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Pas tout à fait prête physiquement mais brisée mentalement, Nafi Thiam, visage de l'athlétisme belge a abandonné samedi, au milieu d'un heptathlon qu'elle avait certainement déjà perdu aux championnats du monde de Tokyo. C'est la première fois que la triple championne olympique ne termine pas un heptathlon. La faute, surtout, à un conflit larvé avec la fédération. Conflit qui a pourri toute la préparation de Thiam. Pour comprendre ce qu'il s'est passé et les questions que cela pose pour l'avenir, on a appelé Philippe Vande Weyer, notre expert athlé qui est à Tokyo.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Pas tout à fait prête physiquement mais brisée mentalement, Nafi Thiam, visage de l'athlétisme belge a abandonné samedi, au milieu d'un heptathlon qu'elle avait certainement déjà perdu aux championnats du monde de Tokyo. C'est la première fois que la triple championne olympique ne termine pas un heptathlon. La faute, surtout, à un conflit larvé avec la fédération. Conflit qui a pourri toute la préparation de Thiam. Pour comprendre ce qu'il s'est passé et les questions que cela pose pour l'avenir, on a appelé Philippe Vande Weyer, notre expert athlé qui est à Tokyo.
Die Beckhams tun es, die Kaulitz-Brüder auch: Sich in Dokus, Podcasts und Büchern zu seinen Krisen zu bekennen, kommt oft gut an. Wann wird "Misery Porn" zum Problem? Thiam, Boussa; Mesch, Stefan, Baghernejad, Aida www.deutschlandfunkkultur.de, Kompressor
Wat zit er in De 7 vandaag?Steeds minder buitenlandse arbeidskrachten vinden de weg naar België. Hoe komt dat?De Amerikaanse centrale bank verlaagt zoals verwacht de beleidsrente met 25 basispunten en geeft aan dat er nog renteknippen zullen komen. Hoe werd daar op de markten op gereageerd? Onze man heeft dat gevolgd vannacht.En de commerciële twist tussen drievoudig Olympisch kampioene Nafi Thiam en de Belgische atletiekbond blijkt allesbehalve een alleenstaand geval te zijn. Onze expert dook onder in de wereld van dominante sportbonden en zelfbewuste atleten. Host: Bert RymenProductie: Joris VanderpoortenSee omnystudio.com/listener for privacy information.
In deze aflevering van De Enige Show praten Alex en Brian over de start van de Champions League en blikken we vooruit op de spannendste affiches. We gaan ook dieper in op de zaak tussen Nafi Thiam en de Belgische atletiekfederatie, én bespreken waarom Jerry stopt bij Ben & Jerry's.Daarnaast hebben we het over de trend van atleten die in de VS hun eigen podcast starten en Amerikaanse media in het algemeen!
Donald Trump is (voor de tweede keer al!) op staatsbezoek in de UK. Maar er is veel openlijk protest tegen zijn komst. Waarom is dat bezoek zo omstreden? Nafi Thiam ligt op ramkoers met de atletiekfederatie. Wat speelt er precies? En het wereldbekende ijsmerk Ben & Jerry's moet het voortaan zonder Jerry doen. Weke impact kan dat hebben?
Nafi Thiam doet vanaf vrijdag een gooi naar een derde wereldtitel in de zevenkamp. Dat zou van haar de strafste meerkampster aller tijden maken. Maar de voorbereiding verliep allesbehalve vlekkeloos. Thiam weigerde de gedragscode van de federatie te ondertekenen en zegt dat ze onrechtvaardig gestraft wordt voor en tijdens dit WK. "Onzin": zegt de atletiekbond. Kortom, het water is zeer diep tussen beide partijen. Een situatieschets met commentator David Naert en ex-tienkamper Hans Van Alphen.
Notre grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique est Baba Hady Thiam, avocat d'affaires franco-guinéen formé en France et aux États-Unis. Il a travaillé au sein de grands cabinets internationaux avant de fonder Thiam & Associés à Conakry en 2017. Son cabinet, implanté aussi à Abidjan (Côte d'Ivoire), s'est imposé dans les projets structurants dont Simandou, l'un des plus grands gisements de fer au monde dont l'exploitation représente un investissement colossal de 20 milliards de dollars. Conseiller du géant chinois Baowu, Baba Hady Thiam négocie au cœur de ce projet qui redessine la carte minière et économique de la Guinée, entre souveraineté nationale, attractivité pour les investisseurs et bénéfices locaux. Classé en 2024 et 2025 dans le «Top 100 Legal Powerlist» d'Africa Business+, il incarne la montée en puissance des cabinets africains capables de rivaliser avec les grandes firmes internationales. Pour lui, la concurrence est dépassée : l'avenir réside dans les alliances de compétences et le partage de la valeur en Afrique. Au-delà des contrats, Baba Hady Thiam défend une vision : faire du droit un levier de souveraineté, et transformer les ressources naturelles en opportunités tangibles pour les populations. Engagé aussi pour l'éducation et l'entrepreneuriat, il soutient des écoles, forme de jeunes juristes et encourage le retour des talents de la diaspora. Dans cet entretien exclusif accordé à Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), il revient sur son parcours, les coulisses du dossier Simandou, les défis du droit en Afrique, la place des cabinets locaux face aux majors, mais aussi ses engagements personnels comme la promotion de l'entrepreneuriat en Guinée et sa passion pour le sport.
Notre grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique est Baba Hady Thiam, avocat d'affaires franco-guinéen formé en France et aux États-Unis. Il a travaillé au sein de grands cabinets internationaux avant de fonder Thiam & Associés à Conakry en 2017. Son cabinet, implanté aussi à Abidjan (Côte d'Ivoire), s'est imposé dans les projets structurants dont Simandou, l'un des plus grands gisements de fer au monde dont l'exploitation représente un investissement colossal de 20 milliards de dollars. Conseiller du géant chinois Baowu, Baba Hady Thiam négocie au cœur de ce projet qui redessine la carte minière et économique de la Guinée, entre souveraineté nationale, attractivité pour les investisseurs et bénéfices locaux. Classé en 2024 et 2025 dans le «Top 100 Legal Powerlist» d'Africa Business+, il incarne la montée en puissance des cabinets africains capables de rivaliser avec les grandes firmes internationales. Pour lui, la concurrence est dépassée : l'avenir réside dans les alliances de compétences et le partage de la valeur en Afrique. Au-delà des contrats, Baba Hady Thiam défend une vision : faire du droit un levier de souveraineté, et transformer les ressources naturelles en opportunités tangibles pour les populations. Engagé aussi pour l'éducation et l'entrepreneuriat, il soutient des écoles, forme de jeunes juristes et encourage le retour des talents de la diaspora. Dans cet entretien exclusif accordé à Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), il revient sur son parcours, les coulisses du dossier Simandou, les défis du droit en Afrique, la place des cabinets locaux face aux majors, mais aussi ses engagements personnels comme la promotion de l'entrepreneuriat en Guinée et sa passion pour le sport.
Le Conseil constitutionnel ivoirien a définitivement exclu lundi de la course à la présidentielle l'ex-président Laurent Gbagbo et Tidjane Thiam, en raison de leurs radiations de la liste électorale. Le Conseil a retenu cinq candidatures dont celle du chef de l'Etat sortant Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat.
