POPULARITY
Dans ce dictionnaire, le capitaine de vaisseau de la réserve militaire dans la Marine nationale et lexicographe Pascal-Raphaël Ambrogi nous raconte l'histoire du vocabulaire de la mer. Quelle est la différence entre « mer » et « océan ». Savez-vous ce qu'est une « larme » ou un « arbre » en langage maritime ?Alors qu'on ne connait qu'environ 3% de la microbiologie marine et environ 10% des espèces qui abritent l'océan, les mots peuvent-ils protéger les océans ? Transmettre ce vocabulaire peut-il aider à préserver cet environnement ? De Aak à Zugite en passant par guibre, l'ouvrage, composé de mille pages et de 16 000 entrées – soit près de 10% de la langue française ! – nous raconte aussi l'histoire culturelle, très riche de nos océans. L'auteur nous rappelle que la France est une grande puissance maritime par ses espaces et sa zone économique. Et c'est tout un monde que ce vocabulaire, une langue imagée et très riche, à l'image de la « langue des galères ». Pourtant, de nombreux termes ont été perdus ou oubliés alors que la situation des océans se dégrade avec la pollution. Les mots de la mer méritaient qu'on s'attarde dessus parce qu'il est très important de transmettre cet inventaire du patrimoine par les mots et la connaissance. La mer a ce pouvoir égalisateur : en perdant un lexique commun, on finira par affronter de plus en plus difficilement l'ensemble des dangers. Pascal-Raphaël AmbrogiInvités : Pascal-Raphaël Ambrogi, haut fonctionnaire, capitaine de vaisseau dans la Marine nationale et lexicographe, auteur du Dictionnaire culturel de la mer et de la marine publié aux éditions Honoré Champion, et Jean Pruvost, lexicographe, auteur de très nombreux ouvrages sur la langue française. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lisbonne, au Portugal, où Laurent Lefebvre nous parlera de la deuxième édition du Festival d'humour francophone Rir'à Lisbonne qui aura lieu le 14 juin. Programmation musicale : l'artiste Miira avec le titre Où vont les larmes.
Dans ce dictionnaire, le capitaine de vaisseau de la réserve militaire dans la Marine nationale et lexicographe Pascal-Raphaël Ambrogi nous raconte l'histoire du vocabulaire de la mer. Quelle est la différence entre « mer » et « océan ». Savez-vous ce qu'est une « larme » ou un « arbre » en langage maritime ?Alors qu'on ne connait qu'environ 3% de la microbiologie marine et environ 10% des espèces qui abritent l'océan, les mots peuvent-ils protéger les océans ? Transmettre ce vocabulaire peut-il aider à préserver cet environnement ? De Aak à Zugite en passant par guibre, l'ouvrage, composé de mille pages et de 16 000 entrées – soit près de 10% de la langue française ! – nous raconte aussi l'histoire culturelle, très riche de nos océans. L'auteur nous rappelle que la France est une grande puissance maritime par ses espaces et sa zone économique. Et c'est tout un monde que ce vocabulaire, une langue imagée et très riche, à l'image de la « langue des galères ». Pourtant, de nombreux termes ont été perdus ou oubliés alors que la situation des océans se dégrade avec la pollution. Les mots de la mer méritaient qu'on s'attarde dessus parce qu'il est très important de transmettre cet inventaire du patrimoine par les mots et la connaissance. La mer a ce pouvoir égalisateur : en perdant un lexique commun, on finira par affronter de plus en plus difficilement l'ensemble des dangers. Pascal-Raphaël AmbrogiInvités : Pascal-Raphaël Ambrogi, haut fonctionnaire, capitaine de vaisseau dans la Marine nationale et lexicographe, auteur du Dictionnaire culturel de la mer et de la marine publié aux éditions Honoré Champion, et Jean Pruvost, lexicographe, auteur de très nombreux ouvrages sur la langue française. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lisbonne, au Portugal, où Laurent Lefebvre nous parlera de la deuxième édition du Festival d'humour francophone Rir'à Lisbonne qui aura lieu le 14 juin. Programmation musicale : l'artiste Miira avec le titre Où vont les larmes.
Dans ce second épisode, Verónica Christiny revient sur son immersion dans l'univers de la salsa caleña à Cali, en Colombie.Après avoir tout quitté pour suivre une passion née d'une simple cassette VHS, elle se forme auprès des plus grands, entre entraînements intensifs, chocs culturels et scènes mythiques.Elle nous raconte comment, en quelques mois, elle est passée de l'anonymat à la scène du Salsódromo de Cali, avant de s'envoler vers de nouvelles expériences professionnelles au Japon, puis à New York.C'est aussi le moment du retour : revenir à Paris, et transmettre. Transmettre une danse, un style, une culture.Un récit puissant sur le courage, la résilience, et l'art de créer sa propre légitimité.
