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Avec : Élise Goldfarb, entrepreneuse. Daniel Riolo, journaliste RMC. Et Robert Sebbag, infectiologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:14:45 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Ces commerces qui veulent ouvrir un 1er mai avec Pierre Bosche, Carole Prioult et David Guillouet
durée : 00:59:43 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Est-ce le signe d'une société qui fait du travail une valeur absolue ? Ou au contraire s'agit – il du triomphe de la consommation qui ne connait aucune limite pas même celle des jours fériés. Cette année la pression est forte pour autoriser l'ouverture des commerces en ce jour férié et chômé.
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Bruno Retailleau est-il un bon ministre de l'Intérieur ?" et "Commerces fermés le 1er mai, on marche sur la tête ?", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".
Pour débuter l'émission de ce jeudi 1er mai 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent du sujet du jour : Commerces fermés le 1er mai, on marche sur la tête ?
durée : 00:03:45 - Ces commerces qui marchent dans les petites communes
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:53 - Des communes où les petits commerces marchent
Chaque jour aux côtés d'Estelle Denis, Charlotte Méritan, notre spécialiste RMC Conso, vous donne les bonnes astuces pour mieux consommer et faire des économies.
Ce jeudi, c'est le 1er-Mai. La fête du Travail qui s'accompagne d'une polémique: qui a le droit d'ouvrir ou pas? Des sénateurs centristes veulent déposer une proposition de loi pour clarifier et assouplir la législation. Alors dans quels commerces pourrez-vous faire vos courses ce jeudi? On pose la question à Charlotte Méritan, journaliste à RMC Conso.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« La machine judiciaire s'emballe » titre du Walf Quotidien autour de l'affaire de détournement de deniers publics provenant du fond « force Covid-19 ». Cinq anciens ministres de Macky Sall et 27 autres personnes ont été arrêtés. Le journal sénégalais a suivi hier jeudi la conférence de presse du procureur général d'appel de Dakar, Mbacké Fall. La plupart de ces 27 personnes ont consigné, c'est-à-dire payé une caution pour éviter la prison. Au total, la justice sénégalaise a perçu 200 millions de francs CFA de la part de ces accusés, selon le journal. De l'argent qui reviendra à la population si certains sont reconnus coupables. Tous sont donc interpelés pour « malversations dans l'utilisation des financements spéciaux dédiés à la riposte contre le coronavirus entre 2020 et 2021 ». Le journal cite le procureur qui prévient : « d'autres arrestations suivront ». Pour le moment, toutes les personnes interpellées n'ont pas été jugées et sont donc présumées innocentes. Une présomption d'innocence que le procureur promet de « respecter, comme les droits de la défense » relève le quotidien.Pour rappel, tout ça a démarré d'un rapport de la Cour des comptes datant de fin 2022. Elle avait relevé de nombreux cas de surfacturation dans ce fonds Covid-19. Nombreuses « fautes de gestion » de ce milliard d'euros mobilisé par les bailleurs internationaux et l'État sénégalais.La capitale du Mali paralysée par une grèveBamako paralysé entre banques fermées, stations-service prises d'assaut et citoyens inquiets. La capitale malienne fait face à une importante grève depuis ce mercredi, selon la presse locale. Protestations déclenchées par le syndicat national des Banques, Assurances, Établissements Financiers, Commerces et Stations-service, le Synabef.Le journal en ligne Sahel Tribune décrit Bamako : Rideaux fermés sur toutes les « agences de toutes les grandes banques. Aucun guichet automatique opérationnel, retraits ou dépôts impossible, frustration généralisée pour les usagers (…) Dans les marchés et les petits commerces de Bamako, (...) Le blocage des opérations bancaires empêche (...) de passer des commandes, d'acheter des marchandises ou d'être payés. Le tout à la veille de pâques ». Concernant les stations-service, rapporte Sahel Tribune, certaines suivent le mouvement de grève. Comme Total Energies ou Shell. D'autres restent ouvertes et sont prises d'assaut. Enfin, de nombreuses agences d'assurances sont fermées selon le journal Bamada.Mais alors, pourquoi cette grève ? Et bien selon l'Agence France Presse, le Synabef réclame la libération de trois de ses membres arrêtés il y a un mois dans une affaire de garantie bancaire. Il exige également de meilleures conditions de travail pour ses membres. Des revendications qui ne sont pas relayées par la presse malienne.Sahel Tribune « le mouvement social, prévu pour 72 heures, devrait initialement prendre fin ce samedi 19 avril à minuit. Toutefois, le syndicat a d'ores et déjà annoncé une reconduction de 120 heures, du 22 au 26 avril, si aucune solution n'est trouvée avec les autorités ».Des