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Comment le cerveau appréhende les mots ? Comment les bébés apprennent-ils le sens des mots ? Interrogations ouvertes par le chercheur Xavier Alario dans un essai percutant : l'esprit des mots pour une nouvelle neuroscience du langage (Éditions Odile Jacob). Demandons-nous comment nous nous parlons et comment nous nous entendons ? Comment notre cerveau appréhende-t-il les mots ? Question vertigineuse car derrière notre utilisation quotidienne du langage, se cache toute une série de processus cognitifs et mentaux étudiés par notre invité, le chercheur en sciences cognitives Xavier Alario. Il explore le fonctionnement du langage et de ses mécanismes neuropsychologiques au sein de l'équipe interdisciplinaire qu'il dirige au centre de recherche en psychologie et neuroscience d'Aix-Marseille Université. Xavier Alario partage ses recherches et ses découvertes, mais aussi ses interrogations sur la manière dont nous parlons, depuis l'apprentissage de la parole chez les bébés jusqu'au traitement verbal des machines en passant par le choix de nos mots...Avec Xavier Alario, chercheur CNRS en Sciences cognitives au Centre de Recherche en Psychologie et Neuroscience affilié à Aix-Marseille Université pour son ouvrage L'esprit des mots pour une nouvelle neuroscience du langage chez Odile Jacob.
Comment le cerveau appréhende les mots ? Comment les bébés apprennent-ils le sens des mots ? Interrogations ouvertes par le chercheur Xavier Alario dans un essai percutant : l'esprit des mots pour une nouvelle neuroscience du langage (Éditions Odile Jacob). Demandons-nous comment nous nous parlons et comment nous nous entendons ? Comment notre cerveau appréhende-t-il les mots ? Question vertigineuse car derrière notre utilisation quotidienne du langage, se cache toute une série de processus cognitifs et mentaux étudiés par notre invité, le chercheur en sciences cognitives Xavier Alario. Il explore le fonctionnement du langage et de ses mécanismes neuropsychologiques au sein de l'équipe interdisciplinaire qu'il dirige au centre de recherche en psychologie et neuroscience d'Aix-Marseille Université. Xavier Alario partage ses recherches et ses découvertes, mais aussi ses interrogations sur la manière dont nous parlons, depuis l'apprentissage de la parole chez les bébés jusqu'au traitement verbal des machines en passant par le choix de nos mots...Avec Xavier Alario, chercheur CNRS en Sciences cognitives au Centre de Recherche en Psychologie et Neuroscience affilié à Aix-Marseille Université pour son ouvrage L'esprit des mots pour une nouvelle neuroscience du langage chez Odile Jacob.
Pourquoi refaire l'histoire de la domestication ? L'archéozoologue Jean-Denis Vigne nous entraîne aux origines des domestications animales par les humains sur toute la planète. Chien, chat, vache, chameau, lama ou cheval, qu'est-ce que ça dit de nous et des autres animaux... Qui a domestiqué qui ? Comment et jusqu'où ? (Rediffusion du 26 novembre 2024) Demandons-nous où, quand et comment nous, les humains, avons domestiqué les autres animaux ? Du loup au chien en passant par les vaches, les chameaux, les abeilles, les lamas, les rennes ou les chevaux, comment remonter aux origines de la domestication animale et pourquoi les récentes découvertes archéologiques couplées aux analyses d'ADN ancien, nous révèlent une histoire inédite bien plus complexe et singulière qu'on ne l'imaginait... Une histoire de coévolution entre humains et non humains où l'on en vient même à se demander qui a domestiqué qui ? Et pourquoi ? Même si la question du pourquoi reste la plus difficile...Avec Jean-Denis Vigne, archéo-zoologue pour son ouvrage La domestication à l'oeil nu, paru chez CNRS Éditions.
Pourquoi refaire l'histoire de la domestication ? L'archéozoologue Jean-Denis Vigne nous entraîne aux origines des domestications animales par les humains sur toute la planète. Chien, chat, vache, chameau, lama ou cheval, qu'est-ce que ça dit de nous et des autres animaux... Qui a domestiqué qui ? Comment et jusqu'où ? (Rediffusion du 26 novembre 2024) Demandons-nous où, quand et comment nous, les humains, avons domestiqué les autres animaux ? Du loup au chien en passant par les vaches, les chameaux, les abeilles, les lamas, les rennes ou les chevaux, comment remonter aux origines de la domestication animale et pourquoi les récentes découvertes archéologiques couplées aux analyses d'ADN ancien, nous révèlent une histoire inédite bien plus complexe et singulière qu'on ne l'imaginait... Une histoire de coévolution entre humains et non humains où l'on en vient même à se demander qui a domestiqué qui ? Et pourquoi ? Même si la question du pourquoi reste la plus difficile...Avec Jean-Denis Vigne, archéo-zoologue pour son ouvrage La domestication à l'oeil nu, paru chez CNRS Éditions.
De l'émotion et des larmes. Encore sous le choc depuis l'annonce ce lundi 21 avril de la disparition du pape François, des centaines de touristes et de fidèles se sont rassemblés à la cathédrale Notre-Dame de Paris pour se recueillir et rendre hommage au pape. Sur le parvis de Notre-Dame de Paris, une employée, haut-parleur à la main, lance en boucle ce message, pour informer le public que la cathédrale n'accueille plus de visiteurs, mais uniquement les croyants qui se regroupent pour prier en mémoire du défunt pape François. Notre-Dame est en deuil et les fidèles ont encore du mal à réaliser.« C'est un choc pour moi. Comme je n'habite pas très loin, je me suis dit que c'était le moment de venir dans une Notre-Dame nouvellement restaurée pour un moment de recueillement et de prière », explique cet homme, visiblement ému. Comme lui, la mort du pape François a surpris de nombreux touristes, c'est le cas de cette jeune espagnole. « C'est un moment symbolique, on est très touchés d'être ici pour dire au revoir au pape François. Il m'a permis de me rapprocher du christianisme », confie-t-elle.Dans la file d'attente, Anne Kate, originaire de Maurice, est venue plus d'une heure à l'avance pour assister à cette messe et se recueillir. « Je viens prier pour le pape. Comme on visite Paris, on apporte notre prière pour le pape François. C'est touchant. Il est venu à l'île Maurice en 2019. Cela nous touche particulièrement, nous les Mauriciens. Il avait une belle approche pour les jeunes et les personnes marginalisées. J'espère que le prochain pape suivra le même parcours », affirme-t-elle.Il est 18h, des centaines de fidèles suivent l'homélie qui résonne depuis la cathédrale, retransmise par la chaîne de télévision catholique KTO : « Rendons grâce, pour la personne que fut le pape François, pour le ministère qu'il a accompli parmi nous. Demandons à Dieu de donner à son Église la grâce de son unité. Implorons l'Esprit-Saint pour qu'il ne cesse de nous conduire sur les chemins que le pape François nous trace. Amen. »Encore sous le choc, cette famille toulousaine est très émue. « En tant que chrétien, c'est un jour qu'on n'oubliera pas. Cela m'a touché », expliquent-ils. Les hommages continuent et certains fidèles se préparent pour la veillée.À lire aussi«On perd le meilleur d'entre nous»: les Argentins pleurent la mort de «leur» pape François
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le 9 février, 5ème dimanche du temps ordinaire.La liturgie de ce jour nous invite à entendre l'appel à la mission du Père, et peut-être notre incapacité à y répondre. Demandons à Dieu de nous garder sous sa protection, puisque sa grâce est notre... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Reflections de Joseph Nimoh interprété par Joseph Nimoh - Reflections © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes ; Allons au large de Laurent Grzybowski interprété par Laurent Grzybowski - Chemins de fraternité © ADF-Bayard Musique.
