Podcasts about kolpa kopoul

  • 12PODCASTS
  • 21EPISODES
  • 55mAVG DURATION
  • ?INFREQUENT EPISODES
  • Apr 5, 2023LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about kolpa kopoul

Latest podcast episodes about kolpa kopoul

Nova Hors-Série
Interview de Ryūichi Sakamoto en 1996 par Jean-François Bizot et Rémy Kolpa Kopoul, présentée par Bintou Simporé

Nova Hors-Série

Play Episode Listen Later Apr 5, 2023 38:32


Pop, techno, soul, world music, classique... Difficile de résumer la carrière de Ryūichi Sakamoto tant elle a été longue et fructueuse. Entre ses compositions au sein du groupe synthpop Yellow Magic Orchestra fondé en 1978 aux côtés Haruomi Hosono et Yukihiro Takahashi, et sa longue carrière solo, rares sont les genres musicaux avec lesquels Sakamoto n'a pas expérimenté. À l'occasion de la sortie de son album 1996, l'artiste était reçu dans l'émission Néo Géo pour parler notamment de son album éponyme, et de sa conception de cette “Nouvelle Géographie” : "J'ai réalisé que nous avons tous une carte, une certaine géographie dans notre esprit, qui peut changer à tout instant. Pour ma carte, Bali est à côté de New York, et est beaucoup plus grande que ce qu'elle est, le Japon également. Cette carte est fondée sur l'importance culturelle de ce qui nous intéresse. C'est ça Neo Geo, la nouvelle géographie.” Cet interview présentée par Bintou Simporé fut aussi l'occasion pour Jean-François Bizot et Rémy Kolpa Kopoul de l'interroger sur sa collaboration avec Youssou N'Dour, sa première expérience au cinéma ou encore ses artistes préférés. Un riche entretien que nous vous proposons de réécouter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

TsugiMag
En direct de Babel Music XP avec KUTU, Dowdelin, Caïn و Muchi

TsugiMag

Play Episode Listen Later Mar 25, 2023 118:50


C'est beau une renaissance… La dernière fois que Babel Med Music a eu lieu c'était il y a 5 ans. La baisse des dotations publiques, puis une petite pandémie mondiale, ont empêché la tenue de cette événement si important pour Marseille et pour les artistes du monde entier. Et grâce à l'arrivée aux commandes d'une nouvelle génération au sein de Latinissimo dont la détermination n'a jamais manqué, Babel Music XP est né pour écrire un nouveau chapitre de la belle aventure commencée en 2005 et créée par l'équipe de la Fiesta des Suds. Festival le soir au Dock des Suds, marché et rencontre professionnelles à la friche de la belle de mai où nous nous trouvons aujourd'hui, Babel Music XP réussit l'exploit de réunir des artistes et des acteurices de la musique de 4 continents. Histoire de prendre le pouls d'une sono mondiale prophétisée par le regretté Rémy Kolpa-Kopoul qui n'aura jamais été aussi réelle et vivante qu'ici à Marseille. Notre programme du jour en est le preuve : l'afro-trans à haute teneur en sueur de KUTU, les expérimentations entre bass music et chants traditionnels du Maghreb de Caïn & Muchi, ou la fusion généreuse et irrésistible de Dowdelin qui sont déjà ici autour de la table. Mais pour commencer, je reçois, le directeur de Babel Music XP, un directeur qui affiche un large sourire, Olivier Rey. Et juste avant le live de KUTU, regards croisés avec la chercheuse Eldina Soldo, le programmateur Alex Stevens, et le Directeur Général de la Friche de la Belle de Mai, Alban Corbier-Labasse sur les défis qui attendent la musique live dans les années à venir.

La Potion
"Nous avons été initiées à la santería dans le ventre de notre mère" (Ibeyi)

La Potion

Play Episode Listen Later Jan 20, 2023 46:04


https://youtu.be/_tp2HFY7klk Depuis leurs débuts et la sortie de leur premier album en 2015, les deux sœurs Diaz nourrissent leur musique de la mystique afro-cubaine léguée par leur père, l'immense et regretté percussionniste Miguel Anga Diaz, un héritage précieux cultivé par leur mère avec de nombreux allers-retours à Cuba. Après Ash en 2017, les jumelles Ibeyi sortaient Spell 31 au printemps dernier, un troisième opus lancé comme un pont au-dessus de l'Atlantique Noire. Toujours aussi habité par les esprits de la santeria cubaine, le disque s'inspire également du Livre des Morts des Anciens Égyptiens, une sorte de mode d'emploi de l'au-delà pour accompagner les antiques défunts du delta du Nil dans leur dernier voyage. Avant de retrouver le duo en live le 28 janvier au Transbordeur à Villeurbanne, le 2 février à Rouen et le 3 février à l'Olympia à Paris, Ibeyi se dévoile donc en magie au micro de Jeanne Lacaille. Filles de Xangô et de Yemaya, Naomi et Lisa-Kainde Diaz reviennent dans cet épisode sur leur initiation à la santería cubaine et son influence majeure dans leur rapport à la musique. De là, nous filons sur le continent africain au cœur d'une cérémonie vaudou au Bénin, avant de rallier l'Egypte pour nous plonger dans le Livre des Morts des Anciens Egyptiens qui a inspiré à Ibeyi le répertoire de Spell 31, dernier opus en date du duo. En chemin, au carrefour des mondes visibles et invisibles, nous lançons quelques sorts et convoquons les esprits de figures tutélaires pour Naomi et Lisa-Kaindé, de leur père Miguel Anga Diaz à Rémy Kolpa Kopoul. https://youtu.be/A_tJgRfrvKU Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

