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Guy Balavoine (frère de Daniel Balavoine) pour le spectacle "Balavoine, ma bataille”.Les vendredi et samedi à 20h sur France 5, Mohammed Bouhafsi et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Nos invités de la deuxième partie de C à Vous du vendredi 21 novembre 2025:
Dans ce podcast inédit, Vitaa se confie au micro de RTL avant son passage dans l'émission ! L'occasion d'en apprendre un peu plus sur eux, leurs projets et leurs souvenirs de l'émission "Les Grosses Têtes". Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : Guy Balavoine et Alain Pewzner, pour le spectacle Musical "Balavoine, ma bataille" au Dôme de Paris le 22/01 et en tournée Extraits en live : Roland Karl, Antoine Wend, Nour et Florence François Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entouré de ses chroniqueurs et d'Anissa Haddadi, Thomas Isle reçoit celles et ceux qui font l'actualité culturelle et médiatique : dirigeants de chaînes, producteurs, animateurs, journalistes, chanteurs, acteurs, etc. Les auditeurs retrouvent "leurs indispensables" avec les signatures de la station. Une émission de 1h30 enrichie de débats autour des questions médiatiques, d'un jeu interactif et de nouvelles séquences donnant la parole aux auditeurs. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entouré de ses chroniqueurs et d'Anissa Haddadi, Thomas Isle reçoit celles et ceux qui font l'actualité culturelle et médiatique : dirigeants de chaînes, producteurs, animateurs, journalistes, chanteurs, acteurs, etc. Les auditeurs retrouvent "leurs indispensables" avec les signatures de la station. Une émission de 1h30 enrichie de débats autour des questions médiatiques, d'un jeu interactif et de nouvelles séquences donnant la parole aux auditeurs. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Dans cet épisode, Mathieu Alterman rend hommage à Daniel Balavoine, chanteur français disparu prématurément en 1986. Il revient sur le dernier album de l'artiste, "Sauver l'amour", sorti il y a 40 ans et considéré comme son chef-d'œuvre. Balavoine y explore des sonorités avant-gardistes, tout en abordant des thèmes profonds et universels, comme l'engagement social et la foi en l'être humain. Sa voix puissante et habitée a marqué le public, faisant de lui une figure mythique de la chanson française des années 80. Bien qu'il n'ait pas connu la gloire de son vivant, son talent et son héritage artistique en font aujourd'hui une icône incontournable.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Mathieu Alterman rend hommage à Daniel Balavoine, chanteur français disparu prématurément en 1986. Il revient sur le dernier album de l'artiste, "Sauver l'amour", sorti il y a 40 ans et considéré comme son chef-d'œuvre. Balavoine y explore des sonorités avant-gardistes, tout en abordant des thèmes profonds et universels, comme l'engagement social et la foi en l'être humain. Sa voix puissante et habitée a marqué le public, faisant de lui une figure mythique de la chanson française des années 80. Bien qu'il n'ait pas connu la gloire de son vivant, son talent et son héritage artistique en font aujourd'hui une icône incontournable.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les élèves du lycée de Balavoine de Bois-Colombes ont vu la pièce "Domoun" de la compagnie Karanbolaz au théâtre de l'Avant-Seine et ils ont réalisé leurs propres émissions de radio autour de la pièce. "Domoun" raconte l'histoire des "Enfants de la Creuse". Plus de 2000 enfants nés à La Réunion ont été arrachés à leurs familles et déplacé dans des départements ruraux de la métropole entre 1962 et 1984. Ce transfert forcé a été orchestré par le gouvernement français et sous l'autorité de Michel Debré, alors député de la Réunion. *** LA RESPONSABILITE DE L'ETAT FRANCAIS Dans cette émission présentée par Ousmane, la chronique de Jérémy revient sur le racisme au cœur de l'affaire des "Enfants de la Creuse". Mahmoud présente les choix musicaux qu'il aurait fait s'il avait été metteur en scène. Pour finir, Kamran interviewe Diems sur son expérience de spectateur lors de la représentation de la pièce "Domoun".Maxime a réalisé l'émission. Musique : Kerry James - Banlieusards *** ANTENNE BALAVOINE Cette deuxième émission est présentée par Jade. L'émission débute avec la chronique d'Anne-Victoire qui présente la pièce "Domoun". Puis, Mohamed interviewe Inès et Sofia partagent leurs retours sur la pièce. Cette émission est réalisée par Chanciel-Océane. Musique : Gradur & L2B - Congolaise *** Un atelier radio "A vous les studios", en partenariat avec le théâtre de Colombes, l'Avant Seine, animé le 10 octobre 2025 par Margot Page et Rosalie Berne.
