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boris vallaud

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Politique, le choix de la semaine
Le congrès du Parti socialiste, clé de l'union de la gauche?

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later May 18, 2025 2:46


À partir du 27 mai, les adhérents du parti socialiste sont appelés à choisir leurs nouveaux dirigeants, avec comme point d'orgue le congrès de Nancy mi-juin, quelques jours après la désignation du Premier secrétaire. Et le choix des socialistes pourrait être déterminant dans une éventuelle union pour la présidentielle. Les trois candidats, Olivier Faure, Boris Vallaud et Nicolas Mayer-Rossignol semblent alignés en faveur d'une candidature commune en 2027, mais sur le papier seulement. Tout le monde au PS semble désormais d'accord : il faut une union de la gauche en 2027 sans les Insoumis. Après avoir longtemps défendu le rapprochement avec LFI, Olivier Faure a finalement rendu les armes ces derniers mois, « pour ne pas perdre son poste », persifle une de ses opposantes internes. Le nouveau périmètre va donc de la gauche radicale façon François Ruffin aux sociaux-démocrates de Raphaël Glucksmann, voire à la maigre aile gauche de la Macronie, en passant par les alliés écologistes et communistes. Consensus aussi sur l'espoir que le candidat commun en 2027 soit issu des rangs socialistes, mais la stratégie pour y arriver en revanche diffère.À lire aussiLes militants du Parti socialiste face aux divisions de leur partiDeux salles, deux ambiancesIl y a d'un côté les partisans du jeu ouvert et de l'autre, ceux qui prônent le passage en force. Olivier Faure par exemple reste sur la ligne qu'il tient depuis son arrivée à la tête du PS en 2018 : un candidat socialiste si possible, mais pas d'opposition de principe à céder la place. En revanche, du côté de Nicolas Mayer-Rossignol et ses alliés, François Hollande, Carole Delga ou Anne Hidalgo, la prééminence socialiste est une priorité. Une ligne qualifiée d'« identitaire » par les Fauristes et qui passerait par le rassemblement sous un même drapeau de toute la galaxie socialiste aujourd'hui dispersée : Bernard Cazeneuve, Raphaël Glucksmann ou certains ministres et élus macronistes.À lire aussiFrance: au sein du Parti socialiste, ces voix qui s'élèvent pour rompre avec LFILes alliés moyennement intéressés« Si c'est pour se faire marcher dessus comme avec les Insoumis, non merci », cingle un élu communiste. Pas beaucoup plus d'enthousiasme côté Écologistes, où les multiples alliances passées avec le PS n'ont pas laissé que de bons souvenirs. Beaucoup défendent donc l'idée d'une primaire très large, c'est-à-dire pas seulement avec des candidats désignés par les partis. « Sinon personne ne jouera le jeu », estime une ancienne Insoumise. Les Insoumis justement, qui regardent l'agitation avec amusement : « plus il y a de divisions au PS, mieux je me porte », rigole un député LFI. À moins qu'une position centrale émerge à l'occasion du congrès socialiste : le 3ème homme de l'élection, Boris Vallaud plaide pour « une union à toute force mais pas à tout prix ». Un peu flou pour certains : « tu ne pourras pas être éternellement la Suisse », a lancé cette semaine une haute dirigeante du PS au patron des députés socialistes.

L'oeil de...
"Boris Vallaud, le Tom Cruise des Socialistes, a une mission impossible : réunir le PS"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later May 5, 2025 6:09


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 05 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
POLITIQUE - Boris Vallaud est l'invité de Thomas Sotto

RTL Matin

Play Episode Listen Later May 5, 2025 10:25


Sauvetage de ArcelorMittal, Socialistes pris pour cibles pendant la manifestation du 1er mai, présidence du PS... Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, député PS des Landes et candidat à la présidence du Parti socialiste, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 05 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
"Boris Vallaud, le Tom Cruise des Socialistes, a une mission impossible : réunir le PS"

RTL Matin

Play Episode Listen Later May 5, 2025 6:09


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 05 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
POLITIQUE - Boris Vallaud est l'invité de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later May 5, 2025 10:25


Sauvetage de ArcelorMittal, Socialistes pris pour cibles pendant la manifestation du 1er mai, présidence du PS... Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, député PS des Landes et candidat à la présidence du Parti socialiste, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 05 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Humour
L'œil de Philippe Caverivière - "Boris Vallaud, le Tom Cruise des Socialistes, a une mission impossible : réunir le PS"

RTL Humour

Play Episode Listen Later May 5, 2025 6:09


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 05 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

18.50 franceinfo:
Droits de douane : les grands patrons doivent "investir en Europe et défendre la stabilité politique", plaide le député PS Boris Vallaud

18.50 franceinfo:

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 12:40


durée : 00:12:40 - L'invité franceinfo soir - "Il est important que les Européens se fassent respecter", défend le chef des députés socialistes, lundi dans franceinfo soir.

Le témoin de l'actu dans les Landes
"Tout part des Landes" : le député landais Boris Vallaud entre en campagne pour la présidence du PS

Le témoin de l'actu dans les Landes

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 7:42


durée : 00:07:42 - L'invité de 8h15 de "ici Gascogne" - À deux jours de lancer sa campagne pour sa candidature à la présidence du Parti socialiste, le député landais Boris Vallaud était l'invité d'ici Gascogne ce vendredi matin. Tout se jouera en juin prochain au Congrès du PS.

Le décryptage de l'actu dans les Landes
Les habitants de la circonscription de Boris Vallaud réagissent à sa candidature au poste de premier secrétaire du Parti Socialiste

Le décryptage de l'actu dans les Landes

Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 3:22


Reportage France
Les militants du Parti socialiste face aux divisions de leur parti

