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Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Paul Hilbers is een van de meest ervaren Nederlandse economen op het gebied van financiële stabiliteit en internationaal economisch beleid. Al bijna veertig jaar werkt hij in dit vakgebied, met een loopbaan die hij heeft verdeeld tussen De Nederlandsche Bank en het Internationaal Monetair Fonds in Washington D.C. In totaal maakte hij maar liefst zes keer de overstap tussen DNB en het IMF. Hij begon eind jaren tachtig bij De Nederlandsche Bank, waar hij zich bezighield met kapitaalmarktanalyse, monetair beleid en overheidsfinanciën. Binnen DNB groeide hij door in het toezicht op de financiële sector, en van 2009 tot 2020 was hij directeur Toezichtbeleid en Financiële Stabiliteit – precies in de cruciale periode na de financiële crisis. Hij was tevens lid van het Bazel's Comité voor Bankentoezicht en betrokken bij de totstandkoming van het Bazel 3 akkoord. Naast zijn werk bij DNB was hij meerdere periodes actief binnen het IMF. In zijn laatste functie als Executive Director vertegenwoordigde hij zestien landen in de Nederlands-Belgische kiesgroep. In die functie speelde hij een sleutelrol in de totstandkoming van het historische IMF-steunprogramma voor Oekraïne, een omvangrijk pakket van ruim 15 miljard dollar dat wereldwijd veel waardering opleverde. Naast zijn beleids- en toezichtwerk werd Paul in 2010 benoemd tot hoogleraar Toezicht Financiële Instellingen aan de Nyenrode Business Universiteit. Op 14 februari 2025 ging hij met emeritaat. Zijn emeritaatsrede – Bretton Woods 2.0: de rol van IMF en Wereldbank in een nieuwe internationale omgeving – draaide om veerkracht, vertrouwen en moreel leiderschap in een tijd van geopolitieke spanningen, klimaatverandering en toenemende economische fragmentatie. In diezelfde maand werd hij door koning Willem-Alexander benoemd tot Commandeur in de Orde van Oranje-Nassau, een zeldzame koninklijke onderscheiding die wordt toegekend aan personen die zich op internationaal niveau bijzonder hebben onderscheiden. De onderscheiding werd uitgereikt door Eelco Heinen. Paul studeerde Wiskunde aan de Universiteit Utrecht en Econometrie aan de Vrije Universiteit Amsterdam, waar hij ook promoveerde in de Internationale Economie. En tot slot: Paul is 69 jaar oud, heeft twee volwassen zoons, en woont met zijn vrouw in Bussum. *** Leaders in Finance wordt mede mogelijk gemaakt door Kayak, EY, Mogelijk Vastgoedfinancieringen, Roland Berger en Lepaya *** Boeken genoemd in de aflevering: Elon Musk, Walter Isaacson Wisselwachter, Geert Mak *** Op de hoogte blijven van Leaders in Finance? Abonneer je dan op de nieuwsbrief. *** Vragen, suggesties of feedback? Graag! Via email: info@leadersinfinance.nl en check de website leadersinfinance.nl. *** Eerdere gasten bij de Leaders in Finance podcast waren onder andere: Klaas Knot (President DNB), Frank Elderson (Directie ECB), Roland Boekhout (CEO de Volksbank), Gerrit Zalm (Voormalig minister van Financiën en voormalig CEO ABN AMRO), Ingrid de Swart (Lid Raad van Bestuur a.s.r.), Pinar Abay (Management Board ING, Head of Retail Banking), Robert Swaak (CEO ABN AMRO), Marcel Zuidam (CEO NN Bank), Saul van Beurden (CEO Consumer, Small & Business Banking, Wells Fargo), David Knibbe (CEO NN Group), Janine Vos (RvB Rabobank), Nadine Klokke (CEO Knab), Maarten Edixhoven (CEO Van Lanschot Kempen), Jeroen Rijpkema (CEO Triodos Bank), Nout Wellink (Voormalig President DNB), Onno Ruding (Voormalig minister van Financiën), Yoram Schwarz (CEO Movir), Laura van Geest (Bestuursvoorzitter AFM), Katja Kok (CEO Van Lanschot CH), Ali Niknam (CEO bunq), Nick Bortot (CEO BUX), Petri Hofsté (Commissaris o.a. Rabobank en Achmea), Peter Paul de Vries (CEO Value8), Barbara Baarsma (CEO Rabo Carbon Bank), Jan van Rutte (Commissaris PGGM, BNG Bank; voormalig CFO ABN AMRO), Marguerite Soeteman-Reijne (Chair Aon Holdings), Lidwin van Velden (CEO Nederlandse Waterschapsbank), Jan-Willem van der Schoot (CEO Mastercard NL), Joanne Kellermann (Chair PFZW), Steven Maijoor (Voormalig Chair ESMA), Radboud Vlaar (CEO Finch Capital), Jos Baeten (CEO a.s.r.), Karin van Baardwijk (CEO Robeco), Annette Mosman (CEO APG).
L'invité culture est le journaliste Didier Varrod, directeur musical de Radio France. Il publie La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément. aux éditions Le Robert. Une balade en 21 chapitres dans l'histoire de la chanson française. RFI : La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément, c'est le titre de l'ouvrage en forme de déclaration d'amour que vous consacrez à votre passion, qui est aussi celle de beaucoup de gens dans le monde pour la chanson française. Il compte 21 chapitres, 21 moments qui retracent l'histoire moderne de cette chanson. Et en vous lisant, on comprend une chose essentielle : cette chanson française est aussi le miroir de la société dans toutes ses dimensions, ses revendications, ses soubresauts et ses crises. Didier Varrod : Contrairement à ce qu'avait dit Serge Gainsbourg sur un plateau de télévision, j'ai toujours pensé que la chanson était un art majeur, même si ce n'est pas un art académique. Je comprends la nuance gainsbourienne qui consiste à dire que pour faire de la peinture, il faut un apprentissage académique, il faut connaître toute l'histoire de la peinture, mais pour moi, la chanson m'a élevé « au grain ». C'est vrai que la littérature, les livres, le cinéma, ont été importants, mais la chanson a été une sorte de tuteur qui m'a accompagné dans mon éducation, dans mes prises de conscience, dans mes émotions et dans mon identité. Je pense que c'est comme ça pour beaucoup de Françaises et de Français et de gens dans le monde entier, d'ailleurs. Parce que la musique est « un cri qui vient de l'Intérieur », comme disait Bernard Lavilliers. C'est un terrain de jeu commun, un terrain qui fabrique du bien commun, du vivre-ensemble. Pour moi, c'est aussi une langue. Le français est peut-être ma première langue maternelle, mais la chanson française, en quelque sorte, est une deuxième langue. Elle m'a permis de communiquer avec des gens. Elle m'a permis d'entrer dans l'intimité des artistes que j'ai rencontré. Pour moi, elle fait socle. Et, j'ai toujours pensé aussi que si demain il y avait une catastrophe nucléaire ou une catastrophe épouvantable, et que dans un endroit secret était protégés des disques et des vinyles, on pourrait alors comprendre ce qu'était la France des années 1950 à aujourd'hui, rien qu'à travers des chansons. C'est pour ça qu'elle a cette importance pour moi. Dans ce livre, vous partez souvent d'un cas particulier, d'une rencontre, d'une anecdote, pour exhumer une tendance générale dans la chanson française. Prenons le cas des rapports entre le monde politique et la chanson. Est-ce que les personnels politiques ont toujours courtisé les chanteurs et chanteuses ? A contrario, est-ce que les artistes ont eu besoin des politiques ? C'est un phénomène qui est apparu progressivement avec l'émergence de la société du spectacle pour reprendre les termes de Guy Debord. Il est vrai que dans les années 1950 et les années début des années 1960, les artistes, la chanson d'un côté et le monde politique, de l'autre, étaient deux territoires relativement distincts. Ce qui a changé, c'est qu'à la fin des années 1950 et au début des années 1960, il y a une nouvelle catégorie sociologique qui apparait : la jeunesse. Dans les années 1950 ou 1940, voire avant la guerre, il n'y avait pas d'adolescence. L'adolescence n'était pas considérée comme une catégorie sociale à l'instar des enfants et des adultes. Et souvent d'ailleurs, les artistes qui sont issus des années 1960 le racontent. Leur révolution, c'est ça. C'est la prise en compte tout d'un coup d'une catégorie nouvelle qui s'appelle la jeunesse, l'adolescence. Et pour le coup, elle arrive avec sa propre langue, ses propres désirs d'apparence, sa volonté de se distinguer par des vêtements, par la musique, et puis progressivement par du cinéma, puis dans les années 1980 avec la BD. Et ça, le monde politique le comprend... À partir du moment où cette catégorie est identifiée, elle devient attractive, et elle est convoitée par le personnel politique. D'autant plus avec l'instauration par Valéry Giscard d'Estaing (président de la France entre 1974 et 1981, NDLR) du droit de vote à 18 ans où, finalement, on sort de l'adolescence. Et on comprend que cette adolescence construit aussi les premières utopies, les premières convictions politiques. Je pense que ce qui a rapproché finalement le monde politique et le monde de la musique, c'est à la fois le courant des yéyés, la période de mai 1968, et aussi après les années s1970, la prise en compte de la jeunesse comme une véritable catégorie socioprofessionnelle. Et cette chanson française n'évolue pas en vase clos. Elle se fait la caisse de résonance des luttes de l'époque, des injustices, des combats. Il y a toujours eu une