POPULARITY
Dans le cadre du Podcasthon 2025, j'ai le plaisir de mettre en lumière Femmes des Territoires, une association dédiée à l'entraide et au soutien des femmes entrepreneures en France.Je suis Véronique Milome, dans cet épisode de Parlons Introspection, je reçois Stéphanie Schaeffer, coordinatrice de l'antenne de Châtenay-Malabry, qui nous partage son parcours, son engagement et l'impact de cette communauté sur les entrepreneuses locales. Elle nous raconte comment elle a créé cette coordination, comment elle fonctionne au quotidien et quelles sont les valeurs fondamentales qui l'animent : solidarité, bienveillance et entraide.
Marc Jeancourt et Delphine Lagrandeur co-dirigent les trois lieux de l'Azimut dans les villes de Châtenay-Malabry et Antony en Île-de-France : le Théâtre La Piscine, le Théâtre Firmin Gémier et l'Espace Cirque. Dans ces lieux pluridisciplinaires où sont programmés danse, musique, cirque, marionnettes et théâtre, les deux directeurs cherchent sans cesse à renouveler leur manière de faire vivre le spectacle vivant, en l'intégrant le plus possible à la vie des habitants. Dans cet entretien, ils reviennent sur leurs parcours et leur vision de la programmation. Crédits : Production : ARTCENA Photographe : Christophe Raynaud-de-Lage Son et montage : Margaux Coratte Création sonore : Marc Sayous
"Love Emission", "Culture World", "Actu Info", "Les Totally Spies" et "After Foot", les émissions de la 5ème B du collège Thomas Masaryk Vendredi 13 mai 2022, les élèves de la 5ème B du collège Thomas Masaryk ont accueilli dans leur établissement les médiateurs et médiatrices de Radio Campus Paris lors d'un atelier d'initiation aux pratiques radiophoniques pour enregistrer cinq petites émissions spéciales. Enfilez vos casques et tendez vos oreilles pour découvrir "Love Emission", "Culture World", "Actu Info", "Les Totally Spies" ou encore "After Foot". Chroniques et interviews vous y attendent ! Programme : "Love Emission" Une interview consacrée à l'amour, aux sentiments et parfois, aux difficultés à surmonter. Présentation : Ayline Invitée : Khadija Invitée : Tatiana Intervieweuse : Shirley Musique : Yseult feat. S.prit noir, 101 regrets "Culture world" Une interview sur les animés, des chroniques musicales et culturelles : bienvenue dans "Culture World" ! Présentation : Maeva Chronique sur la juge de Will Smith : Kalliyan Invitée : Rihanna Journaliste : Assyah Chronique : Jorani Musique : Harry Styles, As it was "Actu info" Un émission qui aborde le la crise sanitaire du covid et le foot. Présentation : Yassine Chronique : Albej Chronique : Ousmane Invité : Yohan Journaliste : Mathis "Les Totally Spies" L'émission porte sur le racisme et ses conséquences au travers d'une interview et d'une chronique. Samira Assa Promédi "After Foot" Chronique et interview rythme cette émission consacré au foot et particulièrement au club du Manchester United. Présentation : Malick Chronique : Souleymane Invité : Massine Intervieweur : Jordan Un atelier animé par Suzanne Saint-Cast et Hugo Passard dans le cadre des ateliers d'initiation aux pratiques radiophoniques « A vous les Studios » organisés par Radio Campus Paris. Un grand merci à Alice Pilette, professeure de français au collège Thomas Masaryk de Châtenay-Malabry, pour son investissement.