Reportage France

Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 2:18


À deux ans de la présidentielle et à trois mois de leur congrès, quel est l'état d'esprit des militants du Parti socialiste ? Olivier Faure est-il favori ? Ou bien ses nouveaux concurrents lui font-ils de l'ombre ? L'union avec les autres partis de gauche est-elle toujours d'actualité ? De nombreuses questions abordées dans une réunion publique organisée par le PS ans la petite ville de Fameck, en Moselle, dans l'est de la France. De notre envoyé spécial à Fameck,Quelques dizaines de militants socialistes sont présents pour cette réunion publique nocturne. Ils sont nombreux à avoir fait du chemin pour partager ce qu'ils pensent de l'actualité interne du PS. Après Nicolas Mayer-Rossignol, Boris Vallaud et Philippe Brun se lancent dans la course pour remplacer Olivier Faure.Pour Christine et Jean, deux militants socialistes, ces nouvelles candidatures sont extrêmement saines. « C'est bon pour la démocratie, soutient Christine. Moi, je suis pour la contestation. Au PS, on a beaucoup de débats. » Et Jean de renchérir : « Le gros avantage que nous avons au Parti socialiste, c'est que nous avons plusieurs candidats et donc c'est la vraie démocratie qui va s'appliquer. »Paul, jeune militant, y voit même un atout du PS par rapport à d'autres partis : « [Par rapport à] la France insoumise, évidemment, mais je pense aussi aux macronistes qui commencent à se structurer, mais qui n'ont pas ce type de débat en interne. »Si les programmes de chacun seront présentés plus tard, on en connaît déjà les grandes lignes et les militants ont leurs préférences. Il y a les fauristes inconditionnels : « Moi, dans l'idée, ça serait plutôt de continuer sur la ligne de Faure, parce que je suis pour une alliance avec LFI », lance un militant. Rejoint par un autre : « J'ai toujours connu Olivier Faure et j'ai vu ce qu'il a mis en place pour remonter le parti et pour qu'on en soit là aujourd'hui. »Et d'autres qui sont plutôt partisans du changement. Boris Vallaud a par exemple la faveur de ce militant : « Je trouve qu'il est avant-gardiste. Il prépare les choses, il pourrait donner de nouvelles idées. Il faut que le PS se retrouve. » Cette autre militante lui préfère Nicolas Mayer-Rossignol, maire de Rouen.« Il faut une union de la gauche »Si tous espèrent que le congrès du PS finira par un rassemblement, sans tomber dans le pugilat de 2022, la question du rassemblement avec le reste de la gauche reste au centre des attentions. « Au vu de la tripolarisation du spectre politique, il faut une union de la gauche pour arriver à des stades où on peut passer le second tour. » « Si on veut gagner, on n'a pas le choix. », insiste un autre.Avec une réserve à cette union à chaque fois qui tient en trois lettres : LFI. « Aujourd'hui, avoir une étiquette insoumise, c'est quand même donner l'impression que pour gagner un électeur, il faut en perdre deux », déplore ce militant. « Moi, je suis pour l'union de la gauche, mais avec les insoumis, il faut avouer que c'est difficile quand même, parce qu'ils sont très radicaux », insiste cette militante.Mais encore faut-il pouvoir se faire entendre face à LFI. Une sympathisante l'affirme, l'étape des municipales, l'an prochain, sera très utile pour replacer le Parti socialiste sur le devant de la scène. Et pourquoi pas en faire le moteur de l'union.À lire aussiFrance: le PS prêt à larguer les amarres avec le Nouveau Front populaire?

Et maintenant !
Macron, un va-t-en-guerre ?

Et maintenant !

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 55:53


Au programme de ce nouveau numéro de « Et Maintenant ! » : Emmanuel Macron en fait-il trop sur la menace russe ? C'est une question qui s'est imposée dans le débat depuis l'intervention du chef de l'état lors d'une allocution la semaine dernière. Cette semaine, les oppositions sont montées au front, en l'accusant d'en rajouter pour des raisons de petite politique. Autre sujet : les relations de Donald Trump avec la presse, des relations pour le moins compliquées puisque le locataire de la Maison Blanche se fait un malin plaisir à s'en prendre à eux. Depuis son retour au pouvoir en janvier il semble encore plus virulent que par le passé. Aussi, y a-t-il un problème au sein du mouvement féministe ? La semaine dernière, le 8 mars, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes des dizaines de personnes ont participé à des manifestations à Paris et ailleurs en France, journée pour l'égalité des salaires, mais aussi contre les violences faites aux femme et c'est à ce titre qu'une organisation intitulée « Nous Vivrons » entendait défiler pour dénoncer les exactions commises par le Hamas sur les femmes juives. Or, cette organisation et quelques autres ont été tenues à l'écart du cortège, les manifestants membres ont été parqués dans une rue adjacente pendant trois heures pour éviter d'être attaqués par des hommes cagoulés issus du cortège principal. Du côté des socialistes, les candidatures se multiplient à quelques mois du Congrès qui élira un nouveau premier secrétaire, deux candidats étaient déjà connus, Olivier Faure et Nicolas Mayer Rossignol le maire de Rouen, et cette semaine le chef de file des députés socialistes Boris Vallaud ainsi que Philippe Brun ont annoncé se lancer également. Enfin, toujours à gauche, Anne Hidalgo sort un livre bilan sur ses années à la tête de la capitale, la maire ne briguera pas de troisième mandat a l'occasion des élections municipales de 2026 a décidé de raconter sa décennie au pouvoir et tente d'expliquer les raisons de son "bashing". Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
"On s'en fout, on s'en fout pas" : Le président du RN Jordan Bardella invité en Israël - 14/03

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 9:09


Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Le président du RN Jordan Bardella invité en Israël 3 candidats à la présidence du Parti socialiste Après Olivier Faure, Boris Vallaud candidat à la tête du Parti socialiste

8.30 franceinfo:
Défense européenne, réarmement, candidature de Boris Vallaud... le "8h30 franceinfo" de François Hollande

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 27:14


durée : 00:27:14 - 8h30 franceinfo - Le député PS de Corrèze et ancien Président de la République était l'invitée du "8h30 franceinfo".

Le brief politique
Boris Vallaud officialise sa candidature à la tête du PS malgré le risque de rupture avec Olivier Faure

Le brief politique

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 2:12


durée : 00:02:12 - Le brief politique - Après avoir été l'un de ses soutiens pendant plusieurs années, le chef des députés socialistes prend le risque de s'en éloigner pour exprimer ses ambitions qu'il mûrit depuis des mois. Boris Vallaud a annoncé jeudi sur France 2 qu'il sera candidat.

RTL Midi
PARTI SOCIALISTE - Boris Vallaud, un concurrent "rassembleur" sérieux face à Olivier Faure ?

RTL Midi

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 1:17


Boris Vallaud a mis fin au suspense. Le chef des députés PS se porte candidat pour être le prochain Premier secrétaire du Parti socialiste, a-t-il officialisé jeudi 13 mars, avec la volonté de "créer un collectif" qui manque au parti de gauche dans la perspective des présidentielles de 2027. Ecoutez l'émission du 13 mars 2025.

Le Nouvel Esprit Public
Le débat français sur l'Ukraine

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Mar 9, 2025 62:15


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 mars 2025.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE DÉBAT FRANÇAIS SUR L'UKRAINEAprès l'altercation dans le bureau ovale le 28 février, le président de la République continue de préparer les esprits à l'idée d'un nouvel « effort de guerre » et de changement de doctrine pour les armées françaises. « Depuis trois ans, les Russes dépensent 10 % de leur PIB dans la défense. On doit donc préparer la suite », alerte Emmanuel Macron, en fixant un objectif autour de « 3% à 3,5% du PIB »contre 5,4% en 1960. La loi de programmation militaire 2024-2030 a prévu une enveloppe de plus de 400 milliards d'euros pour les armées sur sept ans. La défense est le deuxième plus gros budget du pays.Lundi, le Premier ministre a évoqué une « situation historique », « la plus grave, la plus déstabilisée et la plus dangereuse de toutes celles que notre continent ait connue depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ». Il s'est ensuite félicité que « pour l'honneur de l'Europe, le président Zelensky n'a pas plié ». Ce qui a suscité les applaudissements des députés, sauf de ceux du Rassemblement national et leurs alliés ciottistes. La présidente du groupe RN, a indiqué que son parti ne pourra « jamais soutenir une chimérique défense européenne », pas plus que « l'envoi de troupes françaises combattantes sur le sol ukrainien » - ce qui, selon le ministre des armées Sébastien Lecornu, n'est pas envisagé. Marine Le Pen s'est aussi dit opposée au « partage » de la dissuasion nucléaire française avec les Européens tandis que ses fidèles moquaient l'alarmisme du président de la République. Le patron des députés macronistes, Gabriel Attal estime qu'il faut « accélérer le processus d'adhésion » de l'Ukraine aux 27, augmenter le soutien militaire et revoir la position française sur les avoirs russes gelés pour aider Kyiv. Le président du groupe socialiste Boris Vallaud et la présidente du groupe écologiste Cyrielle Châtelain ont aussi réclamé la confiscation des avoirs russes ce que le ministre des Affaires étrangères a indiqué ne pas envisager pour le moment. Pour la droite républicaine, la France doit faire évoluer le format de ses armées conventionnelles, « en sécurisant les industriels », « en drainant l'épargne des Français et en créant une finance de guerre qui permette de recapitaliser nos entreprises ». Cette approche n'est pas celle des communistes. Leur orateur Jean-Paul Lecoq, qui a dénoncé la « surenchère guerrière d'Emmanuel Macron et la hausse des dépenses liées à la Défense », a préféré prôner une solution diplomatique. À LFI, on dénonce une manœuvre du président pour faire payer l'effort de défense par lune réduction des dépenses sociales.Avant le discours de Macron mercredi, 77% des Français se disent d'accord pour « davantage » d'investissements dans la défense, selon un sondage Odoxa, mais seuls 49% maintiennent qu'il faut « soutenir l'Ukraine même si cela a des conséquences sur notre économie ». C'est 12 points de moins qu'en 2022.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

