Le podcast par infodiag dédié aux professionnels du bâtiment et de l'immobilier. Il répond aux questions sur l'amiante, la performance énergétique, l'électricité... Vous êtes maître d'oeuvre ou agent immobilier ? Ce podcast a été créé pour vous ! Vous souhaitez poser une question à notre expert ? Écrivez-nous à contact@infodiag.fr
Une proposition de la carte professionelle pour les diagnostiqueurs immo !
le Conseil national de la refondation, durant de longs mois, pour si peu de résultats.... Pour Mickaël Nogal, que le logeme nt figure dans ce CNR constitue en soi une sacrée avancée. L'ancien député rappelle volontiers que le thème ne figurait pas initialement au menu du CNR. Bien sûr, au regard des quelque 200 propositions effectuées dans le cadre de ce CNR, les annonces de la Première ministre, la semaine passée, peuvent sembler décevantes. En matière d'immobilier comme de rénovation. Mais ce CNR Logement ne doit pas être vu comme une fin en soi. "Le travail est loin d'être fini", promet Nickaël Nogal. "Tout ce qui a été fait sera utile pour continuer les échanges." Les annonces gouvernementales sont un "objectif, un cap", il reste beaucoup à discuter. En matière de financement, le premier frein à la rénovation énergétique, le co-animateur du CNR Logement imagine par exemple "la création d'une banque de la rénovation énergétique". Élisabeth Borne l'avait évoqué, pour financer le reste à charge les ménages, elle compte relancer l'éco-PTZ ou le prêt avance mutation, deux s outils qui existent déjà, parfois depuis des années, mais qui ne marchent pas. "Les banques commerciales ne jouent pas forcément le jeu", estime Mickaël Nogal. "Parce que ce n'est pas leur métier d'aller vers la rénovation énergétique, parce qu'il y a des enjeux de concurrence", les raisons ne manquent pas. L'aide au financement est pourtant indispensable. "Dans une maison individuelle, une rénovation globale coûte en moyenne entre 30.000 et 50.000 euros. Aucun ménage n'a les moyens de dépenser autant d'un seul coup, même en déduisant les aides." Cette banque de la rénovation énergétique, dans laquelle les banques traditionnelles seraient actionnaires, permettrait ainsi de "distribuer massivement tous les prêts existant" et de lever cet écueil du reste à charge souvent rédhibitoire pour les ménages. Car pour l'ancien député, les jalons posés par Climat et résilience pour rénover le parc hexagonal, ne peuvent être reculés. "La bonne réponse n'est pas de repousser car on ne règle pas les problèmes des factures trop élevées pour les ménages ou les problèmes d'émissions de gaz à effet de serre." Bonne écoute!
Il est une figure du diagnostic immobilier. Très présent sur les réseaux sociaux, où il partage son savoir-faire et livre un regard sans concession, Pascal Clerc lutte contre les mauvaises pratiques qui ternissent l'image de la profession. Davantage encore depuis deux ans avec l'énorme publicité dont jouit désormais le DPE.
Quinze ans ont (déjà) passé depuis le Grenelle de l'environnement, que l'on annonçait comme le big bang de la rénovation. Pourtant, malgré des milliards d'euros engloutis, cette rénovation énergétique reste toujours en dessous des objectifs. Rencontre, avec Dominique Estrosi Sassone, sénatrice des Alpes-Maritimes et présidente de la Commission d'enquête sur l'efficacité des politiques publiques en matière de rénovation énergétique.
Le boulot du chasseur immobilier ne se limite pas forcément à trouver une maison, un immeuble ou un appartement. Alexandre Masson, directeur général et fondateur de 110% Chasse immobilière, explique comment la chasse immobilière évolue pour s'adapter aux besoins des clients.
Lionel Causse, député des Landes et président du Conseil national de l'habitat, sonne la mobilisation générale. “Il faut y aller, on n'a plus le temps d'attendre.” Oui, bien sûr, la mise en œuvre de cette rénovation énergétique est “difficile”, “complexe”, et cette loi Climat et résilience vide aux yeux de certains, se révèle finalement “ambitieuse”.
La construction ou la rénovation d'un bâtiment n'est pas qu'affaire de technique. Ni même d'objectifs bas carbone ou de consommation énergétique archi réduite. Elle est aussi question de pédagogie. Rencontre avec Cécile Exbrayat, cogérante et associée de la société BE+ dans les Hauts-de-France.
La ventilation double flux a le vent en poupe. En 2021, on a recensé quelque 920.000 nouvelles installations en France. Dans le neuf, forcément où elle est devenue indispensable, mais dans l'ancien surtout avec plus de 700.000 installations. Rencontre avec un expert du genre, Jean-Paul Rabineau, responsable technico-commercial dans les Hauts-de-France pour la société Brink, fabricant et distributeur de VMC double-flux.
