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Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, ou encore Patrick Martin, président du MEDEF...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Patrick Martin, président du Medef. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
As Republicans continue negotiations to finalize the reconciliation package and the Supreme Court takes up oral arguments on birthright citizenship, Trump heads to the Middle East to pursue a series of economic deals—from AI chips to a Qatari jet. Featuring Public Strategies' Patrick Martin, Towner French, and Meagan Foster.
Ep. 127 ▶️ WATCH THE INTERVIEW
Back in office with the energy of a first term and unburdened by the political considerations of a second, Trump has acted with urgency to do what he said he was going to do on the campaign trail, deploying a high-stakes tariff strategy, shrinking the federal government, and enforcing strict immigration policies. But with bold action comes complexity, and the administration must try to manage a delicate economy and a changing world order. Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Patrick Martin, and Towner French.
durée : 00:25:50 - 8h30 franceinfo - Patrick Martin, président du Medef était l'invité du "8h30 franceinfo", mardi 15 avril 2025
La hausse de 20% des droits de douane est entrée en vigueur ce mercredi 9 avril. Écoutez l'interview de son président, Patrick Martin. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Boy du 09 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Trump's tariff announcement disrupted global markets, catching international leaders and the business community off guard and fueling economic anxiety. Why the surprise? How can they still engage the administration productively? The news of the tariffs, along with elections in Wisconsin and Florida and Senator Booker's marathon speech, gave Democrats a chance to show momentum. Did they present a fresh vision or fall back on the usual anti-Trump narrative? Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, and Patrick Martin.
En mars 2025, l'ambassade des États-Unis en France a adressé une lettre à plusieurs entreprises françaises, leur demandant de renoncer à leurs programmes internes de lutte contre les discriminations pour pouvoir continuer à signer des contrats avec l'État fédéral américain.Cette initiative a suscité une vive réaction de la part du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), dont le président, Patrick Martin, a qualifié cette démarche d'« inadmissible » et d'« ingérence inacceptable ».Le MEDEF, principale organisation patronale française, défend depuis longtemps des valeurs telles que la mixité, l'inclusion des personnes en situation de handicap et la promotion de la diversité au sein des entreprises. Les programmes de lutte contre les discriminations sont considérés comme essentiels pour assurer l'égalité des chances et refléter les valeurs républicaines françaises. Ainsi, la demande américaine est perçue comme une tentative d'imposer des normes étrangères contraires aux principes français.Patrick Martin a souligné que cette exigence traduit une « dérive du gouvernement américain » visant à exercer une emprise sur l'économie mondiale et les valeurs européennes.Il a également rappelé que la France dispose de ses propres règles en matière de diversité et d'inclusion, et qu'il est hors de question d'y renoncer sous la pression d'un pays tiers.Cette position est partagée par le gouvernement français. Laurent Saint-Martin, ministre du Commerce extérieur, a dénoncé ces « ingérences inacceptables », affirmant que les pressions américaines sur les politiques d'inclusion des entreprises françaises, ainsi que les menaces de droits de douane injustifiés, ne sont pas acceptables.Les entreprises françaises concernées se trouvent donc dans une situation délicate. D'un côté, elles souhaitent maintenir leurs relations commerciales avec l'État fédéral américain ; de l'autre, elles sont attachées aux valeurs d'inclusion et de diversité, inscrites dans le cadre légal français. Patrick Martin a exprimé sa conviction que ces entreprises assumeront leurs valeurs autant que possible, tout en appelant l'État français et l'Union européenne à les soutenir face à cette « décision funeste ».Cette affaire met en lumière les tensions croissantes entre les États-Unis et leurs partenaires européens concernant les politiques sociales et économiques. Elle soulève également des questions sur la souveraineté des nations en matière de législation interne et sur les limites des influences étrangères dans les affaires nationales. Le MEDEF et le gouvernement français restent fermes sur leur position, affirmant que les valeurs françaises ne sont pas négociables, même face à des pressions internationales. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ep. 125 ▶️ WATCH THE INTERVIEW
The first quarter of 2025 has been a wild ride in Washington, from the government shutdown that wasn't to a shifting political battleground between the executive branch and the courts. Featuring Public Strategies' Patrick Martin, Towner French, and Kyle Anderson.