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Aujourd'hui, nous sommes le samedi 8 février et nous faisons mémoire de saint Jérôme Émilien, fondateur, et de sainte Joséphine Bakhita, première sainte africaine non-martyre.Chacun à leur manière et selon leurs situations, Jérôme Émilien et Joséphine Bakhita ont vécu l'esclavage, dont ils ont pu être libérés pour goûter à la liberté des enfants de Dieu et se donner sans réserve aux pauvres. Demandons la grâce de garder toujours cet esprit... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Regarde, et réponds-moi de G. Dadillon interprété par Communauté de l''''''''''''''''''''''''''''''''Émmanuel - Musiques pour prier n° 5: Symphonie pour Dieu © Éditions de l'Émmanuel ; The Lord's My Shepherd de Stuart Townend interprété par Beth Tysall - Pas d'album © Creative Commons Youtube Audio Library.
Goma transformée en zone de guerre même si les combats, les affrontements ont été sporadiques ce mardi. Depuis dimanche, la ville est sous le feu, les hôpitaux saturés, les pillages nombreux. Représentant spécial adjoint de l'ONU en République démocratique du Congo, Bruno Lemarquis est également le coordonnateur humanitaire. Il est notre grand invité Afrique ce matin. À lire aussiRDC: tirs à Goma, des ambassades attaquées par des manifestants à Kinshasa À lire aussiLe M23 et des soldats rwandais dans Goma: «Un pari sur une indifférence des États-Unis»
Comment le cerveau appréhende les mots ? Comment les bébés apprennent ils le sens des mots ? Interrogations ouvertes par le chercheur Xavier Alario dans un essai percutant : l'esprit des mots pour une nouvelle neuroscience du langage (Éditions Odile Jacob). Demandons-nous comment nous nous parlons et comment nous nous entendons ? Comment notre cerveau appréhende-t-il les mots ? Question vertigineuse car derrière notre utilisation quotidienne du langage, se cache toute une série de processus cognitifs et mentaux étudiés par notre invité, le chercheur en Sciences cognitives Xavier Alario. Il explore le fonctionnement du langage et de ses mécanismes neuropsychologiques au sein de l'équipe interdisciplinaire qu'il dirige au centre de recherche en psychologie et neuroscience d'Aix-Marseille Université. Xavier Alario partage ses recherches et ses découvertes, mais aussi ses interrogations sur la manière dont nous parlons, depuis l'apprentissage de la parole chez les bébés jusqu'au traitement verbal des machines en passant par le choix de nos mots...Avec Xavier Alario, docteur en Sciences cognitives pour son ouvrage L'esprit des mots pour une nouvelle neuroscience du langage par chez Odile Jacob.
Toute colère, quelle qu'en soit la cause, a toujours le même effet. Elle nous bouleverse et nous met sous pression. Intérioriser sa colère, en prétendant qu'elle n'existe pas, peut être dangereux pour notre santé. La plupart du temps, nous ne nous faisons que du mal et la personne qui nous a mis en colère ne s'en rend même pas compte. Pour ma part, je me mettais souvent dans une colère terrible jusqu'à ce que Dieu attire mon attention. Finalement, j'ai dû trouver une solution pour la maîtriser, ce qui s'est révélé un véritable changement dans mon comportement. Lorsque vous maîtrisez votre colère et que vous décidez de la traiter avec l'aide de Dieu, vous pouvez la surmonter. Le Saint-Esprit nous donne le pouvoir de nous calmer et de marcher selon l'Esprit. Nous pouvons alors pardonner à celui qui nous a offensé et nous pouvons aimer celui qui ne nous aime pas. Nous devons donc assumer la responsabilité de notre colère et apprendre à la maîtriser. Au lieu de l'intérioriser, levons nos yeux vers le Seigneur et demandons-lui de nous libérer. Maîtriser la colère et y mettre fin nous permettra d'être en paix. Demandons-lui de nous libérer.
Pourquoi refaire l'histoire de la domestication ? L'archéozoologue Jean-Denis Vigne nous entraîne aux origines des domestications animales par les humains sur toute la planète. Chien, chat, vache, chameau, lama ou cheval, qu'est-ce que ça dit de nous et des autres animaux... Qui a domestiqué qui ? Comment et jusqu'où ? Demandons-nous où, quand et comment nous, les humains, avons domestiqué les autres animaux ? Du loup au chien en passant par les vaches, les chameaux, les abeilles, les lamas, les rennes ou les chevaux, comment remonter aux origines de la domestication animale et pourquoi les récentes découvertes archéologiques couplées aux analyses d'ADN ancien, nous révèlent une histoire inédite bien plus complexe et singulière qu'on ne l'imaginait... Une histoire de coévolution entre humains et non humains où l'on en vient même à se demander qui a domestiqué qui ? Et pourquoi ? Même si la question du pourquoi reste la plus difficile...Avec Jean-Denis Vigne, archéo-zoologue pour son ouvrage La domestication à l'oeil nu, paru chez CNRS Éditions.
Pourquoi refaire l'histoire de la domestication ? L'archéozoologue Jean-Denis Vigne nous entraîne aux origines des domestications animales par les humains sur toute la planète. Chien, chat, vache, chameau, lama ou cheval, qu'est-ce que ça dit de nous et des autres animaux... Qui a domestiqué qui ? Comment et jusqu'où ? Demandons-nous où, quand et comment nous, les humains, avons domestiqué les autres animaux ? Du loup au chien en passant par les vaches, les chameaux, les abeilles, les lamas, les rennes ou les chevaux, comment remonter aux origines de la domestication animale et pourquoi les récentes découvertes archéologiques couplées aux analyses d'ADN ancien, nous révèlent une histoire inédite bien plus complexe et singulière qu'on ne l'imaginait... Une histoire de coévolution entre humains et non humains où l'on en vient même à se demander qui a domestiqué qui ? Et pourquoi ? Même si la question du pourquoi reste la plus difficile...Avec Jean-Denis Vigne, archéo-zoologue pour son ouvrage La domestication à l'oeil nu, paru chez CNRS Éditions.
