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En 1950, on considérait qu'un accouchement normal pouvait durer jusqu'à 36 heures.En 2004 ? Plus que 8 heures.Et passé ce délai, tu es jugée trop lente, à surveiller, à déclencher.Mais est-ce ton corps qui a changé si drastiquement en 60 ans ?Ou est-ce notre système de santé qui, lui, ne sait plus attendre ?Dans cet épisode, je vous parle de cette pression du temps qui s'est sournoisement infiltrée dans les salles de naissance. Ce chrono invisible qui se déclenche dès que tu franchis les portes de l'hôpital. Ce compte à rebours qui fait de la naissance un projet à valider au lieu d'un passage sacré.Je vous partage mon regard, mon expérience à l'hôpital comme à la maison de naissance, et surtout les racines historiques de cette course contre la montre, à travers les courbes de Freedman des années 50… encore utilisées aujourd'hui, malgré leur obsolescence totale.Je vous explique comment, sous couvert de sécurité, on pousse les femmes vers la cascade d'interventions. Parce que ce n'est pas ton corps qui “n'avance pas”, c'est le système qui ne lui laisse pas le temps.On parlera aussi des alternatives : comment reprendre la maîtrise de ton accouchement, comment sortir du cadre, comment redonner toute sa place à la lenteur, au silence, au respect du rythme.Tu n'es pas une horloge.Tu n'as pas à performer pour être une bonne mère.Tu peux accoucher lentement, puissamment, à ton rythme.Et tu as le droit de te faire accompagner autrement.
Depuis le mois de septembre, le Data Act s'applique dans toute l'Europe. Ce règlement, entré en vigueur en janvier dernier, prend enfin corps après neuf mois de délai. Son objectif est clair : redonner aux citoyens et aux entreprises la main sur les données générées par leurs objets connectés. Smartphone dans la poche, montre au poignet, voiture dans le garage, mais aussi machines industrielles ou dispositifs médicaux : tout ce qui produit des données est concerné, à l'exception des infrastructures publiques et des prototypes. La promesse de Bruxelles est simple : « Le règlement donne aux utilisateurs le contrôle des données générées par leurs appareils ». Mais qu'est-ce que cela change, concrètement ?Jusqu'ici, chaque constructeur gardait jalousement la main. Apple décidait pour votre iPhone, Samsung pour votre montre connectée. Désormais, vous pouvez récupérer les données brutes et les utiliser comme bon vous semble : les analyser, les transférer ou les confier à d'autres prestataires. Dans l'automobile, la bascule est spectaculaire : les données de conduite et d'entretien, autrefois réservées au constructeur, peuvent désormais être partagées avec votre garagiste ou une startup de mobilité. Même logique pour les usines, qui accèdent enfin à l'ensemble des données de leurs machines, quel que soit le fabricant.Le Data Act frappe aussi un autre verrou : le cloud. Changer de fournisseur relevait du parcours du combattant. Migrer ses données de AWS à Google ou Microsoft coûtait une fortune. Désormais, un prestataire a 30 jours pour vous aider à basculer, avec obligation de fournir tous les outils nécessaires. Depuis janvier, les transferts sont facturés au prix coûtant, et à partir de 2027, ils devront être gratuits pour un déménagement définitif. Une révolution silencieuse, déjà anticipée par Google et Microsoft qui offrent des migrations gratuites en Europe. Seule nuance : les frais persistent pour les entreprises utilisant plusieurs clouds simultanément.Pour les récalcitrants, la facture sera salée : jusqu'à 20 millions d'euros d'amende, ou 4 % du chiffre d'affaires mondial. Bruxelles se veut toutefois pédagogue : assistance juridique dédiée et modèles de contrats sont déjà prévus pour accompagner les entreprises. Le message est clair : l'ère des données captives touche à sa fin. Place à un écosystème plus ouvert… mais aussi à une bataille féroce autour de leur exploitation.--Cet épisode est sponsorisé par Freelance Informatique, la plateforme qui met en relation consultants indépendants et entreprises clientes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Holà la belle gang du Walk The Talk avec Alex ! Dans cet épisode avec mon acolyte Max, on t'offre le premier module de notre programme DÉLIVRANCE gratuitement. On adresse le fléau de la performance, d'où ça vient, comment ça se présente, comment en survivre, en sortir et s'en remettre pour avoir PLUS de résultats avec MOINS de stress, de chaos, d'empressement et d'épuisement quotidien. Un module rempli de clés pour tendre vers une paix et bonheur intérieurs. Pour tous les détails sur DÉLIVRANCE, c'est ICIDans les 7 autres modules, on adresse ceci et plus encore : Le passage à l'action sans jamais atteindre le résultat voulu : pourquoi l'effort constant ne mène pas à l'accomplissement ?Le manque de clarté : avancer dans le brouillard, sans direction précise : Comment en sortir ?La confusion identitaire : ne plus savoir qui l'on est réellement derrière notre vie effrenée.Le contrôle : la volonté de tout maîtriser qui finit par étouffer. Comment s'en sortir. Les blessures non guéries : abandon, rejet, trahison, insécurité, culpabilité, honte et plus encore qui influencent encore nos choix et notre vie sans s'en rendre compte.Les patterns répétitifs : retomber dans les mêmes scénarios relationnels malgré soi.Les déclencheurs : réactions automatiques face aux situations, qui éveillent nos zones sensibles.Les angles morts : ce que nous ne voyons pas mais qui dirige inconsciemment notre vie.La reprise de pouvoir : Reprendre son pouvoir en arrêtant d'accuser les autres ou les circonstances.Le leadership conscient : développer une posture intérieure solide et alignée.La création de la réalité désirée et la prise de décision franches : sans excuses, sans bullshit, sans résistance et sans fuite d'énergie.Prêt à dire OUI à ta pleine Délivrance ? Ça se poursuit juste ICI.Bonne marche à tous !Pour tous les détails sur DÉLIVRANCE, c'est ICIPour une consultation gratuite, c'est ICI Pour me suivre sur instagram, c'est ICI
POUR ÉCOUTER L'ÉPISODE EN ENTIER TAPEZ "ANAÏS SUPER MAMAS" SUR VOTRE PLATEFORME DE PODCASTEst-ce que vous me croyez si je vous dis que mon invitée du jour est une athlète hors du commun, une femme qui a défié la maladie et, cerise sur le gâteau, qui est tombée enceinte miraculeusement seulement deux mois après avoir rencontré son amoureux ? Oui oui, vous avez bien entendu… C'est bien de l'histoire d'Anaïs Quemener, athlète multi-médaillée, au sourire lumineux et à la vie aussi intense qu'inspirante dont il s'agit aujourd'hui. Une jeune femme dont je suis le parcours depuis des années et qui m'impressionne chaque jour par son énergie, sa force, et sa capacité à vivre mille vies en une.Alors justement, comment garder cet élan de vie quand on nous annonce à seulement 24 ans qu'on souffre d'un cancer du sein triple négatif ? Comment le sport et en particulier la course à pied l'a aidé à tenir le coup et à ne jamais baisser les bras ? Et puis finalement, comment réagir quand on tombe enceinte des années plus tard alors qu'on pensait cela impossible ? Anaïs nous parlera de tout ça dans cet épisode pépite. Merci ma chère Anaïs pour ces confidences et ta confiance. Merci d'être cette femme, cette mère, qui nous inspire, un peu plus chaque jour, à garder le sourire et à ne jamais, jamais, cesser de courir. Je vous souhaite une très belle écoute. *** Pour retrouver l'univers de notre super mama et les ressources citées :
