Podcasts about bourgeot

« J'adore les droits de douane » : Donald Trump aime à répéter cette phrase et son amour pour le terme « droit de douane ». Le président américain poursuit sa guerre commerciale, avec l'entrée en vigueur, mercredi 9 avril 2025, de nouveaux tarifs douaniers qui font flancher les marchés mondiaux.  Ce protectionnisme affiché n'est pour autant pas inédit aux États-Unis ; de nombreux présidents américains ont déjà opté pour cette politique économique, parfois fermement. Cette politique de repli a parfois engendré des difficultés économiques pour les États-Unis, parfois, elle a au contraire été plutôt bénéfique pour les Américains.Avec : Nicolas Barreyre, maître de conférences à l'EHESS, historien des États-Unis (a travaillé notamment sur les politiques économiques au XIXe siècle), auteur de L'or et la liberté (éditions EHESS) Rémi Bourgeot, ingénieur, économiste, chercheur associé à l'Iris

Les jetons non fongibles ont fait courir le monde de l'art et de la finance il y a deux ans avant que leur valeur ne s'effondre. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur le boom et la chute des NFT.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en octobre 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Rémi Bourgeot (économiste et chercheur associé à l'IRIS) et Thomas Pontiroli (journaliste aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : Les Deschiens, « La Folie des grandeurs » (1971), TF1, « La Vérité si je mens ! 2 » (2000), The Late Show with Stephen Colbert, Eminem & Snoop Dogg « From The D 2 The LBC » (2022), France 24. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Jeudi 14 septembre, l'actualité autour des cryptomonnaies, notamment le plateforme Binance.US qui connait un nouveau coup dur a été abordée par Valentin Nicaud, membre de la cellule infos d'expert de Bourse Direct, Louis Tellier, journaliste pour The Big Whale, et Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, reçus par Amaury de Tonquédec dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 20 juillet, l'agrément PSAN, obtenu par la société Forge, la filiale crypto de la Société Générale a été abordé par Grégory Raymond, co-fondateur et rédacteur en chef de the Big Whale et Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, reçus par Guillaume Sommerer dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Nvidia a le vent en poupe. Le géant américain des processeurs graphiques est entré brièvement, fin mai, dans le club très select des entreprises pesant 1000 milliards de dollars à Wall Street et ce grâce au boom de l'intelligence artificielle. Portrait de son PDG, Jensen Huang. Dans son histoire, qu'il ne juge pas particulièrement extraordinaire, on retrouve les codes de l'American Dream et du mythe du self-made man. Né à Taïwan, Jen-Hsun Huang, de son nom de naissance, est envoyé par ses parents aux États-Unis alors qu'il n'a pas 10 ans. Point de chute : une pension dans le Kentucky, où raconte-t-il, il était de corvée de nettoyage des sanitaires. Adolescent, c'est d'abord dans les compétitions de ping-pong qu'il brille, avant de décrocher un diplôme en génie électrique en 1984, à l'heure où naissait le Macintosh. Il ne va pas travailler chez Apple mais rejoint la Silicon Valley. Après quelques années passées notamment chez un futur concurrent et avoir décroché un nouveau diplôme, à Stanford cette fois, il co-fonde Nvidia en 1993. Exit le mythe de la start-up créée dans un garage, la légende veut que Jensen Huang et deux amis aient posé les bases de leur entreprise au Denny's, un restaurant, de San José. Elle deviendra Nvidia - l'envie en latin. À en croire Jensen Huang, Nvidia, c'est presque de la magie. « Grâce à ce que l'on fait, on rend possible, ce qui est à difficilement réalisable, on rend économe en énergie, ce qui est très énergivore, et nous pouvons modifier quelque chose de très cher pour le rendre bien plus abordable », vante-t-il sur CNBC.« Visionnaire »Concrètement, Nvidia conçoit des composants informatiques très spécifiques. « Il a créé Nvidia à l'ombre des géants des processeurs tels qu'Intel avec une stratégie assez particulière au fil des années, en se concentrant sur les processeurs graphiques, en particulier pour les jeux vidéo. C'était d'abord une sorte de niche mais qui demandait une excellence technique », explique Rémi Bourgeot, économiste et statisticien, chercheur associé à l'Iris. Premier grand succès en 1999 avec le premier processeur graphique (GPU) au monde. Jensen Huang, qualifié de « visionnaire » par Mohamed Makhlouf, enseignant en intelligence artificielle à l'Essca, a ensuite flairé de nouveaux marchés pour ces cartes à haute capacité de calcul, le minage de cryptomonnaie et surtout l'IA. « Ils ont conçu des puces spécialement pour l'intelligence artificielle à partir de 2016-2017, pour des calculs de 'deep learning', pour les voitures autonomes. ChatGPT fonctionne aussi sur des puces de Nvidia ».Des puces que Nvidia conçoit, mais ne fabrique pas. « Grâce à son amitié avec Morris Chang, le président de TSMC, il a mis en place une approche de fabrication 'fabless' (NDLR : sans usine en français), rappelle Mohamed Makhlouf. Elle a été vraiment l'un des piliers de la croissance rapide de Nvidia. »L'action Nvidia prise d'assautAvec l'essor de l'intelligence artificielle, son produit vedette le H100, valant plusieurs milliers de dollars pièce, fait fureur. « Les GPUs sont nettement plus difficiles à trouver que de la drogue », a même ironisé Elon Musk lors d'un événement organisé par le Wall Street journal. Nvidia fait course largement en tête. Selon le cabinet Jon Peddie Research, Nvidia pesait 82% des GPU autonomes livrés dans le monde fin 2022, ses deux poursuivants s'octroyant 9% chacun. Résultat, la valeur de l'entreprise californienne a bondi en bourse et avec elle la richesse de Jensen Huang, classé, par Forbes, 37ᵉ homme le plus riche du monde avec une fortune de quelque 34 milliards de dollars. Riche, Jensen Huang est aussi multirécompensé. Il figure notamment sur la liste du Time des 100 personnalités les plus influentes de 2021. Et les derniers mois ont permis à l'homme à la veste de cuir d'asseoir sa notoriété.« Il avait un statut assez légendaire dans les milieux liés aux jeux vidéo parce que ses processeurs sont devenus indispensables aux jeux vidéo qui nécessitent le plus de puissance de calcul pour les applications graphiques, » souligne Rémi Bourgeot.  « Aujourd'hui, étant au centre de la grande tendance du développement de l'IA, il est vraiment reconnu pour des paris qu'il a faits dans la durée ». Encore quelques « décennies » Malgré cette renommée, Rémi Bourgeot lui prête une « certaine mesure ». « C'est quelqu'un qui est resté vraiment concentré, il est resté un ingénieur. On ne voit pas quelqu'un avec des visées mégalomaniaques de couverture de tous les marchés technologiques imaginables ».À 60 ans, Jensen Huang en a déjà passé trente à la tête de Nvidia. Et il a confié à CNBC ne pas être prêt à lâcher les rênes, quitte à se transformer en robot. « Je ne sais pas encore combien de temps, mais dans quarante ans, je serai robotique, et après ça, peut-être trois ou quatre décennies de plus. Donc, j'espère pouvoir en profiter encore très longtemps. »Fidèle au nom de l'entreprise, le PDG a donc l'envie dans les veines et Nvidia dans la peau. Littéralement. Jensen Huang s'est fait tatouer sur le bras un dessin inspiré du logo de la marque.