"Love Emission", "Culture World", "Actu Info", "Les Totally Spies" et "After Foot", les émissions de la 5ème B du collège Thomas Masaryk Vendredi 13 mai 2022, les élèves de la 5ème B du collège Thomas Masaryk ont accueilli dans leur établissement les médiateurs et médiatrices de Radio Campus Paris lors d'un atelier d'initiation aux pratiques radiophoniques pour enregistrer cinq petites émissions spéciales. Enfilez vos casques et tendez vos oreilles pour découvrir "Love Emission", "Culture World", "Actu Info", "Les Totally Spies" ou encore "After Foot". Chroniques et interviews vous y attendent ! Programme : "Love Emission" Une interview consacrée à l'amour, aux sentiments et parfois, aux difficultés à surmonter. Présentation : Ayline Invitée : Khadija Invitée : Tatiana Intervieweuse : Shirley Musique : Yseult feat. S.prit noir, 101 regrets "Culture world" Une interview sur les animés, des chroniques musicales et culturelles : bienvenue dans "Culture World" ! Présentation : Maeva Chronique sur la juge de Will Smith : Kalliyan Invitée : Rihanna Journaliste : Assyah Chronique : Jorani Musique : Harry Styles, As it was "Actu info" Un émission qui aborde le la crise sanitaire du covid et le foot. Présentation : Yassine Chronique : Albej Chronique : Ousmane Invité : Yohan Journaliste : Mathis "Les Totally Spies" L'émission porte sur le racisme et ses conséquences au travers d'une interview et d'une chronique. Samira Assa Promédi "After Foot" Chronique et interview rythme cette émission consacré au foot et particulièrement au club du Manchester United. Présentation : Malick Chronique : Souleymane Invité : Massine Intervieweur : Jordan Un atelier animé par Suzanne Saint-Cast et Hugo Passard dans le cadre des ateliers d'initiation aux pratiques radiophoniques « A vous les Studios » organisés par Radio Campus Paris. Un grand merci à Alice Pilette, professeure de français au collège Thomas Masaryk de Châtenay-Malabry, pour son investissement.
Ils sont en terminale et cette année, ils préparent le Grand Oral ! Curieux, intelligents, sensibles, attentifs, critiques, les élèves de Terminale du lycée Polyvalent Jean Jaurès à Châtenay-Malabry ont réalisé une émission dans laquelle était débattue la question faut-il se méfier de l'intelligence artificielle.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Janvier 2020, Châtenay-Malabry, Hauts-de-Seine.Alix sort de son lit, sans l'impression d'avoir réellement dormi. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas passé une nuit aussi inutile, en termes de récupération. Les 7 kilomètres de course à pieds de la veille avec sa collègue Valérie expliquent sans doute la rigidité de son corps, et sa grande fatigue physique éprouvée au réveil. Mais ce matin, le mal semble plus profond que la courbature classique qui décourage les sportifs du dimanche... Texte: Thomas LandonVoix: Gaelle Savary, Eric LangeEncore plus de Podcast à écouter ici sur PODCAST STORY
Charles Barbet est enseignant d'histoire-géographie au lycée Mounier de Châtenay-Malabry qui accueille des élèves ayant une pratique sportive de haut niveau. Il nous fait partager son expérience et nous décrit, à travers sa discipline, comment il les aide à construire au mieux leur parcours d'excellence sportive (PES). Ces élèves au profil si particulier sont-ils tellement différents des autres élèves ? Les résultats scolaires suivent-ils les performances sportives ? Est-il plus facile de motiver des sportifs à l'apprentissage des savoirs ? Quand l'enseignement devient un sport d'équipe... La transcription de cet épisode est disponible après les crédits. Retrouvez-nous sur : Extraclasse.reseau-canope.fr