Et si on utilisait les calories des eaux usées pour aussi produire l'eau chaude sanitaire? Gaïa Green implantée dans les Hauts-de-France développe des récupérateurs de chaleur qui se branchent directement sur la douche. Sachant qu'une seule douche consomme en moyenne 70 litres d'eau, les économies sont réelles. Démonstration avec Roben Van Bree, dirigeant de Gaïa Green.
Retraits-gonflements d'argiles, le phénomène prend de l'ampleur au fil des sécheresses de plus en plus sévères. Problème, ce genre de sinistre n'est pas forcément indemnisé. Par ricochet, le phénomène prend donc aussi de l'ampleur chez les avocats. Rencontré sur le salon Immotissimo, Me Alexandre Le Pallec, avocat au barreau de Lille, évoque de plus en plus de sollicitations.
Retour en son et images sur le salon Immotissimo. Laurent Henry est dirigeant de la société Ventil Pur Habitat, spécialisée dans la ventilation de l'habitat individuel et basée dans les Hauts-de-France. Son métier? Ventiliste. Indispensable pour veiller à la bonne qualité de l'air intérieur dans une maison neuve ou rénovée.
Retour sur le salon Immotissimo en son et en images. D'une pierre deux coups, le groupe Hexaom, ex-groupe Maison Frances et confort, avec ses 48 filiales intervient à la fois dans le cadre de la construction neuve et de la rénovation. Rencontre avec Antoine Blanc, manager commercial.
Retour son et images sur Immotissimo, le salon de l'immobilier. Aujourd'hui, Jean-François Moreau, responsable immobilier et services au Crédit mutuel, explique combien le secteur bancaire évolue pour accompagner au mieux ses clients dans leur rénovation énergétique.
Retour sur le salon Immotissimo, avec Margaux Boitet directrice marketing de Nexity. Le promoteur se veut exemplaire en matière de normes de performance énergétique, mais appuie aussi sur la fibre sociétale.
Les banques ont un grand rôle à jouer dans cette transition énergétique. Et pas comme simples financeurs. Jean Boutoille, directeur général de Square Habitat Nord de France, en charge également du développement immobilier au sein de la caisse régionale du Crédit agricole, explique comment une chaîne vertueuse s'est mise en place pour guider les propriétaires à travers cette rénovation énergétique très souvent obscure.
Face au réchauffement climatique, on pense d'abord rénovation énergétique pour nos logements. Consommer moins d'énergie, émettre moins de gaz à effet de serre, mais ce n'est pas suffisant. La députée EELV/Nupes, Sandrine Rousseau vient de déposer une proposition de loi pour aussi faire face aux sécheresses récurrentes et au phénomène de retrait-gonflement d'argile qui menacent plus de la moitié des maisons en France.
Danielle Dubrac, la présidente de l'Unis (Union des Syndicats de l'Immobilier) se dit “préoccupée”. La loi Climat et résilience est louable dans son intention, mais son calendrier reste une sérieuse menace pour 7% des logements actuellement loués. Pour éviter une hémorragie dans le parc privé, des aménagements semblent inévitables…
Gilles Frémont préside l'Association nationale des gestionnaires de copropriété (ANGC). Véritable Monsieur Copropriété du secteur de l'immobilier, il tient un discours peu entendu jusqu'à présent : “il faut privilégier l'épargne aux subventions”.
Depuis 2006, le DPE est le sujet qui fait le buzz, qui énerve, qui cristallise… Et on dit même qu'il hystérise le débat. On a entendu presque tout le monde sur le sujet, les experts, les politiques, les syndicats alors on s'est dit pourquoi pas un observateur du métier de diagnostiqueur immobilier.
“La rénovation énergétique fait consensus partout et personne ne s'oppose à ça.” Le président du groupe Guy Hoquet, Stéphane Fritz, se démarque un peu des discours souvent tenus par ses pairs, professionnels de l'immobilier.
L'intention est bonne, c'est dans la mise en œuvre que ça coince. Les échéances de rénovation énergétique fixées à 2025 et 2028 apparaissent bien trop justes. L'UNPI (Union nationale des propriétaires immobiliers) a lancé une pétition en janvier pour dénoncer « un calendrier totalement irréaliste » selon son président, Christophe Demerson.
On n'imagine pas à quel point une mauvaise qualité de l'air intérieur peut jouer sur la santé. Démonstration par l'exemple. Dans ce podcast, Bruno Tudal, conseiller médical en environnement intérieur, évoque le cas d'une fillette en Aquitaine, qui souffrait d'infestations respiratoires à répétition.
