Podcasts about l'oubli

durée : 00:02:10 - Histoires d'info - par : Thomas Snégaroff - Ils ont subi un ou des échecs et ils ont été célèbres. Thomas Snégaroff nous fait revivre les moments les plus épiques de leur vie. Jeudi, la découverte du talent de Paul Gauguin, 40 ans après sa mort.

durée : 00:04:30 - Les livres de France Bleu Maine - Arbre de l'oubli : Une partition où se joue le parcours d'une famille américaine sur trois générations !

Chronique d’Elsie Lefebvre, chroniqueuse au Journal de Montréal et Journal de Québec : Les différentes réouvertures du déconfinement ne concernent pas les lieux dédiés à la jeunesse.  Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

C’était il y a 10 ans. Le début de la révolution syrienne réprimée depuis dans le sang par le régime de Bachar el-Assad. À cette occasion, le dessinateur syrien Najah Albukai présente ses œuvres à la galerie Fait et Cause à Paris et dans un livre baptisé Tous témoins, avec des textes de personnalités du monde de l’art comme Wajdi Mouawad, Olivier Py, Elias Sanbar ou Sebastiao Salgado. Exilé depuis 2015 en France après avoir subi détention et torture en Syrie, Najah Albukai dessine contre l’oubli. Ce sont des hommes à moitié nus qui transportent un cadavre dans une couverture. Un autre, le dos tordu par ses bourreaux sur une chaise sans dossier. Dessinées au stylo bille ou à la gouache, les œuvres de Najah Albukai disent toutes les tortures infligées aux prisonniers des geôles du régime de Bachar el-Assad. Lui-même a passé 70 jours traumatisants au centre 227 des Services de renseignement militaire de Damas en 2014. « Ça c'est un couloir dans lequel on passait deux fois par jour pour faire nos besoins. Au fond du couloir, il y avait des toilettes. En passant, il y avait des jeunes pendus par les mains et un soldat qui les frappait avec un câble », nous raconte l'artiste. Les dessins de Najah Albukai sont peuplés de corps décharnés, d’hommes aux yeux vides, entassés les uns contre les autres. « On était à peu près 3 200 sans aération, sans infirmière, sans savon. Avec les tortures, les prisonniers étaient couverts de sang et leurs blessures s'infectaient. Il y en a qui tombaient malades et d'autres sont morts sous la torture. J'ai été réquisitionné à décharger les cadavres dans les camions... », témoigne le dessinateur. Najah Albukai était professeur de dessin aux Beaux Arts de Damas quand il a rejoint les premières manifestations en mars 2011. « On s'est sentis encouragés par la vague en Tunisie, puis en Égypte et en Libye. Le fait que la population a commencé à sortir, cette étincelle de liberté, personne ne peut l'empêcher. Le fait d'avoir visité l'Europe – j'ai fait mes études à Rouen –, cet élan de liberté m'envoûtait. » Arrêté, incarcéré à plusieurs reprises, puis libéré grâce à la mobilisation de sa femme et sa famille, Najah Albukai s’est exilé en 2015 en France, après une courte halte au Liban, où s’est imposée l’urgence de dessiner. « Quand je suis arrivé à Beyrouth, j'ai commencé à dessiner avec tous les moyens que j'avais : bouts de papiers, affiches,... C'était une sorte de besoin vital. Franchement, mon but n'était pas d'exposer mais de témoigner » nous dit-il. Témoignages contre l’oubli, ces dessins ont, depuis aussi, révélé en Najah Albukai un artiste de grand talent, digne héritier de Goya, dans sa manière de graver la souffrance des suppliciés. « Tous Témoins », une exposition et un livre autour des dessins de Najah Albukai ; c’est aussi une soirée retransmise samedi en direct depuis la Maison de la Poésie, avec le même Najah Albukai la guitare et au Oud, Nancy Huston au piano, ou encore des textes lus par Laurent Gaudé, Philippe Claudel, et le metteur en scène Wajdi Mouawad.

La pandémie n'aura pas épargné l'agriculture française. Cette année se déroulera sans la vitrine annuelle parisienne du Salon de l'agriculture. Et parmi la guerre des prix que se livrent les distributeurs, aucune marge n'est laissée aux agriculteurs, contraints, parfois de vendre à perte. Où en est la loi Egalim et comment améliorer le modèle français ? Le point dans "L'Info éco".

