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L'émission 28 minutes du 28/05/2025 Véronique Sanson n'est pas prête à tirer sa révérenceVéronique Sanson se produit sur scène avec sa tournée “Hasta luego” jusqu'au 31 juillet, avant de revenir devant son public à l'automne avec une autre intitulée “J'ai eu envie de vous revoir”. On ne présente plus cette icône de la chanson française, avec plus de 6 millions d'albums vendus et trois victoires de la musique à son compteur. Sa vie, comme ses chansons, ont touché plusieurs générations. Parmi ses singles les plus connus, on retrouve “Amoureuse”, “Besoin de personne” ou encore “Vancouver”. Elle y raconte ses sentiments qui font écho à ceux du public mais aussi son rapport à la drogue et à l'alcool. L'auteure, compositrice, interprète et pianiste de 76 ans s'est confiée sur son rapport à la scène : “Le studio, ça m'assomme, ça me barbe, je déteste ça, le casque, l'aquarium, le mixage… Le live, c'est tellement plus intense, direct.” Elle est notre invitée. Le loup : un animal à abattre ou à protéger ? Le 8 mai, le Parlement européen a voté à une écrasante majorité pour limiter la protection des loups. En passant d'animal "strictement protégé" a simplement "protégé", le droit européen rétrograde son statut. Les tirs et l'abattage des loups sont ainsi facilités dans les régions où il est jugé trop menaçant pour le bétail. En France, des éleveurs dénoncent une multiplication des attaques sur leurs troupeaux. En décembre 2024, seulement 1 000 loups ont été recensés sur le territoire. À la fin du 19e siècle, il avait presque disparu d'Europe de l'Ouest, mais sa population a crû ces dernières années grâce aux mesures de protection dont il bénéficiait. L'Homme peut-il cohabiter avec le loup ? Enfin, Xavier Mauduit rappelle la longue histoire des relations entre la France et l'Asie, jalonnées par un étonnant projet de conquête. Marie Bonnisseau raconte comment Agatha Christie, monument de la littérature britannique décédée en 1976, revient d'entre les morts pour présider des masterclass de littérature. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 28 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
On today's REX Daily Podcast, Dom talks with Tom Sanson from Gold Creek Simmentals near Gisborne about its recent successful bull sale, the history of the stud and the ongoing effects of Cyclone Gabrielle... He talks with Rural Leaders CEO Lisa Rogers and Marketing & Communications Manager Matt Hampton about the launch of the MyLead platform, how it matches people with relevant leadership courses within the food and fibre sector and how it could help strengthen the leadership capabilities in the sector... And he talks with rural health advocate Craig Wiggins about career choices, dog trials and Fieldays. Tune in daily for the latest and greatest REX rural content on your favourite streaming platform, visit rexonline.co.nz and follow us on Instagram, Facebook and LinkedIn for more.
Dom talks with Tom Sanson from Gold Creek Simmentals near Gisborne about its recent successful bull sale, the history of the stud and the ongoing effects of Cyclone Gabrielle. Tune in daily for the latest and greatest REX rural content on your favourite streaming platform, visit rexonline.co.nz and follow us on Instagram, Facebook and LinkedIn for more.
Julien Clerc est l'invité de "On se tutoie ?..." avec Jean-Luc Reichmann
Véronique Sanson se prépare à repartir en tournée en 2025 avec un nouveau show intitulé "J'ai eu envie de vous revoir". Invitée de Jean-Luc Reichmann dans son émission "On se tutoie ?...", vendredi 16 mai de 19h à 20h, l'amoureuse de la scène et des mots est revenue sur sa carrière et partagé les belles rencontres de sa drôle vie !
Véronique Sanson est l'invitée de "On se tutoie ?..." avec Jean-Luc Reichmann
Invitée de "On se tutoie ?...", Véronique Sanson se dévoile sans filtre
Véronique Sanson est l'invitée de "On se tutoie ?..." avec Jean-Luc Reichmann
Véronique Sanson est l'invitée de "On se tutoie ?..." avec Jean-Luc Reichmann
Véronique Sanson est l'invitée de "On se tutoie ?..." avec Jean-Luc Reichmann
Véronique Sanson est l'invitée de "On se tutoie ?..." avec Jean-Luc Reichmann
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Line Renaud, Véronique Sanson ou encore Catherine Frot... Toutes ces artistes reprennent les célèbres phrases du rappeur Jul. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Today's episode features Cherub Sanson - sound healer, teacher and inspirational speaker. Together with her sound partner Tim Wheater, Martyn has composed and performed immersive 3D sound pieces at some of the greatest concert halls, including the magnificent Elbphilharmonie in Hamburg.Recently Martyn and Cherub discussed all things sound related at a talk at Conway Hall in London - https://youtube.com/shorts/dQi2Hu5Ztpg?si=7rMKkULDll-MayNcLadies and gentlemen - welcome to the power of sound - meet Cherub Sanson...If you can, please support the Electronically Yours podcast via my Patreon: patreon.com/electronicallyours
Bon anniversaire à Véronique Sanson ! Elle repart en tournée cet été ! Si vous deviez garder un seul titre de Véro, ça serait lequel ?
Bon anniversaire à Véronique Sanson ! Elle repart en tournée cet été ! Si vous deviez garder un seul titre de Véro, ça serait lequel ?