Plongez dans l'histoire de l'un des plus grands succès de Daniel Balavoine : « L'Aziza »
Voilà bientôt 40 ans que Daniel Balavoine nous a quitté dans un accident d'avion lors du Paris-Dakar. Le spectacle "Balavoine, ma bataille" lui rend hommage, conviant sur scène ses proches (son frère, ses anciens musiciens) et 7 chanteurs de la nouvelle génération, issus de télécrochets. Daniel Balavoine leur manque énormément. Chacun se souvient de l'artiste hors pair, qui a écrit "Le chanteur" en une heure, travaillait sans arrêt, misait tout sur la précision - c'est le mot qui revient le plus - et de l'homme engagé, intelligent et drôle. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Marie Gicquel du 30 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le spectacle "Balavoine, ma bataille", en partenariat avec RTL, débutera le 25 septembre avec les le bassiste historique de Daniel Balavoine, Christian Padovan, son frère Guy Balavoine qui est choriste, et deux vainqueurs de "The Voice", Nour (2022) et Adrien (2023). Ecoutez L'invité de 9h40 avec Stéphane Carpentier du 08 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le spectacle "Balavoine, ma bataille", en partenariat avec RTL, débutera le 25 septembre avec les le bassiste historique de Daniel Balavoine, Christian Padovan, son frère Guy Balavoine qui est choriste, et deux vainqueurs de "The Voice", Nour (2022) et Adrien (2023). Ecoutez L'invité de 9h40 avec Stéphane Carpentier du 08 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Régulièrement dans Culture médias, Thomas Isle nous fait découvrir ses coups de coeur musicaux. Ce jeudi, Christian Zenati de la troupe Légende Balavoine offre un live du titre "Le chanteur" aux auditeurs d'Europe 1. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entouré de ses chroniqueurs et d'Anissa Haddadi, Thomas Isle reçoit celles et ceux qui font l'actualité culturelle et médiatique : dirigeants de chaînes, producteurs, animateurs, journalistes, chanteurs, acteurs, etc. Les auditeurs retrouvent "leurs indispensables" avec les signatures de la station. Une émission de 1h30 enrichie de débats autour des questions médiatiques, d'un jeu interactif et de nouvelles séquences donnant la parole aux auditeurs. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entouré de ses chroniqueurs et d'Anissa Haddadi, Thomas Isle reçoit celles et ceux qui font l'actualité culturelle et médiatique : dirigeants de chaînes, producteurs, animateurs, journalistes, chanteurs, acteurs, etc. Les auditeurs retrouvent "leurs indispensables" avec les signatures de la station. Une émission de 1h30 enrichie de débats autour des questions médiatiques, d'un jeu interactif et de nouvelles séquences donnant la parole aux auditeurs. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À dos d'âne... voilà comment Jésus entre à Jérusalem, acclamé comme un roi par une foule en liesse ! Pourquoi l'âne est-il un détail important de cette scène ? Que célèbrent les chrétiens lors du « dimanche des rameaux » ? Quel est le rapport avec Pâques ? Réponse avec Shrek, Balavoine, Michael Manya, Franz Schubert et Gabriel Fauré !Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme le disais Balavoine, nous ne sommes pas des héros, parfois, malgré toute notre bonne volonté, il arrive que des jeux aient raison de nous… Mais ce n'est pas un drame, aujourd'hui tentons de comprendre comment et pourquoi certains jeux nous ont fait lâcher le pad !
Les élèves du Lycée Balavoine de Bois-Colombes ont enregistré deux émissions autour de la pièce On ne paie pas! On ne paie pas, mise en scène par Bernard Levy et jouée au théâtre de l'Avant-Seine à Colombes. Écrite par Dario Fo et Franca Rame dans les années 1970, ses thématiques sociales font d'elle une pièce encore très actuelle. Émission 1 : Les zinzins de l'espace du 92 Cette émission est présentée par Jordan. Dans une première partie, Yacine a interviewé Louay sur son expérience de spectateur au théâtre de l'Avant-Seine. L'occasion de revenir sur la pièce et sur son propre rapport au théâtre. Dans une seconde partie, Enzo et Adjilane ont organisé un débat sur la question morale soulevée dans la pièce : le vol peut-il être justifié en période de crise économique ? Présentateur : Jordan Journalistes : Yacine, Enzo, Adjilane Invité : Louay Réalisateur : Soufiane Musique : IA - Timar Émission 2 : BLV Cette émission spéciale est présentée par Emerik. Dans un premier temps, la chroniqueuse Coumba a résumé et analysé les grandes thématiques de la pièce : la lutte des classes, la révolte populaire et la solidarité entre les femmes du quartier. Ensuite, la journaliste Lyna a reçu Matenin pour qu'il partage son vécu de spectateur et son analyse critique de la pièce. Nathanaël a complété le programme avec une chronique économique sur l'inflation, mise en perspective avec la pièce : quels sont ses mécanismes et ses conséquences sociales ? Présentateur : Emerik Chroniqueuse : Coumba Journalistes : Lyna, Nathanaël Invité : Matenin Réalisateur : Joan Musique : Last last - Burna Boy Cette émission a été réalisée dans le cadre d'un atelier radio animé par Rosalie Berne et Zoé Neboit à Radio Campus Paris le 6 mars 2025, en partenariat avec le théâtre de l'Avant-Seine.
Les élèves du Lycée Balavoine de Bois-Colombes ont enregistré deux émissions autour de la pièce On ne paie pas! On ne paie pas, mise en scène par Bernard Levy et jouée au théâtre de l'Avant-Seine à Colombes. Écrite par Dario Fo et Franca Rame dans les années 1970, ses thématiques sociales font d'elle une pièce encore très actuelle. Émission 1 : Les zinzins de l'espace du 92 Cette émission est présentée par Jordan. Dans une première partie, Yacine a interviewé Louay sur son expérience de spectateur au théâtre de l'Avant-Seine. L'occasion de revenir sur la pièce et sur son propre rapport au théâtre. Dans une seconde partie, Enzo et Adjilane ont organisé un débat sur la question morale soulevée dans la pièce : le vol peut-il être justifié en période de crise économique ? Présentateur : Jordan Journalistes : Yacine, Enzo, Adjilane Invité : Louay Réalisateur : Soufiane Musique : IA - Timar Émission 2 : BLV Cette émission spéciale est présentée par Emerik. Dans un premier temps, la chroniqueuse Coumba a résumé et analysé les grandes thématiques de la pièce : la lutte des classes, la révolte populaire et la solidarité entre les femmes du quartier. Ensuite, la journaliste Lyna a reçu Matenin pour qu'il partage son vécu de spectateur et son analyse critique de la pièce. Nathanaël a complété le programme avec une chronique économique sur l'inflation, mise en perspective avec la pièce : quels sont ses mécanismes et ses conséquences sociales ? Présentateur : Emerik Chroniqueuse : Coumba Journalistes : Lyna, Nathanaël Invité : Matenin Réalisateur : Joan Musique : Last last - Burna Boy Cette émission a été réalisée dans le cadre d'un atelier radio animé par Rosalie Berne et Zoé Neboit à Radio Campus Paris le 6 mars 2025, en partenariat avec le théâtre de l'Avant-Seine.