Les plus grands observatoires du ciel sont construits sur des terres autochtones. À Hawaï, c'est sur le Mona Kéa, la montagne sacrée des Hawaïens, sauf que ceux-ci se mobilisent désormais contre la construction d'un nouveau télescope géant. Enquête sur les terres contestées de l'astronomie... (Rediffusion du 30 avril 2024) Demandons-nous comment partager le ciel depuis la Terre ?Question sensible pour tous ceux qui aiment observer les étoiles, les planètes et la sublime voûte céleste… Sauf qu'à une toute autre échelle -quand il s'agit des gigantesques observatoires équipés de télescopes géants aux multiples miroirs tournés vers le ciel pour faire de la cosmologie et de l'astronomie de pointe- le choix du lieu n'est pas anodin. C'est sur les plus hauts plateaux et sommets du monde, dans des endroits isolés vierges et dégagés qui sont le plus souvent des territoires autochtones, que sont installés les grands observatoires et les télescopes…C'est le cas à Hawaï sur le Mona Kea, la montagne sacrée des natifs de Hawaï. Ce volcan, point culminant du Pacifique avec ses 4 207 mètres d'altitude, est aussi un lieu unique pour les astronomes du XXème et XXIème siècles, qui y ont installé leurs plus grands observatoires. Sauf qu'en 2019, la population hawaïenne a dit non et s'est mobilisée en nombre contre la construction d'un nouveau télescope géant. Pourquoi et comment cette montagne magique pour les Hawaïens, comme pour les scientifiques, est-elle devenue un lieu de confrontation ? Avec Pascal Marichalar, sociologue et historien au CNRS, diplômé d'Astronomie à l'Observatoire de Paris pour son ouvrage La montagne aux étoiles : enquête sur les terres contestées de l'astronomie, paru à la Découverte.
Les plus grands observatoires du ciel sont construits sur des terres autochtones. À Hawaï, c'est sur le Mona Kéa, la montagne sacrée des Hawaïens, sauf que ceux-ci se mobilisent désormais contre la construction d'un nouveau télescope géant. Enquête sur les terres contestées de l'astronomie... (Rediffusion du 30 avril 2024) Demandons-nous comment partager le ciel depuis la Terre ?Question sensible pour tous ceux qui aiment observer les étoiles, les planètes et la sublime voûte céleste… Sauf qu'à une toute autre échelle -quand il s'agit des gigantesques observatoires équipés de télescopes géants aux multiples miroirs tournés vers le ciel pour faire de la cosmologie et de l'astronomie de pointe- le choix du lieu n'est pas anodin. C'est sur les plus hauts plateaux et sommets du monde, dans des endroits isolés vierges et dégagés qui sont le plus souvent des territoires autochtones, que sont installés les grands observatoires et les télescopes…C'est le cas à Hawaï sur le Mona Kea, la montagne sacrée des natifs de Hawaï. Ce volcan, point culminant du Pacifique avec ses 4 207 mètres d'altitude, est aussi un lieu unique pour les astronomes du XXème et XXIème siècles, qui y ont installé leurs plus grands observatoires. Sauf qu'en 2019, la population hawaïenne a dit non et s'est mobilisée en nombre contre la construction d'un nouveau télescope géant. Pourquoi et comment cette montagne magique pour les Hawaïens, comme pour les scientifiques, est-elle devenue un lieu de confrontation ? Avec Pascal Marichalar, sociologue et historien au CNRS, diplômé d'Astronomie à l'Observatoire de Paris pour son ouvrage La montagne aux étoiles : enquête sur les terres contestées de l'astronomie, paru à la Découverte.
Signaler par ici le beau cosmopoli : https://tally.so/r/me25ROJ'ai la sensation que nous sommes nombreuses et nombreux à avoir besoin de la même chose pour naviguer avec panache dans cet océan d'informations et de propositions d'achats : un référentiel / une liste de personnes, d'adresses, d'objets, de références, de talents… qui seraient comme « validés » :Ok cosmopoli : ramener la consommation (dont eau, énergie, matières etc..) à un niveau où l'effet/l'impact généré resterait en deux ça de la capacité d'absorption du système vivant planétaire +++Ok beau : en tant qu'espèce esthète, le « cosmo-ravissement » est tout aussi important. Rien n'est plus puissant que le beau pour éloigner la poubelle de la vie d'un objet, d'un bâtiment. La naissance d'une relation intime, émotionnelle à l'altérité non humaine me semble primordiale à chérir.La cosmopolitesse est loin une succession de critères. Il s'agit d'une voie, d'un prisme, d'une manière de faire des choix essentiels en faveur d'un art de vivre présent à la prospérité de la vie sur Terre.Voici une liste non exhaustive des signaux les plus importants de la Cosmopolitesse du beau (Recommandation : jugez en conscience et avec discernement votre signalement) :-> l'impact hydrique, encore appelé « eau virtuelle ». Demandons-nous quelle quantité d'eau a été nécessaire pour arriver à l'état final ? Est ce une eau gaspillée ? une eau domestiquée (arrosage) ? une eau pluviale ?-> l'absence de PFAS-> l'absence de molécules que le vivant ne sait pas dégradé lui-même. Privilégions le choix de matériaux qui permettent les énergies du monde puissent passer à travers.-> la transformation des matériaux. Demandons-nous quelle part de matériaux peu ou non transformés sont à l'oeuvre ?-> la couleur. Parfois le mieux est l'ennemi du bien. Mieux vaut un élément non teinté qu'une fausse bonne idée de teinture « écolo » qui n'a que le nom de sérieux.