Nvidia a le vent en poupe. Le géant américain des processeurs graphiques est entré brièvement, fin mai, dans le club très select des entreprises pesant 1000 milliards de dollars à Wall Street et ce grâce au boom de l'intelligence artificielle. Portrait de son PDG, Jensen Huang. Dans son histoire, qu'il ne juge pas particulièrement extraordinaire, on retrouve les codes de l'American Dream et du mythe du self-made man. Né à Taïwan, Jen-Hsun Huang, de son nom de naissance, est envoyé par ses parents aux États-Unis alors qu'il n'a pas 10 ans. Point de chute : une pension dans le Kentucky, où raconte-t-il, il était de corvée de nettoyage des sanitaires. Adolescent, c'est d'abord dans les compétitions de ping-pong qu'il brille, avant de décrocher un diplôme en génie électrique en 1984, à l'heure où naissait le Macintosh. Il ne va pas travailler chez Apple mais rejoint la Silicon Valley. Après quelques années passées notamment chez un futur concurrent et avoir décroché un nouveau diplôme, à Stanford cette fois, il co-fonde Nvidia en 1993. Exit le mythe de la start-up créée dans un garage, la légende veut que Jensen Huang et deux amis aient posé les bases de leur entreprise au Denny's, un restaurant, de San José. Elle deviendra Nvidia - l'envie en latin. À en croire Jensen Huang, Nvidia, c'est presque de la magie. « Grâce à ce que l'on fait, on rend possible, ce qui est à difficilement réalisable, on rend économe en énergie, ce qui est très énergivore, et nous pouvons modifier quelque chose de très cher pour le rendre bien plus abordable », vante-t-il sur CNBC.« Visionnaire »Concrètement, Nvidia conçoit des composants informatiques très spécifiques. « Il a créé Nvidia à l'ombre des géants des processeurs tels qu'Intel avec une stratégie assez particulière au fil des années, en se concentrant sur les processeurs graphiques, en particulier pour les jeux vidéo. C'était d'abord une sorte de niche mais qui demandait une excellence technique », explique Rémi Bourgeot, économiste et statisticien, chercheur associé à l'Iris. Premier grand succès en 1999 avec le premier processeur graphique (GPU) au monde. Jensen Huang, qualifié de « visionnaire » par Mohamed Makhlouf, enseignant en intelligence artificielle à l'Essca, a ensuite flairé de nouveaux marchés pour ces cartes à haute capacité de calcul, le minage de cryptomonnaie et surtout l'IA. « Ils ont conçu des puces spécialement pour l'intelligence artificielle à partir de 2016-2017, pour des calculs de 'deep learning', pour les voitures autonomes. ChatGPT fonctionne aussi sur des puces de Nvidia ».Des puces que Nvidia conçoit, mais ne fabrique pas. « Grâce à son amitié avec Morris Chang, le président de TSMC, il a mis en place une approche de fabrication 'fabless' (NDLR : sans usine en français), rappelle Mohamed Makhlouf. Elle a été vraiment l'un des piliers de la croissance rapide de Nvidia. »L'action Nvidia prise d'assautAvec l'essor de l'intelligence artificielle, son produit vedette le H100, valant plusieurs milliers de dollars pièce, fait fureur. « Les GPUs sont nettement plus difficiles à trouver que de la drogue », a même ironisé Elon Musk lors d'un événement organisé par le Wall Street journal. Nvidia fait course largement en tête. Selon le cabinet Jon Peddie Research, Nvidia pesait 82% des GPU autonomes livrés dans le monde fin 2022, ses deux poursuivants s'octroyant 9% chacun. Résultat, la valeur de l'entreprise californienne a bondi en bourse et avec elle la richesse de Jensen Huang, classé, par Forbes, 37ᵉ homme le plus riche du monde avec une fortune de quelque 34 milliards de dollars. Riche, Jensen Huang est aussi multirécompensé. Il figure notamment sur la liste du Time des 100 personnalités les plus influentes de 2021. Et les derniers mois ont permis à l'homme à la veste de cuir d'asseoir sa notoriété.« Il avait un statut assez légendaire dans les milieux liés aux jeux vidéo parce que ses processeurs sont devenus indispensables aux jeux vidéo qui nécessitent le plus de puissance de calcul pour les applications graphiques, » souligne Rémi Bourgeot.  « Aujourd'hui, étant au centre de la grande tendance du développement de l'IA, il est vraiment reconnu pour des paris qu'il a faits dans la durée ». Encore quelques « décennies » Malgré cette renommée, Rémi Bourgeot lui prête une « certaine mesure ». « C'est quelqu'un qui est resté vraiment concentré, il est resté un ingénieur. On ne voit pas quelqu'un avec des visées mégalomaniaques de couverture de tous les marchés technologiques imaginables ».À 60 ans, Jensen Huang en a déjà passé trente à la tête de Nvidia. Et il a confié à CNBC ne pas être prêt à lâcher les rênes, quitte à se transformer en robot. « Je ne sais pas encore combien de temps, mais dans quarante ans, je serai robotique, et après ça, peut-être trois ou quatre décennies de plus. Donc, j'espère pouvoir en profiter encore très longtemps. »Fidèle au nom de l'entreprise, le PDG a donc l'envie dans les veines et Nvidia dans la peau. Littéralement. Jensen Huang s'est fait tatouer sur le bras un dessin inspiré du logo de la marque.