Le président du Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE), Christophe Caresche nous rappelle les missions de ce conseil, peu connu du grand public, et pourtant essentiel à la mission de la rénovation énergétique. C'est par lui que passent tous les textes qui sortent du ministère de la Transition écologique.
Une année s'achève, infodiag a voulu vous faire ce petit cadeau en vous emmenant dans les coulisses de nos podcasts. Parce que l'internaute-auditeur n'en a pas forcément conscience, mais derrière ces pastilles de 3, 4, 5 minutes (parfois un peu plus encore), il y a souvent 20, 30, 40 minutes de discussions. Et aussi des loupés, des bugs techniques, des bruits disgracieux, des moments de grande solitude, des rires … Bref, tout ce que vous n'entendez jamais parce que nous avons coupé plus tard au montage. Justement, on a gardé bien au chaud pour en faire un petit making-off. Qui est-ce? On vous laisse deviner. Merci à Pierre Evrard, le Monsieur Rénovation de la Fnaim, Luc Broussy, président de France Silver Eco pour nous parler d'adaptabilité du logement, Frédéric Utzmann, le patron d'Effy, Loïc Hervé, sénateur de Haute-Savoie, Philippe Pelletier, l'inamovible président du Plan Bâtiment durable, Emmanuel Bavoux de GRDF pour vanter les mérites du biogaz, Annie Thébaud-Mony pour parler du scandale de l'amiante, Jean-Marc Torrollion l'ancien boss de la Fnaim, Loïc Cantin, le nouveau boss et on en oublie tellement d'autres...
Les prochaines échéances de la loi Climat et résiliences arrivent à grands pas. Après le gel des loyers en vigueur depuis le 24 aout 2022, l'interdiction de location des logements notés G au DPE est prévue au 1er janvier 2025. Un calendrier difficile à tenir selon Loïc Cantin, président récemment élu à la tête de la Fnaim. Au 1er janvier 2025, pas moins de 600.000 logements risquent d'être interdits à la location si aucuns travaux de rénovation n'ont lieu. S'il souhaite voir à terme un parc immobilier « totalement décarbonné », le président élu de Fnaim semble néanmoins sceptique face aux échéances actuelles. « Il y a un vrai décalage entre le souhait du législateur et la faisabilité du projet d'interdiction des passoires thermiques » selon le président de la Fnaim. Il pointe notamment du doigt le manque de ressources humaines du secteur, mais également un contexte économique qui rendrait ces échéances difficiles à tenir. Comment le secteur du bâtiment pourrait faire face à un tel afflux de rénovations en si peu de temps ? « Aujourd'hui, quand on veut faire un simple ravalement, on a déjà 18 mois d'attente », poursuit Loïc Cantin. « Il va y avoir une espèce d'embouteillage. » Comme cela s'est déjà vu par le passé avec la mise aux normes des ascenseurs : les échéances ont dû être repoussées parce que les ascensoristes n'étaient pas en capacité de répondre à la demande. « La précipitation n'est pas le bon remède. » Loïc Cantin appelle les pouvoirs publics à « un retour à une réalité qui n'est pas celle du ministère du Logement ». La solution passerait selon lui dans un assouplissement le calendrier actuel, pour coller aux ambitions européennes, mais aussi par davantage de pédagogie. Bonne écoute !
Un quart de la population aura plus de 65 ans en 2030, six millions de personnes de 75 ans. Le chantier est colossal, et comme on ne mettra pas tout le monde en maison de retraite (en plus tout le monde ne veut pas), l'adaptation du logement représente, aussi, un enjeu essentiel pour les années à venir. Dix mille personnes de plus de 70 ans meurent chaque année de chute domestique. Le constat est alarmant. Depuis 25 ans, Luc Broussy, président de France Silver Eco, porte le sujet de la dépendance. « Déjà 100 millions d'euros dépensés pour le sujet alors qu'en Grande-Bretagne, on est à 600 millions et le chantier débute en 2008, nous avons 15 ans de retard. » MaPrimeAdapt', la prime de l'État pour permettre aux seniors de plus de 70 ans d'adapter leur logement au vieillissement devrait combler –en partie- le gap en massifiant la politique d'adaptation du logement. La prime ira plus loin que les aides aujourd'hui distribuées par l'Anah, avec moins de conditions restrictives pour que le plus grand nombre puisse en bénéficier. En effet il faut être en perte d'autonomie (GIR – Groupe iso-Ressources de 1 à 6) pour obtenir une aide. « On dit aux gens vous devez vous casser la figure une ou deux fois dans les escaliers pour obtenir une aide ». Son lancement avait d'abord été annoncé pour 2023, ce sera trop tôt. Pour Luc Broussy, « on sera prêt le 1er janvier 2024 ». Le président de France Silver Eco est ressorti confiant de sa réunion en octobre avec Olivier Klein, ministre chargé du Logement. « Nous avons tiré des leçons des erreurs de MaPrimeRénov'. » La future PrimeAdapt' pourra être cumulée avec MaPrimeRénov'. « On doit aller plus loin que la rénovation thermique, on doit aussi penser rénovation et cadre de vie : une maison rénovée avec une boulangerie à 5 km n'a aucun intérêt. » « Ayons une politique massive d'adaptation du logement ! » Bonne écoute !