« Quand ils le jugent nécessaire Les outre-mondes font craquer l'air Étincelles d'une matrice sentiente Portails vers un autre monde Avant que les intoxiqués ne deviennent intoxicateurs Dans un engrenage ordonné Avant que tous ne donnent des ordres Qui nous désordonneront pour toujours Partons » Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Je me souviens à la rentrée 1978 quand on chantait dans les couloirs du collège Le chanteur de Daniel Balavoine, on croyait du haut de nos 16 ans que c'était un génial nouveau venu, encore un ! Pourtant, comme son camarade Alain Bashung, on l'avait vu pas mal de fois ces dernières années dans des émissions de télé. Mais allez savoir pourquoi, pas son heure, sans doute, on ne l'avait pas imprimé.Mais il n'y a pas que nous. Ainsi regardant distraitement une émission de Guy Lux, LE grand producteur animateur de télé, France Gall et Michel Berger sont soudain cloués sur le plancher de leur domicile quand ils voient un gars aux longs cheveux se planter derrière le micro et envoyer une voix puissante , aiguë mais large. C'est du jamais entendu ! Voilà le gars qu'il nous faut pour Starmania ! Un an plus tard, en octobre 1978, si Daniel Balavoine interprète quatre titres sur l'album dont deux vont devenir légendaires, ce n'est pas ça qui va rend enfin célèbre. En effet, quelques semaines plus tôt, malgré de sérieux doutes, Balavoine a réussi à sortir un troisième chez Barclay. Quand je dis sérieux doute, c'est un euphémisme, Barclay en personne lui a dit lors d'un déjeuner : ce sera le dernier, j'arrête les frais. Balavoine proteste mais Barclay conclut par cette phrase : si t'en vend plus de 100.000, j'te taille une pipe.Un demi-million d'albums vendus plus tard, Balavoine recroisant Barclay dans les coulisses de l'Olympia qu'il enchaîne après un Palais des Sports triomphal avec Starmania, il ne manquera pas de lui dire : Alors Eddie, et cette petite pipe ? Une autre époque !Mais que s'est-il passé ? Et bien, un miracle. Car en effet, le single que Barclay présente aux radios en juin 1978 n'est pas un succès garanti … C'est joli mais c'est pas un tube ! Et la Face B ? se dit la programmatrice d'une grande radio périphérique. Et là, la foudre lui tombe dessus : la musique, les paroles, l'interprète, ça, c'est pas banal. Ça commence comme une chanson légère mais ce n'est pas du tout ça. Elle fait face aux réticences et l'incrédulité de beaucoup d'animateurs vedettes qui trouvent que la voix singulière de Balavoine est un problème. Elle tient bon et le disque passe tous les jours. Balavoine l'a écrite comme ça, en une heure, en pensant à Barclay, justement. Car en plus de la tirade de la pipe, Daniel a appris que Barclay ne croyait pas en lui parce qu'il n'était pas beau et qu'il avait une voix de pédé. Alors il avait tiré en une fois ce texte sur ce monde du showbizness. Curieux que ce titre soit celui qui fasse de Balavoine la nouvelle vedette de la chanson comme Je me voyais déjà pour Aznavour, près de vingt ans plus tôt. On ne parle plus que Balavoine, de sa voix bizarre, de ses cris et de sa grande gueule qu'on commence à entendre. Ce n'est pas un chanteur de variétés comme les autres, c'est certain, il a de très nombreux jeunes fans mais à la différence des Britanniques, il refuse son statut de héros. Il le chante même, pour ceux qui n'auraient pas compris. A moins qu'il n'incarne un personnage…
Qui se souvient des concerts de Daniel Balavoine à la fin des années 70 et dans les années 80 ? De tous ces jeunes ados avec le T-Shirt trempé de sueur aux premiers rangs, tellement ça a bougé, tellement ça a chanté, serré comme des sardines pour être au plus près de lui. Car oui, à la différence de ce qu'on verra bientôt pour Goldman puis Bruel, il y a autant de garçons que de filles. Il y a, à cette époque, un mystère Balavoine : il n'est ni variété, ni vraiment rock mais ces deux genres à la fois qui vivent pourtant en vase clos, aussi bien côté artiste que côté public. Mais à force de dire que son truc, c'est le rock'n'roll, Balavoine finit par entrer dans ce milieu. Il paraît même qu'il a rencontré Peter Gabriel, le sommet de la branchitude, et qu'ils auraient convenu de travailler ensemble sur un album de Daniel.Oui, Balavoine est devenu le héros d'une jeunesse française qui quinze ans après le mouvement étudiant se construit plus que jamais un monde en dehors de celui des adultes. Des ados qui se partagent entre l'école, leur bande et une chambre dans laquelle ils créent leur propre univers fait de disques, de posters au mur, de magazines jeunes et bien sûr, une sono qui envoie les décibels à fond de balle. Et croyez-moi, la voix puissante et aiguë de Balavoine à 100 décibels, ça énerve les parents et les voisins. En plus, il ne déçoit jamais le Daniel comme cette fois où au journal d'Antenne 2 que les parents imposent à table à leur progéniture, voilà qu'il se relève et menace de quitter