Apple Podcasts Spotify Deezer Google Podcasts Podcast Addict Extra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Émission préparée par : Pierre Danckers et Floriane Le Maître Réalisée par : Floriane Le Maître Directrice de publication : Marie-Caroline Missir Coordination et production : Hervé Turri, Luc Taramini, Magali Devance Mixage : Simon Gattegno Secrétariat de rédaction : Nathalie Bidart Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2021 Transcription : Alors, je m'appelle Charles Barbet, je suis professeur d'histoire-géographie et d'éducation morale et civique au lycée Mounier, à Châtenay-Malabry. Au lycée Mounier, nous accueillons environ une centaine d'élèves qui sont des sportifs. Tous n'ont pas le label « sportif de haut niveau », mais on va dire qu'ils ont tous une pratique intensive du sport en maintenant un parcours scolaire qui est normal. Les élèves ont une vingtaine d'heures de pratique sportive chaque semaine, plus les heures de lycée qui sont d'une trentaine d'heures à peu près, donc, il faut pouvoir faire rentrer tout ça dans une semaine. Il s'est trouvé qu'au départ, c'était un peu le hasard, j'ai été affecté au lycée Mounier où j'ai découvert justement les sportifs de haut niveau. Ce n'était pas forcément un choix au départ et ça m'a énormément plus, en fait, de rencontrer ces élèves, de voir des parcours différents, qui venaient de partout en France et qui m'ont incité à une pratique pédagogique différente de ce que j'avais pu connaître auparavant. Il est nécessaire effectivement d'adapter sa pédagogie à ces élèves-là puisqu'ils sont très absents à cause des compétitions. Cette année, en plus, il y a aussi beaucoup d'absences à cause du Covid. Comme ils sont internes, ils vivent ensemble, donc il y a eu des mini-clusters qui se sont créés, logiquement. Il est indispensable de garder un contact vraiment rapproché avec ces élèves via les outils qui sont mis à notre disposition. Donc, on a l'ENT, bien sûr, qui est la plateforme du lycée, et je dirais que pendant le confinement, on a vu que ça fonctionnait extrêmement bien avec les élèves sportifs parce qu'ils sont habitués à travailler par eux-mêmes, à rattraper les devoirs et donc, en gros, on va dire qu'ils sont habitués à gérer eux-mêmes. Et finalement, nous, en gros, l'idée, c'est qu'on soit très, très proche d'eux, très en contact, et qu'on puisse prendre des heures éventuellement supplémentaires, des heures de tutorat aussi pour certains des élèves, qu'ils soient bons ou moins bons, pour bien réussir. Alors c'est vrai que dans ma pratique pédagogique en histoire, géographie, géopolitique, sciences politiques et éducation morale et civique maintenant, je reprends souvent le sport avec les élèves sportifs de haut niveau particulièrement, parce que je sais que ça les intéresse. Je peux vous donner un exemple précis : quand j'engage en première la spécialité géopolitique, je prends l'exemple des Jeux olympiques, que nous pouvons travailler au niveau à la fois histoire, bien sûr, au niveau de la géographie, au niveau des sciences politiques mais aussi au niveau de la géopolitique. Et c'est vrai que je pense que, tout de suite, ça crée un lien avec les élèves qui peuvent aussi avoir des références que je n'ai pas, éventuellement. Et puis on peut mettre en perspective. C'est vrai que certains de leurs entraîneurs, certains de leurs référents sont d'anciens champions olympiques ou en tout cas sont allés aux Jeux olympiques de Sydney, Atlanta, etc. Et donc, il y a des liens qui se créent, il y a une connexion qui peut se créer au niveau du cours. Après, certains sportifs de haut niveau font aussi partie