Today I'm bringing you my interview with Cecilia Thiam, a 35-year-old Swiss-American humanitarian aid worker who has spent most of her career living and working in sub-saharan Africa. She lost her job after the Trump administration enacted sweeping cuts to the United States Agency for International Development (USAID). Now, she has had to scrap her plans, move to a new country with her 6-year-old daughter while parenting solo, and re-think her entire career.We spoke on July 10, 2025.This is part of a theme we are pursuing looking at how the Trump administration is affecting people's personal finances. If you know someone who would be a great guest, get in touch at otherpeoplespockets@gmail.com or on Instagram or TikTok at @itsmayamoney. And on LinkedIn!Thank you for supporting this show! Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Côte d'Ivoire is widely regarded as a regional powerhouse amid increased political instability and fragmentation in West Africa. However, the country has also been marked by violent conflicts and repeated bouts of political crisis in recent history. With the October 2025 elections fast approaching, Côte d'Ivoire faces another decisive moment – President Alassane Ouattara has confirmed that he will seek a fourth term, while a slew of prominent opposition figures including former president, Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Charles Blé Goudé, and Guillaume Soro, have been barred from challenging the incumbent at the polls. In this episode, the leader of Côte d'Ivoire's main opposition party, Parti Démocratique de la Côte d'Ivoire — Rassemblement Démocratique Africain, Tidjane Thiam discusses his political aspirations, the hurdles faced in the lead-up to the upcoming elections and the state of Ivorian democracy moving forward. Find out more: Guinea and Côte d'Ivoire: Stumbling Totems of Democracy
Tauben-Memes flattern gerade durch manche Timeline. Das wirft die Frage auf, warum das Netz immer wieder solche Liebe zu Wesen entwickelt, die oft als Ungeziefer verhasst sind. Außerdem geht es im Wochentalk um digitalen "Schweinefraß" in der Musik. Keilbart, Lara; Harrabi, Kais; Thiam, Boussa www.deutschlandfunkkultur.de, Kompressor
Learn how to talk about screen time management. - Phone le seh thilri dangdang tonghthamnak he pehtlai in caan zoh thiam a herhning ning kan cawng hna lai.
Trump gegen Musk, Merz als Randfigur – ein mediales Spektakel der Reichen und Mächtigen. Doch wie wird solcher Reichtum filmisch erzählt? Das zeigen Filme wie "Succession". Weiteres Thema: der Social-Media-Trend "Propaganda I'm not falling for". Thiam, Boussa; Kohout, Annekathrin; Dell, Matthias www.deutschlandfunkkultur.de, Kompressor
La liste électorale a été publiée mercredi 4 juin, et c'est officiel : le nom de l'opposant Tidjane Thiam y est introuvable. En réalité, seule « la confirmation était attendue, » pointe Jeune Afrique, et c'est donc « sans grande surprise » qu'elle a été annoncée, admet Africanews. Sur ce point, la presse est unanime, et L'Observateur Paalga conclut : « on ne voyait pas très bien comment les indésirables d'Abidjan auraient pu se tirer d'affaire. » « Les » indésirables, au pluriel, car Tidjane Thiam n'est pas le seul exclu : ni Laurent Gbagbo, ni Guillaume Soro, ni Charles Blé Goudé n'ont obtenu leur ticket – ces derniers « en raison de leur condamnation judiciaire », rappelle Jeune Afrique. Et quand bien même, ils ont bénéficié d'une grâce présidentielle, seule « une amnistie pleine et entière » les aurait « remis en selle, » précise encore L'Observateur Paalga. Dans le cas de Tidjane Thiam, leader du PDCI, c'est encore un peu différent : lui aussi a « fait face à la rigueur de la justice, » raconte Africanews, cette fois en raison d'une « décision judiciaire qui remet en question sa nationalité ivoirienne au moment de son inscription » sur les listes – puisqu'il disposait à l'époque de la nationalité française.Quelles réactions des intéressés ?Du côté du PDCI, cela ne fait pas un pli, raconte Fraternité Matin : « le parti septuagénaire conteste cette décision, et exige la réintégration immédiate des personnalités concernées. » Mais en réalité, au-delà des prises de parole, la formation n'a plus beaucoup d'options et est même dans « l'impasse judiciaire nationale, » estime JA ; le Pays au Burkina Faso juge carrément que « les carottes sont cuites pour les leaders de l'opposition ». Une révision de la liste électorale étant exclue, un « revirement spectaculaire » du pouvoir étant improbable puisque, tance le journal, le pouvoir « se claquemure dans un silence assourdissant », ne reste qu'une option pointée par Jeune Afrique : « le droit international » et « la saisine du comité des droits humains des Nations unies », déjà annoncée. En plus, bien sûr, des appels à la mobilisation, qui risquent d'aggraver encore « la tension politique croissante » pointée par le magazine.Bref, s'inquiète L'Observateur Paalga, « on se demande si l'on s'achemine une fois de plus vers des élections tumultueuses. » Or, juge Le Pays : « il faut éviter à tout prix de réveiller les vieux démons. La Côte d'Ivoire (…) n'a pas besoin de ça. » Conclusion : « le président Alassane Ouattara doit savoir se montrer bon prince en calmant le jeu. » Le Sénégal s'intéresse à la situation ivoirienneEn témoigne la visite il y a quelques jours du Premier ministre Ousmane Sonko, sur laquelle revient Jeune Afrique. Deux jours de déplacement fin mai, au cours desquels, raconte le magazine, le chef du gouvernement sénégalais a « rend[u] visite à Laurent Gbagbo », avec qui il partage « les mêmes idées souverainistes et panafricanistes » et « estime que les années passées en prison les rapprochent. »En revanche, pointe JA toujours, « le cas de Tidjane Thiam (…) n'a pas été évoqué officiellement ».Il faut dire que le dirigeant sénégalais ne souhaitait pas ternir ses relations avec Alassane Ouattara, « avec lequel il a évoqué le renforcement de l'axe Abidjan-Dakar ». Ce souhait a été répété auprès du premier ministre Robert Beugré Mambé avec qui il a, cette fois, évoqué les nombreux accords de coopération entre les deux pays, et surtout avec qui il a convenu « d'organiser un forum afin de promouvoir les opportunités d'investissements dans leurs pays respectifs ».Chantiers politiques aussi au Sénégal Les chantiers politiques sont également sur le calendrier au Sénégal, avec cinq jours consacrés à un dialogue national sur le système politique. Soit « plusieurs jours d'intenses concertations », qui ont permis, s'enthousiasme Dakar Matin, « d'ouvrir une voie nouvelle pour la refondation du système politique. »À quelques milliers de kilomètres de là, Le Pays est moins dithyrambique, et rappelle que plusieurs partis politiques ont boycotté le dialogue, « dont ils remettent en cause la sincérité » et jugent que « l'organisation est biaisée ». Alors le titre s'interroge : cette initiative « répond-elle à des calculs politiques » ou traduit-elle véritablement « une volonté d'assainir le système » ? Quoi qu'il en soit, toutes les bonnes volontés du monde ne sauraient compenser « l'absence d'acteurs majeurs » qui, déplore Le Pays, « pourrait impacter négativement la portée de ce dialogue qui se voulait (…) celui de la refondation ». Il y a pourtant urgence, s'agace un éditorialiste de Dakar Matin : « les principaux adversaires de la République sont la corruption, l'enrichissement illicite, la haute trahison », contre lesquels la population souhaite que des mesures soient prises. « Jusqu'ici le soutien est immense », mais, prévient cet auteur, c'est un soutien sous conditions : « que les nouveaux gouvernants sachent que le peuple écoute et entend. »
