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A ce stade de la nuit de Maylis de Kerangal La nuit du 3 octobre 2013, Maylis de Kerangal entend à la radio le nom de Lampedousa associé à un naufrage. Elle s'empare de ce nom aux résonances multiples et plonge pour sonder chaque sillage que l'émotion creuse dans le dépôt de sa mémoire ébranlée . Lampedousa fait d'abord resurgir le visage de Burt Lancaster – héros du Guépard de Visconti puis, comme par ressac, la fin de règne de l'aristocratie sicilienne en écho à ce drame méditerranéen: le énième naufrage d'un bateau de migrants ( « A ce stade de la nuit ») s'ancre dans une cuisine quand tout le monde dort. De Stromboli à Lampedusa, les îles deviennent l'épicentre du récit de Maylis De Kerangal qu'a initié une nouvelle tragique déversée par la radio. La radio est un acteur à part entière de cette pièce sonore faite d'alluvions de mémoires, sons, films, voix et nouvelles s'enchevêtrant dans le silence de la nuit. Lecture et réalisation: Pascale Tison Lecture et réalisation : Pascale Tison Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:29 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - C'est une plaque rocheuse d'une poignée de kilomètres au milieu des eaux siciliennes, libyennes et tunisiennes : l'île de Lampedusa cristallise les tragédies migratoires de ceux qui tentent d'atteindre les frontières de l'Europe, bravant les mers et les tempêtes. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Dionigi Albera Anthropologue, directeur de recherche émérite au CNRS
C'est une photo, publiée par le journal le Monde, celle d'une femme en pleurs qui porte un petit garçon dans ses bras. « Elle a été évacuée », nous dit le quotidien français, « à la suite d'une montée des tensions frontalières, dans le village de Havelian, au Pakistan, près d'un poste-frontière indo-pakistanais ».Pour le Monde, c'est un fait : « l'escalade s'intensifie entre l'Inde et le Pakistan, et laisse penser que les deux ennemis sont entrés dans leur quatrième guerre. » En Inde, ajoute le journal, « la population commence à paniquer, notamment en raison de rumeurs et de fausses nouvelles propagées sur les réseaux sociaux, laissant croire à des pénuries de produits indispensables. Le ministre de l'alimentation et de la consommation a dû intervenir pour assurer que le pays dispose de stocks suffisants (…) »« Les deux belligérants », s'inquiète par ailleurs le quotidien français, « sont sourds aux appels de la communauté internationale. Ils sont, depuis le 7 mai, engagés dans une escalade militaire de plus en plus périlleuse. » Inquiétude partagée par le New York Times, notamment, qui s'alarme de cette « forte escalade entre les deux voisins dotés de l'arme nucléaire ».Sens du sacrificeAutre conflit : la guerre en Ukraine. Alors que le Britannique Keir Starmer, le Français Emmanuel Macron et le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz, sont arrivés ce matin à Kiev pour rencontrer et soutenir le président Volodymyr Zelensky, le journal le Temps publie un long reportage sur ce qu'il appelle « la fantastique résilience du réseau électrique ukrainien ». L'Ukraine, nous dit le quotidien suisse, « a passé l'hiver en maintenant l'approvisionnement du courant, malgré les nombreuses attaques russes sur ses infrastructures civiles ».Comment expliquer cette prouesse ? Elle est due à « une combinaison de facteurs » explique le Temps, qui en fait la liste : « le courage des ouvriers, les systèmes de défense anti-aériens, la multiplication des transformateurs et leur décentralisation, ainsi que l'interconnexion de l'Ukraine avec le réseau européen ». « La campagne du Kremlin, visant à briser la volonté de combat des Ukrainiens en transformant l'hiver en arme de guerre, a échoué » poursuit le Temps, qui met en avant « les sacrifices des ouvriers qui travaillent parfois au péril de leur vie, pour réparer le réseau ».« Nous avons acquis une solide expérience », se réjouit Volodymyr Zelensky. Au point que l'Ukraine a proposé son aide à l'Espagne, le 28 avril dernier, « alors que la péninsule Ibérique », rappelle le Temps, « était frappée par un black-out sans précédent ». Les pouvoirs du papeUn peu plus de 24 heures après l'élection du nouveau pape, de nombreux journaux s'attardent encore sur la personnalité de Léon XIV, mais aussi sur ses pouvoirs. « Quels sont les vrais pouvoirs du pape ? » interroge la Croix, au-dessus d'une photo montrant Léon XIV, sur le balcon de la basilique Saint-Pierre, souriant, les yeux levés vers le ciel. « Est-il un monarque absolu ? », interroge encore le quotidien français. Pas vraiment. « Pour l'Église catholique, la primauté du pape doit s'articuler avec la collégialité épiscopale, les évêques, successeurs des Apôtres, et le pape, leur chef ».« Le pape peut-il changer le dogme ? » interroge aussi la Croix, selon laquelle « le pape ne peut pas tout faire. Et notamment changer le dogme ». Car, nous explique le journal catholique, « le concile Vatican I précise que le Saint-Esprit n'a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu'ils fassent connaître (…) une nouvelle doctrine, mais pour qu'avec son assistance, ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres ».Image et paroleEnfin, à la question de savoir « si les catholiques peuvent contester la parole du pape », cela dépend de quoi l'on parle. Ainsi, précise la Croix, « il faut examiner le statut de la parole : entre l'encyclique et la conférence de presse dans l'avion, la parole pontificale n'a pas la même force ». Elle est toutefois de la plus haute importance, puisque « "l'arme principale du pape est la parole", entend-on souvent dans les couloirs du Vatican », raconte la Croix.L'image a aussi son importance. Le journal nous rappelle ainsi celle de « François, quelques mois après son élection, jetant une couronne mortuaire au large de l'île de Lampedusa », en mémoire des nombreux migrants ayant péri en traversant la Méditerranée.
Informacije o dogodkih po svetu redko pridejo do vseh ljudi. Vseeno smo izvedeli kaj se je zgodilo v Parizu, kaj se dogaja po svetu. So tudi dogodki, ki jih ne moremo zaslediti v medijih. Vedno znova je potrebno pomagati človeku, da bi svoje hrepenenje po sreči prav udejanjil v svojem življenju. Dogodki zadnjih let kažejo, koliko ljudem je to ukradeno ali celo uničeno. Ob beguncih smo postali prestrašeni, skušali smo se temu izogniti. Pri sprejemanje beguncev na obalah otoka Lampedusa v Sredozemlju je zdravnik Petro Bartolo naredil vse kar je lahko. Vsak je prinesel s seboj svojo zgodbo. Najbolj pretresljive so bile zgodbe otrok. Tihotapili so jih za prodajanja njihovih organov. Potem so jih odvrgli na smetišče. Veliko dogodkov niti ne pride v medije. Teh dogodkov ne vidimo in o njih ne slišimo. Vse to je življenje danes. Odprte človeške oči opazijo propadanje civilizacije, ki je storila veliko dobrega za vse človeštvo. Kaj se dogaja? Mislim, da nas pritegne govorjenje o pravici do sreče. Do nje skušamo priti preko raznih oglaševalcev, ki nam s svojimi izdelki zagotavljajo pravo pot k sreči. In mi temu verjamemo! TODA! Sreča sama po sebi ne obstaja. Vedno je povezana z ljudmi okoli nas. Zaprti v svoje lastne želje in trenutne občutke sreče, začnemo propadati. Nikakor ne moremo priti do obljubljene sreče in veselja. Zakaj nihče o tem ne govori? Zakaj nihče ne usmerja ljudi v pravo smer. NAPAKA! Veliko ljudi govori o svoji poti, o svojem zgrešenem pojmovanju življenja in o pravih vrednotah. Med njimi je uspešen mlad poslovnež Jean – Marc Potdevin, ki sam o sebi pravi, da je pri 40 letih imel vse kar si človek želi: imel je dobro službo, imel je dovolj denarja, imel ugled v družbi, privoščil si je lahko vse kar si je zaželel. Ob tem je prišel do spoznanja, da mu zavidanja vreden uspeh ni potešil globlje želje, želje po sreči. Spremenil je svoje življenje. Postal je svoboden, ker je imel pogum zapustiti lažno svobodo iz oseminšestdesetih let – pravzaprav suženjstva razpuščenih nagonov (tako sam pravi). Vedno znova potrebujemo spodbude, zglede, ki bi nas usmerjali v pravo smer. Vprašanje je ali vidimo te zglede? Polnost sreče ne najdemo v trenutkih veselja, polnost sreče najdemo v prizadevanju za druge, za srečo in veselje drugih. Potrebno je veliko odpovedovanja, premagovanja samega sebe. Na tej poti hitro omagamo, zato so potrebni ljudje, ki nas spodbujajo in nam stojijo ob strani. Vsak izmed nas lahko postane opora in zgled za druge. To je odločitev za življenje, za kulturo življenja, to je odločitev za srečo. Odločitev je naša!
