rodrigo Chaves Robles a accordé une interview à Raphaël Moran du service Environnement de RFI. Dans cet entretien à retrouver en intégralité sur le site de la radio, il appelle les pays du monde à se mettre d'accord sur un moratoire concernant l'exploitation des eaux profondes que Donald Trump vient d'autoriser, le temps que des études scientifiques soient faites. Rodrigo Chaves Robles ne s'oppose pas, en revanche, à l'exploration d'hydrocarbures dans son pays. À lire aussiCo-président de la Conférence sur l'océan, Rodrigo Chaves Robles ne veut pas «fermer la porte» à l'exploration pétrolière Brian Wilson, cofondateur des Beach Boys est mort Le Los Angeles Times salue un «musicien savant qui a aidé à définir la Californie du Sud». Le New York Times parle d'un visionnaire et revient sur sa carrière en photos. Brian Wilson à la basse, au piano, ou bien encore en train de donner des indications lors de l'enregistrement de Pet Sounds. Le bassiste, chanteur, producteur et compositeur a toujours l'air extrêmement concentré, sérieux. On le voit plus souriant sur les photos choisies par le magazine Rolling Stone pour rendre hommage à «l'architecte de la pop». Brian Wilson, qui avait fondé les Beach Boys, avec ses deux frères, s'était éloigné de la musique dans les années 70. Il souffrait de troubles mentaux et d'addiction à la drogue. Il avait ensuite retrouvé ses instruments, son studio et la scène. À lire aussiBrian Wilson, cofondateur des Beach Boys, est mort Le journal de la 1ère Les premières Assises contre la vie chère s'ouvrent aujourd'hui en Martinique. À écouter aussiFrance: mobilisation à Paris de la diaspora des territoires d'Outre-mer contre la vie chère
C dans l'air du 9 juin 2025 - La Californie se rebelle...Trump envoie la Garde nationaleQue se passe-t-il à Los Angeles ? Depuis vendredi, des habitants manifestent dans la mégapole californienne contre la politique migratoire de l'administration Trump, à la suite d'opérations musclées menées par les agents fédéraux de l'immigration (ICE). L'envoi, samedi, de la Garde nationale sur ordre du président américain, contre l'avis du gouverneur démocrate de l'État, est loin d'avoir calmé les esprits. Pour le troisième jour consécutif, des heurts ont opposé les forces de sécurité à des manifestants qui protestent contre la politique d'expulsion massive et dénoncent l'envoi des premiers soldats par Washington — une manière, selon eux, d'instrumentaliser la situation.Donald Trump exploite-t-il les incidents à Los Angeles ? C'est en tout cas l'avis de la maire démocrate de la cité californienne, qui affirme contrôler la situation. "Ce que nous voyons à Los Angeles, c'est un chaos provoqué par l'administration. Le déploiement des troupes fédérales est une escalade dangereuse."En Californie, les fractures de l'Amérique éclatent au grand jour : d'un côté, les démocrates accusés de laxisme sur la politique migratoire ; de l'autre, les républicains de Donald Trump, déterminés à appliquer les mesures et à faire un exemple dans le fief de l'un de leurs principaux opposants, au risque de plonger un peu plus le pays dans une crise institutionnelle."C'est une atteinte grave à la souveraineté de l'État", a dénoncé le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom. "Nous n'avions pas de problème jusqu'à ce que Trump s'en mêle", a-t-il accusé sur X. Les gouverneurs des États démocrates ont fustigé un "abus de pouvoir alarmant", rappelant que la Garde nationale est traditionnellement mobilisée lors de catastrophes naturelles, et non pour réprimer des mouvements sociaux. Il s'agirait du premier déploiement unilatéral de la Garde nationale par un président sans l'accord d'un gouverneur depuis 1965, selon Kenneth Roth, ancien directeur de Human Rights Watch.Cette décision inédite du président Trump marque une nouvelle étape dans sa confrontation avec les États et les villes démocrates sur la question migratoire. À l'heure où il est en échec sur d'autres volets de sa politique (économie, inflation, guerres commerciales, diplomatie) et qu'il vient de rompre de façon fracassante avec Elon Musk, le républicain durcit encore sa politique anti-immigration, pour montrer à ses électeurs déboussolés qu'il tient ses promesses. Ainsi, l'interdiction d'entrée aux États-Unis pour les ressortissants de douze pays, édictée la semaine dernière, est entrée en vigueur ce lundi, selon un nouveau décret présidentiel. Sont concernés les ressortissants d'Afghanistan, de Birmanie, du Tchad, du Congo-Brazzaville, de Guinée équatoriale, d'Érythrée, d'Haïti, d'Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen.La Maison-Blanche a également décidé, ces derniers jours, la suspension du traitement des visas pour les étudiants étrangers, le temps pour l'administration Trump de mettre en place une procédure permettant d'examiner le contenu de leurs réseaux sociaux. Parallèlement, des vagues d'arrestations et d'expulsions sont mises en scène afin de frapper les opinions publiques.Quelle est la situation en Californie ? Pourquoi l'envoi de la Garde nationale fait craindre une dérive autoritaire de Donald Trump ? Qu'est-ce que le "travel ban" ? Jusqu'où ira son bras de fer avec les universités ? LES EXPERTS :- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste à Ouest France- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang, publié aux éditions du Rocher- Anne DEYSINE - Juriste et politologue, spécialiste des États-Unis- Corentin SELLIN - Professeur agrégé d'histoire, spécialiste des États-Unis, chroniqueur sur la politique américaine pour les Jours.fr- Piotr SMOLAR - Correspondant aux Etats-Unis pour le journal Le Monde