La liste électorale a été publiée mercredi 4 juin, et c'est officiel : le nom de l'opposant Tidjane Thiam y est introuvable. En réalité, seule « la confirmation était attendue, » pointe Jeune Afrique, et c'est donc « sans grande surprise » qu'elle a été annoncée, admet Africanews. Sur ce point, la presse est unanime, et L'Observateur Paalga conclut : « on ne voyait pas très bien comment les indésirables d'Abidjan auraient pu se tirer d'affaire. » « Les » indésirables, au pluriel, car Tidjane Thiam n'est pas le seul exclu : ni Laurent Gbagbo, ni Guillaume Soro, ni Charles Blé Goudé n'ont obtenu leur ticket – ces derniers « en raison de leur condamnation judiciaire », rappelle Jeune Afrique. Et quand bien même, ils ont bénéficié d'une grâce présidentielle, seule « une amnistie pleine et entière » les aurait « remis en selle, » précise encore L'Observateur Paalga. Dans le cas de Tidjane Thiam, leader du PDCI, c'est encore un peu différent : lui aussi a « fait face à la rigueur de la justice, » raconte Africanews, cette fois en raison d'une « décision judiciaire qui remet en question sa nationalité ivoirienne au moment de son inscription » sur les listes – puisqu'il disposait à l'époque de la nationalité française.Quelles réactions des intéressés ?Du côté du PDCI, cela ne fait pas un pli, raconte Fraternité Matin : « le parti septuagénaire conteste cette décision, et exige la réintégration immédiate des personnalités concernées. » Mais en réalité, au-delà des prises de parole, la formation n'a plus beaucoup d'options et est même dans « l'impasse judiciaire nationale, » estime JA ; le Pays au Burkina Faso juge carrément que « les carottes sont cuites pour les leaders de l'opposition ». Une révision de la liste électorale étant exclue, un « revirement spectaculaire » du pouvoir étant improbable puisque, tance le journal, le pouvoir « se claquemure dans un silence assourdissant », ne reste qu'une option pointée par Jeune Afrique : « le droit international » et « la saisine du comité des droits humains des Nations unies », déjà annoncée. En plus, bien sûr, des appels à la mobilisation, qui risquent d'aggraver encore « la tension politique croissante » pointée par le magazine.Bref, s'inquiète L'Observateur Paalga, « on se demande si l'on s'achemine une fois de plus vers des élections tumultueuses. » Or, juge Le Pays : « il faut éviter à tout prix de réveiller les vieux démons. La Côte d'Ivoire (…) n'a pas besoin de ça. » Conclusion : « le président Alassane Ouattara doit savoir se montrer bon prince en calmant le jeu. » Le Sénégal s'intéresse à la situation ivoirienneEn témoigne la visite il y a quelques jours du Premier ministre Ousmane Sonko, sur laquelle revient Jeune Afrique. Deux jours de déplacement fin mai, au cours desquels, raconte le magazine, le chef du gouvernement sénégalais a « rend[u] visite à Laurent Gbagbo », avec qui il partage « les mêmes idées souverainistes et panafricanistes » et « estime que les années passées en prison les rapprochent. »En revanche, pointe JA toujours, « le cas de Tidjane Thiam (…) n'a pas été évoqué officiellement ».Il faut dire que le dirigeant sénégalais ne souhaitait pas ternir ses relations avec Alassane Ouattara, « avec lequel il a évoqué le renforcement de l'axe Abidjan-Dakar ». Ce souhait a été répété auprès du premier ministre Robert Beugré Mambé avec qui il a, cette fois, évoqué les nombreux accords de coopération entre les deux pays, et surtout avec qui il a convenu « d'organiser un forum afin de promouvoir les opportunités d'investissements dans leurs pays respectifs ».Chantiers politiques aussi au Sénégal Les chantiers politiques sont également sur le calendrier au Sénégal, avec cinq jours consacrés à un dialogue national sur le système politique. Soit « plusieurs jours d'intenses concertations », qui ont permis, s'enthousiasme Dakar Matin, « d'ouvrir une voie nouvelle pour la refondation du système politique. »À quelques milliers de kilomètres de là, Le Pays est moins dithyrambique, et rappelle que plusieurs partis politiques ont boycotté le dialogue, « dont ils remettent en cause la sincérité » et jugent que « l'organisation est biaisée ». Alors le titre s'interroge : cette initiative « répond-elle à des calculs politiques » ou traduit-elle véritablement « une volonté d'assainir le système » ? Quoi qu'il en soit, toutes les bonnes volontés du monde ne sauraient compenser « l'absence d'acteurs majeurs » qui, déplore Le Pays, « pourrait impacter négativement la portée de ce dialogue qui se voulait (…) celui de la refondation ». Il y a pourtant urgence, s'agace un éditorialiste de Dakar Matin : « les principaux adversaires de la République sont la corruption, l'enrichissement illicite, la haute trahison », contre lesquels la population souhaite que des mesures soient prises. « Jusqu'ici le soutien est immense », mais, prévient cet auteur, c'est un soutien sous conditions : « que les nouveaux gouvernants sachent que le peuple écoute et entend. »
En Côte d'Ivoire, quatre figures de l'opposition sont exclues de la liste électorale définitive publiée mercredi : l'ex-président Laurent Gbagbo, son ancien bras droit Charles Blé Goudé, l'ancien Premier ministre Guillaume Soro et le président du PDCI, Tidiane Thiam. Ils ne pourront pas se présenter à la présidentielle du 25 octobre, ni voter. La liste ne sera pas révisée car le délai est trop court, selon le président de la commission électorale.
Tidjane Thiam a été élu mercredi à la tête du PDCI, principal parti d'opposition ivoirien, dans une élection où il était seul candidat, deux jours après avoir démissionné de ce poste pour se représenter et mettre fin à une saga judiciaire contestant sa légitimité. Cette élection ne règle toutefois pas la question de son inéligibilité à la présidentielle du 25 octobre en Côte d'Ivoire.
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur le cessez-le-feu entre l'Inde et le Pakistan, la dissolution du PKK et une potentielle rencontre entre Zelensky et Poutine à Istanbul. Côte d'Ivoire : Tidjane Thiam quitte la présidence du PDCI-RDA Tidjane Thiam a renoncé à la présidence du PDCI-RDA alors qu'il fait face à une contestation judiciaire concernant sa nationalité invoirienne. Quel impact cette démission peut-elle avoir sur l'unité et la stratégie du parti d'opposition à l'approche de la présidentielle ? Malgré cette décision, Tidjane Thiam peut-il toujours se présenter à l'élection d'octobre 2025 ?Avec Bineta Diagne, correspondante permanente de RFI à Abidjan. Inde/Pakistan : un possible retour au calme ? Après plusieurs jours d'affrontements, l'Inde et le Pakistan semblent avoir accepté un cessez-le-feu. Comment les États-Unis ont-ils procédé pour trouver un accord de cessez-le-feu entre ces deux pays ? Qu'est-ce qui a favorisé cet accord ? Quelles sont les chances que cette trêve dure sur le long terme ?Avec Charlotte Thomas, chercheuse associée au programme Asie du Sud de Noria. Turquie : après plus de 40 ans de lutte armée, le PKK annonce sa dissolution Quelques mois après l'annonce d'un cessez-le-feu entre le Parti des travailleurs kurdes et les autorités turques, le PKK a annoncé sa dissolution officielle, mettant fin à quatre décennies de lutte armée. Le groupe armé se justifie en annonçant avoir « accompli sa mission historique », mais qu'entend-il par cette déclaration ? Qu'est-ce que le PKK va obtenir en contrepartie de sa dissolution et qu'adviendra-t-il de ses membres ?Avec Nicolas Monceau, maître de conférences en Sciences politiques à Bordeaux. Guerre en Ukraine : vers une rencontre Zelensky/Poutine à Istanbul ? Volodymyr Zelensky a proposé à Vladimir Poutine une rencontre à Istanbul afin de procéder à des négociations « directes ». Le président russe pourrait-il accepter une telle proposition ? Sous quelles conditions cette rencontre pourrait-elle avoir lieu ? Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative.
Présenté comme le principal candidat de l'opposition avant la présidentielle d'octobre en Côte d'Ivoire, Tidjane Thiam a démissionné de la présidence du PDCI-RDA, quelques semaines après sa radiation de la liste électorale. Que vous inspire ce nouveau coup de théâtre ?