de l'histoire. Par exemple, on étudie pas mal Alan Turing, qui est un champion de course, c'est vrai que tout de suite, ça parle davantage aux élèves. Il faut aussi capter leur attention de cette manière-là aussi. Effectivement, les élèves nous donnent une forte satisfaction à plusieurs niveaux. Ça peut être au niveau sportif. Mine de rien, ce sont des élèves qui rentrent en cours sans nous dire que la veille, ils ont reçu une médaille d'or aux Jeux olympiques de la jeunesse. On cherche à comprendre un peu comment ça fonctionne pour eux. Et puis, on va dire aussi que ce sont des élèves qui ont besoin du contact avec les professeurs, puisqu'ils sont assez éloignés de leurs parents généralement, et donc ils ont besoin encore plus de nous, ce qui fait qu'il y a des contraintes mais il y a aussi de bonnes satisfactions. Depuis l'année dernière, nous avons décidé de former des classes uniquement de sportifs de haut niveau, ce qui n'était pas le cas auparavant. Avec la réforme du lycée et donc la réforme du bac, on a pu mettre ça en place puisqu'on a pu garder un groupe classe uniquement lié aux sportifs de haut niveau, mais dans les spécialités, ils se retrouvent avec différents élèves. On avait très peur de ce manque de mixité parce que pour les élèves, c'est aussi important de ne pas se retrouver uniquement entre sportifs de haut niveau et donc d'être au contact des autres élèves et de réussir justement à avoir une vie sociale en même temps. Donc ça, c'était une des premières contraintes et finalement, on a réussi à la résoudre. On sent que ça fonctionne bien après une année, en tout cas dans cette manière-là. En termes d'anecdotes, j'ai eu la chance d'avoir d'excellents élèves sportifs de haut niveau. Chaque année, on a des élèves qui ont un niveau scolaire qui est très au-delà de la moyenne et qui, en plus, ont des résultats sportifs très bons. Notamment un de mes élèves, pongiste, que j'ai préparé au concours général en histoire, qui, en plus de ses 50 heures de cours, plus d'entraînements, et bien a rédigé presque 300 pages sur le programme d'histoire. Ce qui fait que oui, il y a quand même une proximité entre ces sportifs et le milieu scolaire. Et donc, je pense clairement que les deux fonctionnent puisqu'on a cet esprit sportif, à la fois la compétition, mais aussi la rigueur, le mental qu'ont les élèves et qui permettent la réussite scolaire. À l'instant même, je viens de recevoir les résultats du baccalauréat de certains de mes élèves et donc je vois que j'ai trois élèves qui ont réussi avec la mention « très bien », dont deux avec les félicitations du jury. Ce qui prouve bien, encore une fois, qu'on a une classe vraiment qui est sportive, mais également qui a un niveau excellent.
Jeudi 30 septembre 2021, SMART IMPACT reçoit Jean-Michel Caye (Managing Director & senior partner, BCG) , Mathilde Schiettecatte (Responsable du Pôle Agriculture Urbaine, Merci Raymond) , Carl Segaud (Maire, Châtenay-Malabry) et Pierre Véron (Fondateur, Le Jouet Simple)
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - A quinze jours de la rentrée scolaire, le ministre de l'Education tente de rassurer les parents d'élèves et les enseignants. Ce matin à Châtenay-Malabry, Jean-Michel Blanquer a évoqué une année scolaire "la plus normale possible" grâce à la vaccination des 12-17 ans.
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - A quinze jours de la rentrée scolaire, le ministre de l'Education tente de rassurer les parents d'élèves et les enseignants. Ce matin à Châtenay-Malabry, Jean-Michel Blanquer a évoqué une année scolaire "la plus normale possible" grâce à la vaccination des 12-17 ans.