le plateau, avant d'envoyer une solide tirade anti système où il prévient tout le monde que si ça continue comme ça, tout va péter avec la jeunesse. Et c'est vrai que les adultes ne semblent pas prendre la mesure de ce qui se passe. Ils n'écoutent pas les textes des chansons hurlées par le groupe Trust et sont choqués par la grossièreté des vannes de Coluche et Renaud. En fait, le seul de la bande à déborder vraiment sur le monde gentil de la variété à la télévision, chez Drucker, Guy Lux et Chanson à la Carte, c'est Daniel Balavoine. Probablement parce qu'il y est entré par la case Eurovision (il était le compagnon de Catherine Ferry), Eddie Barclay et surtout ses amis France Gall et Michel Berger. Mais là encore, ce n'est pas un hasard s'il interprète le loubard Johnny Rockfort, le gars qui fait peur avec son blouson noir, le couteau en poche et la bouteille qu'il casse au moindre regard de travers.L'émission de variété qu'il présente d'ailleurs en 1981, intitulée Tout nouveau, tout beau, est tellement inattendue qu'elle ne connaîtra qu'un seul numéro. Non, Balavoine, ce n'est pas Johnny Hallyday, c'est un tout autre esprit rock, celui de la génération suivante, sans doute la raison pour laquelle Johnny n'a pas chanté son Je ne suis pas un héros. Les années 80 n'ont décidément rien de commun avec les précédentes, portées et suivies par une génération qui ne ressemble à rien de ce qu'on a connu. Des années surprenantes, comme lui. Le destin a voulu qu'il s'y inscrive pour l'éternité, probablement la raison pour laquelle Balavoine influence tellement la génération actuelle, quarante ans plus tard.
En 1983, les murs de Forest National ont vraiment été le théâtre de moments légendaires que notre modestie belge ne met que trop rarement sous le feu des projecteurs. Au printemps, c'est en effet là que débute la fameuse tournée mondiale de David Bowie portée par son tube Let's Dance. Oui, c'est là qu'ont lieu les dernières répétitions, la mise en place et la générale de ce qui va faire de lui une des plus grandes stars de la fin du XX° siècle. Et quelques semaines plus tard, le lieu, gigantesque, est occupé pour tout autre chose puisque Daniel Balavoine y tourne un clip vidéo. Pas en concert, non, il se sert du plateau, du parterre, des loges et de ses couloirs pour le décor de sa nouvelle chanson, Pour la femme veuve qui s'éveille. Ceux qui connaissent bien les coulisses de la salle bruxelloise reconnaîtront sans peine les briques nues de béton du couloir des loges où s'arrête le chanteur, découvrant la misère du monde dans chacune d'elles.Oui, le Daniel Balavoine qu'on a connu chanteur dénonçant le showbiz, le fossé des générations, les problèmes sociaux de la France en crise est désormais bien loin des drames de notre époque moderne. Vous le savez, fan de sport mécanique, il participe à la course à étapes la plus dingue qu'on ait jamais osé monter : le Paris Dakar. Mais victime d'une panne mécanique, suivant la course avec la caravane, il n'a pas les yeux rivés sur la route mais sur le paysage et les villages qu'il traverse. Et là, comme il le dira, quand on voit un môme à quatre pattes, ramasser des mouches pour les manger, il n'y a plus rien à dire. Rien d'étonnant donc que son nouvel album s'intitule Loin des yeux de l'occident avec une pochette qui ne laisse aucun doute sur son contenu activiste et tiers mondiste. Est-ce la fascination pour la musique new wave qui domine alors le monde de la création musicale, l'album est enregistré dans le sud de l'Angleterre mais aussi sur les hauteurs du Loch Ness, en Ecosse. Daniel n'y débarque pas seul mais avec son ami Andy Scott, le plus parisien des ingénieurs du son britanniques, avec qui il travaille depuis des années.Le studio installé dans un château où loge toute l'équipe, Daniel se retrouve tel un Elton John au début des années 70, donnant toute la mesure de son génie avec son groupe dans le château d'Hérouville près de Paris. En clair, le travail se fait en toute décontraction mais sans aucune contrainte horaire, et surtout sans visite impromptue d'une kyrielle d'amis et connaissances qui vient briser la concentration. Et c'est vrai qu'outillé en synthétiseurs comme Peter Gabriel, Simple Minds ou Kate Bush à la même époque, Daniel Balavoine y produit ce qui est le disque français le plus branché et novateur du moment. Le résultat est une véritable merveille, qui se vend nettement moins que le précédent album, preuve qu'il se trouve, en effet, loin des préoccupations de l'occident et de ses fans. Mais il l'est, il faut le dire, avec une avance sur les autres car dans un an, un reportage télé va frapper la Grande-Bretagne et susciter la création du Band Aid. Oui, tous ces artistes New Wave dont Balavoine s'inspire musicalement ont un an de retard sur lui. Balavoine se retrouvera totalement en phase avec la scène mondiale avec l'album suivant, Sauver L'Amour, avec L'Aziza.