Le catalogue des insultes et des menaces a révélé le marigot d'incohérences et de conflits d'intérêts dans lequel baigne le pouvoir suprême aux États-Unis.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ils représentent plus de 70% de la surface de la terre, sont un véritable régulateur du climat et abritent une faune immense : pourtant, les océans sont aujourd'hui en danger. Alors que la France accueille dans quelques jours une importante conférence des Nations unies pour assurer leur préservation, on s'intéresse cette semaine à ceux qui tentent d'exploiter les mers. De la surpêche à l'exploitation des métaux rares, en passant par “l'eau pure”, les business se multiplient et aggravent la situation des fonds marins. Dans ce deuxième épisode, on part tout au fond des océans, pour comprendre les enjeux de l'exploitation des métaux rares qui s'y trouvent, avec Baptiste Langlois, journaliste au service Climat de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules KrotCrédits : TV5 Monde, La Maison Blanche, France 24 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 30 mai 2025 : Guerre commerciale : et si les juges bloquaient TrumpUn nouveau camouflet judiciaire pour Donald Trump. Mercredi, un tribunal américain a suspendu la plupart des droits de douane instaurés par le milliardaire républicain depuis son retour à la Maison-Blanche : les 10 % imposés sur tous les produits entrant sur le sol américain mais aussi ceux plus importants imposés au Mexique, au Canada et à la Chine. Une décision qui touche en plein cœur l'un des chevaux de bataille du président américain : la guerre commerciale.Les juges de l'ITC (International Trade Commission) ont estimé que Donald Trump avait outrepassé ses pouvoirs en appliquant des surtaxes non ciblées, une prérogative qui revient normalement au Congrès. "Cela constituerait un renoncement du pouvoir législatif au profit d'une autre branche du gouvernement", ont écrit les magistrats dans leur décision. Une violation de la Constitution américaine, selon eux.De quoi déclencher la fureur de la Maison-Blanche. Donald Trump a conspué une décision "horrible", à l'initiative, selon lui, de "juges gauchistes" non élus. Dans la foulée, le gouvernement a déposé une requête, annonçant être prêt à se tourner vers la Cour suprême pour obtenir, dès vendredi, la levée de cette suspension temporaire. Mais une cour d'appel a accédé à sa demande jeudi, le temps de se prononcer sur le fond.Ce nouvel épisode judiciaire illustre la guerre menée par Donald Trump contre les pouvoirs législatif et judiciaire. Une bataille dans les tribunaux qui touche au fondement même de la démocratie américaine et de l'État de droit. Vigies de la Constitution, les juges fédéraux tentent de faire respecter l'équilibre des pouvoirs, alors que, des droits de douane à l'immigration, le milliardaire ne cesse d'enfreindre le périmètre qui revient normalement aux élus du Congrès et d'attaquer tous les contre-pouvoirs. Parmi eux se trouvent également les médias, les facultés — en particulier la prestigieuse université de Harvard — et les organes de recherche. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les purges se multiplient : des départements sont supprimés, des postdoctorants sont éjectés, des pontes envoyés en retraite anticipée… et de nombreux chercheurs vivent désormais dans l'angoisse et l'incertitude. Certains font le choix de rejoindre la France, qui se pose en terre d'accueil pour les scientifiques en exil. Nous avons rencontré des chercheurs qui ont quitté les États-Unis pour venir travailler à Aix-en-Provence.LES EXPERTS :- LAURIC HENNETON - Historien, spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin - PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - MARIE-CÉCILE NAVES - Politologue, directrice de recherche - IRIS, spécialiste des États-Unis- ANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L'art de trumper
C dans l'air du 30 mai 2025 : Guerre commerciale : et si les juges bloquaient TrumpLES EXPERTS :- LAURIC HENNETON - Historien, spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin - PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - MARIE-CÉCILE NAVES - Politologue, directrice de recherche - IRIS, spécialiste des États-Unis- ANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L'art de trumper
REDIFF - Été 1974, Richard Nixon est encore à la tête des Etats-Unis... mais plus pour très longtemps. La révélation par la presse d'une affaire d'espionnage d'État dont il serait l'instigateur va le contraindre à quitter le pouvoir. Plongez au cœur de l'affaire qui a secoué l'Amérique et précipité la chute du président Nixon. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est confirmé, Elon Musk quitte la Maison Blanche. Cinq mois après sa nomination à la tête du département américain de «l'efficacité gouvernementale», le milliardaire a reconnu avoir échoué à réduire la dépense publique. Ce revers va-t-il signer la fin de son aventure en politique ?