RÉUNI — Le pop-up The Comfort Week — Du 5 au 14 juin — 98 rue de Turenne, Paris 3e — 11h-19h (fermé le lundi) ➡ Découvrir le programme
Avec Inès de Franclieu Association Com' je t'aime : https://www.comjetaime.com/
Comment transmettre son entreprise à son seul enfant repreneur, tout en récupérant 3 millions d'euros, sans léser les autres enfants ?Pour un dirigeant, sa société est l'œuvre de sa vie, mais aussi sa retraite.Comment concilier transmission et cashout ?- Une simple donation ne permet pas le cashout- Une cession pourrait asphyxier l'entreprise ou nécessiter des capitaux extérieursC'est dans ce cas qu'il faut penser au Family Buy Out (FBO).Cette opération combine les avantages du LBO classique avec ceux de la transmission familiale.Voici comment il fonctionne dans ses grandes lignes :1. Création d'une holding de reprise, détenue principalement par l'enfant repreneur2. Cette holding s'endette pour acquérir une partie des titres de l'entreprise auprès du dirigeant (le "cash-out")3. Parallèlement, le dirigeant consent une donation-partage à ses enfants, avec attribution préférentielle de l'entreprise au repreneur4. Les soultes dues aux autres enfants sont prises en charge par la holdingBien sûr, il y a des subtilités !Si vous êtes confronté à cette situation de transmission familiale avec cash-out et soultes, je vous recommande de consulter notre interview complète sur le FBO.Jean-Louis Médus, avocat spécialiste de ces opérations, détaille chaque étape technique du montage, les écueils à éviter et les dernières évolutions fiscales à prendre en compte.Vous y découvrirez notamment comment déterminer le niveau d'endettement optimal pour votre holding, comment sécuriser le pacte Dutreil dans ce contexte, et les clauses essentielles à insérer dans votre pacte d'associés.Voici l'organisation de notre épisode : [00:01:01] Définition du FBO et types d'actifs transmissibles[00:02:26] Les grandes étapes de mise en place d'un FBO[00:05:40] Les cas d'usage principaux du FBO[00:09:09] L'évaluation de l'entreprise dans un FBO[00:11:30] Pourquoi privilégier la donation-partage dans un FBO[00:14:28] Combiner démembrement et FBO : problématiques des dividendes[00:18:24] Les limites à ne pas franchir[00:21:42] Compatibilité entre le Pacte Dutreil et le FBO[00:28:25] Niveau d'endettement optimal pour la société holding[00:32:01] Pérenniser l'entreprise après le FBO[00:34:15] Intégration des managers dans un FBO[00:40:03] Points de vigilance pour un FBO réussi Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Charlotte Cruz est l'invitée du 198ème épisode du podcast C'est quoi le bonheur pour vous? Promise à une vie normée mais qualifiée de « réussite » par la société, je débute une carrière parisienne entre télévision et chargée de communication après avoir réussi mon Master en Communication publique à Sciences Po Bordeaux. Très vite, la sensation de ne pas accomplir ce pour quoi je me suis incarnée et surtout celle de ne pas être à ma place me pousse à tout quitter pour m'installer en Irlande. 6 ans après mon arrivée sur l'île verte, je repars à travers le monde, à la recherche de cette chose insaisissable : le savoir et le bonheur. 1 an en Inde, 1,5 an au Pérou, 6 mois en Amérique Centrale et un total d'une quarantaine de pays traversés. Après ce voyage initiatique d'une dizaine d'années et toutes les rencontres avec des grands maîtres spirituels, j'incarne ma mission : transmettre les savoirs qui m'ont été confiés sur les terres sacrées du monde. C'est à travers les livres, une maison d'édition bienveillante "La Goutte Créative", les ateliers et résidences d'écriture (Dédale de Mots), les conférences, les spectacles de contes que je diffuse ce qui m'a construit et ce qui nourrit mon bonheur avec une seule intention : que chaque goutte de sagesse recueillie vienne rejoindre vos océans de bonheur. 2018 : Ballades Irlandaises, guide émotionnel de l'Irlande 2019 : The enlightenment button, 100 reflexions to help you hit the buzz. Co écrit avec le Geshe Lhakdor. Edition LTWA (gouvernement tibétain en exil) 2020 : Trésors de Sagesse – Tibet, livre jeunesse de contes tibétains spirituels. En partenariat avec le gouvernement tibétain en exil. Edition La Goutte Créative 2021 : La Lime, l'ego à l'épreuve de l'Inde. Préface par Pierre Josse, rédacteur en chef du Routard. Edition La Goutte Créative 2023 : Trésors de Sagesse - Andes, livre jeunesse de contes péruvien. Edition La Goutte Créative 2024 : Cheminer vers le bonheur avec Bouddha. Edition Animae Leduc 2025 : Messages de Bouddha. Coffret aux Edition Animae Leduc A paraître 2025 : Faire la paix avec sa lignée en 24 ateliers d'écriture. Edition Courrier du Livre A paraitre 2025 : Trésors de Sagesse - Bali, Edition La Goutte Créative
Elle a grandi en mouvement, entre plusieurs cultures. Aujourd'hui, elle filme, elle monte, elle transmet. Dans cet épisode, Ilona nous parle de son parcours de réalisatrice autodidacte, de son rapport à l'image, à l'apprentissage… et à cette liberté précieuse qu'elle cultive en ligne comme sur les tournages.