Patrick Martin, invité de la matinale de Radio Classique ce mercredi, considère qu'il faut « laisser sa chance au produit », autrement dit poursuivre la négociation dans le cadre du conclave sur les retraites. Une position difficile à tenir alors que plusieurs syndicats ont déjà claqué la porte. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Between Trump's Address to Joint Session of Congress, his fluctuating trade and tariff policies, and the threat of a government shutdown, politicos question whether the president's actions are more performance than policy. With no clear leader or unified message, how much longer will Democrats remain disorganized? And, are Republicans stuck in a “team mentality,” prioritizing loyalty over scrutiny of DOGE? Featuring Public Strategies' Mark Alderman, Patrick Martin, and Towner French.
Ep.121 ▶️ WATCH THE VIDEO
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
he Trump administration has frozen federal government operations and is systematically dismantling agencies, sometimes acting as a wrecking ball and other times using a strategy of gradual erosion. Will Congress step up to check the executive, or continue to rely on the courts? Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Patrick Martin, and Towner French.
Trump's return to the White House began with a decisive policy rollout but quickly unraveled amidst confusion, uncertainty, and tragedy. A hastily issued OMB memo freezing aid to 2,600 programs—only to be swiftly reversed—sparked confusion and concern. This was compounded by Trump 2.0's first major crisis with the tragic commercial aviation disaster on the shores of the Potomac. Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, Patrick Martin, Towner French and Kyle Anderson.
Écoutez l'appel du patron des patrons : "On ne peut pas faire comme si la France était seule au monde". Patrick Martin, président du Medef, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 30 janvier 2025.
C dans l'air du 22 janvier 2025 - Taxer les retraités : la fin d'un tabou ? Faire payer une cotisation aux retraités les plus aisés pour financer le grand âge. C'est la proposition formulée par la ministre chargée du Travail et de l'Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, mardi 21 janvier. Une "proposition personnelle", a tempéré aujourd'hui Matignon, mais qui suscite l'intérêt de certains parlementaires.La ministre propose que les retraités qui peuvent "se le permettre", ceux qui touchent plus de 2 000 euros net mensuel (soit 25 % des retraités) ou 2 500 euros net mensuel ( 7 % des retraités), soient mis à contribution pour payer l'autonomie et la dépendance. C'est-à-dire qu'ils pourraient participer à l'effort pour qu'il ne repose pas uniquement sur les actifs qui consacrent déjà près d'un tiers de leur salaire à payer les retraites, et qui, depuis la réforme de 2023, doivent travailler jusqu'à 64 ans. Des actifs à qui certains, comme la ministre des Solidarités Catherine Vautrin, envisagent de demander de travailler gratuitement sept heures de plus par an, soit une deuxième journée de solidarité.Le patron du Medef, Patrick Martin, a lui aussi remis cette idée dans le débat il y a quelques jours en proposant de supprimer l'abattement fiscal de 10 % sur les pensions de retraites. Cet abattement, dont bénéficient les actifs, est destiné à l'origine à compenser les frais professionnels. En novembre dernier la sénatrice du groupe Les Républicains Christine Lavarde (Hauts-de-Seine), avait proposé la suppression de cet abattement pour les retraités les plus aisés, et avait été recalé. "C'est pour moi une question d'équité générationnelle", explique la sénatrice pour qui "le niveau de vie des retraités s'améliore ou ne baisse pas par rapport aux actifs".Alors les retraités ont-ils réellement un niveau de vie supérieur aux actifs ? Vont-ils, à plus ou moins court terme, participer davantage au redressement des comptes de la Nation et au financement de la protection sociale ? Le sujet, hautement explosif, n'a jusqu'ici jamais dépassé le stade du ballon d'essai car ce sont ceux qui votent le plus. Il a d'ailleurs cette fois encore suscité une levée de bouclier de la gauche jusqu'à l'extrême droite. Mais derrière ce débat sur le financement de la dépendance, un autre débat est également relancé, celui de la démographie à l'heure où l'Insee constate que le nombre de naissances continue de chuter en France, une baisse tendancielle depuis 2011. Autre point de discussions en ce début d'année : les cahiers de doléances. Lors de son discours de politique générale, François Bayrou a souhaité reprendre l'étude de ces doléances, rédigées par les Français en 2019 à la suite du mouvement des Gilets jaunes. À l'époque pas moins de 2 millions de contributions populaires ont été déposées, avant d'être archivées. Que contiennent-ils ? Les explications de l'archiviste Marie-Anne Chabin ce soir dans #cdanslair.Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - éditorialiste politique - France Télévisions- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Mon dictionnaire d'économie
Le ministre de la Défense britannique, John Healey, a mis en garde Moscou après qu'un "navire espion russe" a été repéré lundi dans la Manche par la Royal Navy. Il avait déjà été détecté il y a quelques semaines au-dessus de câbles sous-marins dans les eaux britanniques. Faut-il y voir une "guerre hybride" orchestrée par Moscou ? Patrick Martin-Genier, spécialiste des questions européennes et internationales, est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 22 janvier 2025.
Trump's second inauguration and the signing of over 40 executive actions signal the administration's ambitious vision to rebrand America as a "winning" nation. Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Patrick Martin, and Towner French.
durée : 00:22:05 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - À 8h20, Patrick Martin, président du Medef, est l'invité du Grand Entretien, alors que François Bayrou envisage de confier le dossier des retraites aux partenaires sociaux. - invités : Patrick MARTIN - Patrick Martin : Président du Medef
durée : 02:58:52 - Le 7/10 - par : Léa Salamé, Sonia Devillers, Ali Baddou, Anne-Laure Sugier - Elie Barnavi et Olivier Jaoui, Patrick Martin, Maxime Sbahi et Anne-Cécile Mailfert, Marc Lavoine, Jeanne Rivière sont les invités de la matinale.
durée : 00:22:05 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - À 8h20, Patrick Martin, président du Medef, est l'invité du Grand Entretien, alors que François Bayrou envisage de confier le dossier des retraites aux partenaires sociaux. - invités : Patrick MARTIN - Patrick Martin : Président du Medef
Les retraités seront-ils mis à contribution dans le budget 2025 ? C'est en tout cas l'idée du patron du Medef, Patrick Martin, pour aider le gouvernement à trouver des économies. Il propose de supprimer un abattement fiscal qui s'applique aujourd'hui sur les pensions de retraite. Un abattement dont l'existence même a de quoi étonner.
Les retraités seront-ils mis à contribution dans le budget 2025 ? C'est en tout cas l'idée du patron du Medef, Patrick Martin, pour aider le gouvernement à trouver des économies. Il propose de supprimer un abattement fiscal qui s'applique aujourd'hui sur les pensions de retraite. Un abattement dont l'existence même a de quoi étonner.
Ep. 118 ▶️ WATCH THE VIDEO This episode provides valuable insights for therapists on how to approach and treat clients presenting with both anxiety and depression. Patrick Martin, an experienced therapist, shares his knowledge on this common clinical challenge. Patrick Martin discusses the complexities of treating co-occurring anxiety and depression. He explains why these conditions often overlap, how to assess them, and provides practical tips for developing effective treatment plans. This resource is essential for both new and experienced therapists looking to enhance their skills in managing these frequently co-occurring disorders. This episode offers a comprehensive overview of treating co-occurring anxiety and depression, making it a valuable resource for mental health professionals at all stages of their careers. Patrick Martin's practical advice and clinical insights provide therapists with the tools they need to effectively help clients struggling with both anxiety and depression. ⏺️ CHECK OUT STREAMYARD: THE TOOL I TRUST FOR RECORDING AND LIVE STREAMING: https://thementalhealthtoolbox.com/streamyard
Ep. 116 In this episode, therapist Patrick Martin breaks down the complex topic of derealization and its implications for therapy.