Ensuring Europe has the labor force it needs to drive economic growth requires strategic cooperation between key stakeholders—but businesses can take practical steps to improve the supply and productivity of their workers. This podcast explores the themes of our recently released European Labor Market Outlook report. Listen in as our panel of experts explores insights, and focus points for what companies can do to increase labor force productivity.

Jeudi 30 mars, la règlementation des influenceurs dans l'écosystème crypto qui vient d'être votée ce jeudi à l'Assemblée nationale, et l'extension de la levée de fonds de Ledger, ont été abordés par Valentin Nicaud, membre de la cellule infos d'experts chez Bourse Direct, Grégory Raymond, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, et Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, reçus par Guillaume Sommerer dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin :  Ukaine : les enjeux de la Bataille de Bakhmout. Par Elsa Vidal, cheffe du service en langue russe de RFI RDC : vers le déploiement de soldats angolais. Par Jean-Jacques Wondo, spécialiste des questions de sécurité en République démocratique du Congo Football : pourquoi le Sénégal enchaîne des trophées ? Par Antoine Grognet, journaliste au service des sports Faillite de Silicon Valley Bank : quelles conséquences ? Par Rémi Bourgeot, économiste principal à l'Institut Conference Board et chercheur associé à l'Institut des relations internationales et stratégiques.       * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu

Jeudi 08 décembre, la preuve de réserve publiée par Binance hier soir, confirmant que leur nombre de BTC est supérieur à ce qui avait été annoncé, a été abordé par Valentin Nicaud, membre de la cellule infos d'experts Bourse Direct, Grégory Raymond, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, et Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'Iris, reçus par Guillaume Sommerer dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Ce jeudi 13 octobre, Grégory Raymond, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'Iris, se sont penchés sur les niveaux techniques à surveiller sur le marché crypto et la version définitive de Mica validée par le parlement européen, dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

L'annonce par Berlin d'un plan national de 200 milliards d'euros pour faire face à la crise de l'énergie continue d'être vivement commentée au sein de l'Union européenne. L'Allemagne est accusée de faire cavalier seul au détriment d'une solution harmonisée. Pourquoi ce choix ? Est-ce parce que les nuages s'amoncellent au-dessus de l'économie allemande aujourd'hui menacée de récession ? Comment analyser la nouvelle politique au regard du projet européen ? Quelles perspectives pour l'Allemagne ? Avec :  - Hans Stark est professeur à l'Université Paris-Sorbonne, et Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Institut français des relations internationales. (Ifri) - Michel Ruimy économiste et professeur à l'ESCP Europe et à Science Po Paris   - Rémi Bourgeot, économiste, statisticien chercheur associé à Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS)

L'annonce par Berlin d'un plan national de 200 milliards d'euros pour faire face à la crise de l'énergie continue d'être vivement commentée au sein de l'Union européenne. L'Allemagne est accusée de faire cavalier seul au détriment d'une solution harmonisée. Pourquoi ce choix ? Est-ce parce que les nuages s'amoncellent au-dessus de l'économie allemande aujourd'hui menacée de récession ? Comment analyser la nouvelle politique au regard du projet européen ? Quelles perspectives pour l'Allemagne ? Avec :  - Hans Stark est professeur à l'Université Paris-Sorbonne, et Secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l'Institut français des relations internationales. (Ifri) - Michel Ruimy économiste et professeur à l'ESCP Europe et à Science Po Paris   - Rémi Bourgeot, économiste, statisticien chercheur associé à Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS)