Grandissant du côté de Châtenay-Malabry, Aristide s'essaie d'abord au foot sur le goudron de sa cité. C'est à 10 ans, alors qu'il vit à Massy, qu'il s'initie au rugby avec des gamins qui deviendront ses potes pour la vie. Immédiatement piqué par ce sport, il n'a alors qu'un seul objectif en tête : devenir un joueur professionnel. Passé par le pôle de Lakanal et toutes les équipes de France Jeune, il s'engage au Stade Français à 18 ans mais ne parvient pas à s'y imposer. Refusant d'endosser le costume d'éternel espoir, il retourne à Massy en 2011 et découvre la Pro D2 l'année suivante, avant de poser ses valises en Italie, du côté de Piacenza puis de Mogliano. De l'autre côté des Alpes, le coup de foudre est réciproque ! Éclaboussant le championnat de toute sa classe, il intègre le giron de la fédération italienne, en vue de disputer 5 ans plus tard la coupe du monde 2019 avec la Squadra Azzura. Pourtant, sa vie bascule le 13 Novembre 2015, lors d'un de ses rares retours sur Paris. Alors qu'il passe avec quelques amis près du restaurant "Le Petit Cambodge", il croise le chemin de terroristes qui ouvrent le feu. Aristide est touché par plusieurs balles en protégeant sa sœur, présente ce soir-là et elle aussi touchée. Suite aux premiers secours prodigués par Serge Simon, s'en suivent des mois de galère, de rééducation et une lutte contre lui-même afin de tenter de reprendre le chemin des terrains. Malgré une invraisemblable réathlétisation, son corps meurtri par les attentats le poussera finalement à se tracer une nouvelle route. Sa folle ambition de fouler à nouveau la pelouse l'aura poussé à dépasser les limites de son corps et de son esprit, lui permettant de se découvrir un peu plus chaque jour. Suite à cet arrêt forcé, il se lance dans l'art. D'ailleurs, l'écriture, la photo ou le dessin sont autant de domaines qu'il explore aujourd'hui avec gourmandise et réussite. J'ai passé un moment véritablement incroyable avec Aristide. Il avance dans sa vie, sans rancœur ni haine, mais avec une détermination hors normes. Ses amis l'ont toujours défini comme étant quelqu'un de bizarre. Moi je dirai qu'il est justement quelqu'un d'extra-ordinaire.
SITES INTERNET : https://www.eiffage-immobilier.fr/ https://lavallee-chatenay-malabry.com/ Radio Immo, première webradio d'information immobilière
« Partout dans le monde il y a cette folie de détruire ». Ces mots publiés dans Le Monde sont ceux d'Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, prix Pritzker 2021, la plus prestigieuse récompense en architecture. C'est justement d'un projet de destruction qu'il s'agit ici, celui de la Butte Rouge, cité-jardin édifiée dans les années 1930 à Châtenay-Malabry, à dix kilomètres au sud de Paris. La mairie prévoit un large plan de réaménagement de cette cité ouvrière. Certains habitants et des architectes lancent la fronde de peur de voir le quartier défiguré. Il est encore émerveillé quand il promène son regard sur les façades roses pastel des immeubles. Jean-Claude Charrier n'imagine pas un instant quitter sa cité. Il y est né en 1942 et vit toujours dans sa maison de naissance. « Le plan, à mon avis, c'est de se débarrasser d'une population qui ne rapporte maintenant plus rien à la mairie. On veut changer la population, se débarrasser des gens qui n'ont pas de moyens, qui sont locataires et qui ne paient pas de taxe d'habitation », s'exclame cet habitant. Son père était ouvrier chez Renault. C'est justement pour mieux loger les ouvriers qu'Henri Sellier, ministre de la Santé publique sous le Front populaire, lance l'idée de cette cité jardin. Nous sommes alors dans les années 1930. 90 ans plus tard, la mairie met en avant la dégradation des bâtiments et certains logements insalubres. Des arguments non recevables. « La mairie communique sur un écoquartier. Raser une cité-jardin pour faire un écoquartier, cela n'a pas de sens selon nous », soupire Marc Sirvin, descendant de deux architectes ayant conçu la Butte Rouge. « Et surtout au niveau de l'écologie, on va détruire des bâtiments qui sont sains pour la plupart et facilement réhabilitables. Les détruire, créer des gravats pour construire à nouveau, c'est un non-sens total. Ce dont on est certains, c'est qu'il y aura moins d'espaces verts. Vu la disposition des nouveaux bâtiments sur le plan – cela reste encore très schématique, on ne sait pas à quoi ils ressembleront – on sait que ce sera plus dense, plus haut et plus épais. » Des jardins, de larges squares de verdure entourent les 4 000 logements sociaux. 80% de ces bâtiments seraient détruits dans le projet de la mairie. Barbara Gutglas est une architecte à la retraite militant pour la sauvegarde de la Butte Rouge. « 70 ha ! Je crois qu'il y a des promoteurs qui en bavent. En région parisienne, à 10 kilomètres de Paris, avec le tram... Il y a des promoteurs qui veulent absolument construire alors que nous pensons que c'est un joyau. C'est l'histoire, le patrimoine. Il n'y a pas que les châteaux à Versailles à garder », nous dit cette militante. Sollicitée par les opposants au projet, Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture, exige le classement de la Butte Rouge comme « site patrimonial et remarquable ». Le maire de Chatenay Malabry s'y est engagé sans remettre en cause le plan de réaménagement.