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA FRANCE ET LE CONTRÔLE DE SES FINANCES PUBLIQUES Après une séquence de dérive des comptes publics « préoccupante », la Cour des comptes dans son rapport publié mi-février, chiffrait à 110 milliards d'euros l'effort à fournir pour ramener le déficit public à 3%. Les causes de ce déficit sont connues : des recettes fiscales inférieures de 40 milliards aux prévisions de la loi de finances et des dépenses plus élevées de 13 milliards, notamment du côté des collectivités locales. Selon le rapport de la Cour, la situation est due à des choix politiques. Tout d'abord, les experts reprochent au gouvernement des « hypothèses de croissance optimistes qu'il a fallu plusieurs fois réviser à la baisse ». Par ailleurs, ce dérapage est à mettre sur le compte de la mise en place, jusqu'en 2023, de baisses d'impôts « non financées » et de « l'absence d'économies structurelles sur le cœur de la dépense publique ». Ces facteurs combinés se sont traduits, selon le gendarme des comptes, par une « perte de contrôle de la dépense publique ». Face à ce constat, le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici menace : « Nous pourrions ne pas certifier les comptes 2025. »Fin mars, l'Insee a annoncé que l'écart entre les recettes et les dépenses publiques a atteint 5,8% du PIB en 2024. Il s'agit du déficit public le plus massif depuis la guerre en valeur absolue, à l'exception de celui de l'année 2020, au pic de la pandémie de Covid-19. En atteignant 3.305 milliards d'euros, l'endettement public est monté à 113% du PIB fin 2024, a annoncé l'Insee. La dette publique française avait passé le cap des 100 milliards d'euros en 1981, celui des 1.000 milliards en 2003, puis celui des 3.000 milliards en 2023.Dans son rapport sur le dérapage des finances publiques publié le 15 avril,la commission d'enquête de l'Assemblée nationale rappelle que pour 2024, la prévision initiale de déficit public du gouvernement Borne était de 4,4% du PIB, revue à 5,1% en avril dernier par le gouvernement Attal, puis à 6,1% par celui de Barnier. Au final, ce déficit public pour 2024 s'est établi à 5,8% du PIB. Les deux rapporteurs, le macroniste Mathieu Lefèvre et le président de l'Union des droites pour la République, allié du Rassemblement national, Éric Ciotti, ont des visions opposées sur ces chiffres. Le premier attribue ces erreurs aux services de Bercy, le deuxième les lie à des dissimulations politiques.Malgré les discours, et même si le déficit budgétaire s'atténue peu à peu, la dette ne va pas diminuer de sitôt. Dans le budget 2025, il est prévu qu'elle monte à 115,5% du PIB en fin d'année. Dans un scénario jugé réaliste par la Cour des comptes, le ratio d'endettement pourrait dépasser 125% du PIB en 2029 et s'approcher des 130% dès 2031. D'autres économistes évoquent des ratios de 160% voire 170%, si l'État choisit d'investir massivement, notamment dans la transition énergétique ou l'armement. « Il est plus que temps de freiner et de reprendre le contrôle de nos finances publiques. Faute de quoi, nous risquons la paralysie, puis l'accident », met en garde Pierre Moscovici.BILAN DE L'ACTION DIPLOMATIQUE DU PAPEPape « du bout du monde », contrairement à ses prédécesseurs européens, Jorge Mario Bergoglio a déplacé l'axe diplomatique du Vatican vers les pays du Sud. De la dénonciation du système économique mondial, à la défense des migrants en passant par ses plaidoyers pour l'écologie, la paix, le dialogue avec l'islam, ou la lutte contre l'arme nucléaire, le pape François a été porté par une vision, inspirée de celui dont il avait choisi le nom, François d'Assise. À l'échelle internationale, appuyé sur un solide réseau diplomatique, ce dont rêvait François, c'était, « le renforcement du multilatéralisme, expression d'une coresponsabilité mondiale renouvelée, d'une solidarité fondée sur la justice et sur la réalisation de la paix et de l'unité de la famille humaine, projet de Dieu sur le monde ». Lui-même issu d'une famille de migrants - ses parents ont quitté l'Italie pour l'Argentine - François, dès le début de son pontificat, a pointé avec vigueur les drames de la migration. Son premier déplacement a eu lieu en juillet 2013, à Lampedusa, où il s'est indigné de la « mondialisation de l'indifférence », un thème clef de ce pontificat. Ce qui lui valu de sérieuses tensions avec l'Occident et en particulier les États-Unis.Partisan de la paix à tout prix et de la politique de l'apaisement, le pape considérait que « toute guerre est une défaite ». Même les guerres de libération ou de légitime défense. Car « il n'existe pas de guerre juste ». Pas même en Ukraine où François n'a eu de cesse jusqu'en mai 2022, d'appeler à l'arrêt des combats, se refusant à reconnaître la responsabilité de Vladimir Poutine et de la Russie, avançant que la « colère » du Kremlin avait pu être « facilitée » par « les aboiements de l'OTAN à la porte de la Russie ». Au Moyen-Orient, depuis le massacre du 7 octobre 2023, les relations entre le Saint-Siège et Israël étaient devenues de plus en plus difficiles. Le pape s'est vu notamment reprocher d'avoir tardé à exprimer son horreur face au massacre perpétré par le Hamas.Dans le droit fil de la tradition jésuite, le pape François a porté une attention très particulière aux 12 millions de catholiques de la République populaire de Chine. Sous son autorité, un accord secret a été signé en 2018 avec Pékin sur la nomination des évêques. Un accord qui a fait débat. Au chapitre des avancées diplomatiques, François a œuvré au rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba et joué un rôle dans la réconciliation en Colombie ainsi que dans la libération d'enfants ukrainiens capturés par les Russes, tandis que le dialogue interreligieux aura progressé, notamment avec l'université al-Azhar du Caire.En revanche, bousculant l'Europe, « grand-mère stérile » et égoïste à ses yeux, le pape n'a réalisé aucune visite officielle dans les grands pays européens de tradition catholique, comme la France, l'Espagne ou l'Allemagne.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
John 20:19-31When it was evening on that day, the first day of the week, and the doors of the house where the disciples had met were locked for fear of the Jews, Jesus came and stood among them and said, “Peace be with you.” After he said this, he showed them his hands and his side. Then the disciples rejoiced when they saw the Lord. Jesus said to them again, “Peace be with you. As the Father has sent me, so I send you.” When he had said this, he breathed on them and said to them, “Receive the Holy Spirit. If you forgive the sins of any, they are forgiven them; if you retain the sins of any, they are retained.” But Thomas (who was called the Twin), one of the twelve, was not with them when Jesus came. So the other disciples told him, “We have seen the Lord.” But he said to them, “Unless I see the mark of the nails in his hands, and put my finger in the mark of the nails and my hand in his side, I will not believe.”A week later his disciples were again in the house, and Thomas was with them. Although the doors were shut, Jesus came and stood among them and said, “Peace be with you.” Then he said to Thomas, “Put your finger here and see my hands. Reach out your hand and put it in my side. Do not doubt but believe.” Thomas answered him, “My Lord and my God!” Jesus said to him, “Have you believed because you have seen me? Blessed are those who have not seen and yet have come to believe.” Now Jesus did many other signs in the presence of his disciples, which are not written in this book. But these are written so that you may come to believe that Jesus is the Messiah, the Son of God, and that through believing you may have life in his name. All across the country—and the world, for that matter—congregations are hearing sermons on Pope Francis, as they should. In fact, I am certain Lutherans will have not preached this much about a pope since the days of the Reformation! I am also certain today's sermons speak much kinder of the Pope than Luther, who called the pope of his day a sewer of wickedness and the antichrist. Today, there will be none of that. Pastors of all denominations are lifting up Pope Francis' advocacy on migration, environmentalism, and reform in the Catholic Church. Many will praise him for his efforts to empower women and his more open posture toward the LGBTQ faithful. Others will highlight the simple lifestyle Francis chose, long before he