Jeudi 30 juin, Guillaume Sommerer a reçu Aurélien Hotton, gérant senior chez Swiss Life Banque Privée, Raphaël Gallardo, chef économiste chez Carmignac, Sylvain Lévi-Valensi, directeur associé chez Radio Immo, Yann Azuelos, responsable de la Gestion Financière chez Mirabaud Group, Yannick Lopez, directeur de la gestion taux chez OFI AM, Jean-Louis Dell'Oro, journaliste de BFM Business, Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, Gregori Volokhine, président de Meeschaert Financial Services, Jocelyn Jovène, rédacteur en chef de Morningstar, Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Grégory Raymond, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, Olivier Héreil, directeur des gestions d'actifs de BNP Paribas Cardif, Alexandre Baradez, chef analyste chez IG, Florent Delorme, directeur des investissements chez M&G Investments, Sabrina Quagliozzi, correspondante de BFM Business à New York, Aude Kersulec, journaliste de BFM Business à Euronext, et Edwin Faure, directeur de la gestion de Philippe Hottinguer & Cie Gestion, dans l'émission BFM Bourse sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.dans l'émission BFM Bourse sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 30 juin, Guillaume Sommerer a reçu Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, Gregori Volokhine, président de Meeschaert Financial Services, Jocelyn Jovène, rédacteur en chef de Morningstar, Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Grégory Raymond, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, ainsi qu'Olivier Héreil, directeur des gestions d'actifs de BNP Paribas Cardif, dans l'émission BFM Bourse sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 30 juin, les fonds d'investissement dans le Web 3.0 en France a été abordé par Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Grégory Raymond, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, ainsi que Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, reçus par Guillaume Sommerer dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 2 juin, Guillaume Sommerer a reçu Étienne Bracq, journaliste de BFM Business, Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, Gregori Volokhine, président de Meeschaert Financial Services, Pierre Schang, gérant OPCVM chez Tocqueville Finance, Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Raphaël Bloch, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, Rémi Bourgeot, économiste et chercheur à l'IRIS, ainsi que Karim Boukni et Alfred Dittrick, directeurs Commerciaux chez MetLife, dans l'émission BFM Bourse sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 2 juin, Guillaume Sommerer a reçu Sabrina Quagliozzi, correspondante de BFM Business à New York, Étienne Bracq, journaliste de BFM Business, Mary-Sol Michel, directrice de la Gestion sous Mandat chez Swiss Life Banque Privée, Gilles Moëc, chef économiste du Groupe AXA, Marie Coeurderoy, journaliste Immo à BFM Business, Gaël Thomas, rédacteur en chef chez Business Immo, Sébastien Barthélémi, responsable de la recherche crédit chez Kepler Cheuvreux, Frédéric Rozier, gérant pour Mirabaud France, et Guillaume Bayre, journaliste de BFM Business, Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, Gregori Volokhine, président de Meeschaert Financial Services, Pierre Schang, gérant Tocqueville Finance, Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Raphaël Bloch, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, Rémi Bourgeot, économiste et chercheur à l'IRIS, Alexandre Baradez, chef analyste chez IG, Nicolas Brault, directeur Général de Oudart Gestion, Edwin Faure, directeur de la gestion de Philippe Hottinguer & Cie Gestion, ainsi que Benjamin Rousseau, gérant chez Cogefi, dans l'émission BFM Bourse sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 2 juin, l'enquête de The Big Whale sur la surveillance des crypto-contribuables par le fisc a été abordé par Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Raphaël Bloch, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, ainsi que Rémi Bourgeot, économiste et chercheur à l'IRIS, reçus par Guillaume Sommerer dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 5 mai, Guillaume Sommerer a reçu Étienne Bracq, journaliste de BFM Business, Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, Gregori Volokhine, président de Meeschaert Financial Services, Jocelyn Jovène, analyste financier chez Morningstar, Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Raphaël Bloch, co-fondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, ainsi que Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, dans l'émission BFM Bourse sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 5 mai, Guillaume Sommerer a reçu Aurélien Hotton, gérant senior chez Swiss Life Banque Privée, Gilles Moëc, chef économiste du Groupe AXA, Sylvain Lévy-Valensi, directeur associé de Radio Immo, Frédéric Rozier, gérant pour Mirabaud France, Yannick Lopez, directeur de la gestion taux chez OFI AM, Jean-Louis Dell'Oro, journaliste de BFM Business, Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, Gregori Volokhine, président de Meeschaert Financial Services, Jocelyn Jovène, analyste financier chez Morningstar, Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Raphaël Bloch, co-fondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, Hervé Goulletquer, senior Economic Advisor chez Accuracy, Sabrina Quagliozzi, correspondante BFM Business à New York, Régis Bégué, directeur de la gestion actions à Lazard Frères Gestion, ainsi qu'Edwin Faure, directeur de la gestion de Philippe Hottinguer & Cie Gestion, dans l'émission BFM Bourse sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Jeudi 5 mai, l'enregistrement de Binance comme PSAN auprès de l'AMF a été abordé par Rodolphe Steffan, trader et associé chez Interactive Trading, Raphaël Bloch, co-fondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, ainsi que Rémi Bourgeot, économiste et chercheur associé à l'IRIS, reçus par Guillaume Sommerer dans l'émission BFM Crypto, le Club sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

LE DRAME DE CHARLES MARION Découvrez la choquante histoire de Charles Marion, ce gérant de crédit à la caisse Populaire Desjardins de Sherbrooke-Est, kidnappé en 1977. Annie vous raconte en quoi cette histoire rocambolesque se démarque encore aujourd'hui. LA DISPARITION D'ISABELLE BOURGEOT L'histoire incroyablement triste d'Isabelle Bourgeot, disparue de la ville de Québec en novembre 1985. Est-ce que la maladie mentale peut vraiment tout expliquer de cette bouleversante destinée?