Conseils, tendances du marché… Samedi et dimanche, dans Europe 1 Matin Week-end, Christophe Bordet revient sur l'actualité immobilière. Aujourd'hui, Comment transmettre son patrimoine ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si vivre avec une personne dépressive pouvait, au fil du temps, vous rendre vulnérable à votre tour ? C'est la question soulevée par une étude étonnante publiée dans la revue Exploratory Research and Hypothesis in Medicine. Les chercheurs s'y sont intéressés à un acteur discret mais essentiel de notre bien-être mental : notre microbiote intestinal.Le microbiote, c'est cet écosystème de milliards de bactéries qui peuplent notre tube digestif. Il influence notre digestion, notre immunité, et… notre humeur. Depuis quelques années, les scientifiques parlent même d'un "axe intestin-cerveau", révélant que nos intestins jouent un rôle dans la régulation du stress, de l'anxiété et des troubles dépressifs.L'étude s'est penchée sur des couples vivant ensemble depuis plus de six mois. Les chercheurs ont découvert que, progressivement, les partenaires en couple voyaient leur microbiote intestinal devenir de plus en plus semblable. Comment ? Par des habitudes partagées : alimentation, rythme de vie, contact physique, échanges de salive, ou même exposition aux mêmes environnements bactériens. Résultat : le microbiote de l'un influence celui de l'autre.Ce qui interpelle, c'est que ce processus peut aussi favoriser la transmission de déséquilibres. Si l'un des deux souffre de troubles anxieux ou dépressifs, son microbiote peut être altéré — on parle alors de "dysbiose". Et en partageant ce microbiote perturbé, le partenaire sain pourrait, lui aussi, voir apparaître des symptômes liés à ces troubles. Autrement dit, la dépression pourrait avoir une dimension… microbiologique.Il ne s'agit pas ici de dire que la dépression est "contagieuse" au sens classique du terme, mais plutôt que le terrain biologique peut se synchroniser entre deux partenaires. Et cette synchronisation peut inclure des fragilités. Cela vient compléter ce que l'on savait déjà sur l'impact psychologique du quotidien partagé avec une personne en souffrance : fatigue mentale, empathie épuisée, repli sur soi. Mais ici, c'est le corps lui-même qui s'ajuste, parfois au détriment de l'équilibre mental.Ce constat ouvre de nouvelles pistes en santé mentale : soigner la dépression dans un couple pourrait aussi passer par une approche conjointe, y compris au niveau intestinal. Et cela rappelle que nos relations les plus intimes façonnent, bien plus qu'on ne l'imagine, notre santé physique et mentale.Une simple vie commune pourrait donc modifier, en profondeur, ce qui se joue dans nos entrailles… et dans notre esprit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:25:17 - Jean Rondeau, claveciniste (5/5) - par : Judith Chaine - Pour clore notre entretien avec Jean Rondeau, le claveciniste revient sur son vaste projet d'enregistrement de l'intégrale pour clavecin de Louis Couperin. Il évoque aussi son quatuor Nevermind avec le projet de transcription des Variations Goldberg et nous parle de sa passion pour la transmission. - réalisé par : Arnaud Chappatte
Émission du 20/05/2025 présentée par Amaury de Tonquédec avec Julidé Ninek, Fondatrice et CEO de Moneykiiz, et Benoît Berchebru, Directeur de l'ingénierie patrimoniale et fiscale groupe DLPK. Vos questions en live : À 30 ans, faut-il déjà préparer sa retraite ?J'ai de l'argent à placer mais j'ai peur de le perdre en investissant du coup je ne fais rien. Avez-vous une solution ?Créer une holding, c'est pour les riches ou pour tout le monde ? Quel intérêt ?Transmettre une entreprise ou un bien immobilier à ses enfants : comment éviter la double peine fiscale ?La QUESTION CASH : L'investissement “casino” et l'actif à conserver 10 ans.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans ce premier épisode de la seconde saison de "Rennes au Pluriel", Anne et Nicolas interrogent Michelle Correa, Caroline Déodat et Raphaël Janeault. Vendredi 9 mai 2025, ils ont participé à une table ronde à l'Hôtel de Ville de Rennes animée par Olivier Marboeuf. Elle inaugurait le lancement de la 10e édition du festival "Rennes au Pluriel". Ils ont permis de réaliser une rétrospective et une mise en perspective les enjeux et les projets mémoriels autour de l'histoire de l'esclavage. Ils sont pointés, avec le public qui les a interrogé ou interpelé, la question de la cohésion sociale à travers l'évocation dans toute la société des traces encore présentes du passé esclavagiste. Bonne écoute !
Description: Nous allons voir ensemble comment nous pouvons nourrir notre désir de transmettre la foi à nos enfants. Garder espoir et être encourager par l'oeuvre de Dieu dans nos vies et dans leur vie. À l'église Le Sentier, nous sommes vivement convaincus de l'impact que nous avons, par la grâce du Seigneur, de rallier les frères et sœurs de l'Église. Nous désirons poursuivre dans notre mission de saturer notre milieu de l'Évangile, non seulement au sein même de notre église et de la ville, mais également en ligne, en faisant rayonner Le Sentier sur l'étendue de la toile. Veuillez considérer souscrire à la chaîne YouTube de l'église https://www.youtube.com/egliselesentier?sub_confirmation=1 Suivez l'église Le Sentier sur : - Facebook (https://www.facebook.com/egliselesentier) - YouTube (https://www.youtube.com/user/egliselesentier) - Site Web (https://www.egliselesentier.com) #gatineau #eglise #egliselesentier #jesus
📝 INVESTIR AVEC NOUS : Conseil en investissement et club deals alternatifs : https://bit.ly/sondageRA30A --- 0:00 - École, médias, famille 0:50 - Une quête identitaire 05:42 - Les archétypes 10:22 - L'école arrive à la fin d'un cycle… 20:20 - À quoi devrait ressembler l'éducation en 2050 ? 23:10 - La connaissance de soi 26:20 - L'IA signe-t-elle la mort de la transmission académique traditionnelle ? 33:08 - Réforme de la formation des enseignants 37:05 - Renforcement de l'instruction civique 39:18 - Radicalité religieuse 46:16 - Transmettre le patrimoine culturel français 48:38 - Le regard sur la petite enfance 52:08 - L'éducation bienveillante 58:23 - Un conseil à un jeune parent. Un conseil à un adolescent déboussolé 1:03:41 - L'éducation ne devrait pas être gratuite… #éducation #école #famille --- Nous sommes gestionnaires de patrimoine et conseillers en investissement. Nous accompagnons les citoyens à investir autrement. Nous sommes persuadés que le modèle économique du passé ne se reproduira pas et qu'il faut aller vers de nouvelles dimensions : fin de l'abondance, technologie du savoir, modes d'organisation, modèle économique... C'est un réel combat politique, qui se gagne par l'argent, le nerf de la guerre. Nous proposons des produits et services performants dans l'économie réelle, en respectant nos critères d'investissements : innovations utiles, éthiques et durables ; de souveraineté économique, industrielle, monétaire, technologique, énergétique et alimentaire. Nous axons nos stratégies d'investissements sur trois axes : - l'économie réelle via le private equity (le capital-investissement), deeptech, medtech, greentech, winetech, saas... - les investissements alternatifs de terrain (ressources naturelles, métaux rares et critiques, énergie, eau, vin, numismatique, oeuvres d'Art, immobilier atypique...) - les innovations Web3 (cryptoactifs, DeFi, RWA, token sales, DePIN, DAO, DApp, NFT, GameFi) --- // RESSOURCES : 📚 Le livre bestseller IMMOBITCOIN (gratuit) : http://bit.ly/immobtc 🧠 POUR ALLER PLUS LOIN (1h20) - INVESTIR durant la période de crise civilisationnelle en cours (atelier privée): https://youtu.be/rp71QVEjl78?si=enEoB6-NpPNNsXTA&t=2280 📞 Pour fixer un appel téléphonique avec un membre de l'équipe : https://fdinvest-patrimoine.com/contact // SUIS-NOUS 📷 Instagram : https://instagram.com/francoisjgdenis https://instagram.com/pic.podcast 💼 LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/fdenis01 --- FD Invest – Société par actions simplifiés au capital social de 100 € - n°89888347500029 au RCS de Montpellier – 2 rue des pivoines 34070 Montpellier – http://fdinvest-patrimoine.com/. Enregistré à l'ORIAS sous le n°22001382 http://www.orias.fr/ en qualité de : Conseiller en investissement financier adhérent de la compagnie cif, association agréée auprès de l'Autorité des Marchés Financiers. FD Invest exerçant en marque commerciale sous le nom Riche à 30 ans. RC Pro auprès de MMA. - IMPORTANT: Risque de perte en capital ou de moins-value sur les investissements alternatifs. Faites vos recherches si vous n'êtes pas accompagné. Ce retour d'expérience ne constitue pas un conseil ou une recommandation. Un conseil est toujours au cas par cas.