Depuis bientôt vingt ans, Richard Latendresse est le correspondant à Washington du réseau de télévision canadien TVA. Au micro de L'atelier des médias, ce journaliste québécois raconte comment les médias travaillent à la Maison Blanche et discute de la relation que Donald Trump et ses équipes entretient avec les professionnels de l'information accrédités à la présidence des États-Unis. Richard Latendresse, journaliste québécois établi à Washington depuis 2006, couvre la Maison Blanche pour le groupe canadien TVA. Ayant couvert les présidences de George W. Bush, Barack Obama, Donald Trump et Joe Biden, il a un regard privilégié sur l'évolution des relations entre la présidence des États-Unis et les médias.Invité au 3e Festival international du journalisme de Carleton-sur-Mer (FIJC), au Québec, Richard Latendresse a accordé un entretien à L'atelier des médias de RFI, abordant les coulisses de son métier et soulignant les défis posés par l'ère TrumpImprévisibilité et manipulationLe premier mandat de Donald Trump fut marqué par l'imprévisibilité et une gestion pleine d'« approximations » ; le début du second mandat est « tout aussi fatiguant », bien que Trump sache désormais « beaucoup mieux où il s'en va », explique Richard Latendresse qui note que la couverture de l'actualité de la Maison Blanche en 2025 reste dictée par « les états d'âme et les coups de gueule de Donald Trump ». Cette approche contraste fortement avec les administrations précédentes, comme celle de Barack Obama, jugée « bien organisée, structurée avec des annonces qui étaient déjà prévues, des projets fouillés ».Richard Latendresse exprime également un regret quant à la couverture de la santé du président Joe Biden durant son mandat, déclarant : « On a raté de ne pas avoir suffisamment contesté, questionné l'équipe de presse sous Biden sur la santé du président. » Le journaliste estime que les médias ont été « beaucoup trop indulgents » avec lui, comparé à l'acharnement dont Trump ferait l'objet dans une situation similaire. Il considère qu'il est « honteux à quel point l'équipe de Biden s'est arrangée pour manipuler les médias » sur cet aspect.Paradoxalement, Donald Trump, qui en 2017 qualifiait la presse d'« ennemi du peuple », se montre plus accessible que Joe Biden. « Il aime qu'on le questionne, il aime être à la une », invitant les journalistes dans le bureau Ovale et saisissant toutes les occasions de s'exprimer. Si Trump « dit tout et son contraire », « il le dit au moins », ce qui contraste avec les brèves réponses parfois inaudibles de Joe Biden.L'équipe de Donald Trump souhaite en outre que « ce que le président dit soit repris mot à mot par les journalistes », comme l'illustre le refus d'accès au bureau Ovale à un journaliste d'Associated Press pour ne pas avoir utilisé l'expression « golf d'Amérique », préférée par Trump à pour nommer le golf du Mexique. Correspondants à la Maison Blanche et salle de presseRichard Latendresse fait partie des quelque centaines de journalistes accrédités à la Maison Blanche, un statut nécessitant une enquête poussée. Il est aussi cofondateur de l'Association des correspondants étrangers à la Maison Blanche (créée en 2009), un groupe qui s'est fait une place au milieu des grands médias américains. Cette association, forte d'une trentaine de membres, a obtenu un siège au 3e rang de la salle de presse, « le meilleur spot » selon Richard Latendresse, et surtout, une place précieuse au sein du « pool » de journalistes ayant accès direct au président lors d'événements restreints, y compris les rencontres avec des dirigeants étrangers.La porte-parole de Donald Trump, Karoline Leavitt, 27 ans, figure de la nouvelle génération trumpiste, joue un rôle de « porte propagande », explique Richard Latendresse, en transmettant les messages présidentiels. Ses relations avec la presse sont parfois « tendues ». Toujours « sur la défensive », elle retourne fréquemment les questions contre les journalistes pour « dénigrer le messager ».Une autre évolution notable est l'arrivée dans la salle de presse de petits médias pro Trump, d'influenceurs et de podcasters de la sphère MAGA, qui posent des questions visant à « renforcer le message du président » et « dénigrer les adversaires ». Karoline Leavitt leur donne souvent la parole au début des conférences de presse, dans une « volonté claire de miner la crédibilité des des médias traditionnels ».L'importance de la contexualisationEn tant que Canadien à la Maison Blanche, Richard Latendresse ne se sent pas particulièrement visé