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Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Seconde partie du reportage sur la grande mobilisation contre le méga canal du Samedi 11 octobre 2025 à Longeuil-Annel – Oise. Le méga canal Seine Nord Europe :Méga scandales écocidaire et financier :On vous en a déjà parlé dans ces émissions. Photo : Visite surprise de l'un des chantiers de la méga-horreur. Seulement 8 Milliards d'euros ?Selon Méga Canal Non Merci, la … Continuer la lecture de « Manif Méga Canal – 10 milliards au canal ! Rien à l’hôpital ! » Cet article Manif Méga Canal – 10 milliards au canal ! Rien à l’hôpital ! est apparu en premier sur Polémix et la Voix Off.
Écoutez Michèle Boisvert commenter les résultats financiers de Nvidia au micro de Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Pour en savoir plus sur helloDarwin : https://go.hellodarwin.com/hypercroissance?utm_source=helloDarwin&utm_medium=podcast&utm_campaign=grants-hypercroissanceJeff Bezos relance la guerre de l'intelligence artificielle avec un investissement colossal de 6,2 milliards de dollars dans Prometheus. Dans cet épisode d'Hypercroissance, Antoine Gagné et Jonathan Léveillé analysent le retour spectaculaire d'un des dirigeants les plus influents de notre époque et les conséquences majeures pour les entrepreneurs au Canada.Nous explorons :✅ Pourquoi Jeff Bezos revient aux opérations à 61 ans✅ La stratégie derrière Prometheus et l'IA appliquée au monde physique⚡ La bataille technologique entre Amazon, Tesla et les géants de l'IA
Pour la troisième année consécutive, Bercy a surévalué les recettes de TVA. Une erreur qui devrait peser au moins 5 milliards d'euros dans les comptes publics et qui peut s'expliquer par plusieurs écueils.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:24 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Mercredi 19 novembre, l'Ukraine a demandé un remboursement à la Russie en raison des dommages écologiques causés par la guerre lors de la COP 30 à Belém. En près de quatre ans, la Russie en a émis près de 300 millions de tonnes de CO2 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:24 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Mercredi 19 novembre, l'Ukraine a demandé un remboursement à la Russie en raison des dommages écologiques causés par la guerre lors de la COP 30 à Belém. En près de quatre ans, la Russie en a émis près de 300 millions de tonnes de CO2 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:24 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Mercredi 19 novembre, l'Ukraine a demandé un remboursement à la Russie en raison des dommages écologiques causés par la guerre lors de la COP 30 à Belém. En près de quatre ans, la Russie en a émis près de 300 millions de tonnes de CO2. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les matins à 8h17, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Avec : Frédéric Hermel, journaliste RM. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Benjamin Amar, prof d'histoire-géo. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
La première recette de l'État s'évapore mystérieusement. Alors que la consommation résiste et que l'impôt sur les sociétés rapporte davantage que prévu, les recettes de TVA, elles, manquent dangereusement à l'appel : entre 5 et 10 milliards d'euros selon certaines estimations. Une « situation préoccupante », reconnaît la ministre des Comptes publics, qui interroge autant les méthodes de prévision de Bercy que d'éventuelles fraudes, notamment sur les importations. Les explications de Marc Vignaud, journaliste à L'Opinion. Ecorama du 18 novembre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
1) Rencontre entre Trump et Mohammed Ben Salman2) Plan de paix américain à Gaza entériné par le Conseil de Sécurité3) Rencontre Macron-Merz sur la souveraineté numérique en Europe4) Ébauche d'entente à la COP30 Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pour beaucoup, elle n'est qu'une simple star de la télé-réalité américaine, une vision assez réductrice au vu du business qu'elle a su établir. David Barroux revient sur le succès phénoménal de la femme d'affaires. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 17 novembre 2025 - Budget : une erreur de calcul à 10 milliards ?Alors que les discussions autour du budget se poursuivent à l'Assemblée, les recettes fiscales de 2025 inquiètent le gouvernement. La raison : la baisse des recettes de la TVA. Selon les prévisions du projet de loi de finances, la taxe sur la valeur ajoutée devrait rapporter 210 milliards d'euros au fisc. Mais les recettes sont inférieures aux prévisions. La différence n'est pas encore connue, mais se chiffre en milliards d'euros. Le trou total pourrait être de « 10 milliards » selon le président de la Commission des finances, Éric Coquerel.Inquiet de la situation, le gouvernement a lancé une mission d'urgence pour comprendre les raisons de cette baisse. Selon Bercy, un problème de fraude pourrait en être la cause, ciblant notamment la sous-déclaration des petits colis importés.Afin de combler le déficit, les députés ont adopté un amendement instaurant un « impôt universel » sur les multinationales. Une mesure qui pourrait rapporter 26 milliards d'euros, mais qui risque d'être retoquée par des directives européennes.En parallèle, s'est ouvert ce lundi le sommet Choose France, consacré aux seules entreprises françaises. Le ministre de l'Économie, Roland Lescure, a annoncé 30,4 milliards d'euros d'investissements en 2025. Des annonces qui surviennent sur fond de multiplication des plans sociaux.Depuis les élections européennes de juin 2024, la CGT a recensé 444 plans sociaux en France. Invité sur le plateau de C dans l'air, Emmanuel Duteil, du média L'Usine Nouvelle, rappelait que 108 sites de production avaient fermé ou étaient menacés depuis le début de l'année.Parmi eux, le groupe sidérurgique Novasco, dont l'avenir se joue ce lundi. Le gouvernement vient d'annoncer qu'il allait saisir les tribunaux contre le britannique Greybull, repreneur en 2024 de l'aciérie. « Le repreneur s'était engagé à investir 90 millions d'euros. Un an plus tard, ils n'ont investi que 1,5 million d'euros. Le compte n'y est pas. On sera intraitable, on sera aux côtés des salariés », a assuré le ministre de l'Économie, Roland Lescure, sur TF1.Sur le plan politique, la course aux élections municipales est lancée. Alors que la gauche est partie pour se présenter divisée en 2027, dans certaines communes comme à Agen, elle part unie — du PS à LFI en passant par les Écologistes — pour le scrutin des municipales en mars prochain.Nos experts : - Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Elisa BERTHOLOMEY- Cheffe Adjointe du service politique- Politico - Mathieu PLANE - Économiste - OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques
C dans l'air du 17 novembre 2025 - Budget : une erreur de calcul à 10 milliards ?Nos experts : - Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Elisa BERTHOLOMEY- Cheffe Adjointe du service politique- Politico - Mathieu PLANE - Économiste - OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques
Tous les matins à 8h17, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Le gouvernement organise ce lundi la première édition de Choose France – Édition France, un sommet dédié cette fois… aux entreprises françaises avec, à la clé, 30 milliards d'euros d'investissements sur 151 projets dans l'Hexagone. Objectif : rassurer un patronat inquiet des hausses d'impôts, alors que la réindustrialisation marque le pas.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Jean-Loup Bonnamy et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Selon des révélations de l'agence Reuters, Meta tirerait une part considérable de ses revenus de publicités frauduleuses – arnaques financières, casinos illégaux ou produits interdits. Des documents internes montrent que le groupe assume ce modèle économique et anticipe même le coût des sanctions qui en découle. Selon nos confrères de Reuters, Meta - le groupe qui détient les réseaux sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp - gagnerait chaque année des milliards de dollars grâce aux publicités frauduleuses. Arnaques, casinos illégaux, produits interdits, ces annonces, dont les utilisateurs sont régulièrement exposés, font partie d'une économie bien réelle. En vous connectant récemment sur votre compte Facebook, vous êtes sans doute tombés sur des publicités promettant un enrichissement rapide, de fausses interviews de célébrités ou des produits miracles pour maigrir. Ces contenus sont payés par ceux qui les conçoivent pour apparaître sur les écrans des utilisateurs. Selon Reuters, 10 % du chiffre d'affaires 2024 de Meta, soit près de 16 milliards de dollars, proviendraient de ces publicités douteuses. Et ce qui surprend, c'est que cela fait pleinement partie du business model (« modèle d'entreprise », en anglais) du groupe. Meta assume le risque et fait payer davantage les annonceurs suspects Les documents internes montrent que Meta a parfaitement conscience de ce modèle. L'entreprise anticipe même le risque judiciaire. Elle s'attend à un milliard de dollars d'amendes, un montant qu'elle juge acceptable au regard des revenus générés. Autrement dit, mieux vaut payer pour les sanctions que perdre des parts de marché. Et malgré l'existence d'un système de modération, celui-ci atteint vite ses limites. Un annonceur n'est bloqué que si les algorithmes estiment à 95 % qu'il commet une fraude. En dessous de ce seuil, Meta ne suspend pas le compte. Elle lui fait payer plus cher ses publicités. C'est ce que le groupe décrit comme une « pénalité