durée : 00:21:25 - On s'en parle en Béarn Bigorre - Reprendre confiance en soi grâce au conseil en images : Le conseil en image peut vous aider à rebondir, à trouver votre place, à vous sentir mieux avec Laure Lavit d'Essai transformé à Pau . Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:47 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ces derniers mois l'Allemagne la Suisse et l'Autriche ont envoyé des délégations consulaires à Kaboul directement discuter avec les Taliban dans le but de négocier et d'organiser des rapatriements Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:47 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ces derniers mois l'Allemagne la Suisse et l'Autriche ont envoyé des délégations consulaires à Kaboul directement discuter avec les Taliban dans le but de négocier et d'organiser des rapatriements Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:47 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ces derniers mois l'Allemagne la Suisse et l'Autriche ont envoyé des délégations consulaires à Kaboul directement discuter avec les Taliban dans le but de négocier et d'organiser des rapatriements Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
DISCLAIMER« Juste avant de commencer, petite précision : durant l'épisode, j'ai employé à quelques reprises le mot nutrition. Je n'étais pas au courant, mais ce terme est réservé aux nutritionnistes. Pour que ce soit clair, Marieve fait partie de l'association des naturopathes du Québec. Je tenais à clarifier ça, merci pour votre compréhension et bonne écoute! »ÉPISODE 2 SAISON 2 — Reprendre le contrôle de sa vie (et de sa santé), feat. Marieeve BergeronEt si tout partait d'un choix : se responsabiliser pour transformer sa santé, son mindset et sa business ?Dans cet épisode, je reçois Marieeve Bergeron, naturopathe, entrepreneure et autrice du livre Collations. Elle partage son parcours inspirant — de son changement de mode de vie à la création d'une communauté fidèle, en passant par ses plans simples mais puissants pour améliorer l'alimentation et l'estime de soi.On parle de santé durable, de constance, d'authenticité sur les réseaux sociaux, de transformation personnelle… et de comment elle a lancé son premier mastermind business. Au programme :Le déclic qui a changé sa vie (et sa santé)Pourquoi se connaître en dehors de ses rôles est essentielComment elle a bâti une business à partir d'un simple groupe FacebookSes conseils concrets pour mieux manger (sans se restreindre)Ce qu'elle a appris en lançant son premier mastermindCollations — en librairie et chez Costco@marieevebergeron sur InstagramAbonne-toi pour ne rien manquer de La Technique Moneyball
Deux instructions ont été signées de la main du nouveau locataire de Matignon et un décret est en préparation. Désormais, les anciens premiers ministres auront un secrétariat et un chauffeur pour dix ans seulement. Et des policiers pendant 3 ans. Les ex ministres de l'intérieur pendant 2 ans. Et ces protections ne seront prolongées qu'en cas de menace avérée.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la rentrée ! Une nouvelle saison s'amorce avec quelques artistes qui ont correctement rangé leurs crayons dans la trousse et sont fiers de vous montrer leurs nouveaux cartables ! Ils ont appris les bonnes leçons de rythme de leurs... Continue Reading →
Reprendre le pouvoir face aux critiquesDans ce nouvel épisode, je vous emmène dans les coulisses d'une expérience très personnelle : un commentaire reçu sur LinkedIn, à la fois blessant et révélateur. Ce moment m'a permis de mettre en pratique, dans la vraie vie, des enseignements puissants comme les Accords Toltèques.Vous allez découvrir comment :transformer une critique en levier de confiance et de croissance,passer de la réaction impulsive à la réponse alignée,garder votre pouvoir personnel face au jugement des autres,cultiver une paix intérieure qui ne dépend pas du regard extérieur.Cet épisode est pour toutes celles et ceux qui veulent arrêter de se laisser définir par l'opinion des autres, et apprendre à avancer avec sérénité, authenticité et assurance.Parce que retrouver ses couleurs, sa joie de vivre et son alignement intérieur, c'est aussi ça, le vrai luxe.Bonne écoute
Le mouvement assure être « disponible » pour « s'asseoir immédiatement à la table des négociations afin de discuter de la libération de tous les prisonniers en échange d'une déclaration claire de la fin de la guerre, d'un retrait complet de la bande de Gaza, et de la formation d'un comité de Palestiniens indépendants pour gérer la bande de Gaza, qui commencerait ses fonctions immédiatement ». C'est une évolution sensible des positions du Hamas, même si ces termes ne peuvent toujours pas être acceptés tels quels par Israël. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu as l'impression de revivre toujours les mêmes scénarios ?De dire “oui” quand ton cœur crie “non” ?De porter des blessures ou des attentes qui ne sont même pas les tiennes ?Dans cet épisode, je te partage comment j'ai décidé de couper ces chaînes invisibles pour enfin retrouver ma liberté, ma légèreté et ma puissance intérieure.
C'est la rentrée, et tu ressens le besoin de remettre de l'ordre dans ta vie, dans ta maison et dans ta tête ?Dans cet épisode de Maison rangée, esprit léger, je te propose un plan d'action simple en 7 étapes pour faire un reset en douceur, sans pression.Tu découvriras comment :✅ Faire le point sur ton quotidien et tes routines✅ Prioriser ce qui compte vraiment✅ Mettre en place des changements concrets et durables✅ Créer un vision board inspirant✅ Reprendre le contrôle de ta maison et de ton esprit
Dans un monde qui ne sait plus ralentir, comment reprendre son souffle ? C'est ce que je vous propose d'explorer dans cet épisode. S'asseoir ensemble pour découvrir comment se recentrer, recueillir nos énergies de vie et se renforcer intérieurement face à cette agitation permanente. Bonne découverte ! Pour plus d'infos sur nos activités : nicolebordeleau.com Pour nous aider à soutenir les frais de création, de mise en ligne et de production de cette série. À l'avance, un grand merci !