malgré les commentaires de Trump qui veut faire du Canada le 51e État des État-Unis. Il y voit une « provocation », typique du « modus operandi » de Trump.La couverture de la Maison Blanche, et notamment sous Donald Trump, engendre une certaine fatigue chez Richard Latendresse, qui se trouve dans un effort constant pour « mettre de la cohésion dans l'incohérence » du discours présidentiel.Face à un déluge d'informations souvent contradictoires, Richard Latendresse s'épanouit dans la présentation de l'émission Contextes. Son objectif : « mettre en perspective » et « trouver un sens » dans l'actualité, estimant que le public est souvent « pantoi, perdu ». Après deux décennies à Washington, Richard Latendresse envisage revenir s'installer au Québec, sentant la nécessité de prendre « un peu de recul » pour revoir ce monde sous un nouvel angle et gagner en clarté. Il conclut en encourageant les citoyens à « rester curieux, à rester à l'affût et à s'impliquer »
L'émission 28 minutes du 22/05/2025 Ils détectent le cancer et apaisent les soignants : des chiens qui font du bienIsabelle Fromentin est infirmière à l'unité plaies et cicatrisation de l'Institut Curie et docteure en sciences et ingénierie. Elle est une pionnière de l'inclusion des chiens dans les protocoles de soins : elle est à l'origine du projet KDOG, où leur flair permet de détecter le cancer du sein. Avec ses collègues, elle publie "Snoopy, un chien qui fait du bien" (aux éditions Solar), un récit dans lequel ils racontent l'adoption d'un chien d'assistance dans leur unité de soins. Chaque membre y raconte comment Snoopy "offre sa douceur" aux patients comme aux soignants. "Dôme d'or": Trump va-t-il précipiter le monde dans la militarisation de l'espace ?Mardi 20 mai, Donald Trump a esquissé les contours du projet "Dôme d'or". Calqué sur le "Dôme de fer" israélien, la version américaine ambitionne de protéger les États-Unis grâce à un maillage de satellites capables de détecter et de neutraliser tous types de missiles. Un système qui rappelle l'Initiative de défense stratégique de Ronald Reagan, un projet avorté qui avait participé à l'assèchement économique du rival soviétique dans les années 1980. La Maison Blanche a alloué la modique somme de 175 milliards de dollars au "Dôme d'or",pour une inauguration dès la fin de l'année 2026. L'annonce a fait bondir la Chine, qui dénonce un projet qui "porte atteinte à l'équilibre stratégique et à la stabilité mondiale", et a exhorté les États-Unis à "abandonner au plus vite" leur projet. S'il venait à entrer en service, quel serait l'impact stratégique du "Dôme d'or" ? Assiste-t-on au début de la militarisation de l'espace ? Enfin, Xavier Mauduit revient sur l'origine des Frères musulmans, confrérie au centre d'un rapport publié mercredi 21 mai par la place Beauvau. Marie Bonnisseau nous emmène au Japon, où le ministre de l'Agriculture a quitté ses fonctions suite à une blague sur le riz que l'opinion publique a particulièrement mal digérée.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 22 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 22/05/2025 "Dôme d'or": Trump va-t-il précipiter le monde dans la militarisation de l'espace ?Mardi 20 mai, Donald Trump a esquissé les contours du projet "Dôme d'or". Calqué sur le "Dôme de fer" israélien, la version américaine ambitionne de protéger les États-Unis grâce à un maillage de satellites capables de détecter et de neutraliser tous types de missiles. Un système qui rappelle l'Initiative de défense stratégique de Ronald Reagan, un projet avorté qui avait participé à l'assèchement économique du rival soviétique dans les années 1980. La Maison Blanche a alloué la modique somme de 175 milliards de dollars au "Dôme d'or",pour une inauguration dès la fin de l'année 2026. L'annonce a fait bondir la Chine, qui dénonce un projet qui "porte atteinte à l'équilibre stratégique et à la stabilité mondiale", et a exhorté les États-Unis à "abandonner au plus vite" leur projet. S'il venait à entrer en service, quel serait l'impact stratégique du "Dôme d'or" ? Assiste-t-on au début de la militarisation de l'espace ? On en débat avec le Général Dominique Trinquand, ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU ; Léo Péria-Peigné, chercheur au Centre des études de sécurité de l'Ifri, et Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l'IRIS.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 22 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