C'est par cette formule qu'on pourrait résumer la stratégie de l'opposant ivoirien. Dimanche 11 mai, à 5 mois de la présidentielle, Tidjane Thiam a donc annoncé, contre toute attente, son retrait de la présidence du PDCI-RDA, au profit de son doyen d'âge, Ernest N'Koumo Mobio.« Abandon ou tactique politique réfléchie ? », s'interroge L'Infodrome à Abidjan qui opte pour la seconde hypothèse. En effet, explique L'Infodrome, « l'annonce de l'ancien patron du Crédit Suisse intervient dans un contexte de tension politico-judiciaire dans lequel le PDCI-RDA est entraîné depuis le mois de février dernier ». Il y a la question de son inéligibilité du fait, selon ses détracteurs, de son ex-binationalité franco-ivoirienne. Et il y a aussi et surtout l'action judiciaire intentée, en interne, par Valerie Yapo, ancienne déléguée du parti à Akoupé, qui « conteste la légitimité de Tidjane Thiam à la tête du parti en raison de sa double nationalité au moment de son élection à la présidence du PDCI-RDA. Cette membre du bureau politique réclame notamment la destitution de Tidjane Thiam ainsi que la mise du PDCI-RDA sous administration judiciaire. Le verdict de cette affaire est attendu jeudi 15 mai. C'est donc, en conclut L'Infodrome, dans un objectif de contournement d'une décision de justice qui pourrait lui être préjudiciable que l'ancien ministre et banquier international semble avoir pris les devants ».La stratégie de l'évitementReculer pour mieux sauter donc… WakatSéra nous résume la tactique de Tidjane Thiam : « en rendant son tablier, il évite au PDCI-RDA de tomber dans les mains d'un administrateur provisoire que la justice aurait choisi, si la cadre du parti qui a porté plainte contre lui, gagnait son procès. N'étant plus président, Tidjane Thiam devrait, ainsi, ôter, tout grain à moudre à la justice. Qui plus est, s'étant défait de son statut de citoyen français, il pourra, pour le prochain congrès extraordinaire électif du parti, fixé au pied levé, pour demain mercredi, se représenter et récupérer son fauteuil de président, demeurant le favori incontesté de son parti ». Les poids-lourds hors-jeu…Reste qu'il y a un écueil et de taille dans sa course à la présidentielle : son inéligibilité… Le 22 avril dernier, rappelle Le Monde Afrique, « la justice ivoirienne, invoquant une supposée perte de sa nationalité ivoirienne entre 1987 et 2025, l'a exclu de la liste électorale le rendant de fait inéligible ».D'ailleurs, pointe encore Le Monde Afrique, « à cinq mois de l'élection présidentielle, tous les poids lourds de l'opposition ont pour l'heure été écartés de la course au pouvoir, puisque depuis 2020, Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro ont également été rendus inéligibles à la suite de condamnations judiciaires ».En effet, précise Afrik.com, « écarté Laurent Gbagbo, pour un supposé braquage de la BECEAO, bien que l'institution ait nié avoir été victime ; écarté Guillaume Soro, condamné à perpétuité pour tentative de coup d'État ; écarté Charles Blé Goudé, condamné à 20 ans de prison malgré son acquittement par la Cour pénale internationale. Mais jusque-là, aucune de ces figures de proue de l'opposition ivoirienne ne s'avoue vaincu. Pas plus tard que la semaine dernière, Laurent Gbagbo a même installé un comité chargé de collecter les parrainages comme l'exigent les textes ivoiriens. Comme si de rien n'était ».Le scénario sénégalais ?Pour en revenir à Tidjane Thiam, cette question posée par L'Observateur Paalga au Burkina Faso : va-t-il s'orienter « vers la jurisprudence Pastef ? ». Référence à ce qui s'est passé au Sénégal au sein du Pastef, dont « le président, Ousmane Sonko, frappé d'inéligibilité lors de la dernière présidentielle sénégalaise, s'était éclipsé au profit de son lieutenant, Bassirou Diomaye Faye ».Tidjane Thiam va-t-il suivre cette voie ? Et si oui, avec quel acolyte ? Pas de réponse pour l'instant.Enfin, suspense aussi pour ce qui concerne le président Alassane Ouattara, 83 ans. Au pouvoir depuis 2011, il ne s'est toujours pas prononcé sur une éventuelle candidature. Il a juste affirmé qu'il était « désireux de continuer à servir son pays ».En attendant d'y voir plus clair dans cette course à la présidentielle, conclut Afrik.com, « pour la démocratie ivoirienne, ces événements relancent le débat sur l'indépendance de la justice, la transparence du processus électoral, et l'ouverture du jeu démocratique à une réelle compétition ».
C'est par cette formule qu'on pourrait résumer la stratégie de l'opposant ivoirien. Dimanche 11 mai, à 5 mois de la présidentielle, Tidjane Thiam a donc annoncé, contre toute attente, son retrait de la présidence du PDCI-RDA, au profit de son doyen d'âge, Ernest N'Koumo Mobio.« Abandon ou tactique politique réfléchie ? », s'interroge L'Infodrome à Abidjan qui opte pour la seconde hypothèse. En effet, explique L'Infodrome, « l'annonce de l'ancien patron du Crédit Suisse intervient dans un contexte de tension politico-judiciaire dans lequel le PDCI-RDA est entraîné depuis le mois de février dernier ». Il y a la question de son inéligibilité du fait, selon ses détracteurs, de son ex-binationalité franco-ivoirienne. Et il y a aussi et surtout l'action judiciaire intentée, en interne, par Valerie Yapo, ancienne déléguée du parti à Akoupé, qui « conteste la légitimité de Tidjane Thiam à la tête du parti en raison de sa double nationalité au moment de son élection à la présidence du PDCI-RDA. Cette membre du bureau politique réclame notamment la destitution de Tidjane Thiam ainsi que la mise du PDCI-RDA sous administration judiciaire. Le verdict de cette affaire est attendu jeudi 15 mai. C'est donc, en conclut L'Infodrome, dans un objectif de contournement d'une décision de justice qui pourrait lui être préjudiciable que l'ancien ministre et banquier international semble avoir pris les devants ».La stratégie de l'évitementReculer pour mieux sauter donc… WakatSéra nous résume la tactique de Tidjane Thiam : « en rendant son tablier, il évite au PDCI-RDA de tomber dans les mains d'un administrateur provisoire que la justice aurait choisi, si la cadre du parti qui a porté plainte contre lui, gagnait son procès. N'étant plus président, Tidjane Thiam devrait, ainsi, ôter, tout grain à moudre à la justice. Qui plus est, s'étant défait de son statut de citoyen français, il pourra, pour le prochain congrès extraordinaire électif du parti, fixé au pied levé, pour demain mercredi, se représenter et récupérer son fauteuil de président, demeurant le favori incontesté de son parti ». Les poids-lourds hors-jeu…Reste qu'il y a un écueil et de taille dans sa course à la présidentielle : son inéligibilité… Le 22 avril dernier, rappelle Le Monde Afrique, « la justice ivoirienne, invoquant une supposée perte de sa nationalité ivoirienne entre 1987 et 2025, l'a exclu de la liste électorale le rendant de fait inéligible ».D'ailleurs, pointe encore Le Monde Afrique, « à cinq mois de l'élection présidentielle, tous les poids lourds de l'opposition ont pour l'heure été écartés de la course au pouvoir, puisque depuis 2020, Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro ont également été rendus inéligibles à la suite de condamnations judiciaires ».En effet, précise Afrik.com, « écarté Laurent Gbagbo, pour un supposé braquage de la BECEAO, bien que l'institution ait nié avoir été victime ; écarté Guillaume Soro, condamné à perpétuité pour tentative de coup d'État ; écarté Charles Blé Goudé, condamné à 20 ans de prison malgré son acquittement par la Cour pénale internationale. Mais jusque-là, aucune de ces figures de proue de l'opposition ivoirienne ne s'avoue vaincu. Pas plus tard que la semaine dernière, Laurent Gbagbo a même installé un comité chargé de collecter les parrainages comme l'exigent les textes ivoiriens. Comme si de rien n'était ».Le scénario sénégalais ?Pour en revenir à Tidjane Thiam, cette question posée par L'Observateur Paalga au Burkina Faso : va-t-il s'orienter « vers la jurisprudence Pastef ? ». Référence à ce qui s'est passé au Sénégal au sein du Pastef, dont « le président, Ousmane Sonko, frappé d'inéligibilité lors de la dernière présidentielle sénégalaise, s'était éclipsé au profit de son lieutenant, Bassirou Diomaye Faye ».Tidjane Thiam va-t-il suivre cette voie ? Et si oui, avec quel acolyte ? Pas de réponse pour l'instant.Enfin, suspense aussi pour ce qui concerne le président Alassane Ouattara, 83 ans. Au pouvoir depuis 2011, il ne s'est toujours pas prononcé sur une éventuelle candidature. Il a juste affirmé qu'il était « désireux de continuer à servir son pays ».En attendant d'y voir plus clair dans cette course à la présidentielle, conclut Afrik.com, « pour la démocratie ivoirienne, ces événements relancent le débat sur l'indépendance de la justice, la transparence du processus électoral, et l'ouverture du jeu démocratique à une réelle compétition ».