Je vais vous parler d'un temps que beaucoup n'ont pas connu, celui des émissions des Variétés. Oui, ces émissions où les gens venaient pour chanter à la télé et rien d'autre. Et vous allez encore moins me croire mais il y en avait presque tous les soirs, des émissions avec des variétoches. En fait, il y avait des chanteurs quasiment à toute heure. C'est ainsi que, regardant distraitement une émission de Guy Lux, LE grand producteur animateur de télé, France Gall et Michel Berger sont soudain cloués sur le plancher de leur domicile quand ils voient un gars aux longs cheveux se planter derrière le micro et envoyer une voix puissante , aiguë mais large. C'est du jamais entendu ! Voilà le gars qu'il nous faut pour Starmania !Un an plus tard, en octobre 1978, si Daniel Balavoine interprète quatre titres sur l'album dont deux vont devenir légendaires, ce n'est pas ça qui va rend enfin célèbre. En effet, quelques semaines plus tôt, malgré de sérieux doutes, Balavoine a réussi à sortir un troisième chez Barclay. Quand je dis sérieux doute, c'est un euphémisme, Barclay en personne lui a dit lors d'un déjeuner : ce sera le dernier, j'arrête les frais. Balavoine proteste mais Barclay conclut par cette phrase : si t'en vend plus de 100.000, j'te taille une pipe. Un demi-million d'albums vendus plus tard, Balavoine recroisant Barclay dans les coulisses de l'Olympia qu'il enchaîne après un Palais des Sports triomphal avec Starmania, il ne manquera pas de lui dire : Alors Eddie, et cette petite pipe ? Une autre époque !Mais que s'est-il passé ? Et bien, un miracle. Car en effet, le single que Barclay présente aux radios en juin 1978 n'est pas un succès garanti … C'est joli mais c'est pas un tube ! Et la Face B ? se dit la programmatrice d'une grande radio périphérique. Et là, la foudre lui tombe dessus : la musique, les paroles, l'interprète, ça, c'est pas banal. Ça commence comme une chanson légère mais ce n'est pas du tout ça. Elle fait face aux réticences et l'incrédulité de beaucoup d'animateurs vedettes qui trouvent que la voix singulière de Balavoine est un problème. Elle tient bon et le disque passe tous les jours. Balavoine l'a écrite comme ça, en une heure, en pensant à Barclay, justement. Car en plus de la tirade de la pipe, Daniel a appris que Barclay ne croyait pas en lui parce qu'il n'était pas beau et qu'il avait une voix de pédé. Alors il avait tiré en une fois ce texte sur ce monde du showbizness. Curieux que ce titre soit celui qui fasse de Balavoine la nouvelle vedette de la chanson comme Je me voyais déjà pour Aznavour, près de vingt ans plus tôt. On ne parle plus que Balavoine, de sa voix bizarre, de ses cris et de sa grande gueule qu'on commence à entendre. Ce n'est pas un chanteur de variétés comme les autres, c'est certain, il a de très nombreux jeunes fans mais à la différence des Britanniques, il refuse son statut de héros. Il le chante même, pour ceux qui n'auraient pas compris. A moins qu'il n'incarne un personnage…
Je me souviens à la rentrée 1978 quand on chantait dans les couloirs du collège Le chanteur de Daniel Balavoine, on croyait du haut de nos 16 ans que c'était un génial nouveau venu, encore un ! Pourtant, comme son camarade Alain Bashung, on l'avait vu pas mal de fois ces dernières années dans des émissions de télé. Mais allez savoir pourquoi, pas son heure, sans doute, on ne l'avait pas imprimé. Bon, son premier 45 Tours solo, en 1973, on l'a pas vu passer, normal, il s'est vendu à 50 exemplaires. Ça vous dit d'en entendre un bout? … Ben oui, vous pensez bien, c'est pas du Balavoine, ils ont beau croire en lui chez Vogue, le directeur artistique lui a imposé des arrangements qui ne lui vont pas du tout. Daniel va finir par claquer la porte mais avant ça, il est choriste dans une comédie musicale, ça s'appelle La révolution française, une grosse production qui fait le tour de toutes les télés, radios, avec un double album, paru chez Vogue, bien entendu. Mais si la musique est signée Claude-Michel Schönberg, ce n'est pas encore Les Misérables, ce spectacle n'est pas un gros succès. Le métier français n'est encore nulle part, c'est pas demain qu'on fera un Hair ou Jesus Christ Superstar à Paris, entend-on dire. Mais Daniel n'y croit pas. Il est au contraire convaincu qu'on peut faire, à tout le moins des albums concept comme les British. Et il trouve, grâce à sa collaboration avec Patrick Juvet, une oreille attentive chez Eddie Barclay, voilà un producteur qui laisse la direction musicale aux artistes et il a bien raison. C'est vrai que les albums que Balavoine sort chez lui sont formidables pour l'époque. Le premier en 1975 se vend à 10.000 exemplaires, sans quasiment passer à la radio. Joli mais pas de quoi en vivre.Le suivant qui sort deux ans plus tard, moins variété, plus rock progressif, Les aventures de Simon et Gunther, récolte un petit succès, de très bonnes critiques et surtout pas mal de passages télés qui lui valent de retenir l'attention d'un téléspectateur pas comme les autres. En effet, en 1977, un certain Michel Berger, l'homme qui a ressuscité contre toute attente la carrière de France Gall est en train d'écrire non pas une comédie musicale mais un opéra rock. Et il se dit que Balavoine incarnerait bien son personnage de loubard, Johnny Rockfort. La similitude entre la pochette de Starmania et de l'album de Balavoine est d'ailleurs frappante. Mais Eddie Barclay trouve que 20.000 exemplaires, c'est peu par rapport à l'argent investi. Le disque a coûté cher et il a donc perdu de l'argent. Daniel serait-il maudit comme son pote Bashung sur l'album duquel il a tenu les chœurs ? Encore un beau disque qui ne s'est pas vendu. Si vous ajoutez à ça, le groupe que Daniel a monté et qui a sorti deux singles qui n'ont pas marché, ça commence à faire beaucoup d'échecs pour un chanteur.