PODCAST - Cette semaine, une "Lettre d'Amérique" revient sur le livre choc sur l'état de santé de Joe Biden. L'ex-président américain était-il vraiment apte à gouverner ? Y'avait-il autour de lui un système qui le maintenait en place ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 9 mai 2025 : Léon XIV, le vatican contre la maison blanche ?« Habemus Papam ! » il est 19h15 lorsque la célèbre formule a été prononcée sur la place Saint-Pierre. Un nouveau pape, le premier américain de l'Histoire, allait être présenté au monde catholique. Robert Francis Prevost, qui prit le nom de Léon XIV, a alors prononcé un premier discours, placé sous le signe de la paix. « Le mal ne l'emportera pas ! », a-t-il affirmé.Prevost, âgé de 69 ans, est réputé être le plus latino des cardinaux états-uniens. De père français et de mère italienne, il s'inscrit dans le sillage d'une Église engagée sur les questions sociales et tournée vers le monde. Sur X, quand il était cardinal ou évêque, Prevost n'hésitait pas à prendre position contre Donald Trump, notamment concernant la question des migrants. Celui-ci l'a toutefois félicité hier, "Quel grand honneur pour notre pays", a-t-il lancé sur Truth Social.Léon XIV se retrouve le chef d'une Église catholique perdant des fidèles malgré le milliard de catholiques dans le monde. Une crise de la foi et des vocations, marquée par une baisse des pratiques religieuses, qui l'oblige à réfléchir à sa volonté de réformer. Pourtant, le nombre de baptêmes catholiques d'adultes en France ne cesse de progresser. En deux ans, il a même doublé.Mais quel regard porte l'Église sur les enjeux de la société moderne, comme le genre ou l'écologie ? Le sujet des violences sexuels devra aussi être traité par Léon XIV. Ce sujet demeure l'un des plus grands défis pour l'Église. Le Vatican était notamment au courant des violences sexuelles commises par l'abbé Pierre, d'après une enquête des journalistes Laetitia Cherel et Marie-France Etchegoin.Alors, le pontificat de Léon XIV sera-t-il dans la continuité de celui de François ? Comment l'Église catholique réfléchit-elle à son avenir ? Que savait le Vatican du cas l'Abbé Pierre ? LES EXPERTS : ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales Christine PEDOTTI - Directrice de la rédaction de Témoignage chrétien VIRGINIE RIVA - Journaliste politique à Contexte, spécialiste des religions, auteure de « Ce pape qui dérange » Alban MICOCZY - Ancien correspondant à Rome pour France Télévisions PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En tant qu'agence de presse internationale, l'AFP fait partie du club encore très fermé de médias directement accrédités à la Maison Blanche.Deux correspondants et cinq photographes de l'AFP travaillent directement sur place pour couvrir les activités et déclarations du président de la première puissance mondiale. Ce podcast fait partie de notre série "Making of" sur les coulisses du métier de journaliste à l'AFP. Depuis que le républicain Donald Trump est de retour au pouvoir, le rythme est haletant, imprévisible et les prises de parole innombrables. L'administration de ce président qui aime dire que la presse est “l'ennemie du peuple”, a aussi pris des mesures contre certains médias accrédités, comme la grande agence américaine Associated Press.Selon Reporters sans frontières (RSF), qui publie son classement annuel sur la liberté de la presse ce vendredi 2 mai, ce second mandat de Trump a déjà entraîné, je cite “une dégradation inquiétante de la liberté de la presse”.Pour cet épisode, nous vous proposons d'écouter le récit de ces 100 jours par Aurélia End et Danny Kemp, nos deux correspondants et l l'historien spécialiste des médias Jon Marshall, professeur associé à l'école de journalisme de Medill (Université Northwestern) à Chicago, auteur de Clash: Presidents and the Press in Times of Crisis Réalisation et présentation : Michaëla Cancela-KiefferEnregistrements sonores : chaîne YouTube de la Maison Blanche, chaîne YouTube de Clay Travis Doublages : Djilali Belaïd, Michel MoutotSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 1er mai 2025 : "100 premiers jours à la Maison Blanche, Trump a-t-il échoué ?" avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Le point dans cette édition sur le Doge, le département de l'efficacité gouvernementale aux États-Unis, cent jours après le retour au pouvoir de Donald Trump.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Le point dans cette édition sur le Doge, le département de l'efficacité gouvernementale aux États-Unis, cent jours après le retour au pouvoir de Donald Trump.