Longue de 380 km, la ligne ferroviaire Tana-Côte-Est relie le grand port de Tamatave à la capitale Antananarivo sur les hauts plateaux. Dénivelé positif : 1 250m. Un vrai périple pour tracter chaque jour des centaines de tonnes de bananes, de céréales ou de carburant, sur un chemin de fer bâti au tout début du 20ᵉ siècle. De notre correspondante à Antananarivo, « Allo, ici la gare de Tamatave. Demandons autorisation d'expédier le train 184 vers Ambila ». Un train s'apprête à quitter la ville portuaire de Tamatave, à Madagascar, pour remonter avec vingt-quatre wagons-citernes chargés de carburant. Dans la salle de régulation du trafic ferroviaire à Antananarivo, le régulateur de Madarail, la société concessionnaire des chemins de fer malgaches, autorise le convoi.En moyenne, six trains empruntent chaque jour cette fois ferrée mythique, au tracé sillonnant des reliefs escarpés et des villages très isolés. Cette ligne ferroviaire est l'unique solution pour désenclaver des zones fortement productrices en fruits et légumes. C'est aussi par elle que transite l'essentiel des produits pour l'industrie brassicole du pays. Enfin, 40 % du carburant importé emprunte ce rail avant d'être redistribué partout dans l'île.Plus rentable et plus sécurisantVingt heures après avoir quitté le port de Tamatave, le train fait son entrée dans la capitale. De part et d'autre sur la voie, les enfants détalent, les marmites et le linge qui sèche à même les rails sont déplacés à la hâte. Direction les cuves de stockage pour décharger la marchandise.« Le transport ferroviaire à l'heure actuelle, ça permet, d'un point de vue logistique, de cocher trois critères majeurs : à savoir la sécurité, le volume et la disponibilité, explique Tolotra Ranaijaona, le responsable transports à la Logistique pétrolière, société spécialisée dans le transport et le stockage de produits pétroliers, l'un des plus gros clients de Madarail, le rail nous offre cette certitude qu'on aura toujours de l'approvisionnement en toute sécurité ».En effet, étant donné l'état de délabrement de la route nationale 2 qui relie Tamatave à Tana, le transport par réseau routier de la totalité du carburant est inenvisageable, confie le logisticien. Autre atout majeur, son coût très compétitif : jusqu'à 30% moins cher que le transport routier.Manque de locomotives et de wagonsPourtant, avec seulement 200 000 tonnes transportées l'an dernier, le service ferroviaire continue de fonctionner bien en deçà de son potentiel, explique Patrick Claes, président du conseil d'administration de Madarail, société concessionnaire des chemins de fer malgaches :« Nous avons une offre de transport qui malheureusement est insuffisante pour satisfaire l'ensemble de la demande. Aujourd'hui, la grosse problématique du rail, c'est que nous n'avons pas une capacité de traction suffisante, nous n'avons pas assez de locomotives, ni de wagons. Nous avons un plan d'investissement de 130 millions de dollars qui a été convenu avec l'État en 2020 et pour lequel l'État cherche à mobiliser des financements pour le volet infrastructures et ouvrages d'art, et nous sommes aussi en attente en fait d'une recomposition de l'actionnariat privé de l'entreprise. Certes, le tracé du réseau date du début du siècle dernier, mais moyennant un certain nombre de travaux, il a en fait la capacité de pouvoir absorber 1 million de tonnes à la montée et à la descente par an. »Ce réseau ferré, véritable cordon ombilical entre Tana et le premier port du pays, a été pris en otage pendant dix ans du fait de guerres intestines entre figures du monde politique et des affaires. Une alternative économique et écologique qui mériterait pourtant de bien meilleurs égards dans un pays au réseau routier à l'abandon.À écouter aussiMadagascar: avec la hausse annoncée des tarifs des taxis-brousse, voyager devient «un luxe»
Aujourd'hui, Mehdi Ghezzar, Bruno Poncet et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
1 Corinthiens 13.7 dépeint une image claire de ce que signifie réellement aimer les autres. Je peux dire sincèrement qu'obéir à ce verset a toujours été un défi pour moi. J'ai été éduquée à être suspicieuse et à ne faire confiance à personne. Cependant, méditer sur les caractéristiques de l'amour et réaliser que l'amour croit le meilleur m'a aidée à développer une nouvelle mentalité. La suspicion fonctionne à l'opposé des qualités requises pour avoir de saines relations selon Dieu. La confiance et la foi apportent la joie dans une vie et permettent aux relations de se développer dans tout leur potentiel, mais la suspicion paralyse une relation et la détruit. Bien entendu, il est vrai que les gens ne sont pas parfaits, et que notre confiance peut parfois être abusée; mais lorsque vous voyez le meilleur chez les autres, les bienfaits que vous en tirez surpassent de loin toutes les expériences négatives. Si vous luttez avec la suspicion, souvenez-vous aujourd'hui que le merveilleux Saint-Esprit habite en nous et nous avertit lorsque nos pensées vont dans la mauvaise direction. Demandons-lui de transformer nos pensées suspicieuses en pensées d'amour.
Le chercheur en neurosciences Jean-Philippe Lachaux a interrogé des athlètes de haut niveau passés maîtres dans l'art de se concentrer pour exceller dans le feu de l'action. Comment développer nous aussi la force tranquille et la concentration mentale d'un champion ? Demandons-nous ce qui se passe dans le cerveau des champions ? À quelques semaines des Jeux Olympiques, comment se sont-ils préparés physiquement et mentalement pour être au top à l'instant T dans un état de concentration idéal face au stress et à la pression…? Jean-Philippe Lachaux a interrogé des athlètes de haut niveau passés maîtres dans l'art de se concentrer pour exceller dans le feu de l'action. Comment ont-ils transformé leur cerveau, leur mental et leurs corps, au fil du temps et des entraînements et comment cela peut nous aider, chacun d'entre nous, à cheminer vers notre propre excellence, pour traverser le tumulte de nos vies si complexes et le rythme effréné de nos existences ? Comment développer une force tranquille et une concentration à toute épreuve pour donner le meilleur de nous-même et éprouver le plaisir, la satisfaction et la sérénité que cela génère d'être simplement en accord avec soi et avec les éléments, ce qu'on appelle le flow...?Avec Jean-Philippe Lachaux (chercheur à l'Inserm en neurosciences) pour son ouvrage Dans le cerveau des champions, paru chez Odile Jacob.
Le chercheur en neurosciences Jean-Philippe Lachaux a interrogé des athlètes de haut niveau passés maîtres dans l'art de se concentrer pour exceller dans le feu de l'action. Comment développer nous aussi la force tranquille et la concentration mentale d'un champion ? Demandons-nous ce qui se passe dans le cerveau des champions ? À quelques semaines des Jeux Olympiques, comment se sont-ils préparés physiquement et mentalement pour être au top à l'instant T dans un état de concentration idéal face au stress et à la pression…? Jean-Philippe Lachaux a interrogé des athlètes de haut niveau passés maîtres dans l'art de se concentrer pour exceller dans le feu de l'action. Comment ont-ils transformé leur cerveau, leur mental et leurs corps, au fil du temps et des entraînements et comment cela peut nous aider, chacun d'entre nous, à cheminer vers notre propre excellence, pour traverser le tumulte de nos vies si complexes et le rythme effréné de nos existences ? Comment développer une force tranquille et une concentration à toute épreuve pour donner le meilleur de nous-même et éprouver le plaisir, la satisfaction et la sérénité que cela génère d'être simplement en accord avec soi et avec les éléments, ce qu'on appelle le flow...?Avec Jean-Philippe Lachaux (chercheur à l'Inserm en neurosciences) pour son ouvrage Dans le cerveau des champions, paru chez Odile Jacob.
Et si pour regagner notre liberté, face aux géants du numérique, on s'intéressait à ce qui peut faire dérailler la machine : les bugs ! C'est la proposition radicalement créative d'un philosophe spécialiste des écritures numériques pour reprendre la main et notre temps de cerveau disponible... Demandons-nous comment repenser la place du numérique dans nos vies, omniprésent et omnipotent ? Pourquoi avons-nous délégué nos choix et jusqu'à notre temps de cerveau disponible, aux géants du numérique, aux GAFAM ? Parce que ça fonctionne, ça marche et c'est bien pour cela que nous en sommes devenus dépendants et même esclaves. Comment sortir de cette spirale ? Comment regagner liberté et autonomie ? En soulevant le capot de la machine pour nous intéresser à ce qui peut la faire dérailler, dysfonctionner c'est-à-dire au bug ?Pourquoi et comment faire l'éloge du bug ?Avec Marcello Vitali-Rosati, professeur à l'Université de Montréal, titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques pour son ouvrage Éloge du bug, être libre à l'époque du numérique, paru aux Éditions Zone.