Trung Quốc biết lo xa vơ vét chip điện tử. Châu Á, nguồn cung cấp đến 80 % linh kiện bán dẫn cho thị trường toàn cầu, bị tê liệt một phần dưới tác động của biến thể Delta, Covid-19. Hậu quả kèm theo là châu Âu bị vạ lây. Nhiều nhà máy trên Lục Địa Già phải tạm đóng cửa vì thiếu linh kiện bán dẫn. Hàng loạt các nhà máy trên thế giới phải hoạt động chậm lại, công nhân bị cho nghỉ việc vì lý do « kỹ thuật », lỗi do thiếu « não bộ » của hàng tỷ máy móc điện tử, từ xe hơi, đến điện thoại thông minh, máy tính cá nhân, TV, thẻ tín dụng ngân hàng... Châu Âu lệ thuộc đến 94 % vào chịp « nhập khẩu » bị nặng hơn cả. Trong chưa đầy một năm, các nhà máy sản xuất xe hơi ở Rennes (miền tây bắc nước Pháp), tại Sochaux (miền đông) hay ở Onnaing (miền bắc), đều đã phải tạm cho nhân viên nghỉ việc trong nhiều đợt. Nhìn rộng ra hơn tại châu Âu, các xưởng sản xuất của hãng xe Nhật Toyota chỉ hoạt động 40 % so với công suất bình thường. Lý do : nhà máy không còn chip điện tử để lắp ráp xe. Toyota không là trường hợp duy nhất. Đối thủ đáng gờm nhất của hãng xe Nhật này là tập đoàn Đức, Volkswagen cùng chung số phận. Tập đoàn sản xuất xe vận tải của Thụy Điển, Scania cuối tháng 8/2021 thông báo « ngưng sản xuất trong vòng một tuần » tại tất cả các nhà máy ở Thụy Điển, Pháp và Hà Lan. Riêng chi nhánh của tập đoàn Peugeot tại Rennes, sau ba tuần lễ nghỉ hè trong tháng 8, nhân viên bất ngờ được kéo dài thời gian nghỉ phép ngoài ý muốn. Tổng giám đốc Emil Frey France, chuyên phân phối 28 hiệu xe khác nhau tại 250 văn phòng đại diện trên toàn quốc khẳng định : « Thời gian giao hàng bị trễ từ sáu đến 9 tháng ». Theo thẩm định của cơ quan tư vấn Boston Consulting, hiện tượng khan hiếm linh kiện bán dẫn ảnh hưởng trực tiếp đến khoảng 8 triệu chiếc xe bán ra trên thế giới chỉ riêng trong năm nay, tương đương với gần 10 % của thị trường toàn cầu. Khoản thất thu kèm theo, ước tính lên tới khoảng 110 tỷ đô la theo thẩm định của Alix Partners, trụ sở tại New York. Vấn đề đặt ra là hiện tượng khan hiếm chip điện tử có nguy cơ kéo dài. Trả lời đài phát thanh tư nhân Radio Classique hôm 03/09/2021, Paul Boudre tổng giám đốc Soitec, tập đoàn cung cấp nguyên liệu để sản xuất công nghệ bán dấn của Pháp, chờ đợi « cơn khát » này sẽ kéo dài thêm « từ sáu đến chín quý nữa » có nghĩa là đến cuối 2023 : « Sự khan hiếm này được xác định ở nhiều cấp trước hết là từ phía các lò đúc. Như đã biết khoản đầu tư cần thiết trong ngành được tính hàng tỷ đô la. Các dây chuyền sản xuất đã hoạt động hết công suất. Bây giờ cần bắt buộc phải xây dựng những nhà máy máy mới và cần có thời gian để cân bằng mức cung và cầu ». Trung Quốc « vơ vét » chip của thế giới Có hai nguyên nhân dẫn tới hiện tượng khan hiếm nói trên, cả hai cùng xuất phát từ châu Á. Trên đài phát thanh France Info, chuyên gia kinh tế Rémi Bourgeot, cộng tác viên Viện Quan Hệ Quốc Tế và Chiến Lược - IRIS của Pháp chú ý đến chiến thuật của Trung Quốc trong