Authoritarian form of government
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C'était avant la Guerre d'Espagne et Franco : en 1923, le général Primo de Rivera instaure une dictature avec la complicité du roi Alphonse XIII. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:36 - Journal de 18h - Plus de quinze millions de Chiliens sont appelés aux urnes pour désigner leur président. Le candidat ultra-conservateur José Antonio Kast, héritier autoproclamé d'Augusto Pinochet, talonne la candidate de gauche Jeannette Jara dans les sondages.
durée : 00:10:36 - Journal de 18h - Plus de quinze millions de Chiliens sont appelés aux urnes pour désigner leur président. Le candidat ultra-conservateur José Antonio Kast, héritier autoproclamé d'Augusto Pinochet, talonne la candidate de gauche Jeannette Jara dans les sondages.
"Déjà que j'étais un gourmand de la vie, là je suis devenue boulimique. Je voulais tout faire avant de mourir. J'avais l'impression d'être à Eurodisney et que je devais essayer tous les manèges, tout expérimenter." Stéphane de Groodt, dont la notoriété a explosé lors d'une chronique culte avec Nabilla sur le plateau du Supplément sur Canal+, est un comédien touche à tout et virtuose des mots. Il est venu aujourd'hui nous parler de son succès tardif, des nombreux échecs qui ont jalonné son enfance et de sa vision de la réussite. Le jeune garçon fortement dyslexique, en surpoids et en échec scolaire n'avait pas les bonnes cartes pour réussir vite. Alors il a décidé de réussir lentement, en multipliant les expériences qui l'aidaient à se sentir plus vivant. Pilote de course, chroniqueur, écrivain, réalisateur, comédien... Avec lui, on ne court plus après la réussite mais après l'accomplissement. Car Stéphane est devenu quelqu'un sans renier ce qu'il était vraiment… Un dyslexique devenu génie des mots. Bonne écoute !
Nous sommes le 24 octobre 2019 et l'évènement alimente la presse nationale et étrangère pendant de très long mois. Antonio Tejero Molina, ancien colonel de la Garde civile espagnole, nostalgique du régime franquiste, tente d'assister au déplacement du corps de Franco à tout prix…. Cela fait alors 44 ans que Franco est mort. Entre temps, l'Espagne est devenue une démocratie, avec une loi qui impose l'oubli sur les crimes de la guerre civile mais aussi sur ceux de la dictature. Avec également une constitution, mais toujours l'impossibilité d'effacer son passé remuant. Nous retrouvons Sophie Baby, autrice du livre Juger Franco, (Editions La Découverte) et Sébastien Farré, directeur exécutif de la Maison de l'Histoire à Genève et spécialiste de l'Espagne contemporaine. Le livre de Sébastien Farré : La Suisse et l'Espagne de Franco. De la Guerre civile à la mort du dictateur (Lausanne, Antipodes, 2006)
Simon Deceuninck et Théo Le Flohic vous livrent une analyse inédite de la condamnation de Nicolas Sarkozy. Dans cet épisode du podcast Darrons du Biz, deux avocats fiscalistes ayant disséqué les 400 pages du jugement reviennent sur cette affaire historique. Ils expliquent pourquoi il ne s'agit ni d'un scandale politique, ni d'une justice exemplaire, mais d'une décision critiquable sur plusieurs plans juridiques. Au-delà de l'affaire Sarkozy, ils analysent aussi la taxe sur les holdings patrimoniales. Cette mesure, perçue par beaucoup comme une double imposition injuste, menace directement l'investissement en France. Les deux avocats alertent également sur un climat fiscal anxiogène, qui pousse de plus en plus d'entrepreneurs et d'investisseurs à s'exiler, notamment à Maurice. Le tout dans un contexte de crise politique, sociale et budgétaire. Points Clés : - Procès Sarkozy : Pourquoi parler de “procès politique” est une simplification médiatique. - Taxe sur les holdings : Comprendre le mécanisme, ses dérives, et ses impacts sur l'économie réelle. - Exil : Pourquoi de plus en plus d'entrepreneurs quittent la France.