Si on veut en faire notre métier, il faut qu'on monte à Paris. Monter à Paris, le jeune Balavoine sait en ces premiers jours de 1971 que ce n'est pas un vain mot. Quand habite la ville méridionale de Pau, on sait que monter à la capitale n'est pas un vain mot. Si le quartier de Hédas où il joue le plus souvent est en pleine mutation, on abat beaucoup d'immeubles devenus insalubres, on ne peut pas en dire autant des routes. Pau - Paris, c'est plus de 800 kilomètres avec de nombreuses traversées de villes et villages, sans compter les interminables routes de montagnes. Mais à 19 ans, le fan de rock qu'il est, en fait depuis qu'au pensionnat il a entendu les Beatles chanter She Loves You, Daniel sait qu'il ne trouvera le vrai métier qu'à la capitale. Malheureusement, l'expédition, que dis-je, le pèlerinage tourne court. Daniel revient sans avoir trouvé quoi que ce soit. A la différence de l'Angleterre et des Etats-Unis, les médias français et les firmes de disques sont dominés par des producteurs qui ne jurent que par la Variété. Balavoine, il est plutôt Deep Purple et Bob Dylan, pas la came des gens du showbiz : ils ne vous prendront jamais à la radio et à la télé ! Alors Daniel est rentré à Pau. Aurait-il dû se lancer dans la politique comme il y a songé en 1968, porté par le mouvement étudiant dont il entendait parler, justement à la radio et la télé ? Déçu par sa déroute au cours de l'été, il avait alors décidé de se consacrer à la musique et quelques mois plus tard, en décembre 69, il avait renoncé à sa dernière année de secondaire, pour s'y consacrer à temps plein avec les membres de son groupe.Mais il sera dit que Daniel n'est pas monté à Paris pour rien. Il est en effet contacté par un groupe nommé Présence qui a déjà beaucoup travaillé sur le label Vogue, pour remplacer leur chanteur qui vient de les quitter. Daniel réussit l'audition malgré la présence d'un autre jeune chanteur branché rock comme lui, nommé Laurent Voulzy. Les deux chansons du 45 Tours qui sort rapidement sont signées Daniel Balavoine, et il est bluffant tellement son style est déjà à maturité, écoutez … Très influencé par les groupes de rock britanniques comme King Crimson et Deep Purple, on se dit rétrospectivement, que ça va être bingo et pourtant, il ne s'en vend que 247 exemplaires. C'est ce qu'on raconte.Au bout de quelques mois, le groupe Présence quitte la firme Vogue mais Daniel y reste, comme chanteur solo. Oui, les gars sont convaincus qu'il sera le chanteur de demain. Entretemps, Daniel travaille chez un disquaire pour s'assurer un toit et avoir de quoi mettre sur la table de son deux pièces. Le Paris de l'époque, n'est pas celui d'aujourd'hui, il y a énormément de quartiers où les artistes peuvent se loger pour trois fois rien. Mais quels quartiers ! Aujourd'hui, ça nous ferait peur mais à l'époque, on n'y prête guère attention quand on est jeune et qu'on rêve à des lendemains qui chantent.
Embarquez avec nous pour une plongée passionnante dans l'univers de Daniel Balavoine, l'un des artistes les plus emblématiques de la chanson française. Aujourd'hui, nous vous racontons l'histoire de son titre phare, ''Tous les cris, les S.O.S.'', une véritable pépite musicale qui a traversé les générations.Cette chanson, écrite et composée par Balavoine, est le reflet d'une âme tourmentée aux prises avec la solitude et l'isolement. À travers des paroles poignantes et une mélodie singulière, l'artiste nous entraîne dans une quête désespérée, comme des bouteilles à la mer lancées à l'infini dans l'espoir d'être recueillies. Ce qui fait la richesse de ce morceau, c'est son aspect avant-gardiste. Balavoine, toujours à la pointe de l'innovation, a utilisé un échantillonneur, un outil alors très peu répandu, pour créer des effets sonores uniques et novateurs. Cette approche expérimentale a contribué à faire de ''Tous les cris, les S.O.S.'' une véritable œuvre d'art, bien en avance sur son temps.Malgré un accueil mitigé à sa sortie, la chanson a finalement conquis le cœur du public, devenant au fil des années un véritable hymne à la solitude et à la recherche d'un lien. Reprise par de nombreux artistes, elle a acquis un statut de classique intemporel, témoignage de la richesse et de la profondeur de l'œuvre de Daniel Balavoine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Replongeons-nous dans les jours sombres de janvier 1986, lorsque la tragique disparition du chanteur Daniel Balavoine a secoué la France.Lors du mythique rallye Paris-Dakar, l'artiste polyvalent, connu pour ses prouesses vocales et son engagement social, a perdu la vie dans un accident d'hélicoptère aux abords du Niger. Aux côtés du fondateur du rallye, Thierry Sabine, et d'autres journalistes, Balavoine effectuait un vol de reconnaissance lorsque l'appareil s'est écrasé dans une dune, sous les yeux impuissants des concurrents. Le grand reporter d'Europe 1, Gérard Fusil, retrace avec émotion les circonstances de ce drame qui a plongé le pays dans la consternation. Alors que le rallye Dakar a poursuivi son chemin, la question s'est immédiatement posée : fallait-il l'arrêter ou le faire continuer ? Une décision difficile à prendre dans un climat de grande tristesse, alors que le monde de la musique rendait hommage à l'artiste talentueux qu'était Daniel Balavoine. Retour sur la carrière fulgurante de cet interprète hors-pair, à mi-chemin entre l'opéra et le hard rock, dont la voix puissante et les textes engagés ont marqué toute une génération. Un artiste passionné, humble et soucieux de "réussir sa vie" et d'être aimé, comme il le confiait à Europe 1 quelques années avant sa disparition tragique.Plongez dans les coulisses de cet épisode marquant de l'histoire d'Europe 1 et de la musique française.