Et si pour regagner notre liberté, face aux géants du numérique, on s'intéressait à ce qui peut faire dérailler la machine : les bugs ! C'est la proposition radicalement créative d'un philosophe spécialiste des écritures numériques pour reprendre la main et notre temps de cerveau disponible... Demandons-nous comment repenser la place du numérique dans nos vies, omniprésent et omnipotent ? Pourquoi avons-nous délégué nos choix et jusqu'à notre temps de cerveau disponible, aux géants du numérique, aux GAFAM ? Parce que ça fonctionne, ça marche et c'est bien pour cela que nous en sommes devenus dépendants et même esclaves. Comment sortir de cette spirale ? Comment regagner liberté et autonomie ? En soulevant le capot de la machine pour nous intéresser à ce qui peut la faire dérailler, dysfonctionner c'est-à-dire au bug ?Pourquoi et comment faire l'éloge du bug ?Avec Marcello Vitali-Rosati, professeur à l'Université de Montréal, titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques pour son ouvrage Éloge du bug, être libre à l'époque du numérique, paru aux Éditions Zone.
De quoi et comment rions-nous ? Et pourquoi ce n'est pas toujours drôle ? Regards croisés sur les paradoxes du rire et les mécanismes de l'humour. Peut-on rire de tout et avec tout le monde ? À quoi cela nous sert de rire ? Et pourquoi avons-nous tant besoin d'humour ? Demandons-nous pourquoi nous avons tant besoin d'humour et surtout par les temps qui courent.Regards croisés sur les paradoxes du rire et les mécanismes de l'humour. Défensif, subversif ou transgressif souvent joyeux, mais aussi parfois haineux et si le rire n'était pas toujours drôle ? Peut-on rire de tout et avec tout le monde et qu'est-ce que ça dit de nous ? De nos manières d'affronter le pire justement ? Et si le rire n'était ni le propre ni le sale de l‘homme, mais un moyen de donner sens au tragique de nos existences ?Avec la philosophe Olivia Gazalé pour son ouvrage Le Paradoxe du rire, et si ce n'était pas toujours drôle ? (éditions Seghers) et le psychologue Arthur Durif-Meunier pour Psychologie de l'humour, mécanismes et impacts paru chez Dunod.
De quoi et comment rions-nous ? Et pourquoi ce n'est pas toujours drôle ? Regards croisés sur les paradoxes du rire et les mécanismes de l'humour. Peut-on rire de tout et avec tout le monde ? À quoi cela nous sert de rire ? Et pourquoi avons-nous tant besoin d'humour ? Demandons-nous pourquoi nous avons tant besoin d'humour et surtout par les temps qui courent.Regards croisés sur les paradoxes du rire et les mécanismes de l'humour. Défensif, subversif ou transgressif souvent joyeux, mais aussi parfois haineux et si le rire n'était pas toujours drôle ? Peut-on rire de tout et avec tout le monde et qu'est-ce que ça dit de nous ? De nos manières d'affronter le pire justement ? Et si le rire n'était ni le propre ni le sale de l‘homme, mais un moyen de donner sens au tragique de nos existences ?Avec la philosophe Olivia Gazalé pour son ouvrage Le Paradoxe du rire, et si ce n'était pas toujours drôle ? (éditions Seghers) et le psychologue Arthur Durif-Meunier pour Psychologie de l'humour, mécanismes et impacts paru chez Dunod.
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Aujourd'hui nous sommes le dimanche 9 juin, dixième dimanche du temps ordinaire.Nous vivons dans un monde où le vrai et le faux ne se distinguent plus qu'avec peine. Nous sommes alors comme des brebis sans berger, ou comme une barque dans la tempête, livrés à toute parole se présentant avec autorité. Demandons la grâce de savoir distinguer ce qui est juste, et de... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Adagio “La prière” de Tomaso Albinoni interprété par Marion Fromonteil et Cesar Velev - Méditation violon & harpe Vol. 1 © ADF-Bayard Musique.
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Aujourd'hui nous sommes le jeudi 6 juin, et nous faisons mémoire de saint Norbert, évêque.Né vers 1085 dans une famille noble et riche de Rhénanie, Norbert sera d'abord chapelain à la cour impériale. À trente ans, il se convertit et s'adonne à la réforme du clergé. Il fondera à Prémontré l'Ordre qui porte ce nom. En 1126, il est archevêque de Magdebourg, modèle du pasteur, homme de prière. Demandons la grâce de savoir, comme lui, fonder notre action dans... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : En todo amar y servir de Ignace de Loyola interprété par Ignace et Compagnie - Amis dans le Seigneur © Ignace et Cie ; It is well with my soul de Traditional interprété par Jeff Wahl - The Hymns Album © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
Dans cet épisode nous :- Parlons du compte Tik Tok qui utilise l'identité de Phil pour faire de la fraude - Demandons l'aide des autistes fans du podcasts qui peuvent aider Phil avec son compte Tik Tok frauduleux- Rions de ce qu'est devenu Facebook - Revisitons l'album classique I Think Of You de Gregory Charles- Observons une minute de silence pour tous ceux qui se sont caressés devant l'ordinateur familial - Nous obstinons à propos des Canadiens de MontréalDeux Princes.
Les plus grands observatoires du ciel sont construits sur des terres autochtones. À Hawaï, c'est sur le Mona Kéa, la montagne sacrée des Hawaïens, sauf que ceux-ci se mobilisent désormais contre la construction d'un nouveau télescope géant. Enquête sur les terres contestées de l'astronomie... Demandons-nous comment partager le ciel depuis la Terre ?Question sensible pour tous ceux qui aiment observer les étoiles, les planètes et la sublime voute céleste… Sauf qu'à une toute autre échelle -quand il s'agit des gigantesques observatoires équipés de télescopes géants aux multiples miroirs tournés vers le ciel pour faire de la cosmologie et de l'astronomie de pointe- le choix du lieu n'est pas anodin. C'est sur les plus hauts plateaux et sommets du monde, dans des endroits isolés vierges et dégagés qui sont le plus souvent des territoires autochtones, que sont installés les grands observatoires et les télescopes…C'est le cas à Hawaï sur le Mona Kea, la montagne sacrée des natifs de Hawaï. Ce volcan, point culminant du Pacifique avec ses 4 207 mètres d'altitude, est aussi un lieu unique pour les astronomes du XXème et XXIème siècle, qui y ont installé leur plus grands observatoires. Sauf qu'en 2019, la population hawaïenne a dit non et s'est mobilisée en nombre contre la construction d'un nouveau télescope géant. Pourquoi et comment cette montagne magique pour les Hawaïens, comme pour les scientifiques, est-elle devenue un lieu de confrontation ? Avec Pascal Marichalar, sociologue et historien au CNRS, diplômé d'Astronomie à l'Observatoire de Paris pour son ouvrage La montagne aux étoiles : enquête sur les terres contestées de l'astronomie, paru à la Découverte.