bối cảnh chiến tranh thương mại Mỹ-Trung : « Trung Quốc đã lo xa, tích trữ linh kiện từ trước cho một thời gian dài, tránh để bị thiếu hụt. Một cách cụ thể là thay vì dự trù khối lượng đủ để cung cấp cho các nhà máy trong một hay hai tuần hay cùng lắm là một tháng, thì Trung Quốc dự trù cho khoảng thời gian là từ một đến hai năm, vơ vét chip của thị trường thế giới. Bằng mọi giá, Bắc Kinh muốn tránh để dây chuyền sản xuất bị gián đoạn. Trung Quốc đã đầu tư 180 tỷ đô la để phát triển các nhà máy sản xuất linh kiện bán dẫn, không phải lệ thuộc vào Mỹ. Châu Âu thì mới bắt đầu nhập cuộc ». 5 nhà máy tại Malaysia bị tê liệt Nguyên nhân thứ nhì khiến thị trường công nghệ bán dẫn càng lúc càng « căng », do dịch Covid-19 tái phát tại châu Á, nơi « tập trung đến 80 % các nhà máy sản xuất chip điện tử » để cung cấp cho toàn cầu : chỉ riêng tập đoàn TSMC của Đài Loan sản xuất 28 % những « con bọ điện tử bán ra cho thế giới. Một ông khổng lồ khác trong ngành là UMC cũng của Đài Loan chiếm 13 % thị phần toàn cầu. Nhật Bản bảo đảm 16,5 % nhu cầu tiêu thụ cho thế giới, Hàn Quốc là  21 %. Theo thẩm định của cơ quan tư vấn Hoa Kỳ IC Insight, trong lĩnh vực điện tử, châu Âu lệ thuộc vào 94 % chịp điện tử châu Á. Năm nhà máy tại Malaysia là nguồn cung cấp chính phục vụ các nhà máy lắp ráp xe hơi tại châu Âu. Năm nhà máy đó được đặt tại Penang, (bờ biển tây bắc Malaysia), một nhà máy thứ nhì đặt tại tỉnh Kedah, sát biên giới với Thái Lan, một ở cảng Malacca, một ở khu vực cực nam là Johor và nhà máy quan trọng sau cùng được đặt tại Selangor, cách không xa thủ đô Kuala Lumpur. Có điều dịch Covid-19 kéo dài từ đầu 2020 và đã bùng phát mạnh trở lại từ mùa xuân vừa qua khiến các nhà máy này đã phải tạm đóng cửa, hoặc hoạt động với số lượng nhân viên ít hơn nhiều so với bình thường. Những nhu cầu tiêu thụ mới Ở góc đài bên kia, chính virus corona đã đẩy nhu cầu tiên thụ tăng cao và phát sinh thêm những nhu cầu mới. Paul Boudre, tổng giám đốc tập đoàn Soitec của Pháp, phân tích : « Đại dịch là yếu tố thúc đẩy mọi việc : có nhiều thay đổi quan trọng, thậm chí là cả một sự đảo lộn, trong lối sống của chúng ta. Tiêu biểu nhất là trên phương diện y khoa và giáo dục. Linh kiện bán dẫn từ 40 năm nay đã đem lại nhiều thay đổi trong cuộc sống hàng ngày, qua máy điện toán, qua điện thoại thông minh… Ngành công nghệ bán dẫn càng lúc càng chiếm một vị trí quan trọng và cũng đã có nhiều tiến bộ trên thị trường này. Trước đây, chủ yếu bên công nghiệp sử dụng chíp điện tử, như công nghệ xe hơi… Nhưng đừng quên rằng từ khi dịch Covid-19 bùng lên, trong giai đoạn phong tỏa, mọi người đã phải mua thêm đến 300 triệu chiếc máy tính cá nhân để làm việc, để theo học từ nhà. Nhu cầu linh kiện bán dẫn càng lúc càng lớn và ngành công nghiệp sản xuất chip điện tử vừa là một yếu tố làm thay đổi môi trường công nghiệp, vừa đứng trước nhiều thử thách ». Chiến lược phát triển nào ? Vào lúc Hoa Kỳ đã xem « công nghệ bán dẫn » là một ưu tiên chiến lược, Trung Quốc đầu tư 180 tỷ đô la để không còn lệ thuộc vào bọ điện tử của Mỹ, thì châu Âu đã có những bước chuẩn bị như thế nào ? Tổng giám đốc Soitec, Paul Boudre trả lời : « Châu Âu có những công ty dẫn dầu thị trường trong ngành. Những công ty đó cần được hỗ trợ để tiếp tục là những con chim đầu đàn, để tiếp tục giữ thế thượng phong trong tương lai. Trong số những hãng lớn của châu Âu phải kể tới ST MicroElectronics, NSX Semiconductors hay Infeneon Technoligies… Các công ty này đã đầu tư rất nhiều và có hẳn những chiến lược phát triển linh kiện bán dẫn để phục vụ các ngành từ công nghệ viễn thông đến trí thông minh nhân tạo hay ngành công nghệ xe hơi. Giờ đây chúng ta đã trông thấy là nhu cầu càng lúc càng lớn của ngành y tế, giáo dục. Các trung tâm nghiên cứu về công nghệ nano và microtechnologies lại càng cần được hỗ trợ nhiều hơn và đã đến lúc các tập đoàn của châu Âu cần đẩy mạnh chiến lược phát triển ». Cụ thể hơn từ 2018, Pháp đã cùng với Đức, Ý và Áo hợp lưc trong một dự án chung mang tên PIIEC. Các bên cộng tác trong các khâu nghiên cứu và phát triển. Bộ Kinh Tế và Tài Chính Pháp đang tiếp tục vận động ba đối tác còn lại để triển hạn và tăng ngân sách cho khâu này. Mùa xuân vừa qua, Paris triệu tập nhiều đối tác Pháp và châu Âu trong ngành công nghiệp bán dẫn để « cùng hoạch định những chiến lược lâu dài ». Như vừa trình bày, đầu tư trong lĩnh vực này là những dự án bạc tỷ, nhất là châu Âu phải bắt kịp những chậm trễ so với các đối tác châu Á, liệu rằng Bruxelles và 27 nước thành viên có sẵn sàng để nhận lấy gánh nặng đó hay không ? Nhà cung cấp nguyên liệu cho các công ty sản xuất chip điện tử Pháp, Paul Boudre, hãng Soitec một lần nữa nhấn mạnh đến hợp tác giữa các doanh nghiệp với chính phủ : « Theo tôi tuyệt đối cần phải bảo đảm cho các doanh nghiệp châu Âu một môi trường phát triển an toàn, để cho các hãng này có hẳn một chiến lược rõ ràng trong lĩnh vực chuyên môn của họ. Chính thế leadership về mặt công nghệ đó là lá chủ bài bảo đảm cho sự độc lập về mặt chủ quyền của châu Âu. Bước tiếp theo là cần quan sát xem làm thế nào để tiếp cận với những công nghệ càng lúc càng tân tiến. Cả hai bước này đều chỉ có thể được thực hiện cùng với các doanh nghiệp ». 18 tháng trước đây, khi đại dịch Covid-19 bắt đầu, Pháp nói riêng Liên Hiệp Châu Âu nói chung đặt ra vấn đề « tự chủ về mặt công nghiệp » không chỉ vì thiếu hụt từ khẩu trang đến trang thiết bị y tế, mà cả trên lĩnh vực công nghệ bán dẫn. Nhưng rồi các nhà máy chip điện tử của châu Á cho đến rất gần đây vẫn hoạt động gần như bình thường, hồ sơ « tự chủ về công nghiệp » có vẻ như đã tạm thời lắng xuống. Nhưng khi cả ngành công nghiệp xe hơi của châu Âu, với hai đầu tàu là các hãng lớn của Đức và Pháp điêu đứng vì thiếu linh kiện bán dẫn của châu Á, thất thu hàng chục tỷ đô la, đây có thể là cú hích thúc đẩy Lục Địa Già đổi chiến lược phát triển công nghiệp.  