durée : 00:55:01 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Comment, à l'été 1940, le pays de la Révolution de 1789 a pu sombrer dans un régime autoritaire, liberticide et criminel ? - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:11:10 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Alors qu'en juin 1940, la France était envahie par l'armée allemande, comment se fait-il que le pays des droits de l'homme, modèle de démocratie pour le monde, a pu, en seulement quelques semaines, basculer de la République à un régime autoritaire, fasciste et criminel ? - invités : Laurent JOLY - Laurent Joly : Historien, directeur de recherches au CNRS, spécialiste de l'antisémitisme durant l'Occupation - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:11:07 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie DUNCAN - Début 1943, la fin de la bataille de Stalingrad marque un tournant dans la guerre et la fin du mythe de l'invincibilité de l'armée allemande. Cette nouvelle donne n'enlève rien au zèle de Pierre Laval envers l'Allemagne. Le 15 février 1943, il annonce la création du Service du Travail Obligatoire... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:11:45 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie DUNCAN - Depuis l'armistice du 22 juin 1940, la France est séparée en deux zones, délimitées par une ligne de démarcation. Bordeaux étant désormais occupée, le gouvernement présidé par Pétain a échoué le 1er juillet à Vichy, une station thermale dont les hôtels peuvent accueillir beaucoup de monde. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Le XXIe siècle ne vous gouvernera pas, il vous programmera. Ceci n'est pas une crise de la démocratie mais le glissement vers un nouveau régime » : voilà ce qu'annonce la politologue et essayiste Asma Mhalla dans son nouvel essai (« Cyberpunk, le nouveau système totalitaire », Seuil). En analysant ce qui se joue aux Etats-Unis, elle explique comment un fascisme dopé par les outils numériques s'empare de nos cerveaux. L'essayiste ajoute : « dans un monde qui va trop vite, penser devient un acte presque subversif ». Asma Mhalla est notre invitée, cette semaine. Après un séjour à l'hôpital, le philosophe et journaliste Simon Brunfaut nous livre ses réflexions – et ses sensations – dans son billet « A quoi tu penses ? ». Enfin, dans « En toutes lettres ! », Wilson Fache, journaliste et prix Albert Londres 2023, nous écrit depuis Kherson en Ukraine. Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mars 1964 au Brésil, un groupe de généraux s'apprêtent à renverser le président travailliste João Goulart. Le début d'une dictature de 21 ans. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Argentine, les crimes de la dictature militaire continuent à hanter une partie de la société. Cela fait plus de 50 ans que ce régime a pris fin, mais tous les ans, de nouvelles familles, séparées de force à l'époque sont réunies… Et des anciens militaires sont condamnés. Or, ce travail de justice et de réparation est aujourd'hui entravé : le nouveau président Javier Milei coupe les budgets des centres d'archives et des associations de victimes. Sous couvert d'une réduction des dépenses publiques, c'est tout un travail de mémoire qui est menacé. (Rediffusion) En Argentine, le démantèlement silencieux de la mémoire de la dictature, un Grand reportage de Théo Conscience.
Il y a sept mois, la Corée du Sud était secouée par la tentative de l'ex-président Yoon Suk-yeol d'instaurer la loi martiale. Pour beaucoup de Coréens, cette crise a été vécue comme un retour aux années 1980, lorsque la Corée était encore dirigée par les militaires qui enfermaient et torturaient les manifestants opposés au régime. À Séoul, les anciennes geôles de la dictature, devenues un musée de la démocratie, ont ouvert leurs portes pour raconter ce qu'était la loi martiale et la lutte pour la démocratie. De notre correspondant à Séoul, Un imposant bâtiment de brique noire en plein cœur de la capitale. Kim Chanho, guide du musée, nous ouvre les portes de ce triste édifice où le régime militaire sud-coréen a pensé les moindres détails pour le pire. « L'architecte qui a créé ce bâtiment a vraiment pensé à la manière la plus efficace de torturer les suspects, c'est incroyable. Par exemple, ce bouton est d'origine, sous le bureau. Ce n'est pas une alarme incendie comme c'est écrit. Quand ils commencent l'interrogatoire, ils appuient dessus et cela lance la vidéosurveillance secrètement. C'est incroyable, l'architecture et le design en font l'endroit parfait pour des violations des droits humains », raconte-t-il. Entre 1976 et 1991, face à la contestation de plus en plus importante de la dictature militaire sud-coréenne, le régime enferme et torture ses opposants dans le plus grand secret. Des crimes qui restent encore pour la plupart méconnus, faute de preuves. « On estime que plus de 800 personnes sont passées par ici. La police dit qu'elle a tué beaucoup de gens. Si le suspect n'avoue pas, on peut le tuer, l'enterrer quelque part, se débarrasser du corps, le jeter dans le fleuve Han et personne ne le saura. Nous n'avons qu'un seul cas de mort confirmée en 1987. Pour les autres, depuis 1976, on ne sait rien, nous n'avons aucune preuve, car ils ont effacé l'histoire », explique le guide. Si la Corée du Sud est depuis devenue une démocratie, sa fragilité a été constatée en décembre dernier lorsque l'ex-président Yoon Suk-yeol a voulu imposer la loi martiale. « Depuis la crise politique, il y a plus de gens, parce qu'ils ont compris que la démocratie est très importante, estime Kim Chanho. Mais en réalité, à la dernière élection présidentielle, le candidat conservateur était un soutien du président Yoon Suk-yeol et il a eu plus de 40% des voix. La démocratie, ce n'est pas acquis et il faut continuer de travailler dans ce sens. » La Corée du Sud est une jeune démocratie qui continue de se débattre avec les fantômes de son passé. À lire aussiCorée du Sud: l'ex-président Yoon Suk-yeol de nouveau arrêté pour avoir imposé la loi martiale
Il y a sept mois, la Corée du Sud était secouée par la tentative de l'ex-président Yoon Suk-yeol d'instaurer la loi martiale. Pour beaucoup de Coréens, cette crise a été vécue comme un retour aux années 1980, lorsque la Corée était encore dirigée par les militaires qui enfermaient et torturaient les manifestants opposés au régime. À Séoul, les anciennes geôles de la dictature, devenues un musée de la démocratie, ont ouvert leurs portes pour raconter ce qu'était la loi martiale et la lutte pour la démocratie. De notre correspondant à Séoul, Un imposant bâtiment de brique noire en plein cœur de la capitale. Kim Chanho, guide du musée, nous ouvre les portes de ce triste édifice où le régime militaire sud-coréen a pensé les moindres détails pour le pire. « L'architecte qui a créé ce bâtiment a vraiment pensé à la manière la plus efficace de torturer les suspects, c'est incroyable. Par exemple, ce bouton est d'origine, sous le bureau. Ce n'est pas une alarme incendie comme c'est écrit. Quand ils commencent l'interrogatoire, ils appuient dessus et cela lance la vidéosurveillance secrètement. C'est incroyable, l'architecture et le design en font l'endroit parfait pour des violations des droits humains », raconte-t-il. Entre 1976 et 1991, face à la contestation de plus en plus importante de la dictature militaire sud-coréenne, le régime enferme et torture ses opposants dans le plus grand secret. Des crimes qui restent encore pour la plupart méconnus, faute de preuves. « On estime que plus de 800 personnes sont passées par ici. La police dit qu'elle a tué beaucoup de gens. Si le suspect n'avoue pas, on peut le tuer, l'enterrer quelque part, se débarrasser du corps, le jeter dans le fleuve Han et personne ne le saura. Nous n'avons qu'un seul cas de mort confirmée en 1987. Pour les autres, depuis 1976, on ne sait rien, nous n'avons aucune preuve, car ils ont effacé l'histoire », explique le guide. Si la Corée du Sud est depuis devenue une démocratie, sa fragilité a été constatée en décembre dernier lorsque l'ex-président Yoon Suk-yeol a voulu imposer la loi martiale. « Depuis la crise politique, il y a plus de gens, parce qu'ils ont compris que la démocratie est très importante, estime Kim Chanho. Mais en réalité, à la dernière élection présidentielle, le candidat conservateur était un soutien du président Yoon Suk-yeol et il a eu plus de 40% des voix. La démocratie, ce n'est pas acquis et il faut continuer de travailler dans ce sens. » La Corée du Sud est une jeune démocratie qui continue de se débattre avec les fantômes de son passé. À lire aussiCorée du Sud: l'ex-président Yoon Suk-yeol de nouveau arrêté pour avoir imposé la loi martiale