En Côte d'Ivoire, l'opposant Tidjane Thiam a annoncé démissionner de la présidence du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), principale formation d'opposition, mais devrait se faire réélire dès mercredi lors d'un congrès, pour mettre fin à une saga judiciaire contestant sa légitimité. À moins de six mois du scrutin, le climat politique est tendu en Côte d'Ivoire, où plusieurs opposants de premier plan, dont M. Thiam, ont été déclarés inéligibles.
Müssen Prominente inzwischen immer gleich politische Botschaften transportieren? Die letzte Met-Gala verlangt eine Nachbesprechung. Außerdem gehen wir mit Nadia Shehadeh und Dannis Kogel der Frage nach, ob Serien wirklich immer deprimierender werden. Thiam, Boussa; Kogel, Dennis; Shehade, Nadia www.deutschlandfunkkultur.de, Kompressor
Catherine Byaruhanga, presenter and correspondent for the BBC News Channel, speaks to Tidjane Thiam, the main opposition leader in the Ivory Coast. Mr Thiam is a former CEO of Credit Suisse, with a lengthy and successful career in the financial sector abroad. Now, he wishes to stand for the Ivory Coast presidency - but his candidacy has been blocked by an Ivorian court. It has ruled he cannot run as he was not an Ivorian citizen when he registered on the electoral roll. Tidjane Thiam says the decision is politically motivated, a claim firmly rejected by the government of the Ivory Coast. But he is defending his right to run.Despite years of civil war since the turn of the century, Ivory Coast has a high level of income compared to its neighbours. But Mr Thiam believes more can be done to attract investment and to boost business - and that he has the financial expertise and contacts to make it happen.The Interview brings you conversations with people shaping our world, from all over the world. The best interviews from the BBC. You can listen on the BBC World Service, Mondays and Wednesdays at 0700 GMT. Or you can listen to The Interview as a podcast, out twice a week on BBC Sounds, Apple, Spotify or wherever you get your podcasts.Presenter: Catherine Byaruhanga Producers: Lucy Sheppard, Madeleine Drury Editor: Max DevesonGet in touch with us on email TheInterview@bbc.co.uk and use the hashtag #TheInterviewBBC on social media.
Superheldinnen im Rollstuhl, Comics in Leichter Sprache, Workshops mit Betroffenen: Beim Berliner Festival Comic Invasion ist das Thema Behinderung zentral. Es zeigt, wie Vielfalt gezeichnet und gelebt wird - für mehr gesellschaftliche Teilhabe. Keilbart, Lara; Thiam, Boussa www.deutschlandfunkkultur.de, Kompressor
Die Show vom 28.4. nun auch als Podcast verfügbar! Gäste: Pablo Thiam, Heiko Niedderer, Joachim Hebel, Feliecio, Benjamin Ehresmann - und Tjark Ernst
Good Morning,Nan tho tha hna maw? Tuzing zong morning devotion i hrawm ti dingin kan in sawm hna. A kan hruaitu: Saya Jerry Mang Cem LianTitle: Zeidah Nai Thiam Lai?Lunglawmhnak ngan pi he,CAPT: CEBC Arts Production Team--Music By Peder B. Helland
La bataille juridique autour de la nationalité de Tidjane Thiam est lancée. Les avocats du candidat du PDCI-RDA, dont la justice a ordonné la radiation des listes électorales à six mois de la présidentielle, sont sur le pied de guerre. Leur objectif : prouver que Tidjane Thiam a hérité de la nationalité française de son père et qu'il ne l'a pas acquise par demande de naturalisation. Un détail important, qui lui permettrait de contester sa radiation. Les explications à Abidjan de Julia Guggenheim
Indo French
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur la visite d'Emmanuel Macron à Madagascar et l'impopularité du chancelier allemand. Côte d'Ivoire : la justice exclut Tidjane Thiam de la présidentielle Le Tribunal de première instance d'Abidjan a ordonné la radiation de l'opposant Tidjane Thiam de la liste électorale. Comment la justice ivoirienne justifie-t-elle cette décision ? Pourquoi le président du PDCI dénonce-t-il un « déni de justice » ? Quelles stratégies compte-t-il mettre en place pour contrer cette décision ?Avec Bineta Diagne, correspondante permanente de RFI à Abidjan. Madagascar : la visite d'Emmanuel Macron relance le débat sur les îles Éparses À l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron à Madagascar, la question de la souveraineté des îles Éparses, riches en ressources, refait surface. Ces petites îles françaises de l'océan Indien sont revendiquées par le gouvernement malgache depuis maintenant 70 ans. En quoi la question des îles Éparses est-elle centrale pour la coopération franco-malgache ? Cette visite du président français peut-elle aboutir à faire concrètement évoluer le dossier de la souveraineté de ces îles ?Avec Denys-Sacha Robin, spécialiste en Droit international de la mer à l'Université Paris-Nanterre. Allemagne : l'impopularité du futur chancelier profite à l'extrême droite Selon des sondages, futur chancelier allemand Friedrich Merz fait déjà face à une impopularité qui favorise la montée de l'extrême-droite. Quelles sont les raisons de son impopularité alors qu'il vient à peine d'être élu et qu'il n'a pas encore officiellement succéder à Olaf Scholz ? Cette impopularité croissante pourrait-elle engendrer une nouvelle crise politique dans le pays ?Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme, retour sur les réactions des internautes après la mort du pape François.
Après avoir été élu candidat du PDCI RDA, avec 99 % des voix de son parti, Tidjane Thiam est radié de la liste électorale provisoire après une décision rendue par le Tribunal de première instance d'Abidjan. La juge a estimé que Tidjane Thiam a perdu la nationalité ivoirienne quand il a acquis la nationalité française. Que vous inspire cette décision de justice ? Selon vous, est-elle fondée ? On attend vos réactions !