Je vous parle de la mystérieuse disparition d'Isabelle Bourgeot, la première québécoise du podcast, qui s'est volatilisé à Québec, dans le quartier Limoilou.

Alors que les tensions commerciales entre la Chine et les États-Unis semblaient s'apaiser, les mesures offensives ont repris de part et d'autre cet été. Donald Trump n'en démord pas, c'est par les droits de douane qu'il compte relocaliser. Cette stratégie peut-elle fonctionner alors qu'elle n'est pas doublée d'une véritable politique industrielle ?Jacques Sapir et Clément Ollivier reçoivent Rémi Bourgeot, économiste spécialiste des déséquilibres commerciaux, chercheur associé à l'IRIS.

Alors que la livre turque dévisse et que le pays connaît une importante crise économique, comment expliquer ces phénomènes brutaux ? Ces événements annoncent-ils une crise plus générale des pays émergents ?Jacques Sapir et Clément Ollivier reçoivent Charles Gave, économiste et homme d'affaires, président du think tank libéral-conservateur Institut des Libertés, et Rémi Bourgeot, économiste, chercheur associé à l'IRIS et spécialiste des déséquilibres commerciaux.

For this first episode of my podcast we meet Ian Bourgeot at his lovely bookshop in Helsinki - Arkadia International Bookshop.