Depuis son retour à la Maison Blanche, Trump multiplie les décrets visant à appliquer son programme à marche forcée. Les bras de fer entre le chef de l'exécutif et ses opposants s'enchaînent, tant au niveau des états que des cours fédérales. Mais que se passe-t-il exactement ? Que penser de la légalité de ces actions ? Le président outrepasse-t-il son pouvoir ou agit-il dans la stricte légalité ? Et si excès il y a, la Cour Suprême sera-t-elle à même d'arrêter Trump ? Autant de questions qu'Anne Deysine aborde au micro de Simon Desplanque dans ce double épisode qui vous permettra de mieux saisir les grandes lignes du système politico-juridique US.Pour approfondir le sujet, n'hésitez pas à vous procurer l'ouvrage d'Anne Deysine, disponible iciInvitée : Anne Deysine (Paris Nanterre)Avec Simon DesplanqueSuivez le podcast ! Il est désormais sur X/Twitter : @20MPC_podcast & LinkedIn ! Générique : Léopold Corbion (15 Years of Reflection)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le 18 juillet 1976, à seulement 14 ans, Nadia Comaneci entre dans la légende olympique en obtenant le tout premier 10/10 de l'histoire aux Jeux de Montréal. Derrière cet exploit, une enfance marquée par des années d'entraînement intensif sous la férule du couple Karolyi, dans une Roumanie sous dictature. Repérée à 6 ans pour son talent exceptionnel, Nadia est façonnée avec rigueur, au prix de la douleur et de la privation. Son succès devient une arme de propagande pour le régime de Ceausescu. Devenue icône nationale, elle subit ensuite le poids de la puberté, le harcèlement médiatique et l'enfermement politique. Isolée, contrôlée et utilisée, elle vit un calvaire dissimulé derrière son image de « petite fée ». En 1989, elle s'échappe enfin vers les États-Unis. Nadia incarne l'excellence sportive, mais aussi la souffrance d'une vie confisquée. Son nom reste associé à la perfection… et à une liberté conquise de haute lutte. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:39:19 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Depuis une semaine la société iranienne vit sous les bombes israéliennes mais elle vit aussi depuis des décennies sous la dictature des mollahs. Qu'adviendra-t-il pour les civils iraniens si le régime venait à changer ? Pour y répondre, nous recevons quatre artistes iraniens exilés. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Mehran Tamadon Documentariste.; Sepideh Farsi Cinéaste; Sorour Kasmaï Romancière, traductrice, éditrice; Mina Kavani comédienne et autrice
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Jean-Loup Bonnamy et Joëlle Dago Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Nous sommes le 24 mars 1976, en Argentine. Il est 3h10 lorsque les programmes de télévision et de radio s'interrompent. On peut entendre alors un speaker informer la population : « … qu'à compter de ce jour, le pays se trouve sous le commandement opérationnel de la junte militaire ». Trois ans après la fin d'une autre dictature, celle de la de la Révolution, la junte prend le pouvoir dans un contexte de grande tension entre péronistes de gauche et de droite. « Processus de réorganisation nationale », c'est le nom que se donne officiellement le régime qui va ravager le pays. Jusqu'à sa chute en 1983, on estime que 30.000 personnes vont disparaître et que 15.000 autres seront fusillées. On dénombrera 9 000 prisonniers politiques et 1,5 million d'exilés. Plusieurs centaines de bébés seront enlevés aux parents disparus. « Régime d'exception », « Etat de siège », « Etat d'urgence » : comment une société en arrive-t-elle à engendrer sa propre destruction ? De quelle manière la terreur atomise-t-elle le tissu social et culturel ? Comment évaluer le degré d'acceptation de la violence ? Quels sont les moyens ultimes qui permettent de résister au totalitaire ? En quoi la dictature argentine a-t-elle été un laboratoire ? Invitée : Alice Verstraeten, anthropologue et fondatrice des éditions des collemboles. « Face à l'abîme » éd. des collemboles. Sujets traités : Argentine, dictature, terreur, Resistance , junte, militaire, Révolution, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Mali, le régime militaire du général Goïta supprime les partis politiques. Ce mardi 13 mai au soir, un ministre a lu, à la télévision, un décret présidentiel qui dissout tous les partis politiques. Cette annonce tombe au moment où le chef de la junte malienne veut se faire proclamer président de la République pour cinq ans, sans passer par des élections. Réaction de l'avocat Mamadou Ismaïla Konaté, qui a été ministre malien de la Justice et garde des Sceaux. Aujourd'hui, il est inscrit au barreau du Mali et au barreau de Paris. Maître Konaté répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Êtes-vous êtes surpris par la décision de dissoudre les partis politiques ? Mamadou Ismaïla Konaté : Une décision au forceps d'un régime militaire de transition ne surprend guère. Ceci d'autant plus qu'on l'a vu arriver. Ceux qui avaient encore le moindre doute doivent ouvrir les yeux et les oreilles