Avec Inès de Franclieu Association Com' je t'aime : https://www.comjetaime.com/ Émission réalisée le jour d'ouverture du conclave
Les Mitsvot accomplies avec l'amour de D.ieu sont souvent plus fortes que celles accomplies sous la crainte. De même, il est connu que la Téchouva entreprise par amour est plus grande que celle motivée par la peur. Pourquoi ? N'est-il pas suffisant pour assurer la pérennité des Mitsvot, de respecter le Chabbath, la Cacheroute, d'étudier la Torah etc. ? En quoi est-ce tellement important, afin de pénétrer et convaincre le cœur des générations suivantes, de le faire dans la joie ?
durée : 00:25:20 - Bienvenue chez vous : les spécialistes, ici Alsace - Accès Édition, une maison d'édition alsacienne à Schiltigheim, se consacre à l'éveil à la lecture. Avec Léa et Jean-Bernard Schneider, explorez des méthodes ludiques et des outils adaptés pour les enfants.
Dans cet épisode de RSI, Raphaël Fontaine partage son parcours d'investisseur immobilier, ses défis, ses déclics, et surtout : comment il a arrêté d'attendre le “bon moment” et a décidé de le créer lui-même.On parle mindset, investissement en couple, développement de terrain, gestion des peurs, et équilibre vie pro/perso.Si tu veux passer au prochain niveau, que ce soit en immobilier ou dans n'importe quel projet, cet épisode est pour toi !✅ 00:00 – Introduction : Pourquoi il faut agir, même sans le timing parfait✅ 02:00 – Début du parcours : Fils de proprio, premières expériences✅ 04:30 – Premier déclic : Investir jeune et trouver des solutions✅ 06:50 – Changement de mentalité : Passer de propriétaire à investisseur✅ 09:35 – « Si tu penses toujours comme ça, jamais rien ne va arriver »✅ 12:00 – Investir en couple : Trouver l'harmonie et le bon équilibre✅ 15:00 – Trouver l'harmonie entre déséquilibres : famille, sport, business✅ 18:30 – Transmettre des valeurs aux enfants à travers l'entrepreneuriat✅ 21:00 – Stratégies locales : Connaître son marché par cœur✅ 24:00 – Si c'était à refaire : Les conseils que Raphaël se donnerait✅ 27:00 – Conclusion et appel à l'action : Ose te lancer, forme-toi, crée tes opportunitésPour un cadeau : https://landing.mrex.co/retour-sur-investissement-contenu-exclusif-en-prime
Dans ce nouvel épisode de Caféine, j'ai le plaisir de recevoir Ekhi Busquet : Designer et directrice artistique. Ekhi est une créatrice qui repense le design avec sens, émotion et liberté. Elle imagine des objets et des espaces qui racontent des histoires et transforment notre quotidien.Elle a fondé son propre studio de design il y a 7 ans et partage sa vie entre Paris et Marseille. Dans cette conversation, on parle de sa manière d'appréhender la création au quotidien, de sa vision d'un design plus humain et plus vivant mais aussi de ses inspirations, de ses questionnements et de la façon dont elle construit son équilibre entre vie professionnelle et personnelle.Une conversation pleine d'élan et de sincérité pour toutes celles et ceux qui s'interrogent sur la création, l'engagement et la manière d'inventer sa propre voie✨
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“ Je souhaite que ce témoignage puisse se transmettre de générations en générations. Je souhaite que la barbarie et la haine ne puissent plus jamais gouverner le monde. Je souhaite que cette période tellement sombre de l'humanité ne tombe pas dans l'oubli. C'est pourquoi j'ai écrit ce livre. Transmettre, c'est pour moi un devoir. C'est le devoir d'un survivant.” Janusz Konorski nous livre ses “souvenirs d'un juif polonais qui se trouvait, enfant, à Varsovie pendant la Seconde Guerre mondiale. L'éclatement de sa famille, son incroyable errance au cœur d'une ville et d'un pays où le danger est partout, puis sa résilience après-guerre.” Un témoignage qu'il publie aux Editions Cherche Midi Merci pour votre écoute Le fin Mot c'est également en direct tous les jours de la semaine de 18h30 à 19h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Le fin Mot sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23283 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqx L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQTransversales : notre collection de reportages infos longue forme : https://audmns.com/WgqwiUpN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:11 - A votre service avec Nelly Sorbier et ses experts - Transmettre son patrimoine dans de bonnes conditions permet de préserver ses proches et d'éviter les frais excessifs. Maître Aurélien Daudé, notaire, nous dévoile les solutions fiscales avantageuses et les pièges à éviter.