durée : 00:04:30 - Le Reportage de la rédaction - Alors que beaucoup cherche à faire entrer plus de nature en milieu urbain, à Châtenay-Malabry, en région parisienne, une cité HLM fait figure d’exemple depuis les années 1930. Mais architectes et habitants de la Butte-Rouge craignent de voir leur quartier défiguré à cause d'un plan de réaménagement.
Un road-trip radiophonique loufoque et entêté sur les traces d'un mystérieux jardinier. Une cassette audio trouvée par hasard. Dessus, un homme, apparemment jardinier, s'adresse à un certain Jean-Michel et lui fait part de ses besoins et ses doutes. Intrigué par cette parole perdue, Henri décide de partir à sa recherche à bord de son camping-car. Il part alors pour Châtenay-Malabry, petite ville péri-urbaine du sud de Paris où se côtoient parcs et HLM, seul indice géographique qu'il possède. Il tient son journal de bord sur dictaphone et commente son périple. Pour reconstituer le portrait de cet homme, il va à la rencontre de jardiniers mais plus il avance, plus les indices s'accumulent et les pistes se multiplient. Il cherche un jardinier dans une ville de jardiniers. Déterminé à le retrouver, les indices le mènent finalement sur la piste d'un centre spirituel. -------- Réalisation : Enrico D'Ambrosio, Gildas Bouchaud et Gaëtan Arhuero Prise de son : Gildas Bouchaud et Gaëtan Arhuero Montage : Gildas Bouchaud et Gaëtan Arhuero Mixage : Gaëtan Arhuero, Gildas Bouchaud et Bastien Hidalgo Ruiz Musique : Gaëtan Arhuero Graphisme : Maëlan Le Meur Une production ATOM[E] asbl Avec le soutien de l'ACSR et du Fond d'Aide à la Création Radiophonique de la Fédération Wallonie-Bruxelles Licence SACD Avec les voix de : Enrico D'ambrosio, Ghislaine Savoye, Stéphanie Fleury, Jean-Michel Weidner, Nicole, Jocelyne, Anna, Patricia et Jean-Pierre de la cité jardin, Philippe Davoust, Nelly Bouilhac, Georges Houngbadji, Véronique Duchapt, Louis-Marie Retailleau, Jean-Michel Krall et Frère Patrick Labous. Merci à eux et à toutes les personnes rencontrées sur notre chemin pour leur aide précieuse dans cette recherche. Merci à Louis Marbaix, Alexandre Duvinage, Dario Bruno, William Lethé, Mehdy Khachachi, Coraline Clément et Luce Molitor pour leurs écoutes et leur participation dans cette enquête. Merci à Carmelo Iannuzzo et Bastien Hidalgo Ruiz pour leur accompagnement artistique et à toute l'équipe de L'ACSR pour leur soutien
Il existe peu de musées français consacrés exclusivement à l'art brut, LaM, anciennement musée d'Art moderne de Villeneuve-d'Ascq et le MANAS, le Musée d'Art Naïf et d'Arts Singuliers de Laval. Par contre il y a un lieu privé, l'abbaye d'Auberive, où le collectionneur chatenaisien Jean-Claude Volot expose une collection patiemment enrichie depuis quarante ans. Une trentaine d'oeuvres de Philippe Aïni, Badia, Philippe Dereux, Hervé Di Rosa, Jephan De Villiers et Joël Lorand ont été sorties pour être montrées au public, en accès libre, (jusqu'au 7 mars 2020) au Pavillon des arts et du Patrimoine de Chatenay-Malabry. Cette chronique présente l'essentiel de l'exposition en donnant quelques clés pour comprendre la vision qu'un collectionneur a du monde de l'art et quel type de relation il entretient avec les artistes.