Du « 105e étage » de « la bibliothèque de Babel », ce jeune musicien venu de Saint-Etienne aimerait « stopper le progrès intellectuel de l'humanité », avant d'improviser au piano sur un thème de Stevie Wonder.« Videz les jerricanes. » Mi-2020, l'effondrement à venir de la civilisation industrielle nous offrait une ritournelle en deux minutes trente-deux. Derniers dans le monde, signée Fils Cara, conte la fonte des pôles, ainsi qu'un « crash » imminent – prétexte comme un autre pour tout arroser d'essence et craquer une allumette – où jaillit cet avantage : bientôt, « plus de fric et d'armes, on sera si bien » ; lisons d'ailleurs cette punchline comme le marqueur de ce qui sépare ce musicien à col roulé de 25 ans, venu de Saint-Etienne et prénommé Marc, de ses confrères du rap game.« Cara » est le nom de sa mère, « une personne extrêmement travailleuse » dont le patronyme fut choisi par le fils pour servir de « bonne étoile ». Début 2019, celui qui se décrit comme un « diamant dans un océan de merde » (sur Petit Pan) arrête son boulot d'ouvrier en usine « et les fins de semaine rincées par le labeur et le goût du café » pour monter à Paris et publier, flanqué de son frère Francis au piano, deux mini-albums de huit titres, Volume (2019) et Fictions (2020) via le label Microqlima, écosystème des expériences d'Isaac Delusion ou de L'Impératrice. Ce n'est pas tellement du rap, en fait ; plutôt de la chanson humble et sensible. En témoigne ses marottes musicales éclectiques, de Bon Iver à Booba, de Gainsbourg aux Sages Poètes de la Rue, en passant par Agnès Obel et Nirvana – groupe à propos duquel il est incollable au point de désigner ses premiers sons sous le nom de « sub pop », en clin d'œil au premier cocon des rois maudits du grunge.« Savoir écrire, c'est dire n'importe quoi sur un ton plus ou moins radical », dit-il. Plus ou moins, en effet : on découvre ainsi les rimes douces-amères d'un lecteur de l'écrivain Jorge Luis Borges – auteur d'un célèbre et génial recueil de nouvelles intitulé Fictions, en 1944. Il n'est donc pas étonnant de l'entendre nous proposer, en nous téléphonant d'une cabine située au « 105e étage » de la « bibliothèque de Babel » (Borges, encore), la fondation d'une « académie de l'oubli » à destination de « futurs enfants », visant à « stopper le progrès intellectuel de l'humanité, pendant quelques années », le temps de retrouver « l'état de nature » et « des vies superficielles » jusqu'à… oublier « l'existence même de l'académie ».Fils Cara se rappelle, cependant, des notes du morceau qu'il reprend spécialement pour Nova : Seasons, instrumental cosmique tiré du double album Journey through the secret life of plants (1979) de Stevie Wonder, soit la bande-son d'un documentaire lui-même adapté de l'enquête des journalistes Peter Tompkins et Christopher Bird sur les prétendues « perceptions extra-sensorielles » des végétaux. Merci, Fils.Réalisation : Mathieu Boudon.Image : modélisation de la nouvelle Le Jardin aux sentiers qui bifurquent, de Jorge Luis Borges, par le département neurologie de l'Université de Californie (2018). See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Alix Garin publie un roman graphique touchant sur la maladie d'Alzheimer. Le road movie d'une vieille dame et de sa petite fille sur les routes de Belgique vers les souvenirs d'une vie. Touchant et rempli d'humanité. C’est un récit très émouvant, plein d’amour et de tendresse, de mélancolie et de poésie, avec une pointe d’humour aussi. Trois jours de road-trip sur les routes de Belgique, trois jours de partage d’émotions, de souvenirs, d’angoisses et d’interrogations, entre une grand-mère et sa petite fille. Un instant volé au temps, au rythme des caprices d’une mémoire rendue défaillante par la maladie d’Alzheimer. Voilà ce qu’a choisi de raconter cette jeune autrice de bande dessinée dans un premier album qui vous reste longtemps dans la tête. «Ne m’oublie pas», d’Alix Garin est publié aux éditions du Lombard. Au menu de ce Café Gourmand : - Fanny Bleichner nous plonge dans l’univers intime de Karl Lagerfeld, à travers le récit de celui qui a été son garde du corps, puis son bras droit, Sébastien Jondeau. Il vient de publier Ça va cher Karl ? aux éditions Flammarion - Amélie Beaucour raconte l’histoire d’Horace Frink. L’un des premiers Américains à avoir promu la psychanalyse de Freud aux États-Unis, mais qui a également été l’un de ses patients. Frink & Freud, une bande dessinée signée Pierre Péju et Lionel Richerand - José Marinho souffle les bougies des 20 ans de carrière de Vitalic. À cette occasion, ce Dj et producteur star sort un coffret collector de ses cinq albums phares en vinyle - Alain Pilot surfe sur la musique d'Agape, à l'occasion de la sortie de leur mini-album Tsunami édité par le label Pias. 