Tester la Devita Nitro Elite 3 : https://bit.ly/puma-deviate-elite3
La question qui tue : peut-on vraiment réussir à combiner équilibre de vie personnelle, santé mentale, esprit créatif, et ambition business ? Véronique Piedeleu, fondatrice de la marque emblématique de décoration Caravane, partage comment elle parvient à préserver une liberté créative tout en pilotant la croissance de son entreprise. Dans cet échange concret, elle révèle comment créer des espaces de non-productivité essentiels dans un emploi du temps exigeant, pourquoi lire davantage est une question de priorité personnelle, et revient sur sa rencontre décisive avec la fondatrice historique de Caravane, qui lui a immédiatement dit oui pour reprendre sa marque. On aborde aussi quelques conseils déco hyper malins à mettre en place ! Une conversation sincère et riche en enseignements, pour tous ceux qui veulent réussir sans compromis. Si cet échange vous inspire, pensez à vous abonner, à noter le podcast, à le partager autour de vous. C'est grâce à vous qu'il continue d'exister, librement et sans publicité. Merci infiniment
Avec Inés de Franclieu https://www.comjetaime.com/
Caroline vient de produire et réaliser un film sur des femmes remarquables et uniques, qui ont décidé de dédier leur vie aux enfants et aux plus pauvres du monde. Son film m'a profondément bouleversée Dans cet épisode, Caroline nous raconte son parcours, et ce qui l'a amenée à se consacrer pleinement à la transmission et au rayonnement des Sœurs de Marie.En 2021, Caroline, son mari et leurs quatre enfants sont partis voyager pendant près d'un an au Brésil, à la rencontre des populations locales et d'association qui oeyvrent en faveur en faveur de l'instruction des jeunes. Ici, Caroline nous partage ce voyage extraordinaire, et nous transmet sa connaissance, sa culture et sa passion pour le Brésil. Elle nous décrit cette rencontre fabuleuse avec les Sœurs de Marie, qui a changé sa vie.Ce témoignage nous prouve à quel point il est possible de faire bouger les lignes...C'est histoire est une leçon d'humanité. https://www.villagesdumonde.fr/qui_sommes_nous/les_soeurs_de_marie/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Caroline vient de produire et réaliser un film sur des femmes remarquables et uniques, qui ont décidé de dédier leur vie aux enfants et aux plus pauvres du monde. Son film m'a profondément bouleversée Dans cet épisode, Caroline nous raconte son parcours, et ce qui l'a amenée à se consacrer pleinement à la transmission et au rayonnement des Sœurs de Marie.En 2021, Caroline, son mari et leurs quatre enfants sont partis voyager pendant près d'un an au Brésil, à la rencontre des populations locales et d'association qui oeyvrent en faveur en faveur de l'instruction des jeunes. Ici, Caroline nous partage ce voyage extraordinaire, et nous transmet sa connaissance, sa culture et sa passion pour le Brésil. Elle nous décrit cette rencontre fabuleuse avec les Sœurs de Marie, qui a changé sa vie.Ce témoignage nous prouve à quel point il est possible de faire bouger les lignes, même quand tout semble perdu…Merci Caroline de transmettre, et de faire rayonner dans ta vie et dans ton film, ce fabuleux message d'espoir et de générosité. Je me tais, et vous laisse découvrir ma conversation avec Caroline.https://www.villagesdumonde.fr/qui_sommes_nous/les_soeurs_de_marie/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bruno Retailleau a indiqué ce vendredi 14 mars que la France allait transmettre ce jour une liste d'une soixantaine de personnes à expulser vers Alger. Le ministre de l'Intérieur attend en retour le respect des accords internationaux, sous peine de "réponse graduée" de la part de Paris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:52:32 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Sophie-Catherine Gallet, Maïwenn Guiziou - Lignes d'écriture, bonnet d'âne, fessée ou coups de martinet : les châtiments corporels et l'humiliation ont longtemps appartenu au registre éducatif. Ils reposent sur l'idée du "droit de correction", qui serait un pilier de l'ordre social. - réalisation : Laurence Millet - invités : Élisabeth Lusset Historienne, chargée de recherche au CNRS, rattachée au Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris
Transmettre l'art contemporain aux enfants, offrir aux artistes la possibilité de créer sur le continent africain, c'est l'histoire pionnière incarnée par Marie-Cécile Zinsou et toute l'équipe de la Fondation devenue Musée à Ouidah au Bénin. L'amazone de l'art a été la première à exposer Romuald Hazoumé ou Cyprien Tokoudagba inconnus dans leur propre pays, la première aussi à montrer les œuvres d'artistes internationaux comme Jean-Michel Basquiat ou Joël Andrianomarisoa. Et c'est justement avec Joël Andrianomarisoa, son complice de toujours, que l'exposition Promesse célèbre 20 ans d'engagement et de restitution. Restitution des trésors royaux du Dahomey mais surtout restitution de l'histoire et de l'identité des Béninois, sans faire abstraction de leurs émotions. Esprit libre, Marie-Cécile Zinsou reste fidèle à la promesse faite à son grand-oncle le Président Zinsou : Changer le monde ! À découvrir :- Le site de la Fondation- L'histoire de la Fondation- L'exposition Promesse pour les 20 ans de la Fondation- Les publications de la Fondation- Le studio Joël Andrianomarisoa Album de famille de la Fondation (Diaporama)Du fond du cœur, je remercie toutes les équipes de la Fondation Zinsou :Marie-Cécile Zinsou, présidente ; Halima Moumouni-Jeanjean, directrice générale ; Choubine Houngbo, responsable production ; Josué Agbo, adjoint technique ; Laura Fagbohoun, manager cafétéria-boutique et Claude Akotome, responsable site Ouidah sans oublier toute l'équipe des guides culturels du Lab de Cotonou et du Musée de Ouidah.Je tiens également à remercier l'artiste Joël Andrianomarisoa pour avoir accepté ma présence pendant l'accrochage de son exposition, et toute son équipe du studio Joël Andrianomarisoa.Spéciale dédicace à Sophie Douay, directrice de l'association Contemporary A, responsable de la médiation culturelle, commissariat, éditions, gestion de la collection de la Fondation Zinsou.Sans oublier tous les artistes rencontrés sans lesquels je n'aurais pu réaliser ce documentaire : Ishola AkpoJérémy Demester ou l'oeuvre de Cyprien Tokoudagba. Pour aller plus loin, le podcast.Le podcast « Le mystère du 27è trésor », signé Pierre Firtion, revient sur le trésor qui manque à l'appel quand la France restitue au Bénin le 10 Novembre 2021, 26 œuvres pillées dans les palais royaux d'Abomey par le colonel Dodds en 1892. La mémoire de cet objet manquant, un tabouret sacré qu'on appelle « kataklé », s'est en fait perdue au fil des années. L'historienne de l'art Marie-Cécile Zinsou est à l'origine de cette découverte.