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Rénover, rénover, on doit sauver la planète. Je veux bien, mais je n'y comprends rien, je n'en ai pas les moyens, et en plus je ne sais à qui faire confiance. Bien avant que l'on parle d'AccompagnateurRénov', Frédéric Utzmann a eu l'idée d'Effy, spéc ialiste de la rénovation énergétique, justement pour accompagner les particuliers dans les méandres de la rénovation. "Trois millions de travaux réalisés en France dans le cadre de la rénovation", "5 millions de visiteurs uniques sur le site d'Effy, 20 millions de visites". La demande est là, les sondages le disent, le répètent, les Français sont prêts. "Malheureusement, beaucoup de projets s'arrêtent en cours de route", constate Frédéric Utzmann président et co-fondateur d'Effy. Non, tous les écueils ne sont pas levés. Le co-fondateur d'Effy évoque ainsi "la difficulté à trouver le bon artisan fiable", "la difficulté de la connaissance autour des travaux de rénovation, le manque de notion technique". La rénovation fait peur, elle peut vite se transformer en "galère" pour le commun des mortels. Oui, c'est ce fameux tiers de confiance dans la rénovation qui fait encore cruellement défaut. Depuis près de quinze ans, Effy y travaille: "On prend votre projet de réno de A à Z", "on trouve le bon artisan", "on joue la garantie Effy en cas de problème". Parcours du combattant Pour lever les freins, et atteindre ce fameux objectif de neutralité carbone (2050, on le rappelle au passage), Frédéric Utzmann plaide une fluidification de la démarche. Car entre l'éco-PTZ, les CEE, MaPrimeRénov', les aides de l'Anah et on en passe, il y a y perdre son latin. "On demande aux pouvoirs publics de simplifier les démarches pour l'obtention des aides." Bien sûr, MaPrimeRénov' était déjà censée apporter cette simplification, mais il faut croire que cela reste encore trop compliqué: en témoigne la récente prise de position de la Défenseure des droits, qui relève quelques sérieux dysfonctionnements dans la prime de transition énergétique. Vérifier les devis, les factures, remplir les dossiers, "c'est quelque chose de compliqué, qui change tout le temps" reconnaît le co-fondateur d'Effy. "Notre objectif est d'accompagner les gens pour leur permettre de réaliser les travaux le plus facilement et le plus sereinement possible." "Aider les gens à réaliser leur projet et à réaliser des économies d'énergie." Bonne écoute !
D'un côté, un calendrier de rénovation terriblement ambitieux. Trop peut-être aux yeux de Pierre Evrard, le Monsieur Rénovation de la Fnaim. Et puis de l'autre, un contexte de crise énergétique forcément anxiogène qui plaide pour une accélération. Mais on ne pourra pas accélérer davantage le calendrier de la rénovation énergétique. « Il y a un souci de temporalité avec la loi Climat et résilience », explique Pierre Evrard. « Pénurie de main d'œuvre, pénurie de bureaux d'études, pénurie des structures d'accompagnement, pénurie de matériaux », l'équation semble difficile. La loi climat et résilience a voulu forcer la rénovation, mais les échéances de 2025 et 2028 arrivent trop rapidement, avec encore trop peu d'aides pour les propriétaires et un casse-tête non résolu à ce jour pour la rénovation des copropriétés. La Fnaim plaide pour un calendrier davantage réaliste, calé sur les ambitions européennes : rénovation des logements G pour 2030, les logements F pour 2033. Puisque la rénovation ne peut se faire à une échéance aussi courte, nous devons au plus vite changer nos comportements « pour passer cette hiver ». « Nous allons être confrontés à des soucis d'approvisionnement, des problèmes de disponibilité énergétique. » RTE et GRT Gaz ont lancé deux applications Ecowatt et Smart GRT Gaz pour nous alerter trois à quatre jours avant une éventuelle coupure… Nous vivons un "basculement", cette crise nous obligera collectivement à consommer différemment… Eh oui pas le choix ! Bonne écoute !