chanson d'auteur qui avait comme préoccupation de raconter le monde et de raconter en chanson quelles étaient les préoccupations sociales et politiques de leurs auteurs. Il y a eu, comme je le raconte dans le livre, des compagnons de route du Parti communiste français, notamment avec Jean Ferrat qui était un artiste extrêmement populaire à l'époque. À côté, il y avait des acteurs comme Yves Montand et Simone Signoret. Toute une sphère artistique très en lien avec le Parti communiste. Mais dans les années 1970, la France rattrape son retard dans la culture politique. John Fitzgerald Kennedy (président des États-Unis de 1961 à 1963, NDLR) est passé par là. Il a fait de sa campagne électorale, une campagne spectacle où le show business commençait à intervenir dans la vie politique américaine. Et du coup, Giscard, quand il arrive en 1974, applique un peu cette recette. Avec une volonté de resserrer les liens avec la sphère artistique. D'ailleurs, il vise les jeunes. Il fait fabriquer des t-shirts et il les fait porter aux artistes qui sont les plus populaires, les plus emblématiques. On a des photos de Claude François ou de Johnny Hallyday ou Sylvie Vartan avec le t-shirt « Giscard à la barre ». La chanson française se fait l'écho des revendications et des cris, enfin des revendications, des injustices, des combats. Dans les années 1970, il y a une nouvelle scène française, une nouvelle chanson française qui est une chanson d'auteur, portée par des auteurs, compositeurs, interprètes et non plus seulement par des interprètes qui se contentaient de faire des adaptations de standards américains ou anglais. Donc, à partir du moment où cette génération d'auteurs est arrivée, elle s'est inscrite dans la tradition française, celle de l'écrit qui dit quelque chose du monde, et qui existait déjà, du reste, dans les années 1920 ou 1930, avec des chanteurs qui utilisaient la chanson pour raconter à la fois leur intériorité, mais aussi leur relation au monde et leur volonté d'émancipation. Dans les années 1970, il y a la volonté d'accompagner un désir de changement, d'alternance. Il faut se remettre dans l'esprit une chose : à l'époque, les gens pensaient que l'alternance politique n'était qu'une utopie, qu'elle n'arriverait jamais. Dès lors, nous n'avions pour y croire que quelques enseignants qui nous enseignaient une vision alternative du monde. Et puis, nous avions les chanteurs. Renaud, Bernard Lavilliers, Alain Souchon, Daniel Balavoine qui exprimaient à travers leurs mots une conscience ouvrière, une volonté de changer le monde. Pour mon cas personnel, j'ai toujours pensé que les chansons de Renaud ont été bien plus efficaces que tous les cours d'éducation civique que je subissais à l'école. Quant à Balavoine, je le considère un peu comme un tuteur, un grand frère qui m'a appris la vie, qui m'a appris quel était le prix de l'émotion, qui m'a appris à « m'emporter pour ce qui m'importe », puisque c'était une des grandes phrases de Balavoine, « je m'emporte pour ce qu'il m'importe ». Alors, est-ce que pour autant les chansons changent le monde ? C'est Jean-Jacques Goldman qui a posé de façon assez judicieuse la question, sans réellement y répondre. Mais en tout cas, elles accompagnent les soubresauts politiques, elles accompagnent les mutations, et parfois, elles sont simplement la bande originale d'un moment. Chaque révolution à ses chansons. Dans ce livre, vous abordez aussi un chapitre très intéressant, c'est l'irruption du rap dans les années 1990 et la difficulté qu'a eue l'industrie musicale à intégrer le rap dans le champs de vision. Il a fallu le succès de MC Solaar, expliquez-vous, pour que finalement, on se rende compte que les banlieues avaient quelque chose à dire. Et elles le disaient d'une façon différente, mais qui était aussi de la chanson française. J'ai eu la chance de vivre personnellement ce moment. Je suis en 1991 appelé à la direction artistique de Polydor. Je ne suis pas un enfant du rap, loin de là. J'ai acheté quelques 45 tours de rap, Sugar Hill Gang qui tournait sur ma platine tout le temps. On commençait à voir des breakers comme Sydney à la télévision. Mais pour moi, c'était quand même un monde un peu étranger. Et quand j'arrive en 1991 chez Polydor, qui est vraiment le label très imprégné de chanson française, Serge Reggiani, Renaud, Maxime Le Forestier etc, il y a toute une nouvelle pop française qui émerge avec Niagara, Mylène Farmer, Patricia Kaas. Et au milieu, il y a une espèce de d'électron libre qui s'appelle MC Solaar, avec un projet hybride entre la chanson et le rap. Ce n'est pas tout à fait du rap au sens où on croit l'entendre, et ce n'est pas tout à fait de la chanson. Et de cette hybridité va naître effectivement une culture qui est celle du rap populaire qui va débouler sur les antennes de toutes les radios. Pourquoi l'industrie musicale a eu autant de mal à intégrer le rap dans ses raisonnements ? Parce que ces jeunes gens n'avaient jamais eu la chance d'être visibles, ni à la radio ni à la télé. Faut quand même rappeler que jusque dans les années 1980, il n'y a pas de « blacks » à la télé, il n'y a pas d'arabes à la télé. Et quand on les voit, c'est soit parce qu'il y a des émeutes, soit parce que tout d'un coup, il y a un élan collectif antiraciste. Donc tout d'un coup, cette jeunesse que l'on ne connaît pas arrive et remet en question la manière traditionnelle de faire la chanson. La chanson, ce n'est plus forcément un couplet, un refrain, un couplet, un refrain. Ça peut être un flow qui dure pendant trois minutes sans refrain. Ça peut être – oh scandale ! – l'arrivée du sampling dans cette musique. Et ce sampling déstabilise une partie des gens de la chanson française qui se disent « mais enfin, ils ne peuvent pas composer leur propre rythmique, ils ne peuvent pas employer un batteur et un bassiste pour créer une rythmique ! ». Et la chanson française a aussi refusé quelque part cette irruption de ce mode d'expression qui était nouveau, spontané, et aussi extrêmement écrit, mais dans une langue qui n'était pas tout à fait la langue académique. Et c'est vrai que finalement, Solaar a réussi à imposer une image de grand sage. Et il a réussi, tout d'un coup, à intéresser les tenants du patrimoine de la chanson française, c'est à dire les Aznavour, les Gainsbourg, les Juliette Gréco, tous ces artistes vraiment très patrimoniaux qui avaient connu la poésie surréaliste, qui avaient connu Boris Vian, qui avaient connu Jacques Canetti. Donc ça a été pour moi magnifique de vivre à la fois cette émergence, de comprendre aussi que ça grattait, que ça n'allait pas être facile. Finalement, puisque j'ai toujours une vision un peu historique de la chanson, je me dis que ce n'est pas si loin de ce qu'ont vécus dans les années 1960 Eddy Mitchell, Dick Rivers, Johnny Hallyday qui – comme par hasard – étaient tous des mômes issus des quartiers populaires, de la banlieue, qu'on n'appelait pas encore banlieue, et qui s'exprimaient avec des rythmes et des mots qui n'étaient pas ceux de la génération d'avant. On voit à nouveau avec le rap l'émergence d'une musique stigmatisée par l'establishment, adoubée par la rue et par le public. C'est ça qui est très intéressant. Mais encore aujourd'hui, on s'aperçoit par exemple avec la mort de Werenoi, une partie de la France s'interroge. C'est juste le plus gros vendeur de disque en France ! Et moi, je voulais aussi raconter ce long chemin de croix qu'ont vécu les rappeurs pourtant installés depuis le début des années 1990. Je ne vous dis pas le nombre de courriers que reçoit la médiatrice de France Inter (station de radio où travaille Didier Varrod, NDLR) tous les jours, toutes les semaines pour râler en disant « mais comment vous pouvez passer cette musique qui n'est pas de la musique ? ». On a eu la même chose avec la musique électronique. Mais c'est pour dire encore qu'aujourd'hui, même si cette musique-là est majoritaire économiquement dans le pays et qu'elle draine effectivement la majorité de la jeunesse, elle n'est pas la musique majoritaire pour l'institution. Dans ce livre, vous évoquez beaucoup d'artistes qui vous ont marqués. On ne va pas tous les citer. Il y a Véronique Sanson, bien évidemment. Et puis, vous parlez de Mylène Farmer. Et en lisant le chapitre sur Mylène Farmer, je me suis dit : est-ce que la chanson française fabrique des mythes ? Ou est-ce que ce sont les mythes qui s'incarnent dans la chanson française, comme ils pourraient s'incarner en littérature ou ailleurs ? C'est une question que je me suis posée plusieurs fois en écrivant ce chapitre sur Mylène Farmer. Est-ce qu'elle est née pour devenir mythologique, avec la volonté de le devenir ? Ou est-ce que finalement, c'est l'histoire de la chanson française dans son évolution qui a fabriqué ce mythe ? En fait, je pense très honnêtement que, c'est l'histoire de la chanson française qui crée le mythe autour de Mylène Farmer. Même si Mylène Farmer, quand elle arrive au début des années 