Voici un nouvel épisode de Blind Best, le podcast ! On y retrouve Elodie, qui aime Alain Souchon, Amy Winehouse et Véronique Sanson. Elle fait face à Fanny, qui aime Christophe, Lana Del Rey et Michel Berger !Une émission toujours en partenariat avec l'app Bandle, qui vous permet de jouer chaque jour pour identifier une chanson décomposée instrument par instrument : un must pour les fans de blind tests ! A jouer ici en ligne ou à télécharger sur l'App Store et le Play Store ! Thanks to our monthly supporters Jules Tréhorel Anis Marie SIMON Fanny Mahler Cécile Patissier Anthong
Elle est la bonne fée des jeunes entrepreneurs français depuis 15 ans. Et elle sera bientôt la bonne étoile de milliers de salariés en France.Avec le Moovjee, qu'elle a cofondé il y a 15 ans avec Dominique Restino, elle permet aux jeunes dirigeants de trouver, matcher et grandir avec un mentor, lui même entrepreneur, plus aguerri que son mentoré. Qui n'a jamais rêver de pouvoir échanger régulièrement avec un entrepreneur qui a emprunté avant soi, de nombreux chemins par lesquels tout jeune entrepreneur va devoir passer ?Le mentorat entrepreneurial n'a plus à prouver son potentiel.Cette méthode va aussi devenir à présent un atout pour des milliers de salariés.Depuis 18 mois, elle a lancé le programme Woork, accessible aux 18-30 ans dans les 6 premiers mois de leur prise de poste. Elle est convaincue que grâce au mentorat, l'inclusion n'est pas un vain mot, mais un véritable outil de transformation.Et les entrepreneurs aussi devraient s'y retrouver : une prise de fonction plus rapide, une communication interne facilitée avec le management. Tous les ingrédients pour mieux onboarder et fidéliser les jeunes talents dans son équipe.Dans cet épisode lumineux, préparez vous à découvrir - ou redécouvrir - cette véritable architecte du mentorat et de l'inclusion en France. Celle qui d'ordinaire est plutôt dans les coulisses, se met à nu derrière notre micro.On y parle de :Son début de carrière, loin des idéaux qu'elle avait imaginésDes boîtes qu'elle a plantéesSa rencontre avec Dominique et les débuts palpitants du MoovjeeLe décès de son fils à l'âge de 13 ans qui la conduit à explorer sa présence au mondeSa passion pour l'écriture et son premier livre qui parle de tous les deuils interdits et qui n'attend plus qu'un éditeur pour que le monde entier découvre sa plume et son récit si prenantUn épisode où vous découvriez une femme entrepreneure d'exception, résiliente, à qui la vie n ‘a pas fait de cadeau mais qui garde son optimisme et son sourire à toute épreuve. Elle nous a dit se nourrir du sourire des autres, elle ne nous le rend bien.Et côté Sista, Bénédicte. décidé de mettre en lumière Marine Billard, elle aussi très engagée dans le mentorat, et fondatrice de Groupe St Ho.Merci à tous nos complices qui ont posé des questions suprises à Bénédicte dans cet épisode : Dominique Restino, Farid Lahlou, Marie Adeline-Peix, Arnaud Le Gal, Philippe Bloch, Antoine Védrenne, la fille de Bénédicte Sidonie, et Vincent Redrado.Dans cet épisode, on parle aussi de :- le 3ème épisode de Cash Out - Le podcast de l'exit en musique - avec Stéphane Bohbot : https://www.feuilleblanche.com/03-exit-a-30-millions-pour-celui-qui-a-mis-les-daft-punk-dans-nos-telephones-stephane-bohbot-digiplug/- Woork : https://woork-mentorat.fr/- Moovjee : https://www.moovjee.fr/- Rezoo : https://www.rezoo-mentorat.fr/- Twoo : https://www.twoo.com/Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Roxane nous parle de son côté sauvage, de la routine dans le couple, de Dolipranus, de sa carrière, de ce qu'elle écoute en marchant, de sa rencontre avec Audrey Tautou, et sa maison en Normandie guidée par "Chanson sur ma drôle de vie" de Véronique Sanson; Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:00:23 - Club Jazzafip - La célèbre animatrice, amatrice des chansons de Françoise Hardy, Véronique Sanson, Julien Clerc, Les Rita Mitsouko ou encore Marc Lavoine, partage avec nous son jazz de cœur.