With the recent passing of Cozen O'Connor founder and chairman, Steve Cozen, our team reflects with gratitude on the privilege of knowing and working with Steve, a visionary leader who had a profound impact on our firm and the community. Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, Patrick Martin, and Kyle Anderson.
C dans l'air l'invitée du 10 décembre : Dominique Carlac'h, cheffe d'entreprise, membre du conseil exécutif du Medef.Le président du Medef Patrick Martin a souhaité s'exprimer "avec une forme de gravité au nom des entrepreneurs" en rappelant l'urgence d'obtenir de la visibilité sur le nouveau budget pour la France."Je pense qu'au moment où je vous parle, nous sommes déjà rentrés en légère récession. Toutes les dernières estimations publiques ou d'organismes économiques, à demi-mot, le disent", déclare Patrick Martin.Selon lui, "certains indicateurs sont particulièrement inquiétants : la moitié des investisseurs étrangers qui disaient vouloir investir en France ont suspendu voire annulé leur projet. Autre signal d'alerte, nous comptabilisons 66.000 dépôts de bilan cette année. Un record historique."
C dans l'air du 11 décembre - Le nom du nouveau Premier ministre connu aujourd'hui ou demain. C'est la promesse faite par Emmanuel Macron au cours de la réunion des forces politiques représentées à l'Assemblée nationale, hors RN et LFI, hier. Reçus à l'Elysée, l'ensemble des dirigeants politiques se sont dit prêts à des compromis, tout en fixant des conditions : un chef de gouvernement de gauche pour les uns, pas de programme de gauche pour les autres. Alors une semaine après le vote de la motion de censure contre le gouvernement Barnier, qui pour lui succéder à Matignon ? Ce mercredi, les discussions se poursuivent. Mais "il n'y a actuellement pas de socle plus large que celui qui est en place aujourd'hui", a déclaré la porte-parole du gouvernement démissionnaire, Maud Bregeon ajoutant "qu'il restait donc désormais à savoir si certains étaient prêts à élargir ce socle ou à s'accorder sur un principe de non-censure". En attendant, le projet de loi spéciale sur le budget, pour assurer "la continuité de l'Etat" , a été présenté lors du Conseil des ministres. Ce texte a pour but "d'éviter un shutdown", selon les mots du ministre démissionnaire du Budget et des Comptes publics. Cette mesure, permise par l'article 45 de la loi organique relative aux lois de finances, avait été annoncée jeudi 5 décembre par Emmanuel Macron dans son allocution télévisée. La censure du gouvernement Barnier a en effet laissé en suspens l'examen au Parlement du projet de budget pour 2025, dont notamment les promesses faites par l'exécutif aux agriculteurs mobilisés depuis plusieurs semaines et qui ont décidé pour certains de diriger leur colère contre les parlementaires. En une semaine, plus de trente députés ont vu leur permanence en régions dégradée. Ces actions, le plus souvent revendiquées par la FNSEA, ont surtout visé des députés du Nouveau Front populaire et du Rassemblement national. Des agriculteurs ont notamment emmuré le siège drômois du RN, à Valence, et ont tagué sur les parpaings un message : "La censure nous met dans le mur".Une situation politique qui inquiète également le monde économique. Le président du Medef Patrick Martin vient d'écrire au futur Premier ministre. Dans ce courrier diffusé sur les réseaux sociaux, il évoque l'impact de "l'instabilité politique" sur "l'économie réelle" et l'urgence d'obtenir de la visibilité sur le nouveau budget pour la France. "Je pense qu'au moment où je vous parle, nous sommes déjà rentrés en légère récession. Toutes les dernières estimations publiques ou d'organismes économiques, à demi-mot, le disent", affirme Patrick Martin. Selon lui, "certains indicateurs sont particulièrement inquiétants : la moitié des investisseurs étrangers qui disaient vouloir investir en France ont suspendu voire annulé leur projet. Autre signal d'alerte, nous comptabilisons 66.000 dépôts de bilan cette année. Un record historique."Alors comment sortir de la crise ?Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Lou FRITEL - Journaliste – Paris Match - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche- Anne-Charlène BEZZINA - Politologue et constitutionnaliste
durée : 00:44:46 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - Au menu ce samedi : la colère des collectivités locales contre les coupes budgétaires imposées, l'industrie allemande chancelante et des congés insolites. Mercosur, agriculteurs sacrifiés et effort gouvernemental demandé : où se situe la ligne rouge pour le Medef ? Entretien avec Patrick Martin. - invités : Patrick MARTIN - Patrick Martin : Président du Medef - réalisé par : Helene Bizieau, Anaïs Reinhardt
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 22 novembre 2024.