Les habitants de huit douars des provinces de Taounate et d'Al Hoceïma se sont retrouvés coupés du monde suite à d'importantes chutes de neige. Ils sont victimes de l'enclavement, signe et vecteur de sous-développement. Une équipe de journalistes de Telquel s'est rendue sur place pour y receuillir des témoignages. Retour sur le périple avec Rachid Hallaouy et Jassim Ahdani.   Pour plus d'enquêtes, reportages et analyses, abonnez vous à Telquel sur https://telquel.ma/abo

La proposition de loi contre la maltraitance animale arrive cette semaine dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Pour en parler, Matthieu Belliard reçoit Hugo Clément, journaliste, initiateur du référendum pour les animaux et auteur du livre "Journal de guerre écologique" aux éditions Fayard.

Cette semaine, le "Portrait de femme au cinéma" est consacré à Jacqueline Audry. Réalisatrice française, elle est la seule femme cinéaste de l'après-guerre. En 24 ans de carrière, elle a sorti 16 long-métrages mais ses films vont être balayés par l'arrivée de la Nouvelle Vague. Jacqueline Audry est tombée dans l'oubli. Margot vous présente les actualités culturelles du jour et Quentin vous parle de ses sorties d'albums préférés. Le son du jour : Kota the Friend - Emotionally Dumb

Il concerne plus de 38 millions de personnes à travers le monde. On a tendance à l'oublier, mais le VIH tue encore : jusqu'à un million de personnes chaque année. En ce 1er décembre, Journée mondiale de lutte contre le sida, l'agence onusienne chargée de lutter contre la maladie appelle à intensifier l'action à l'horizon 2025, car le monde a pris du retard. En cause : la pandémie de coronavirus a perturbé le dépistage dans les régions confinées et bouleversé le suivi pour de nombreux patients atteints. La lutte contre le sida est-elle la grande oubliée du Covid-19 ?

durée : 00:59:15 - Debattle - Selon la Fondation Abbé Pierre, la France compte près de 300 000 sans-domicile-fixe. Un chiffre qui a doublé en 8 ans.

durée : 00:03:42 - Le monde d'après - Petit regard dans le rétroviseur: il y a un an pile, la Turquie lançait une offensive contre les Kurdes dans le Nord de la Syrie. Un an après, plus personne n’en parle, et les Kurdes paient la facture. Elle est lourde. C’est le « monde d’après ».

durée : 00:03:08 - Les livres de France Bleu Maine - Un roman graphique adapté du livre Mémoires de Beate et Serge Klarsfeld et fait sous leur contrôle, pour l'histoire, la mémoire et la justice.

Souvenez-vous… Souvenez-vous de ces hommes, ces femmes et ces enfants qui fuient la guerre. Souvenez-vous de ces camps de réfugiés aux portes de l’Europe. Souvenez-vous de Lampedusa, des naufrages en Méditerrannée. Souvenez-vous de la crise migratoire qui faisait la une. C’était il y a des siècles...

Rcupration de lidal par le monde de l'oubli (16/06/20) by Rav Avraham IFRAH

La crise du coronavirus a déjà suscité un bon nombre de comparaisons historiques, avec le SARS, la grippe espagnole, plus rarement avec la peste pneumonique de 1910. Pourtant, c’est lors de cette épidémie en Chine, que le médecin malaisien Wu Lien Teh a proposé pour la première fois le port du masque généralisé, entre autres mesures novatrices. Oublié aujourd’hui en dehors des cercles d’historiens ou des communautés chinoises malaisiennes, Gabrielle Maréchaux exhume son travail avec l’historien Danny Wong.