1980, se nourrit d'un certain nombre de mythologies très fortes, de figures mythologiques qui cultivent à la fois le secret, un univers un peu sombre, etc. Mais en fait, c'est en regardant l'histoire de la chanson que l'on s'aperçoit que finalement, ce mythe va naître et se muscler et s'intensifier. Cette identité, parfois, se transmet de père en fils. Vous abordez parmi tous les phénomènes que génère la chanson dans une société. Celui de l'héritage et des familles : les Higelin, les Chedid, les Gainsbourg.. La chanson française, serait-elle transmissible génétiquement, si je puis dire ? C'est l'une de ses singularités. Et en fait, c'est un questionnement que j'ai eu parce souvent, quand on me présente un artiste, je me dis « Tiens, c'est la fille de ou le fils de... ». Il y a quand même ce truc en France qui rend un peu suspect la légitimité ou l'intégrité, lorsque l'on est fille ou fils de ou petit-fils ou petite fille de. Et c'est vrai que c'est une question. En fait, c'est l'une des singularités de l'histoire de la chanson française. Il y a Gainsbourg, il y a Chedid, il y a Hardy, Dutronc, France Gall... Une partie de l'histoire de la chanson s'est construite, édifiée et fut nourrie par ces familles. Et c'était aussi peut-être leur rendre alors ce qui m'a aussi poussé. J'ai beaucoup hésité à écrire ce chapitre, jusqu'au moment où je suis allé voir le spectacle d'Alain Souchon avec ses deux fils. Au départ, je me disais « Mais il ne peut pas faire un spectacle tout seul ou avec Laurent Voulzy (son complice de scène NDLR) ». Et en fait, de voir ces trois personnalités liées par le sang, par un amour inconditionnel et construire une œuvre d'art à l'intérieur d'une histoire de la chanson, ça m'a bouleversé. Je me suis dit : « Il faut rendre hommage à cette volonté de revendiquer à ciel ouvert une histoire de famille. » Et puis après, il y a aussi une dimension dans les histoires de famille que l'on aborde assez peu. C'est le phénomène de la statue du Commandeur, c'est-à-dire qu'il y a beaucoup d'artistes qui sont tellement impressionnés par l'image de la mère ou du père qui se disent « comment puis-je le dépasser ? ». Ce n'est pas simple pour tout le monde. Oui, et j'aurais pu aussi d'ailleurs évoquer dans le livre toutes les histoires de famille qui ont échoué, ou en tout cas, ces histoires d'enfants qui ont eu moins de succès ou ont eu plus de difficultés que leur maman ou leur papa. Et ça fera peut-être l'objet d'un tome 2, mais ce n'est jamais très agréable d'écrire sur les échecs. Mais ce que vous racontez là est vraiment juste. Quand on parle de Thomas Dutronc par exemple (fils de Jacques Dutronc et de Françoise Hardy, tous deux artistes NDLR), c'est quand même génial. Une jeune garçon, un fils de, avec un père et une mère qui ont marqué la chanson... Il fait son apprentissage en secret se disant « si j'ai une chance de réussir, il ne faut pas que je sois chanteur, ou en tout cas, il ne faut pas que mon fantasme premier soit d'être dans la lumière ». Et c'est très bouleversant, parce qu'en fait, il va devenir un immense musicien en s'imposant la clandestinité. Il est devenu guitariste de jazz manouche, pour aller dans un monde qui n'était ni celui de son père, ni celui de sa mère. Donc il y a des très belles histoires dans cette épopée de la chanson française.
L'invité culture est le journaliste Didier Varrod, directeur musical de Radio France. Il publie La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément. aux éditions Le Robert. Une balade en 21 chapitres dans l'histoire de la chanson française. RFI : La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément, c'est le titre de l'ouvrage en forme de déclaration d'amour que vous consacrez à votre passion, qui est aussi celle de beaucoup de gens dans le monde pour la chanson française. Il compte 21 chapitres, 21 moments qui retracent l'histoire moderne de cette chanson. Et en vous lisant, on comprend une chose essentielle : cette chanson française est aussi le miroir de la société dans toutes ses dimensions, ses revendications, ses soubresauts et ses crises. Didier Varrod : Contrairement à ce qu'avait dit Serge Gainsbourg sur un plateau de télévision, j'ai toujours pensé que la chanson était un art majeur, même si ce n'est pas un art académique. Je comprends la nuance gainsbourienne qui consiste à dire que pour faire de la peinture, il faut un apprentissage académique, il faut connaître toute l'histoire de la peinture, mais pour moi, la chanson m'a élevé « au grain ». C'est vrai que la littérature, les livres, le cinéma, ont été importants, mais la chanson a été une sorte de tuteur qui m'a accompagné dans mon éducation, dans mes prises de conscience, dans mes émotions et dans mon identité. Je pense que c'est comme ça pour beaucoup de Françaises et de Français et de gens dans le monde entier, d'ailleurs. Parce que la musique est « un cri qui vient de l'Intérieur », comme disait Bernard Lavilliers. C'est un terrain de jeu commun, un terrain qui fabrique du bien commun, du vivre-ensemble. Pour moi, c'est aussi une langue. Le français est peut-être ma première langue maternelle, mais la chanson française, en quelque sorte, est une deuxième langue. Elle m'a permis de communiquer avec des gens. Elle m'a permis d'entrer dans l'intimité des artistes que j'ai rencontré. Pour moi, elle fait socle. Et, j'ai toujours pensé aussi que si demain il y avait une catastrophe nucléaire ou une catastrophe épouvantable, et que dans un endroit secret était protégés des disques et des vinyles, on pourrait alors comprendre ce qu'était la France des années 1950 à aujourd'hui, rien qu'à travers des chansons. C'est pour ça qu'elle a cette importance pour moi. Dans ce livre, vous partez souvent d'un cas particulier, d'une rencontre, d'une anecdote, pour exhumer une tendance générale dans la chanson française. Prenons le cas des rapports entre le monde politique et la chanson. Est-ce que les personnels politiques ont toujours courtisé les chanteurs et chanteuses ? A contrario, est-ce que les artistes ont eu besoin des politiques ? C'est un phénomène qui est apparu progressivement avec l'émergence de la société du spectacle pour reprendre les termes de Guy Debord. Il est vrai que dans les années 1950 et les années début des années 1960, les artistes, la chanson d'un côté et le monde politique, de l'autre, étaient deux territoires relativement distincts. Ce qui a changé, c'est qu'à la fin des années 1950 et au début des années 1960, il y a une nouvelle catégorie sociologique qui apparait : la jeunesse. Dans les années 1950 ou 1940, voire avant la guerre, il n'y avait pas d'adolescence. L'adolescence n'était pas considérée comme une catégorie sociale à l'instar des enfants et des adultes. Et souvent d'ailleurs, les artistes qui sont issus des années 1960 le racontent. Leur révolution, c'est ça. C'est la prise en compte tout d'un coup d'une catégorie nouvelle qui s'appelle la jeunesse, l'adolescence. Et pour le coup, elle arrive avec sa propre langue, ses propres désirs d'apparence, sa volonté de se distinguer par des vêtements, par la musique, et puis progressivement par du cinéma, puis dans les années 1980 avec la BD. Et ça, le monde politique le comprend... À partir du moment où cette catégorie est identifiée, elle devient attractive, et elle est convoitée par le personnel politique. D'autant plus avec l'instauration par Valéry Giscard d'Estaing (président de la France entre 1974 et 1981, NDLR) du droit de vote à 18 ans où, finalement, on sort de l'adolescence. Et on comprend que cette adolescence construit aussi les premières utopies, les premières convictions politiques. Je pense que ce qui a rapproché finalement le monde politique et le monde de la musique, c'est à la fois le courant des yéyés, la période de mai 1968, et aussi après les années s1970, la prise en compte de la jeunesse comme une véritable catégorie socioprofessionnelle. Et cette chanson française n'évolue pas en vase clos. Elle se fait la caisse de résonance des luttes de l'époque, des injustices, des combats. Il y a toujours eu une chanson d'auteur qui avait comme préoccupation de raconter le monde et de raconter en chanson quelles étaient les préoccupations sociales et politiques de leurs auteurs. Il y a eu, comme je le raconte dans le livre, des compagnons de route du Parti communiste français, notamment avec Jean Ferrat qui était un artiste extrêmement populaire à l'époque. À côté, il y avait des acteurs comme Yves Montand et Simone Signoret. Toute une sphère artistique très en lien avec le Parti communiste. Mais dans les années 1970, la France rattrape son retard dans la culture politique. John Fitzgerald Kennedy (président des États-Unis de 1961 à 1963, NDLR) est passé par là. Il a fait de sa campagne électorale, une campagne spectacle où le show business commençait à intervenir dans la vie politique américaine. Et du coup, Giscard, quand il arrive en 1974, applique un peu cette recette. Avec une