8.30 franceinfo:
Donald Trump et Gaza, motion de censure, budget... Le 8h30 franceinfo de Boris Vallaud

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Feb 5, 2025 25:01


durée : 00:25:01 - 8h30 franceinfo - Le président du groupe PS à l'Assemblée nationale était l'invité du "8h30 franceinfo" du mercredi 5 février.

Le Média
"Les riches font sécession !" Pourquoi Bernard Arnault a "trahi" Macron

Le Média

Play Episode Listen Later Feb 4, 2025 26:27


Pour le budget 2025, le Sénat a osé adopter une “surtaxe” pour pour les entreprises dont le chiffre d'affaires est supérieur à 3 milliards d'euros. Une contribution exceptionnelle et « temporaire » qui devrait peut être rapporter 8 milliards à l'Etat. Il n'en fallait pas plus pour faire râler l'un des hommes les plus riches du monde, le patron français de LVMH Bernard Arnault. « On taxe le made in France » lance l'homme d'affaires qui vante les Etats-Unis et parle de délocalisation. Le gouvernement nous fait que nous parler de dette, de déficit et d' “effort à faire”. Pourtant, ces 8 milliards, sont bien mais bien loin de toutes les baisses d'impôts ou autres cadeaux pour les grandes entreprises depuis 2017, rappellent Lisa Lap et Thomas Porcher. De plus, rien ne garantit que cela fonctionnera. L'économiste rappelle tous les mécanismes d'évitement de l'impôt mis en place par les plus riches. Bernard Arnault brandit la menace de délocalisation. Thomas Porcher rappelle qu'elle a déjà lieu en France et dénonce un chantage à l'emploi. Ça n'a pas été la crise pour tout le monde. Les infimes plus riches français se sont fortement enrichis ces dernières années. Depuis 2019, la fortune des milliardaires français a augmenté au total de plus de 24 milliards d'euros, ce qui fait 13 millions par jour, rappelle OXFAM. En 2023, les 10% les plus riches ont gagné 280 euros en moyenne grâce à la politique socio fiscale du gouvernement. Les français eux en moyenne perdent 50 euros, et les 10% les plus pauvres 290 euros, montre l'INSEE. La France est un paradis fiscal pour les milliardaires. Point budget 2025. On le sait que ça peut paraître flou et barbant, mais on rappelle que c'est un peu le nerf de la guerre. La semaine dernière a eu lieu la commission mixte paritaire, qui réunit 7 sénateurs et députés pour s'entendre sur un texte commun. Les insoumis disent qu'il ne faut rien en attendre car le budget est dans tous les cas trop austéritaire et veulent de nouveau censurer le gouvernement. Le parti socialiste lui a joué les négociations en étant une “gauche de compromis”. Ils se félicitent par exemple des 500 millions d'euros supplémentaires pour les trains régionaux, l'annulation de la suppression des 4000 postes d'enseignants, et demandent une hausse du SMIC par exemple. Ils ont fait supprimer l'article qui réduisait les droits de l'AME soutenu par la droite et l'extrême droite, par contre son budget a baissé de 200 millions. "Est-ce que nous aurions voulu plus ? Bien sûr. Mais ceux qui font le pari d'avoir moins ou d'avoir tout prennent toujours le risque d'avoir moins." a déclaré Boris Vallaud. Thomas Porcher décrit un budget historiquement austéritaire. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher ! ▶ Soutenez Le Média :

Les histoires de 28 Minutes
Meurtre d'Elias, taxer les entreprises, Emmanuel Macron, devoir conjugal… Le Club 28'

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Feb 1, 2025 45:24


L'émission 28 minutes du 31/01/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Maud Vergnol, codirectrice de la rédaction de "L'Humanité" ; Jean Quatremer, correspondant européen de “Libération” ; Maxime Thiébaut, avocat et docteur en droit public, ainsi que le dessinateur de presse Pascal Gros.Retour sur deux actualités de la semaine : Meurtre d'Elias, 14 ans : faut-il durcir la justice des mineurs en France ?Elias, 14 ans, est mort le vendredi 24 janvier au soir à Paris, poignardé pour avoir résisté au vol de son téléphone portable par deux mineurs. Âgés de 16 et 17 ans, les adolescents ont été identifiés et interpellés. Mais leur passé judiciaire déjà lourd (vols, extorsions avec violence et port d'arme blanche) interroge l'efficacité de la justice des mineurs en France. Depuis 1945, "l'excuse de minorité" impose que les individus mineurs soient jugés et sanctionnés moins sévèrement que les majeurs, excluant par exemple le recours aux comparutions immédiates. Cette justice est-elle adaptée au monde d'aujourd'hui ?“Une taxe qui pousse à délocaliser” : la colère des grands patrons est-elle légitime ?De retour des États-Unis, où il a assisté à l'investiture du président Donald Trump, le patron du groupe LVMH Bernard Arnault a exprimé sa colère vis-à-vis de “la taxation du made in France” qui pousse, selon lui, à la délocalisation. Dans son viseur, le projet de surtaxe temporaire sur les bénéfices des grandes entreprises prévu par le gouvernement, qui devrait rapporter quelque huit milliards d'euros. À l'heure où les États-Unis promettent d'abaisser le taux d'impôt sur les sociétés à 15 % et des subventions massives aux entreprises, cette colère est partagée par d'autres grands patrons de multinationales françaises — Michelin, Air France, Total, par exemple — qui dénoncent la hausse de la fiscalité et le trop-plein de normes.Après quinze ans de recherche, le médecin légiste et paléopathologiste Philippe Charlier vient d'élucider un “cold case” historique : les mystérieuses taches brunâtres sur “la table de Robespierre”, le révolutionnaire guillotiné le 28 juillet 1794. Grâce à des expertises scientifiques poussées et le progrès des technologies, l'enquête a révélé qu'il s'agit bien du sang de Robespierre qui aurait été soigné sur cette table, victime d'un tir à la mâchoire. Philippe Charlier nous explique comment son travail permet de “faire parler les morts” à travers des reliques qui ont traversé les âges.Interrogé sur LCI, puis dans un discours à l'Assemblée nationale, le Premier ministre François Bayrou a évoqué un “sentiment de submersion” migratoire, ressenti par les Français. Le groupe socialiste, présidé par Boris Vallaud, a dénoncé un vocabulaire emprunté au Rassemblement national et annulé sa présence à une réunion préparatoire au vote du budget. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Un discours au Louvre, une vidéo sur TikTok, une visite surprise dans une petite commune de l'Aisne… Ces derniers temps, Emmanuel Macron multiplie les apparitions publiques, quand l'heure est à l'instabilité et la crise politique en France. Une présence inhabituelle qui n'a pas échappé aux internautes, comme le raconte Paola Puerari.Le 23 janvier dernier, la Cour européenne des droits de l'homme a tranché : refuser des relations sexuelles avec son époux n'est pas un manquement aux obligations du mariage. Elle a condamné la France pour avoir prononcé un divorce en 2019 pour faute, alors qu'une femme refusait de se soumettre au “devoir conjugal”. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur le retour de milliers de Gazaouis au Nord, dans une enclave en ruine ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 31 janvier 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio

L'invité de RTL
POLITIQUE - Philippe Brun, député PS, est l'invité de RTL Soir

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jan 31, 2025 10:45


La Commission mixte paritaire (CMP), composée de 7 députés et 7 sénateurs, a trouvé un compromis vendredi 31 janvier après deux jours de discussions. Cet accord sera présenté la semaine prochaine aux deux chambres du Parlement. Faute de majorité à l'Assemblée, le gouvernement pourrait recourir au 49.3 lundi 3 février. Les Socialistes ont voté contre cet accord. Après la CMP, Boris Vallaud, le leader des députés socialistes, a annoncé qu'il ferait un point avec ses collègues et le parti avant de revenir à l'Assemblée la semaine prochaine. Écoutez le sentiment de Philippe Brun, député PS de la 4e circonscription de l'Eure. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 31 janvier 2025.

C dans l'air
Budget : la charge des grands patrons, la colère des socialistes - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 29, 2025 63:50


C dans l'air du 29 janvier 2025 - Budget : la charge des grands patrons, la colère des socialistesC'est un coup de gueule qui fait grand bruit. À l'occasion de la présentation des résultats annuels de son entreprise, le PDG de LVMH s'est agacé de la hausse des impôts prévue en 2025 en France pour les plus grandes entreprises. Le patron du groupe de luxe a estimé qu'il s'agissait d'une "taxe sur le made in France" qui "pousse à la délocalisation". "Je reviens des États-Unis et j'ai pu voir le vent d'optimisme qui y règne. Et quand on revient en France, c'est un peu la douche froide", a déclaré celui qui a été aperçu avec ses enfants Delphine, PDG de Dior, et Alexandre, directeur général délégué de Moët-Hennessy, parmi les proches invités de Donald Trump lors de la cérémonie d'investiture du président américain. "Aux États-Unis, les impôts vont descendre à 15 %, les ateliers sont subventionnés dans plusieurs États et le président encourage cette dynamique", a salué le milliardaire.Le cinquième homme le plus riche du monde, dont Forbes estime la fortune à 168 milliards d'euros, faisait allusion à la contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises, prévue pour un an dans la dernière mouture du budget 2025. Cette surtaxe devrait rapporter quelque 8 milliards d'euros à l'État cette année. Pour les groupes réalisant plus de trois milliards d'euros de chiffre d'affaires, comme LVMH, elle entraînerait une hausse d'environ 40 % du taux d'imposition sur les sociétés.Une déclaration choc qui a ravivé le débat sur la fiscalité et suscité de nombreuses réactions. À commencer par celle de la porte-parole du gouvernement qui a dit "comprendre la colère" du PDG de LVMH tout en soulignant que "chacun doit prendre part aux efforts", compte tenu de "la condition budgétaire dans laquelle nous nous trouvons". Sophie Primas a également rappelé que cette surtaxe serait "temporaire", pour un an seulement. Mais encore faut-il que le budget 2025 soit adopté.Depuis lundi, François Bayrou s'est attiré les foudres de la gauche et a provoqué la division dans son propre camp en affirmant que la France "s'approch[ait]" d'un "sentiment de submersion" migratoire. Face aux critiques, qui l'accusent de reprendre une expression de l'extrême droite, et de nourrir le fantasme, vieux de plus d'un siècle, d'un pays submergé par l'étranger, le chef du gouvernement a repris la parole le lendemain devant les députés et a maintenu l'idée d'une "submersion migratoire". "Si vous gouvernez avec les préjugés de l'extrême droite, nous finirons gouverné par l'extrême droite et vous en aurez été le complice" a répondu le chef de file des députés socialistes, Boris Vallaud, "submergé par la consternation". Peu après, le PS a décidé de suspendre les négociations budgétaires avec le gouvernement et de ne pas se rendre le soir à Bercy pour finaliser un accord avec le ministre de l'Économie sur le budget de l'État. Un retrait des discussions qui a des allures de très mauvaise nouvelle pour Matignon alors qu'une réunion cruciale aura lieu demain entre députés et sénateurs.Alors où en sont les discussions sur le budget 2025 ? LVMH bientôt délocalisé ? Comment l'Europe peut-elle revenir dans la course face à la Chine et les Etats-Unis ? Face à un Donald Trump qui promet de simplifier la vie des entreprises, l'Union européenne s'attèle à la question de la compétitivité et dévoile sa feuille de route ce mercredi. Quelle est-elle ? Enfin mutuelle communale, centre de santé, comment certaines mairies lutte-t-elle contre les déserts médicaux ? Reportage à Arcachon, ville qui développe depuis 10 ans avec succès une politique ambitieuse de santé. Les experts :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'UsineNouvelle- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- NATHALIE SCHUCK - Grand reporter - Le Point - MATHIEU PLANE - Économiste - OFCE, Observatoire Français des ConjoncturesÉconomiquesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le brief politique
Prochain congrès du PS : Boris Vallaud réfléchit à jouer sa carte pour prendre la tête du parti

Le brief politique

Play Episode Listen Later Jan 27, 2025 1:59


durée : 00:01:59 - Le brief politique - Après la séquence budgétaire, les socialistes se tourneront vers leur congrès, qui se tiendra d'ici la fin de l'année 2025. Parmi ceux à qui l'on prête des ambitions pour prendre la tête du parti, Boris Vallaud, le patron des députés PS.

El Debate
Premier francés cede a renegociar la polémica reforma pensional: ¿será suficiente?