et comprendre simplement que nous sommes dans le contexte du Chili de 1973 d'Augusto Pinochet.Alors pourquoi cette décision du général Assimi Goïta, que vous comparez au général Pinochet ? Est-ce que c'est pour pouvoir se faire proclamer, dans quelques jours peut-être, président pour un mandat de cinq ans sans passer par la case des élections ? Il a louvoyé dans le vœu d'être comme ses autres homologues dans le cadre de l'AES, c'est-à-dire d'être déclaré président de la République sans jamais passer par une élection. Je pense que, après le tour de table qui lui a permis justement de prendre contact avec la justice constitutionnelle, un certain nombre de juristes, pour savoir s'il pouvait aller avec son képi, ses galons et sa tenue comme candidat à la présidence de la République, je pense qu'il en a été dissuadé. Au point que, aujourd'hui, il a anéanti les partis politiques qui étaient les seuls acteurs politiques qui pouvaient vraiment le gêner. Là, aujourd'hui, il a le vent en poupe. Il a dégagé l'arène, il peut tout dire, tout se proclamer et se prendre pour tout ce qu'il n'est pas.Alors, vous dites que son modèle, c'est le général chilien Augusto Pinochet en 1973. Est-ce que ce n'est pas aussi le général malien Moussa Traoré qui a putsché en 1968 et qui a tenu le pouvoir pendant 23 ans ? Oui, mais le parallèle qui me vient à l'esprit, c'est quand même le général Pinochet, qui a renversé dans les mêmes conditions un régime légal, pour s'installer au pouvoir. Et sa démarche a consisté à saccager les institutions, à anéantir les libertés, à bannir les droits. Les partis politiques ont disparu, toute la vie politique a disparu. Et de ce point de vue-là, je pense que l'équivalent du général Assimi Goïta, c'est quand même Pinochet dans sa démarche d'anéantissement de l'État de droit, dans sa démarche justement de mépris de la démocratie et des démocrates. Il ne faut pas oublier que le 26 mars, dans ce pays, il y a eu du sang. Et le 26 mars, c'est quand même le point de départ d'un système de démocratie qui est l'option fondamentale du Mali et des Maliens, qu'aucune force vive ne peut venir aujourd'hui anéantir. Les Maliens doivent ouvrir les yeux, comprendre qu'on est dans une véritable dictature aujourd'hui et que le droit est anéanti. Ce n'est que la force militaire, la baïonnette, qui va désormais parler.À lire aussiMali: les partis politiques sont officiellement dissousOui, vous faites allusion au 26 mars 1991, le jour où la révolution malienne a fait tomber le régime militaire de Moussa Traoré. Mais est-ce que ce général, qui a gouverné 23 ans d'une main de fer, n'est pas le modèle d'Assimi Goïta ?S'il le prend pour modèle, à mon avis, il se trompe parce que les époques ne sont pas les mêmes. L'option de la démocratie est définitivement faite par le Mali et par les Maliens.Le 3 mai dernier, pour la première fois depuis l'arrivée au pouvoir des militaires, des centaines de Maliens ont défilé dans les rues de Bamako au cri de « Vive la démocratie ! », « À bas la dictature ! ». Est-ce que ce sont les prémices d'un réveil démocratique ? Ce sont des prémices et des prémices qui sont quand même indicateurs de la suite. Ça ne s'est pas passé qu'à Bamako. Dans plusieurs autres villes et localités du Mali, les gens ont pris conscience que cet ordre militaire ne pourrait pas s'imposer pendant très longtemps. Et j'estime simplement que ce qui vient de se passer est un tour de vis qui va encore davantage faire prendre conscience du danger, notamment chez les jeunes, chez les femmes. Et tous ceux qui sont épris de paix et de démocratie se disent aujourd'hui que le Mali est en danger.Oui, mais est-ce que le général Goïta ne dispose pas de la police, de l'armée, d'une machine qui peut réprimer et faire peur ? Avant lui, on en a vu d'autres, après lui, on en verra d'autres. S'il a les moyens d'exterminer 22 millions de Maliens, alors là, il décidera que l'autorité militaire doit s'imposer au détriment de la démocratie, au détriment de la liberté.Mais vous ne craignez pas une vague de répression à présent ? C'est le prix à payer, justement, lorsqu'on est en quête de droits, en quête de loi, en quête de démocratie. C'est le prix à payer face à une institution militaire comme celle-ci, qui viole le serment militaire, qui viole le règlement militaire, qui ne connait plus la doctrine militaire. Bien évidemment, ils peuvent prendre le risque de tirer sur les gens, mais cela se terminera contre leur gré et ce sont eux qui en paieront le prix.À lire aussiMali: l'inédite contestation de la transition du 3-4 mai peut-elle se poursuivre?