volonté de resserrer les liens avec la sphère artistique. D'ailleurs, il vise les jeunes. Il fait fabriquer des t-shirts et il les fait porter aux artistes qui sont les plus populaires, les plus emblématiques. On a des photos de Claude François ou de Johnny Hallyday ou Sylvie Vartan avec le t-shirt « Giscard à la barre ». La chanson française se fait l'écho des revendications et des cris, enfin des revendications, des injustices, des combats. Dans les années 1970, il y a une nouvelle scène française, une nouvelle chanson française qui est une chanson d'auteur, portée par des auteurs, compositeurs, interprètes et non plus seulement par des interprètes qui se contentaient de faire des adaptations de standards américains ou anglais. Donc, à partir du moment où cette génération d'auteurs est arrivée, elle s'est inscrite dans la tradition française, celle de l'écrit qui dit quelque chose du monde, et qui existait déjà, du reste, dans les années 1920 ou 1930, avec des chanteurs qui utilisaient la chanson pour raconter à la fois leur intériorité, mais aussi leur relation au monde et leur volonté d'émancipation. Dans les années 1970, il y a la volonté d'accompagner un désir de changement, d'alternance. Il faut se remettre dans l'esprit une chose : à l'époque, les gens pensaient que l'alternance politique n'était qu'une utopie, qu'elle n'arriverait jamais. Dès lors, nous n'avions pour y croire que quelques enseignants qui nous enseignaient une vision alternative du monde. Et puis, nous avions les chanteurs. Renaud, Bernard Lavilliers, Alain Souchon, Daniel Balavoine qui exprimaient à travers leurs mots une conscience ouvrière, une volonté de changer le monde. Pour mon cas personnel, j'ai toujours pensé que les chansons de Renaud ont été bien plus efficaces que tous les cours d'éducation civique que je subissais à l'école. Quant à Balavoine, je le considère un peu comme un tuteur, un grand frère qui m'a appris la vie, qui m'a appris quel était le prix de l'émotion, qui m'a appris à « m'emporter pour ce qui m'importe », puisque c'était une des grandes phrases de Balavoine, « je m'emporte pour ce qu'il m'importe ». Alors, est-ce que pour autant les chansons changent le monde ? C'est Jean-Jacques Goldman qui a posé de façon assez judicieuse la question, sans réellement y répondre. Mais en tout cas, elles accompagnent les soubresauts politiques, elles accompagnent les mutations, et parfois, elles sont simplement la bande originale d'un moment. Chaque révolution à ses chansons. Dans ce livre, vous abordez aussi un chapitre très intéressant, c'est l'irruption du rap dans les années 1990 et la difficulté qu'a eue l'industrie musicale à intégrer le rap dans le champs de vision. Il a fallu le succès de MC Solaar, expliquez-vous, pour que finalement, on se rende compte que les banlieues avaient quelque chose à dire. Et elles le disaient d'une façon différente, mais qui était aussi de la chanson française. J'ai eu la chance de vivre personnellement ce moment. Je suis en 1991 appelé à la direction artistique de Polydor. Je ne suis pas un enfant du rap, loin de là. J'ai acheté quelques 45 tours de rap, Sugar Hill Gang qui tournait sur ma platine tout le temps. On commençait à voir des breakers comme Sydney à la télévision. Mais pour moi, c'était quand même un monde un peu étranger. Et quand j'arrive en 1991 chez Polydor, qui est vraiment le label très imprégné de chanson française, Serge Reggiani, Renaud, Maxime Le Forestier etc, il y a toute une nouvelle pop française qui émerge avec Niagara, Mylène Farmer, Patricia Kaas. Et au milieu, il y a une espèce de d'électron libre qui s'appelle MC Solaar, avec un projet hybride entre la chanson et le rap. Ce n'est pas tout à fait du rap au sens où on croit l'entendre, et ce n'est pas tout à fait de la chanson. Et de cette hybridité va naître effectivement une culture qui est celle du rap populaire qui va débouler sur les antennes de toutes les radios. Pourquoi l'industrie musicale a eu autant de mal à intégrer le rap dans ses raisonnements ? Parce que ces jeunes gens n'avaient jamais eu la chance d'être visibles, ni à la radio ni à la télé. Faut quand même rappeler que jusque dans les années 1980, il n'y a pas de « blacks » à la télé, il n'y a pas d'arabes à la télé. Et quand on les voit, c'est soit parce qu'il y a des émeutes, soit parce que tout d'un coup, il y a un élan collectif antiraciste. Donc tout d'un coup, cette jeunesse que l'on ne connaît pas arrive et remet en question la manière traditionnelle de faire la chanson. La chanson, ce n'est plus forcément un couplet, un refrain, un couplet, un refrain. Ça peut être un flow qui dure pendant trois minutes sans refrain. Ça peut être – oh scandale ! – l'arrivée du sampling dans cette musique. Et ce sampling déstabilise une partie des gens de la chanson française qui se disent « mais enfin, ils ne peuvent pas composer leur propre rythmique, ils ne peuvent pas employer un batteur et un bassiste pour créer une rythmique ! ». Et la chanson française a aussi refusé quelque part cette irruption de ce mode d'expression qui était nouveau, spontané, et aussi extrêmement écrit, mais dans une langue qui n'était pas tout à fait la langue académique. Et c'est vrai que finalement, Solaar a réussi à imposer une image de grand sage. Et il a réussi, tout d'un coup, à intéresser les tenants du patrimoine de la chanson française, c'est à dire les Aznavour, les Gainsbourg, les Juliette Gréco, tous ces artistes vraiment très patrimoniaux qui avaient connu la poésie surréaliste, qui avaient connu Boris Vian, qui avaient connu Jacques Canetti. Donc ça a été pour moi magnifique de vivre à la fois cette émergence, de comprendre aussi que ça grattait, que ça n'allait pas être facile. Finalement, puisque j'ai toujours une vision un peu historique de la chanson, je me dis que ce n'est pas si loin de ce qu'ont vécus dans les années 1960 Eddy Mitchell, Dick Rivers, Johnny Hallyday qui – comme par hasard – étaient tous des mômes issus des quartiers populaires, de la banlieue, qu'on n'appelait pas encore banlieue, et qui s'exprimaient avec des rythmes et des mots qui n'étaient pas ceux de la génération d'avant. On voit à nouveau avec le rap l'émergence d'une musique stigmatisée par l'establishment, adoubée par la rue et par le public. C'est ça qui est très intéressant. Mais encore aujourd'hui, on s'aperçoit par exemple avec la mort de Werenoi, une partie de la France s'interroge. C'est juste le plus gros vendeur de disque en France ! Et moi, je voulais aussi raconter ce long chemin de croix qu'ont vécu les rappeurs pourtant installés depuis le début des années 1990. Je ne vous dis pas le nombre de courriers que reçoit la médiatrice de France Inter (station de radio où travaille Didier Varrod, NDLR) tous les jours, toutes les semaines pour râler en disant « mais comment vous pouvez passer cette musique qui n'est pas de la musique ? ». On a eu la même chose avec la musique électronique. Mais c'est pour dire encore qu'aujourd'hui, même si cette musique-là est majoritaire économiquement dans le pays et qu'elle draine effectivement la majorité de la jeunesse, elle n'est pas la musique majoritaire pour l'institution. Dans ce livre, vous évoquez beaucoup d'artistes qui vous ont marqués. On ne va pas tous les citer. Il y a Véronique Sanson, bien évidemment. Et puis, vous parlez de Mylène Farmer. Et en lisant le chapitre sur Mylène Farmer, je me suis dit : est-ce que la chanson française fabrique des mythes ? Ou est-ce que ce sont les mythes qui s'incarnent dans la chanson française, comme ils pourraient s'incarner en littérature ou ailleurs ? C'est une question que je me suis posée plusieurs fois en écrivant ce chapitre sur Mylène Farmer. Est-ce qu'elle est née pour devenir mythologique, avec la volonté de le devenir ? Ou est-ce que finalement, c'est l'histoire de la chanson française dans son évolution qui a fabriqué ce mythe ? En fait, je pense très honnêtement que, c'est l'histoire de la chanson française qui crée le mythe autour de Mylène Farmer. Même si Mylène Farmer, quand elle arrive au début des années 1980, se nourrit d'un certain nombre de mythologies très fortes, de figures mythologiques qui cultivent à la fois le secret, un univers un peu sombre, etc. Mais en fait, c'est en regardant l'histoire de la chanson que l'on s'aperçoit que finalement, ce mythe va naître et se muscler et s'intensifier. Cette identité, parfois, se transmet de père en fils. Vous abordez parmi tous les phénomènes que génère la chanson dans une société. Celui de l'héritage et des familles : les Higelin, les Chedid, les Gainsbourg.. La chanson française, serait-elle transmissible génétiquement, si je puis dire ? C'est l'une de ses singularités. Et en fait, c'est un questionnement que j'ai eu parce souvent, quand on me présente un artiste, je me dis « Tiens, c'est la fille de ou le fils de... ». Il y a quand même ce truc en France qui rend un peu suspect la légitimité ou l'intégrité, lorsque l'on est