El Debate

Play Episode Listen Later Jan 15, 2025 35:40


El primer ministro de Francia, François Bayrou, pronunció su primer discurso ante la Asamblea Nacional en un momento crucial para el recién formado Gobierno. Bayrou se abrió a renegociar la reforma pensional como una concesión a los socialistas. Pese a ello, aún no es claro si esta movida será suficiente para superar una moción de censura que se vota esta semana. Es el tema de El Debate. Tras meses de inestabilidad política en Francia, el nuevo primer ministro francés, François Bayrou, se jugó el martes 14 de enero ante la Asamblea Nacional (Parlamento) la permanencia de su recién formado Gobierno. La controvertida, y hasta ahora intocable, reforma de las pensiones, impulsada por el presidente Emmanuel Macron, centró el discurso del flamante premier para conseguir el apoyo de los socialistas y evitar una moción de censura como la que derrocó a su predecesor, Michel Barnier.Bayrou se comprometió a "volver a trabajar" sobre la controvertida reforma, que retrasa progresivamente la edad mínima de jubilación de 62 a 64 años, y afirmó que desea abrir un debate "sin tabúes" siempre que se respete la "exigencia" del equilibrio financiero.Aunque cedió a renegociar la reforma, en su discurso de política general ante la Asamblea Nacional, Bayrou descartó derogarla, como le pedían los socialistas a cambio de su renuncia a votar la moción de censura que impulsa la izquierdista La Francia Insumisa (LFI) de Jean-Luc Mélenchon.Leer tambiénEl nuevo primer ministro francés se abre a renegociar la impopular reforma pensionalEn diciembre pasado, los socialistas, junto con diputados de extrema derecha, rechazaron las propuestas presupuestarias anteriores y precipitaron la caída del gobierno de Michel Barnier.En ese escenario, el Gobierno de Bayrou, formado apenas el mes pasado tras el colapso de Barnier, está tratando de obtener garantías de algunos partidos de oposición, particularmente de los socialistas, de que no votarán en contra de su presupuesto para 2025 ni intentarán obstruir su mandato. La postura del Partido Socialista (PS) tras el discurso aún no es clara. Criticaron con dureza a Bayrou por el programa de gobierno que presentó, pero hasta este miércoles no habían anunciado si apoyarán o no la moción de censura de la izquierda."Las cuentas no salen", subrayó el martes el portavoz socialista en la Asamblea Nacional, Boris Vallaud, tras las negociaciones de los últimos días que el PS ha mantenido con el Ejecutivo sobre el presupuesto para 2025 y sobre una posible suspensión de la reforma de las pensiones de 2023.Leer tambiénFrancia: pensiones, déficit y otras claves del discurso de Bayrou ante la Asamblea Nacional¿Qué líneas trazó el primer ministro francés en su primer discurso ante la Asamblea Nacional? ¿Comenzó con pie derecho o enfrenta el riesgo de repetir una moción de censura? Para analizar el tema, participan en El Debate:-Claire Launay, investigadora del Observatorio Político sobre América Latina y Caribe de Sciences Po.-Jesús Del Río, analista político y profesor de Geopolítica e Inteligencia económica en Kedge Business School. 

France Culture physique
Boris Vallaud (PS) : "Je suis pour la VIe République"

France Culture physique

Play Episode Listen Later Dec 21, 2024 43:26


durée : 00:43:26 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Boris Vallaud revient au micro de Sens politique sur la ligne du PS face au futur gouvernement Bayrou, le congrès à venir, le mandat de François Hollande qu'il a vécu depuis l'Élysée ainsi que sur son ancrage local dans les Landes. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Boris Vallaud Député de la troisième circonscription des Landes

Politique !
Boris Vallaud (PS) : "Je suis pour la VIe République"

Politique !

Play Episode Listen Later Dec 21, 2024 43:26


durée : 00:43:26 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Boris Vallaud revient au micro de Sens politique sur la ligne du PS face au futur gouvernement Bayrou, le congrès à venir, le mandat de François Hollande qu'il a vécu depuis l'Élysée ainsi que sur son ancrage local dans les Landes. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Boris Vallaud Député de la troisième circonscription des Landes

RTL Matin
PREMIER MINISTRE - Boris Vallaud est l'invité de Thomas Sotto

RTL Matin

Play Episode Listen Later Dec 13, 2024 10:23


Le nouveau Premier ministre sera nommé vendredi matin par Emmanuel Macron, a annoncé jeudi soir l'Elysée. Ecoutez la réaction de Boris Vallaud président des députés PS à l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 13 décembre 2024.

L'invité de RTL
PREMIER MINISTRE - Boris Vallaud est l'invité de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Dec 13, 2024 10:23


Le nouveau Premier ministre sera nommé vendredi matin par Emmanuel Macron, a annoncé jeudi soir l'Elysée. Ecoutez la réaction de Boris Vallaud président des députés PS à l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 13 décembre 2024.

Le Média
Vont-ils pactiser avec Macron ? Thomas Porcher sans pitié pour le PS et Glucksmann

Le Média

Play Episode Listen Later Dec 12, 2024 23:24


Le gouvernement Barnier est tombé. Emmanuel Macron avait choisi un Premier Ministre bien à droite pour rassurer son socle mais aussi le RN. Officiellement, le Président de la République avait éjecté la piste NFP pour trouver des « compromis », assurer la « stabilité » et éviter que le gouvernement ne tombe à la première motion de censure. Ben c'est raté. Motion de censure votée la semaine dernière par toutes les oppositions du socle commun à l'Assemblée Nationale. Et qui dit nouveau gouvernement, dit nouvelles tractations. Le NFP repart au charbon pour tenter d'imposer un gouvernement issu de ses rangs, invoquant leur victoire aux élections législatives (de peu). Certaines forces de l'union veulent “changer de méthode” par rapport à cet été. Pendant ce temps, les macronistes font des appels de phare au PS pour qu'ils lâchent la coalition de gauche et rejoignent le socle commun. Sur la base de quel projet ? C'est encore flou. Du côté du PS, la stratégie c'est de négocier un accord de non censure mais d'obtenir un Premier Ministre “de gauche”. Les écolos sont d'avis aussi pour négocier la non censure avec les macronistes. Chez LFI, c'est NFP rien que le NFP. Les socialistes ont rencontré Emmanuel Macron ce vendredi 6 décembre. Les écologistes se déplacent à l'Elysée ce lundi 9. Pas de rencontre pour les insoumis. Jean-Luc Mélenchon a assuré que si les socialistes faisaient alliance avec le bloc central alors le "Nouveau Front populaire continuera sans eux". Boris Vallaud a clarifié la position du PS, “les socialistes ne trahissent pas ce pourquoi ils ont été élus", mais préfèrent "des avancées, même modestes, dans le sens de la gauche, que de grands reculs dans le sens de l'extrême droite". "Ce n'est pas la fin du Nouveau Front populaire, je ne change pas d'alliance", affirme le député. Les socialistes assurent que si le Premier Ministre n'est pas de gauche, ils ne participeront pas au gouvernement. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !

Le sept neuf
Boris Vallaud : "Si ce n'est pas un Premier ministre de gauche, le PS ne participera pas au gouvernement"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 9:39


durée : 00:09:39 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Alors qu'Emmanuel Macron poursuit ses consultations en vue de la nomination d'un nouveau Premier ministre et d'un gouvernement, Boris Vallaud, député des Landes, président du groupe Socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale, est l'invité de 7h50. - invités : Boris Vallaud - Boris Vallaud : Député de la troisième circonscription des Landes

Les interviews d'Inter
Boris Vallaud : "Si ce n'est pas un Premier ministre de gauche, le PS ne participera pas au gouvernement"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 9:39


durée : 00:09:39 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Alors qu'Emmanuel Macron poursuit ses consultations en vue de la nomination d'un nouveau Premier ministre et d'un gouvernement, Boris Vallaud, député des Landes, président du groupe Socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale, est l'invité de 7h50. - invités : Boris Vallaud - Boris Vallaud : Député de la troisième circonscription des Landes

C dans l'air
Macron: la pression monte... - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 64:43


C dans l'air du 5 décembre - Trois mois après sa nomination à Matignon, Michel Barnier a remis ce matin la démission de son gouvernement au président de la République, un record de brièveté sous la Ve République. L'histoire s'est accélérée hier soir à l'Assemblée nationale avec le vote de la motion de censure déposée par le Nouveau Front Populaire par 331 députés, bien plus que les 288 nécessaires. Toutes les oppositions ont voté pour renverser le gouvernement, une première depuis soixante-deux ans, en 1962 sous la présidence de Charles de Gaulle.Et maintenant ? En attendant la nomination d'un nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, le chef de file des députés macronistes, a appelé tous les partis, sauf le RN et LFI, à trouver un compromis. Chez Horizons on plaide également pour une "coalition" qui aille de la "droite républicaine" aux "socio-démocrates". Laurent Wauquiez, chef des Républicains à l'Assemblée nationale, a lui affirmé que son groupe "ne fera pas tomber un gouvernement" même s'il n'y participe pas. À gauche, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale Boris Vallaud a appelé à "un gouvernement de gauche ouvert aux compromis". "Ça suppose que nous abandonnons le 49.3, qu'il n'y aura pas de passage en force et que sur chaque texte nous serons obligés de trouver des compromis", a expliqué ce matin Olivier Faure. Le patron des socialistes a également assumé ses "divergences avec Mathilde Panot", la cheffe de file des députés Insoumis, rétorquant qu'il "vaut mieux parfois faire un pas qui n'est pas exactement celui qui était prévu, plutôt que de ne rien faire et rester dans la protestation". Le Parti socialiste et les écologistes ont demandé au chef de l'Etat de recevoir "les chefs de partis et les présidents des groupes parlementaires de l'Assemblée nationale et du Sénat ayant participé au front républicain" lors des dernières législatives. Dans une lettre ouverte, la secrétaire nationale des Verts a également exhorté le chef de l'Etat à "consentir à accorder aux Français l'alternance politique qu'ils réclament" en nommant un Premier ministre "issu de la gauche et des écologistes". Le leader de Place publique Raphaël Glucksmann a de son côté appelé ce jeudi dans une tribune parue dans Le Monde à la construction d'une "plateforme minimale" entre les forces politiques ayant fait barrage à l'extrême droite aux dernières élections législatives.À l'extrême droite, Marine Le Pen, la cheffe des 124 députés RN, a déclaré qu'elle "laissera travailler" le futur Premier ministre pour "co-construire un budget acceptable pour tous".Pendant ce temps, à l'Elysée, le chef de l'Etat a déjeuné ce jeudi avec François Bayrou. Le nom du président du MoDem, allié du chef de l'Etat depuis 2017, circule pour le poste de Premier ministre, de même que celui du ministre des Armées Sébastien Lecornu, un fidèle d'Emmanuel Macron. Le président de la République doit s'exprimer ce soir à 20 heures. Il pourrait nommer rapidement un successeur alors que selon un dernier sondage Harris Interactive pour RTL, une majorité des Français, 53 %, indiquent approuver cette censure. Ils sont nombreux à l'approuver notamment chez les sympathisants des partis de gauche (78 % pour LFI, 66 % pour le PS et 61 % pour les écologistes) et du Rassemblement national (74 %). Pour autant, 82 % des Français sondés se disent inquiets pour l'avenir de la France.Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Brigitte BOUCHER - journaliste politique à franceinfo TV- Caroline VIGOUREUX - journaliste politique et société à la Tribune DimanchePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le brief politique
En cas de chute du gouvernement, Gabriel Attal a l'intention d'appeler tous les partis républicains, sauf le RN et LFI, pour trouver un compromis

Le brief politique

Play Episode Listen Later Dec 4, 2024 2:22


durée : 00:02:22 - Le brief politique - Après le pacte de non-censure proposé par le président des socialistes à l'Assemblée nationale Boris Vallaud, son homologue macroniste envisage de "lancer une initiative", si Michel Barnier est censuré ce mercredi.