déchets transformés en énergieLes déchèteries africaines pourraient-elles se transformer en mine d'or énergétique ? Le Point Gambien appelle à la reconsidération de ce problème des décharges africaines. Le journal cite une récente étude selon laquelle « dans 44 pays d'Afrique subsaharienne, que 95 % des décharges ne sont pas réglementées ». Ce qui, à terme, crée de véritables problèmes de santé publique : « En se décomposant », explique Le Point Gambien « ces décharges libèrent des gaz à effet de serre nocifs. Pourtant, l'utilisation du méthane pour produire de l'énergie, pourrait permettre au continent d'économiser des milliards de dollars. (...) Ce gaz peut être utilisé pour produire de l'électricité, alimenter des chaudières ou être transformé pour être utilisé dans des véhicules. Les décharges contrôlées sont également conçues pour empêcher les polluants de se répandre dans l'air, le sol ou les eaux souterraines ».
« La machine judiciaire s'emballe » titre du Walf Quotidien autour de l'affaire de détournement de deniers publics provenant du fond « force Covid-19 ». Cinq anciens ministres de Macky Sall et 27 autres personnes ont été arrêtés. Le journal sénégalais a suivi hier jeudi la conférence de presse du procureur général d'appel de Dakar, Mbacké Fall. La plupart de ces 27 personnes ont consigné, c'est-à-dire payé une caution pour éviter la prison. Au total, la justice sénégalaise a perçu 200 millions de francs CFA de la part de ces accusés, selon le journal. De l'argent qui reviendra à la population si certains sont reconnus coupables. Tous sont donc interpelés pour « malversations dans l'utilisation des financements spéciaux dédiés à la riposte contre le coronavirus entre 2020 et 2021 ». Le journal cite le procureur qui prévient : « d'autres arrestations suivront ». Pour le moment, toutes les personnes interpellées n'ont pas été jugées et sont donc présumées innocentes. Une présomption d'innocence que le procureur promet de « respecter, comme les droits de la défense » relève le quotidien.Pour rappel, tout ça a démarré d'un rapport de la Cour des comptes datant de fin 2022. Elle avait relevé de nombreux cas de surfacturation dans ce fonds Covid-19. Nombreuses « fautes de gestion » de ce milliard d'euros mobilisé par les bailleurs internationaux et l'État sénégalais.La capitale du Mali paralysée par une grèveBamako paralysé entre banques fermées, stations-service prises d'assaut et citoyens inquiets. La capitale malienne fait face à une importante grève depuis ce mercredi, selon la presse locale. Protestations déclenchées par le syndicat national des Banques, Assurances, Établissements Financiers, Commerces et Stations-service, le Synabef.Le journal en ligne Sahel Tribune décrit Bamako : Rideaux fermés sur toutes les « agences de toutes les grandes banques. Aucun guichet automatique opérationnel, retraits ou dépôts impossible, frustration généralisée pour les usagers (…) Dans les marchés et les petits commerces de Bamako, (...) Le blocage des opérations bancaires empêche (...) de passer des commandes, d'acheter des marchandises ou d'être payés. Le tout à la veille de pâques ». Concernant les stations-service, rapporte Sahel Tribune, certaines suivent le mouvement de grève. Comme Total Energies ou Shell. D'autres restent ouvertes et sont prises d'assaut. Enfin, de nombreuses agences d'assurances sont fermées selon le journal Bamada.Mais alors, pourquoi cette grève ? Et bien selon l'Agence France Presse, le Synabef réclame la libération de trois de ses membres arrêtés il y a un mois dans une affaire de garantie bancaire. Il exige également de meilleures conditions de travail pour ses membres. Des revendications qui ne sont pas relayées par la presse malienne.Sahel Tribune « le mouvement social, prévu pour 72 heures, devrait initialement prendre fin ce samedi 19 avril à minuit. Toutefois, le syndicat a d'ores et déjà annoncé une reconduction de 120 heures, du 22 au 26 avril, si aucune solution n'est trouvée avec les autorités ».Des déchets transformés en énergieLes déchèteries africaines pourraient-elles se transformer en mine d'or énergétique ? Le Point Gambien appelle à la reconsidération de ce problème des décharges africaines. Le journal cite une récente étude selon laquelle « dans 44 pays d'Afrique subsaharienne, que 95 % des décharges ne sont pas réglementées ». Ce qui, à terme, crée de véritables problèmes de santé publique : « En se décomposant », explique Le Point Gambien « ces décharges libèrent des gaz à effet de serre nocifs. Pourtant, l'utilisation du méthane pour produire de l'énergie, pourrait permettre au continent d'économiser des milliards de dollars. (...) Ce gaz peut être utilisé pour produire de l'électricité, alimenter des chaudières ou être transformé pour être utilisé dans des véhicules. Les décharges contrôlées sont également conçues pour empêcher les polluants de se répandre dans l'air, le sol ou les eaux souterraines ».