fille ou fils de ou petit-fils ou petite fille de. Et c'est vrai que c'est une question. En fait, c'est l'une des singularités de l'histoire de la chanson française. Il y a Gainsbourg, il y a Chedid, il y a Hardy, Dutronc, France Gall... Une partie de l'histoire de la chanson s'est construite, édifiée et fut nourrie par ces familles. Et c'était aussi peut-être leur rendre alors ce qui m'a aussi poussé. J'ai beaucoup hésité à écrire ce chapitre, jusqu'au moment où je suis allé voir le spectacle d'Alain Souchon avec ses deux fils. Au départ, je me disais « Mais il ne peut pas faire un spectacle tout seul ou avec Laurent Voulzy (son complice de scène NDLR) ». Et en fait, de voir ces trois personnalités liées par le sang, par un amour inconditionnel et construire une œuvre d'art à l'intérieur d'une histoire de la chanson, ça m'a bouleversé. Je me suis dit : « Il faut rendre hommage à cette volonté de revendiquer à ciel ouvert une histoire de famille. » Et puis après, il y a aussi une dimension dans les histoires de famille que l'on aborde assez peu. C'est le phénomène de la statue du Commandeur, c'est-à-dire qu'il y a beaucoup d'artistes qui sont tellement impressionnés par l'image de la mère ou du père qui se disent « comment puis-je le dépasser ? ». Ce n'est pas simple pour tout le monde. Oui, et j'aurais pu aussi d'ailleurs évoquer dans le livre toutes les histoires de famille qui ont échoué, ou en tout cas, ces histoires d'enfants qui ont eu moins de succès ou ont eu plus de difficultés que leur maman ou leur papa. Et ça fera peut-être l'objet d'un tome 2, mais ce n'est jamais très agréable d'écrire sur les échecs. Mais ce que vous racontez là est vraiment juste. Quand on parle de Thomas Dutronc par exemple (fils de Jacques Dutronc et de Françoise Hardy, tous deux artistes NDLR), c'est quand même génial. Une jeune garçon, un fils de, avec un père et une mère qui ont marqué la chanson... Il fait son apprentissage en secret se disant « si j'ai une chance de réussir, il ne faut pas que je sois chanteur, ou en tout cas, il ne faut pas que mon fantasme premier soit d'être dans la lumière ». Et c'est très bouleversant, parce qu'en fait, il va devenir un immense musicien en s'imposant la clandestinité. Il est devenu guitariste de jazz manouche, pour aller dans un monde qui n'était ni celui de son père, ni celui de sa mère. Donc il y a des très belles histoires dans cette épopée de la chanson française.
Bertrand Lesguillons vous présente les sorties ciné: "Predator: Badlands" avec Elle Fanning et la nouvelle comédie de Jérôme Commandeur " T'as pas changé " avec Laurent Lafitte, Vanessa Paradis ou François Damiens.
Est-ce que vous avez encore des potes datant de vos années lycée ? Est-ce que vous êtes nostalgiques de cette époque ? Alors vous ressemblez à Jérôme Commandeur : il s'est laissé convaincre par ses producteurs pour aller fouiller dans sa mémoire et sa jeunesse en imaginant l'histoire de 4 amis lycéens devenus adultes, décidant d'organiser une fête avec toute leur promo... Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Stéphane Boudsocq du 05 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"J'ai peur des ballons de baudruches." Sa plus grande phobie, son goût pour le ménage, et sa vision de l'amitié...À l'occasion de la sortie de son film "T'as pas changé", Canelle a fait passer LE test de personnalité à Jérôme Commandeur."L'interview Brut. des gens connus" est un podcast produit par Brut.Journaliste : Canelle SabourinCoordination éditoriale : Annabel MoraDirection éditoriale : Laurent Lucas Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Vanessa Paradis, François Damiens & Jérôme Commandeur, pour le film “T'as pas changé” en salleTous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Vanessa Paradis, François Damiens & Jérôme Commandeur, pour le film “T'as pas changé” en salle ce mercredi.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
"T''as pas changé", une comédie touchante de et avec Jérôme Commandeur est à voir ce mercredi au cinéma, tout comme "Les braises" avec Virginie Efira.
Jérôme Commandeur était l'invité de Room Service ce mercredi 05 novembre à 8h15 à l'occasion de la sortie de son nouveau film "T'as pas changé", une comédie réunissant Vanessa Paradis Laurent Lafitte, François Damiens. L'histoire tendre, drôle et pétillante de quatre anciens lycéens qui décident, 30 ans après leur bac, de réunir toute leur promo à l'occasion d'une fête, comme à l'époque. Une idée qui survient suite à la disparition de l'un de leurs camarades de classe. Véritable déclaration d'amour aux années 90, le film dresse le portrait hilarant et grinçant de ces quinquas que des retrouvailles vont bouleverser à jamais. A voir dès aujourd'hui dans les cinémas de Bourgogne-Franche-Comté !
Nos invités de la deuxième partie de C à Vous du mardi 4 novembre 2025:
Il paraît que tout le monde se souvient de ce qu'il faisait quand il a entendu pour la première fois Bohemian Rhapsody. Voilà qui est différent du 11 septembre 2001 ou de la mort de Claude François, JFK ou John Lennon. Il n'y a pas de communion médiatique et instantanée ici, et de plus, elle a lieu sur plusieurs générations, son streaming record aujourd'hui en est la preuve, 3 milliards d'écoutes, rien que sur Spotify.C'est comme si vous aviez vu un paysage, un animal fabuleux, comme vous ne saviez même pas que cela pouvait exister, pas vrai ? Le plus étrange est que, malgré son immense succès, Freddie Mercury s'est toujours refusé à donner une explication à cette œuvre qui apparaît d'emblée aussi belle que complexe. On sent que ça le concerne. Qu'a-t-il voulu raconter ? On dirait au départ, les derniers mots d'un condamné, et puis il y a cette allusion à un opéra qui met en scène des personnages célèbres de son répertoire comme Figaro ou le ballet de Scaramouche mais on sent dans l'adresse la voix du Diable ou du Commandeur qui l'appelle, d'ailleurs il le dit : Belzébuth a mis un démon de côté pour moi.Certains prétendent que ce n'est pas pour rien qu'à ce moment, le manager John Reid fait irruption dans la vie de Queen, le groupe a en effet engagé l'homme d'affaires d'Elton John alors assis au sommet du monde, pour s'occuper de la promo de ce nouveau disque. John Reid qui est aussi l'amant d'Elton John. Et là, pour la première fois, Freddie se retrouve à vraiment cotoyer le milieu gay londonien dont jusque-là, il s'était tenu éloigné. Cela fait cinq ans en effet que Freddie vit avec Mary Austin. Ils se sont connus avant Queen, bien avant même qu'il ne prenne le nom de Mercury. C'était Brian May, au départ, qui était amoureux d'elle. Il l'avait remarquée dans un célèbre magasin de fringues de Kensington où elle était vendeuse et l'avait invitée plusieurs fois à venir le voir jouer avec son groupe, Smile. Mais un ou deux verres au pub n'y avait rien fait, Mary ne semblait pas être intéressée. C'est du moins ce qu'il a dit à son pote Freddie Bulsara, le cocoteur de Roger Taylor, le batteur avec qui Brian joue. Sentant Freddie intéressé, lui aussi, Brian avait tenté de le décourager.Et de fait, Freddie s'était pris un râteau à sa première invitation, Mary avait prétexté devoir aller aux toilettes et ne s'était pas repointée durant la soirée au pub, pensant que Freddie était branché sur la fille avec qui elle était venue au rancard. Freddie était revenu à la charge, durant des semaines, en faisant mine de rien, en clair fou de trac, jusqu'au jour où il était arrivé avec un bouquet de fleurs.Et depuis, Freddie et Mary, c'était le couple classique qui recevait ses amis dans le petit appart de Kensington que Mary tenait impeccablement malgré leurs maigres revenus et que Freddie décorait de trouvailles chez les antiquaires. Et donc, la fréquentation de tous ces hommes libérés place Freddie dans un drame cornélien, lui qui avait jusque-là réussi à cloisonner les deux mondes entre lesquels il était partagé. Freddie ne supporte pas l'abandon et pourtant, il y fonce tout droit avec ce nouvel album et ça s'entend. Reste l'humour, celui qui l'accompagne depuis son enfance, A night at the opera n'en est pas exclu, les Beatles ont montré la voie, comme le prouve ce titre, une suite encore plus légère au Killer Queen de l'album précédent. Il est méconnu sauf de ceux qui ont usé le disque mais il mérite le détour, imaginez les stations balnéaires anglaises de la Belle époque, vous y êtes ?
durée : 00:09:22 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Jérôme Commandeur, acteur et réalisateur pour le film ”T'as pas changé” au cinéma le 5 novembre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Le comédien-réalisateur imagine quatre très vieux amis qui décident, trois décennies après leur bac, de réunir toute leur promo à lʹoccasion dʹune fête. Problème : ils étaient les lycéens les plus détestés de leur époque. "Tʹas pas changé ", dans les salles romandes dès le 5 novembre Jérôme Commandeur est lʹinvité de Pierre Philippe Cadert et le portrait de Yacine Nemra.