Le Nouvel Esprit Public
Le PS peut-il s'affranchir ? / La situation en Ukraine

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Dec 1, 2024 66:43


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 29 novembre 2024.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LE PS PEUT-IL S'AFFRANCHIR ? Le prochain congrès du PS devrait avoir lieu au printemps 2025. Elu depuis 2018, Olivier Faure remettra son mandat de premier secrétaire en jeu. Sa gouvernance est contestée par ceux qui lui reprochent de coller au pas et aux humeurs de Jean-Luc Mélenchon et d'avoir réduit le PS à une annexe de La France insoumise au lieu de profiter de la force acquise lors des européennes et même des législatives pour être en mesure de faire émerger un candidat socialiste présidentiable. Les partisans du député de Seine et Marne plaident pour la survie, à tout prix, de l'union de la gauche, tout en menant à l'Assemblée une bataille larvée contre LFI pour obtenir le leadership de la gauche. Un combat rendu possible par le retour en force des socialistes à l'Assemblée : les troupes du patron du groupe socialiste à l'Assemblée, Boris Vallaud, comptent 66 parlementaires, contre 71 mélenchonistes.Cette crise entre le PS et LFI a éclaté au grand jour après la proposition de pacte de « non-censure » évoqué dimanche dernier sur France Inter par Boris Vallaud qui a proposé à « tous les présidents de groupes du Sénat et de l'Assemblée de l'arc républicain de poser la question des conditions d'une non-censure ». Il a, en outre, dit vouloir « reprendre le fil » de ce que « les groupes du Nouveau Front populaire » à l'Assemblée et au Sénat avaient « commencé à faire à la mi-août en disant "nous sommes prêts à des compromis texte par texte, nous sommes prêts à discuter des priorités de politique budgétaire" ». « Le PS cherche des alliés. Mais ça sera sans LFI », a assuré Jean-Luc Mélenchon, accusant le PS de « tendre la main » au-delà de la gauche.La mésentente affichée entre LFI et le PS est également apparue à propos d'une proposition de loi déposée le 19 novembre, à l'initiative du député « insoumis » du Nord Ugo Bernalicis, qui vise à « abroger le délit d'apologie du terrorisme du code pénal ». Ce délit, créé par une loi de 2014, consiste à « présenter ou commenter favorablement soit le terrorisme en général, soit des actes terroristes déjà commis ». Bernard Cazeneuve avait défendu ce texte comme « nécessaire » face à « la stratégie médiatique » des groupes djihadistes et au fait qu'« Internet offre aux thèses les plus extrêmes une caisse de résonance démultipliée ». L'objectif consiste selon la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, à cantonner à nouveau l'apologie du terrorisme au droit de la presse afin de garantir « la liberté d'expression ». La proposition a suscité une vague de critiques. A gauche le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a jugé qu'il suffisait en la matière d'affiner « la définition » du délit « pour en éviter les dérives ». Plus clairement, le patron des députés PS, Boris Vallaud, a affirmé ne pas soutenir « la proposition de LFI ».LA SITUATION EN UKRAINE Après des mois de refus, le 17 novembre, les Etats-Unis ont donné aux Ukrainiens le feu vert pour frapper la Russie en profondeur avec leurs missiles balistiques sol-sol d'une portée allant jusqu'à 300 kilomètres. Washington a justifié cette autorisation par le récent déploiement de soldats nord-coréens dans la région frontalière russe de Koursk. Alors que le conflit passait le cap des 1.000 jours, le 19 novembre, Kyiv a frappé un poste de commandement russe dans la région de Koursk. En réponse, le président russe a annoncé l'adoption d'une nouvelle doctrine nucléaire qui élargit la possibilité d'un recours à l'arme atomique en cas d'attaque « massive » par un pays non nucléaire mais soutenu par une puissance nucléaire. Une référence claire à l'Ukraine et aux États-Unis. Les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Union européenne ont dénoncé « une rhétorique irresponsable » de la part de la Russie.Alors que la Russie pousse son avantage sur la ligne de front, en s'emparant de territoires, dans l'est du pays, à une rapidité inédite, les Etats-Unis ont annoncé, le 20 novembre, que pour aider l'Ukraine à freiner l'avancée des Russes, ils allaient fournir à Kyiv des « mines antipersonnel non-persistantes », c'est-à-dire équipées d'un dispositif d'autodestruction ou d'autodésactivation. Une mesure dénoncée non seulement par la Russie, et jugée « désastreuse » par la Campagne internationale pour interdire les mines, une organisation qui a reçu le prix Nobel de la paix en 1997. L'Ukraine est aujourd'hui le pays le plus miné au monde, avec 23 % de son territoire pollué par des mines terrestres et des munitions non explosées, indiquait dans un rapport en octobre, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).Le 21 novembre Vladimir Poutine a déclaré que Moscou « avait lancé un nouveau missile balistique de portée intermédiaire sur l'Ukraine, en réponse à l'utilisation récente par ce pays d'armes américaines et britanniques pour frapper plus en profondeur » le territoire russe. Il a précisé que l'engin était un nouveau type de missile balistique hypersonique baptisé « Orechnik » - « noisetier », en russe -, dans sa « configuration dénucléarisée ». Le tir a visé un « site du complexe militaro-industriel ukrainien » dans la ville de Dnipro, a-t-il ajouté. C'est une première dans l'histoire du nucléaire militaire. Il n'était pas chargé – d'où l'absence d'explosion au sol –, mais, avec un tel tir, les Russes ont franchi un pas dans l'escalade avec les Occidentaux. Face aux risques importants de méprise, donc de riposte et d'escalade nucléaire, la Russie a indiqué avoir prévenu les Etats-Unis de son tir. Une annonce confirmée par Washington.Face aux nouvelles menaces du président russe, qui prévient qu'il pourrait désormais les frapper directement, les Occidentaux hésitent, vis-à-vis de l'Ukraine, entre un soutien réitéré mais assorti de limites (Joe Biden), des promesses verbales (Otan, France, Royaume-Uni et Suède), et la « prudence » (Allemagne).Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

C dans l'air
La censure s'approche...le scénario grec aussi? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 63:40


C dans l'air du 28 novembre - La censure s'approche...le scénario grec aussi?Michel Barnier tombera-t-il dès la semaine prochaine ? La censure semble se rapprocher, alors que le Rassemblement national (RN), poussés par ses électeurs, agite de plus en plus cette menace, balayant les mots d'alerte du gouvernement sur la potentielle "tempête" que déclencherait sa chute. Les députés du parti d'extrême droite se sont réunis ce jeudi à 14 h en présence de leur cheffe, Marine Le Pen, et du président du parti, Jordan Bardella qui affirme que le "gouvernement tombera s'il s'entête". Sans "main tendue" du Premier ministre, les députés RN pourraient voter la censure, peut-être dès la semaine prochaine sur le budget de la Sécurité sociale, à propos duquel députés et sénateurs sont parvenus à un compromis.Plus qu'une question de jours ? Le Parti socialiste (PS) a confirmé qu'il votera la motion de censure contre Michel Barnier si le Premier ministre déclenche le 49.3 pour faire passer sans vote le budget de l'État et celui de la Sécurité sociale. "Il n'y a eu aucun effort pour associer les groupes socialistes à une solution budgétaire", a regretté ce matin François Hollande sur France Inter. "Quand il n'y a ni le rétablissement de l'impôt sur la fortune, ni la remise en cause de la flat tax, ni un prélèvement sur les revenus les plus élevés […] il y a une réduction des postes dans l'Education nationale et des déremboursements de médicaments […] Comment voulez-vous que des socialistes, quelle que soit leur sensibilité, puissent laisser passer un budget comme celui-là ?" a affirmé l'ancien chef de l'Etat. L'instance décisionnaire du parti a "confirmé à l'unanimité le vote d'une motion de censure", s'est félicité de son côté le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure qui se prépare, au vu des événements, à devoir réunir à nouveau bientôt ses troupes, beaucoup moins unanimes quand il s'agit d'imaginer l'après-Barnier. Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Boris Vallaud a ouvert une porte ce week-end à un contrat de gouvernement avec d'autres - le Modem notamment - ainsi qu'une participation à un exécutif conduit par un Premier ministre technique. L'ancien chef de l'Etat François Hollande de son côté s'est dit ce jeudi opposé à une nomination de Lucie Castets si la coalition Barnier tombait et contre une démission d'Emmanuel Macron comme le réclament certains à gauche et à droite.Plusieurs figures somment ces dernières heures le président de la République de démissionner pour démêler le nœud de la crise politique. Après l'appel du député Liot Charles de Courson mercredi matin en ce sens, le maire de Meaux (Seine-et-Marne) Jean-François Copé préconise la même solution. Pour le RN, "le départ du président s'imposera à lui si le pays se bloque". Du côté de LFI, Jean-Luc Mélenchon parle également ce jeudi dans un long texte sur son blog d'une "pente irréversible" dans le contexte politique actuel et ce alors que ou les chiffres de l'institut Elabe (pour BFMTV) montrent que plus de 6 Français sur 10 sont favorables au départ d'Emmanuel Macron en cas de censure de Michel Barnier.Une question qui agite les différentes formations politiques alors que la bataille parlementaire se poursuit dans l'hémicycle. La gauche, soutenue par le RN, tente ce jeudi d'abroger la très décriée réforme des retraites de 2023, dans le cadre de la niche parlementaire de La France insoumise à l'Assemblée nationale. Mais le texte, qui prévoit de ramener de 64 à 62 ans l'âge légal de départ à la retraite et qui aurait toutes les chances d'être adopté grâce au soutien de l'ensemble de la gauche et du RN, pourrait ne pas être soumis au vote avant l'heure limite de minuit. "Honte à vous de faire obstruction et de vous entêter", s'est indigné le rapporteur du texte, le député insoumis Ugo Bernalicis. Les élus de la droite et du centre ont en effet déposé des centaines d'amendements afin de tenter de faire durer les débats jusqu'à l'heure fatidique, à minuit. Le climat est déjà électrique…Le gouvernement de son côté s'est dit ce jeudi disposé à faire "des concessions" sur les textes budgétaires, notamment sur la taxe sur l'électricité. Après avoir déjà partiellement accédé aux demandes de Laurent Wauquiez et Gabriel Attal – sur l'indexation des retraites pour l'un et sur les allègements de charge de l'autre -c'est cette fois une exigence de Marine Le Pen que le Premier ministre a décidé de satisfaire en annonçant dans un entretien au Figaro ce jeudi "une baisse des prix de l'électricité de 14 %".Mais ce nouveau recul permettra-t-il au gouvernement d'éviter la censure ? Quels sont les scénarios possibles pour ces prochaines semaines ? L'hypothèse d'une démission d'Emmanuel Macron est-elle crédible en cas de vote d'une motion de censure ?Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Anne-Charlène BEZZINA (en duplex) - Politologue et constitutionnaliste, maître de conférences en droit publicPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