Dans cet épisode de Music Story, découvrez l'histoire de l'amitié entre France Gall, Michel Berger et Daniel Balavoine. Leur collaboration débute avec Starmania, un projet marquant des années 70. En 1986, la mort tragique de Balavoine bouleverse leurs vies. Michel Berger écrit "Évidemment", hommage poignant, que France Gall interprète avec émotion malgré sa peine. Ce titre devient une ode intemporelle à leur ami disparu et à leur lien indéfectible.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:05:04 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - A l'occasion des fêtes de fin d'année, nous dédions cette semaine aux chansons des années 80. Nous réécoutons aujourd'hui l'interview que Frédéric Pommier avait réalisée en 2022 avec la chanteuse Jeanne Mas, qui évoque ici sa rencontre avec Daniel Balavoine auquel elle vouait une immense admiration.
Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, Nach & Stéphanie Elbaz, pour l'émission "Une journée avec Balavoine" diffusion le 06/12 sur France 2.
À l'occasion de l'émission "Une journée avec Balavoine", la chanteuse Nach offre un live du titre "Tous les cris les S.O.S" aux auditeurs d'Europe 1.
Ce mardi 19 novembre marque le lancement de la 40e campagne des "Restos du Cœur". Association fondée par Coluche en 1985, Florian Gazan nous explique ce matin pourquoi Daniel Balavoine est en réalité à l'origine de l'association. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.
Avec Marie de Brauer et Axel Maliverney. Présenté par Florent Bernard et Adrien Ménielle. On en parle de choses dans cet épisode : d'Adrienterrupting, d'insultes, de l'addiction aux pinces, de mariages, de tricher à Intervilles, d'être en mode Shonen, de la SNCF, de Mitterand dans le biopic de Balavoine, de fans de Balatro, et du jeu du Guillaume Pley.Tu peux nous laisser des bonnes notes sur ta plateforme d'écoute et/ou en parler autour de toi, le bouche-à-oreille, c'est toujours chanmé ! Bises,Flo. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand Bernard Sabbah négocie, il donne aussi de la voix ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Un avant-goût du nouvel épisode avec Cyril NEVEU !Pour découvrir l'épisode en entier, tapez " Épisode #136 - Cyril NEVEU " sur votre plateforme d'écoute._________________________________________________________
"Tout ça, c'est de la poudre aux yeux" . Cette semaine, vous pouvez retrouver à mon micro Sara Forever/Matthieu Barbin, drag queen légendaire et finaliste de la deuxième saison de Drag Race France. On a parlé du moment où il a su porter sa personnalité au plus haut, de sa jeunesse à Bordeaux, de son expérience au sein du milieu de l'art scénique contemporain. Évidemment, nous sommes revenus sur son parcours dans Drag Race France, elle nous parle de Rose et Punani, de Mami Wata, de Johnny Hallyday de Cookie Kunty. On a également évoqué l'eurovision, puisqu'on voulait tous entendre une nouvelle fois le tubesque « Madame Forever » en live ! On a parlé de vendre des culottes à ses fans, du romantisme et de féminité.02.10 : Porter la différence au-devant03.15 : Son enfance à Bordeaux et son rapport à sa propre classe sociale09.00 : Son parcours dans la danse et l'entre-soi auquel il a été confronté au sein d'une scène contemporaine parfois méprisante.13.10 : Ce qui amène Sara Forever à participer à Drag Race France16.40 : Ses rencontres avec les autres drag queens de l'émission17.50 : Johnny Hallyday & Balavoine, des figures masculines et fragiles19.45 : Le rapport de Matthieu à la vulnérabilité23.33 : Drag Race France, la question de l'exposition des drag queens et Sara Forever, une drag à l'Eurovision ?26.37 : Point perruque et son rapport avec la mode30.56 : Son lypsinc ultime26.00 : La voix, médium sensible et de l'intime26.58 : Made Forever et Sara Forever à l'eurovision30.00 : La séquence du répondeur33.40 : Références populaires et pointus au centre de son parcours et de son art35.10 : Les questions rapides Pour retrouver Sara Forever: https://instagram.com/sara____foreverSi tu veux me faire un retour, être tenu au courant de la suite et me suivre sur les réseaux sociaux : lfbarthur — https://www.instagram.com/lfbarthur/Retrouve Flamboyantes tous les mercredis sur ton application d'écoute.Si tu as aimé l'épisode, tu aimeras certainement celui-ci également : https://shows.acast.com/flamboyantes/episodes/drag-queen-ruby-on-the-nail Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fred Testot est un drôle d'oiseau et c'est tout à fait réjouissant! N'ayant aucune envie de lever le moindre voile sur sa vie privée, l'acteur navigue entre mes questions et avec son sens inné de la pirouette, parvient à se confier un peu sans se livrer vraiment. C'est tout un art. A coté de cela il parle sans réserve de Coluche et Balavoine, les héros de sa jeunesse. De ses années à Canal+, des personnages iconiques du SAV des Emissions. Mais aussi des rôles plus dramatiques qu'il a eus par la suite et de son métier d'acteur qu'il aime chaque jour un peu plus. Alors Fred Testot, qui se balade à vélo depuis l'enfance, la Corse, ses débuts à la radio, les études ultra scientifiques sur le rire ou tout autre sujet, sans oublier le petit régime qu'il a entamé et Michel de Tarascon, bref tout cela et bien plus encore c'est à découvrir dans cet épisode singulier. Comme l'est mon invité. Générique composé par Jean Thévenin