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l''a marquée !
Hier, dans l'épisode de Happy Work Express je parlais d'un fait important : plus de 50 % des démissions sont dues au management. Oui, on quitte un manager, pas une entreprise.
Tous les matins à 6h35 on écoute vos messages laissés sur l''insta et FB du réveil Chérie !
durée : 00:43:47 - Questions du soir : le débat - par : Marguerite Catton - "Bloquons tout", c'est le mot d'ordre qui circule depuis la mi-juillet sur les réseaux sociaux : un appel à bloquer le pays le 10 septembre au moyen de cortèges ou de boycott. Echauffée par le plan d'austérité du gouvernement Bayrou, une partie des concitoyens veut réactiver un mouvement populaire. - réalisation : Phane Montet - invités : François Boulo Avocat au barreau de Rouen. Il est l'un des principaux porte-parole des gilets jaunes, auteur de " Reprendre le pouvoir " (Les liens qui libèrent, 2021).; Elisabeth Godefroy Doctorante à Sciences Po Bordeaux au Centre Emile Durkheim; Paola Sedda Maîtresse de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lille
Auditeurs : Laura L'alcool a pris beaucoup, aujourd'hui Laura tente de reprendre le dessus. Pyrène Pyrène voit ses parents deux fois par an. Et chaque fois, c'est trop. Lorenzo Son meilleur ami a été plongé dans un coma artificiel… puis il est mort. Depuis, Lorenzo cherche à comprendre. Caroline Caroline a trouvé la force de lutter contre la polyarthrite rhumatoïde en s'occupant des chats errants de son quartier. Jean-Marie Jean-Marie a un cœur à recoller. Cette fois, il est prêt à tout pour trouver l'amour. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hier, dans l'épisode de Happy Work Express je parlais d'un fait important : plus de 50 % des démissions sont dues au management. Oui, on quitte un manager, pas une entreprise.
Pour en savoir plus sur comment trouver le bonheur et remplir ta vie d'épanouissement, je te donne rendez-vous sur : https://www.sylvainviens.com/ Et si, derrière ton mal-être diffus, ton sentiment de lourdeur ou ton besoin de tout contrôler, se cachaient en réalité 5 clés fondamentales pour t'épanouir pleinement ? Dans cet épisode intime, je t'invite à faire une pause, à chausser symboliquement tes bottes de jardinier et à venir planter avec moi 5 graines précieuses dans ton jardin intérieur. Pendant 37 ans, j'ai cherché le bonheur sans vraiment comprendre comment le cultiver. Je contrôlais tout, j'étouffais mes émotions, j'étais prisonnier de mes schémas. Aujourd'hui, je vis autrement. Et si mon chemin peut t'aider à éclairer le tien, alors cet épisode aura du sens.
durée : 00:43:47 - Questions du soir : le débat - par : Marguerite Catton - "Bloquons tout", c'est le mot d'ordre qui circule depuis la mi-juillet sur les réseaux sociaux : un appel à bloquer le pays le 10 septembre au moyen de cortèges ou de boycott. Echauffée par le plan d'austérité du gouvernement Bayrou, une partie des concitoyens veut réactiver un mouvement populaire. - réalisation : Phane Montet - invités : François Boulo Avocat au barreau de Rouen. Il est l'un des principaux porte-parole des gilets jaunes, auteur de " Reprendre le pouvoir " (Les liens qui libèrent, 2021).; Elisabeth Godefroy Doctorante à Sciences Po Bordeaux au Centre Emile Durkheim; Paola Sedda Maîtresse de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lille
Ton business devait être ton projet de liberté… et pourtant, il ressemble parfois à ton nouveau boss ?Dans cet épisode, je t'explique pourquoi tant d'entrepreneures finissent par subir leur entreprise, comment repérer les signaux d'alerte, et surtout, comment reprendre ta posture de CEO : poser des limites, protéger ton temps et reconstruire un business qui sert ta vie – pas l'inverse.
Nous retrouvons aujourd'hui Catherine Fontenel, vous l'avez déjà entendue dans l'épisode 9 de Milkshaker où elle nous parlait des démarrages d'allaitement et de l'accompagnement de l'allaitement au sens large.Aujourd'hui on vous parle de la reprise du travail, et il y en a des choses à dire.Quel sera votre choix ?Continuer de donner exclusivement votre lait ? Mettre en place un allaitement mixte ? Tout arrêter et sevrer votre bébé ?Quel contenant choisir pour mon bébé ? de quel matériel ai-je besoinDois-je me préparer et préparer mon bébé en avance ? Quels sont mes droits ?Catherine répond aux 1000 questions que vous pouvez vous poser à l'approche de cette étape si importante : se séparer de son bébé, le confier, faire confiance, assurer une continuité.On sait au combien les temps accordés aux congés parentaux en France ne vont pas dans le sens d'un allaitement serein, mais dans cet épisode on va tenter de vous rassurer, de trouver des solutions pour que cette transition se fasse le plus en douceur possible.Je vous laisse écouter Catherine, vous allez voir, à ses côtés, tout se passe bien.Belle écoute , Charlotte Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le stress c'est ne pas agir pour quelque chose sur lequel vous pouvez avoir un certain contrôle.Les workshops : https://firefrance.substack.comDimanche 18h00 : la stratégie 2025Lundi 20h00 : 3 000 € par mois grâce à l'immobilierMardi 20h00 : Reprendre sa première entrepriseMercredi 20h00 : Faire x5 en solopreneur Cet épisode est sponsorisé par Monsieur Hugo, logiciel de gestion locative. Il te permet entre autre de faire des prélèvements de loyers, d'économiser des frais de gestions, d'avoir accès à un service juridique. Tu peux le tester gratuitement: https://www.monsieurhugo.com/?utm_source=fire&utm_medium=victor&utm_campaign=loraMa newsletter:https://firefrance.substack.com/Tu veux en savoir plus sur notre coaching immobilier:https://www.fireclub.training/startTu veux en savoir plus sur notre coaching rachat d'entreprise:https://www.fireclub.training/masterclass-reprendreuneentrepriseTu veux en savoir plus sur notre coaching solopreneur:https://www.fireclub.training/freelancesolopreneurHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je vous emmène sur le chemin de la rentrée après un périple de 1 000 kilomètres sur le chemin de Compostelle. Après des semaines de déconnexion, le retour à la réalité peut être un défi pour beaucoup d'entre nous. Grâce à un sondage réalisé sur mon profil LinkedIn auprès de plus de 2 000 personnes, j'ai découvert que les avis sont partagés : certains sont en pleine forme, d'autres moins.Mais quelle que soit votre situation, ce moment de l'année est idéal pour instaurer de nouvelles habitudes positives. Dans cet épisode, je vous partage des conseils pratiques pour reprendre le rythme en douceur, planifier vos journées efficacement, et surtout, prendre soin de votre bien-être pour aborder la rentrée avec sérénité. Vous découvrirez aussi comment fixer des objectifs motivants et l'importance de déconnecter après le travail pour préserver votre équilibre.Que vous soyez au sommet de votre forme ou encore en train de récupérer de l'été, cet épisode vous donnera les clés pour transformer cette rentrée en une véritable réussite. Alors, prêt(e) à faire de cette nouvelle saison un tremplin pour votre bien-être et votre productivité ?0:00 Introduction0:23 Introduction 20:42 Le sondage de la semaine1:41 Reprendre progressivement le rythme2:19 Planifiez vos journées2:56 Prenez soin de votre bien-être3:35 Fixez-vous des objectifs motivants4:08 Privilégiez la déconnexion après le travail4:48 Restez flexible et adaptable5:23 Conclusion 15:56 Conclusion 2Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si, du jour au lendemain, un conflit suffisait à couper l'accès à vos données ? La souveraineté numérique, c'est la capacité d'un pays à garder le contrôle de ses infrastructures, de ses technologies et des informations qui y circulent. Un enjeu crucial pour la France et l'Europe.