Dans ce bonus exclusif du Double Expresso RTL2, Vanessa Paradis discute de la sortie de son nouvel album, exprimant ses sentiments mêlés d'espoir et de fatalisme. Elle partage son expérience d'écoute de ses propres disques, notamment en vinyle, et évoque la complexité de choisir les chansons pour ses tournées. Vanessa parle également de l'impact de s'entendre à la radio et de l'importance de la promotion dans sa carrière. Elle mentionne son rôle dans la comédie de Jérôme Commandeur, "T'as pas changé ?", et décrit le défi et le plaisir de jouer aux côtés de comédiens renommés. Enfin, elle exprime son enthousiasme pour la scène, qu'elle considère comme une célébration de la vie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
durée : 00:06:43 - Le Masque et la Plume - par : Jérôme Garcin - Le dernier film de Quentin Dupieux, avec Adèle Exarchopoulos et Jérôme Commandeur est une satire des réseaux sociaux et de la culture du vide qui divise les critiques du Masque sur sa profondeur et son nihilisme. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bertrand Lesguillons vous présente la sortie ciné du thriller " Souviens toi…l'été dernier " avec Freddie Prinze Jr et Jennifer Love Hewitt et du film d'animation " Les Schtroumpfs - Le film "
Bertrand Lesguillons vous présente la sortie ciné du thriller " Souviens toi…l'été dernier " avec Freddie Prinze Jr et Jennifer Love Hewitt et du film d'animation " Les Schtroumpfs - Le film "
Dans cette édition :Le Premier ministre a dévoilé un plan d'économies de 43,8 milliards d'euros pour 2026 afin de ramener le déficit à 4,6% du PIB, incluant le gel des retraites et des dépenses de l'État, la réduction des postes de fonctionnaires, la suppression de deux jours fériés, ainsi que des mesures sur la santé.Les oppositions de gauche et du Rassemblement National menacent de censurer le gouvernement face à ces annonces jugées trop brutales et inacceptables.Dans le sud-est de la France, le risque incendie est au plus haut niveau, avec plusieurs départements placés en vigilance rouge, entraînant la fermeture de certains massifs forestiers et le déploiement de renforts de pompiers.Le film 'Les Schtroumpfs' sort en salles avec un casting vocal de rêve, dont Rihanna pour la bande originale aux États-Unis et des voix françaises connues comme François Damiens ou Jérôme Commandeur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre a dévoilé un plan d'économies de 43,8 milliards d'euros pour 2026 afin de ramener le déficit à 4,6% du PIB, incluant le gel des retraites et des dépenses de l'État, la réduction des postes de fonctionnaires, la suppression de deux jours fériés, ainsi que des mesures sur la santé.Les oppositions de gauche et du Rassemblement National menacent de censurer le gouvernement face à ces annonces jugées trop brutales et inacceptables.Dans le sud-est de la France, le risque incendie est au plus haut niveau, avec plusieurs départements placés en vigilance rouge, entraînant la fermeture de certains massifs forestiers et le déploiement de renforts de pompiers.Le film 'Les Schtroumpfs' sort en salles avec un casting vocal de rêve, dont Rihanna pour la bande originale aux États-Unis et des voix françaises connues comme François Damiens ou Jérôme Commandeur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre critique du film "Les Schtroumpfs, le film" réalisé par Chris Miller avec Sofia Essaïdi, Rihanna, Jérôme Commandeur.Abonnez-vous au podcast CINECAST sur la plateforme de votre choix : https://smartlink.ausha.co/cinecast --- Titre : Les Schtroumpfs, le filmSortie : 16 juillet 2025Réalisé par Chris MillerAvec : Sofia Essaïdi, Rihanna, Jérôme Commandeur.Synopsis : Lorsque le Grand Schtroumpf est mystérieusement kidnappé par les vilains sorciers : Razamel et Gargamel, la Schtroumpfette et son meilleur ami Le Schtroumpf Sans-Nom partent en mission pour le retrouver ! Commence alors une aventure délirante où nos héros bleus vont croiser la route de nouveaux amis hauts en couleur comme Mama Poot et ses petits. Les Schtroumpfs doivent prendre en main leur destin pour sauver celui du monde entier !#LesSchtroumpfs #CINECASTHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le film “L'Accident de piano” de Quentin Dupieux est actuellement en salles. Pour suivre Jérôme Commandeur : https://www.instagram.com/jeromecommandeur/?hl=fr
Bertrand Lesguillons vous présente la sortie ciné de " Jurassic World: Renaissance " avec Scarlettt Johansson et " L'accident de piano " avec Adèle Exarchopoulos et Jérôme Commandeur.
Bertrand Lesguillons vous présente la sortie ciné de " Jurassic World: Renaissance " avec Scarlettt Johansson et " L'accident de piano " avec Adèle Exarchopoulos et Jérôme Commandeur.
Quentin Dupieux, ou le goût du bizarre, du décalé avec des films comme "Manibules", "Le daim", "Réalité" ou "Steak". Cette fois, il imagine comment une influenceuse détestable qui ne ressent pas la douleur physique ni l'empathie s'inflige des sévices de plus en plus extrêmes en se filmant pour ses millions de followers. Elle va entrainer son assistant personnel dans la vidéo de trop. Elle, c'est Adèle Exarchopoulos, lui c'est Jérôme Commandeur à qui Stéphane Boudsocq a demandé de nous parler de son propre rapport aux réseaux sociaux : il pratique mais avec modération... Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'humoriste et comédien Jérôme Commandeur sera mercredi à l'affiche de "L'accident de piano", le nouveau film de Quentin Dupieux. Il est notre invité en tête-à-tête, au micro de Stéphane Boudsocq. En ce début d'été, on fait le plein d'idées de lecture, avec le coup de cœur d'Antoine Leiris pour "Sadie à Bride-les-bains", le premier roman pour adultes de la reine de la littérature jeunesse Susie Morgenstern, et avec une sélection de livres pour enfants préparée par Laurent Marsick L'édito télé de Isabelle Morini-Bosc : quand les émissions et séries télé donnent de sacrés coups de main, notamment dans les enquêtes policières. Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 29 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Stéphane Boudsocq s'entretient avec Jérôme Commandeur, acteur et humoriste. À l'occasion de sa participation au film "L'accident de piano" de Quentin Dupieux, il partage son expérience avec le réalisateur et son rapport aux réseaux sociaux. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Stéphane Boudsocq s'entretient avec Jérôme Commandeur, acteur et humoriste. À l'occasion de sa participation au film "L'accident de piano" de Quentin Dupieux, il partage son expérience avec le réalisateur et son rapport aux réseaux sociaux. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Stéphane Boudsocq s'entretient avec Jérôme Commandeur, acteur et humoriste. À l'occasion de sa participation au film "L'accident de piano" de Quentin Dupieux, il partage son expérience avec le réalisateur et son rapport aux réseaux sociaux. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Stéphane Boudsocq s'entretient avec Jérôme Commandeur, acteur et humoriste. À l'occasion de sa participation au film "L'accident de piano" de Quentin Dupieux, il partage son expérience avec le réalisateur et son rapport aux réseaux sociaux. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Pilote automobile, homme d'affaires, pionnier de la Formule 1, Enzo Anselmo Giuseppe Maria Ferrari est le fondateur de l'empire Ferrari, et notamment de la Scuderia Ferrari, écurie de course devenue mondialement connue. Surnommé "il Commendatore" ("le Commandeur"), Enzo Ferrari a consacré sa vie à son entreprise, au point de devenir une figure historique majeure. Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