durée : 00:29:10 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - Ce second épisode fait une halte dans d'immenses entrepôts, au milieu des rayonnages, des édifices de cartons et de palettes. Une sorte d'amazon, mais anticapitaliste. Peter Sodann est comédien et ancien directeur de théâtre en RDA, où il grandit, fut formé et travailla la plus grande partie de sa vie. Il est bien connu du public allemand pour avoir incarné après la réunification le commissaire de la très emblématique série policière Tatort. * 2nd épisode : Une bibliothèque contre l'oubli En 1990, quelques mois après la chute du mur, dans la fièvre et la stupeur qui saisit L'Allemagne de l'Est, il observe à Halle comment une bibliothèque entière d'ouvrages publiés en RDA rejoint le pilon. Que raconter sans mémoire ? Il commence alors à collectionner ces livres et recueillir chez lui les bibliothèques abandonnées. Tout, sans discrimination : des textes politiques, mais aussi des contes et des livres pour enfants, des guides de voyage, des poèmes, les ouvres de grands écrivains, toute une production de papier qui a nourri les imaginaires.  Située dans la propriété de Peter Sodann à Staucha, un lieu-dit en pleine campagne Saxonne à l'est de l'Allemagne, la bibliothèque ouvre ses portes au public en 2012. Des rayonnages et des rayonnages dans une ancienne étable, où l'on est accueilli par le maître des lieux. Elle est fréquentée aujourd'hui par des chercheurs mais aussi beaucoup de curieux : la nature non universitaire de Staucha en fait un lieu de rencontre singulier et aujourd'hui encore, les livres envoyés par des particuliers viennent quotidiennement enrichir le fonds bientôt ingérable. Avec : Peter Sodann, comédien et ancien directeur de théâtre ; Vincent von Wroblewsky, philosophe et traducteur et la voix de Doris Streibl Un documentaire de Marie Chartron réalisé par Yvon Croizier. Archive INA : Véronique Jolivet. Recherche internet et documentation : Annelise Signoret. Collaboration : Suzanne Saint-Cast, Lucie Rebière et Julia Martin Bibliographie Sonia Combe, La Loyauté à Tout Prix. Les Floués Du « Socialisme Réel », Le bord de l'eau, 2019 Sophie Rosenzweig (ed), Le lien rompu, chroniques de la réunification allemande, Ed. du Félin, 1991 Nicolas Offenstadt, Le pays disparu. Sur les traces de la RDA, Paris, Stock, coll. «Les Essais », 2018 Pour aller plus loin... Le site des Editions Basisdruck Site de la série tv Tatort, diffusée sur la chaîne Das Erste, ARD. Portrait de Peter Sodann, publié dans le Süddeutsche Zeitung Magazin le 14 mars 2014. Site de la Bibliothèque fondée par Peter Sodann : historique, catalogue. La littérature fait partie de la culture, on ne la jette à la poubelle : portrait de Peter Sodann paru dans la revue suisse Horizons et débats, n°14, juin 2015. Votre prochaine Histoire particulière ... ... à écouter les samedi 16 et dimanche 17 novembre à 13h30.

durée : 00:29:10 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - Ce second épisode fait une halte dans d'immenses entrepôts, au milieu des rayonnages, des édifices de cartons et de palettes. Une sorte d'amazon, mais anticapitaliste. Peter Sodann est comédien et ancien directeur de théâtre en RDA, où il grandit, fut formé et travailla la plus grande partie de sa vie. Il est bien connu du public allemand pour avoir incarné après la réunification le commissaire de la très emblématique série policière Tatort. * 2nd épisode : Une bibliothèque contre l'oubli En 1990, quelques mois après la chute du mur, dans la fièvre et la stupeur qui saisit L'Allemagne de l'Est, il observe à Halle comment une bibliothèque entière d'ouvrages publiés en RDA rejoint le pilon. Que raconter sans mémoire ? Il commence alors à collectionner ces livres et recueillir chez lui les bibliothèques abandonnées. Tout, sans discrimination : des textes politiques, mais aussi des contes et des livres pour enfants, des guides de voyage, des poèmes, les ouvres de grands écrivains, toute une production de papier qui a nourri les imaginaires.  Située dans la propriété de Peter Sodann à Staucha, un lieu-dit en pleine campagne Saxonne à l'est de l'Allemagne, la bibliothèque ouvre ses portes au public en 2012. Des rayonnages et des rayonnages dans une ancienne étable, où l'on est accueilli par le maître des lieux. Elle est fréquentée aujourd'hui par des chercheurs mais aussi beaucoup de curieux : la nature non universitaire de Staucha en fait un lieu de rencontre singulier et aujourd'hui encore, les livres envoyés par des particuliers viennent quotidiennement enrichir le fonds bientôt ingérable. Avec : Peter Sodann, comédien et ancien directeur de théâtre ; Vincent von Wroblewsky, philosophe et traducteur et la voix de Doris Streibl Un documentaire de Marie Chartron réalisé par Yvon Croizier. Archive INA : Véronique Jolivet. Recherche internet et documentation : Annelise Signoret. Collaboration : Suzanne Saint-Cast, Lucie Rebière et Julia Martin Bibliographie Sonia Combe, La Loyauté à Tout Prix. Les Floués Du « Socialisme Réel », Le bord de l'eau, 2019 Sophie Rosenzweig (ed), Le lien rompu, chroniques de la réunification allemande, Ed. du Félin, 1991 Nicolas Offenstadt, Le pays disparu. Sur les traces de la RDA, Paris, Stock, coll. «Les Essais », 2018 Pour aller plus loin... Le site des Editions Basisdruck Site de la série tv Tatort, diffusée sur la chaîne Das Erste, ARD. Portrait de Peter Sodann, publié dans le Süddeutsche Zeitung Magazin le 14 mars 2014. Site de la Bibliothèque fondée par Peter Sodann : historique, catalogue. La littérature fait partie de la culture, on ne la jette à la poubelle : portrait de Peter Sodann paru dans la revue suisse Horizons et débats, n°14, juin 2015. Votre prochaine Histoire particulière ... ... à écouter les samedi 16 et dimanche 17 novembre à 13h30.