Diego Hidalgo est entrepreneur, conférencier et auteur d'ouvrages consacrés à l'engagement de sa vie : les relations entre l'humain et la technologie. Son parcours universitaire brillant, marqué par ses études à Sciences Po et à l'université de Cambridge, a été suivi par la création d'entreprises innovantes, la participation à des think-tanks à New York et en Europe, et son engagement dans des ONG et auprès de l'Ordre de Malte. Diego Hidalgo a créé OFF, un mouvement international qui rassemble des personnalités de la société civile, de la politique et de la culture, en vue de sensibiliser le grand public sur les enjeux numériques colossaux auxquels nous sommes confrontés. N'est-il pas trop tard, pour reprendre le contrôle de notre avenir numérique ? Si nous sommes aujourd'hui conscients des périls climatiques qui sont en passe de déséquilibrer nos civilisations, au point de mettre même en danger l'avenir humain sur notre planète, avons-nous pris conscience de cet autre danger civilisationnel aussi grave qui, au même moment, se dresse devant nous ? Avons-nous conscience des implications pour nous des développements foudroyants de l'Intelligence Artificielle ? Quand nous commençons à comprendre l'impact souvent négatif de l'omniprésence des technologies numériques dans nos vies, avec l'usage abusif du smartphone, l'illusion étouffante des réseaux sociaux, saisissons-nous les enjeux qui sont aujourd'hui en question ? Avec Diego Hidalgo, nous mesurons à quel point l'homme relègue trop facilement ses pouvoirs à des machines qui risquent un jour de le dépasser, de le contrôler, et de le dominer. Avec lui, nous comprenons qu'il est effectivement bien tard pour tenter d'enrayer un processus qui semble inéluctable, d'autant plus pernicieux qu'il revêt toutes les apparences d'un bien apporté à l'homme. En s'appuyant sur son dernier ouvrage, Diego Hidalgo nous propose 50 pistes pour inverser la tendance. Il n'est jamais trop tard, l'homme a des capacités d'adaptation, de créativité et de résilience dont il n'a pas idée. Il n'est jamais trop tard pour une prise de conscience et un changement de nos comportements, autant ceux qui ont un impact sur le plan numérique que ceux qui en ont sur le plan climatique. D'abord sur le plan individuel, ensuite sur le plan collectif. C'est tout le sens de l'exemple offert par Diego Hidalgo, et son invitation à rejoindre le mouvement OFF, qui rassemble déjà des hommes et des femmes qui se mobilisent pour que le monde soit vraiment meilleur. Pour lire Reprendre le contrôle, le livre de Diego Hidalgo, cliquer ici. Pour découvrir le Mouvement OFF, créé par Diego Hidalgo, cliquer ici. N'EST-IL PAS TROP TARD ? Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Cette semaine, c'est un épisode difficile que nous proposons. Sa préparation, en effet, a été l'objet pour nous d'une prise de conscience aigüe des enjeux numériques auxquels nous sommes confrontés. Le choc que nous avons vécu a ressemblé à celui que nous sommes nombreux à avoir expérimenté douloureusement, lorsque nous avons saisi quels étaient les enjeux climatiques de notre temps. Deux enjeux qui, d'ailleurs, sont liés. À beaucoup d'égards, les crises géopolitiques, les guerres, les tensions que vivent nos sociétés sont liées, autant à la crise climatique qu'aux enjeux technologiques. À chaque fois, c'est la puissance humaine qui déraille. C'est la capacité de création, d'innovation et d'adaptation de l'homme qui ne va pas dans une bonne direction. C'est le manque de respect de la création, de la nature de l'homme comme de tout ce qui est vivant, qui engendre des conséquences néfastes. Est-il trop tard pour déjouer les menaces qui pèsent sur nos têtes ? Menaces climatiques, menaces géopolitiques, menaces numériques ? Autour de nous, nous le voyons, il y a ceux, de plus en plus nombreux, qui voient avec crainte les nuages s'accumuler dans nos ciels, qui se sentent impuissants et qui deviennent de plus en plus inquiets. Comme le révèle Diego Hidalgo dans cet épisode, l'angoisse touche de plus en plus, et elle s'étend chez les jeunes. Il y a aussi ceux, sans doute la plupart, qui ne voient rien ou qui refusent de voir. Ils continuent de vivre et de consommer comme si de rien n'était. À moins qu'ils soient eux aussi rongés par un fatalisme paralysant. Il y a enfin ceux pour qui il n'est jamais trop tard. Ce sont ceux qui agissent. Ils sont animés à la fois par le devoir de transmettre le meilleur monde possible aux futures générations, et par la conviction que l'homme détient le pouvoir de changer les choses, cette fois-ci pour le mieux. C'est la conviction de Diego Hidalgo, comme de tant d'acteurs et de penseurs, de plus en plus nombreux. C'est aussi la conviction de Zeteo, qui cherche chaque semaine à donner la voix à ceux qui nous montrent la voie vers une vie meilleure, nourrie des plus belles lumières, allégée des peurs, des souffrances et des maladies qui pèsent tant sur nos vies. L'été se poursuivra dès la semaine prochaine avec un invité que vous avez été très nombreux a apprécier lors de sa participation récente, et qui a accepté de revenir à notre micro pour un (voire deux) témoignage(s) exceptionnel(s)... L'été se poursuit dans nos collectes de dons hebdomadaires. Nous remercions ceux qui ont fait répondu à nos appels passés, et faisons toujours appel à ceux qui peuvent, aujourd'hui ou demain, contribuer à cette si belle mission que nous vivons ensemble, et qui ne dépend que des dons de ses auditeurs, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. 