Enfermées et privées de statut légal, près de 300 personnes prises en charge par le gouvernement panaméen à la demande de l'administration Trump ne sont toujours pas fixées sur leur sort. Reportage de Grégoire Pourtier. Au cœur de Panama City, enserré entre un hôpital et un centre commercial abritant boutiques chics et casinos, le luxueux hôtel Decapolis a été vidé de ses touristes. On n'y pénètre plus qu'en trompant la vigilance de la police, mais pas de chambre disponible, impossible même d'y commander un café. « L'hôtel est en rénovation », nous explique-t-on dans le vaste lobby, déserté. En fait, le Decapolis hébergeait en ce début de semaine 299 migrants renvoyés des États-Unis.« J'ai aussi réussi à entrer, mais on m'a dit qu'il n'y avait pas d'instruction pour que je puisse rencontrer mes clients, qu'on ne pouvait rien me dire », relate Susana Sabalza, une avocate spécialisée dans les questions migratoires. « J'ai attendu toute la matinée et quand j'ai passé quelques coups de fil, immédiatement ont débarqué les services du Défenseur du peuple et des journalistes. Mais là, on nous a finalement viré de l'hôtel. »Les migrants sont isolés dans leurs chambres. On les aperçoit depuis l'extérieur, derrière leurs fenêtres, certains faisant des signes pour exprimer visiblement leur peur d'être renvoyés dans leur pays d'origine.Le Défenseur du peuple, un organe indépendant chargé des droits de l'homme au Panama, a pu, lui, accéder à certains de ces résidents forcés. Eduardo Leblanc, son directeur : « Nous sommes venus avec une psychologue, des avocats, des responsables des Droits de l'homme. Nous avons pu faire des entretiens, en priorité avec les familles, car la situation des enfants et des adolescents est le plus important pour nous. Nous avons donc parlé avec certains d'entre eux, pour voir comment ils allaient, et connaître un peu leur expérience ».Ils sont 24 enfants répartis dans 12 familles, dont l'une, taïwanaise, a des amis communs avec l'avocate Susana Sabalza. Elle voudrait les prendre en charge mais n'a pas pu les rencontrer au Decapolis, ni même leur parler par téléphone. Elle a finalement été informée officieusement qu'ils avaient été déplacés, de nuit, avec une centaine d'autres personnes, dans un camp précaire, en bordure de la jungle. Susana Sabalza dénonce les conditions imposées à ces migrants, dont la moitié aurait déjà accepté d'être rapatriés dans leur pays d'origine. « Le ministre de la Sécurité a indiqué fermement qu'ils ne sont pas séquestrés, qu'ils sont sous leur responsabilité, rappelle Susana Sabalza. Cependant, nous sommes sur le territoire panaméen, ils sont comme en détention car il y a clairement un vide juridique. Je n'accuse pas notre gouvernement car il faut être conscient de la pression imposée par les Etats-Unis. Mais jusqu'à quel point le Panama va-t-il accepter cela ? »Le petit pays est en effet dans le viseur de Donald Trump, qui a exprimé son envie de récupérer le canal que les Américains contrôlaient jusqu'à l'an 2000. Le président José Raul Mulino a cependant assuré que cette opération n'avait pas vocation à être reproduite, le Panama servant simplement de facilitateur avec des pays où les Etats-Unis n'auraient pas pu renvoyer ceux que Washington juge indésirables.Cependant, le Défenseur du peuple Eduardo Leblanc, estime que la situation légale doit être clarifiée. « Nous avons émis des recommandations pour le gouvernement panaméen par rapport à cette situation inédite pour le pays. Premièrement, toute les personnes qui entrent au Panama doivent avoir un statut migratoire. Ensuite, elles doivent avoir accès à des services de santé, d'alimentation. Enfin, elles doivent pouvoir solliciter l'asile dans les cas où c'est nécessaire, et il faut une attention spéciale pour les enfants et les adolescents. »Le gouvernement indique que 13 personnes ont déjà été rapatriées, et que l'opération, prise en charge par l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), une agence des Nations-Unies, ne coûtera pas un centime au pays. Frankétienne, mort d'un monument de la culture haïtiennePoète, écrivain, homme de théâtre, artiste, musicien, Jean-Pierre Basilic Dantor Franck Étienne d'Argent de son vrai nom, est mort hier soir chez lui dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince, à l'âge de 89 ans. La presse en Haïti lui rend un hommage appuyé et souligne son caractère hors-norme, « hyperbolique, abondant », selon le Nouvelliste, qui s'incline devant le départ d'un « génial mégalomane ». Frankétienne touchait à tout, à la littérature, à la chimie, aux mathématiques, « c'était un génie, un artiste polyvalent qui a peint des centaines de tableaux, écrit près de soixante-dix ouvrages mêlant poésies, romans, pièces de théâtre qu'il mettait lui-même en scène et qu'il interprétait avec succès. Frankétienne ne supportait pas la banalité, l'ordinaire, et prenait le parti de faire ce que les autres écrivains, les autres peintres ou dramaturges ne faisaient pas ».Il a exercé une énorme influence sur la poésie haïtienne, sur la langue aussi, avec ses propres mots, couchés, entre autre, dans un roman de 2017 : « embrindezingué », « salopété », « dévaginer », une ribambelle de néologismes qui ont forgé un art bien à lui, au cours d'une très longue carrière entamée dans les années 1960. Il deviendra d'ailleurs, note l'agence Alterpresse, le premier et éphémère titulaire du Ministère de la culture en Haïti, en 1988. Commandeur de l'Ordre des arts et des lettres, son œuvre multiforme continue, conclut Alterpresse, « d'influencer et d'inspirer les générations actuelles et les générations futures ».À lire aussiL'écrivain et poète haïtien, Frankétienne, est décédéLe ministère américain de l'Intérieur revient sur l'extension du TPS pour les Haïtiens Joe Biden avait étendu ce dispositif jusqu'en février 2026 pour les ressortissants haïtiens, l'administration Trump vient de revenir sur cette décision et la date butoir est ramenée au 3 août. Au-delà de ce jour, à moins qu'ils aient pu accéder à un autre statut légal, les Haïtiens qui bénéficiaient jusqu'alors du TPS seront à la merci d'une expulsion, et l'on parle d'un chiffre considérable : environ 500 000 Haïtiens seraient concernés par cette mesure. Dans le Miami Herald, colère de Frederica Wilson, élue démocrate de Floride, selon qui cette décision de la nouvelle Maison Blanche revient à un « baiser de la mort. Elle est révoltante, lâche Frederica Wilson, car les troubles qui touchent Haïti sont réels et nous devrions soutenir les Haïtiens au lieu de leur tourner le dos ». Les démocrates désarçonnés après un mois de présidence Trump30 jours au pouvoir, des bouleversements diplomatiques d'une ampleur inédite, une cohorte de décrets, des déclarations fracassantes qui noient la voix de l'opposition aux États-Unis : les démocrates ont bien du mal à réagir et s'adapter au rythme de la nouvelle Maison Blanche. Dossier de notre correspondant à Washington, Guillaume Naudin, à réécouter dans son intégralité dans l'édition du jour. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreLes chiffres alarmants de la sécurité routière en Guadeloupe : 54 morts sur les routes l'an dernier pour seulement 380 000 habitants.
Michiel Commandeur is the trainer/coach of Kaihatsu. He provides karate lessons, self-defense training and coaching. Michiel has the 5th dan karate at the Karate-do Bond Nederland, is a certified karate teacher, mental coach and self-defense trainer. https://www.kaihatsu.nl https://michielcommandeur.nl Facebook.com/KaihatsuNL https://www.facebook.com/michiel.commandeur.5 Support Karate For Mental Health CIC Support when you shopping via Easy Funding Grab a t-shirt! https://kfmhcic.creator-spring.com/ Don't forget to grab your Karate Journal to document your journey: Karate Journal Link: https://amzn.to/3l9spmt If you found value in this episode or enjoyed it, please consider sharing it with your friends on social media. And if it didn't resonate with you, feel free to pass it along to your enemies – perhaps they'll find it enlightening! Support the show at no extra cost to you by shopping on Amazon through my affiliate link, where I receive a small commission on your purchases. It's a win-win! Find the link below. Amazon Affiliate Link: https://amzn.to/3qqfuhy Les Bubka's Shop: https://lesshop.ammhub.com About Les Bubka: Author, Karate coach, entrepreneur, and creator of the #Hikite4ever T-shirt. Les promotes inclusive Karate with a focus on the mental health aspects of training. Teaching nationally and internationally. Let's connect: info@lesbubka.co.uk Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, un point sur les discussions entre DAZN et la Ligue de football professionnel, BFMTV a procédé à plusieurs changements dans sa grille ces dernières semaines et pourrait recruter Anne-Sophie Lapix pour la saison prochaine, le nouvel épisode d'Envoyé Spécial suscite des vives réactions dans la sphère politique alors qu'il n'a même pas encore été diffusé et Michel Drucker sera officiellement commandeur de la légion d'honneur.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, un point sur les discussions entre DAZN et la Ligue de football professionnel, BFMTV a procédé à plusieurs changements dans sa grille ces dernières semaines et pourrait recruter Anne-Sophie Lapix pour la saison prochaine, le nouvel épisode d'Envoyé Spécial suscite des vives réactions dans la sphère politique alors qu'il n'a même pas encore été diffusé et Michel Drucker sera officiellement commandeur de la légion d'honneur.