World news in 7 minutes. Thursday 24th April 2025. Today: Germany Afghan flights. UK Ukraine peace talks. Vatican Pope mourning. Ivory Coast Thiam ruling. S Africa Zondi dies. Vietnam trade agreements. Australia defence spending. Brazil officials suspended. US Weinstein retrial. US Trump Powell relations. Kenyan Kipyegon record. With Juliet MartinSEND7 is supported by our amazing listeners like you.Our supporters get access to the transcripts written by us every day.Our supporters get access to an English worksheet made by us once per week. Our supporters get access to our weekly news quiz made by us once per week. We give 10% of our profit to Effective Altruism charities. You can become a supporter at send7.org/supportContact us at podcast@send7.org or send an audio message at speakpipe.com/send7Please leave a rating on Apple podcasts or Spotify.We don't use AI! Every word is written and recorded by us!Since 2020, SEND7 (Simple English News Daily in 7 minutes) has been telling the most important world news stories in intermediate English. Every day, listen to the most important stories from every part of the world in slow, clear English. Whether you are an intermediate learner trying to improve your advanced, technical and business English, or if you are a native speaker who just wants to hear a summary of world news as fast as possible, join Stephen Devincenzi, Ben Mallett and Juliet Martin every morning. Transcripts, worksheets and our weekly world news quiz are available for our amazing supporters at send7.org. Simple English News Daily is the perfect way to start your day, by practising your listening skills and understanding complicated stories in a simple way. It is also highly valuable for IELTS and TOEFL students. Students, teachers, TEFL teachers, and people with English as a second language, tell us that they use SEND7 because they can learn English through hard topics, but simple grammar. We believe that the best way to improve your spoken English is to immerse yourself in real-life content, such as what our podcast provides. SEND7 covers all news including politics, business, natural events and human rights. Whether it is happening in Europe, Africa, Asia, the Americas or Oceania, you will hear it on SEND7, and you will understand it.For more information visit send7.org/contact or send an email to podcast@send7.org
Coup de tonnerre dans le ciel politique ivoirien : Tidjane Thiam, chef du PDCI-RDA, principal parti d'opposition en Côte d'Ivoire, a été radié de la liste électorale par la justice. Au motif de la perte de sa nationalité ivoirienne, qu'il aurait automatiquement subie en acquérant la nationalité française en 1987. Résultat : l'opposant est empêché de se présenter à l'élection présidentielle prévue le 25 octobre prochain.« À six mois du scrutin, cette décision judiciaire relance les accusations de verrouillage électoral et cristallise les tensions autour du processus démocratique ivoirien », constate Afrik.com.Le site Presse Côte d'Ivoire à Abidjan estime qu'il s'agit là en effet d'un « rebondissement majeur » qui « vient bouleverser le paysage politique ivoirien, (…) dans un contexte de forte tension politique, alors que le retour en Côte d'Ivoire de Tidjane Thiam en 2023 avait relancé les espoirs de nombreux militants du PDCI-RDA, en quête d'une alternance au pouvoir actuel ».Exclusions en cascadeL'intérêt a vivement réagir mardi soir. Tidjane Thiam dénonce une « manœuvre politique » destinée à l'écarter de la course présidentielle, relate le site ivoirien Le Point Sur. « Il accuse directement les militants du parti au pouvoir d'avoir initié ces démarches judiciaires, avec l'appui d'avocats issus du même camp judiciaire, et dans un environnement sous contrôle. (…) Le cas Thiam n'est pas isolé, relève encore Le Point Sur. La liste des grandes figures de l'opposition écartées du processus électoral s'allonge : Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro sont, eux aussi, frappés d'inéligibilité, à la suite de condamnations judiciaires. Ces exclusions en cascade renforcent les inquiétudes sur la transparence du contrôle à venir. (…) Cette série d'expulsions judiciaires pourrait porter atteinte à l'équilibre démocratique du pays et fragiliser la crédibilité du processus électoral. L'absence de pluralité réelle risque de transformer l'élection présidentielle en simple formalité pour le parti au pouvoir. »« Malgré cette décision, Tidjane Thiam affirme ne pas renoncer à sa candidature, rapporte L'Infodrome, autre site d'information ivoirien. « Je suis déterminé à me battre pour que les ivoiriens puissent choisir librement celui ou celle qui doit les diriger parmi les 5 prochaines années », a déclaré Thiam, exhortant la communauté internationale et les amis de la Côte d'Ivoire « à peser de leur poids dans ce sens ».Quelle nationalité ?Cette « question de la nationalité de Tidjane Thiam parasite la campagne depuis plusieurs mois, précise pour sa part Jeune Afrique. Né en Côte d'Ivoire, il avait obtenu la nationalité française en 1987 et y avait renoncé en mars dernier, afin de se présenter à la présidentielle, scrutation pour laquelle un candidat ne peut être binational. Mais ses détracteurs ont étudié l'article 48 du code de la nationalité, qui indique que l'acquisition d'une autre nationalité entraîne la perte de la nationalité ivoirienne. Cette règle ne s'applique pas toutefois aux binationaux de naissance. »« Hier, relève encore Jeune Afrique, les avocats de l'ex-candidat ont fourni des documents à la justice indiquant que leur client était aussi Français de naissance, par son père… en vain. »Le spectre de l'« ivoirité »Cette éviction de Tidjane Thiam est largement commentée dans la presse de la sous-région. « À six mois de la présidentielle ivoirienne, le ciel tombe sur la tête de Tidjane Thiam ! », s'exclame WakatSéra. « Les carottes semblent cuites pour Tidjane Thiam », renchérit Le Pays à Ouagadougou. « Cette décision de justice n'étant pas susceptible de recours, le PDCI-RDA ne devrait pas attendre d'être dos au mur avant de sortir son plan B, (…) de promouvoir subtilement d'autres profils présidentiables auprès des militants et sympathisants. Et ce ne sont pas les hommes méritants qui manquent au sein du parti. »« Côte d'Ivoire : s'achemine-t-on vers un remake de la crise de 2010, s'interroge Ledjely à Conakry. Étrangement, cela nous rappelle le concept d'ivoirité dont curieusement le PDCI était le promoteur contre l'actuel président Alassane Ouattara. C'est à croire que la Côte d'Ivoire n'a jamais rompu avec les vieux démons. En tout cas, dans le cas présent, la manœuvre est évidente, pointe encore le site guinéen. Après les exclusions de Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro, le camp Ouattara cible désormais Tidjane Thiam. L'objectif est clair : baliser le chemin pour le quatrième mandat d'Alassane Ouattara. »
À peine investi à la tête de son parti, le PDCI-RDA, Tidjane Thiam risque de ne pas pouvoir être candidat. La justice, qui a estimé qu'il avait perdu sa nationalité ivoirienne, a ordonné sa radiation de la liste électorale. Tidjane Thiam avait la double nationalité et a renoncé à la citoyenneté française il y a quelques semaines. Mais la décision ferme la porte à sa candidature à la présidentielle du 25 octobre. Tidjane Thiam a dénoncé un "déni de justice indigne d'une démocratie".
Wes Miller has added two massive additions to the Cincinnati Bearcats basketball team. Moustapha Thiam is a 7-foot-2 NBA prospect who had a stellar Freshman season for Central Florida. Jalen Celestine spent last season at Baylor and is a proven shooter at the Big 12 Level. Chuck Walter and Eric Lilly break down what these commits mean. Subscribe to our show on YouTube!
Is this legal?
Join Bailey Adams and Christian Simmons for the 264th episode of the Pegasus Podcast! This week, Bailey and Christian discuss UCF Football's portal situation, observations from the open practice and Men's Basketball's roster reconstruction.The Thiam news breaks in the middle of the podcast. So, enjoy that.
UCF men's basketball lost two huge pieces to the program over the last couple of days. Center Mustapha Thiam, and assistant coach Moustapha Thiam and Mamadou N'Diaye. Tyler breaks down what he's been hearing around their departure and the likelihood that it was a result of tampering.
Ram thumnak ah a um mi kan fa, kan naule nih mirang holh an thiam tluk tein Lai holh, Laica an thiam ve ding hi kan duh bikmi a si tiin, Than Bawm ngeitu Rose nih a chim.