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Comment atteindre les 100 000 euros de chiffre d'affaires ?C'est la question que m'a posée Marie-Cécile dans cette nouvelle leçon.Marie-Cécile est la créatrice du blog apprendre-a-jouer-du-piano et de la chaîne YouTube “Les Clés du Piano”. Elle est passionnée, ultra-investie, et elle n'est pas loin du cap symbolique : 80 000 euros de chiffre d'affaires déjà réalisés, mais une grande fatigue aussi, une dispersion permanente, et une rentabilité en berne.Alors ensemble on a fait un grand ménage : quels projets conserver ? Lesquels arrêter ? Où concentrer son énergie pour avoir de vrais résultats ?On a aussi parlé de ses blocages invisibles, de ses croyances limitantes, et de la peur qu'on a tous parfois… de faire moins, mais mieux.Si vous êtes solopreneur ou entrepreneure passionnée qui court après mille idées, cette leçon pourrait vraiment changer votre perspective.Bonne écoute !CHAPITRAGE 00:00 – Introduction03:10 – Présentation de Marie-Cécile 05:42 – Atteindre 80 000 € de chiffre d'affaires : les premières étapes08:55 – La fatigue du solopreneur : trop d'offres, trop de dispersion12:20 – Comment prioriser quand on a 1000 idées ?15:45 – Coaching en direct : identifier les offres qui rapportent vraiment20:32 – Pourquoi faire moins peut rapporter plus24:11 – Lever les blocages invisibles pour passer un cap31:10 – Reprendre le contrôle de son temps et de son énergie#LeçonDuMercredi #PaulineLaigneau #EntrepreneuriatCréatif #BusinessEnLigne #CréatriceDeContenu #MarketingDigital #Solopreneur #PédagogieEnLigne #CoursDePiano #MonterSonBusiness #VivreDeSaPassion #EntreprendreAutrement #ChiffreDAffaires #OffresDigitales #OrganisationEntrepreneur #CoachingBusiness #ReconversionProfessionnelle #CréerSaMarque #YoutubeuseFrancophone #ApprendreLePiano #EntrepreneuriatFéminin #DéveloppementDeBusinessNotes et références de l'épisode Sont cités dans l'épisode : La formation “Faire plus de chiffre en moins de temps, d'argent et d'énergie”La formation “Reprenez le contrôle de votre temps : faites plus en moins de temps”Pour retrouver Marie-Cécile : Sur son blogSur sa chaîne YouTubeVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
REDIFF - Au rayon à la coupe, dans un supermarché, ai-je le droit de changer d'avis et de demander au vendeur de reprendre le produit une fois qu'il a été tranché ? Réponse d'Olivier Dauvers dans la question conso ! Tout l'été, revivez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les interventions souvent en décalées de Paul El Kharrat, donnent des idées aux autres sociétaires. Un exemple ? Reprendre le titre culte de Starmania adapté au jeune homme. Fous rires, réponses inattendues, nouvelles rencontres, cet été redécouvrez les meilleurs moments de cette saison 2024-2025 ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour en savoir plus sur comment trouver le bonheur et remplir ta vie d'épanouissement, je te donne rendez-vous sur : https://www.sylvainviens.com/
Face à la domination des géants américains dans le cloud, un collectif européen veut poser les bases d'une infrastructure numérique souveraine. Porté par des acteurs publics et privés, le projet pose les bases d'une alternative concrète pour reprendre le contrôle des données critiques en Europe. Son nom ? Eurostack.-----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
26 juin, c'est la journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues. Nous partons à cette occasion aux États-Unis. Cinquante fois plus puissante que l'héroïne… 100 fois plus que la morphine… l'équivalent de quelques grains de sel peuvent tuer. Le Fentanyl et ses contrefaçons ont envahi le pays depuis plus d'une décennie, provoquant une crise de santé majeure. Le Fentanyl est un analgésique, un anti-douleur surpuissant : les overdoses ont tué près de 3 000 personnes en 2013 : 74 000 en 2022 mais depuis, la courbe s'est inversée en 2024 : moins 30% de décès liés aux opioïdes synthétiques. Pour comprendre, nous partons en Géorgie, Virginie, Kentucky et Ohio. «Épidémie de Fentanyl : les États-Unis commencent à reprendre pied», un Grand reportage d'Edward Maille.
⚠️ Attention, cette semaine le récit (en 2 épisodes) de notre invitée Sarah Barukh, écrivaine et activiste, parle de violences et d'emprise. Écoutez-le dans les meilleures conditions possibles. Si vous avez besoin d'aide, appelez le 3919.
Sarah Barukh, écrivaine et activiste, transforme la douleur en combat, passant de la sidération à l'action avec des projets comme "les veilleuses" et "125 et des milliers" offrant des outils concrets pour celles qui veulent se relever. Sortir de l'emprise comme on sort d'une addiction est un défi complexe. Pourquoi revient on vers ce qui nous détruit? Deux épisodes intenses et nécessaires, parce que survivre ne suffit pas, il faut vivre.