durée : 00:04:19 - Le Zoom de France Inter - Pour fêter ses 100 premiers jours à la Maison-Blanche, Donald Trump a tenu un discours d'autosatisfaction dans le Michigan mardi. Mais que pensent ses partisans, trois mois après son élection ? Reportage dans l'un des comtés les plus trumpistes de Géorgie, le comté de Franklin.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des 100 premiers jours du second mandat présidentielle de Donald Trump.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Le point dans cette édition sur le Doge, le département de l'efficacité gouvernementale aux États-Unis, cent jours après le retour au pouvoir de Donald Trump.
durée : 00:14:29 - Journal de 7 h - Focus dans ce journal sur la guerre qu'il mène contre certains musée et plus largement contre le travail des historiens.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des 100 premiers jours du second mandat présidentielle de Donald Trump.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:29 - Journal de 7 h - Focus dans ce journal sur la guerre qu'il mène contre certains musée et plus largement contre le travail des historiens.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les 100 premiers jours de Donald Trump à la Maison-Blanche. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mercredi 30 avril 2025, dans 2 jours, cela fera 100 jours que Donald Trump gouverne les États-Unis, et au-delà qu'il fait frissonner la planète. Avec un tourbillon d'ordres et contre-ordres et de coups de balai. Licenciements massifs de fonctionnaires, coupes des aides internationales, augmentation des droits de douanes… des décrets signés presque quotidiennement. -Stratégie du chaos pour le monde-. Afrique comprise. Pour les 100 jours, RFI se mobilise mercredi avec une journée spéciale. Dès aujourd'hui : premier de nos Grands reportages sur l'événement.Avant de se rendre à Maseru, capitale du Lesotho, royaume tourné en dérision par Donald Trump ; direction l'Afrique du Sud, en pleine crise diplomatique avec Washington. «Trump à la Maison Blanche, impact particulier pour l'Afrique australe», un Grand reportage de Valentin Hugues.
durée : 00:02:05 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Petit point « marché immobilier » dans le sillage du New York Times qui fait le portrait de Mark Zuckerberg à travers les différents lieux où il habite ou a habité.
Les chiffres de fréquentation dans les salles de cinéma indiquent une hausse pour les films soutenus par le Centre du Cinéma de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La Maison Blanche vient de restreindre davantage l'accès des grandes agences de presse internationales au président Donald Trump. La radio-télévision belge de langue allemande, la BRF, célèbre ses 80 ans. Le groupe Linkin Park va se produire en ouverture de la finale de la Ligue des Champions le 31 mai prochain à Munich. Présenté par Nicolas Bogaerts Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
145% de surtaxes pour les produits chinois importés aux Etats-Unis : c'est le résultat d'une guerre commerciale lancée par Donald Trump, guerre qui a viré rapidement au duel. La Maison Blanche a suspendu la majeure partie de ses droits de douane, les importations des autres pays ne sont plus taxées “qu'à” la hauteur de 10%. En face, Pékin répond de manière bien organisée : droits de douane à 125% et des mesures économiques très ciblées. Le pays cherche aussi à conforter ses alliances. Et si la Chine profitait de la crise pour rebattre les cartes de la scène géopolitique et économique mondiale ?Pour en débattre : -Stéphanie Balme, directrice du Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po, professeure à sciences PO, spécialiste de la diplomatie scientifique, de la Chine globale et des relations Chine-US-UE- Benjamin Bürbaumer maître de conférences en sciences économiques au Centre Emile Durkheim/Sciences Po Bordeaux, auteur du livre Chine/Etats-Unis, le capitalisme contre la mondialisation (éditions La Découverte)
145% de surtaxes pour les produits chinois importés aux Etats-Unis : c'est le résultat d'une guerre commerciale lancée par Donald Trump, guerre qui a viré rapidement au duel. La Maison Blanche a suspendu la majeure partie de ses droits de douane, les importations des autres pays ne sont plus taxées “qu'à” la hauteur de 10%. En face, Pékin répond de manière bien organisée : droits de douane à 125% et des mesures économiques très ciblées. Le pays cherche aussi à conforter ses alliances. Et si la Chine profitait de la crise pour rebattre les cartes de la scène géopolitique et économique mondiale ?Pour en débattre : -Stéphanie Balme, directrice du Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po, professeure à sciences PO, spécialiste de la diplomatie scientifique, de la Chine globale et des relations Chine-US-UE- Benjamin Bürbaumer maître de conférences en sciences économiques au Centre Emile Durkheim/Sciences Po Bordeaux, auteur du livre Chine/Etats-Unis, le capitalisme contre la mondialisation (éditions La Découverte)
C'est aujourd'hui que Donald Trump impose des droits de douanes sans précédents pour "se libérer du joug du reste du monde". Selon le président américain, c'est un "Jour de libération". La Maison Blanche a préparé plusieurs scénarios : soit un taux universel, soit des secteurs plus ciblés. Les pays partenaires comme l'Union européenne ou le Canada ripostent. Ursula Von der Leyen affirme que l'Union européenne a un plan solide. Les marchés de leurs côtés sont fébriles.