économique ». Les annonceurs suspects paient davantage, mais leurs messages continuent de circuler. Les algorithmes, eux, aggravent encore le phénomène. Les publicités étant personnalisées, un seul clic sur une annonce douteuse suffit à en générer d'autres dans les heures et jours suivants. L'algorithme amplifie donc la fraude… et chaque clic reste rentable pour Meta. Victimes, annonceurs et confiance fragilisés D'abord pour les victimes, qui perdent parfois des sommes importantes. Pour les annonceurs honnêtes, qui subissent une concurrence déloyale dans les enchères publicitaires. Et surtout pour les utilisateurs, dont la confiance s'érode : à force de croiser de fausses publicités, beaucoup finissent par se méfier même des marques légitimes. Au-delà de Meta, cette affaire pose une question de fond : comment réguler un marché publicitaire mondial où les plateformes sont juges et parties ? Elles hébergent, diffusent et profitent parfois des fraudes qu'elles prétendent combattre. Avec plus de trois milliards d'utilisateurs, 120 milliards de dollars de chiffre d'affaires et un pouvoir colossal sur la publicité mondiale, Meta occupe une place centrale dans cet écosystème. En réalité, cette affaire interroge la soutenabilité du modèle publicitaire numérique : tant que la fraude rapportera plus qu'elle ne coûte, les géants du numérique auront peu d'intérêt à l'éradiquer. Et dans cette équation, la régulation mondiale semble encore loin derrière l'innovation. À lire aussiLe groupe Meta met fin aux publicités politiques dans l'Union européenne
Antoine et Hugues nous font le bilan des ventes automobile de l'année et reviennent sur l'annonce surprenante qui été fait par Telsa. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:05:30 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La presse et des experts financiers s'inquiètent de la capacité des géants de la tech à absorber les coûts colossaux de la course à l'IA avec le développement de centres de données - gourmands en eau -, de puces électroniques et de partenariats au montant vertigineux.
C'est une enquête qui secoue le monde de la publicité en ligne. Selon des documents internes obtenus par l'agence Reuters, Meta, la maison mère de Facebook et d'Instagram, aurait tiré en 2024 près de 16 milliards de dollars de revenus issus de publicités liées à des arnaques ou à des produits interdits. Une somme colossale, représentant environ 10 % de son chiffre d'affaires annuel, estimé cette année-là à 164,5 milliards de dollars.D'après ces révélations, Meta dispose bien d'un système interne capable de repérer les campagnes suspectes, mais le seuil pour qu'une annonce soit réellement bloquée est extrêmement élevé. Les algorithmes du groupe n'interdisent un annonceur que lorsqu'ils atteignent 95 % de certitude qu'il s'agit d'une fraude. Un taux de tolérance qui laisse forcément le champ libre à de nombreux escrocs. Et lorsqu'un annonceur n'atteint pas ce seuil, Meta applique une mesure baptisée “penalty bids” : l'entreprise augmente le prix de ses espaces publicitaires pour ces comptes jugés à risque. Si les annonceurs acceptent de payer plus cher, la plateforme encaisse les revenus supplémentaires — une méthode qui, de fait, monétise le risque plutôt que de l'éliminer. Pire encore, le système de recommandation publicitaire continue à diffuser des annonces similaires auprès des utilisateurs ayant déjà interagi avec une publicité frauduleuse. Autrement dit : plus une arnaque circule, plus elle rapporte.Selon un rapport interne daté de décembre 2024, les plateformes de Meta auraient diffusé en moyenne 15 milliards de publicités “à haut risque” chaque jour. Parmi elles, les plus suspectes — qualifiées de “higher-risk ads” — auraient généré à elles seules près de 7 milliards de dollars de revenus annualisés. L'enquête de Reuters, couvrant la période 2021-2025, montre aussi une application particulièrement laxiste des règles internes. Un petit annonceur doit être signalé au moins huit fois avant d'être bloqué, tandis que les gros comptes — les High Value Accounts — peuvent cumuler plus de 500 infractions sans suspension. Interrogé par Reuters, Andy Stone, porte-parole de Meta, parle d'une “vision sélective” et d'une interprétation “trop large” des chiffres. Il affirme que la société a supprimé 134 millions de publicités frauduleuses en 2025 et que les signalements d'utilisateurs ont chuté de 58 % en un an et demi. Mais pour Reuters, la conclusion est claire : malgré ses promesses, Meta reste structurellement dépendante d'un modèle où la fraude fait partie du profit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 10h, ce mardi 11 novembre 2025, les GG : Bruno Poncet, cheminot, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent du sujet du jour : "Des milliards pour le pays", faut-il régulariser les sans-papiers ?
Au programme :Tesla va-t-elle vraiment payer 1000 milliards à Elon Musk?Amazon lance la guerre contre les navigateurs agentiquesGoogle donne à Epic tout ce qu'ils voulaient sur AndroidLe reste de l'actualité : news et rumeursInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok).Co-animé par Cédric Ingrand (Twitter et Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel BejaLe Rendez-vous Tech épisode épisode 640 – Elon Musk va-t-il vraiment toucher 100 milliards de salaire?---Liens :
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:52 - L'Éco en VO - "Nous allons devenir la capitale la plus verte d'Europe" : les députés berlinois ont voté un texte de loi imposant la plantation de 700000 arbres à l'horizon 2040, l'installation d'une centaine de petits parcs et la création d'un millier d'îlots de fraîcheur d'au moins 30 mètres carrés. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce vendredi 7 novembre, le budget dédié à la Sécurité sociale discuté à l'Assemblée nationale, et le deal fiscal de 250 milliards proposé par Édouard Philippe, ont été abordés par Guillaume Poitrinal, fondateur de WO2, promoteur immobilier bas carbone, Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos, et Thomas Grjebine, responsable du programme macroéconomie et finance internationale au CEPII, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La Commission européenne veut relier toutes les capitales du continent d'ici 2040 grâce à un vaste réseau ferroviaire à grande vitesse. Un projet colossal estimé à plus de 500 milliards d'euros, pensé comme une alternative écologique et stratégique à l'avion. Mais sa concrétisation s'annonce semée d'obstacles. Petit-déjeuner à Copenhague, déjeuner à Paris, puis dîner à Barcelone : c'est le rêve que nourrit Bruxelles avec son nouveau plan ferroviaire. La Commission européenne a dévoilé cette semaine un projet d'envergure visant à créer, d'ici 2040, un réseau à grande vitesse reliant toutes les capitales européennes. L'objectif : changer durablement la manière de voyager sur le continent. Le plan prévoit une réduction drastique des temps de trajet. Berlin - Copenhague passerait de 7 à 4 heures, Sofia - Athènes de 13h40 à 6 heures, et une liaison directe Paris - Lisbonne via Madrid deviendrait enfin possible. Derrière ces chiffres, une ambition, faire du train une alternative crédible à l'avion, notamment sur les distances inférieures à 1 000 kilomètres. À lire aussiLe rail européen à l'heure de la concurrence Un levier écologique et économique pour l'Union européenne Pour la Commission, le train est une pièce maîtresse de la transition écologique. Le secteur des transports représente près d'un quart des émissions européennes de CO2, et l'aviation court-courrier reste difficile à décarboner. Le TGV, lui, émet jusqu'à 20 fois moins de CO2 par passager-kilomètre qu'un vol domestique. Encore faut-il que l'électricité soit verte et que les trains soient bien remplis. Mais le projet dépasse la seule question environnementale. Il s'agit aussi de renforcer la compétitivité européenne et de fluidifier les échanges économiques sur le continent. Aujourd'hui, le réseau ferroviaire européen compte environ 12 000 kilomètres de lignes à grande vitesse, concentrées dans quatre pays : la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. L'Europe centrale et orientale reste, elle, largement à la traîne. Pour combler ces écarts, Bruxelles prévoit 500 milliards d'euros d'investissements afin de tripler la taille du réseau, harmoniser les règles, simplifier la billetterie et ouvrir le marché à la concurrence. L'idée : faire baisser les prix et stimuler l'offre ferroviaire. À lire aussiQuel avenir pour le train à grande vitesse en Afrique? Entre ambitions et réalités : un chantier colossal à risque Sur le papier, l'initiative est séduisante. Mais les obstacles sont nombreux : infrastructures vieillissantes, financements incertains et volontés politiques inégales selon les États membres. Certains gouvernements peinent déjà à entretenir leur réseau existant et ne font pas de la grande vitesse une priorité. Pour le secteur ferroviaire, cette relance représente pourtant une opportunité industrielle majeure. Les grands constructeurs européens – Alstom, Siemens, Talgo ou CAF – pourraient en bénéficier. Les voyageurs, eux, espèrent surtout des réservations simplifiées et des correspondances fluides. Derrière ce plan se cache aussi une évolution des mentalités. De plus en plus d'Européens souhaitent voyager de manière plus durable. Et entre deux villes reliées en moins de trois heures, le train bat l'avion à plates coutures : la ligne Paris -Londres, par exemple, a conquis 80% du marché dès que le trajet est passé sous les 2h20. Reste que l'Europe accuse un sérieux retard face à la Chine ou au Japon, où les trains filent déjà à 350 km/h. L'Union, elle, plafonne à 200–250 km/h et avance à un rythme bien plus lent. Car si le train européen promet la grande vitesse, les projets, eux, progressent toujours à vitesse réduite.