[SERIE] "Nos liens à l'argent" Marion Gestin Duchêne reçoit Matthias Baccino, ancien trader, devenu intrapreneur engagé, directeur Europe de Trade Republic. Dans ce premier épisode, ils explorent ensemble l'influence de l'argent sur nos relations aux autres. Pourquoi le sujet de l'argent est-il encore si tabou ? Comment retrouver un lien plus libre, plus conscient et plus aligné avec lui et avec les autres ? Mathias Bacino partage avec nous ses réflexions sur les dérives du système bancaire, les blocages culturels autour de l'argent, et l'urgence de construire un rapport plus lucide et collectif à l'économie. Son livre, Prenez votre argent en main – Devenir riche, ça s'apprend !, est publié aux Éditions Michel Lafon.Pendant 4 semaines, Marion Gestin Duchêne décrypte avec ses invités nos liens à l'argent : découvrez tous leurs conseils et recommandations pour déconstruire ce sujet tabou et entretenir une relation à l'argent plus apaisée.Quelques citations avec Matthias Baccino : "L'argent est un sujet avant tout émotionnel.""Mettre de l'argent de côté, c'est impacter ton monde et le monde d'une manière générale.""L'argent n'est pas une valeur en soi. L'argent ne sert qu'à accomplir des choses."Thèmes abordés lors du podcast avec Matthias Baccino : 00:00 Introduction02:49 L'argent, un sujet émotionnel05:44 L'importance de l'éducation financière08:26 Le tabou de l'argent11:20 La révolution de la génération Z11:50 Une approche philosophique15:23 L'enjeu : la satisfaction différée19:40 La nécessité d'une transition financière21:41 1ère étape pour mieux gérer son argent26:46 Les limites du système bancaire traditionnel27:42 Les femmes investissent mieux que les hommes29:15 Estime de soi et possession matérielle31:19 Reprendre le contrôle de son argent : Les bienfaits33:52 Investissement : une vision du monde35:31 L'éducation financière des enfants40:48 Les entrepreneurs et l'argentAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Toute cette semaine, la ville de Nice dans le sud de la France accueille la troisième conférence des Nations unies sur l'océan. L'océan, qui occupe 70 % de notre planète, est sous pression du changement climatique et malmené par l'activité humaine. Au point, parfois, de ne plus offrir aux populations des littoraux les ressources nécessaires. C'est le cas en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs reporters de RFI sont allés à leur rencontre en Guinée, en Sierra Leone, au Ghana et au Sénégal. La lourde embarcation, poussée, tirée, glisse sur cette plage. Les cris des pêcheurs en plein effort percent le grondement des vagues. Les pirogues qui partent et reviennent ont cousu ensemble, au fil des siècles, l'histoire de la communauté Lébou et l'océan. L'océan est tellement au cœur de la vie Lébou qu'une confrérie soufie, tournée vers les flots, est née ici : les Layènes.Yoff. Une commune de Dakar, Sénégal. Le vendredi, un haut-parleur diffuse dans les rues, à 100 mètres de la plage, la prière du vendredi. Face à l'océan, Seydina Diop, un érudit layène, évoque l'histoire du fondateur de la confrérie, Seydina Limamou Laye (1843-1909). Et son lien avec la mer. « C'est, explique-t-il, comme si l'océan avait signé un pacte avec Seydina Limamou Laye et sa famille. Tôt après la prière du matin, il s'est dirigé vers la mer en compagnie de ceux qui priaient derrière lui. Arrivé à la mer, il lui intime l'ordre de reculer. Et la mer recule comme une natte sur plusieurs dizaines de mètres. Il a dit, "j'espère que ça suffit ici pour installer ma maison ici". Et s'adressant à ses compagnons : "Vous, vous ne me connaissez pas, mais la mer me connaît, connaît ma dimension et respectera mes ordres". » Depuis l'époque du fondateur, les vagues ont épargné le sanctuaire Layène. Mais Seydina Diop en convient, ailleurs dans le pays, l'océan n'est plus tout à fait le même. « C'est comme si effectivement la mer était en colère. Cette côte va passer par le village de Kayar, une zone poissonneuse, et les gens sont très inquiets. Vous continuez à Thiaroye c'est la même situation, vous continuez à Mbao c'est la même situation. Donc pourquoi ? »De plus en plus loin pour trouver du poissonKayar, aux eaux réputées poissonneuses… Le quai de pêche est bondé de monde, mais la localité, située à une soixantaine de kilomètres de Dakar, se nourrit de plus en plus difficilement de l'océan. Les sécheuses de poisson se plaignent d'attendre de plus en plus longtemps l'arrivée de la matière première : « Comme vous le voyez, nous sommes assises ici à discuter, explique l'une d'elles, Khoudia Touré, installée sous un parasol. Cela veut dire qu'il n'y a pas de poissons ; il arrive parfois que nous passons des journées entières sans aucune activité parce qu'il n'y a pas de poisson, alors que c'est notre matière première et qu'on a des commandes à honorer. Quand les pêcheurs partent en mer, ils restent plusieurs jours d'affilée, car il n'y plus rien. »À lire aussiDix choses à savoir sur la surpêche, fléau des océans au fil des sièclesLes conséquences se font également sentir au Ghana, à Tema, le plus gros marché de pêche artisanale du pays. Une femme, vendeuse depuis 28 ans, regrette les bacs de poisson qu'elle vendait par le passé : « Quand j'ai commencé à travailler, dit-elle, les revenus étaient bons, mais aujourd'hui ce n'est plus le cas. On ne reçoit plus beaucoup de poissons. Quand on recevait beaucoup de poissons, nous avions de l'argent pour mettre nos enfants à l'école. Maintenant, vu que les pêcheurs n'en ramènent plus, nous n'avons plus grand-chose à vendre. Nous n'avons plus d'argent, nous sommes fatigués. »Même chose en Sierra Leone. Tombo, à une cinquantaine de la capitale, Freetown, était autrefois un port de pêche prospère. La ville est aujourd'hui en déclin. Les pêcheurs y sont de plus en plus nombreux, les poissons de plus en plus rares, et les conditions de travail de plus en plus difficiles. « Nous avons beaucoup de soucis aujourd'hui, confie Chernor Bah, le capitaine du port de Tombo. Mais surtout, il n'y a plus de poisson et nous avons du mal à survivre. Maintenant, pour trouver du poisson, on est obligé de brûler beaucoup d'essence. On part tôt le matin, mais ce n'est pas avant 10 heures ou 11 heures qu'on arrive à trouver un endroit avec du poisson... Autrefois, on dépensait peut-être 20 litres, 30 litres d'essence pour aller attraper du poisson... C'était possible de faire des affaires. Mais aujourd'hui, il faut peut-être utiliser 100 litres... 