Les plus grands observatoires du ciel sont construits sur des terres autochtones. À Hawaï, c'est sur le Mona Kéa, la montagne sacrée des Hawaïens, sauf que ceux-ci se mobilisent désormais contre la construction d'un nouveau télescope géant. Enquête sur les terres contestées de l'astronomie... Demandons-nous comment partager le ciel depuis la Terre ?Question sensible pour tous ceux qui aiment observer les étoiles, les planètes et la sublime voute céleste… Sauf qu'à une toute autre échelle -quand il s'agit des gigantesques observatoires équipés de télescopes géants aux multiples miroirs tournés vers le ciel pour faire de la cosmologie et de l'astronomie de pointe- le choix du lieu n'est pas anodin. C'est sur les plus hauts plateaux et sommets du monde, dans des endroits isolés vierges et dégagés qui sont le plus souvent des territoires autochtones, que sont installés les grands observatoires et les télescopes…C'est le cas à Hawaï sur le Mona Kea, la montagne sacrée des natifs de Hawaï. Ce volcan, point culminant du Pacifique avec ses 4 207 mètres d'altitude, est aussi un lieu unique pour les astronomes du XXème et XXIème siècle, qui y ont installé leur plus grands observatoires. Sauf qu'en 2019, la population hawaïenne a dit non et s'est mobilisée en nombre contre la construction d'un nouveau télescope géant. Pourquoi et comment cette montagne magique pour les Hawaïens, comme pour les scientifiques, est-elle devenue un lieu de confrontation ? Avec Pascal Marichalar, sociologue et historien au CNRS, diplômé d'Astronomie à l'Observatoire de Paris pour son ouvrage La montagne aux étoiles : enquête sur les terres contestées de l'astronomie, paru à la Découverte.
Biberons préhistoriques, jouets antiques : comment les archéologues mettent au jour les traces des soins accordés aux petits, mais aussi celles des enfants esclaves ou travailleurs forcés ? Quelle place avaient les enfants dans les sociétés du passé ? Et qu'est-ce que ça nous raconte ? Demandons-nous quelle était la place et le statut des enfants dans les sociétés du passé ? Pourquoi faire l'archéologie de l'enfance et de la petite enfance ? Et qu'est-ce que ça dit de nous et de notre humanité ? Que révèlent les sites et les fouilles des sépultures de la Préhistoire à nos jours ? Pourquoi les archéologues trouvent tant de traces de soins apportés aux tout-petits ? Biberons préhistoriques, jouets antiques : de tous temps, en tous lieux, contrairement à ce que l'on a longtemps voulu croire, les hommes et surtout les femmes ont protégé et soigné leurs petits si vulnérables et si précieux. Mais comment et jusqu'où ? Car ce nouveau champ de recherche en archéologie de l'enfance exhume aussi les traces d'enfants esclaves, bagnards ou travailleurs forcés de la révolution industrielle…Avec Valérie Delattre, archéo-anthropologue à l'INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives).Olivier Blin, architecte, ethnologue diplômé de l'EHESS et archéologue, ingénieur de recherche à l'Inrap à la Direction scientifique et technique. Il est spécialiste de l'Antiquité et du fait urbain pour l'ouvrage Pour une archéologie de l'enfance (Les nouvelles de l'archéologie/Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme).
Biberons préhistoriques, jouets antiques : comment les archéologues mettent au jour les traces des soins accordés aux petits, mais aussi celles des enfants esclaves ou travailleurs forcés ? Quelle place avaient les enfants dans les sociétés du passé ? Et qu'est-ce que ça nous raconte ? Demandons-nous quelle était la place et le statut des enfants dans les sociétés du passé ? Pourquoi faire l'archéologie de l'enfance et de la petite enfance ? Et qu'est-ce que ça dit de nous et de notre humanité ? Que révèlent les sites et les fouilles des sépultures de la Préhistoire à nos jours ? Pourquoi les archéologues trouvent tant de traces de soins apportés aux tout-petits ? Biberons préhistoriques, jouets antiques : de tous temps, en tous lieux, contrairement à ce que l'on a longtemps voulu croire, les hommes et surtout les femmes ont protégé et soigné leurs petits si vulnérables et si précieux. Mais comment et jusqu'où ? Car ce nouveau champ de recherche en archéologie de l'enfance exhume aussi les traces d'enfants esclaves, bagnards ou travailleurs forcés de la révolution industrielle…Avec Valérie Delattre, archéo-anthropologue à l'INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives).Olivier Blin, architecte, ethnologue diplômé de l'EHESS et archéologue, ingénieur de recherche à l'Inrap à la Direction scientifique et technique. Il est spécialiste de l'Antiquité et du fait urbain pour l'ouvrage Pour une archéologie de l'enfance (Les nouvelles de l'archéologie/Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme).
Et si nos actes manqués, nos lapsus, nos ratages et autres quiproquos étaient liés au fonctionnement même de notre cerveau humain, imparfait par essence mais aussi étonnamment créatif... ? Pourquoi et comment se réconcilier avec ses bugs mentaux ? (Rediffusion du 03/07/2023) Demandons-nous pourquoi parfois on bugue, on fait des gaffes, on a la langue qui fourche... Et si nos actes manqués, nos lapsus, nos ratages et autres quiproquos étaient liés au fonctionnement même de notre cerveau ? Humain trop humain... Pourquoi et comment nous réconcilier avec nos erreurs et nos bugs mentaux ?Avec Sebastian Dieguez, docteur en neurosciences pour son ouvrage La force de nos bugs, paru chez Humensciences.
Et si nos actes manqués, nos lapsus, nos ratages et autres quiproquos étaient liés au fonctionnement même de notre cerveau humain, imparfait par essence mais aussi étonnamment créatif... ? Pourquoi et comment se réconcilier avec ses bugs mentaux ? (Rediffusion du 03/07/2023) Demandons-nous pourquoi parfois on bugue, on fait des gaffes, on a la langue qui fourche... Et si nos actes manqués, nos lapsus, nos ratages et autres quiproquos étaient liés au fonctionnement même de notre cerveau ? Humain trop humain... Pourquoi et comment nous réconcilier avec nos erreurs et nos bugs mentaux ?Avec Sebastian Dieguez, docteur en neurosciences pour son ouvrage La force de nos bugs, paru chez Humensciences.