Mille milliards de dollars: c'est la rémunération faramineuse prévue pour le PDG de Tesla, Elon Musk, sur une période de 10 ans. Ce plan, qui représente environ 140 milliards de dollars canadiens par année en moyenne, a soulevé de vifs débats parmi les actionnaires de la compagnie qui l'ont finalement approuvé jeudi à Austin au Texas. Pour toucher cette somme, l'homme le plus riche du monde devra toutefois atteindre des objectifs de performance «très ambitieux».Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente la tentation de ne pas payer son passage dans le métro, alors que la grève de la STM continue d’entraver les services. Les médias de Québecor ont révélé que de nombreux usagers prennent le métro sans payer leur passage. Selon leurs observations, au moins 40 personnes ont passé les tourniquets ainsi en une heure à la station Préfontaire.Et la grève est loin d'être terminée. Les chauffeurs d'autobus ont l'intention de débrayer les 15 et 16 novembre, malgré l'appel de la nouvelle mairesse de Montréal, Soraya Martinez Ferrada. Le transport en commun pourrait, encore une fois, être complètement paralysé durant une fin de semaine. Autres sujets abordés Est-ce que Québec va baisser la taxe sur l’essence? Pression su les produceurs maraîcher du Québec par les détaillants en alimentation; Promotion de carottes chinoises chez Supern C en pleine saison de récolte au Québec; Fonds Vert: risque que l'argent soit détourné de son objectif environnemental; L'homme d'affaires François Lambert donne son image à l'IA pour des fins marketing, mais rencontre des problèmes d'utilisation détournée; De faux journaux utilisent des journalistes virtuels et du contenu piraté; Elon Musk pourrait devenir la première personne à posséder 1000 milliards de dollars. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Les constructeurs de véhicules électriques cherchent de la stabilité. Elon Musk reçoit mille milliards ! Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'essentiel des nouvelles le 7 novembre 2025 --- Ouvrez un compte d'investissement en ligne avec transactions gratuites et remis en argent sur vos premiers dépôts: https://ibref.ca/Qtrade-promo ---Le gouvernement fédéral a survécu à un premier vote de confiance sur le budgetLes détaillants veulent qu'Ottawa serre la vis à Shein et TemuLe gouvernement Legault a choisi d'abaisser sa cible annuelle d'immigration permanente L'industrie de la construction veut attirer les travailleurs touchés par des licenciements collectifs La baisse des taux d'intérêt fait grimper les prix des maisons au QuébecAu Brésil, la Cop30 s'ouvre sur un constat d'échec La présidente du Mexique encourage les femmes à dénoncer leurs agresseurs La Chine pourrait gagner la course de l'intelligence artificielleElon Musk va recevoir une rémunération qui pourrait être colossale--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir chaque jour InfoBref Matin, la version écrite de ce bulletin audio, et chaque mois InfoBref Votre argent): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un véritable branle-bas de combat a été déclenché pour protéger le ciel belge après le survol de plusieurs drones ces derniers jours. Un Conseil national de sécurité se réunit aujourd'hui. Et la situation sécuritaire vient perturber l'agenda politique. Les négociations budgétaires sont toujours dans l'impasse. Le Premier ministre Bart de Wever se rendra chez le Roi dans la journée, après le Conseil national de sécurité. Mais il est peu probable qu'il en ressorte démissionnaire. Les actionnaires de Tesla doivent voter sur un plan de rémunération astronomique pour Elon Musk. 1000 milliards de dollars! Mais les objectifs à dix ans sont à la hauteur du package. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Retrouvez Mélanie, Julien (dit le Tabzar) et Ginger dans ce deuxième épisode de "Des pages et des paillettes" pour débriefer ensemble du roman Pour quelques milliards et une roupie de Vikas Swarup.Pour le prochain épisode qui sera en ligne le 3 décembre, nous vous proposons la lecture de Robe de marié de Pierre Lemaitre.Merci pour vos nombreuses critiques reçues en MP sur le compte instagram @radiopaillettesoff