Il existe peu de musées français consacrés exclusivement à l'art brut, LaM, anciennement musée d'Art moderne de Villeneuve-d’Ascq et le MANAS, le Musée d'Art Naïf et d'Arts Singuliers de Laval. Par contre il y a un lieu privé, l’abbaye d’Auberive, où le collectionneur chatenaisien Jean-Claude Volot expose une collection patiemment enrichie depuis quarante ans. Une trentaine d'oeuvres de Philippe Aïni, Badia, Philippe Dereux, Hervé Di Rosa, Jephan De Villiers et Joël Lorand ont été sorties pour être montrées au public, en accès libre, (jusqu’au 7 mars 2020) au Pavillon des arts et du Patrimoine de Chatenay-Malabry. Cette chronique présente l'essentiel de l'exposition en donnant quelques clés pour comprendre la vision qu'un collectionneur a du monde de l'art et quel type de relation il entretient avec les artistes.
Marie-Claire vous donne RV le week-end, le samedi à 7, 10 et 13 heures, le dimanche à 11 h30, 14 h30 et 17 h30 pour partager son coup de coeur du moment sous forme d'un billet d'humeur de 3 minutes à propos d'un livre, d'un film, d'une exposition ou d'une tradition qui vous surprendra et vous donnera envie de faire à votre tour de nouvelles découvertes. MC'aime est aussi accessible en podcast sur l'onglet "Replay des chroniques"
Marie-Claire vous donne RV le week-end, le samedi à 7, 10 et 13 heures, le dimanche à 11 h30, 14 h30 et 17 h30 pour partager son coup de coeur du moment sous forme d’un billet d’humeur de 3 minutes à propos d’un livre, d’un film, d’une exposition ou d’une tradition qui vous surprendra et vous donnera envie de faire à votre tour de nouvelles découvertes. MC’aime est aussi accessible en podcast sur l’onglet "Replay des chroniques"
Dans la 1ère partie de ce podcast nous recevons Babette De Rozières Véritable personnalité publique atypique, Babette partage diverses activités dans lesquelles elle est pleinement engagée :À la fois cheffe cuisinier, auteure, animatrice télé et conseillère régionale, Babette a à cœur de promouvoir la gastronomie ultramarine et francophone.C'est pourquoi, elle décide d'organiser un rendez-vous culinaire qui, depuis 2015, est mis à l'honneur sous le nom du "Salon de la gastronomie des outre-mer".La 4e édition du #SAGASDOM aura lieu du 1er au 3 février 2019 et promet un salon encore plus gourmand, plus festif avec 132 stands sur 6000 m2 au parc des expositions de Paris.Ce rendez-vous annuel valorise avant tout la qualité et la diversité des saveurs venues de ces régions, mais aussi le patrimoine, la culture, le tourisme, les savoir-faire et les talents de nos outre-mer et du monde francophone.Un vrai festival de découvertes qui invite à la fois un public régional, national mais aussi international.Un menu que nous détaillerons ce samedi dans le building de StreetD en présence de Babette ! L'occasion d'échanger également sur le parcours de notre #StreetdiamondGuest le temps d'une interview assaisonné par @Mak_paro et sa team ! En deuxième partie Show Me What You Got! avec la boulangerie Ô Ti Kolibri Nous recevrons le chef Youri Karramkan !Il aura 10 min pour convaincre, 10 min pour nous présenter sa Boulangerie, Pâtisserie située au 18 rue jean Longuet 92290 Châtenay-Malabry et ses activités de traiteurs qui mêlent les saveurs française et caribéenne ! Emission STREET DIAMOND du (12/01/2019) Animateurs: Mak Paro, Kelly, Mlle AC, Manu Dorlis, Maïty Freeman, Kenny, Laurie Pezeron, Sharone Omankoy, Cindy. Photo : Dorlis Photography Radio RGB 99.2 FM et streetdiamond.fr. Abonnez vous aux podcasts de Street Diamond sur Itunes, Deezer, Spotify, etc... Facebook : Street Diamond (le samedi de 19h à 22h sur radio RGB)