became pope. In Argentina, when he was known by his birth name, Jorge Mario Bergoglio, he eschewed the opulence of the bishop's palace, choosing instead to live in a modest apartment. He cooked his own meals, regularly visited the slums of Buenos Aires, and took public transportation. People regularly saw the archbishop on the bus. It wasn't just about frugality—it was about solidarity. He wanted to live close to the people he served. He was a shepherd who smelled like his sheep.This commitment continued when he became pope. In 2013, Francis declined the luxurious papal apartments in the Apostolic Palace, choosing instead a two-room suite in a guesthouse for clergy visiting the Vatican. Breaking a century-old tradition, Francis said, “I am not used to opulence. is good for me and prevents me from being isolated.”Even yesterday, at his funeral, Francis was placed in a simple wooden box, not the traditional triple casket. His final resting place at St. Mary Major has no grand tomb, no ornate inscription—just a plain headstone with the name "Francis." A quiet, fitting end to a life marked by humility, service, and downward mobility.How fitting it is, then, that Francis' death coincides with the story of Thomas, because both Francis and Thomas were deeply familiar with the wounds of Jesus. Usually when we hear this story from John, we focus on Thomas' doubt. We jump to his defense—saying we all want proof, all want what others have received. But today, what stands out to me is Thomas' courage and Jesus' graciousness. How gracious it is for Jesus to offer his wounds to Thomas, to provide exactly what his faith needs. It's as if Jesus says, “If it's my wounds Thomas needs to believe, then it's my wounds I will give.”It is a remarkable grace—to show someone your wounds, to put on display the very thing that inflicted pain, to reveal the reminders of rejection. Yet Jesus doesn't stop there. He invites Thomas to touch them. That is grace upon grace.And it works.Thomas doesn't simply see the wounds and say yes, Jesus has risen. Thomas goes further in both deed and word than all the other disciples. I imagine his fingers trembling as he touched the still-scabbing nail marks. His hand must have shook as he reached into the spear-sized hole in Jesus' side. And then, only after entering the wounds, Thomas says the deepest confession of faith yet uttered in the Gospel.: "My Lord and my God!"Not just master, not just teacher— my God.Jesus is revealed not through strength but through weakness. Not in greatness but in meekness. It's not a miracle of abundance, not a sign of divine power, but wounds that lead to worship. Seeing the wounds, the disciples recognize Jesus. Touching the wounds, Thomas' faith is born anew.Francis understood this. He knew that if he wanted to encounter the risen Christ, he needed to find and touch Christ's wounds just as Thomas did. In one homily, Francis said:"How can I find the wounds of Jesus today? I cannot see them as Thomas saw them. But I can find them in doing works of mercy and in giving to the bodies of our injured siblings in Christ, for they are hungry, thirsty, naked, humiliated, in prison, in hospitals. These are the wounds of Jesus in our day."This wasn't something Pope Francis merely preached about. He embodied this, too.Early in his papacy, he traveled to Lampedusa to mourn migrants lost at sea and decry the "globalization of indifference." In war-torn Bangui, he entered a besieged Muslim neighborhood to preach peace, declaring Christians and Muslims brothers and sisters. In Bangladesh, he met with Rohingya refugees, embraced their suffering, and called them "the presence of God today."But perhaps the most moving example is this: That is Pope Francis doing a video call through WhatsApp with the only catholic church in the Gaza strip. What's remarkable is that Francis has called that community every night at 7pm since the third day of the war. Anton, the spokesperson of the congregation, said “the pope would always ask how we were, what did we eat, did we have clean water, was anyone injured?" Was anyone injured? Even from a video call, Francis did his best to enter their wounds, to see suffering, to understand the pain they were enduring, that they continue to endure. And he did this every night, no matter how busy he was or where he was, telling them he was praying for them. I imagine the community on the other end of the call did in fact show the pope their wounds, like when bombs fell on the attached school, killing six Christians sheltering there. Or in these last eight weeks while no humanitarian aid has been allowed in and people have died from starvation and disease.Anton says the pope's final call came on Saturday, two days before he died. Francis told them he was praying for them and said he needed their prayers. "He told us not to worry as he would always be there for us," Anton said. "He was with us until his last breath."It is not our inclination to look at wounds, let alone touch them. We tend to look away from pain, suffering, and death. Yet the story of Jesus and Thomas, and the example of Francis, invite us to do just the opposite.And I get it—looking away is easy, even necessary sometimes. All the hurt and injustice can feel overwhelming, paralyzing even. But to have the option to look away is a privilege many do not have. The invitation Jesus gave Thomas is the same invitation given to us: reach out your hand. Touch the wounds.I know we aren't the pope. We can't just call someone in Gaza or travel to the war-torn places of the world. But are there not wounds here, among us? Like in our neighbors grieving losses we don't always see. In young people fighting battles with anxiety and loneliness. In the elderly who sit in nursing homes, too often forgotten. In the struggling families trying to make rent here in Central Indiana. The wounds of Jesus are in the growing homeless population in downtown Indianapolis. They are in the food pantries and shelters that are stretched thin, even in our own backyard. They are in the racial and economic divides that persist right here in central Indiana.Friends, the invitation Jesus gave to Thomas — "Reach out your hand and touch" — is the same invitation he gives to us. To draw near. To notice. To listen. To show up.So where, in your daily life, is Jesus inviting you to touch a wound? - In the coworker going through a divorce? - In the friend who's been quiet for too long? - In the neighbor who just lost a job?And for the wounds across the world: stay informed. Pray. Vote. Protest. Give generously. Stand against oppression that causes such suffering. Only when we are familiar with the wounds and what causes them can we do something about them.And Though your fingers may tremble and your hands may shake as you do it, you are reaching out to Jesus himself. And there—in the trembling, in the reaching—we find him.The risen and living Christ, our Lord and our God. Amen.
Foi com a voz do Papa Francisco que a Isabel ouviu falar deste livro pela primeira vez: Hermanito. Em vários momentos, Francisco insistia neste "livrinho que se lê em duas horas".A Isabel leu e quis trazê-lo neste episódio, longe de imaginar que aconteceria dias depois da morte de quem o aconselhou.Neste episódio, os nomes Ibrahima e Francisco cruzam-se, os lugares de Lampedusa e da Líbia mostram-se, a vida de Ibrahima é contada, trazida, na voz do próprio. Para quem gostar de, depois de ler o livro, ouvir Ibrahima falar da sua vida: https://youtu.be/_VULUkOS1UA?feature=shared