La rénovation énergétique sera le thème le plus marquant pour cette 27e édition du Salon de la Copropriété, de l'Habitat durable et connecté Pourquoi et comment réaliser ses travaux ? Quelles sont les échéances ? Quelles sont les aides, les subventions ? Quels travaux ? Quels outils ? Les plans pluriannuels des travaux ? Comment coordonner les différents corps de métier ? Rendez-vous les 8 et le 9 novembre Paris Expo Porte de Versailles, et vous repartirez armé pour réussir votre rénovation ! Vous pourrez vous y rendre gratuitement grâce à notre partenariat avec le salon ! (code : infodiag) Bonne écoute ! https://copropriete-habitat.com/
La rénovation énergétique, longtemps oubliée ou reléguée au secteur technique est aujourd'hui le sujet de cette rentrée. Branle-bas de combat, la crise énergétique est passée par là, les experts santé de la pandémie ont cédé leur place aux spécialistes de l'énergie ! La rénovation énergétique devient un sujet bankable. Rénovez, rénovez, il faut sauver la planète (et aussi préserver son pouvoir d'achat). Ça coûte cher ? Faut pas vous inquiéter, il existe des aides, des dispositifs d'accompagnement, des éco-PTZ, des MaPrimeRénov', des France Rénov', des certificats d'économie d'énergie (CEE), et on en passe… Une vraie usine à gaz. Thierry Rieser, ingénieur et membre de l'association négaWatt décrit un véritable parcours du combattant où même des professionnels de la rénovation y perdent parfois leur latin quand pour une broutille un dossier est retoqué. Dans ce podcast, on comprend que la question n'est pas technique, mais bien administrative. Il manque encore ce fameux "guichet unique", "une vision globale de la rénovation". Tout au long de l'entretien, l'ingénieur centralien évoque les difficultés à glaner ces précieux subsides pour réussir sa réno. Et pour quels résultats au final ? Thierry Rieser tire à boulets rouges sur le bilan des 650.000 logements rénovés à coups de MaPrimeRénov', « un trompe-l'œil » dénoncé y compris par la Cour des comptes. N'y aurait-il pas mieux à faire avec les milliards d'euros engloutis par le dispositif phare ? La rénovation énergétique sera globale ou ne sera pas !
Dernier volet de notre série dédiée à la qualité de l'air intérieur (QAI). Nadine Dueso, chef de département adjoint sites et sols pollués, au sein de l'Ademe, évoque les actions en cours en matière de qualité de l'air. Deux grands sujets retiennent son attention à l'heure actuelle: le déploiement des zones à faibles émissions mobilité qui concernent désormais toutes les agglomérations de plus de 150.000 habitants, et la politique de réduction des émissions de particules liées au chauffage au bois domestique. L'Ademe accompagne ainsi différents publics, y compris les particuliers avec des fonds air-bois (cumulables avec d'autres aides gouvernementales), pour passer à un chauffage au bois moins polluant, dans un contexte de rénovation globale du logement. Dans ses missions, l'Ademe accompagne également les territoires en contentieux puisque la France est aujourd'hui ciblée par différentes procédures pour non-respect de la qualité de l'air sur certains territoires. L'État a ainsi été condamné pour insuffisance d'actions. Pour autant, Nadine Dueso ne veut pas laisser penser que l'État ne fait rien: "la qualité de l'air s'est beaucoup améliorée depuis trente ans grâce aux politiques mises en place, mais il reste des zones où la situation apparaît plus compliquée". Dans les zones urbaines à forte densité, ou avec une géographie particulière, comme Grenoble situé dans une vallée alpine qui rend difficile l'évacuation des polluants. A l'intérieur comme à l'extérieur, la qualité de l'air apparaît ainsi comme une problématique à mener sur le long terme. "On sait qu'avec les nouvelles valeurs guides de l'Organisation mondiale de la santé, les valeurs actuelles qui posent déjà problème, risquent d'être encore plus sévères et de donner davantage de populations exposées au-delà des seuils. Nous devons agir pour que tout le monde respire un air sain. "
Voici notre petite série purement dédiée à la qualité de l'air ! Tout commence par une rencontre avec Bruno Tudal, co-auteur du livre la Qualité de l'air pour les nuls, et spécialiste des pathologies qualité de l'air intérieur. Une invitation à l'assemblée générale Fimea (Fédération interprofessionnelle des métiers de l'environnement atmosphérique), un sujet la qualité de l'air. À suivre au cours des prochains jours, plusieurs épisodes autour de cette question : La qualité d'air intérieur et extérieur ? Pourquoi ce n'est pas un sujet national ? Combien coute la qualité de l'air ? Comment avoir une bonne qualité chez soi ? Rénovation énergétique et qualité de l'air ? Épisode 2 : Rencontre avec Loïc Hervé, sénateur de Haute-Savoie