Une émission présentée par José Cohen et Philippe Grimbert, professeurs des universités, praticiens hospitaliers, université Paris-Est-Créteil. Ils reçoivent Elias Fattal, Professeur de Pharmacotechnie à la Faculté de Pharmacie Châtenay-Malabry au sein de l’Université Paris-Sud
Les cités-jardins sont cette semaine au programme de notre série de podcast Voyages d'architecture. Thibaud Pombet promène son micro à Châtenay-Malabry dans le quartier de la Butte Rouge.
Les cités-jardins sont cette semaine au programme de notre série de podcast Voyages d'architecture. Thibaud Pombet promène son micro à Châtenay-Malabry dans le quartier de la Butte Rouge.
Article De Le Parisien Sur Chatenay Malabry by PierreJo
Adrien Wettach dit Grock (1880-1959) a été l’un des grands clowns du XXe siècle, une star mondiale connue dans l’Occident à l’égal de Charlie Chaplin. Cette personnalité née dans le Jura suisse a connu un immense succès dans le monde entier (à l’exception peut-être des Etats-Unis). Interprète génial, mais aussi musicien et bricoleur d’objets en tous genres, Grock a également été un pionnier du marketing. Il a été le premier à faire du « placement produit » dans ses spectacles. Il a su gérer sa carrière au point d’être le clown le mieux payé du monde, s’offrant une villa d’un luxe inouï sur la côte ligure, près de Gênes (Italie). Adulé par les foules mais aussi apprécié par les grands de ce monde (Churchill, les têtes couronnées, le général de Gaulle…), Grock a eu un énorme succès en Allemagne. Hitler, qui l’adorait, est allé assister à ses spectacles plus d’une dizaine de fois. D’une grande naïveté politique, Grock n’a pas été insensible à la flatterie. En 1945, « grockistes » et « anti-grockistes » se sont violemment opposés à son sujet. En explorant l’univers de ce clown aujourd’hui un peu oublié, on peut s’interroger sur ce qui fait le talent d’un clown : qu’est-ce qui fait que le rire marche ? Pourquoi des gags absurdes ont-ils fonctionné avec Grock et pas avec ses nombreux imitateurs ? La dimension mécanique du rire n’empêche pas une part insondable de mystère. Tout au long de sa carrière, Grock n’a produit qu’un seul numéro, sans cesse peaufiné de 1915 à 1955. Son spectacle était largement inspiré de ce qu’il avait vu ailleurs, à peine transformé. Grock a consolidé la figure du clown clochard, poète et musicien. Le rire est provoqué par la chute du clown, ses tentatives absurdes et ses échecs… « L'essence du clown se trouve dans la faiblesse fondamentale de l'être humain, dans les particularités qui sur un certain plan, font de chacun de nous un raté. Pour trouver le rire de son clown il faut chercher ses faiblesses, les reconnaître, les afficher et s'en moquer publiquement » (Jacques Lecoq). Grock incarne bien cette formule de Samuel Beckett : « essayer, rater, essayer encore, rater encore, rater mieux ». Marc Jeancourt dirige le théâtre Firmin Gémier/La Piscine (Antony-Châtenay-Malabry), qui anime notamment l’Espace Cirque d’Antony, pôle national des Arts du cirque.