Met rasechte protestanten en tegelijk Katholieke Kerkadepten Andries Knevel en Elsbeth Gruteke. Paus Franciscus is overleden. Katholieken zijn in rouw en in afwachting van een nieuwe kerkleider. Hoe is dat voor protestanten? Hoe kijken zij naar het fenomeen paus, en naar Franciscus in het bijzonder? Dat hij de antichrist is, wordt in deze geseculariseerde tijd door weinig protestanten meer serieus geloofd. Maar hoe moet je dan kijken naar de bisschop van Rome? Elsbeths fascinatie voor de Rooms-Katholieke Kerk begon bij deze paus. ‘Toen hij bij zijn verkiezing in 2013 heel simpel ‘Goedenavond' zei, en ‘Wilt u voor mij bidden?', was mijn interesse gewekt. Zeker toen hij een week later al naar de vluchtelingen op Lampedusa ging.' Voor Andries was dat anders. Hij heeft meer met Franciscus' voorganger, de gedegen theoloog Benedictus XVI. Franciscus hinkte voor Andries te veel op twee gedachten: moet je nu bij Christus zijn om gered te worden, of zijn mensen van alle religies kinderen van God? Als je zo veel met de Katholieke Kerk hebt, waarom word je dan niet katholiek – of erken je niet de paus als hoofd? Daar hebben Andries en Elsbeth wel zo hun gedachten over. En hoe moet je die woorden van Jezus uit Matteüs 16 begrijpen als hij Petrus de rots noemt, waarop Hij zijn gemeente bouwt?Volg alle berichtgeving over de pauselijke uitvaart en de komende pausverkiezing op nd.nl/paus Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Il y a 12 ans, le Pape François était élu sur le trône de Saint-Pierre. Premier pape latino-américain, premier pape jésuite. Il était porté par un immense espoir. Remettre de l'ordre dans une Église en crise marquée par la renonciation surprise de son prédécesseur Benoît 16. Que reste-t-il de son souhait de voir un Vatican plus proche des croyants, avec des finances plus saines ? La mort du Pape François est l'occasion de raconter l'histoire de son élection, et de mesurer son action à la tête de l'Eglise catholique. Est-il parvenu à changer l'Église durant ces 12 années de pontificat ? Comment a-t-il assis son autorité, face à certains courants hostiles ? Son engagement envers les migrants et la planète laissera-t-il des traces ? Denis Pelletier, historien, sociologue des religions et auteur du livre Les Catholiques en France de 1789 à nos jours était l'invité de l'Histoire continue. Présentation : Bertrand Henne Réalisation : Jonathan Remy Coordination : Emilie MaliceMerci pour votre écouteL'Histoire Continue c'est également en direct tous les samedis de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Histoire Continue sur notre plateforme Auvio.behttps://auvio.rtbf.be/emission/l-histoire-continue-19690 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKVous pourriez également apprécier ces podcasts de la RTBF: Un jour dans le sport : https://audmns.com/decnhFkAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
President Donald Trumps agenda van massadeportatie is een ‘aanslag op de waardigheid van vele mannen en vrouwen, en hele families’. En iemand ‘die alleen maar denkt aan het bouwen van muren, en niet van bruggen, is geen christen’. Een typerende uitspraak van paus Franciscus. Met een even typerend antwoord van Donald Trump: ‘Als het Vaticaan wordt aangevallen door IS, zou de paus wensen en bidden dat Donald Trump president was’. Deze kwalificaties dateren uit 2017, rondom de enige ontmoeting tussen Franciscus en Trump ooit, in het Vaticaan. Tot zijn dood zou de paus zich fel blijven verzetten tegen de jacht op migranten, die Trump in zijn eerste termijn begon en die de belangrijkste pijler is waarop zijn succes in eigen land steunt. Het is een fascinerende strijd. Trump blijft volhouden dat zijn land is overstroomd door miljoenen terroristen, verkrachters, bendeleden, drugshandelaren en prostituees. Ook de paus, die als Argentijn te midden van armoe, achterstand en discriminatie is opgegroeid, maakte van het onderwerp migratie een van zijn belangrijkste pijlers. Zijn eerste buitenlandse bezoek, in 2013, was aan Lampedusa, op dat moment de metafoor van het asielzoekersvraagstuk. Zijn pleidooi voor het opnemen van migranten stond diametraal tegenover de Trump-doctrine. Het scheiden van ouders en kinderen, een van de hoekstenen van de doctrine, noemde Franciscus ‘immoreel en in strijd met de katholieke beginselen’. Vlak voordat hij ziek werd, schreef de paus nog een brief aan de Amerikaanse bisschoppen, waarin hij Trumps uitzettingscampagne een schande noemde. ‘Ik spoor alle katholieken aan niet te zwichten voor het narratief van discriminatie tegen, en het onnodig verzwaren van het lot van onze vluchtelingen broeders en zusters’. Wat is nou zo fascinerend? Dat Amerika het op drie na hoogste aantal rooms-katholieke burgers ter wereld telt, zo’n 80 miljoen – een kwart van de bevolking. Je zou verwachten dat het woord van de paus dus behoorlijk invloed zou hebben op de publieke opinie over migratie. Maar ook op de evangelische beweging, die dezelfde opvatting over naastenliefde en het in de Bijbel opgelegde bieden van onderdak aan vreemden koestert. Onder katholieken blijkt die boodschap bij minder dan de helft aan te slaan. Onder evangelisten moet je liefde voor vreemdelingen met een loep zoeken. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Intrattenimento e informazione, musica e cultura: tutto questo è Radio Vaticana con Voi! Anche oggi 4 ore insieme per iniziare la giornata con numerosi ospiti! Protagonisti gli ascoltatori, come ogni giorno! Intervieni in diretta tramite WhatsApp al numero 335 1243 722 Gli ospiti di oggi in ordine di presenza: Gigi De Palo, presidente Fondazione per la Natalità; don Carmelo La Magra, già parroco a Lampedusa; Marco Damilano, giornalista e saggista. Conducono Andrea De Angelis e Silvia Giovanrosa A cura di Andrea De Angelis e Silvia Giovanrosa Hanno collaborato le colleghe ed i colleghi Marco Guerra e Marina Tomarro Tecnico del suono Bruno Orti
250423PC: Ein würdiger Vertreter ChristiMensch Mahler am 23.04.2025Er war ein Hoffnungsträger für viele. Von Jorge Mario Bergoglio erhofften sie sich mehr Geschlechtergerechtigkeit, mehr Demokratie und mehr Moderne. Als Papst Franziskus musste er diese Hoffnungen zwangsläufig enttäuschen. Er scheiterte an der Institution, die über viele hundert Jahre zementiert ist und nicht einfach aufgebrochen werden kann. Was aber oft übersehen wurde: Papst Franziskus war – was die Institution angeht – auch per personam konservativ. Was aber diesen Nachfolger Petri ausgezeichnet hat, was etwas zutiefst Christologisches: Er war ein Freund der Menschen. Er verstand sein Pontifikat als Dienst und nicht als Macht. Wie einst der Wanderprediger aus Nazareth ging er zu den Menschen. Zuerst zu denen, die in Not und Armut feststeckten. Unvergessen sein Besuch bei den Mittelmeer-Flüchtlingen auf Lampedusa. Und auch in Gefängnissen wurde er gesehen, er feierte Messen mit Obdachlosen in Rom und ließ sich von Ihnen berühren. Unentwegt setzte er seine Stimme ein, um in den Kriegsgebieten dieser Welt zum Frieden zu mahnen, den Sprachlosen in den Elendsquartieren eine Stimme zu geben und auch um die Mächtigen und die Machtstrukturen in Politik und Weltwirtschaft zu ermahnen. Mehr Macht hatte er nicht – und so gesehen ist wieder Christus gleich, der auch ohnmächtig zusehen musste, wie die militärische und klerikale Macht Menschen unterdrückte und notfalls auch beseitigte – wie ihn selbst. So gesehen ist der Tod des Pontifex nach dem Ostersegen mehr als ein Symbol: Er ist den Weg Christi gegangen. Hat Strukturen angeprangert, so sie menschenfeindlich waren. Hat Liebe und Barmherzigkeit gepredigt. Und musste doch erfahren, dass auch er – wie der Nazarener – nicht in der Lage war, den Tempel zu reinigen von unsäglichen Geschäften und der Unterdrückung der Armen. Franziskus hat seine Haltung und seinen Kampf für die Verlierer in den Elendsvierteln von Buenos Aires geschärft. Es gereicht ihm zur Ehre, dass er diese Haltung als Oberhaupt einer reichen und mächtigen Kirche nicht verloren hat. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
C dans l'air du 21 avril 2025 : Mort du pape François : l'émotion mondialeIl aura marqué l'Église par son humilité et son ouverture aux plus vulnérables. Douze ans après son arrivée au Vatican, le Pape François, de son vrai nom Mario Bergoglio, s'est éteint ce lundi matin, à l'âge de 88 ans. Premier souverain pontife non-européen, ce fils d'immigrés italiens de nationalité argentine a multiplié les déclarations en faveur de la défense des migrants, de la planète, ou encore de l'entente interreligieuse. On retiendra notamment son discours d'ouverture sur l'homosexualité : "Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ?". Surtout, le pape François s'est posé dès ses débuts comme le défenseur des plus pauvres : "Comme je voudrais une Église pauvre et pour les pauvres !", s'exclamait-il en 2013 au Vatican. À l'annonce de son décès, les hommages de dirigeants du monde entier se sont multipliés, d'Emmanuel Macron, à Vladimir Poutine en passant par JD Vance. Le vice-président américain était d'ailleurs l'un des derniers à avoir rencontré le Pape lors d'une brève visite au Vatican dimanche : "J'ai été heureux de le voir hier, même s'il était manifestement très malade", a-t-il déclaré.Toutes ces dernières années, le pape François a défendu l'immigration et la solidarité avec les migrants. En juillet 2013, c'est à Lampedusa, petite île italienne devenue un symbole de la crise migratoire