Découvrez l'effroyable traque de Warren Jeffs. leader autoproclamé d'un mouvement religieux sectaire, longtemps intouchable. Derrière ses discours, un système de contrôle total, de manipulations psychologiques et d'abus passés sous silence. Pendant des années, il a échappé à la justice, s'est volatilisé, protégé par ses fidèles et par la peur. Mais peu à peu, les témoignages se multiplient. Et la traque commence… La dictature religieuse Prophète autoproclamé de la FLDS, Warren Jeffs impose une dictature religieuse fondée sur la peur, la soumission et l'isolement. Il contrôle les femmes, exploite les hommes, détourne les aides de l'État et célèbre des mariages forcés avec des mineures. Mais une cérémonie de trop déclenche une enquête, et l'étau judiciaire commence à se resserrer. Warren entame alors une cavale de plusieurs années, persuadé d'être intouchable, car il est, dit-il, “l'élu de Dieu”. Pour découvrir une autre traque, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Bruno Sulak, le gentleman braqueur : de la légion à la prison (1/4) [INEDIT] Bruno Sulak, le gentleman braqueur : un voyou et un flic (2/4) [INEDIT] Bruno Sulak, le gentleman braqueur : des braquages spectaculaires (3/4) [INEDIT] Bruno Sulak, le gentleman braqueur : une évasion qui tourne au drame (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Capucine Lebot Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas En partenariat avec Upday. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Etienne Liebig, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le 17 avril 1975, après 5 ans de guerre civile, les Khmers rouges prennent Phnom Penh. La capitale est vidée, ses habitants forcés de travailler dans les campagnes. Le Cambodge devient le Kampuchéa démocratique. En moins de 4 ans, le régime fait 1,8 million de victimes par exécutions, torture, maladies et famine. Anne-Laure Porée, anthropologue et auteure de "La Langue de l'Angkar" aux éditions La Découverte, explique l'idéologie de ces nouveaux maîtres, forgée depuis la fin des années 1940. Les témoignages de Proeu Un Mao et Su Chenda Chanmongkon apportent un éclairage supplémentaire sur cette période sombre de l'histoire cambodgienne.
durée : 02:29:53 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Nadia Tahir, historienne, maîtresse de conférence à l'Université de Caen Normandie / Frédéric Jiguet, ornithologue et professeur en biologie de la conservation au Muséum National d'Histoire Naturelle / Cat Bohannon, chercheuse et autrice d'“Ève. 200 millions d'années d'évolution au féminin” - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:12:48 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Le lundi 24 mars, en Argentine, le président Javier Milei a annoncé la déclassification des archives du renseignement relatives à la période de la dictature militaire entre 1976 et 1983. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Nadia Tahir Maîtresses de Conférences à l'université de Caen
durée : 00:06:43 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Des dizaines de milliers d'Argentins sont descendus dans la rue pour commémorer le 49e anniversaire du coup d'État de 1976. La journée "Mémoire, vérité et justice" s'est muée en protestation contre l'austérité budgétaire menée par le président Javier Milei et sa révision de l'histoire, pro-armée.
En Turquie, les protestations contre Erdogan continuent pour la 7e journée consécutive. Un mouvement de contestation inédit. La jeunesse étudiante notamment est dans la rue depuis l'incarcération du maire d'Istanbul : Ekrem Imamolu. Malgré son arrestation, il a été désigné hier candidat de son parti le CHP à la présidentielle en 2028 à la suite de la primaire organisée dimanche.
En Argentine, les crimes de la dictature militaire continuent à hanter une partie de la société. Cela fait plus de 50 ans que ce régime a pris fin, mais tous les ans, de nouvelles familles, séparées de force à l'époque sont réunies… Et des anciens militaires sont condamnés. Or, ce travail de justice et de réparation est aujourd'hui entravé : le nouveau président Javier Milei coupe les budgets des centres d'archives et des associations de victimes. Sous couvert d'une réduction des dépenses publiques, c'est tout un travail de mémoire qui est menacé. En Argentine, le démantèlement silencieux de la mémoire de la dictature, un Grand reportage de Théo Conscience.