Tension autour des exonérations de charges des entreprise, vote au Sénat d'une "contribution de solidarité", abrogation de la réforme retraites, accord sur le chômage et l'emploi des seniors, succession de plans sociaux, crainte d'une perte de compétitivité française sur la scène internationale... Ecoutez l'interview de Patrick Martin, président national du Medef. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 22 novembre 2024.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 22 novembre 2024.
Tension autour des exonérations de charges des entreprise, vote au Sénat d'une "contribution de solidarité", abrogation de la réforme retraites, accord sur le chômage et l'emploi des seniors, succession de plans sociaux, crainte d'une perte de compétitivité française sur la scène internationale... Ecoutez l'interview de Patrick Martin, président national du Medef. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 22 novembre 2024.
Nell'ultimo triennio insieme all'occupazione è cresciuta la povertà assoluta. Rispetto al prepandemia, ovvero al 2019, nel 2023 l'occupazione è aumentata di 1 milione e 262mila unità di lavoro (+5,4%), raggiungendo il picco. I contributi più rilevanti sono venuti da servizi (+ 65%) e costruzioni (+29%), settori che più hanno contribuito alla ripresa dell'economia.Però, a fronte di questo andamento positivo del mercato del lavoro, le retribuzioni reali per occupato sono rimaste sotto i livelli pre-crisi e sono aumentati gli individui in povertà assoluta, passati dal 7,6% del 2019 al 9,7% del 2023. Sono, invece, diminuiti i working poor per la minor incidenza del part time involontario.È questo il quadro tracciato dal Monitor "L'occupazione aumenta, ma aumenta anche la povertà", realizzato da Area Studi Legacoop e Prometeia, che si focalizza sul periodo 2019-2023.Il commento di Mattia Granata, Direttore Area Studi Legacoop a Focus Economia.Beko chiude le fabbriche, la maledizione del settore del biancoDopo le chiusure di Merloni, Ariston, Indesit e Whirlpool, ora tocca a Beko. E la "maledizione del settore del bianco" si arricchisce di un nuovo capitolo. Una volta fiore all'occhiello dell'industria italiana con i marchi Merloni, Indesit, Ariston, da decenni è finito nelle mani di multinazionali estere - ci sono anche gli svedesi Electrolux - che delocalizzano dove il costo del lavoro è minore.Beko Europe ha presentato un "piano industriale" che prevede entro il prossimo anno e comporterà 1.935 esuberi. L'annuncio arriva dopo 12 anni di cassa integrazione tra ex Whirlpool e Beko Europe.Il marchio controllato dai turci di Arçelik, che solo da pochi mesi aveva acquisito cinque stabilimenti italiani da Whirlpool (non quello di Napoli, chiuso tre anni fa e demoralizzato in Polonia), ha proposto la chiusura degli stabilimenti di Siena (299 dipendenti che producono congelatori), di Comunanza in provincia di Ascoli Piceno (320 dipendenti che fanno lavatrici) e il ridimensionamento di uno dei tre poli produttivi di Cassinetta, Varese (940 dipendenti per la produzione di frigoriferi, il piano prevede il taglio di 540 posti). In più il taglio di 678 'colletti bianchi', quasi la metà dei 1.500 amministrativi e dirigenti di Beko Europe in Italia, oltre a 60 posti di lavoro cancellati a Melano, vicino Fabriano, e 40 a Carinaro, provincia di Caserta.Dalla multinazionale spiegano che lo scenario per il settore è difficile e che il piano è una soluzione concreta per l'Italia. Sono infatti