européenne, que le chef de l'Église effectue son premier déplacement. "La culture du bien-être qui nous amène à penser à nous-mêmes nous rend insensibles aux cris des autres. Elle porte à la mondialisation de l'indifférence", dit-il en regrettant que la Méditerranée soit devenue un cimetière. Depuis Lampedusa, le pape François appelle à "construire des ponts et abattre des murs". Un message qu'il répètera sans cesse, jusqu'à sa venue à Marseille, en 2023. Entre-temps, le pape a créé un ministère chargé des questions migratoires au sein même du Vatican, et ramené une douzaine de réfugiés syriens dans son avion personnel, après un voyage dans le camp de Lesbos, en Grèce. Ces derniers mois, l'immigration est devenue un sujet de crispation avec l'administration Trump, qui a fait des immigrés son bouc-émissaire. Le dialogue avec l'extrême droite catholique européenne est aussi compliqué, le dirigeant de la Ligue italienne, Matteo Salvini, allant même jusqu'à arborer un t-shirt "Mon pape est Jean-Paul II".Autre grand sujet contemporain, l'aide à mourir a suscité d'intenses débats entre l'Église catholique, farouchement opposée, et le sommet de l'État français. "Il y a la tentation de dissimuler derrière des mots doux la violence de ce dispositif, qui est de l'ordre de l'euthanasie ou du suicide assisté", dénonçait il y a un an l'évêque de Nanterre Mgr Matthieu Rougé. Le projet de loi sur la fin de vie, porté par l'ancien Premier ministre Gabriel Attal, a été interrompu par la dissolution de l'Assemblée en juin 2024. Les poids lourds de la majorité se divisent maintenant sur l'avenir du texte, François Bayrou souhaitant scinder le texte en deux parties, tandis que la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, demande à ce qu'il soit inscrit à l'agenda de l'hémicycle le plus rapidement possible.Quel héritage va laisser le Pape François ? En quoi son combat en faveur des migrants a suscité des crispations avec l'extrême droite catholique ? Une loi sur la fin de vie va-t-elle aboutir en 2025 ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-Tireur- Isabelle DE GAULMYN - Productrice déléguée des Matins de France Culture- François MABILLE - Chercheur au CNRS, au groupe Sociétés, Religions, Laïcité- Isabelle LASSERRE - Ancienne correspondante en Russie, correspondant diplomatique - Le FigaroPRÉSENTATION : Maya Lauqué - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Il a bouleversé la curie romaine et marqué le monde entier par ses prises de position humanistes et progressistes, sans pour autant remettre en cause les fondamentaux de la doctrine catholique. Fils et petit-fils d'émigrés italiens en Argentine, le pape François n'a eu de cesse d'appeler au respect de la dignité humaine, et notamment de celle des personnes migrantes. Installé au Vatican en 2013, il avait d'ailleurs surpris en réservant son premier voyage officiel à la petite île italienne de Lampedusa où les naufrages de migrants se succèdent depuis près de 15 ans. François y avait dénoncé « le monde sauvage » dans lequel nous vivons. En septembre dernier à Marseille, il avait appelé à nouveau à l'ouverture et à la responsabilité. Pour avoir accru le rôle des laïcs baptisés dans l'Église, donné davantage de responsabilités aux femmes au Vatican, pour son ouverture à la bénédiction des couples de même sexe, le pape François a été traité d'hérétique par ses opposants conservateurs. Il a pourtant aussi approuvé un texte qui qualifie l'homosexualité de péché ; et n'a jamais remis en question les fondamentaux du catholicisme comme la condamnation de l'avortement ou de l'euthanasie. Il a également œuvré, avec des résultats mitigés, à lutter contre les crimes pédophiles dans l'Église après la mise à jour de nombreux scandales.Reportage en PologneLa dégradation de sa santé était connue depuis des semaines et en Pologne, une des places fortes du catholicisme, les pratiquants ont suivi son évolution avec attention. Le souverain pontife entretenait avec ce pays une relation assez difficile en raison du conservatisme affirmé de l'Église polonaise. Notre correspondant Adrien Sarlat s'est rendu à la rencontre des fidèles devant l'église Saint-Florian de Varsovie.Reportage en BelgiqueLes hommages au pape ont afflué du monde entier, y compris d'Afrique, où l'épiscopat n'appréciait pas ses positions progressistes sur les sujets de société. L'Afrique, où par ailleurs François avait dénoncé sans relâche les conflits qui ravagent le continent ; tout récemment encore au sujet de la République démocratique du Congo. À Bruxelles, Pierre Benazet est allé recueillir les impressions des passants du quartier surnommé Matongé, en référence à une des communes de Kinshasa. Là, pour l'essentiel, les chalands et les commerçants sont d'origine de RDC.Entretien avec Marco PolitiMarco Politi, spécialiste du Vatican à Rome, auteur de Francois, l'Église déchirée (Éd. Plon), par Frédérique Lebel.
Depois de “Ali Está o Taras Shevchenko com Um Tiro na Cabeça: Diário da Ucrânia”, fruto de um mês de reportagem na guerra na Ucrânia, a jornalista Ana França publica “Lampedusa - Ir e não chegar”, também pela Tinta-da-China. O livro começa na margem sul do mediterrâneo, em outubro de 2013, mês do mais trágico naufrágio na rota de imigração mais mortal do mundo. Neste episódio, a repórter explica porque é importante ir aos locais para fazer bom jornalismo, o que viu em Lampedusa das três vezes que foi à ilha e como dá voz a esta história.“Lampedusa - Ir e não voltar” segue o curso dos dez anos que passaram desde o dia que quase foi capaz de transformar a Europa e a forma como a sociedade e classe política olham para os migrantes. Considera apoiar o podcast no Patreon: patreon.com/pontofinalparagrafoContacto do podcast: pontofinalparagrafo.fm@gmail.comSegue o Ponto Final, Parágrafo nas redes sociais: Instagram, Twitter e FacebookProdução, apresentação e edição: Magda CruzGenérico: Nuno ViegasLogótipo: Gonçalo Pinto com fotografia de João Pedro MoraisFoto: João Pedro Morais
Il a bouleversé la curie romaine et marqué le monde entier par ses prises de position humanistes et progressistes, sans pour autant remettre en cause les fondamentaux de la doctrine catholique. Fils et petit-fils d'émigrés italiens en Argentine, le pape François n'a eu de cesse d'appeler au respect de la dignité humaine, et notamment de celle des personnes migrantes. Installé au Vatican en 2013, il avait d'ailleurs surpris en réservant son premier voyage officiel à la petite île italienne de Lampedusa où les naufrages de migrants se succèdent depuis près de 15 ans. François y avait dénoncé « le monde sauvage » dans lequel nous vivons. En septembre dernier à Marseille, il avait appelé à nouveau à l'ouverture et à la responsabilité. Pour avoir accru le rôle des laïcs baptisés dans l'Église, donné davantage de responsabilités aux femmes au Vatican, pour son ouverture à la bénédiction des couples de même sexe, le pape François a été traité d'hérétique par ses opposants conservateurs. Il a pourtant aussi approuvé un texte qui qualifie l'homosexualité de péché ; et n'a jamais remis en question les fondamentaux du catholicisme comme la condamnation de l'avortement ou de l'euthanasie. Il a également œuvré, avec des résultats mitigés, à lutter contre les crimes pédophiles dans l'Église après la mise à jour de nombreux scandales.Reportage en PologneLa dégradation de sa santé était connue depuis des semaines et en Pologne, une des places fortes du catholicisme, les pratiquants ont suivi son évolution avec attention. Le souverain pontife entretenait avec ce pays une relation assez difficile en raison du conservatisme affirmé de l'Église polonaise. Notre correspondant Adrien Sarlat s'est rendu à la rencontre des fidèles devant l'église Saint-Florian de Varsovie.Reportage en BelgiqueLes hommages au pape ont afflué du monde entier, y compris d'Afrique, où l'épiscopat n'appréciait pas ses positions progressistes sur les sujets de société. L'Afrique, où par ailleurs François avait dénoncé sans relâche les conflits qui ravagent le continent ; tout récemment encore au sujet de la République démocratique du Congo. À Bruxelles, Pierre Benazet est allé recueillir les impressions des passants du quartier surnommé Matongé, en référence à une des communes de Kinshasa. Là, pour l'essentiel, les chalands et les commerçants sont d'origine de RDC.Entretien avec Marco PolitiMarco Politi, spécialiste du Vatican à Rome, auteur de Francois, l'Église déchirée (Éd. Plon), par Frédérique Lebel.