Pourquoi prendre soin des morts, c'est d'abord soulager les vivants ? Regards intimes et croisés d'une archéologue et d'une thanatopractrice sur les rites funéraires à l'œuvre dans toutes les sociétés humaines. Comment retrouver un autre rapport avec nos morts ? Demandons-nous pourquoi et comment prendre soin de nos morts, comment les accompagner, comment les quitter, comment traverser l'épreuve du deuil ? Pourquoi prendre soin des morts, c'est d'abord soulager les vivants ? Et comment, depuis les origines les premières sépultures l'attestent. À toutes les époques et sous toutes les latitudes, les humains ont imaginé tant de rituels et de pratiques sophistiquées (voire étranges) pour y faire face, voire pour redonner face à leurs morts, pour parvenir à les laisser partir ou à les guider vers l'invisible tout en restant en lien avec ceux qui ne sont plus. Serait-ce la marque même de notre humanité que de prendre soin de ses morts ? Et ne s'agirait-il pas alors aujourd'hui de retrouver un rapport à la fois singulier et universel à la mort et à nos morts ?Avec- Jennifer Kerner, docteur en Archéologie pour Le mari de nuit, expériences du deuil et pratiques funéraires, paru chez Gallimard- Juliette Cuisiner-Raynal, thanatopractrice pour son livre l'Embaumeuse, paru chez Grasset.
Quelles énergies pour une transition bas carbone ? Et si on commençait par reconnaitre notre dépendance croissante à toutes les formes d'énergie ? Pourquoi Homo Sapiens est devenu Homo Energeticus, aux dépens de tous les autres vivants sur Terre ? Comment renouveler nos énergies et notre manière de les consommer ? Demandons-nous comment nos sociétés modernes peuvent relever les défis que pose la question de l'énergie ? Question cruciale, au cœur des discussions et des négociations de la COP28 à Dubaï. Face au changement climatique, comment décarboner nos usages ? Une question qui met aussi le doigt sur les flagrantes inégalités entre le Nord et le Sud… et qui s'avère existentielle pour l'Homo Energeticus que nous sommes... Pourquoi et comment Homo Sapiens est devenu Homo Energeticus ? Avec Stéphane Sarrade, chercheur dans le domaine de la chimie verte et directeur des programmes énergies au CEA pour son ouvrage Homo Energeticus pour une transition bas carbone Humensciences.
Comment transmettre des concepts aussi renversants que ceux de la physique quantique ? Pourquoi cette tendance à interpréter, à déformer ce qu'on ne comprend pas ? Comment ne pas se laisser biaiser par notre cerveau et pourquoi c'est essentiel ? Demandons-nous comment comprendre et faire passer les sciences sans se faire biaiser par notre cerveau qui a toujours tendance à déformer, à réinterpréter, ce qu'il ne comprend pas...De la physique quantique aux nanos et neurosciences, c'est à une expérience croisée à un jeu de rôles, que nous vous convions aujourd'hui avec nos invités :- Albert Moukheiber (psychologue et docteur en Neurosciences cognitives) - Charles Antoine (docteur en Physique théorique, il est chercheur à Paris, au Laboratoire de Physique Théorique de la Matière Condensée).Ils participeront tous deux à une rencontre participative entre public et scientifiques au Théâtre de la Ville le 25 novembre, où ils tenteront non seulement de parler quantique et nanosciences, mais d'essayer également - de façon pratique et interactive - de mettre en évidence les divers biais cognitifs, lors de la vulgarisation d'un sujet scientifique...- Equiquanto, le spectacle de Charles Antoine, sera joué au Théâtre de la Reine Blanche à Paris, le 16 décembre 2023.
Prédication de Pasteur Joël Campeau
Prédication de Pasteur Joël Campeau
Église réformée baptiste de la Capitale Pasteur Jacques Pelletier
En toute occasion, il pardonne, il fait confiance, il espère, il persévère. 1 Corinthiens 13.7 1 Corinthiens 13.7 dépeint une image claire de ce que signifie réellement aimer les autres. Je peux dire sincèrement qu'obéir à ce verset a toujours été un défi pour moi. J'ai été éduquée à être suspicieuse et à ne faire confiance à personne. Cependant, méditer sur les caractéristiques de l'amour et réaliser que l'amour croit le meilleur m'a aidée à développer une nouvelle mentalité. La suspicion fonctionne à l'opposé des qualités requises pour avoir de saines relations selon Dieu. La confiance et la foi apportent la joie dans une vie et permettent aux relations de se développer dans tout leur potentiel, mais la suspicion paralyse une relation et la détruit. Bien entendu, il est vrai que les gens ne sont pas parfaits, et que notre confiance peut parfois être abusée; mais lorsque vous voyez le meilleur chez les autres, les bienfaits que vous en tirez surpassent de loin toutes les expériences négatives. Si vous luttez avec la suspicion, souvenez-vous aujourd'hui que le merveilleux Saint-Esprit habite en nous et nous avertit lorsque nos pensées vont dans la mauvaise direction. Demandons-lui de transformer nos pensées suspicieuses en pensées d'amour.
durée : 00:20:01 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Geoffroy Roux de Bezieux, président du Medef, tire un bilan de ses cinq années à la tête du syndicat patronal. Il fait également un point sur les conséquences sur la semaine de violences un peu partout en France, qui a suivi la mort de Nahel à Nanterre.
durée : 00:20:01 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Geoffroy Roux de Bezieux, président du Medef, tire un bilan de ses cinq années à la tête du syndicat patronal. Il fait également un point sur les conséquences sur la semaine de violences un peu partout en France, qui a suivi la mort de Nahel à Nanterre.
Et si nos actes manqués, nos lapsus, nos ratages et autres quiproquos étaient liés au fonctionnement même de notre cerveau humain, imparfait par essence mais aussi étonnamment créatif...? Pourquoi et comment se réconcilier avec ses bugs mentaux ? Demandons-nous pourquoi parfois on bugue, on fait des gaffes, on a la langue qui fourche... Et si nos actes manqués, nos lapsus, nos ratages et autre quiproquos étaient liés au fonctionnement même de notre cerveau ? Humain trop humain... Pourquoi et comment nous réconcilier avec nos erreurs et nos bugs mentaux ?Avec Sebastian Dieguez, docteur en neurosciences pour son ouvrage La force de nos bugs, paru chez Humensciences.
Cours de Hanna Hassan sur le livre: À travers champs et forêt Rejoignez nous sur joie2vivre femme au WhatsApp +972 58 704 0688
Pourquoi le mot même de « préhistoire », avant l'écriture, est à remettre en question et en perspective ? Regards croisés sur les nouvelles frontières de la préhistoire ou comment reconsidérer notre longue histoire humaine dans son ensemble et au pluriel ? Demandons-nous pourquoi et comment repenser notre préhistoire ? Au pluriel évidemment, dans l'espace comme dans le temps et en commençant par remettre en question le terme même de « pré-histoire »... Pourquoi l'histoire, notre longue histoire humaine, ne commencerait qu'après l'invention de l'écriture ? Et s'il était grand temps de changer de perspective et d'ouvrir les frontières géographiques temporelles et même interdisciplinaires ?Avec - Jean-Michel Geneste (conservateur général du patrimoine, archéologue du paléolithique)- Boris Valentin (professeur en archéologie préhistorique à Paris 1 Panthéon Sorbonne) - Philippe Grosos (professeur de philosophie, spécialiste d'art paléolithique et de préhistoire) pour l'ouvrage Préhistoire. Nouvelles frontières paru aux Éditions de la Maison des sciences de l'homme.
durée : 00:07:21 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Un musée David Bowie ouvrira à Londres en 2025. Demandons-nous comment, dans la chanson française, on traite l'artiste britannique disparu en 2016 - une star comme les autres ou un personnage historique ?