En mars 2025, Paris Commerce publiait une enquête pour mesurer la valeur du commerce de proximité. Lien social, entretien de la voirie, sécurité… Il en ressort six grands rôles informels que peuvent avoir ces commerçants. Par exemple, 88 % d'entre eux affirment prendre des mesures en faveur de la réduction des déchets.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Fatima Aït Bounoua, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Charles Consigny et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Agalega : le réapprovisionnement des commerces se poursuit by TOPFM MAURITIUS
Le week-end, on en profite pour aller chez nos commerçants préférés. La liste des commerces où l'on se rend le plus le week-end. Quels sont-ils Sandy ?
Le week-end, on en profite pour aller chez nos commerçants préférés. La liste des commerces où l'on se rend le plus le week-end. Quels sont-ils Sandy ?
Retrouvez l'interview de Jérôme Descamps, Président de Selectirente qui veut devenir LA foncière de commerces de proximité en EuropeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un député propose d'équiper les systèmes de vidéosurveillance dans certains magasins d'algorithmes permettant de détecter les tentatives de vols.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:30 - On connait les commerces qui vont s'installer dans la halle gourmande de Laval
En cette période de carême et de ramadan, les petits commerces prospèrent : vente de paniers-cadeaux, de produits alimentaires... Tout est fait pour pousser à la consommation en cette période de jeûne. « Je me réveille très tôt le matin, on commence à laver et à piler le haricot », confie Zeinab Nambré, femme d'âge mûr qui jongle entre trois marmites dans lesquelles elle fait frire des beignets « gaou », conçus à base de haricots. Chaque beignet coûte 25 francs CFA (quelques centimes d'euros). Ils sont très prisés pour la rupture du jeûne. Les clients les achètent en grande quantité. Et cette cuisinière double son chiffre d'affaires : « On peut vendre entre 20 000 et 25 000 francs CFA par jour. Mais en période de ramadan, on vend entre 50 000 et 60 000 francs CFA. C'est une période intéressante. On dit que c'est notre (période de) traite ! »Demande croissante des entreprisesEn fin de journée, à l'approche de l'iftar, la rupture du jeûne, plusieurs clients font la queue autour de ce commerce de rue. Il y a là de nombreux fidèles. Mamadou dépense sans compter, par esprit de solidarité : « Même si vous êtes deux, vous achetez pour quatre ou pour cinq. Parce qu'au moment de la rupture (du jeûne), il peut y avoir quelqu'un qui est de passage, donc on invite la personne pour venir partager notre rupture. Moi, personnellement, je ne fais pas de comptabilité là-dessus, parce que c'est un mois de charité. On donne ce que Dieu nous a facilité, donc je ne fais pas de comptes. »« Là, on a un coffret, avec à l'intérieur, du parfum, un marque-page, un Coran, de la décoration lumineuse », explique Aiché Ballo, qui supervise la composition d'un panier à livrer à un particulier. Cette jeune femme a fondé la Maison Nandi il y a trois ans pour répondre à une demande croissante, en période de jeûne. Comme plusieurs autres entrepreneurs, Aiché Ballo propose toutes sortes de coffrets via les réseaux sociaux. Une particularité : la demande des entreprises est de plus en plus forte. « Notre principal client, ce sont les entreprises, parce qu'elles offrent beaucoup aux collaborateurs, aux employés, aux partenaires, pour leur dire merci, ou pour conclure de nouveaux marchés. Par entreprise, on peut aller entre 200 à 300 coffrets », confie-t-elle.Surveiller les prix plafonnésEn cette période de carême et de ramadan, la demande est particulièrement forte sur les marchés. Or, en Côte d'Ivoire, les prix de plusieurs denrées sont plafonnés. Alors, les agents du ministère du Commerce redoublent de vigilance pour éviter les arnaques, comme l'explique le commandant Alexandre Koffi, qui dirige la brigade de contrôle rapide :« Certains opérateurs sont tentés de faire de la surenchère et pratiquent des prix illicites : ça veut dire que l'opérateur épinglé a dépassé le prix plafond fixé par l'État de Côte d'Ivoire. Je prends l'exemple du prix du paquet de sucre en morceaux, fixé à 1 000 francs CFA, le prix détaillant. Lorsque ce dernier est appelé à le vendre au-delà, 1 100, 1 200 francs CFA voire plus, il est épinglé pour pratique de prix illicite. »Les contrevenants risquent de grosses amendes, qui varient entre 100 000 francs CFA et 50 000 000 de francs CFA.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:03:29 - L'info d'ici, ici Mayenne - Le projet de rénovation du stade Francis-Le Basser à Laval a été présenté ce mardi 4 mars 2025 aux habitants du quartier des Pommeraies qui vont voir d'ici 2032 des commerces, des bureaux, une crèche et même un pôle santé s'implanter autour de l'enceinte sportive du Stade Lavallois.