durée : 00:29:06 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - par : Dominique Prusak - "Surtout, fermez les yeux, ne regardez pas ! Birkenau, maintenant, c’est un décor. Comment imaginer la fumée, les cris, les bousculades, ces dizaines de milliers de gens transformés en esclaves, qui travaillent, qui courent et qui tombent de fatigue ?" - réalisation : Guillaume Baldy

durée : 00:29:06 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - par : Dominique Prusak - "Surtout, fermez les yeux, ne regardez pas ! Birkenau, maintenant, c’est un décor. Comment imaginer la fumée, les cris, les bousculades, ces dizaines de milliers de gens transformés en esclaves, qui travaillent, qui courent et qui tombent de fatigue ?" - réalisation : Guillaume Baldy

durée : 00:28:42 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - par : Dominique Prusak - Ginette raconte son enfance, son adolescence sous l’occupation, l’étoile jaune obligatoire, l’arrestation à Avignon, les camps, le retour… et surtout la philosophie de la vie qu’elle en a tirée. - réalisation : Guillaume Baldy

durée : 00:28:42 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - par : Dominique Prusak - Ginette raconte son enfance, son adolescence sous l’occupation, l’étoile jaune obligatoire, l’arrestation à Avignon, les camps, le retour… et surtout la philosophie de la vie qu’elle en a tirée. - réalisation : Guillaume Baldy

durée : 00:45:53 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - La déflagration du "Consentement", récit d'une relation d'emprise terrible entre un écrivain reconnu et l'autrice de ce livre Vanessa Springora, mineure à l'époque, amène à revenir sur des années de connivence dans le milieu littéraire. Connivence qui recouvrait parfois d'insupportables violences. - réalisation : Véronique Vila - invités : Blandine Rinkel Ecrivaine; Michèle Idels codirectrice des éditions Des Femmes-Antoinette Fouque; Denis Collin Philosophe, spécialiste du marxisme

durée : 00:29:10 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - Ce second épisode fait une halte dans d'immenses entrepôts, au milieu des rayonnages, des édifices de cartons et de palettes. Une sorte d'amazon, mais anticapitaliste. Peter Sodann est comédien et ancien directeur de théâtre en RDA, où il grandit, fut formé et travailla la plus grande partie de sa vie. Il est bien connu du public allemand pour avoir incarné après la réunification le commissaire de la très emblématique série policière Tatort. * 2nd épisode : Une bibliothèque contre l'oubli En 1990, quelques mois après la chute du mur, dans la fièvre et la stupeur qui saisit L'Allemagne de l'Est, il observe à Halle comment une bibliothèque entière d'ouvrages publiés en RDA rejoint le pilon. Que raconter sans mémoire ? Il commence alors à collectionner ces livres et recueillir chez lui les bibliothèques abandonnées. Tout, sans discrimination : des textes politiques, mais aussi des contes et des livres pour enfants, des guides de voyage, des poèmes, les ouvres de grands écrivains, toute une production de papier qui a nourri les imaginaires.  Située dans la propriété de Peter Sodann à Staucha, un lieu-dit en pleine campagne Saxonne à l'est de l'Allemagne, la bibliothèque ouvre ses portes au public en 2012. Des rayonnages et des rayonnages dans une ancienne étable, où l'on est accueilli par le maître des lieux. Elle est fréquentée aujourd'hui par des chercheurs mais aussi beaucoup de curieux : la nature non universitaire de Staucha en fait un lieu de rencontre singulier et aujourd'hui encore, les livres envoyés par des particuliers viennent quotidiennement enrichir le fonds bientôt ingérable. Avec : Peter Sodann, comédien et ancien directeur de théâtre ; Vincent von Wroblewsky, philosophe et traducteur et la voix de Doris Streibl Un documentaire de Marie Chartron réalisé par Yvon Croizier. Archive INA : Véronique Jolivet. Recherche internet et documentation : Annelise Signoret. Collaboration : Suzanne Saint-Cast, Lucie Rebière et Julia Martin Bibliographie Sonia Combe, La Loyauté à Tout Prix. Les Floués Du « Socialisme Réel », Le bord de l'eau, 2019 Sophie Rosenzweig (ed), Le lien rompu, chroniques de la réunification allemande, Ed. du Félin, 1991 Nicolas Offenstadt, Le pays disparu. Sur les traces de la RDA, Paris, Stock, coll. «Les Essais », 2018 Pour aller plus loin... Le site des Editions Basisdruck Site de la série tv Tatort, diffusée sur la chaîne Das Erste, ARD. Portrait de Peter Sodann, publié dans le Süddeutsche Zeitung Magazin le 14 mars 2014. Site de la Bibliothèque fondée par Peter Sodann : historique, catalogue. La littérature fait partie de la culture, on ne la jette à la poubelle : portrait de Peter Sodann paru dans la revue suisse Horizons et débats, n°14, juin 2015.