Voici notre petite série de l'été la qualité de l'air ! Tout commence par une rencontre avec Bruno Tudal co-auteur de la qualité de l'air pour les nuls et spécialiste des pathologies qualité de l'air intérieur – Une invitation à l'assemblée général FIMEA. Un sujet la qualité de l'air. Plusieurs épisodes autour de ses questions : La qualité d'air intérieur et extérieur ? Pourquoi ce n'est pas un sujet national ? Combien coute la qualité de l'air ? Comment avoir une bonne qualité chez soi ? Rénovation énergétique et qualité de l'air ? Épisode 1 : Le président de FIMEA Etienne De Vanssay
Philippe Pelletier, avocat de métier, ancien président de l'Anah (Agence nationale de l'habitat) est l'inamovible président du Plan Bâtiment Durable, depuis 2009. Les gouvernements défilent, lui reste. Philippe Pelletier avait été chargé en 2009, par Jean-Louis Borloo ministre de l'Ecologie de l'époque, de réfléchir à la rénovation énergétique, et de fédérer les différents acteurs. Treize ans plus tard, le président du Plan bâtiment durable reste optimiste : oui la rénovation n'avance sans doute pas au rythme que l'on aimerait, mais au moins est-elle désormais solidement ancrée dans les esprits. Vouloir n'est pas pouvoir. « Du côté de la demande, l'envie est là, mais du côté de l'offre de services, il y a encore des progrès à faire. » Pour Philippe Pelletier, les professionnels du bâtiment manquent à peu près de tout : de moyens, de formation sur les nouveaux matériaux, de main d'œuvre… Et sans compter la terrible inflation des coûts des matières premières qui complique un peu plus encore l'énorme chantier de rénovation énergétique. Mais, on l'a dit, le président du Plan bâtiment durable est un indéfectible optimiste : « je suis tout à fait convaincu, on réussira ce défi, mais il ne faut pas rêver, il faut se laisser du temps ». La rénovation énergétique ne réussira « que si nous embarquons tout le monde dans le train du progrès » avec « un programme de rénovation pour tous ». Philippe Pelletier rejette l'idée d'une rénovation à plusieurs vitesses qui profiterait uniquement à ceux qui ont les moyens de rénover leur chez soi. Parmi les enjeux, l'accompagnement financier et technique, pour les plus fragiles, mais aussi pour les autres populations parfois perdues face à la complexité d'une rénovation dans leur logement. Car on ne parle plus seulement de changer sa chaudière ou d'isoler ses combles, le Plan bâtiment durable plaide pour une rénovation globale permettant d'atteindre un niveau BBC dans le logement. Pas d'autre alternative, si l'on veut faire reculer véritablement la précarité énergétique, « maîtriser nos émissions de gaz à effet de serre et réduire notre consommation d'énergies fossiles ». Et si on essayait de voir plus loin encore ? Cette rénovation globale ne doit pas être seulement énergétique, Philippe Pelletier invite à se montrer plus ambitieux. « Le moment est sans doute venu pour que la rénovation énergétique prenne place dans une rénovation plus globale, plus ample, plus environnementale en d'autres termes. On a attaqué le sujet avec l'idée de réduire la consommation d'énergie dans le logement. Nous devons continuer à travailler dessus, mais en l'insérant désormais dans un ensemble de préoccupations plus vaste qui touche notamment à la santé des gens. » La rénovation est peut-être aussi l'opportunité de se débarrasser de l'amiante ou du plomb, d'adapter le logement au vieillissement de la population. Bonne écoute,
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Non, les agents immobiliers ne sont pas opposés à la rénovation. Seulement, ils réclament davantage de réalisme, davantage de moyens. L'influent ancien patron d'Orpi, Bernard Cadeau remet les pendules à l'heure. Le gouvernement se targue de réaliser aujourd'hui 700.000 rénovations par an. Le rythme est bon, continuons et dans cinq ans, toutes les passoires thermiques auront disparu dans l'hexagone… Non, le rythme n'est pas bon, explique Bernard Cadeau. « Selon les estimations nous sommes entre 6 à 8 millions de passoires thermiques. » 700.000 rénovations qui se résument souvent au changement d'une chaudière, « c'est mieux que rien, mais on est loin de l'objectif global ». Pour se faire une idée, « le ticket moyen pour MaPrimeRénov' se situe aux alentours de 5.000 euros, quand le coût de la rénovation est estimé entre 40.000 et 50.000 euros par logement. » Moralité, si le gouvernement veut réellement approcher des 700.000 rénovations, il faudra mettre les moyens. Justement, dans le monde immobilier on a aussi quelques idées. Bernard Cadeau propose ainsi « une sorte de viager hypothécaire ». Pour faire simple, la collectivité publique prendrait en charge « ce fameux reste à charge » qui freine encore les ménages. De quoi doper la rénovation, avec en contrepartie, la collectivité qui récupérerait son investissement au moment de la mutation. « Combien cela coûte de ne pas réaliser la rénovation énergétique ? » Dans le débat sur le pouvoir d'achat, la rénovation énergétique prend toute sa place. Hélas, le logement reste un sujet technique pour les gouvernements quand il s'agit d'un sujet sociétal. En témoigne l'absence de ce thème tout au long de la campagne présidentielle, ou même l'absence d'un grand ministère dédié au logement. Bonne écoute !