previsti oltre 110 milioni di euro di investimenti e la ricerca di possibili reindustrializzazioni per Siena e Comunanza.L'intervento di Paolo Bricco de il Sole 24 Ore ai microfoni di Sebastiano Barisoni. A Parigi vertice Confindustrie per rilancio competitività UeUn incontro di ''maggiore importanza in un momento in cui l'Europa deve fronteggiare le sfide strategiche in materia di competitività'' al livello mondiale. E' questo l'intento del Forum economico trilaterale Francia-Germania-Italia, in corso oggi a Parigi e che durerà fino a domani, secondo quanto annunciato dal Medef, equivalente transalpino della Confinsutria. ''All'alba della nuova legislatura europea - sottolinea il Medef in una nota diffusa qualche giorno fa- è essenziale rafforzare il nostro mercato interno, finanziare la triplice transizione verde, digitale e demografica, risposizionando nel contempo l'Unione europea sulla scena internazionale".Il presidente del Medef, Patrick Martin,riceve gli omologhi del BDI tedesco, Tanja Gönner, e della Confindustria, Emanuele Orsini, oltre che figure di spicco della politica continentale: dal premier francese, Michel Barnier, al vicepresidente del consiglio, Antonio Tajani, fino alla presidente dell'Europarlamento, Roberta Metsola.Il racconto di Nicoletta Picchio - Il Sole 24 Ore.
Ce lundi 18 novembre, le plan de Patrick Martin, le président du MEDEF, concernant l'application de la TVA sociale sur les entreprises et les salariés ainsi que les conséquences de l'opposition des agriculteurs sur le Mercosur ont été abordés par Jérôme Dedeyan, associé de ToutSurMesFinances.com et président de Mon Partenaire Patrimoine, Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Études Européennes de Paris-8 et Céline Antonin, économiste à l'OFCE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
As Trump's personnel announcements continue to roll out, Americans are given a glimpse into his vision for the next four years. Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, Patrick Martin, and Towner French.
On Tuesday, voters sent a clear message to Washington: the country is on the wrong track, and they're looking for solutions in an ever-changing world. Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, Patrick Martin, Towner French, Julia Hammond, and Meagan Foster.
With early voting underway, it raises the question: “Is the cake already baked?” Are there still undecided voters out there, or are we just waiting for the remaining ballots to roll in? Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Patrick Martin, and Towner French.
The vice presidential debate was marked by a civil tone, characterized by politicos as 'Midwest nice.' While the Vance-Walz debate may not significantly impact the November election, Senator JD Vance's polished style contrasted sharply with Governor Tim Walz's rusty performance. As the Washington echo chamber anticipates a Harris victory, some are feeling an eerie sense of déjà vu from 2016, when Democratic nominee Hillary Clinton hit an electoral ceiling. Instead, the question becomes: have roles reversed, will Trump hit a ceiling this cycle? Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Patrick Martin, and Towner French.
durée : 00:01:46 - Le vrai ou faux - Le président du Medef, Patrick Martin, a fait plusieurs affirmations sur la fraude sociale et sur le crédit d'impôt recherche, dans le 8h30 de franceinfo, mardi 24 septembre. Le Vrai ou Faux les a vérifiées.