durée : 00:29:10 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - Ce second épisode fait une halte dans d'immenses entrepôts, au milieu des rayonnages, des édifices de cartons et de palettes. Une sorte d'amazon, mais anticapitaliste. Peter Sodann est comédien et ancien directeur de théâtre en RDA, où il grandit, fut formé et travailla la plus grande partie de sa vie. Il est bien connu du public allemand pour avoir incarné après la réunification le commissaire de la très emblématique série policière Tatort. * 2nd épisode : Une bibliothèque contre l'oubli En 1990, quelques mois après la chute du mur, dans la fièvre et la stupeur qui saisit L'Allemagne de l'Est, il observe à Halle comment une bibliothèque entière d'ouvrages publiés en RDA rejoint le pilon. Que raconter sans mémoire ? Il commence alors à collectionner ces livres et recueillir chez lui les bibliothèques abandonnées. Tout, sans discrimination : des textes politiques, mais aussi des contes et des livres pour enfants, des guides de voyage, des poèmes, les ouvres de grands écrivains, toute une production de papier qui a nourri les imaginaires.  Située dans la propriété de Peter Sodann à Staucha, un lieu-dit en pleine campagne Saxonne à l'est de l'Allemagne, la bibliothèque ouvre ses portes au public en 2012. Des rayonnages et des rayonnages dans une ancienne étable, où l'on est accueilli par le maître des lieux. Elle est fréquentée aujourd'hui par des chercheurs mais aussi beaucoup de curieux : la nature non universitaire de Staucha en fait un lieu de rencontre singulier et aujourd'hui encore, les livres envoyés par des particuliers viennent quotidiennement enrichir le fonds bientôt ingérable. Avec : Peter Sodann, comédien et ancien directeur de théâtre ; Vincent von Wroblewsky, philosophe et traducteur et la voix de Doris Streibl Un documentaire de Marie Chartron réalisé par Yvon Croizier. Archive INA : Véronique Jolivet. Recherche internet et documentation : Annelise Signoret. Collaboration : Suzanne Saint-Cast, Lucie Rebière et Julia Martin Bibliographie Sonia Combe, La Loyauté à Tout Prix. Les Floués Du « Socialisme Réel », Le bord de l'eau, 2019 Sophie Rosenzweig (ed), Le lien rompu, chroniques de la réunification allemande, Ed. du Félin, 1991 Nicolas Offenstadt, Le pays disparu. Sur les traces de la RDA, Paris, Stock, coll. «Les Essais », 2018 Pour aller plus loin... Le site des Editions Basisdruck Site de la série tv Tatort, diffusée sur la chaîne Das Erste, ARD. Portrait de Peter Sodann, publié dans le Süddeutsche Zeitung Magazin le 14 mars 2014. Site de la Bibliothèque fondée par Peter Sodann : historique, catalogue. La littérature fait partie de la culture, on ne la jette à la poubelle : portrait de Peter Sodann paru dans la revue suisse Horizons et débats, n°14, juin 2015.