La chanteuse française Santa est l'une des nouvelles têtes d'affiche de la variété française. Il y a un peu moins d'une semaine, lors de la 40e édition des Victoires de la Musique (le 14 février) elle était donnée favorite, car nommée dans quatre catégories. Elle a finalement remporté la Victoire du Meilleur album pour son premier disque Recommence-moi, sorti juste avant l'été 2024. RFI : Y aura-t-il un avant et un après « Victoires de la Musique 2025 » pour vous ? Santa : Le futur décidera pour moi, mais en tout cas, dans mon cœur, oui. Et cette Victoire marque le tournant d'un joli recommencement.Cette Victoire de l'Album de l'année, c'est celle que vous espériez le plus, qui était la plus importante pour vous ? Oui, parce qu'elle salue un album, Recommence-moi. C'est un album qui m'est si cher. Et puis, on ne peut pas faire deux fois un premier album. Il ne fallait pas que je passe à côté de cette Victoire.Vous êtes apparue lors des Victoires, suspendue dans les airs, la tête en bas. Vous aimez bien ces performances spectaculaires, depuis toujours, quasiment ? Oui, j'aime le spectacle. J'aime aussi le don de soi, que ce soit corporel, dans le chant, dans l'envie de traverser les cœurs, dans des grandes mises en scène. Et dans mes chansons aussi. Mais j'aime les habiller parce qu'elles sont pudiques. Et on se souvient de Bruxelles notamment. Suspendue dans les airs. Ça a été toute une entreprise à mettre en place, je suppose…Oui, mais comme tout. Je m'aperçois que tout est entreprise quand on veut faire des pas de côté et proposer du spectacle. Mais oui, ça a commencé effectivement par un concert à Bruxelles, suspendue à 40 mètres de haut par une grue avec mon piano à queue. Et puis depuis lors, je ne cesse d'essayer d'égayer les gens et de me raconter en chanson et aussi en « Waouh » ! J'adore justement créer l'événement et faire briller un petit peu les yeux des enfants, mais aussi les yeux des enfants qu'il y a en nous.Et ce « Waouh » comme vous dites, c'est lui qui provoque ce bouche-à-oreille qui est à l'origine du succès ?Alors ça a commencé par « Popcorn salé » qui s'est partagé de bibliothèque en bibliothèque, de messages en messages. Et c'est ce qui a été la plus grande réjouissance pour moi, c'est de voir que petit à petit, cette chanson grandissait dans le cœur des gens.Parce qu'au départ, cette chanson, vous l'aviez écrite toute seule dans votre chambre. Vous étiez à 1000 lieues de la proposer. On vous a encouragé à la sortir. Comment ça s'est passé exactement ? Ce sont mes amis qui m'ont dit : « Il faut absolument que tu sortes cette chanson. Elle va faire du bien aux gens ». Et je pense que c'est cette phrase qui a percuté mon cœur et qui depuis lors, le fait battre à la chamade. C'est une rencontre que de voir des enfants chanter en concert avec leurs parents, leurs grands-parents cette chanson, la reprendre en chœur. C'est le début de cette histoire, de cette carrière, je l'espère.Les enfants, leurs parents, leurs grands-parents, c'est votre public justement, Il est intergénérationnel et ça aussi, ça fait partie un petit peu de ce qui fait votre marque de fabrique ? Alors ça, on ne peut pas le calculer. Mais cependant, c'est la plus grande joie que je peux souhaiter à n'importe quelle chanteuse ou chanteur, c'est de ne pas chanter pour une génération, mais justement pour un état d'esprit. Et cet état d'esprit qui est celui des émotions, de l'amour, je le souhaite à toutes les générations.Vous avez dédié cette Victoire à vos parents, décédés tous les deux. Vous ont-ils beaucoup encouragé dans cette voie ? Dans ma voie … et dans une voie qui est celle de la liberté, de l'expression, du panache, du verbe et de l'amour. On y revient. Mais toutes ces chansons ont ce lien là que de chanter l'amour. Alors qu'il soit fraternel ou propre, je le souhaite à tout le monde. C'est la quête d'une vie de s'aimer. Mais je pense que c'est le but de ma vie que d'égayer la vôtre.Et parmi ces chansons qui chantent l'amour, il y a la dernière-née, « La différence » qui compte beaucoup pour vous. C'est une sorte d'hymne de résistance ?Oui, on peut le dire comme ça, parce que je le scande dans la chanson « Résiste ». Je pense qu'il faut preuve de courage pour rester ancré dans cette différence et pas se diluer dans les travers que l'on peut avoir, parfois cruels du regard de l'autre et de jouir de ce privilège. Maintenant, je le dis parce que le temps a fait son œuvre et que j'ai serré le poing et que j'ai réussi à le lever haut. Mais c'est cette différence qui fait que l'on est beau. Et d'accueillir cette beauté avec réjouissance et pas culpabilité.Ce poing serré, vous le levez plusieurs fois pendant les spectacles, presque à tous les titres, C'est une résistance permanente ? Alors ça, je n'ai pas le recul sur moi, je me regarde très rarement et quand je chante, je le fais de manière tellement instinctive, j'essaie tellement de véhiculer de manière sincère ce que j'ai en moi que je ne me regarde pas. Alors peut être qu'effectivement, je le serre souvent, mais c'est pour mieux pouvoir le lever.Vous parliez de cette différence. Elle vous a suivie très tôt, cette différence. Vous étiez en avance sur votre âge. L'École, vous ne l'avez pas faite comme tout le