Le pape François est décédé ce lundi 21 avril 2025. Âgé de 88 ans, son état de santé fragile s'était aggravé. Son pontificat aura duré 12 ans un mois et huit jours au cours duquel le « Pape du Sud » sera allé aux confins du monde et aura activé une diplomatie axée sur la paix et le dialogue interreligieux. À cette occasion, nous vous proposons de réécouter l'émission Religions du Monde diffusée le 16 février dernier, sur la diplomatie du pape François, de Lampedusa à la RDC, l'Ukraine et le dialogue avec les musulmans : une émission dans laquelle Véronique Gaymard recevait François Mabille, auteur de Le Vatican, la papauté face à un monde en crise (Éditions Eyrolles). Alors que le président américain Donald Trump entame son second mandat, le pape François multiplie les appels : plaidoyer pour les réfugiés, les migrants, la préservation de l'environnement… Il dénonce aussi le capitalisme financier et agressif des puissances occidentales, et veut replacer le rôle moral de l'Église sur les questions sociétales comme l'avortement ou la fin de vie.Mais de quelle manière ce micro-État, qui a donc une nature à la fois religieuse et politique, peut-il peser face aux puissants ?Invité : François Mabille, professeur de Sciences politiques, spécialiste des acteurs religieux dans les relations internationales, chercheur associé à l'Iris, où il dirige l'Observatoire géopolitique du religieux.À lire aussiLe pape François, un bâtisseur de ponts et de réformes À lire aussiLe pape François et l'Afrique: fraternité, dialogue et dénonciation des maux du continent
Le pape François est décédé ce lundi 21 avril 2025. Âgé de 88 ans, son état de santé fragile s'était aggravé. Son pontificat aura duré 12 ans un mois et huit jours au cours duquel le « Pape du Sud » sera allé aux confins du monde et aura activé une diplomatie axée sur la paix et le dialogue interreligieux. À cette occasion, nous vous proposons de réécouter l'émission Religions du Monde diffusée le 16 février dernier, sur la diplomatie du pape François, de Lampedusa à la RDC, l'Ukraine et le dialogue avec les musulmans : une émission dans laquelle Véronique Gaymard recevait François Mabille, auteur de Le Vatican, la papauté face à un monde en crise (Éditions Eyrolles). Alors que le président américain Donald Trump entame son second mandat, le pape François multiplie les appels : plaidoyer pour les réfugiés, les migrants, la préservation de l'environnement… Il dénonce aussi le capitalisme financier et agressif des puissances occidentales, et veut replacer le rôle moral de l'Église sur les questions sociétales comme l'avortement ou la fin de vie.Mais de quelle manière ce micro-État, qui a donc une nature à la fois religieuse et politique, peut-il peser face aux puissants ?Invité : François Mabille, professeur de Sciences politiques, spécialiste des acteurs religieux dans les relations internationales, chercheur associé à l'Iris, où il dirige l'Observatoire géopolitique du religieux.À lire aussiLe pape François, un bâtisseur de ponts et de réformes À lire aussiLe pape François et l'Afrique: fraternité, dialogue et dénonciation des maux du continent
Emma Jane Kirby has worked as a Foreign Correspondent for the BBC, written documentaries, audio drama, a novel, and so much more. The main reason for their interview is the recent audio series A Most Audacious Heist, that looks in to real life theft of the Sisi Star, which looks into the lives of Empress Sisi herself, and the likable rogue Daniel Blanchard, who sole the star in a way that gives Ethan Hunt from the Mission Impossible films a run for their money. Or did he? The conversation looks at how EJ's history as a foreign correspondent for the BBC has inspired her writing these great stories based on true stories. They also discuss the audio series The Butterfly King, which is about a former European king, who died after meeting Adolf Hitler, and after denying Hitler's request to hand over Jews that were being protected in their country. They also discuss EJ's novel, The Optician of Lampedusa, based on the true story of an optician who whilst vacationing on the Meditteranean Sea, saved a few hundred people trying to escape oppression in their own country, who were floating after their boat sank. Also mentioned during the show is the superb work that production company Blanchard House, under the creative directorship of previous show guest Rosie Pye. We also discuss EJ's history as a former writer for the iconic British radio drama The Archers, which up to now has been around for 74 years, and is still going strong. https://www.blanchard-house.com/ https://linktr.ee/podslikeus/
Hoy se cumplen 10 años del día en el que un viejo pesquero naufragó frente a las costas de la isla italiana de Lampedusa. Murieron más de mil personas y hubo menos de 30 supervivientes, siendo una de las peores tragedias de la historia del mar Mediterráneo. En estas tragedias también hay niños: muchos han muerto intentando alcanzar las costas europeas. Lucía Losoviz es responsable de Políticas de Infancia de UNICEF España y ha estado en Las Mañanas de RNE con Lara Hermoso hablando de este asunto. Desde UNICEF hablan de 3.500 niños muertos o desaparecidos intentando alcanzar el Mediterráneo Central o lo que es lo mismo, un niño muerto al día durante los últimos 10 años, pero Losoviz avisa de que esas cifras son solo una parte de la realidad: "Sabemos que hay muchos más fallecidos en el mar, muchos cuerpos que no se encuentran...", afirma. "Están fallando todas estas rutas, que para los niños y niñas no son seguras. Está fallando también la recepción y el cuidado en el mar cuando los barcos están navegando y no hay demasiadas flotas para poder dar ese salvamento. Están fallando muchas cosas que tenemos que atender", explica la entrevistada. Se calcula que casi un 70% de los niños que emprenden estas rutas migratorias sufren diferentes formas de violencia: "Obviamente no solo es en el tránsito, sino también antes de salir y cuando llegan, y por lo tanto es fundamental trabajar y reforzar todo lo que tiene que ver con la salud mental, con su bienestar emocional y que puedan trabajar su trauma una vez llegan aquí", añade Losoviz. Escuchar audio
Puntata di Pasqua che parte con tutta una questione su una foresta finlandese con webcam per spiare le alci—culmina in un orso che se ne mangia una. Poi cine amarcord con Corriere Diplomatico e a sorpresa si apre il cuore per The Accountant 2, sicari autistici e fratelli action, roba da menare seria. Tra i film usciti: I peccatori di Ryan Coogler (afro-blues-horror anni '30), Drop (thriller da ristorante), Generazione romantica di Jia Zhang-ke (melanconia cinese d'autore), e il colpaccio: Queer di Guadagnino, Daniel Craig disperato e pistola in tasca nel Messico anni '50 ricostruito a Cinecittà. Menzione anche per L'ultima isola, doc su un salvataggio a Lampedusa, e chiusura con Miles Davis rimasterizzato. Puntata free jazz.
Mettiamo a confronto due classici della letteratura italiana: Il Gattopardo di Giuseppe Tomasi di Lampedusa e I Viceré di Federico De Roberto. Tematiche simili, stessa ambientazione storica e stessi protagonisti (l'aristocrazia siciliana), eppure, i due romanzi sono antitetici stilisticamente. Cosa li accomuna e li distingue? Ne parliamo in questo episodio di Inside Books. Più approfondimenti e fonti bibliografiche qui: https://ileniazodiaco.insidebooks.it/p/il-gattopardo-i-vicere-confronto-decadentismo-gotico-italia-risorgimentale
Controvento è un documentario che vuole parlare di diritti, libertà e confini – da Lampedusa racconterà la missione dell'imbarcazione Aurora che porta soccorso nel Mediterraneo. Parliamo con i registi Federico Conti e Mattia Bosco, e Giacomo Zorzi di Sea-Watch, esplorando l'idea e il significato del crowdfunding come gesto collettivo.
Questo è l'episodio 16 di ElDorado, la rubrica mensile di Valentina Brinis per Sveja. Qui si parla di immigrazione e integrazione, nel mondo, in Europa, in Italia e a Roma. Migrazioni, crisi ambientali, diritti: tutto è connesso.Questa nuova puntata nasce da un'occasione speciale: la seconda edizione del Festival Le Parole Giuste, che ci ha offerto lo spunto per esplorare una relazione troppo spesso ignorata il legame tra cambiamento climatico e migrazione.Ne abbiamo parlato con Alessandro Rocca (ResQ, Premio Morrione) e con le vincitrici del Premio Laganà, Francesca Sapio e Caterina Tarquini, che ci raccontano una storia di impegno, ricerca e memoria. A guidarci nella comprensione di questo intreccio profondo tra esseri umani e ambiente è Giovanni Moratti, esperto di climate change ed economia rigenerativa.Ma torniamo anche all'attualità più urgente: In Italia si lavora al trasferimento dei primi migranti verso il Cpr di Gjader, in Albania.Intanto a Lampedusa sono sbarcate 1.400 persone in pochi giorni.E a Latina è iniziato il processo per la morte di Satnam Singh, il bracciante lasciato morire con un braccio amputato. I sindacati chiedono giustizia.Sveja è un progetto di comunicazione indipendente con il sostegno di Periferiacapitale, il programma per Roma della fondazione Charlemagne e di LUSH.