Le représentant de la Banque mondiale en Centrafrique Guido Rurangwa a pris ses fonctions à Bangui il y a quelques mois dans un contexte délicat. Alors que le gouvernement est en froid avec les bailleurs internationaux, que les appuis budgétaires ont été gelés et que les autorités prévoient un budget 2023 en baisse, il explique que l'institution demeure mobilisée auprès des Centrafricains.
D'où vient l'argent avec lequel l'opposant gabonais Guy Nzouba-Ndama a traversé la frontière entre le Congo et le Gabon ? L'affaire déchaîne les passions à Libreville, mais aussi à Brazzaville. Des voix s'élèvent au sein de la société civile congolaise pour demander des explications aux autorités. Parmi ces voix, celle de Joe Washington Ebina qui estime que « c'est un scandale, une indifférence à la misère des Congolais ». Il est ce matin notre invité, au téléphone avec Laurent Correau. RFI : Qu'avez-vous ressenti en voyant l'opposant gabonais Guy Nzouba-Ndama quitter le territoire congolais avec l'équivalent de 2 millions d'euros en petites coupures ? Joe Washington Ebina : J'ai pensé à une population qui souffrait. J'ai pensé à une réalité congolaise qui est désastreuse. C'est incroyable de concevoir que les autorités congolaises nous parlent au quotidien d'une crise financière. Ils nous disent entreprendre des accords avec la Banque mondiale et autres pour chercher des fonds. Il n'y a même pas d'ambulances dans les villages. Il n'y a même pas de centre de dialyse qui coûte à peine 150 à 200 millions. Et l'on voit un individu qui sort, comme ça, sans explications. Pour nous, c'est un scandale. Finalement, c'est une indifférence à la misère des Congolais. Qu'est-ce qui vous fait penser que Guy Nzouba Ndama a pu toucher cet argent des autorités congolaises ? Cet argent est une somme très importante. Aujourd'hui, être capable de sortir autant d'argent et sans être inquiété, parce qu'il faut aussi avoir aussi une certaine assurance de sortir avec autant d'argent, avec des valises d'argent. Donc c'est justement le transfert d'argent qui pose problème. Dans le fond, nous sommes sûrs que les banques congolaises font ce genre de transaction surement régulièrement, presque au moins tous les jours. Mais cette manière de sortir de l'argent, avec des valises d'argent, sur des routes, comme ça. Avec quelle sécurité ? Avec quelle assurance ? Cela pose problème. D'où vient cet argent ? Si ça sort du Trésor Public congolais, nous devons le savoir Guy Nzouba Ndama a été entendu par le procureur de Franceville au Gabon. Il est notamment accusé d'intelligence avec une puissance étrangère. Y a-t-il des choses qui doivent être clarifiées côté congolais ? Obligatoirement, cet argent vient du Congo. Cela fait déjà quatre jours, mais le gouvernement congolais n'a pas donné d'explication. Nous demandons qu'il y ait une explication du gouvernement. Parce qu'il faut expliquer à ces pauvres Congolais, à ces retraités qui ne touchent pas leur pension pourquoi il y a autant d'argent qui circule pendant qu'eux n'arrivent pas à vivre correctement. C'est un scandale pour nous. Et nous demandons qu'il y ait une explication judiciaire à ce sujet. Je crois que les Congolais, qui sont d'abord les premiers concernés, doivent savoir d'où vient cet argent. Au niveau du Gabon, ils ont leur travail à faire, mais cela nous importe très peu parce que, la vérité doit venir de l'origine de l'argent. D'où vient cet argent ? Si ça sort du Trésor Public congolais, nous devons le savoir. Guy Nzouba Ndama, lui, dit qu'il s'agit d'argent qu'il aurait gagné pendant l'époque où il était aux affaires au Gabon. La manière de transférer cet argent est une manière qui n'est pas crédible, qui est floue. Pour nous, si cette justification doit être légale, elle doit donc passer par des institutions financières reconnues. À ce moment-là, il n'y a aucun problème. Mais conduire de l'argent de la sorte, transporter de l'argent sur les routes des deux pays de la sorte, pour nous, cela montre justement qu'il y a un problème. Nous voulons que les autorités de Brazzaville nous expliquent pourquoi et comment. Il faut donner des explications à notre peuple qui souffre au quotidien. Vous savez, au Congo-Brazzaville, il y a beaucoup de gens qui n'arrivent pas à obtenir des passeports, simplement des cartons de passeports. Parce que l'on dit qu'il n'y a pas d'argent. Parce que l'on dit qu'il n'y a pas les machines. Mais cet argent aurait pu servir à énormément de situations, ici, au Congo. Mais qu'est-ce qui aurait pu pousser le président Sassou-Nguesso à financer un opposant gabonais ? Quelles sont les relations entre les deux chefs d'État ? Le climat a-t-il changé depuis les liens familiaux qui étaient forts entre le président Sassou-Nguesso et Omar Bongo ? Nous n'avons évidement pas les informations, je crois qu'il faudrait lui demander. Les relations internes entre les deux présidents ou entre la famille présidentielle et tout le reste, ce sont des relations, malheureusement, qui ne nous concernent pas à l'heure actuelle. Dans cette affaire, la surprise de certains n'est-elle pas hypocrite ? La circulation des valises pour financer les oppositions des pays voisins n'est-elle pas une vieille histoire dans la région ? Oui, les populations ne sont pas dupes. Tout le monde sait que c'est une vieille histoire, mais il y a une fin à toute chose. Nous sommes heureux de constater que, pour la première fois, il y a une visibilité sur un scandale. Les populations arrivent aujourd'hui à constater qu'il y a un jeu qui se fait, qu'il y a une réalité que nous ne voyons pas. Je crois que c'est aujourd'hui, une réalité qui est visible. Le président de la République est en fonction depuis plus de 40 ans donc, imaginez ce genre de trafic qui existe depuis de longues années. C'est inadmissible, incompréhensible. Donc, des explications doivent être fournies pour au moins apaiser et faire comprendre à tous ces étudiants congolais qui sont à Cuba, qui n'arrivent même pas à toucher plus qu'un peu d'argent pour survivre. Le Monde a beaucoup changé, les règles de transparence ne sont plus les mêmes.