As Vice President Kamala Harris clinches the Democratic nomination for president this week, the Public Strategies team reports from Chicago, site of the 2024 Democratic National Convention, providing a bipartisan analysis of the current state of play. Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, Patrick Martin, and Towner French.
Hailing from the Land of 10,000 Lakes, Governor Tim Walz joins Vice President Kamala Harris as her Democratic running mate in her bid to secure the White House this November. But who is Tim Walz? Can the Harris-Walz ticket secure the blue wall? How will he govern as Harris' number two? Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Patrick Martin, and John Reich (Minnesota).
With Vice President Kamala Harris rising to the top of the Democratic ticket, the “double-haters” now have a choice this November. The shift from President Joe Biden to Harris has energized the Democratic base, bringing young voters back into the fold. What role will gender and race play in the election? Who will she select as her running mate? Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, and Patrick Martin.
Concerns over President Joe Biden's age and fitness are shaking up the Democratic Party, leaving his nomination hanging in the balance. As the party evaluates his viability against Donald Trump, a critical question emerges: who has what it takes to defeat the former president? Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, Patrick Martin, Towner French, and Kyle Anderson.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnement Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 23 juin 2024. Avec cette semaine : Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale. Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique. Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. DÉCOMPOSITIONS, RECOMPOSITIONS La dissolution a provoqué diverses ondes de choc. A droite, Les Républicains (LR) se trouvent écartelés entre les partisans d'une alliance avec le Rassemblement national (RN), les tenants de l'indépendance ou les défenseurs du ralliement au camp macroniste. A gauche, les principaux partis ont annoncé, le 13 juin, après plusieurs jours d'intenses négociations, un accord sur les candidatures et le programme commun d'un « nouveau front populaire ». Les macronistes tentent de s'accorder avec la droite modérée en nouant des accords localement, pour faire barrage ici au Rassemblement national, là au Nouveau Front populaire. Edouard Philippe, président d'Horizons, essaie d'avancer ses pions et de marquer sa différence en travaillant à la construction d'une « majorité parlementaire » dans la prochaine Assemblée, qui irait « de la droite conservatrice aux sociaux-démocrates ». Vendredi, il déclarait « c'est le président de la République qui a tué la majorité présidentielle » en décidant de dissoudre l'Assemblée nationale. Le contraste est très fort entre la condamnation quasi unanime de cette décision par la classe politique et les médias, et ce qu'en disent les Français. Dans un sondage réalisé par Opinionway les 17 et 18 juin, la moitié d'entre eux jugent la décision d'Emmanuel Macron justifiée. La gauche y est la plus opposée, bien qu'une proportion de 40% la juge tout de même justifiée. L'offre électorale proposée a beau avoir été simplifiée, avec la consécration de trois blocs aux visions du monde antagonistes, les nouvelles alliances électorales et les positionnements fluctuants noués lors de cette campagne de12 jours - la plus courte de la Ve République– rendent difficile la compréhension du jeu électoral. D'autant que le code électoral permet, pour les élections législatives, des triangulaires ou des quadrangulaires au second tour : tous les candidats dépassant 12,5 % des inscrits pouvant se maintenir au second tour. Dans ce paysage, les sondages donnent le RN est en position de force. Selon celui d'Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI et Sud Radio, publié jeudi, l'alliance entre le RN et la frange de LR partie avec Éric Ciotti récolterait 34 % des voix au premier tour le 30 juin, soit cinq points devant l'alliance de gauche, le Nouveau Front populaire, estimée à 29 %. Le camp macroniste est estimé à 22 %, soit une remontée par rapport à la plupart des études d'opinion publiées depuis la