LE REFOULEMENT : L'OUBLI DU TRAUMATISME Bonjour à tous mes Bloom ! Je suis @volllange créatrice de Podcast basé sur le développement personnel et l'épanouissement de soi. Je vous aide et vous guide vers le bien-être intérieur. Je vous aide à vous reconstruire face à un évènement post traumatique. Qu'est-ce que le refoulement ? Comment et quand intervient-il ? Pourquoi est-ce que nous refoulons ? Et surtout comment gérer le refoulement ? C'est toutes ces questions que j'aborde dans le Podcast de cette semaine. Pour télécharger les notes du Podcast : volllangeandlife.wixsite.com/bloglife/podcasts Pour aller voir mon Blog : volllangeandlife.wixsite.com/bloglife Si tu souhaites t'abonner à ma Newsletter pour avoir davantage de conseils sur le développement personnel et la reconstruction : volllangeandlife.wixsite.com/bloglife/newsletters N'hésitez pas à rejoindre le mouvement que j'ai créé sur Instagram #volllangelife afin de réunir ma communauté où nous partageons les mêmes valeurs. Publiez et Partagez à volonté ! J'ai déjà hâte de vous lire ! A très vite ! Instagram : www.instagram.com/volllange/?hl=fr Musique par Nordgroove de Fugue

L’oubli est un ennemi redoutable, un des plus grands ennemis que nous rencontrons tous sur notre chemin vers la maîtrise d’une langue, mais aussi de nombreuses autres disciplines… Même si nous sommes attentifs, nous oublions quasi instantanément une grande partie de ce que nous apprenons. L’ampleur du phénomène est assez impressionnante et a été mesurée pour la première fois par un psychologue allemand, Herman Ebbinghaus, dans une étude mythique qui l’a conduit à tracer la fameuse courbe de l’oubli. Alors, que dit la courbe de l’oubli ? Quelle quantité d’information peut-on espérer retenir après une séance de travail, et pour combien de temps ? Je vous propose de voir ça ensemble dans l’épisode d’aujourd’hui. A tout de suite ! Lien vers le Starter Kit : https://formations.languagebooster.fr/starter-kit

Tous les matins, à 06H40 et 08H40, c'est les Sondages du matin.

- Serge et Jean-Philippe réfléchissent à l'oubli en évoquant les différences entre cette notion et celle du pardon - Entrevue avec Abla Farhoud : Son livre Le dernier des snoreaux ; aussi, le rôle de la mémoire et de l'oubli dans son parcours d'immigrante d'origine libanaise - En circuit fermé avec Serge Bouchard : De quoi se souvient une poussière d'étoile ?

- Serge et Jean-Philippe réfléchissent à l'oubli en évoquant l'hypothèse que nous vivions dans une société hypermnésique - Entrevue avec Matthieu Simard : son roman Les écrivements, dont le thème principal est l'oubli - Entrevue avec la neuropsychologue Isabelle Rouleau : les impacts des nouvelles technologies sur la mémoire humaine - En circuit fermé avec Serge Bouchard : Le chandail numéro 14 des Canadiens

- Serge et Jean-Philippe réfléchissent à l'oubli en évoquant la pensée de Nietzsche - Entrevue avec Yan Giroux : son film À tous ceux qui ne me lisent pas, sur le poète oublié Yves Boisvert - Chronique de Catherine Voyer-Léger : l'amnésie traumatique, un procédé narratif efficace - En circuit fermé avec Serge Bouchard : Oubliettes et cie

durée : 00:52:37 - Patrick Boucheron et Michaël Foessel : histoire et mémoire, comment lutter contre l'oubli - Discussion entre un historien et un philosophe engagés au-delà de leur sphère académique respective, l'historien Patrick Boucheron, et le philosophe Michaël Foessel.

Ce nouvel épisode en deux parties est consacré à l'oeuvre de Cheb Hasni à travers le témoignage d'algériens. Playlist: Matoub Lounes- Kenza Cheb Hasni - Tal ghaybek ya ghzali Cheb Hasni - Matebkich Cheb Hasni - Mektoub alia noual fek Babylone - Baida mon amour (Cheb Hasni Cover) Mohamed Lammouri - Tgoul maaraft (Cheb Hasni cover)

Ce nouvel épisode en deux parties est consacré à l'oeuvre de Cheb Hasni à travers le témoignage d'algériens. Playlist: Liamine Haimoune - Ya Djazair ya hbibti Debza- Ya el manfi Cheb Hasni - Bakhta Cheb Hasni - Gaa Nsaa Cheb Hasni - La Baraka Cheb Hasni - Andi les souvenirs Cheb Hasni - Had Zine jay men l'Allemagne Archives vidéos : Extrait manifestation du 24 octobre 1988 : "Avant de Franchir la ligne d'horizon" documentaire de Habiba Djahnine. Disponible sur youtube https://www.youtube.com/watch?v=yNbys2hrBo0&t=213s Extrait archives du documentaire "Algérie: Autopsie d'une tragédie" diffusé sur France 3