Ce lundi 3 novembre, Frédéric Simottel a reçu Bruno Guglielminetti, journaliste et animateur de "Mon Carnet de l'actualité numérique", Lucas Perraudin, fondateur de AI Partners et ancien directeur de Meta Reality Labs, et Philippe Dewost, fondateur de Phileos, cofondateur de Wanadoo et ancien directeur général de l'EPITA. Ils se sont penchés sur le contrat de 38 milliards de dollars d'OpenAI avec AWS pour entraîner ses IA, ainsi que le relancement du nouveau Siri avec Google et Gemini, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Les géants du numérique accélèrent encore dans la course à l'intelligence artificielle. Meta, Google et Microsoft investissent des sommes vertigineuses pour dominer le futur de l'IA. Et aussi : Macron et les réseaux sociaux, le nouveau robot Neo, IA et fausses vacances. Avec Bruno Guglielminetti (Mon Carnet) L'IA, un gouffre financier… et une arme stratégiqueLes GAFAM viennent d'investir 80 milliards de dollars en trois mois dans leurs infrastructures d'intelligence artificielle. Data centers, serveurs, énergie, talents : tout y passe. Une véritable course à la puissance s'engage, où chaque acteur veut disposer de la plus grande capacité de calcul. Google, par exemple, prévoit déjà 100 milliards supplémentaires pour 2025. Derrière ces chiffres, une bataille mondiale pour le contrôle de l'innovation et, surtout, de l'économie de demain.Une bulle IA sur le point d'exploser ?Face à ces montants astronomiques, certains, comme le chercheur Yoshua Bengio, appellent à un ralentissement. L'expert estime qu'un éclatement de la bulle serait peut-être salutaire pour freiner la fuite en avant actuelle. Entre spéculation et surenchère, la question d'une crise de l'IA revient sur la table, alors même que les usages explosent.Musique : Universal et Udio signent la paixPendant ce temps, l'industrie musicale s'adapte. Universal Music a trouvé un accord inédit avec la start-up Udio, spécialisée dans la génération de musique par IA. Objectif : permettre de revisiter légalement le catalogue Universal grâce à des outils d'IA générative. Une première mondiale qui pourrait redéfinir les droits d'auteur à l'ère de l'intelligence artificielle.Réseaux sociaux : Macron sonne l'alerteEn France, Emmanuel Macron a dénoncé la dérive des plateformes et leurs effets délétères sur la société. Addiction, désinformation, radicalisation : les réseaux deviennent un champ de bataille politique. Derrière cette sortie présidentielle, une inquiétude bien réelle sur la cohésion nationale et le pouvoir des algorithmes.Robots et fausses vacances : quand l'IA envahit le quotidienDes robots humanoïdes à 20 000 dollars aux photos de vacances totalement inventées par IA, le futur s'installe dans nos vies avec une vitesse vertigineuse. Entre fascination technologique et vertige éthique, l'IA ne cesse de redéfinir notre rapport au réel.VERSION VIDEOhttps://youtu.be/Mnwv-7sz7gQ-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
C'est un scoop technologique majeur : Amazon Web Services et OpenAI viennent de sceller un accord historique de 38 milliards de dollars sur sept ans, officialisé ce lundi 3 novembre. Derrière cette somme colossale, un objectif clair : donner à Sam Altman et son équipe les moyens de pousser l'intelligence artificielle générative à ses limites, grâce à la puissance de calcul du géant du cloud.Concrètement, OpenAI va bénéficier d'un accès privilégié à l'infrastructure d'Amazon, notamment aux serveurs EC2 UltraServers, des monstres de performance équipés des toutes dernières puces NVIDIA GB200 et GB300. Ces processeurs graphiques de nouvelle génération seront déployés à une échelle vertigineuse : jusqu'à 500 000 unités interconnectées, capables de supporter à la fois le fonctionnement de ChatGPT et l'entraînement des futurs modèles. À cela s'ajoutent des millions de processeurs CPU classiques pour alimenter les agents autonomes, ces IA capables d'exécuter des tâches complexes sans intervention humaine.Tout devrait être opérationnel d'ici fin 2026, avec une montée en puissance prévue en 2027. L'enjeu, pour Amazon, est aussi de minimiser la latence et d'offrir une infrastructure sur mesure pour les besoins démesurés d'OpenAI. « Alors qu'OpenAI continue de repousser les limites du possible, l'infrastructure d'AWS servira de colonne