Avec : Gil Avérous, maire DVD de Châteauroux, président de l'association Villes de France. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:01:25 - L'info d'ici, ici Périgord
Alors que la reconnaissance faciale en direct dans les espaces publics est interdite en Europe, la technologie séduit de plus en plus outre-Manche. Face à une supposée recrudescence de la délinquance, de nombreux commerces britanniques optent pour cette technologie aidée par l'intelligence artificielle. Mais sans garde-fous juridiques, les ONG s'inquiètent de ces bases de données composées de « suspects », sans aucune validation des autorités publiques. De notre correspondante à Londres,Dave est assis dans l'arrière-boutique de son magasin d'alimentation générale, près de la gare de Weymouth, dans le sud du Royaume-Uni. Il regarde l'enregistrement qui date du mois de décembre d'une femme en train de prendre des bouteilles d'alcool pour les mettre dans les poches de sa parka. Un superviseur l'a vu et est allé lui demander des comptes. C'est justement pour éviter ce genre de choses que Dave a installé Facewatch, un logiciel de reconnaissance faciale, en juin 2023.« Avant Facewatch, nous avions des vols deux ou trois fois par jour, parfois plus. Il s'agissait souvent des mêmes personnes. Maintenant, nous en sommes à deux ou trois vols par semaine, relate le propriétaire du magasin. Nous recevons des alertes de Facewatch lorsque des voleurs qu'on a déjà repérés essaient encore d'entrer dans notre magasin, ils sont refoulés à la porte. Donc, très souvent, cela évite qu'il y ait vol. »Et le procédé est simple, détaille Dave : « Voici donc la caméra de surveillance avec Facewatch. Elle prend un cliché et le compare avec une base de données. Si la personne correspond à la base de données, nous sommes alertés dans les six secondes qui suivent le passage de la porte. » D'autres commerçants des alentours qui utilisent le même logiciel Facewatch remplissent aussi leur propre base de données.À lire aussiChine: l'intelligence artificielle au service de la surveillance de masse« C'est très dangereux pour une société de voir les moyens de sécurité privés se multiplier à ce point »Chris Jones est le directeur de l'ONG pour les libertés publiques Statewatch. Du haut de la terrasse de son immeuble d'entreprise, Chris Jones surplombe Fleet Street, l'une des rues principales de la Cité de Londres, le quartier financier. Il sait que les caméras sont partout, dans les rues, dans les commerces. Ce qui l'inquiète surtout, c'est le manque de régulation. Il pense au système de partage des informations qu'utilisent, par exemple, Dave à Weymouth et les commerçants des alentours. Qui sont-ils pour punir une personne sans qu'elle ait été jugée et déclarée coupable ?« C'est très dangereux pour une société de voir les moyens de sécurité privés se multiplier à ce point. Car il est censé y avoir un seul ensemble de lois pour tous, appliqué de manière égale par le système de justice pénale, rappelle-t-il. Donc, on s'éloigne de plus en plus de l'idéal d'une société fondée sur l'État de droit. »Normalement, les commerces doivent préciser s'ils utilisent des caméras de surveillance et si la reconnaissance faciale est utilisée. Mais selon les ONG comme Statewatch, tous ne jouent pas le jeu et ne préviennent pas les clients qui ne peuvent alors pas donner leur consentement. Consentement qui se fait de facto simplement en entrant dans le magasin.À lire aussiEn Europe, les étrangers premières victimes de l'intelligence artificielle