Die Flüchtlingsschicksale der Menschen auf Lampedusa in Italien sind in den Hintergrund geraten. Und trotzdem kommen dort täglich Menschen an in der Hoffnung in Europa ein besseres und vor allem sicheres Leben zu führen. Tiziana Micelli ist Lehrerin am an der Erzbischöflichen Papst-Johannes XXIII.-Schule in Pulheim. Zusammen mit ihren Schülerinnen und Schülern und in Kooperation mit der "Aktion Neue Nachbarn" im Rhein-Erft-Kreis gibt sie diesen vergessenen Menschen eine Stimme und klärt über ihre Schicksale auf und will so mehr Nächstenliebe und Menschlichkeit in die Welt bringen. Diesen Beitrag produzierte Michael Hartke für die Medienwerkstatt Katholisches Bildungsforum Rhein-Erft. Das Bild zeigt: Tiziana Miceli vor dem Veranstaltungsplakat.
Om ett misslyckat sovjetiskt försök att göra en succébetonad brittisk jiddisch-musikal om sionistisk frigörelse till propaganda mot Storbritannien. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. I senaste programmet berättade Alexandra ”Sashe” Poljan om jiddisch-musikalen Kungen av Lampedusa i London, som bygger på den sanna historien om hur den brittiske stridspiloten Sydney Cohen fick en hel garnison fiendesoldater att kapitulera under andra världskriget, när han var tvungen att nödlanda på ön Lampedusa.Här berättar Sashe vidare. Vi får höra den osannolika historien om vad som hände med den brittiska pjäsen när den hamnade i händerna på fienden Sovjetunionen efter kriget: Den sovjetiske jiddischförfattaren Peretz Markish fick i uppdrag att förvandla den brittiska sionistiska frigörelseberättelsen till propaganda mot Storbritannien, för ett misslyckat försök att upprätta en judiskt självbestämmande län i Birobidjan i sydöstra Sibirien.
Questa settimana ci addentriamo nei salotti aristocratici siciliani con “Il Gattopardo“, serie italo-inglese su Netflix che rilegge il capolavoro di Tomasi di Lampedusa con un cast internazionale e la regia del prezzemolino Tom Shankland! Nei nostri meandri caotici del “watch in progress” parliamo di: Reacher che picchia gente alta due metri su Amazon Prime, Toxic […]
En 1860 Garibaldi desembarcó en Sicilia con sus camisas rojas y con el propósito de unificar al fin Italia. Es en ese momento en el que empieza El Gatopardo de Giuseppe Tomasi di Lampedusa. Una novela muy cultureta con una adaptación al cine de Luchino Visconti, muy cultureta también. Los culturetas aprovechan la nueva versión en formato serie de Netflix para hablar de esta historia sobre la decadencia de la aristocracia y el fin de una época. También hablamos de la nueva serie de Netflix, Adolescencia, y de la última polémica en el mundo editorial. Con Rubén Amón, Rosa Belmonte, Isabel Vázquez, Guillermo Altares y Sergio del Molino.
En 1860 Garibaldi desembarcó en Sicilia con sus camisas rojas y con el propósito de unificar al fin Italia. Es en ese momento en el que empieza El Gatopardo de Giuseppe Tomasi di Lampedusa. Una novela muy cultureta con una adaptación al cine de Luchino Visconti, muy cultureta también. Los culturetas aprovechan la nueva versión en formato serie de Netflix para hablar de esta historia sobre la decadencia de la aristocracia y el fin de una época. También hablamos de la nueva serie de Netflix, Adolescencia, y de la última polémica en el mundo editorial. Con Rubén Amón, Rosa Belmonte, Isabel Vázquez, Guillermo Altares y Sergio del Molino.
En 1860 Garibaldi desembarcó en Sicilia con sus camisas rojas y con el propósito de unificar al fin Italia. Es en ese momento en el que empieza El Gatopardo de Giuseppe Tomasi di Lampedusa. Una novela muy cultureta con una adaptación al cine de Luchino Visconti, muy cultureta también. Los culturetas aprovechan la nueva versión en formato serie de Netflix para hablar de esta historia sobre la decadencia de la aristocracia y el fin de una época. También hablamos de la nueva serie de Netflix, Adolescencia, y de la última polémica en el mundo editorial. Con Rubén Amón, Rosa Belmonte, Isabel Vázquez, Guillermo Altares y Sergio del Molino.
L'apertura dei giornali, con le notizie e le voci dei protagonisti, tutto in meno di 30 minuti. Sei morti e circa 40 dispersi, è l'ultimo bilancio arrivato dopo il naufragio avvenuto al largo dell'isolotto di Lampione, vicino Lampedusa. Non fanno quasi più notizia i naufragi di migranti sulle coste italiane e quando i migranti vengono salvati dalle ONG sono costretti a giorni supplementari di navigazione per raggiunge il porto di assegnazione indicato dal Viminale. Ne parliamo con Simone Varisco, Fondazione Migrantes, curatore del Rapporto Immigrazione Caritas-Migrantes.
ROMA (ITALPRESS) - In questa edizione:- Meloni cita il Manifesto di Ventotene in aula, dure proteste opposizione- Trump: “Ottima telefonata con Zelensky”- A Tel Aviv e Gerusalemme in migliaia in piazza contro governo Netanyahu- Esplosione a Deposito Eni di Calenzano, 9 indagati- Naufragio migranti a Lampedusa, si cercano 40 dispersi- John Elkann in Parlamento: “2025 ancora difficile ma investiremo in Italia”- Mattarella al Papa: “L'Italia le è riconoscente”- Meloni su Trump-Putin e Ucraina “Garanzie di sicurezza”- Previsioni 3B Meteo 20 Marzomrv
durée : 00:04:08 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - L'adaptation par la plateforme Netflix du roman de Lampedusa, qui raconte l'unification italienne de 1860 à travers une famille d'aristocrates siciliens, permet de relire le livre, revoir le film de Visconti, et penser à la manière dont on peut aujourd'hui considérer cette histoire d'effondrement.
As Giuseppe Tomasi di Lampedusa's novel The Leopard is dramatised for television, director Tom Shankland and film critic Peter Bradshaw discuss the power of this classic Italian novel.Natasha Brown's first novel, Assembly, saw her favourably compared to Virginia Woolf and won a Betty Trask award. Her eagerly-awaited second novel Universality has just been published and she discusses leaving her career in finance to write fiction.Low Kee Hong, the new Creative Director of Manchester International Festival, shares his vision for the festival and talks about the 2025 programme which has been revealed today. Ceramicist Elizabeth Fritsch is the subject of a major retrospective at the Hepworth Wakefield. Curator, writer, and editor Natalie Baerselman le Gros, who specialises in contemporary ceramics, reflects on the work of an artist who describes herself as a painter who makes pots.Presenter: Nick Ahad Producer: Ekene Akalawu
Min 5: EL GATOPARDO (Netflix) Superproducción italiana de seis episodios que adapta la novela de Lampedusa sobre una familia aristócrata siciliana del siglo XIX se ve atrapada en una vorágine de cambios sociopolíticos. Sicilia, década de 1860, en plena revolución, don Fabrizio Corbera, príncipe de Salina, siempre ha vivido rodeado de belleza y privilegios. Pero a medida que la unificación italiana se va consolidando y la aristocracia ve amenazada su posición, Fabrizio se da cuenta de que el futuro de su familia corre peligro. Para evitarlo, tiene que forjar nuevas alianzas que pondrán a prueba todos sus principios... Adaptación de la novela de Giuseppe Tomasi di Lampedusa. Calificación EDC: 4 estrellas Min 15: DAREDEVIL: BORN AGAIN (Disney +) En "Daredevil: Born Again", Matt Murdock (Charlie Cox), un abogado ciego con habilidades superdesarrolladas lucha por la justicia desde su ajetreado bufete mientras el antiguo jefe mafioso Wilson Fisk (Vincent D'Onofrio) emprende una carrera política en Nueva York. Cuando sus identidades pasadas empiezan a salir a la luz, ambos se ven abocados a un enfrentamiento inevitable. Calificación EDC: 3 estrellas Min 23: CUANDO NADIE NOS VE (Max) Durante la Semana Santa de 2024, dos mujeres policías tratan de resolver una serie de crímenes en un lugar único, Morón de la Frontera: la frontera política y cultural de la llamada "España profunda", y también una de las mayores bases militares estadounidenses en el extranjero. Calificación EDC: 3,5 estrellas Min 27: The WHITE LOTUS 3 Y SEVERANCE 2: CAMINO DE LA EXCELENCIA Completamos el Filtro Rachel analizando el 3x3 de The White Lotus, en el que sigue subiendo la temperatura y explicamos por qué la crítica califica ya al 2x07 de Separación (Severance. Apple Tv) como uno de los mejores capítulos de serie de los últimos años. Min 38: BSO "THE AGENCY" (Skyshowtime) Y en la zona chill out de la música de cine, ponderada la BSO de Día Cero, que se ha puesto número 1 en 30 países del mundo, nos toca cumplir lo prometido y dar salida a la esperada música original de otra serie rival como es LA AGENCIA. Si en Día Cero Jeff Russo no asumió riesgos, la pianista y compositora francesa Emile Levienaise-Farrouch apuesta por una mezcla de bases de piano clásico, con música electrónica y la nueva corriente nórdica de carga atmosférica. Un concepto más complejo que queremos valorar con nuestro crítico musical Angel Luque
Analizamos sin spoilers El Gatopardo, la ambiciosa adaptación de Netflix que revisita la mítica novela italiana de Giuseppe Tomasi di Lampedusa. Una familia aristócrata siciliana del siglo XIX se ve atrapada en una vorágine de cambios sociopolíticos. Sicilia, década de 1860, en plena revolución, don Fabrizio Corbera, príncipe de Salina, siempre ha vivido rodeado de belleza y privilegios. Pero a medida que la unificación italiana se va consolidando y la aristocracia ve amenazada su posición, Fabrizio se da cuenta de que el futuro de su familia corre peligro. Para evitarlo, tiene que forjar nuevas alianzas que pondrán a prueba todos sus principios... Únete a nuestro chat de telegram en el que miles de personas hablamos cada dia de series: Telegram – Grupo de debate: https://telegram.me/fueradeseries Telegram – Canal de noticias: https://t.me/noticiasfds Twitter: https://twitter.com/fueradeseries Facebook: https://twitter.com/fueradeseries Instagram: https://www.instagram.com/fueradeseries/ Youtube: youtube.com/fueradeseries Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Scopri i luoghi più belli de “Il Gattopardo” in cui si sviluppa il romanzo di Tomasi di Lampedusa.