monde. Ça a marqué tout votre parcours ? Disons que ça m'a appris à devoir apprendre ce que ce qu'était le monde. Les sentiments, parfois la violence, souvent même la violence du monde. Et on n'est pas toujours armé pour faire face à cette violence qui est émotionnelle mais aussi factuelle. On se le dit parfois, on s'ancre dans des vertiges qui peuvent être violents dans l'enfance. Alors moi, ma réponse, elle a été en musique et je pense qu'il est là, le panache. C'est de transformer ces chaos en feux de joie et de les transformer aussi en harmonie. Je pense que ce qui est joli en chanson, c'est de pouvoir battre le temps. Moi j'ai battu le temps pour que mon enfance se fasse et qu'une revanche se fasse aussi.Alors ces chansons, vous les écrivez depuis que vous êtes en solo, en français, contrairement à ce que vous faisiez avec votre groupe Hyphen Hyphen avec qui vous aviez eu une Victoire de la musique il y a quelques années. Comment s'est faite la bascule vers le français ? Elle s'est faite inconsciemment quand j'étais derrière le piano et que ces chansons me sont venues droit au cœur. Je les ai saisies, puis je les ai écrites dans un instant de vie, presque automatique. Donc il n'a pas été conscient, ce changement. Par contre, dans la réécriture, je l'ai bien conscientisé parce que c'est une langue qui exige énormément de discipline, qui est magnifique quand on arrive à la faire sonner. Je me le souhaite humblement.Parce que les artistes français que vous admirez, vous les avez un petit peu découverts sur le tard… C'est vrai que ce que j'appelle la grande variété française, Berger, Véronique Sanson, plus récemment Goldman, Mylène Farmer, ce sont des artistes que j'ai découverts ensuite. A la maison, on écoutait beaucoup de musique américaine et anglaise. Moins de chanson française, à part quelques morceaux de Bashung et de Gainsbourg. Donc c'était assez restreint. Et depuis, je pense que Berger a façonné, et Sanson aussi, beaucoup de mes harmonies et mon envie de raconter le monde avec douceur.Quand vous parlez de vos fans, de vos admirateurs, vous dites « pirates ». Pourquoi cette expression ? Je m'appelle aussi « pirate ». On forme une belle équipe, une fine équipe. C'est à dire qu'au début, avec « Popcorn Salé », ce sont des petits actes de piraterie qui ont fait que cette chanson est passée petit à petit en radio. Je me rappelle les premières télés, c'étaient vraiment des actes de piraterie parce qu'il a fallu les arracher et c'est grâce à eux, grâce à leur bouche à oreille, grâce à leurs stickers qu'ils mettaient dans les supermarchés sur les boîtes de popcorn, ou l'affichage, ou le fait d'en parler avec le cœur à leur famille, à leurs amis. Ça, pour moi, c'était un acte de partage et de piraterie. Et c'est grâce à eux que je suis là.Parce qu'au début, ce n'était pas évident. Il y avait l'intro qui était trop longue. Il y avait toujours des contraintes auxquelles on ne s'attend pas…On parlait de faire la différence. (…) On parle beaucoup de pop, on parle beaucoup de rap, mais la variété française, les chansons, les piano-voix, c'était il y a deux ans et demi, on n'en parlait pas du tout. Et du reste, c'est encore une petite bataille, mais c'est une bataille que j'ai portée fièrement parce que j'avais la conviction que l'émotion n'avait pas de format.Votre force, c'est bien sûr l'écriture, la voix. Une voix, qu'on reconnaît tout de suite. Et aussi la scène, évidemment. Et votre ambition, c'est de faire des scènes immenses. Ça va se préciser bientôt…Oui, c'est mon ambition. Alors, c'est une prétention, mais ce n'est pas de l'arrogance. C'est une volonté de faire de grands spectacles. C'est du reste ce que j'ai voulu montrer aux Victoires de la Musique avec cette introduction un petit peu spectaculaire et périlleuse que de chanter à l'envers. Mais il y a un retournement qui fait que ça devient poétique et pas juste un acte de spectaculaire pour spectaculaire, c'est mettre en scène des émotions et bientôt, je vais pouvoir les mettre en scène de manière grandiose dans tous les Zénith de France. La tournée est immense et je ne peux pas en dire trop. Mais ce que je peux dire, c'est que ça sera immense.Il y aura les Zénith puisqu'il y a plusieurs dates et ensuite, encore plus grand… Bercy, mon tout premier Bercy. J'ai un peu du mal à le dire parce que j'ai du mal un peu à réaliser qu'il va falloir être à la hauteur de ce grand rendez-vous. Je prépare vraiment cette scène comme un grand spectacle. J'ai vraiment envie que ce soit un moment où les gens s'oublient, mais cultivent la jouissance de l'instant et qu'ils passent le meilleur moment de tous les temps.Est-ce que vous aviez des rituels avant de monter sur scène ? Ah oui, ils sont trop nombreux, Mais on n'a pas le temps de tous les dire. Je ne suis que rituel. Mettre mes deux bagues, taper sept fois les mains de toute l'équipe. Alors elle devient très grande. Ça me prend quand même vraiment beaucoup de temps et j'ai commencé à le faire et chaque fois que je le faisais, les concerts étaient bons. Maintenant, c'est une liste de rituels. J'enchaîne.Santa Recommence-moi (Parlophone/Warner Music) 2024Facebook / Instagram / YouTube