150 litres de carburant pour arriver au même résultat. » La raréfaction du poisson menace, selon certaines études, la sécurité alimentaire de la Sierra Leone. Les produits de la mer représentent en effet 80 % des apports en protéines dans le pays.Toute la région est concernée par l'épuisement de la ressource. Boulbinet est l'un des principaux ports de pêche artisanale de Conakry, la capitale guinéenne. Les prises sont versées à même le sol, sur des bâches tendues sur la digue. Les pêcheurs guinéens doivent, eux aussi, aller de plus en plus loin. Prendre de plus en plus de risques pour trouver le poisson. « Vous savez que cette pêche-là, ça représente un danger, indique Abdoulaye Camara, membre de l'Union des pêcheurs artisanaux, parce que, vous savez, la mer a sa façon de faire. Même le temps où il n'y a pas de pluie, la mer peut s'agiter elle-même. Au fur et à mesure que l'embarcation va très loin, c'est là qu'elle se retrouve en danger. Parce que la mer, c'est la mer. Cette méthode d'aller pêcher loin, c'est pas parce qu'ils veulent aller loin, mais le poisson est un peu éloigné maintenant. »Soumah Seny, alias « Tozo », a une cinquantaine d'années. Il est responsable de l'association des doradiers de Boulbinet. Avec la chute des prises, il explique que de nombreux pêcheurs connaissent une situation financière difficile : « Si vous sortez faire quatre à cinq, six jours, sixième jour vous rentrez. Si vous enlevez la dépense, tu peux te retrouver avec 50 000 dans ta main. Ça permet difficilement de pourvoir aux dépenses de la maison ! Les pêcheurs ne gagnent pas beaucoup d'argent. On peut faire un an sans acheter de viande, parce qu'on n'a pas d'argent pour en acheter. Le prix d'un sac de riz, quand tu reviens de la mer, des fois, tu ne peux même pas gagner ça. » À lire aussiConférence de l'ONU sur l'océan 2025 : l'Afrique particulièrement concernée par ses enjeuxEffondrement de la ressourceCette raréfaction de la ressource, constatée en mer par les pêcheurs, a été documentée par des recherches de l'IRD, l'Institut de recherche pour le développement. « On a étudié un peu les quantités débarquées dans chaque pays au fil des années, explique Timothée Brochiet, chercheur à l'IRD. On s'est rendus compte que pour le Sénégal, les quantités maximales qui ont été débarquées étaient tombées en 2011. Et on s'est rendus compte qu'à partir de 2019, on tombe en dessous de 10 % de cette quantité-là. Et selon une définition qui a été donnée en halieutique, on peut parler d'un stock "écroulé" quand, après quatre années d'affilée, les quantités débarquées sont inférieures à 10 % du maximum. » La situation est à ce point alarmante qu'une mobilisation se met en place pour propager la voix des communautés menacées.Ce jour-là, à Ngor au Sénégal, il s'agit de faire entendre le cœur de l'océan aux jeunes générations, grâce à un enregistrement sous-marin, réalisé avec un hydrophone. Fabrice Monteiro, photographe engagé, participe ce jour-là à l'animation. « Ça m'évoque le pouls de la planète, qu'on partage tous un monde commun et que même sous l'eau, il y a toute une vie, il y a des échanges, il y a des tas de choses auxquelles on pense pas parce qu'on nous a expliqué qu'on pouvait disposer de tout et que finalement la vie comptait pour très peu si ce n'est la nôtre. » Pour cet artiste, l'humanité doit « changer de logiciel ». Et le photographe dit vouloir utiliser ses images pour participer à cette conversation.Comment expliquer ces difficultés croissantes à trouver du poisson ? Les pêcheurs artisanaux mettent régulièrement en cause la pêche industrielle. Une critique partagée par le chercheur sierra-léonais Salieu Kabba Sankho : « Quand nous avons commencé la lutte contre la pêche illégale, de nombreux navires sont venus s'enregistrer. Mais cela a fait augmenter de manière conséquente le nombre de bateaux de pêche industriels. Ces navires achètent un permis qui correspond à la taille du bateau, pas au nombre de poissons qu'ils pêchent. Cela va peut-être couter 15 ou 20 000 euros par an, pour un permis qui permet de pêcher 365 jours sur une année et autant de poissons que vous pouvez en attraper. C'est comme un chèque en blanc pour les industriels. Il y a un gros risque de surpêche et d'effondrement des réserves de poissons. »À lire aussiConférence sur l'Océan : « L'Afrique s'attend à » avoir « plus de poids dans la discussion », dit Foga AgbetossouTrop de bateaux de pêche ?Mais le problème semble aller au-delà de la pêche industrielle : trop de bateaux cherchent désormais à puiser les ressources de l'océan. Cette surexploitation a conduit à une véritable bataille du poisson entre pêcheurs industriels et artisanaux, mais aussi entre pêcheurs artisanaux de nationalités différentes. « Les pêcheurs industriels, comme les pêcheurs artisanaux, sont coresponsables de la baisse des réserves de poissons, indique Thomas Turay, le président d'un syndicat de pêcheurs sierra-léonais qui essaie de promouvoir des pratiques plus respectueuses de l'océan. Il y a vingt ans, ici même, dans ce bureau, on avait 75 000 pêcheurs enregistrés et maintenant, on compte 150 000 personnes qui dépendent de la pêche... Il y a beaucoup de chômage, donc les gens viennent ici pour devenir pêcheurs. La fermeture des mines a aussi joué un rôle. Avant, on voyait des "mango fish", c'est-à-dire des espèces de poissons qui apparaissaient au début de la saison des mangues, qui précède la saison des pluies. Mais aujourd'hui, on ne voit plus ça. C'est quand il pleut seulement qu'on comprend que c'est le début de la saison des pluies. »Dans ce contexte de compétition, les règles sont de moins en moins respectées. « Il y a le problème des chalutiers, poursuit Thomas Turay, qui viennent pêcher jusque dans la Zone d'exclusion côtière, qui nous est réservée, plutôt que d'aller au large, dans la Zone économique exclusive où ils sont autorisés à pêcher. Et puis, il y a des braconniers ! Et notre marine n'est pas équipée pour surveiller la mer pendant toute une journée. Donc, dès que la marine s'en va, les braconniers viennent depuis la Guinée ou le Sénégal. À cela s'ajoute la corruption. Des étrangers viennent et enregistrent leurs bateaux comme s'ils étaient des Sierra-Léonais. Ils paient une commission, c'est tout. »À cette compétition pour la ressource s'ajoute le dérèglement climatique, qui provoque le réchauffement des océans. Ces changements de températures provoquent la migration de certaines espèces vers des eaux plus froides. Le chercheur ghanéen John Kusimi, professeur associé de géographie physique