Le 29 juin 2022, infodiag était présent à la conférence de presse de la Fnaim ! Lors de son point de conjoncture semestriel, la fédération a de nouveau appelé à davantage de réalisme et à la nécessité de revoir le calendrier pour éviter que cette rénovation ne se transforme en bombe à retardement.
"Je me présente, Serge Jullineau. Pour ceux qui me connaissent, pas besoin de dessin. Pour qui ont déjà entendu parler de moi ou qui ne me connaissent pas, je suis un spécialiste et pionnier de l'amiante. Je suis âgé de 80 ans bientôt et je constate jour après jour, la lente dérive de la profession de diagnostiqueur. Dois-je rappeler tout d'abord ce que veut dire le vocable « diagnostic » ? À partir, d'un malaise, d'un défaut, d'une anomalie, d'une maladie… on effectue une recherche de la cause, par des tests, des réflexions, de la compréhension, de l'analyse du problème rencontré. Après en avoir compris la présence, l'ouvrage est diagnostiqué, dans son état, sa dégradation et l'on établit une urgence d'intervention, soit observation, soit action par des procédures adaptées aux problèmes rencontrés. L'amiante est comme une source de cancer, il agit sournoisement, lentement mais sûrement, pour vous anéantir. Il en est de même des autres polluants particulaires. Ce qui veut dire, mes chers collègues, que toute déviance, tout manquement par omission ou ignorance, toute négligence de votre part sur un diagnostic imparfait, dans le cas de travaux ou de démolition, peut faire de vous un complice passif d'une non-assistance à personne en danger, voire de meurtre sans préméditation. J'entends d'ici les petits malins s'insurger et d'arguer pour leur défense que leur recherche s'est bornée à la liste des matériaux fournie dans les textes gouvernementaux. Oui, une petite centaine sur les quelques 4.000 produits comportant de l'amiante. Cherchez l'erreur ! Celles et ceux qui se définissent comme spécialistes, sont des sachants, qui connaissent parfaitement tous les pièges de ce « magic minéral ». Sachez donc qu'aucun « gouvernant » ne prendra votre défense ; ils entérinent seulement ce que vous leur aviez dit. De fait vous vous trouverez dans la peau d'un assassin, même à l'insu de votre plein gré, et donc condamnable. Accompagnés de quelques anciens, femmes et hommes de bonne volonté, nous avons décidé de créer l'Académie du diagnostic afin de mettre nos savoir à la disposition de ceux qui veulent progresser dans ce domaine sous différentes formes d'action. Définition consensuelles des items ; notions, processus, en vue d'une réforme des textes. Réforme de la formation initiale et continue, y compris de la qualification des formateurs. Introduction d'un statut de tutorat. Redéfinition de la mission du diagnostiqueur. Assistance des Parties civiles dans les grands procès. Conseils et assistance à tous nos membres. Pour ne citer que les principaux. Nous nous donnons six mois pour réunir les co-fondateurs au sein d'un groupe de travail lancé par Réso A+ suite à l'AG 2022. Notre premier rendez-vous officiel, ce sera le 22 novembre 2022, sur le Salon des Maires et des Collectivités, Porte de Versailles à Paris." Pour tout contact et demande de renseignement, écrire à Academie.du.diag[at]resoAplus.fr
Dans le scandale de l'amiante, son nom revient souvent. Sans doute parce qu'elle aura incarné le meilleur espoir d'un procès pénal. Marie-Odile Bertella-Geffroy a été la juge d'instruction au pôle de santé publique du Tribunal de Grande Instance de Paris. Dix ans pendant lesquels elle a instruit les emblématiques dossiers de l'amiante. Rencontre avec l'ex-magistrate aujourd'hui devenue avocate. Jussieu, Condé-sur-Noireau, Eternit… Marie-Odile Bertella-Geffroy évoque des dossiers d'amiante très lourds. Tous regroupés au sein du pôle de santé publique du TGI de Paris. La magistrate les instruira durant dix ans, jusqu'à être déchargée de ses fonctions. Limogeage en bonne et due forme, ou application de la règle limitant à dix ans les fonctions d'un juge spécialisé ? L'ex-juge a forcément son idée. Comme d'autres, Marie-Odile Bertella-Geffroy dénonce une sourde opposition à faire émerger un procès pénal de l'amiante, à rechercher des responsabilités : pourquoi a-t-on continué à commercialiser et utiliser l'amiante aussi longtemps malgré ses dangers connus et reconnus ? Si l'émergence d'un pôle de santé publique inspiré du pôle financier a sans doute été source d'espoirs, ceux-ci auront été bien vite balayés à force de bâtons dans les roues. « J'ai eu des ennuis à partir du moment où j'ai voulu joindre tous les dossiers amiante, se souvient-elle. La chambre d'instruction y était très hostile. » L'ex-juge regrette l'absence de moyens accordés, l'absence d'une volonté politique aussi. « Il ne faut pas aller chercher les politiques, Madame Aubry n'a pas aimé », sourit-elle, faisant référence à la mise en examen de la maire de Lille qui, comme toutes les autres mises en examen, sera annulée deux ans plus tard. « A partir du moment où je me suis attaquée au politique, ça ne marchait plus. » Déchargée de ses fonctions contre son gré, Marie-Odile Bertella Geffroy a finalement laissé de côté la magistrature « faute d'indépendance de la justice », pour rejoindre le barreau. « (La justice) n'est pas un troisième pouvoir, c'est une autorité. » En témoigne l'affaire de l'amiante.