durée : 00:52:59 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - À travers la cuisine, ce sont bien plus que des recettes de familles qui se transmettent de génération en génération. Autour d'une marmite, les grands-mères livrent leurs astuces, mais souvent beaucoup plus que cela.
Bonjour et bienvenue sur Wine Challenge,Au programme de ce 115ème épisode, partons direction Tours-sur-Marne, chez Laurent Perrier, à la rencontre de Lucie Pereyre : 01:14' : Son arrivée au sein de la Maison02:13' : Son parcours professionnel04:15' : Une histoire de famille04:50' : Son cheminement dans le monde du vin05:45' : Sa quête de légitimité07:20' : Ses premiers pas chez Laurent Perrier08:29' : Ses souvenirs d'enfance09:45' : L'évolution de son regard sur le Champagne11:50' : Son rôle au sein de la Maison13:16' : La place des femmes dans le monde du vin14:53' : Mère et grand-mère : deux modèles inspirants16:14' : Son envie de transmettre17:04' : Son arrivée au sein de La Transmission, Femmes en Champagne20:43' : Sa vision de l'audace21:18' : Continuer son apprentissage21:58' : Envisager la suite22:39' : Trouver son équilibre entre vie personnelle et professionnelle23:35' : Transmettre à ses filles25:08' : Sa vision de la Champagne dans les années à venir26:36' : Pour conclure… Belle écoute à toutes et à tous !Crédit Photo : Leif Carlsson Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec Inès de Franclieu Association Com' je t'aime : https://www.comjetaime.com/
durée : 00:52:03 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou, Sophie-Catherine Gallet - Au tournant du 20e siècle, des intellectuelles et pédagogues imaginent des méthodes innovantes et révolutionnaires, véritables contre-modèles éducatifs. De l'apparition de l'école maternelle à la méthode Freinet, comment le concept même d'enfance est-il repensé ? - réalisation : Laurence Millet - invités : Laurence De Cock Historienne, chargée de cours en didactique de l'histoire et sociologie du curriculum à l'Université de Paris, spécialiste de l'histoire de l'éducation et de l'école; Mélanie Fabre Maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l'université de Picardie Jules Verne
Dans "La Pépite", Elisabeth Assayag reçoit Maxime Pavlak, cofondateur d'Eloi. Après une carrière dans la technologie, Pavlak, motivé par un besoin de sens et l'arrivée de sa fille handicapée, s'est tourné vers l'agriculture. Son entreprise, Eloi, facilite la transmission des fermes pour préserver la souveraineté alimentaire et promouvoir des pratiques durables. Un témoignage inspirant sur la reconversion et l'impact positif.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Avec Inès de Franclieu Association Com' je t'aime : https://www.comjetaime.com/
Peut-être avez-vous l'impression d'être né avec des traumatismes, ou que vous portez ceux de vos parents, voire de vos grands-parents. Il se pourrait que ce soit plus qu'une impression. Plusieurs études suggèrent que les traumatismes vécus par un individu peuvent marquer ses gènes et, de ce fait, se transmettre à sa descendance. L'étude de ces modifications génétique porte un nom : l'épigénétique. Qu'est-ce que l'épigénétique ? Comment les traumatismes d'un parent peuvent se transmettre à l'enfant ? Ces affectations sont-elles permanentes ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le trouble anxieux généralisé ? Qu'est-ce que l'ADN synthétique ? Quels métiers ne sont pas menacés par l'intelligence artificielle ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C'est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l'histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l'agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l'admettre, elle ne connaissait pas l'histoire de la Shoah. « C'est grâce au professeur que j'en ai entendu parler. On m'a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n'était jamais détaillé, ce n'était pas approfondi comme aujourd'hui », déroule-t-elle.La trentaine d'élèves s'est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu'à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d'Auschwitz-Birkenau. Avant d'entamer la visite, l'ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l'histoire de la Shoah. « C'est dans les livres d'histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c'est une vraie opportunité de découvrir l'histoire de l'Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d'oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd'hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu'avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. »Bâtiments en ruinesEn ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu'il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d'Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l'on voit en cours. On comprend vraiment l'importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen.Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d'un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s'entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C'est à la fois triste et extrême, c'est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n'avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J'arrive un peu à ressentir ce qu'ils ont dû ressentir à l'époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l'horreur et rapproche l'événement de sa propre histoire : « C'est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d'une époque où je n'étais pas née. D'un autre côté, c'est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd'hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. »Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d'hommes et de femmesLa Shoah se raconte aussi à hauteur d'hommes et de femmes. C'est le parti pris d'Auschwitz I, aujourd'hui musée et mémorial, que s'apprêtent à visiter les élèves. Et c'est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l'enseignante d'histoire. Toute l'année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi de connaître davantage le patrimoine et l'histoire locale, explique Mary Albagnac. On se rend compte qu'ils habitent pas très loin du camp d'internement sur lequel on a travaillé, mais qu'ils ne savaient pas du tout qu'il existait et qu'il s'était passé de tels événements sur leur territoire qu'ils pratiquent tous les jours. Ce projet permet de s'identifier plus facilement à ces personnes, à ces enfants, à leur destin, leur parcours, qui nous amènent à Auschwitz. »Des prénoms, des noms, des dates de naissance : plus de quatre millions de victimes connues de la Shoah sont répertoriées dans le livre des noms, dans lequel se plongent désormais les élèves. Romane part en quête du nom d'un déporté originaire des environs de Toulouse, un certain «Rosenwasser». La lycéenne interpelle sa professeure, « Je crois que je l'ai trouvé ». La professeure coupe court : « Il serait mort le 15 août 1942. Et bien non, ça ne marche pas, puisqu'il est censé être déporté le 26 août 1942. »Un peu plus loin, Loann et Roman se sont quelque peu écartés de la consigne initiale. « On cherche une personne que l'on a en commun et que l'on connaît, développe Loann. On essaye de voir s'il y a peut-être un de ses descendants qui est ici et s'il y a son nom de famille dans le livre. » Mais la quête se révèle fastidieuse, constate Roman. « Je cherche un nom de famille précis et je trouve quand même dix personnes qui ont ce nom de famille. C'est impressionnant, ça montre vraiment la diversité des personnes qui ont été touchées par le génocide. » Effets personnelsAux images d'archives se superposent désormais, plus seulement des noms, mais des visages et de nombreux effets personnels. La Shoah s'incarne à travers des lunettes, des cheveux, des milliers de paires de chaussures, rassemblées derrière une immense plaque de verre. « Là, on est sans voix, on est bouche bée face à cet amas d'objets, de prothèses. On se rend compte réellement du massacre que ça a été et du nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis choqué de l'espace que ça prend et du nombre d'objets et de chaussures qu'il y a », explique Loann.À Auschwitz, ce sont un million de personnes qui ont été amenées en train, afin d'y être triées, gazées et incinérées. Pour les élèves qui le souhaitent, la visite s'achève par un passage devant un four crématoire. « Tout le monde rentre ? », interroge par précaution Mary Albagnac, l'enseignante. Tous les élèves pénètrent et découvrent le summum de l'horreur. « Cela fait peur, réagit immédiatement Yann. Parce que les bâtiments sont en assez bon état et en entrant dedans on s'imagine ce qu'il s'est passé auparavant. »Transmettre la mémoireFace aux preuves parfois crues et brutales de la Shoah, aucun élève ne reste insensible. Reste à savoir ce qu'ils feront de l'exigence de mémoire et de l'importance de la transmettre. Une mission plus difficile à mener aujourd'hui qu'il y a quelques années, à en croire l'enseignante d'histoire, Mary Albagnac : « Les derniers témoins disparaissent ou sont de plus en plus fragiles, donc on a du mal à les faire venir sur les événements. Et l'autre souci que j'identifie, c'est que la jeune génération a accès à tout, dans l'instantané, à tout moment et a parfois du mal à faire le tri. Avec ce projet, on veut les faire travailler sur les sources historiques, leur montrer comment on fait de l'histoire, comment avoir un regard critique. Et la professeure de poursuivre : «On sait que ça ne marchera pas avec tous, mais on se donne les moyens d'y arriver avec ce type de projet. »La mémoire de la Shoah demeure encore une mémoire incarnée, grâce au récit qu'en font encore les rescapés. Mais la force de ce récit est condamnée à s'amenuiser avec la disparition des derniers survivants, estime Alexandre Doulut, guide accompagnateur du mémorial de la Shoah : « Pour avoir vu dans les yeux des jeunes leurs réactions face à quelqu'un qui a été la victime d'Auschwitz, qui raconte quel a été son quotidien, je peux vous assurer que nous, si on passe derrière en tant qu'historien avec nos connaissances brutes, ça a une portée cent fois plus minime, c'est évident. » Cela signifie-t-il pour autant que l'on puisse un jour complètement oublier cette histoire ? « Oui, personne ne peut dire quel sera l'état de la mémoire, dans dix ans, dans vingt ans, c'est très versatile la mémoire, reprend Alexandre Doulut. Mais moi je suis plutôt optimiste. »Transmettre, un poids ou un défi ?Nina, 17 ans, doit bien le reconnaître, avant cette année, « elle n'aurait vraiment pas pensé parler de la Shoah. Cela me touchait, mais je n'étais pas sensibilisée au fait de devoir retranscrire. » À la question de savoir si la lycéenne se sent capable ou non de transmettre cette mémoire, elle hésite d'abord, puis se lance : « Moi, je ne m'en sens pas vraiment capable. Je raconterai à mon entourage proche, car eux, ils me connaîtront personnellement et c'est dans l'intimité que l'on raconte ces choses, puisque ce sont des traumatismes. » Nina ne se sent pas d'en parler car elle a peur, « peur de mal raconter, d'oublier des détails, d'offenser les petits enfants des familles ». Mais l'idée que l'on puisse totalement oublier cette histoire « l'effraie ».