au département de géographie et développement des ressources à l'Université du Ghana, a travaillé sur le phénomène. « Au cours des dernières décennies, indique-t-il, la température à la surface de la mer dans le golfe de Guinée a augmenté de 0,2 à 0,4 degré Celsius. Cette augmentation de la température a poussé les petits poissons pélagiques, ceux que pêchent les pêcheurs artisanaux, à migrer des eaux tropicales vers des mers plus tempérées, où l'eau est plus froide. Cela a également eu pour effet de pousser ces poissons, qui ont le sang-froid, à plonger dans les profondeurs des mers tropicales pour réguler leur chaleur corporelle, les rendant souvent inaccessibles aux pêcheurs traditionnels. Donc tout cela, en ajoutant d'autres facteurs humains, a provoqué un déclin de 60 à 80 % de la population de poissons pélagiques depuis les années 90 jusqu'à aujourd'hui. »Un phénomène chimique menace également la biodiversité de l'océan : son acidification, le fait que sa composition chimique devienne de plus en plus acide. Les premières mesures ont été faites au large des côtes californiennes, mais le professeur Malick Diouf, de biologie animale à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar, craint que le phénomène n'en vienne à se répandre : « S'il y a acidité, ça veut dire que tous ceux qui ont une coquille calcaire ont leur vie qui va être hypothéquée, parce que le calcaire est attaqué par l'acide. Et si on regarde les animaux qui ont un test calcaire, aussi bien unicellulaires que pluricellulaires, il y en a des masses. On va vers une perte drastique de la biodiversité. »À écouter aussiSommet des océans à Nice : l'acidification de l'eau menace la biodiversité marineMieux contrôler qui pêche quoiQue faire face à l'effondrement en cours et aux menaces futures ? Depuis ses bureaux de Dakar, l'ONG Greenpeace appelle les autorités à mieux contrôler qui pêche quoi… Le Dr Aliou Ba est responsable de la campagne « Océans » pour Greenpeace Afrique. « La majeure partie de nos pêcheries sont en situation d'accès libre. L'accès libre conduit à la surpêche, à la surexploitation des ressources. Donc, pour parer à cela, il faudrait que l'on contrôle la capacité de pêche dans ces pêcheries, mais aussi accentuer la surveillance pour baisser vraiment ce qu'on appelle la pêche INLA. » Greenpeace essaie aussi d'obtenir une régulation des usines de farine de poisson qui sont à terre et qui sont en concurrence avec le marché local.Reprendre le contrôle ? Les gouvernements de la région disent qu'ils ne cherchent pas autre chose. Le ministère des Ressources maritimes et de la Pêche sierra-léonais est installé au Youyi building, le grand immeuble gouvernemental de la capitale, Freetown. Sheku Sei reçoit à la sortie d'un entretien avec la ministre. Il est responsable de l'aquaculture et de la pêche artisanale au ministère : « Nous avons en tant que pays commencé à mettre en place un système de "saison fermée", durant laquelle les pêcheurs artisanaux ne peuvent plus aller en mer – et au mois d'avril, nous faisons la même chose pour la pêche industrielle. L'idée, c'est qu'il y ait une période de repos biologique pour que les poissons puissent grossir et que la population cesse de décliner, comme ça, on aura plus de poissons dans nos eaux et on pourra produire plus de nourriture. Car un des objectifs, c'est de garantir la sécurité alimentaire et la nutrition. Donc, la fermeture saisonnière de la pêche, les aires marines protégées, mais aussi, nous aimerions avoir plus de fonds pour opérer des patrouilles de surveillance de nos côtes. Donc, nous allons prendre des contacts pendant la conférence de Nice. Nous allons aussi voir si l'on peut améliorer notre système de surveillance à distance, le moderniser, pour pouvoir suivre les opérations des navires en mer, sans avoir à nous déplacer. »À écouter aussiPourquoi les forêts de mangrove sont importantes pour la biodiversité ? Certaines solutions dorment également aux portes de l'océan, dans ces zones charnière que constituent les mangroves. Malmenées par les exploitants miniers, surexploitées par les communautés locales, elles sont pourtant essentielles. En Guinée, des associations s'activent pour les défendre, comme Guinée écologie. Aboubacar Soumah, l'un de ses cadres, guide le visiteur sur un débarcadère de Dubreka. Ici, les communautés pratiquent la pêche artisanale, mais également la riziculture, et elles mènent des activités de reboisement de la mangrove.Aboubacar Soumah longe la digue d'une aire de riziculture abandonnée. À gauche, des terres en friche. À droite, les terres en cours de restauration. Les jeunes pousses de mangrove pointent déjà vers le ciel et le militant écologiste espère que, d'ici à quelques années, cet espace redeviendra propice pour la reproduction des poissons. À marée basse, l'eau s'engouffre dans un petit chenal. Quand la marée monte, l'océan inonde la mangrove et emmène avec lui les poissons, qui y trouvent un milieu favorable pour se reproduire. « Restaurer la mangrove, dit Aboubacar Soumah, ça a beaucoup d'avantages. C'est un espace vital pour les poissons juvéniles. C'est dans ces milieux, dans les zones de mangrove, les zones ombragées, que les gros poissons viennent pondre les œufs. C'est dans cet espace aussi que les juvéniles grandissent jusqu'à atteindre un certain stade de maturité avant de migrer en mer. »Les mangroves grouillent encore de vie, de crabes et d'insectes, dans des sols riches de nutriments et de minéraux charriés depuis l'amont, un écosystème fixé par les racines des palétuviers. Les mangroves sont de véritables incubateurs de vie marine. Leur restauration, explique Aboubacar Soumah, est indispensable pour protéger l'avenir des communautés de pêcheurs.À écouter aussiEn Gambie, des pêcheurs dans une mauvaise passe
Vous arrive-t-il de vous sentir complètement envahi par une émotion sans pouvoir la maîtriser ? Une remarque, un mail, un client désagréable… et vous voilà glacé, en retrait, ou à cran. Dans cet extrait, je vous parle à cœur ouvert d'un sujet qui me touche profondément : comment mieux gérer ses émotions, ne plus se laisser emporter, et reprendre le contrôle sans tout réprimer.Je partage une prise de conscience essentielle, une métaphore qui m'a marquée, et surtout les découvertes des neurosciences qui expliquent pourquoi nous réagissons souvent trop vite, et comment en sortir.Un avant-goût d'un épisode à ne pas manquer si vous aussi vous voulez avancer avec plus de calme, de clarté, et de liberté intérieure.