Alors que la reconnaissance faciale en direct dans les espaces publics est interdite en Europe, la technologie séduit de plus en plus outre-Manche. Face à une supposée recrudescence de la délinquance, de nombreux commerces britanniques optent pour cette technologie aidée par l'intelligence artificielle. Mais sans garde-fous juridiques, les ONG s'inquiètent de ces bases de données composées de « suspects », sans aucune validation des autorités publiques. De notre correspondante à Londres,Dave est assis dans l'arrière-boutique de son magasin d'alimentation générale, près de la gare de Weymouth, dans le sud du Royaume-Uni. Il regarde l'enregistrement qui date du mois de décembre d'une femme en train de prendre des bouteilles d'alcool pour les mettre dans les poches de sa parka. Un superviseur l'a vu et est allé lui demander des comptes. C'est justement pour éviter ce genre de choses que Dave a installé Facewatch, un logiciel de reconnaissance faciale, en juin 2023.« Avant Facewatch, nous avions des vols deux ou trois fois par jour, parfois plus. Il s'agissait souvent des mêmes personnes. Maintenant, nous en sommes à deux ou trois vols par semaine, relate le propriétaire du magasin. Nous recevons des alertes de Facewatch lorsque des voleurs qu'on a déjà repérés essaient encore d'entrer dans notre magasin, ils sont refoulés à la porte. Donc, très souvent, cela évite qu'il y ait vol. »Et le procédé est simple, détaille Dave : « Voici donc la caméra de surveillance avec Facewatch. Elle prend un cliché et le compare avec une base de données. Si la personne correspond à la base de données, nous sommes alertés dans les six secondes qui suivent le passage de la porte. » D'autres commerçants des alentours qui utilisent le même logiciel Facewatch remplissent aussi leur propre base de données.À lire aussiChine: l'intelligence artificielle au service de la surveillance de masse« C'est très dangereux pour une société de voir les moyens de sécurité privés se multiplier à ce point »Chris Jones est le directeur de l'ONG pour les libertés publiques Statewatch. Du haut de la terrasse de son immeuble d'entreprise, Chris Jones surplombe Fleet Street, l'une des rues principales de la Cité de Londres, le quartier financier. Il sait que les caméras sont partout, dans les rues, dans les commerces. Ce qui l'inquiète surtout, c'est le manque de régulation. Il pense au système de partage des informations qu'utilisent, par exemple, Dave à Weymouth et les commerçants des alentours. Qui sont-ils pour punir une personne sans qu'elle ait été jugée et déclarée coupable ?« C'est très dangereux pour une société de voir les moyens de sécurité privés se multiplier à ce point. Car il est censé y avoir un seul ensemble de lois pour tous, appliqué de manière égale par le système de justice pénale, rappelle-t-il. Donc, on s'éloigne de plus en plus de l'idéal d'une société fondée sur l'État de droit. »Normalement, les commerces doivent préciser s'ils utilisent des caméras de surveillance et si la reconnaissance faciale est utilisée. Mais selon les ONG comme Statewatch, tous ne jouent pas le jeu et ne préviennent pas les clients qui ne peuvent alors pas donner leur consentement. Consentement qui se fait de facto simplement en entrant dans le magasin.À lire aussiEn Europe, les étrangers premières victimes de l'intelligence artificielle
Avec : Yael Mellul, ancienne avocate. Périco Légasse, journaliste à Marianne. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîte. Marlène Schiappa, ancienne ministre. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Krystel Daly, directrice commerce locatif pour Knight Frank, dresse le bilan 2024 du commerce. L'alimentaire, la beauté et le bien-être affichent des hausses marquées (+6 %), tandis que l'équipement de la maison et de la personne reculent légèrement (-1 à -2 %). Elle souligne l'impact croissant du e-commerce, notamment pour les services comme les agences bancaires, immobilières et de voyage, qui dématérialisent leurs offres. Cependant, certaines enseignes, face à des loyers trop élevés ou des stratégies mal calibrées, rencontrent des difficultés. À Paris, des artères comme la rue de la Paix, l'avenue Montaigne ou la rue de Passy affichent une vacance quasi nulle, grâce à une forte demande, notamment dans le luxe. Malgré les défis, le commerce reste dynamique avec des enseignes qui se réinventent en intégrant services digitaux et personnalisation.