À ses côtés, Juliette lui oppose d'autres arguments. « C'est à nous de porter cela. Ce n'est pas un poids, c'est quelque chose que l'on va devoir faire et c'est à nous d'assumer ce rôle. Il ne faut pas se priver d'en parler, ça ne doit pas être tabou, on ne doit pas ne pas en parler parce que ça a été très grave. Il faut justement en parler. Ce n'est pas un défi qui doit faire peur. »Ginette Kolinka, passeuse de mémoireQuelques jours plus tard, au mémorial de la Shoah à Paris, des rires se font entendre dans l'auditorium. Sur scène, Ginette Kolinka houspille la modératrice de la conférence : « Posez-moi une question, mais une vraie ! Sinon je mélange tout, le départ et le retour ! » La mémoire fait parfois défaut, mais à presque 100 ans, Ginette Kolinka n'a rien perdu de sa répartie et de la force de son récit. « Hitler voulait nous humilier et il a su trouver tout ce qu'il y avait pour le faire », rappelle-t-elle. Infatigable passeuse de mémoire, c'est encore à la jeune génération qui l'écoute dans l'auditorium qu'elle s'adresse ce soir-là, avant d'entamer un dialogue plus direct entre deux dédicaces et de répondre à quelques questions de journalistes : « Aux jeunes, je le dis et le redis : qu'ils parlent au plus grand nombre de personnes possibles en leur spécifiant que ce n'est pas une fiction. Ce qui a été écrit, ça a été vécu, on en est les survivants », insiste la rescapée.Puis, Ginette Kolinka s'adresse à une jeune fille qui lui présente son ouvrage à dédicacer : « Toi, tu es une petite fille et j'espère que quand ça sera le moment de parler de ça dans ta classe, tu diras "moi j'ai vu quelqu'un qui l'a vécu, j'ai vu deux dames, tu peux dire âgées, ça ne fait rien, et qui l'ont vécu ! " »Reste une dernière interrogation : a-t-elle confiance dans la jeune génération pour porter cette mémoire ? La réponse fuse : « Qu'est-ce que ça veut dire confiance ou pas confiance ? Je ne suis pas obsédée par ce qu'il va se passer après. Moi, je vis le présent. Quand je vais dans les écoles, je m'aperçois qu'il y a beaucoup d'enfants qui m'écoutent, des plus jeunes et des moins jeunes. On vit le présent. Ils ont écouté. Cette petite fille a écouté. Peut-être que demain elle va le raconter à sa maîtresse. Et bien moi, ça, ça me suffit. »
Près de deux millions de personnes ont visité les vestiges du plus grand centre de concentration et de mise à mort du régime nazi l'an dernier (2024). L'augmentation de la fréquentation des sites de la Shoah et le travail de mémoire peuvent-ils aider à éviter la répétition du pire ? Visiter Auschwitz-BirkenauAu cours de la Seconde Guerre mondiale, plus d'1.200.000 personnes dont 900.000 juifs ont été tuées sur le seul site d'Auschwitz. Le 27 janvier 1945, le centre de concentration et de mise à mort nazi était libéré par l'armée soviétique. Et Il y a 20 ans, l'ONU choisissait cette date pour marquer la journée internationale à la mémoire de toutes les victimes de la Shoah. Transmettre cette histoire alors que les survivants et les témoins directs ne sont plus que quelques-uns est un défi de société, et c'est ce qu'ont à cœur tous ceux qui accueillent les visiteurs. Reportage d'Adrien Sarlat.Avant d'arriver à Auschwitz, beaucoup de déportés sont passés par le ghetto de Theresienstadt (ou Terezin en tchèque). Ce lieu qui a servi de camp de transit est connu également parce que les nazis en avaient fait un objet de propagande pendant la guerre : en le présentant à la Croix rouge, et au monde, comme un camp modèle. Dans cette petite ville tchèque de Terezin, située à une cinquantaine de kilomètres au nord de Prague, les bâtiments qui portent cette histoire sont en train de s'effondrer, au grand dam des historiens et des survivants. Les précisions d'Alexis Rosenzweig. À lire aussiPologne: commémoration de la libération d'Auschwitz, la parole aux rescapés Alexandre Loukachenko va enchaîner un 7è mandat à la tête de la BiélorussieIl a été réélu président dimanche 26 janvier 2025 avec plus de 87% des voix à l'occasion de ce que la Commission européenne a qualifié de simulacre d'élection. Portrait de Romain Lemarsquier. À lire aussiAlexandre Loukachenko rempile pour cinq ans à la tête de la Biélorussie Le mécontentement des pêcheurs L'Union européenne veut restreindre de 79% les jours de pêche au chalut pour cette année 2025. En Espagne, pour contourner et éviter ces restrictions, les ministères concernés, au niveau national et dans les provinces viennent d'annoncer qu'ils financeraient de nouveaux filets, plus fins, pour préserver l'environnement et maintenir l'activité. Mais la solution fait débat, inquiète les pêcheurs et relance la question de la protection des fonds marins en Méditerranée. Reportage d'Elise Gazengel.Entre Bruxelles et le Royaume-Uni aussi la pêche est un sujet qui fâche. À Londres, le nouveau gouvernement travailliste a beau vouloir améliorer les relations post-Brexit avec l'UE, l'interdiction de la pêche au fond annoncée le printemps dernier (2024) est un casus belli sur lequel les Britanniques refusent de transiger. Les détails avec notre correspondante Marie Billon. À écouter aussiBrexit: les pêcheurs irlandais réclament de nouveaux quotas de pêche
durée : 00:05:32 - Avec sciences - par : Alexandre Morales - Une nouvelle étude parue dans la revue Cell repousse un peu plus notre connaissance de la capacité des nématodes à transférer leur protection immunitaire aux générations suivantes.
Avec Inès de Franclieu Association Com' je t'aime : https://www.comjetaime.com/
durée : 00:46:31 - La 20e heure - par : Eva Bester - Dix ans après sa disparition, France Inter rend hommage à Jacques Chancel à travers les témoignages de ses proches. Ils évoquent le souvenir d'un homme qui a marqué l'histoire de la radio et de la télévision françaises avec ses 3600 Radioscopies et ses 500 heures du Grand Échiquier.