La chanteuse française Santa est l'une des nouvelles têtes d'affiche de la variété française. Il y a un peu moins d'une semaine, lors de la 40e édition des Victoires de la Musique (le 14 février) elle était donnée favorite, car nommée dans quatre catégories. Elle a finalement remporté la Victoire du Meilleur album pour son premier disque Recommence-moi, sorti juste avant l'été 2024. RFI : Y aura-t-il un avant et un après « Victoires de la Musique 2025 » pour vous ? Santa : Le futur décidera pour moi, mais en tout cas, dans mon cœur, oui. Et cette Victoire marque le tournant d'un joli recommencement.Cette Victoire de l'Album de l'année, c'est celle que vous espériez le plus, qui était la plus importante pour vous ? Oui, parce qu'elle salue un album, Recommence-moi. C'est un album qui m'est si cher. Et puis, on ne peut pas faire deux fois un premier album. Il ne fallait pas que je passe à côté de cette Victoire.Vous êtes apparue lors des Victoires, suspendue dans les airs, la tête en bas. Vous aimez bien ces performances spectaculaires, depuis toujours, quasiment ? Oui, j'aime le spectacle. J'aime aussi le don de soi, que ce soit corporel, dans le chant, dans l'envie de traverser les cœurs, dans des grandes mises en scène. Et dans mes chansons aussi. Mais j'aime les habiller parce qu'elles sont pudiques. Et on se souvient de Bruxelles notamment. Suspendue dans les airs. Ça a été toute une entreprise à mettre en place, je suppose…Oui, mais comme tout. Je m'aperçois que tout est entreprise quand on veut faire des pas de côté et proposer du spectacle. Mais oui, ça a commencé effectivement par un concert à Bruxelles, suspendue à 40 mètres de haut par une grue avec mon piano à queue. Et puis depuis lors, je ne cesse d'essayer d'égayer les gens et de me raconter en chanson et aussi en « Waouh » ! J'adore justement créer l'événement et faire briller un petit peu les yeux des enfants, mais aussi les yeux des enfants qu'il y a en nous.Et ce « Waouh » comme vous dites, c'est lui qui provoque ce bouche-à-oreille qui est à l'origine du succès ?Alors ça a commencé par « Popcorn salé » qui s'est partagé de bibliothèque en bibliothèque, de messages en messages. Et c'est ce qui a été la plus grande réjouissance pour moi, c'est de voir que petit à petit, cette chanson grandissait dans le cœur des gens.Parce qu'au départ, cette chanson, vous l'aviez écrite toute seule dans votre chambre. Vous étiez à 1000 lieues de la proposer. On vous a encouragé à la sortir. Comment ça s'est passé exactement ? Ce sont mes amis qui m'ont dit : « Il faut absolument que tu sortes cette chanson. Elle va faire du bien aux gens ». Et je pense que c'est cette phrase qui a percuté mon cœur et qui depuis lors, le fait battre à la chamade. C'est une rencontre que de voir des enfants chanter en concert avec leurs parents, leurs grands-parents cette chanson, la reprendre en chœur. C'est le début de cette histoire, de cette carrière, je l'espère.Les enfants, leurs parents, leurs grands-parents, c'est votre public justement, Il est intergénérationnel et ça aussi, ça fait partie un petit peu de ce qui fait votre marque de fabrique ? Alors ça, on ne peut pas le calculer. Mais cependant, c'est la plus grande joie que je peux souhaiter à n'importe quelle chanteuse ou chanteur, c'est de ne pas chanter pour une génération, mais justement pour un état d'esprit. Et cet état d'esprit qui est celui des émotions, de l'amour, je le souhaite à toutes les générations.Vous avez dédié cette Victoire à vos parents, décédés tous les deux. Vous ont-ils beaucoup encouragé dans cette voie ? Dans ma voie … et dans une voie qui est celle de la liberté, de l'expression, du panache, du verbe et de l'amour. On y revient. Mais toutes ces chansons ont ce lien là que de chanter l'amour. Alors qu'il soit fraternel ou propre, je le souhaite à tout le monde. C'est la quête d'une vie de s'aimer. Mais je pense que c'est le but de ma vie que d'égayer la vôtre.Et parmi ces chansons qui chantent l'amour, il y a la dernière-née, « La différence » qui compte beaucoup pour vous. C'est une sorte d'hymne de résistance ?Oui, on peut le dire comme ça, parce que je le scande dans la chanson « Résiste ». Je pense qu'il faut preuve de courage pour rester ancré dans cette différence et pas se diluer dans les travers que l'on peut avoir, parfois cruels du regard de l'autre et de jouir de ce privilège. Maintenant, je le dis parce que le temps a fait son œuvre et que j'ai serré le poing et que j'ai réussi à le lever haut. Mais c'est cette différence qui fait que l'on est beau. Et d'accueillir cette beauté avec réjouissance et pas culpabilité.Ce poing serré, vous le levez plusieurs fois pendant les spectacles, presque à tous les titres, C'est une résistance permanente ? Alors ça, je n'ai pas le recul sur moi, je me regarde très rarement et quand je chante, je le fais de manière tellement instinctive, j'essaie tellement de véhiculer de manière sincère ce que j'ai en moi que je ne me regarde pas. Alors peut être qu'effectivement, je le serre souvent, mais c'est pour mieux pouvoir le lever.Vous parliez de cette différence. Elle vous a suivie très tôt, cette différence. Vous étiez en avance sur votre âge. L'École, vous ne l'avez pas faite comme tout le monde. Ça a marqué tout votre parcours ? Disons que ça m'a appris à