Stéphane Bern raconte, à quelques heures de la 50e Cérémonie des César, un César plus ancien, beaucoup plus ancien : Jules César, conquérant audacieux et brillant stratège, qui a connu une ascension incroyable vers un pouvoir absolu, faisant de lui, aujourd'hui encore, le grand héros de Rome… Quel héritage politique reste-t-il de César ? En quoi son talent militaire lui a-t-il permis de gagner les cimes du pouvoir ? Comment a-t-il lui-même forgé sa propre légende ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Yann Le Bohec, historien, professeur émérite à l'Université de la Sorbonne, spécialiste de l'Antiquité romaine et auteur de ""César, chef de guerre'"" (Tallandier) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Mathieu Fret. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Clara Leger."
Stéphane Bern raconte, à quelques heures de la 50e Cérémonie des César, un César plus ancien, beaucoup plus ancien : Jules César, conquérant audacieux et brillant stratège, qui a connu une ascension incroyable vers un pouvoir absolu, faisant de lui, aujourd'hui encore, le grand héros de Rome… Quel héritage politique reste-t-il de César ? En quoi son talent militaire lui a-t-il permis de gagner les cimes du pouvoir ? Comment a-t-il lui-même forgé sa propre légende ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Yann Le Bohec, historien, professeur émérite à l'Université de la Sorbonne, spécialiste de l'Antiquité romaine et auteur de ""César, chef de guerre'"" (Tallandier) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Mathieu Fret. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Clara Leger."
Aujourd'hui, Frédéric Farah, Marie-Sophie Bufarull et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Nous venons de vivre le premier cyber coup d'Etat de l'Histoire et nous assistons au retour des "barons voleurs" du siècle dernier. Les riches ont toujours rôdé autour des puissants et parfois même pris leur place. L'argent et le pouvoir dansent une sorte de tango passionné, les milliardaires influencent les politiques. J'ai eu le plaisir d'interviewer Alain Minc, l'un des intellectuels les plus brillants de la République française. Et dès les premières minutes, il a jeté un pavé dans la mare. Nous venons de vivre, dit-il, le premier cyber coup d'État de l'histoire. Il explique qu'avant, un coup d'État nécessitait des tanks et des soldats. Il fallait mettre sous tutelle la radio et la télévision publiques. Aujourd'hui, tout se passe en ligne. Elon Musk, en s'appuyant sur des hackers, a infiltré les systèmes du Trésor américain. Et cela dit, il dévoile une fragilité inédite du système américain, ce fameux équilibre des pouvoirs qu'on pensait inébranlable. Les blessures infligées prendront des décennies à guérir, selon Alain Minc. Et Alain Minc ne s'arrête pas là. Il pointe également l'émergence d'une nouvelle ploutocratie technologique aux Etats-Unis. Je le cite "Les grandes entreprises du numérique sont devenues des monstres incontrôlables. Nous assistons à une concentration de pouvoir comparable à celle des barons voleurs du début du XXᵉ siècle.'' Mais cette fois, il n'y a aucune régulation pour les freiner. Et à cet instant, il est impossible de ne pas rapprocher cette analyse de celle d'un autre intellectuel, Jacques Attali, qui s'inquiète lui aussi de la tournure prise aux États-Unis… Mots-Clés : Médicis, Florence, fugueur, Allemagne, Rothschild, Angleterre, familles pétrolières, Moyen-Orient, Etats-Unis, institutionnalisé, Rockefeller, Carnegie, Morgan, Zuckerberg, retours sur investissement, marchés publics, lois favorables, fiscalité avantageuse, échange, Trump, prédécesseurs, partenaire, milliardaires, pion, élites économiques, rival, création, cryptomonnaie, dollar, preuve, domination, alliés, duel au sommet, scénarios, pouvoir, soutien populaire, influence, riches, mécènes, obstacles, victimes, Chine, Jackman, silence, Russie, Khodorkovski, emprisonné, oligarques, empire mondial, dépendance, États-Unis, influence, maîtres, Washington, monde, dilemme, terrible, bataille, adversaires, compromis, affrontement, duel, Titans. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Virginie Girod raconte l'incendie du Reichstag, le coeur de la démocratie allemande, dans un récit inédit d'Au coeur de l'Histoire. Le 27 février 1933, à Berlin, Adolf Hitler, récemment nommé chancelier, dîne avec Joseph Goebbels quand le téléphone sonne. Au bout du fil se trouve Ernst Hanfstaengl, chargé des relations avec la presse étrangère. Agité, il annonce au futur artisan de la propagande nazie que le palais du Reichstag, qui abrite le Parlement allemand, est en flammes. Cet incendie, d'origine criminelle, est instrumentalisé par le nouveau régime afin d'instaurer une dictature. En Allemagne, c'est le début de l'ère national-socialiste, qui marquera au fer rouge l'Europe entière.