Xavier PUJADAS, Université Ramon Llull, Barcelone

Xavier PUJADAS, Université Ramon Llull, Barcelone

Méchant Curieux, Épisode 16 (MC16) L'histoire de Marthe, femme forte qui, toute sa vie, aura pris soin de sa famille et des gens autour d'elle. L'histoire de Marthe, femme fragile qui, malgré elle, est de plus en plus enveloppée par l'oubli. L'histoire de ses filles Suzie et de Monique qui n'ont pas hésité. Leur courage, leur résilience, leur amour. Pour me rejoindre sur Facebook ou Twitter : @mechantcurieux Vous pouvez aussi m'envoyer vos commentaires par courriel à mechantcurieux@gmail.com Musique : Seule, Serge Fiori, Serge Fiori

Méchant Curieux, Épisode 15 (MC15) L'histoire de Marthe, femme forte qui, toute sa vie, aura pris soin de sa famille et des gens autour d'elle. L'histoire de Marthe, femme fragile qui, malgré elle, est de plus en plus enveloppée par l'oubli. L'histoire de ses filles Suzie et de Monique qui n'ont pas hésité. Leur courage, leur résilience, leur amour. La suite dans l'Épisode 16... Pour me rejoindre sur Facebook ou Twitter : @mechantcurieux Vous pouvez aussi m'envoyer vos commentaires par courriel à mechantcurieux@gmail.com Musique : L'oubli, Ma vie dans la tienne, Lara Fabian  

Une étude biblique par David Price à l'Eglise Biblique Baptiste du Comminges.

Au programme de l'émission: les quota pour assurer la diversité dans les conseils d’administration (1m27), la longueur des délais dans les procédures criminelles (7m43), le droit à l’oubli (12m32), la chronique différente (27m47) et Au doctorat : l’intersection entre l’architecture et la biologie (34m26). Thème: Choses Sauvages - L'Épave Trouée

L’oubli du corps et du lien avec la terre, une situation paradoxale? Jamais, depuis la montée en puissance de la mondialisation technico-économique, on ne se sera autant affairé autour du corps : diktat de jeunesse, de jouissance, culte de soi dérivé des performances et des intérêts du monde de la santé, des cosmétiques, du sport, des loisirs… Ce corpo-centrisme, pourtant, va à l’encontre de l’être incarné, uni à soi-même et à l’environnement duquel il est issu. Ces liens forts entre l’esprit et le corps, entre le corps et la terre se réduisent. Quelles sont les techniques et les stratégies qui permettent de renforcer le lien à soi, à son corps et à la vie ?

Ne soyons des auditeurs oublieux car cela peut avoir de grosses conséquences !

Droit à l'anonymat, droit à l'oubli : l'identité numérique en question Raphaël PEUCHOT, Avocat au Barreau de Lyon - « La cybercriminalité est reconnue comme étant la nouvelle forme de criminalité du XXIe siècle. » Comme le souligne la Commission de la protection de la vie privée : « Les progrès fulgurants enregistrés dans le domaine des technologies de l’information et de la communication nous permettent de travailler plus efficacement et facilitent grandement notre existence quotidienne. Malheureusement, ils ouvrent également la porte à toutes sortes d’abus. » C’est pourquoi les professionnels ont tout intérêt à bien connaître les mécanismes existants ou à développer des politiques de prévention et de détection des cybercrimes contre la personne et l’entreprise. Il en va certes de leur sécurité informatique, mais également de la conformité légale de leurs agissements sur le Web. Mais comment assurer la sécurité des personnes et des entreprises dans le respect des droits et libertés ?

À travers les différents genres, films noirs et fictions d'horreur, qu'il a revisités de manière inédite, Kiyoshi Kurosawa n'a cessé de filmer l'existence comme une épreuve radicale de la survie. Les héros de ses films, engourdis et décalés, croisent leurs doubles ou des fantômes du passé tandis que la mise en scène, elle, travaille la vie au présent.

À travers les différents genres, films noirs et fictions d'horreur, qu'il a revisités de manière inédite, Kiyoshi Kurosawa n'a cessé de filmer l'existence comme une épreuve radicale de la survie. Les héros de ses films, engourdis et décalés, croisent leurs doubles ou des fantômes du passé tandis que la mise en scène, elle, travaille la vie au présent.