dissolution. Enfin, les Républicains - hors alliance avec le RN - stagnent à 6 % des voix, tandis que Reconquête ne récolterait que 2 % des scrutins. Selon cette étude, la participation au premier tour serait par ailleurs estimée à 64 %, contre 53,7 % en 2022. « Les lignes politiques ont plus bougé en sept jours qu'en sept ans », observe Raphaël Llorca, expert associé à la Fondation Jean Jaurès. Cette dissolution a pour effet principal de fragmenter un peu plus un système partisan dominé, selon l'expression du politiste Rémi Lefebvre, par les « partis personnels » depuis 2017 (Renaissance autour d'Emmanuel Macron, LFI et Jean-Luc Mélenchon, le RN et Marine Le Pen…). PROGRAMMES ÉCONOMIQUES Dans la perspective des législatives des 30 juin et 7 juillet, les partis en lice ont annoncé leurs programmes économiques. Parmi ses principales propositions, le Rassemblement national avait annoncé l'abaissement à 5,5% la TVA sur les produits énergétiques, la restauration, dans certains cas, de la retraite à 60 ans, l'exonération de l'impôt sur le revenu pour les moins de 30 ans, le lancement d'un plan de 20 milliards d'euros pour la santé, la construction de 100.000 logements sociaux par an, l'exonération des cotisations patronales sur des hausses de salaires d'au moins 10 % jusqu'à trois SMIC.... Toutefois, Jordan Bardella a annoncé que ce déploiement de mesures ne serait ni automatique, ni immédiat, mais conditionné à un audit des finances publiques dont il n'a pas précisé ce qu'il aurait de différent du rapport public annuel de la Cour des Comptes, publié en mars dernier. L'application du programme 2022 de Marine Le Pen représenterait près de 100 milliards d'euros le déficit, selon le chiffrage de l'Institut Montaigne. La socialiste Valérie Rabault, ex-vice-présidente de l'Assemblée nationale et ex-rapporteure générale du Budget, a détaillé le programme du Front populaire qui représente selon son chiffrage 106 milliards d'euros de dépenses nouvelles sur la période 2024-2027. Les principaux postes sont constitués notamment par des mesures permettant de relancer la croissance par les salaires pour 23 milliards d'euros (hausse de 10 % du point d'indice des fonctionnaires, hausse de la rémunération des apprentis et des stagiaires, etc.), par la construction de 200.000 logements publics par an aux meilleurs critères environnementaux (10 milliards) et par la garantie autonomie qui complète les revenus des ménages en dessous du seuil de pauvreté pour 5 milliards. Gabriel Attal a présenté son programme reprenant plusieurs mesures déjà annoncées : suppression des frais de notaire à hauteur de 15 000 euros pour les primo-accédants lors d'un achat de moins de 250 000 euros, permettre aux entreprises d'augmenter « jusqu'à 10 000 euros par an sans charges ni impôts le montant de la prime de pouvoir d'achat qu'elles ont versée l'an passé à six millions de salariés », expérimentation de la semaine de travail en quatre jours, mesure qui devait débuter dans les ministères au printemps et dont le bilan devait être dressé à l'été 2025, mise en chantier de « quatorze nouveaux réacteurs nucléaires », et doublement du budget de l'armée d'ici à 2030. Le patron du Medef, Patrick Martin estimait dans Le Figaro que « Le RN et le Nouveau Front populaire sont dangereux pour l'économie ». La Commission européenne a ouvert la voie, mercredi, au lancement d'une procédure contre la France pour « déficit publics excessif ». Afin de repasser sous le cap des 3 % de déficit, alors qu'il atteignait 5,5 % du PIB fin 2023, Bruxelles exige 77 milliards d'euros d'économies. Les ministres des Finances de l'UE pourraient approuver formellement les analyses de l'exécutif européen lors de leur réunion du 16 juillet. Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Returning to Capitol Hill for the first time post-presidency, Trump found support among Republican leaders and members aiming to emulate the party's 2016 success. Immigration and economic challenges remain top concerns for American voters, mirroring the recent rise of the far-right in Europe. Shifting focus to the Supreme Court, concerns about judicial politicization, ethics, and impartiality underscore the need for reform to preserve the system's credibility. Featuring Public Strategies' Howard Schweitzer, Mark Alderman, and Patrick Martin.