Pour Samuel Eto'o, c'est la « remontada ». Après une année 2024 très éprouvante, l'ancienne star du football camerounais revient en force cette année. Hier, mercredi 12 mars, au Caire, il a été élu au comité exécutif de la CAF, la Confédération africaine de football. Il devient donc l'un des 21 patrons du football africain. Comment a-t-il réussi ? Jusqu'où peut-il aller ? Le journaliste sénégalais Abdoulaye Thiam, qui travaille à Sud Quotidien, préside la section Afrique de l'Association internationale de la presse sportive. En ligne du siège de la CAF, au Caire, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : L'élection de Samuel Eto'o au comité exécutif de la CAF, c'était loin d'être gagné il y a encore une semaine, comment a-t-il réussi finalement ? Abdoulaye Thiam : Écoutez, vous avez parfaitement raison. C'est une très belle « remontada » comme d'ailleurs a l'habitude de faire son ancien club, le FC Barcelone. La vie de Samuel Eto'o fils, comme vous le savez aussi, a été parsemée d'embûches, mais il a toujours su tirer son épingle du jeu. Ce n'était pas facile. Il menait une bataille d'abord contre l'ancien président du comité de normalisation de son pays, Seidou Mbombo Njoya, mais aussi contre le ministre des Sports, mais également contre la Confédération africaine de football qui l'avait déclaré inéligible. Mais Samuel Eto'o étant Samuel Eto'o, il a poursuivi l'affaire jusqu'au TASS qui lui a donné finalement raisonLe TASS, qui lui a donné raison, c'est donc le Tribunal arbitral des sports. Mais en janvier dernier, comme vous l'avez dit, la CAF avait refusé qu'il soit candidat en prétextant « qu'il avait gravement violé les principes d'éthique, d'intégrité et d'esprit sportif en acceptant de devenir l'ambassadeur d'une société de paris sportifs ». Comment a-t-il réussi cette remontada finalement ? C'est tout à fait simple parce qu'il a saisi le TASS, il a amené tous ses dossiers, il a pris de bons avocats, il a défendu son dossier. Le TASS lui a donné raison. Il appartenait à la CAF de prendre une seule mesure, c'est-à-dire d'aller saisir ce qu'on appelle la Cour fédérale suisse. Mais la CAF était obligée, compte tenu de cette situation de fait qui s'imposait à elle, d'accepter cette candidature-là. Et Samuel Eto'o a fini par être élu. Il fallait le voir ici, au Caire, tout souriant, parce qu'il n'avait aucune pression. Il était sûr de passer. Il est passé comme une lettre à la poste.Et il a été élu par acclamation, c'est ça ?Absolument. Il a été élu par acclamation, comme plusieurs autres membres aussi de différentes zones. Et quand ils ont projeté la photo de Samuel Eto'o, effectivement, il y a eu quand même beaucoup plus de salves d'applaudissements comparé aux autres candidats. Donc, il reste toujours populaire, plus populaire même que le président de la Confédération africaine de football. Donc c'est de bonne guerre qu'il y ait une salve d'applaudissements quand on a cité le nom de Samuel Eto'o et surtout quand on a projeté son image au niveau de l'écran géant.Alors, vous l'avez dit, derrière la décision anti Samuel Eto'o du mois de janvier dernier, beaucoup, à tort ou à raison, ont vu la main du ministre camerounais des Sports, Narcisse Mouelle Kombi et du Camerounais qui siégeait jusqu'ici au comité exécutif de la CAF, Seidou Mbombo Njoya. Mais est ce que le président de la CAF, le Sud-Africain Patrice Motsepe lui-même, ne manœuvrait pas lui aussi en coulisse contre Samuel Eto'o ? Je n'irai pas jusque-là. D'autant plus que les organes qui s'occupent de l'éligibilité des candidats sont des organes indépendants. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'au niveau de ces organes, tous, ont déclaré Samuel Eto'o fils inéligible. Toutefois, il a poursuivi donc son combat jusqu'au niveau du Tribunal arbitral des sports. Il a obtenu gain de cause. Aujourd'hui, il est là. Reste à savoir maintenant si dans les quatre prochaines années, il envisagera de briguer la présidence de la Confédération africaine de football et pourquoi pas devenir président, par exemple, là où Michel Platini a échoué à l'Euro ?Oui. Vous dites qu'il peut viser dans quatre ans la succession de Patrice Motsepe ? Pourquoi pas ? Parce que c'est quelqu'un qui a beaucoup d'ambition. Quelqu'un qui est courageux. Beaucoup de gens le pensent ici, dans les coulisses. Samuel Eto'o pourrait être candidat. Pourquoi pas en 2029.Hier, au Caire, ont été élus également les six nouveaux représentants de la CAF au Conseil permanent de la FIFA. Et là, il y a de sacrées surprises, Abdoulaye Thiam ? Absolument. Il y a de sacrées surprises. D'abord, c'est le fait de voir Amaju Melvin Pinnick du Nigeria qui n'a pas été reconduit. Mais la plus grosse surprise, c'est Me Augustin Senghor, premier vice-président de la Confédération africaine de football, qui termine sixième sur six. Sur 53 voix, il n'a pu obtenir que treize. Là quand même, il y avait une grosse surprise, d'autant plus que partout en Afrique, on entend de lui que c'est quelqu'un qui est doté d'une probité intellectuelle et morale sans commune mesure.Est-ce à dire que pour être élu, il faut non seulement avoir un bon programme, mais manœuvrer en coulisse, avec peut-être des méthodes pas toujours orthodoxes ?De toute façon, ce sont des lobbys qui se saisissent de la CAF, de la FIFA, du CIO. Un peu partout, on constate qu'il y a des lobbys. Quand on regardait le dépouillement, on se rendait compte qu'on avait donné une liste à l'avance pour qui voter. Donc il y a trop d'arrangements dans les votes. Mais ça aussi, ce n'est pas l'apanage de la CAF. Je le dis et je le répète, que ça soit à la FIFA, que ça soit au CIO. Et c'est vraiment dommage, parce que la conséquence immédiate c'est qu'Augustin Senghor a remis sa démission à Patrice Motsepe, il ne va plus être premier vice-président de la Confédération africaine de football parce qu'il ne bénéficie plus de la confiance de ses pairs.À lire aussiPatrice Motsepe réélu président de la CAF, Eto'o au comex, Yahya à la Fifa
Join Eric Lopez and Trace Trylko as they debate some of the current topics surrounding UCF Sports. In this episode, the guys discuss what will make this spring camp a success, while also trying to figure out how real the QB competition is for the Knights. Also: basketball begins tourney time, Thiam snubbed, Softball with a BIG win, and what is the crown? Be sure to subscribe to our channel to watch future episodes of Around the Kingdom, with a new drop each week. #goknights Also, check out www.SonsofUCF.com for more UCF coverage Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Vandaag start in het Nederlandse Apeldoorn het EK Indoor Atletiek, een EK zonder Thiam, Vidts en Doom. Drie atleten die we vooraf al konden noteren als zekere medailles, maar die zullen dit jaar dus van andere Belgen moeten komen. Wie zijn de grootste kanshebbers, naar welke internationale toppers is het uitkijken en zal de heisa van de voorbije maanden bij Atletiek Vlaanderen een invloed hebben? We leggen het allemaal voor aan onze commentatoren Eline Berings en David Naert.