Un bébé arrive cette année ? Découvrez notre programme pour vous accompagner pendant la grossesse et après https://m.audiomeans.fr/s/P-hkVcFHov Dans son dernier roman, « Ceux qui s'aiment se laissent partir » (éd. Gallimard), Lisa Balavoine raconte le deuil de sa mère, un douloureux cheminement, à l'âge adulte, pour accepter cette relation mère-fille conflictuelle, tumultueuse, intense et en dehors de toute normalité. En filigrane, en racontant sa famille disloquée, c'est son autoportrait de maman qu'elle dessine : celui d'une mère qui cherche à se construire en opposition, qui a peur de cet héritage trop lourd, et qui découvre face à sa propre fille tout ce qu'elle a peut-être transmis malgré elle… Mais comment savoir si l'histoire se répète ? Avec Lisa Balavoine, on parle de transmission, de culpabilité, d'éducation, de maternité idéalisée et de l'adolescence à laquelle on ne peut pas se préparer. Lisa Balavoine, Ceux qui s'aiment se laissent partir, éditions Gallimard, mai 2022
durée : 00:43:22 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Rencontre avec l'écrivaine Cécile Balavoine à l'occasion de la parution de son livre "Au revers de la nuit" aux éditions Mercure de France. - invités : Cécile Balavoine Écrivaine
Pendant votre grossesse, découvrez des séances audio pour vous relaxer et préparer l'accouchement dans le programme My Louves : https://m.audiomeans.fr/s/P-hkVcFHov Dans son dernier roman, « Ceux qui s'aiment se laissent partir » (éd. Gallimard), Lisa Balavoine raconte le deuil de sa mère, un douloureux cheminement, à l'âge adulte, pour accepter cette relation mère-fille conflictuelle, tumultueuse, intense et en dehors de toute normalité. En filigrane, en racontant sa famille disloquée, c'est son autoportrait de maman qu'elle dessine : celui d'une mère qui cherche à se construire en opposition, qui a peur de cet héritage trop lourd, et qui découvre face à sa propre fille tout ce qu'elle a peut-être transmis malgré elle… Mais comment savoir si l'histoire se répète ? Avec Lisa Balavoine, on parle de transmission, de culpabilité, d'éducation, de maternité idéalisée et de l'adolescence à laquelle on ne peut pas se préparer. « Ceux qui s'aiment se laissent partir », roman, de Lisa Balavoine Histoire d'un amour filial empêché, Ceux qui s'aiment se laissent partir est un récit à fleur de peau sur le poids de l'héritage, mais aussi un livre de réconciliation où l'autrice adresse à sa mère les mots lumineux que celle-ci n'a jamais pu entendre de son vivant. Lisa Balavoine est l'autrice d'un premier roman remarqué, Éparse (JC Lattès, 2018, Le livre de poche, 2021), et d'un roman pour adolescents couronné de plusieurs prix, Un garçon c'est presque rien (Rageot, 2020). Lisa Balavoine, Ceux qui s'aiment se laissent partir, éditions Gallimard, mai 2022
Dans cet épisode, avec Joana Balavoine, on parle de BD, de Biarritz, et de comment se remettre de ses addictions, entre autres. ---Retrouvez Vulgaire sur Instagram : @vulgaire_lepodcastet Joana : https://www.instagram.com/jobalavoine/Achetez la BD de Joana : https://www.librairiesindependantes.com/product/9782818976975/---VULGAIREUn podcast de Marine Baousson / Studio BruneRéalisé par Antoine OlierMusique : Guillaume Bérat du Collectif BranksGraphisme et illustrations : Juliette Poney Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec Nathalie Odzierejko. et Mélody Collange. On en parle de choses dans cet épisode : du 113, de pita, de déguisements, de cryptomonnaie, de dire "bon courage", de stage de troisième, de tueurs, de mur d'escalade, d'auteurs de films d'horreur et de morse humain.Tu peux nous laisser des bonnes notes sur ta plateforme d'écoute et/ou en parler autour de toi, le bouche-à-oreille, c'est toujours chanmé ! Bises,Flo. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Toute cette semaine, nous parcourrons l'année 1983, dans l'épisode d'aujourd'hui : La libération des Irlandais de Vincennes, Hergé et De Funès tirent leur révérence, un crime raciste sur le BORDEAUX-VINTIMILLE, Léopold Sédar Senghor à l'Académie, l'abandon de Balavoine et la victoire de Brasseur sur le Dakar.