vertébrale à leurs ambitions », s'est félicité Matt Garman, patron d'AWS. Mais ce partenariat n'est pas né du jour au lendemain. Les deux entreprises collaborent déjà via Amazon Bedrock, la plateforme d'AWS qui permet d'intégrer des modèles d'IA dans les outils d'entreprise. OpenAI y est rapidement devenu l'un des fournisseurs les plus sollicités, avec des clients prestigieux comme Thomson Reuters, Peloton ou Verana Health, qui utilisent ses modèles pour la recherche, la programmation ou la gestion automatisée. Pour Sam Altman, l'alliance avec Amazon répond à une nécessité stratégique : « Faire évoluer l'IA de pointe nécessite une puissance de calcul massive et fiable. Ce partenariat va alimenter une nouvelle ère où l'intelligence artificielle avancée sera accessible à tous. » Dans la course mondiale à l'IA, une chose est désormais claire : celui qui contrôle les serveurs contrôle l'avenir. Et OpenAI vient, peut-être, de prendre une longueur d'avance décisive. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Chirinne Ardakani, avocate spécialisée dans la défense des droits humains, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Tous les matins à 8h17, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Aujourd'hui dans Silicon Carne :- OpenAI qui cherche ENCORE et TOUJOURS plus d'argent. Ils ont besoin visiblement de 400 milliards de dollars pour construire la plus grande infrastructure informatique de l'histoire. - On s'intéresse aussi à Mercor, la startup qui loue des cerveaux pour entraîner les IA des géants comme OpenAI ou Meta. Personne en parle en France mais ils sont passés de 1 à $500M de revenu en seulement un an.- Et puis on parle de F5 Networks, ce géant de la cybersécurité piraté pendant des mois par des hackers d'État. ===================
C'est une affaire digne d'un scénario hollywoodien qui secoue le Royaume-Uni. La police métropolitaine de Londres vient de réaliser la plus grande saisie de cryptomonnaies de l'histoire : près de 61 000 bitcoins, soit environ 6,8 milliards de dollars au cours actuel.Au cœur de cette opération record, une femme : Qian Zhimin, aussi connue sous le nom de Yadi Zhang, une ressortissante chinoise de 47 ans que la presse locale surnomme déjà la “déesse de la richesse”. Et pour cause : cette fortune colossale n'a rien d'honnête. Entre 2014 et 2017, la suspecte aurait mené une gigantesque escroquerie financière en Chine, qui aurait fait près de 128 000 victimes. L'argent détourné aurait ensuite été converti en bitcoins pour échapper aux autorités. Quand son réseau a été démantelé, Qian Zhimin a pris la fuite, utilisant de faux papiers pour se réfugier au Royaume-Uni. Sur place, elle aurait tenté de blanchir ses cryptos via un enchevêtrement de sociétés-écrans et de comptes anonymes. C'est là que les enquêteurs britanniques, en collaboration avec les autorités chinoises, ont fini par remonter sa trace.La somme saisie dépasse largement les réserves détenues par la plupart des entreprises spécialisées dans les cryptos. À titre de comparaison, Michael Saylor, fondateur de MicroStrategy et fervent défenseur du Bitcoin, en possède personnellement “seulement” 17 000. Reste désormais une question cruciale : que va-t-il advenir de cette fortune numérique ? Les procédures pour restituer l'argent aux victimes s'annoncent longues et complexes, notamment en raison du cadre juridique international autour des cryptomonnaies. Une chose est sûre : cette affaire hors norme rappelle que l'univers du Bitcoin reste un Far West financier, où fortunes et fraudes se côtoient encore dangereusement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
durée : 00:58:19 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Jamais autant d'arbres n'ont été plantés ! Depuis l'accord de Paris sur le climat de 2015, c'est le mot d'ordre pour lutter contre la déforestation et le changement climatique. Or, planter des millions d'arbres sans prendre en compte les écosystèmes présents est inutile, voire contre-productif... - réalisation : Alexandra Malka - invités : François-Xavier Drouet Réalisateur, documentariste; Sylvain Angerand Ingénieur forestier.; Alain Karsenty Economiste, spécialiste des forêts tropicales et des instruments économiques pour l'environnement.