L'invité de RTL
POLITIQUE - Boris Vallaud est l'invité de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 9:32


Michel Barnier agite la menace du blocage, et même du chaos politique en cas de chute de son gouvernement : les Socialistes voteront-ils la censure ? Ecoutez l'interview de Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, député PS des Landes. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 28 novembre 2024.

L'invité de RTL
POLITIQUE - Emmanuel Grégoire, député (PS) de Paris, est l'invité de RTL Soir

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Nov 27, 2024 7:38


La France aura-t-elle un budget pour Noël ? Marine Le Pen menace plus que jamais de faire tomber le gouvernement en votant la censure avec la gauche, alors que Boris Vallaud, président du groupe PS à l'Assemblée nationale est reçu à Matignon. Le vote du budget 2025 cristallise les tensions entre les parlementaires de l'Assemblée nationale. La censure de l'exécutif Barnier tombera-t-elle la semaine prochaine ? Ecoutez l'interview de Emmanuel Grégoire, député (PS) de Paris, candidat à la mairie de Paris pour 2026. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 27 novembre 2024.

L'opinion de Nicolas Beytout
Censure : et si la gauche revient au pouvoir ?

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Nov 26, 2024 3:59


Alexis Brézet analyse les tensions autour du gouvernement français. Après une rencontre houleuse entre Michel Barnier et Marine Le Pen, une motion de censure semble imminente. Alexis Brézet explore les scénarios possibles : si Barnier tombait, un gouvernement socialo-macroniste dirigé par Bernard Cazeneuve ou Boris Vallaud pourrait émerger, mais il note que ce changement ne serait qu'une continuité sous une autre forme, avec les risques traditionnels d'une gauche renforcée.Malgré les critiques, Alexis Brézet souligne les efforts de ministres comme Bruno Retailleau sur l'immigration et Guillaume Casparian sur la réforme publique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Les interviews d'Inter
Boris Vallaud : le PS "ne soutient pas" la proposition de suppression du délit d'apologie du terrorisme

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Nov 24, 2024 53:54


durée : 00:53:54 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Boris Vallaud est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il revient notamment sur le vote du budget et la possibilité d'une motion de censure, la possible abrogation de la réforme des retraites, et sur la proposition émanant d'un député LFI de supprimer le délit d'apologie du terrorisme.

Questions politiques
Boris Vallaud : le PS "ne soutient pas" la proposition de suppression du délit d'apologie du terrorisme

Questions politiques

Play Episode Listen Later Nov 24, 2024 53:54


durée : 00:53:54 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Boris Vallaud est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il revient notamment sur le vote du budget et la possibilité d'une motion de censure, la possible abrogation de la réforme des retraites, et sur la proposition émanant d'un député LFI de supprimer le délit d'apologie du terrorisme.

Le sept neuf
Boris Vallaud : "De peur de trop en dire, Michel Barnier n'a pas dit grand chose"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 9:30


durée : 00:09:30 - L'invité de 7h50 - Boris Vallaud, député PS des Landes, président du groupe PS à l'Assemblée nationale et auteur de "En permanence" (Odile Jacob, 2 octobre) est l'invité de 7h50 ce mercredi 2 octobre. Il dénonce la déclaration de politique générale "très floue" du Premier ministre Michel Barnier. - invités : Boris Vallaud - Boris Vallaud : Député de la troisième circonscription des Landes

Le sept neuf
Boris Vallaud / Sébastien Chenu / Julia Cagé X Ludovic Vigogne X Guillaume Roquette / SDM / Lisa Hazan

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 178:41


durée : 02:58:41 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Boris Vallaud, Sébastien Chenu, Julia Cagé X Ludovic Vigogne X Guillaume Roquette, SDM, Lisa Hazan sont les invités du 7/10 ce mercredi 2 octobre

Les interviews d'Inter
Boris Vallaud : "De peur de trop en dire, Michel Barnier n'a pas dit grand chose"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 9:30


durée : 00:09:30 - L'invité de 7h50 - Boris Vallaud, député PS des Landes, président du groupe PS à l'Assemblée nationale et auteur de "En permanence" (Odile Jacob, 2 octobre) est l'invité de 7h50 ce mercredi 2 octobre. Il dénonce la déclaration de politique générale "très floue" du Premier ministre Michel Barnier. - invités : Boris Vallaud - Boris Vallaud : Député de la troisième circonscription des Landes

RTL Matin
PREMIER MINISTRE - Boris Vallaud, chef du groupe des députés socialistes, est l'invité de RTL Midi

RTL Matin

Play Episode Listen Later Aug 23, 2024 7:38


Ce matin, les représentants du NFP et Lucie Castets ont rencontré Emmanuel Macron à l' Élysée. Pour en parler, Boris Vallaud, président des socialistes à l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Agnès Bonfillon du 23 août 2024.

L'invité de RTL
PREMIER MINISTRE - Boris Vallaud, chef du groupe des députés socialistes, est l'invité de RTL Midi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Aug 23, 2024 7:38


Ce matin, les représentants du NFP et Lucie Castets ont rencontré Emmanuel Macron à l' Élysée. Pour en parler, Boris Vallaud, président des socialistes à l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Agnès Bonfillon du 23 août 2024.

Le vrai du faux
En Allemagne, la coalition a-t-elle mis six mois pour parvenir à un accord de gouvernement ?

Le vrai du faux

Play Episode Listen Later Jul 17, 2024 2:16


durée : 00:02:16 - Le vrai ou faux - Interrogé sur les longues et difficiles négociations au sein du Nouveau Front populaire, Boris Vallaud, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale a affirmé que le NFP ne pouvait pas "faire en six jours, ce que l'Allemagne a fait en six mois".

RTL Matin
POLITIQUE - Boris Vallaud est l'invité de RTL Midi

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 11, 2024 6:08


Député des Landes et président du groupe socialiste dans l'Assemblée sortante, Boris Vallaud réagit au propos tenus par Emmanuel Macron dans sa lettre adressée aux Français dans la presse quotidienne régionale. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot du 11 juillet 2024.

Le sept neuf
Boris Vallaud : "Les socialistes ont leur légitimité" à proposer un nom de Premier ministre

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jul 9, 2024 9:11


durée : 00:09:11 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Boris Vallaud, député PS réélu des Landes, et invité de Sonia Devillers, estime que le futur Premier ministre pourrait être "un ou une socialiste". - invités : Boris Vallaud - Boris Vallaud : Député de la troisième circonscription des Landes