Join Eric Lopez and guest host Jeff Allen as they debate some of the current topics surrounding UCF Sports. In this episode, the guys are getting geared up for spring football as they examine the first two months on the job for Scott Frost, and the biggest questions heading into spring camp. Also: Knights take on the combine, Belichick on TV, DJ says goodbye, and Thiam versus Dylan Rizk? Be sure to subscribe to our channel to watch future episodes of Around the Kingdom, with a new drop each week. #goknights Also, check out www.SonsofUCF.com for more UCF coverage Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Ira ? Ira pas ? En Côte d'Ivoire, le président Alassane Ouattara entretient le suspense sur sa candidature ou non à un quatrième mandat à l'élection du 25 octobre prochain. « À la date d'aujourd'hui, je n'ai pas encore pris de décision », a-t-il déclaré jeudi dernier à l'occasion de ses vœux au corps diplomatique. Mais qu'attend-il avant de se décider ? Est-il attentif, par exemple, à ce que va faire l'un de ses principaux adversaires, Tidjane Thiam, qui brigue l'investiture du PDCI ? Arsène Brice Bado enseigne au Cerap, qui est l'université jésuite d'Abidjan. Il livre son analyse au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : « Je suis en pleine santé et désireux de continuer de servir mon pays, mais je n'ai pas encore pris de décision par rapport à la présidentielle de cette année », a dit Alassane Ouattara jeudi dernier. A votre avis, est-ce qu'il va y aller ou pas ? Arsène Brice Bado : D'abord, c'était, disons, une affirmation étonnante parce qu'on s'attendait à autre chose. Là, il jette vraiment l'incertitude sur sa candidature et une incertitude qui semble davantage confirmer le désir d'un quatrième mandat. C'est ce que ça laisse entendre, finalement.Alors beaucoup disent en effet qu'il sera candidat parce qu'il n'y a aucune autre personnalité du parti au pouvoir RHDP qui se dégage pour l'instant. Mais lui-même affirme qu'il y a tout de même une demi-douzaine de candidats virtuels dans son propre camp…Oui, mais on ne voit personne émerger et il faut vraiment du temps pour avoir un candidat qui ferait le consensus. Et je pense que c'est ce qu'il manque. Et finalement, c'est ce qui va le pousser à pouvoir se présenter comme candidat. Parce que la demi-douzaine de candidats, même si on n'a pas les noms, ils ne semblent pas faire l'unanimité. En tout cas, on ne les voit pas.Alors on parle quand même du vice-président Tiémoko Meyliet Koné qui a été gouverneur de la BCEAO ?Oui, c'est vrai, il a un très bon CV, mais pourra-t-il faire l'unanimité du parti ? Apparemment ce n'est pas ce que l'on entend, ce n'est pas ce que l'on voit.On parle du Premier ministre Robert Beugré Mambé ou du président de l'Assemblée nationale Adama Bictogo ?Oui, c'est vrai que ce sont des personnalités possibles. Ils ont des carrures présidentielles. Mais encore une fois, est-ce que ces candidatures pourront avoir l'assentiment de l'ensemble du parti ? Est-ce que le RHDP pourrait s'unifier autour d'un seul candidat par rapport aux différentes rivalités que l'on perçoit par-ci par-là ? Même si ce sont des rivalités encore en sourdine.Et le ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, petit frère d'Alassane Ouattara ? Oui, c'est aussi un nom qui est souvent évoqué. Mais là encore, est-ce qu'il pourrait faire l'unanimité du parti ? C'est ça le problème. Et donc je pense que tous ces candidats, il aurait fallu qu'on les mette en piste très tôt pour leur permettre, effectivement, de pouvoir rassembler et même de pouvoir aboutir à des compromis avec les autres prétendants et de bâtir une unité qui allait permettre au RHDP d'aller aux élections de façon confiante, sans le président Alassane Ouattara.Le retour à Abidjan de l'ancien Premier ministre Patrick Achi comme ministre et conseiller spécial après quelque temps au FMI à Washington, est-ce que ce n'est pas le signe que ça pourrait être lui ? Mais voilà, il y en a qui pensent qu'il serait un très bon candidat, d'autant plus qu'il est du sud. Mais en même temps, on n'est pas très sûr que les élites du nord pourraient accepter une telle candidature.Alors pour vous, le fait qu'il y ait dans l'opposition un poids lourd en la personne de l'ancien ministre Tidjane Thiam qui sera le candidat probable du PDCI, est-ce que c'est une donnée qui va pousser Alassane Ouattara à être candidat ou au contraire à passer la main ? Il y a deux scénarios possibles. Je pense que la candidature forte de Tidjane Thiam peut avoir deux résultats contraires. Cela peut pousser peut-être Ouattara à lâcher prise parce que Tidjane Thiam a pratiquement le même cursus que le président Ouattara. Il a les mêmes connexions à l'international. C'est un technocrate. On a l'impression que c'est celui qui peut poursuivre l'œuvre du président Ouattara. D'un autre côté, ça signifie que le pouvoir va échapper au RHDP. Or, l'histoire récente entre le RHDP et le PDCI est une histoire mouvementée. Il y a pas mal de rancœurs de part et d'autre. Et que le pouvoir puisse passer à Thiam, je ne suis pas sûr que les élites du RHDP seront prêtes à ce changement.Voulez-vous dire qu'Alassane Ouattara attend de voir quelle tournure va prendre la convention du PDCI qui va investir Tidjane Thiam avant de prendre sa décision lui-même ? Je pense que c'est un élément important si jamais il veut se présenter et ne pas attendre. Mais à mon sens, c'est un élément important. Le candidat que va choisir le PDCI, cela va influencer, cela aura certainement des conséquences sur la candidature présidentielle du RHDP.Et si Tidjane Thiam est investi avec beaucoup de voix, avec beaucoup d'enthousiasme au sein du PDCI, du coup, là, vous pensez qu'Alassane Ouattara ira au combat. C'est ça ? Oui, pour conserver le pouvoir au RHDP. Il y a vraiment des rancunes tenaces entre les deux partis. Mais le président Ouattara est suffisamment fort. Je crois qu'il a les cartes entre les mains. Il peut imposer le rythme dans son parti.
On this week's episode we are joined by Ndioro Thiam, a multi-talented individual excelling in both the arts and engineering. From her journey as an automotive engineer to her blossoming career as a painter, writer, and creative director, Ndioro shares insights into her path towards self-awareness and the harmonious balance between technical precision and artistic expression. Discover how Ndioro navigates challenges, expresses themes of self-awareness in her creative work, and finds inspiration through the intersection of engineering and the arts. Tune in for a thought-provoking conversation on creativity, self-discovery, and the power of embracing one's true passions.More about Ndioro!Ndioro Thiam is a Senegalese woman residing in Paris. Having completed a degree in electronics, computer science, and advanced systems, she has spent eight years working in the automotive engineering field. Throughout her journey, she discovered her deep-seated desire to pursue her passion for art. This realization led her to begin painting and storytelling, eventually culminating in the creation of a podcast centered on self-development and spirituality. Subsequently, Ndioro founded SHELT Paris, a creative hub aimed at fostering connections between individuals and facilitating self-discovery. Currently, she continues to navigate her dual roles as both an artist and an engineer, striving to inspire others and create meaningful events and connections.Connect with Ndioro!Instagram https://www.instagram.com/ndioro__/?hl=enTikTok https://www.tiktok.com/@ndioro_Podcast https://podcasters.spotify.com/pod/show/afiyah-talkConnect with Brianna!Instagram: @mombossinaustinLinkedIn: linkedin.com/in/briannademikeFollow the Podcast on Instagram: @badassbasicbitchLove the podcast? We would love if you would leave a review!Thank you to this week's sponsors!Babbel: Get 55% off at Babbel.com/BBBAir Doctor: Head to airdoctorpro.com and use promo code BBB, you'll receive UP TO $300 off air purifiers!
WMAL GUEST: 6:35 AM - INTERVIEW - BRENDA THIAM - discussed her run for running for MD-6 WEBSITE: https://www.brendathiam.com/ Former MD Delegate, Special education teacher and Founder, Adults with Autism Brenda Thiam is a former member of the Maryland House of Delegates from District 2B from 2020 to 2023. A member of the Republican Party, she is the first Black Republican woman to serve in the Maryland General Assembly. ABOUT BRENDA: https://www.brendathiam.com/about/ Where to find more about WMAL's morning show: Follow the Show Podcasts on Apple podcasts, Audible and Spotify. Follow WMAL's "O'Connor and Company" on X: @WMALDC, @LarryOConnor, @Jgunlock, @patricepinkfile and @heatherhunterdc. Facebook: WMALDC and Larry O'Connor Instagram: WMALDC Show Website: https://www.wmal.com/oconnor-company/ How to listen live weekdays from 5 to 9 AM: https://www.wmal.com/listenlive/ Episode: Friday, March 22, 2024 / 6 AM Hour O'Connor and Company is proudly presented by Veritas AcademySee omnystudio.com/listener for privacy information.
In the 6 AM Hour: Larry O'Connor and Patrice Onwuka discussed: WMAL GUEST: 6:05 AM - INTERVIEW - Jon Schweppe, Director of Policy & Government Affairs for the American Principles Project, Congress set to vote on spending package to avert shutdown WMAL GUEST: 6:35 AM - INTERVIEW - BRENDA THIAM - running for MD-6 WEBSITE: https://www.brendathiam.com/ Where to find more about WMAL's morning show: Follow the Show Podcasts on Apple podcasts, Audible and Spotify. Follow WMAL's "O'Connor and Company" on X: @WMALDC, @LarryOConnor, @Jgunlock, @patricepinkfile and @heatherhunterdc. Facebook: WMALDC and Larry O'Connor Instagram: WMALDC Show Website: https://www.wmal.com/oconnor-company/ How to listen live weekdays from 5 to 9 AM: https://www.wmal.com/listenlive/ Episode: Friday, March 22, 2024 / 6 AM Hour O'Connor and Company is proudly presented by Veritas AcademySee omnystudio.com/listener for privacy information.