C dans l'air du 16 octobre 2025 - Lecornu en sursis … reste 30 milliards à trouverIl a sauvé son gouvernement... provisoirement. Avec sa promesse de suspendre la réforme des retraites, gage donné aux socialistes, Sébastien Lecornu a échappé à la motion de censure LFI qui le menaçait. Dix-huit voix ont manqué pour que celle-ci soit adoptée. « La direction du PS porte une responsabilité historique », a fustigé l'insoumise Mathilde Panot. La gauche sort fracturée de cette séquence politique, tout comme les Républicains. Ceux-ci encaissent mal ce recul sur les retraites, mais avaient pour consigne de ne pas voter la censure. Plusieurs frondeurs ont toutefois fait fi des consignes .Le Parti socialiste, s'il n'a pas fait le choix de censurer aujourd'hui, explique ne pas donner de blanc-seing au gouvernement pour autant. D'autres exigences viendront point par point, si bien qu'une motion de censure peut revenir à tout moment. Rien ne garantit donc qu'un budget soit voté avant la fin de l'année. Parmi les mesures qui pourraient amener à un blocage : celles concernant l'assurance maladie, ou celles sur la taxation des plus riches.Pendant ce temps, au RN, on croit toujours à une dissolution. C dans l'air a suivi Emmanuel Blairy, député du Pas-de-Calais, qui arpente sa circonscription à la rencontre des électeurs. Une campagne permanente, un moyen de se préparer en cas de législatives anticipées. Le budget a venir permettra-t-il de financer encore le dispositif « Territoires zéro chômeur » expérimenté dans 75 territoires ? Cet outil permet d'apporter une réponse au personnes éloignées de l'emploi en les embauchant en contrat à durée indéterminée dans des entreprises de l'économie sociale et solidaire. C dans l'air est allé dans l'une d'elles, à Bléré, en Indre-et-Loire.Alors, Sébastien Lecornu arrivera-t-il à faire passer son budget ? Comment le RN se prépare-t-il à d'éventuelles élections ? Comment fonctionnent les « Territoires zéro chômeur » ?LES EXPERTS :- Jérôme Jaffré - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Pauline de Saint-Remy - Directrice adjointe de la rédaction de Politico - Fanny Guinochet - Éditorialiste économique à Franceinfo - Eric Heyer – Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision – OFCE
C dans l'air du 16 octobre 2025 - Lecornu en sursis … reste 30 milliards à trouverLES EXPERTS :- Jérôme Jaffré - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Pauline de Saint-Remy - Directrice adjointe de la rédaction de Politico - Fanny Guinochet - Éditorialiste économique à Franceinfo - Eric Heyer – Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision – OFCE
Ce jeudi 16 octobre, le risque de déluge d'impôts et de nouvelles dépenses a été abordé par Jean-Marc Daniel, professeur à l'ESCP, Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, et Thomas Grjebine, responsable du programme "Macroéconomie et finance internationales" au CEPII, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Comment on sécurise, au quotidien, les utilisateurs de Chrome face aux arnaques éclair, à l'hameconnage “localisé” et aux menaces dopées à l'IA ? Dans ce segment, Fabrice Joubert (Google Montréal, Safe Browsing) raconte l'envers du décor : détection quasi temps réel, arbitrage sécurité ↔︎ vie privée, et ce que l'IA générative change… côté défense. Un échange franc, concret, qui donne aussi des réflexes pratiques pour rester hors d'atteinte. À écouter si vous désirez comprendre comment Montréal contribue à la sécurité du web, à l'échelle du monde.
durée : 00:11:37 - L'Invité d'On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid - Train, métro tram, Alstom est le numéro 2 mondial du ferroviaire. Attractivité du rail face à l'avion, concurrence chinoise, train du futur... Henri Poupart Lafarge, directeur général du groupe, est l'invité d'Alexandra Bensaid. - invités : Henri Poupart-Lafarge - Henri Poupart-Lafarge : PDG d'Alstom Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.