Les particuliers, investisseurs en cryptos, bientôt taxés sur les plus-values en Belgique? C'est en tout cas le projet de la nouvelle super-note de Bart De Wever. Ainsi, notre pays perdrait un peu de son statut de paradis fiscal. Les commerces de centres-villes font moins recette qu'avant en Wallonie. Un sur cinq est fermé ou vide. Ce sont notamment les conséquences de la désertification géographique des zones où ils sont implantés. Donald Trump s'est exprimé à distance hier au forum économique mondial de Davos. Le président américain a prévenu que si des entreprises voulaient éviter les droits de douane, il faudrait qu'elles produisent aux États-Unis. Les détails de la super-note de Bart De Wever sont ici et là (pour les pensions). Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:03:18 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - De premiers artisans et commerces labellisés Eco-défis dans la Métropole de Clermont. Un label reconnu par l'Ademe qui valorise les entreprises qui prennent des engagements concrets pour le développement durable.
Le livre du commerce 05 (Les commerces licites ''Salass''-les dettes) - Oustaaz Oumar DIALLO by XamSaDine
Avec : Pierre-Édouard Magnan, président du Mouvement national des chômeurs et précaires. Élise Goldfarb, entrepreneure et militante LGBT. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
En Guinée, la ville de Conakry a été ralentie par une manifestation organisée par l'opposition, et interdite par les autorités, pour réclamer le départ de la junte en Guinée. Les transports et commerces ont été fortement perturbés par cette manifestation, même si l'important dispositif policier et les mises en garde des autorités ont dissuadé les opposants de sortir en nombre.
Le livre du commerce 04 (Les commerces illicites) - Oustaaz Oumar DIALLO by XamSaDine
durée : 00:19:23 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - À 9h20, le rappeur SCH est l'invité de Léa Salamé. Son album « JVLIVS : Ad Finem » (« Julius ») sort ce vendredi. - SCH : Rappeur
durée : 00:19:23 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - À 9h20, le rappeur SCH est l'invité de Léa Salamé. Son album « JVLIVS : Ad Finem » (« Julius ») sort ce vendredi. - SCH : Rappeur
Avec : Périco Légasse, journaliste à Marianne. Juliette Briens, journaliste à l'Incorrect. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:04:09 - Une semaine dans leurs vies - "Une Semaine dans leurs vies" et les épiceries connectées. A Saint Gelais, l'épicerie autonome implique de s'inscrire en ligne avec sa carte d'identité et de faire ses courses sous l'oeil de caméras, en l'absence d'épiciers derrière le comptoir . Une solution qui n'a pas que des adeptes.
durée : 00:04:09 - Une semaine dans leurs vies - "Une Semaine dans leurs vies" part à la rencontre d'Edwige, une épicière de village qui tient bon, en démultipliant ses services pour maintenir un commerce de proximité.
durée : 00:04:01 - Une semaine dans leurs vies - "Une Semaine dans leurs vies" part à la rencontre des habitants de Saint Gelais, dans les Deux-Sèvres. A la faveur du télétravail et de la recherche de calme en dehors des villes, le village a vu sa population se transformer depuis quelques années.
durée : 00:04:18 - La main verte - par : Alain Baraton - .
Aujourd'hui Adel Sefiane, Barbara Lefebvre et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui Antoine Diers, Joelle Dago-Serry et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour débuter l'émission de ce mardi 23 juillet 2024, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Stéphane Manigold, restaurateur, débattent du sujet du jour : Faut-il indemniser les restos et les commerces impactés par les Jeux olympiques ?