In der neuen Serie „Daredevil: Born Again“ muss sich Superheld und Anwalt Matt Murdock mit seinem Erzfeind Kingpin zusammenschließ, um New York zu retten. Auf Netflix startet die Romanadaption des Klassikers „Der Leopard“ von Giuseppe Tomasi di Lampedusa. Und in der ARD geht es in einem Dokumentarfilm um die Arbeitsbedingung in der Gaming Branche. Hier entlang geht's zu den Links unserer Werbepartner: https://detektor.fm/werbepartner/was-laeuft-heute >> Artikel zum Nachlesen: https://detektor.fm/kultur/was-laeuft-heute-daredevil-born-again-der-leopard-crunch-traum-und-albtraum-in-der-gaming-industrie
In der neuen Serie „Daredevil: Born Again“ muss sich Superheld und Anwalt Matt Murdock mit seinem Erzfeind Kingpin zusammenschließ, um New York zu retten. Auf Netflix startet die Romanadaption des Klassikers „Der Leopard“ von Giuseppe Tomasi di Lampedusa. Und in der ARD geht es in einem Dokumentarfilm um die Arbeitsbedingung in der Gaming Branche. Hier entlang geht's zu den Links unserer Werbepartner: https://detektor.fm/werbepartner/was-laeuft-heute >> Artikel zum Nachlesen: https://detektor.fm/kultur/was-laeuft-heute-daredevil-born-again-der-leopard-crunch-traum-und-albtraum-in-der-gaming-industrie
Scopri la trama e la morale de Il Gattopardo, il romanzo che racconta come il potere si adatta ai cambiamenti senza davvero trasformarsi.
Il lavoro di disegnatore sociale di Francesco Piobicchi inizia a Lampedusa nel 2013, quando comincia a raccontare le storie dei migranti che arrivano sull'isola.
Histoire vivante vous emmène en Méditerranée. Une mer avec de nombreuses puissances riveraines qui s'opposent très souvent à propos des limites de leur souveraineté, de leurs droits réciproques et des usages qu'on y adopte. Un des symboles de la Méditerranée aujourd'hui est l'île de Lampedusa, une île-frontière entre Nord et Sud où le décompte des migrants en détresse ne s'arrête jamais. Pourtant, sous l'Ancien Régime, cette île a incarné un rêve de paix et d'entraide dans un monde perpétuellement en guerre et l'utopie se racontait avec ferveur dans une bonne partie du monde. Dionigi Albera est anthropologue. Il travaille sur les lieux saints, sur les religions qui voisinent et se croisent en Méditerranée et il s'est penché sur l'histoire de l'île de Lampedusa avant qu'elle ne soit habitée, avant qu'elle ne devienne un sujet funeste et récurrent dans l'actualité. Son livre : Lampedusa. Une histoire méditerranéenne (Seuil, 2023).
Criança de oito anos estava entre sete migrantes sobreviventes; desconhece-se o paradeiro da mãe; incidentes na rota do Mediterrâneo causaram mais de 2,2 mil mortos e desaparecidos no ano passado.
durée : 00:20:06 - Journal de 12h30 - Jusqu'à quel point 2025 nous offre-t-elle des raisons d'espérer ? Déjà la nuit dernière aura réveillé un cauchemar récurrent : un nouveau drame de l'immigration en Méditerranée. Vingt personnes sont portées disparus au large de l'île de Lampedusa.
Laudetur Jesus Christus - Ngợi khen Chúa Giêsu Kitô Radio Vatican hằng ngày của Vatican News Tiếng Việt. Nội dung chương trình hôm nay: 0:00 Kinh Truyền Tin : Kinh Truyền Tin 29/12: Trong gia đình, lắng nghe quan trọng hơn hiểu 7:11 Gương chứng nhân : Hoạt động đón tiếp người di cư của các nữ tu ở đảo Lampedusa của Ý 12:08 Giáo hội tuần qua --- Liên lạc và hỗ trợ Vatican News Tiếng Việt qua email: tiengviet@vaticannews.va --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/vaticannews-vi/support
En medio de la situación del mundo y del periodismo, resulta imprescindible contar con profesionales que informen con veracidad y decencia. Nicolás Castellano está ahí, su voz nos ha contado pie a tierra y en medio del mar lo que sucede en Lampedusa, la frontera de Ceuta, Ucrania, Gaza o Siria. Le ha puesto nombre a los seres humanos que sufren para combatir el anonimato de las injusticias.
(00:43) Fulvio Fiano parla del via libera della Corte di Cassazione al voto sulla possibile abrogazione della legge fortemente voluta dalla Lega (e in parte bocciata dalla Corte costituzionale).(06:09) Lara Sirignano racconta il caso della bambina di 11 anni salvata in mare al largo di Lampedusa.(12:30) Federico Fubini spiega in che cosa consiste il progetto di pace del futuro presidente degli Stati Uniti, che chiama in causa l'Europa.I link di corriere.it:Referendum sull'autonomia differenziata: il sì della CassazioneLampedusa, bimba di 11 anni salvata in mare: «Morti gli altri 45 migranti che erano con lei»Il piano di Trump per l'Ucraina: un contingente a guida europea e 200.000 soldati per la pace
Menina da Serra Leoa foi encontrada flutuando em Lampedusa; autoridades italianas dizem que 356 migrantes desembarcaram na ilha na mesma noite do desastre.
Un altro tragico naufragio al largo della Sicilia, con un’unica superstite: si tratta di una bambina di 11 anni. Le vittime, fra cui suo fratello, sarebbero 44. Ne parliamo con Rosario Valastro, Presidente Nazionale Croce Rossa Italiana.A Padova il primo trapianto al mondo a cuore battente. Ci racconta tutto Gino Gerosa, direttore Uoc Cardiochirurgia Azienda-Ospedale Università Padova.Parliamo poi della crisi del settore dell’auto insieme a Paolo Bricco, giornalista de Il Sole 24 Ore.Un’altra serata di Champions League: in campo Juve-Manchester City e Benfica-Bologna. Tutti gli aggiornamenti dal nostro Dario Ricci.
durée : 00:58:50 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Le nom de Lampedusa évoque aujourd'hui les embarcations de migrants qui tentent de traverser la Méditerranée. Quelle est l'histoire de cette île italienne ? En quoi a-t-elle été un laboratoire des migrations, un espace d'accueil et de refuge, un lieu de passage et d'échanges, une "île-monde" ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Dionigi Albera Anthropologue, directeur de recherche émérite au CNRS; Valérie Hannin Directrice de la rédaction du magazine L'Histoire