durée : 00:03:39 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Un journaliste invité par erreur dans un groupe de discussion sur des informations ultrasensibles : le « Signalgate » fait la une de toute la presse américaine cette semaine. La Maison Blanche minimise l'affaire qui pourrait bien poursuivre longtemps certains membres du gouvernement.
durée : 00:20:12 - Journal de 18h - Kiev demande des "consultations" pour s'accorder sur les "détails" de l'accord.
durée : 00:20:12 - Journal de 18h - Kiev demande des "consultations" pour s'accorder sur les "détails" de l'accord.
Le rédacteur en chef du magazine "The Atlantic", Jeffrey Goldberg, a révélé dans un article publié lundi 24 mars avoir été inclus par erreur dans un groupe de discussion ultraconfidentiel de hauts responsables américains consacré à des frappes contre les rebelles houthistes au Yémen. La Maison Blanche a assuré qu'aucune information confidentielle n'avait été dévoilée. Écoutez l'analyse de Peer de Jong, ancien colonel des troupes de Marine. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le rédacteur en chef du magazine "The Atlantic", Jeffrey Goldberg, a révélé dans un article publié lundi 24 mars avoir été inclus par erreur dans un groupe de discussion ultraconfidentiel de hauts responsables américains consacré à des frappes contre les rebelles houthistes au Yémen. La Maison Blanche a assuré qu'aucune information confidentielle n'avait été dévoilée. Écoutez l'analyse de Peer de Jong, ancien colonel des troupes de Marine. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:01 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Et oui, parmi les mille choses surprenantes, voire un peu aberrantes de la période actuelle, il y en a une qui mérite d'être soulignée : la présence de l'anthropologue, philosophe, historien—il a eu différentes casquettes—René Girard dans la bibliothèque des Trumpistes. - réalisation : Félicie Faugère
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Passe d'armes entre R. Glucksmann et la Maison Blanche G. Darmanin : "Je crains davantage LFI que le RN". Et vous ? Papier toilette lavable : crado ou écolo ?
La Maison Blanche, résidence officielle et bureau du président des États-Unis, tire son nom de son apparence caractéristique, mais son appellation n'a pas toujours été évidente. L'histoire de son nom est liée à son architecture, un incendie majeur et des usages populaires avant d'être officiellement adoptée en 1901.1. Une inspiration architecturale et une première appellation (1792-1800)La construction de la Maison Blanche débute en 1792, sous la présidence de George Washington. L'architecte irlandais James Hoban s'inspire du château de Rastignac, une demeure néoclassique française située en Dordogne, ainsi que du Leinster House de Dublin. Le bâtiment est conçu en grès aquia, une pierre grisâtre extraite en Virginie.Initialement, l'édifice est appelé "Executive Mansion", un terme générique qui désigne les résidences des gouverneurs dans plusieurs États américains.2. L'incendie de 1814 et la reconstruction (1814-1817)Pendant la guerre de 1812, le 24 août 1814, les troupes britanniques envahissent Washington D.C. et incendient plusieurs bâtiments officiels, dont l'Executive Mansion. Après ce saccage, la structure est sévèrement endommagée, et la reconstruction s'étale jusqu'en 1817, sous la présidence de James Monroe.Pour masquer les traces de l'incendie et protéger le grès des intempéries, le bâtiment est recouvert d'une épaisse couche de peinture blanche à base de chaux. Cette caractéristique donne naissance au surnom "White House" ("Maison Blanche"), qui commence à être utilisé par le public.3. L'usage populaire et l'officialisation du nom (1817-1901)Tout au long du XIXe siècle, le terme "White House" devient courant dans le langage populaire et dans la presse, même si le gouvernement continue d'utiliser "Executive Mansion" dans les documents officiels.Finalement, en 1901, le président Theodore Roosevelt officialise le nom en faisant inscrire "The White House" sur la papeterie présidentielle et les documents administratifs. Cette décision vise à unifier les références au bâtiment et à ancrer son identité unique.ConclusionLa Maison Blanche doit son nom à un concours de circonstances