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 21 janvier 2025 : La dictature des avis en ligne ! avec Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Dr Jérôme Marty, médecin généraliste.
C'était avant la Guerre d'Espagne et Franco : en 1923, le général Primo de Rivera instaure une dictature avec la complicité du roi Alphonse XIII. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:00 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Jean Leymarie, Marie-Lys de Saint Salvy - Entre joie et larmes, le peuple syrien célèbre la chute du régime d'Assad, après cinquante-quatre années de dictature. Nombreux sont les défis dans ce pays où plus de 80% de la population vit sous le seuil de pauvreté. Aujourd'hui, quel nouveau chapitre imaginer et écrire ? - réalisation : Colin Gruel - invités : Hala Kodmani Journaliste franco-syrienne, grand reporter à Libération, écrivaine; Hala Mohammad Poétesse et cinéaste syrienne
durée : 02:29:55 - Les Matins - par : Jean Leymarie, Marie-Lys de Saint Salvy - Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en civilisation américaine, spécialiste des États-Unis / Laëtitia Lamari, analyste e-commerce et co-fondatrice de Butterfly Agency / Hala Kodmani, journaliste franco-syrienne et grand reporter à Libération, et Hala Mohammad, poétesse syrienne - réalisation : Colin Gruel
durée : 00:23:27 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Kamel Daoud, écrivain et journaliste, lauréat du prix Goncourt 2024 pour son roman "Houris" (Gallimard), est l'invité du Grand entretien.
durée : 00:14:48 - Journal de 8 h - Douze jours de lutte et voilà 50 ans de dictature qui s'effondrent. Le régime de Bachar Al-Assad est tombé ce dimanche sous la pression des rebelles syriens.
durée : 00:14:48 - Journal de 8 h - Douze jours de lutte et voilà 50 ans de dictature qui s'effondrent. Le régime de Bachar Al-Assad est tombé ce dimanche sous la pression des rebelles syriens.
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Stéphane Bern nous raconte Benito Mussolini, le grand orchestrateur de “la marche sur Rome”, une opération menée le 28 octobre 1922, il y a 102 ans jour pour jour, qui, malgré son petit nombre de partisans - 25.000 insurgés -, a ouvert en grand les portes du pouvoir à celui qui deviendra l'un des premiers dictateurs du 20ème siècle en Europe, faisant basculer son destin, et celui de l'Italie tout entier… Quels sont les fondements de son idéologie ? Quel rôle tient la France dans son accession au pouvoir ? Quelles traces le fascisme de Mussolini a-t-il laissé en Italie ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Alberto Toscano, journaliste et politologue, auteur de “Mussolini, “un homme à nous” : la France et la marche sur Rome” (Armand Colin) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Guillaume Vasseau. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Clara Léger. Programmation : Morgane Vianey.
Stéphane Bern nous raconte Benito Mussolini, le grand orchestrateur de “la marche sur Rome”, une opération menée le 28 octobre 1922, il y a 102 ans jour pour jour, qui, malgré son petit nombre de partisans - 25.000 insurgés -, a ouvert en grand les portes du pouvoir à celui qui deviendra l'un des premiers dictateurs du 20ème siècle en Europe, faisant basculer son destin, et celui de l'Italie tout entier… Quels sont les fondements de son idéologie ? Quel rôle tient la France dans son accession au pouvoir ? Quelles traces le fascisme de Mussolini a-t-il laissé en Italie ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Alberto Toscano, journaliste et politologue, auteur de “Mussolini, “un homme à nous” : la France et la marche sur Rome” (Armand Colin) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Guillaume Vasseau. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Clara Léger. Programmation : Morgane Vianey.
La semaine prochaine, découvrez un entretien inédit d'Au cœur de l'Histoire, dans lequel Virginie Girod recevra le médecin et archéo-anthropologue Eric Crubézy. Il a conduit les recherches qui ont permis d'identifier le corps du poète Joachim du Bellay dans le sarcophage en plomb de Notre-Dame de Paris.
Sans dire son nom, c'est une république qui s'installe à Londres au milieu du XVIIe siècle, sous la tutelle dictatoriale du très puritain Cromwell. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.