Affaire de l'amiante : « depuis 25 ans, le Parquet n'a cessé de mettre des bâtons dans les roues » Plus de 25 ans maintenant que Me Michel Ledoux accompagne les victimes de l'amiante, et se bat pour que, enfin, un procès pénal voit le jour en France. Référence en la matière, le cabinet Ledoux et associés joue un rôle majeur dans l'évolution de la jurisprudence en matière de santé et sécurité au travail. On ne compte plus les rebondissements dans cette affaire de l'amiante. Eternit, Condé-sur-Noireau, autant dossiers emblématiques suivis par Michel Ledoux depuis 25 ans. Le feuilleton n'est pas fini, un arrêt est encore attendu pour octobre dans l'affaire Eternit. Juste pour savoir si les dossiers méritent encore d'être instruits… Malgré tout ce temps, ce grand procès pénal de l'amiante, hautement symbolique, demeure au point mort. Toujours à l'instruction. Au lieu de soutenir les plaintes des victimes, comme en Italie, « depuis 25 ans, le Parquet n'a cessé de mettre des bâtons dans les roues ». « A la chancellerie ou au ministère de la justice, on nous dit que l'affaire de l'amiante n'est pas une affaire pénale. » Comment l'amiante a profité à la santé au travail Paradoxe, si aucun procès pénal n'a vu le jour, les victimes de l'amiante ont considérablement fait avancer la santé au travail. « Les affaires de santé au travail, pendant des décennies, n'étaient pas des vrais sujets, des sujets de délinquance. Elles étaient plutôt considérées comme des affaires civiles prises en charge au titre des accidents du travail et éventuellement des maladies professionnelles. Des dommages et intérêts étaient versés aux victimes mais en aucune manière il ne s'agissait d'actes de délinquance. » Pendant des décennies, en cas d'accident du travail, « le chef d'entreprise était perçu comme un malchanceux ». « Or, dans certaines situations, il s'agit bien d'actes de délinquance. » La jurisprudence et la réglementation ont bien évolué depuis, elles se sont « un peu » durci pour les employeurs. « Grâce à l'affaire de l'amiante. » Me Michel Ledoux revient sur ce long feuilleton judiciaire, comment la santé au travail a profité du scandale de l'amiante, comment ce procès pénal tant attendu des victimes s'est peu à peu enlisé. Des premières plaintes déposées en 1996 à 2005, la création du pôle de santé publique judiciaire à Paris dirigé par la juge d'instruction Madame Bertella-Geffroy (notre prochain podcast). « À ce moment-là, ça a commencé à bouger, se souvient Me Michel Ledoux. Elle a procédé à un certain nombre de mises en examen, les entreprises, le système de veille sanitaire (le ministère du Travail et de la santé et de l'industrie en autres) qui n'avaient pas réagi en temps et en heure et qui n'avait pas réglementé l'amiante. » Avec, en ligne de mire, toujours, le fameux CPA, ce Comité permanent amiante composé de scientifiques, d'industriel et de médecins qui pendant des décennies ont dit et répété que l'amiante n'était pas un problème… L'amiante reste pourtant bel et bien un problème, aujourd'hui, et sans doute pour longtemps encore. L'intégralité de cet entretien est à retoruver prochainement dans notre magazine hors-série à paraitre prochainement
La SOCAF délivre aux professionnels de l'immobilier la garantie financière obligatoire à l'exercice de leur activité.