devoir apprendre ce que ce qu'était le monde. Les sentiments, parfois la violence, souvent même la violence du monde. Et on n'est pas toujours armé pour faire face à cette violence qui est émotionnelle mais aussi factuelle. On se le dit parfois, on s'ancre dans des vertiges qui peuvent être violents dans l'enfance. Alors moi, ma réponse, elle a été en musique et je pense qu'il est là, le panache. C'est de transformer ces chaos en feux de joie et de les transformer aussi en harmonie. Je pense que ce qui est joli en chanson, c'est de pouvoir battre le temps. Moi j'ai battu le temps pour que mon enfance se fasse et qu'une revanche se fasse aussi.Alors ces chansons, vous les écrivez depuis que vous êtes en solo, en français, contrairement à ce que vous faisiez avec votre groupe Hyphen Hyphen avec qui vous aviez eu une Victoire de la musique il y a quelques années. Comment s'est faite la bascule vers le français ? Elle s'est faite inconsciemment quand j'étais derrière le piano et que ces chansons me sont venues droit au cœur. Je les ai saisies, puis je les ai écrites dans un instant de vie, presque automatique. Donc il n'a pas été conscient, ce changement. Par contre, dans la réécriture, je l'ai bien conscientisé parce que c'est une langue qui exige énormément de discipline, qui est magnifique quand on arrive à la faire sonner. Je me le souhaite humblement.Parce que les artistes français que vous admirez, vous les avez un petit peu découverts sur le tard… C'est vrai que ce que j'appelle la grande variété française, Berger, Véronique Sanson, plus récemment Goldman, Mylène Farmer, ce sont des artistes que j'ai découverts ensuite. A la maison, on écoutait beaucoup de musique américaine et anglaise. Moins de chanson française, à part quelques morceaux de Bashung et de Gainsbourg. Donc c'était assez restreint. Et depuis, je pense que Berger a façonné, et Sanson aussi, beaucoup de mes harmonies et mon envie de raconter le monde avec douceur.Quand vous parlez de vos fans, de vos admirateurs, vous dites « pirates ». Pourquoi cette expression ? Je m'appelle aussi « pirate ». On forme une belle équipe, une fine équipe. C'est à dire qu'au début, avec « Popcorn Salé », ce sont des petits actes de piraterie qui ont fait que cette chanson est passée petit à petit en radio. Je me rappelle les premières télés, c'étaient vraiment des actes de piraterie parce qu'il a fallu les arracher et c'est grâce à eux, grâce à leur bouche à oreille, grâce à leurs stickers qu'ils mettaient dans les supermarchés sur les boîtes de popcorn, ou l'affichage, ou le fait d'en parler avec le cœur à leur famille, à leurs amis. Ça, pour moi, c'était un acte de partage et de piraterie. Et c'est grâce à eux que je suis là.Parce qu'au début, ce n'était pas évident. Il y avait l'intro qui était trop longue. Il y avait toujours des contraintes auxquelles on ne s'attend pas…On parlait de faire la différence. (…) On parle beaucoup de pop, on parle beaucoup de rap, mais la variété française, les chansons, les piano-voix, c'était il y a deux ans et demi, on n'en parlait pas du tout. Et du reste, c'est encore une petite bataille, mais c'est une bataille que j'ai portée fièrement parce que j'avais la conviction que l'émotion n'avait pas de format.Votre force, c'est bien sûr l'écriture, la voix. Une voix, qu'on reconnaît tout de suite. Et aussi la scène, évidemment. Et votre ambition, c'est de faire des scènes immenses. Ça va se préciser bientôt…Oui, c'est mon ambition. Alors, c'est une prétention, mais ce n'est pas de l'arrogance. C'est une volonté de faire de grands spectacles. C'est du reste ce que j'ai voulu montrer aux Victoires de la Musique avec cette introduction un petit peu spectaculaire et périlleuse que de chanter à l'envers. Mais il y a un retournement qui fait que ça devient poétique et pas juste un acte de spectaculaire pour spectaculaire, c'est mettre en scène des émotions et bientôt, je vais pouvoir les mettre en scène de manière grandiose dans tous les Zénith de France. La tournée est immense et je ne peux pas en dire trop. Mais ce que je peux dire, c'est que ça sera immense.Il y aura les Zénith puisqu'il y a plusieurs dates et ensuite, encore plus grand… Bercy, mon tout premier Bercy. J'ai un peu du mal à le dire parce que j'ai du mal un peu à réaliser qu'il va falloir être à la hauteur de ce grand rendez-vous. Je prépare vraiment cette scène comme un grand spectacle. J'ai vraiment envie que ce soit un moment où les gens s'oublient, mais cultivent la jouissance de l'instant et qu'ils passent le meilleur moment de tous les temps.Est-ce que vous aviez des rituels avant de monter sur scène ? Ah oui, ils sont trop nombreux, Mais on n'a pas le temps de tous les dire. Je ne suis que rituel. Mettre mes deux bagues, taper sept fois les mains de toute l'équipe. Alors elle devient très grande. Ça me prend quand même vraiment beaucoup de temps et j'ai commencé à le faire et chaque fois que je le faisais, les concerts étaient bons. Maintenant, c'est une liste de rituels. J'enchaîne.Santa Recommence-moi (Parlophone/Warner Music) 2024Facebook / Instagram / YouTube
Alan Sanson is taking people on a trip down heritage lane in Sanson - where he's collected seven houses from different architectural eras.