Le Père Noël circule t-il en avion pour faire plus de livraisons ? À quoi servent les magasins de jouets si le Père Noël possède son propre atelier ? Jérôme Commandeur serait-il le seul adulte qui ne croit pas au Père Noël ?David Castello-Lopes et son invité tentent de répondre à des questions plus ou moins existentielles dans ce Small Talk de Noël.Small Talk est diffusé le mercredi toutes les deux semaines sur Youtube et sur votre plateforme de podcasts préférée, abonnez vous pour ne rater aucun épisode : https://audmns.com/gATkzsACrédits : Animateur : David Castello-Lopes | Producteur, chef de projet et réalisateur : Robin Riccitiello | Direction de création : Raphaël Choyé | Direction de la rédaction : Marjorie Du Manoir | Directeur artistique : Jordan Beline | Programmateur : Alexandre Duarte | Enregistré chez Konbini et mixé par Maxime Vanderbeck chez Capitaine Plouf | Monteur : Tom Ferrer | Journaliste : Barbara Silvera Sonigo |
Avec Jérome Commandeur et Benjamin Tranié. Présenté par Florent Bernard et Adrien Ménielle. On en parle de choses dans cet épisode : de prononciations, de Pékin Express, de Nikos Aliagas, d'émissions télés, de la chanson de Renaud sur la Phryge, d'un pilote de l'air qui fait pipi, de conseils de grand-mère, des crotteurs, de lutins farceurs, de soupe royco et de l'émission « Un Café, une Pisse ». Tu peux nous laisser des bonnes notes sur ta plateforme d'écoute et/ou en parler autour de toi, le bouche-à-oreille, c'est toujours chanmé ! Bises,Flo. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:21:06 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Jérôme Commandeur, humoriste, auteur de la série “Le Monde magique” sur Canal+, est l'invité de Léa Salamé.
durée : 02:59:16 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Kamel Daoud, écrivain, Hugo Caselles-Dupré, chercheur en intelligence artificielle, Éric Sadin, philosophe, Jérôme Commandeur, humoriste, et Benjamin Stock, écrivain, sont les invités du 7/10.
durée : 00:21:06 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Jérôme Commandeur, humoriste, auteur de la série “Le Monde magique” sur Canal+, est l'invité de Léa Salamé.
REDIFF - Pilote automobile, homme d'affaires, pionnier de la Formule 1, Enzo Anselmo Giuseppe Maria Ferrari est le fondateur de l'empire Ferrari, et notamment de la Scuderia Ferrari, écurie de course devenue mondialement connue. Surnommé "il Commendatore" ("le Commandeur"), Enzo Ferrari a consacré sa vie à son entreprise, au point de devenir une figure historique majeure. Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
REDIFF - Pilote automobile, homme d'affaires, pionnier de la Formule 1, Enzo Anselmo Giuseppe Maria Ferrari est le fondateur de l'empire Ferrari, et notamment de la Scuderia Ferrari, écurie de course devenue mondialement connue. Surnommé "il Commendatore" ("le Commandeur"), Enzo Ferrari a consacré sa vie à son entreprise, au point de devenir une figure historique majeure. Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
De nombreuses espèces animales se sont éteintes en raison des activités humaines au fil des siècles, souvent à cause de la chasse excessive, de la destruction des habitats et de l'introduction d'espèces invasives. Voici cinq exemples marquants d'animaux qui ont disparu en grande partie à cause des humains : 1. Le Dodo (Raphus cucullatus)Le dodo était un grand oiseau incapable de voler qui vivait exclusivement sur l'île Maurice, dans l'océan Indien. Cet oiseau, découvert par les marins européens au 17ème siècle, a été rapidement exterminé, principalement à cause de la chasse intensive et de la destruction de son habitat. Les colons ont introduit des animaux comme les cochons, les chiens et les rats, qui ont détruit les œufs et les jeunes dodos, contribuant ainsi à l'extinction de l'espèce en moins d'un siècle après sa découverte. 2. Le Tigre de Tasmanie (Thylacinus cynocephalus)Également connu sous le nom de thylacine, ce marsupial carnivore ressemblant à un loup vivait en Australie, en Tasmanie et en Nouvelle-Guinée. Il a été chassé jusqu'à l'extinction par les colons européens au 19ème et début du 20ème siècle, qui le considéraient comme une menace pour leur bétail. La destruction des forêts pour l'agriculture et la concurrence avec les chiens domestiques ont également contribué à sa disparition. Le dernier tigre de Tasmanie connu est mort en captivité en 1936. 3. Le Grand Pingouin (Pinguinus impennis)Cet oiseau marin incapable de voler, autrefois abondant dans l'Atlantique Nord, a été exterminé par la chasse excessive. Les Européens tuaient le grand pingouin pour sa viande, ses plumes et ses œufs. L'animal était également prisé pour sa graisse, utilisée dans les lampes à huile. La surexploitation de l'espèce a été si rapide que le dernier couple de grands pingouins a été tué en 1844 sur l'île Eldey, près de l'Islande. 4. La Vache de mer de Steller (Hydrodamalis gigas)Découverte en 1741 par l'explorateur Georg Wilhelm Steller, cette gigantesque créature marine habitait les eaux peu profondes autour des îles Commandeur, dans le Pacifique Nord. L'espèce a été chassée pour sa viande et sa graisse. En moins de 30 ans après sa découverte, la vache de mer de Steller a disparu, victime de la chasse intensive menée par les chasseurs de fourrures et les marins. 5. Le Moa (Dinornithiformes)Les moas étaient de grands oiseaux incapables de voler, endémiques de la Nouvelle-Zélande. Certaines espèces mesuraient plus de trois mètres de haut. Ils ont été exterminés par les Maoris, qui sont arrivés en Nouvelle-Zélande autour du 13ème siècle. Les Moas étaient chassés pour leur viande, et la destruction de leurs habitats forestiers a accéléré leur extinction, qui s'est produite quelques centaines d'années après l'arrivée des humains. Ces exemples soulignent l'impact dévastateur que les activités humaines peuvent avoir sur la faune. La chasse, la déforestation, et l'introduction d'espèces invasives ont contribué à la disparition de ces animaux, laissant des écosystèmes appauvris et un héritage de perte irréversible. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
It is said that people never die until the last person says their name. In memory of the writer and director Paul Auster, who passed away this week, we're sharing this conversation we had back in 2017 after the publication of his novel 4 3, 2, 1. Auster reflects on his body of work, life, and creative process.Paul Auster was the bestselling author of Winter Journal, Sunset Park, Invisible, The Book of Illusions, and The New York Trilogy, among many other works. He has been awarded the Prince of Asturias Award for Literature, the Prix Médicis étranger, an Independent Spirit Award, and the Premio Napoli. He is a member of the American Academy of Arts and Letters, the American Academy of Arts and Sciences, and is a Commandeur de l'Ordre des Arts et des Lettres. He has also penned several screenplays for films such as Smoke (1995), as well as Lulu on the Bridge (1998) and The Inner Life of Martin Frost (2007), which he also directed.“But what happens is a space is created. And maybe it's the only space of its kind in the world in which two absolute strangers can meet each other on terms of absolute intimacy. I think this is what is at the heart of the experience and why once you become a reader that you want to repeat that experience, that very deep total communication with that invisible stranger who has written the book that you're holding in your hands. And that's why I think, in spite of everything, novels are not going to stop being written, no matter what the circumstances. We need stories. We're all human beings, and it's stories from the moment we're able to talk.”We apologize for the quality of the recording since it was not originally meant to be aired as a podcast. Portrait of Paul Auster by Mia Funk, inspired by his novel 4,3,2,1.www.penguinrandomhouse.com/authors/1045/paul-austerwww.creativeprocess.infowww.oneplanetpodcast.orgIG www.instagram.com/creativeprocesspodcast
It is said that people never die until the last person says their name. In memory of the writer and director Paul Auster, who passed away this week, we're sharing this conversation we had back in 2017 after the publication of his novel 4 3, 2, 1. Auster reflects on his body of work, life, and creative process.Paul Auster was the bestselling author of Winter Journal, Sunset Park, Invisible, The Book of Illusions, and The New York Trilogy, among many other works. He has been awarded the Prince of Asturias Award for Literature, the Prix Médicis étranger, an Independent Spirit Award, and the Premio Napoli. He is a member of the American Academy of Arts and Letters, the American Academy of Arts and Sciences, and is a Commandeur de l'Ordre des Arts et des Lettres. He has also penned several screenplays for films such as Smoke (1995), as well as Lulu on the Bridge (1998) and The Inner Life of Martin Frost (2007), which he also directed.“But what happens is a space is created. And maybe it's the only space of its kind in the world in which two absolute strangers can meet each other on terms of absolute intimacy. I think this is what is at the heart of the experience and why once you become a reader that you want to repeat that experience, that very deep total communication with that invisible stranger who has written the book that you're holding in your hands. And that's why I think, in spite of everything, novels are not going to stop being written, no matter what the circumstances. We need stories. We're all human beings, and it's stories from the moment we're able to talk.”We apologize for the quality of the recording since it was not originally meant to be aired as a podcast. Portrait of Paul Auster by Mia Funk, inspired by his novel 4,3,2,1.www.penguinrandomhouse.com/authors/1045/paul-austerwww.creativeprocess.infowww.oneplanetpodcast.orgIG www.instagram.com/creativeprocesspodcast