historiques et esthétiques : son architecture inspirée du style néoclassique, l'incendie de 1814 et la nécessité de la repeindre en blanc. Ce nom, d'abord un simple surnom, s'est imposé dans l'usage courant avant d'être institutionnalisé par Roosevelt en 1901, devenant ainsi un symbole universel du pouvoir américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 12 mars 2025 : Alexandra de Hoop Scheffer, politologue, spécialiste des relations transatlantiques et internationales, présidente du think tank German Marshall Fund of the United States.Plus de huit heures de "discussions productives". L'Ukraine a affirmé que les négociations mardi avec les États-Unis à Jeddah (Arabie saoudite) avaient débuté de manière "très constructive", avec une proposition de cessez-le-feu partiel. La Maison Blanche a applaudi de son côté des discussions "productives", après huit heures de pourparlers.Les négociateurs ukrainiens sont arrivés à Jeddah avec une proposition de "trêve dans les airs" et "en mer" avec Moscou, avait indiqué lundi à l'AFP un haut responsable ukrainien. Et ce mardi soir, à la fin des réunions, l'offre d'une trêve de 30 jours avec la Russie est sur la table.L'Ukraine "accepte cette proposition" et "est prête pour la paix", a répété le président ukrainien Volodymyr Zelensky sur ses réseaux sociaux. Cependant "la Russie doit montrer si elle est prête à mettre fin à la guerre ou à la poursuivre" a-t-il ajouté. Washington doit donc désormais convaincre le Kremlin d'accepter cette trêve. Le président américain a déclaré dans la soirée qu'il "allait parler à Vladimir Poutine", sans doute cette semaine.En échange de l'accord de l'Ukraine, les États-Unis acceptent de leur côté de lever leurs restrictions, selon la déclaration commune. "Les États-Unis feront savoir à la Russie que la réciprocité russe est la clé de la paix", déclare le communiqué
durée : 00:14:46 - Journal de 8 h - Deux délégations, ukrainienne et américaine, ont rendez-vous en Arabie saoudite ce mardi. Le point dans cette édition avec notre correspondant à Washington.
durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Qui sont les six personnes qui ont pris la décision de geler l'aide militaire à l'Ukraine, après le clash du bureau ovale avec Volodymyr Zelensky ? Leurs profils ont de quoi inquiéter l'Ukraine et l'Europe, qui incarnent à leurs yeux le monde d'hier à abattre.
C'est un bouleversement majeur qui se passe ici aux États-Unis. La Maison-Blanche accepte désormais les influenceurs dans la sacro-sainte salle de presse. D'autre part, la famille et les proches de Donald Trump ont désormais leur propre podcast ou leur propre émission sur Fox News. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
C'est un bouleversement majeur qui se passe ici aux États-Unis. La Maison-Blanche accepte désormais les influenceurs dans la sacro-sainte salle de presse. D'autre part, la famille et les proches de Donald Trump ont désormais leur propre podcast ou leur propre émission sur Fox News. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:05:29 - Le Reportage de la rédaction - Un peu plus d'un mois après le retour au pouvoir de Donald Trump, réactions de partisans de la première heure, d'opposants, de républicains et de démocrates. Témoignages recueillis dans le Maryland et à New York, à quelques heures du discours au Congrès que prononcera Donald Trump.
Une réunion à la Maison-Blanche pour la signature d'un accord sur les minéraux entre les dirigeants des Etats-Unis et de l'Ukraine s'est terminée par un clash vendredi passé. Tout comme de nombreux leaders du monde entier, le Premier ministre australien Anthony Albanese a réaffirmé samedi son soutien à l'Ukraine.
durée : 00:02:54 - Le billet de Sophia Aram - par : Sophia Aram - "Ça ressemble à un cross-over bâclé de 'Hanouna devient chef d'état-major des armées' et 'Les Tuches à l'OTAN'. Alors, je ne voudrais pas divulgacher, mais sans déconner, il n'y a rien qui colle. C'est écrit à la testostérone et au lasso".
Le Congrès américain certifie la victoire de Donald Trump, officialisant son retour à la présidence des États-Unis. Traduction: The U.S. Congress certifies Donald Trump's victory, confirming his return to the presidency. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.