Dans ce numéro de Pop Culture, Mathieu Alterman explore les erreurs et impairs de nos artistes musicaux préférés. Avec son style engageant et sa connaissance de la musique, Mathieu révèle un côté moins connu de nos chanteurs préférés : leurs approximations grammaticales, leurs confusions géographiques et leurs inventions lexicales qui donnent un charme unique à leurs chansons.Nous découvrons Véronique Sanson et sa « syntaxe amusante », Calo de Géraud et son ombre « qui », Eddie Mitchell et ses « sœurs très chères », Serge Gainsbourg et sa relation « purement conceptuelle » avec le métro parisien, ou encore Michel Sardou et sa samba qui s'invite par inadvertance en Afrique.Au-delà des rires, ces moments d'humanité nous rappellent que même les plus grands artistes ne sont pas à l'abri des erreurs. Loin de les discréditer, ces faux pas les rendent finalement plus attachants aux yeux de Mathieu, qui les célèbre avec tendresse.Véritable festival de gaffes et de maladresses, ce numéro de Pop Culture est un régal pour tous les mélomanes qui aiment se moquer avec tendresse des petits défauts de leurs idoles. Une dose d'humour et de bonne humeur à ne pas manquer !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans ce numéro de Pop Culture, Mathieu Alterman explore les erreurs et impairs de nos artistes musicaux préférés. Avec son style engageant et sa connaissance de la musique, Mathieu révèle un côté moins connu de nos chanteurs préférés : leurs approximations grammaticales, leurs confusions géographiques et leurs inventions lexicales qui donnent un charme unique à leurs chansons.Nous découvrons Véronique Sanson et sa « syntaxe amusante », Calo de Géraud et son ombre « qui », Eddie Mitchell et ses « sœurs très chères », Serge Gainsbourg et sa relation « purement conceptuelle » avec le métro parisien, ou encore Michel Sardou et sa samba qui s'invite par inadvertance en Afrique.Au-delà des rires, ces moments d'humanité nous rappellent que même les plus grands artistes ne sont pas à l'abri des erreurs. Loin de les discréditer, ces faux pas les rendent finalement plus attachants aux yeux de Mathieu, qui les célèbre avec tendresse.Véritable festival de gaffes et de maladresses, ce numéro de Pop Culture est un régal pour tous les mélomanes qui aiment se moquer avec tendresse des petits défauts de leurs idoles. Une dose d'humour et de bonne humeur à ne pas manquer !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:05:32 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Journaliste, producteur, il est le créateur de l'Hyper Weekend Festival dont la 4e édition se tiendra du 24 au 26 janvier à la Maison de la Radio. Au micro de Frédéric Pommier, Didier Varrod évoque "Amoureuse" de Véronique Sanson, une chanson qui a bouleversé sa vie quand il l'a découverte à 12 ans.
Plongez dans les coulisses fascinantes de la genèse d'un des titres les plus emblématiques de Véronique Sanson : 'Amoureuse'. Retour en décembre 1971, au cœur du studio de la Gaîté à Paris, où la chanteuse a enregistré cette pépite musicale qui a marqué une génération.Sous la direction experte de Fabrice Lafitte, notre guide musical, nous découvrons les secrets de fabrication de ce succès. Vous serez surpris d'apprendre que 'Amoureuse' n'a pas connu un triomphe immédiat à sa sortie en 45 tours en mars 1972. Pourtant, cette mélodie envoûtante et ses paroles passionnées ont rapidement conquis le cœur du public, devenant un incontournable de la discographie de Véronique Sanson.Mais l'histoire ne s'arrête pas là ! Vous serez également ravis d'apprendre que la belle Véronique remontera bientôt sur scène pour enchanter ses fans, avec des concerts prévus durant l'été 2025 dans des lieux emblématiques comme Nancy, La Rochelle ou encore Spa en Belgique.
Condamné le 20 novembre à 5 ans de prison dont 2 ans ferme pour le grave accident qu'il a provoqué en février 2023. Il est incarcéré depuis le 9 décembre à la prison de Gradignan. Epilogue d'une longue descente aux enfers.
Virginie Girod raconte l'histoire d'une famille de bourreaux entrée dans la postérité, dans un épisode inédit d'Au cœur de l'Histoire.Le 21 janvier 1723, à 10h22 du matin, Charles-Henri Sanson (1739-1806), exécuteur des hautes-œuvres de Paris, actionne la guillotine qui tranche la tête du roi déchu Louis XVI. Marie-Antoinette, Danton, Charlotte Corday ou Robespierre connaitront bientôt le même sort, mourant sous la lame de Sanson pendant la Révolution française, période durant laquelle l'usage de la guillotine devient systématique en cas de condamnation à la peine capitale.Dans la famille Sanson, on est bourreau de père en fils depuis le siècle précédent, tuant au nom de la loi. Mais les tâches infamantes que constituent la décapitation, la pendaison, ou l'écartèlement des condamnés, relèguent ceux qui les exécutent au ban de la société. Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation : Virginie Girod- Ecriture : Solène Grandclaude- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition du générique : Julien Tharaud- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie : Henri-Clément Sanson, Les Sanson, une famille de bourreaux au service de la France, Jourdan, 2019 Charles-Henri Sanson, La révolution vue par son bourreau, Le Cherche Midi, 2007Bernard Lecherbonnier, Bourreaux de père en fils: Les Sanson: 1688-1847, Albin Michel, 1989Sources :Mémoires de Charles-Henri Sanson - Gallica Mémoires de Henri-Clément Sanson - Gallica Les exécutions à Paris
Pourquoi compare-t-on parfois le personnage biblique de Samson à Hercule dans la mythologie grecque ? Comment se manifeste la force surhumaine de Samson ? La force de Samson provient-elle vraiment de ses cheveux ? Que raconte la Bible ?Réponse avec le livre des Juges, Jean-Philippe Rameau, Véronique Sanson, CKay et Queen Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La semaine prochaine, dans Au cœur de l'Histoire, découvrez un récit inédit consacré à la famille Sanson, entrée dans la postérité pour avoir exercé la charge de bourreau, à Paris, durant deux siècles.
Ecoutez L'incontournable RTL du 17 novembre 2024 avec Isabelle Choquet.
What is the future of the film industry? In Mobile Hollywood Labor and the Geography of Production (U California Press, 2024), Kevin Sanson, Professor of Media Studies and Head of the School of Communication at Queensland University of Technology, examines the way Hollywood film production has become a global industry. The book theorises Hollywood as a distinct spatial assemblage, and examines the consequences of the rise of global, mobile film production for places and for workers. Offering a unique perspective on the challenges of this new mode of production, alongside insights on how ‘good work' can be defended and preserved in media industries, the book is essential reading across the humanities and social sciences, as well as for anyone interested in media today. The book is also available open access here. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
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durée : 02:58:39 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce mercredi 24 septembre 2024, les invités de la Matinale de France Inter sont : Constance / Gérard Larcher / Table ronde sur la santé mentale / Véronique Sanson / Shayvise
durée : 00:22:12 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - À 9h20, Véronique Sanson est l'invitée de Léa Salamé. Son concert « Hasta Luego » est diffusé ce jeudi, à 20h, au cinéma dans plus de 280 salles en France. - invités : Véronique Sanson - Véronique Sanson : Autrice-compositrice-interprète et pianiste française
durée : 00:22:12 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - À 9h20, Véronique Sanson est l'invitée de Léa Salamé. Son concert « Hasta Luego » est diffusé ce jeudi, à 20h, au cinéma dans plus de 280 salles en France. - invités : Véronique Sanson - Véronique Sanson : Autrice-compositrice-interprète et pianiste française
Episode #351: In this episode, we celebrate the inspiring journey of Drury University's Shotgun Sports Team to the National Championship, led by Coach Kevin Boyer and three senior standouts: Grant Boswell, an All-American and Collegiate Individual Champion trap shooter; Colten Cozza, a collegiate All-American; and Hayden Sanson, an All-American and AIM Grand National High Over-All shooter. We also share the extraordinary story of Colten Cozza and his recovery from an accident two years ago that left him in a wheelchair with an uncertain future. His incredible drive and inspiring "only-one-path-forward" attitude motivated both him and his teammates. Cozza's journey from national wheelchair division ATA champion to collegiate All-American on a national championship team is truly remarkable. Congratulations to the entire Drury Shotgun Sports Team! Guests: Kevin Boyer, Grant Boswell, Colten Cozza, and Hayden Sanson
Dans la voix de Liane Foly, Line Renaud, Isabelle Mergault et Véronique Sanson interprètent le célèbre tube "La danse des canards" Tout l'été, retrouvez en podcast les meilleurs moments des "Grosses Têtes" depuis l'arrivée de Laurent Ruquier il y a presque 10 ans.
A new MP3 sermon from Iglesia Bautista de la Gracia CDMX is now available on SermonAudio with the following details: Title: Sanson Vencido Subtitle: Spurgeon Audio Speaker: C. H. Spurgeon Broadcaster: Iglesia Bautista de la Gracia CDMX Event: Sunday - AM Date: 11/21/1858 Bible: Judges 16:20-21 Length: 53 min.
Lance Sanson, Vice President of Campus Dining at John Knox Village, exploring his extensive career in hospitality. Starting as a busboy in Eugene, Oregon, Lance describes his early years, learning under notable figures, progressing through various roles including management positions in airport dining and eventually transitioning into senior living facility dining services. He outlines the evolution of his career, emphasizing the importance of being a sponge for knowledge, the power of innovation, and the significance of understanding generational dining preferences. You'll also hear about the ambitious culinary and service standards at John Knox Village, aiming to compete with top dining establishments in South Florida and beyond, highlighting John Knox Village's strategy for attracting and training staff to uphold these high standards. Don't forget to check out Good Morning Hospitality - Steve and Sarah's live show every Wednesday morning! Connect with Steve on LinkedIn RealTime Reservation Offer This episode is brought to you by our podcast partners at RealTime Reservation. Their inventory management system is best in class for hotels and resorts to manage their non-room inventory. The web-based application allows for creative upselling of overnight and daytime visitors with add-ons and pre-planned packages. Hotel guests and non-guests can reserve cabanas, pool chairs, activities, amenities, excursions, events, day passes, and much more. To learn more check them out here! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Julie Rousseau, pianiste, était au téléphone des Grosses Têtes ce 22 février. Elle raconte sur scène l'histoire incroyable de la séparation de Michel Berger avec Véronique Sanson. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.