DJs, résident.e.s et festivals [Tsugi Radio]
PPJ fête la sortie de leur EP, Trindade

DJs, résident.e.s et festivals [Tsugi Radio]

Play Episode Listen Later Dec 5, 2022 62:25


À trois, c'est trois fois mieux. On le dit souvent sur cette antenne...  et c'est aussi le constat qu'ont fait Paula, Povoa et Jerge connus aujourd'hui sous le nom de PPJ. Dans leur nom, il y a le Brésil, mais aussi la Normandie, Lille, Londres et le 18e arrondissement de Paris. Dans leur galaxie, il y a Myd, Tristesse Contemporaine, Lewis OfMan et Metronomy. Dans leur son il y a le baile des favelas, Roaslía, Fishbach, Kraftwerk, Stevie Wonder, le jazz et la techno. Forts de quelques jolis singles et après quelques scènes remarquées cet été à We Love Green, Pete The Monkey ou les Francos de la Rochelle, le trio vient de sortir Trindade, un EP généreux et dansant sur les rythmes d'une sono mondiale que n'aurait pas reniée le regretté Rémy Kolpa-Kopoul de Radio Nova. Mais ici c'est Tsugi Radio et alors qu'ils seront demain en concert à La Boule Noire à Paris, le trio PPJ prend les platines ce soir en direct pour un mix exclusif.

TsugiMag
PPJ fête la sortie de leur EP, Trindade

TsugiMag

Play Episode Listen Later Dec 5, 2022 62:25


À trois, c'est trois fois mieux. On le dit souvent sur cette antenne...  et c'est aussi le constat qu'ont fait Paula, Povoa et Jerge connus aujourd'hui sous le nom de PPJ. Dans leur nom, il y a le Brésil, mais aussi la Normandie, Lille, Londres et le 18e arrondissement de Paris. Dans leur galaxie, il y a Myd, Tristesse Contemporaine, Lewis OfMan et Metronomy. Dans leur son il y a le baile des favelas, Roaslía, Fishbach, Kraftwerk, Stevie Wonder, le jazz et la techno. Forts de quelques jolis singles et après quelques scènes remarquées cet été à We Love Green, Pete The Monkey ou les Francos de la Rochelle, le trio vient de sortir Trindade, un EP généreux et dansant sur les rythmes d'une sono mondiale que n'aurait pas reniée le regretté Rémy Kolpa-Kopoul de Radio Nova. Mais ici c'est Tsugi Radio et alors qu'ils seront demain en concert à La Boule Noire à Paris, le trio PPJ prend les platines ce soir en direct pour un mix exclusif.

Nova Hors-Série
1994 : RKK nous parle de Gal Costa sur Nova

Nova Hors-Série

Play Episode Listen Later Nov 9, 2022 7:23


La muse du tropicalisme, et pilier de la musique brésilienne Gal Costa nous a quitté aujourd'hui. En 1994, Rémy Kolpa Kopoul évoquait ce "patrimoine national", pour la sortie de son album O Sorriso do Gato de Alice. C'est aussi bien en 2022. Bon voyage, Gal. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Nova Hors-Série
En 2004, Lamont Dozier et les glorieuses années Motown sur Nova

Nova Hors-Série

Play Episode Listen Later Aug 17, 2022 63:20


“Going back to my roots”, “All cried out”, “Trying to hold on to my woman”… Autant de titres iconiques de Lamont Dozier, chanteur d'exception, bien que principalement connu pour ses succès en tant que producteur. Il réussit à propulser au sommet le label Motown, fondé par Berry Gordy Jr. au début des années 1960, au sein du légendaire trio qu'il formait avec les frères Holland.En 2004, PérégriNova déroulait le tapis rouge à Lamont Dozier, qui est d'abord revenu sur le processus de création artistique à la Motown. Il évoquait ensuite les relations qu'il entretenait avec le florilège d'artistes produits par le label : The Supremes, Marvin Gaye, The Four Tops…La Motown, telle que dirigée par Berry Gordy, le premier afro-américain à la tête d'un label indépendant, fonctionnait alors comme une véritable usine dont le but était de populariser la musique afro-américaine, nous confiait Lamont Dozier. Le triptyque pression-compétition-création y régnait en maître, mais dans ce contexte très nouveau, pas de règles sinon celles qui se mettaient en place au fur et à mesure... Une aventure passionnante à découvrir en exclusivité dans cette interview inédite.Une émission diffusée le dimanche 7 mars 2004, présentée par Rémy Kolpa Kopoul et Benjamin Blanpain. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Néo Géo
L'intégral : Le “Motherland Journey“ de Blue Lab Beats live à Nova

Néo Géo

Play Episode Listen Later Apr 4, 2022 109:39


VENT D'AILLEURS Un Vent d'Ailleurs souffle cette semaine vers le Congo, où L'Institut français du Congo de Pointe Noire organise le festival « Rumba un jour, rumba toujours » du 5 au 16 avril. Il met à l'honneur la rumba congolaise, entrée au Patrimoine culturel immatériel de l'Unesco le 14 décembre 2021, et questionne son avenir. DE VISU Comprendre l'invisible à travers les cultures, et « lier les humains avec les non-humains », c'est ce que propose la cinquième édition de « L'Ethnologie va vous surprendre » au Musée du Quai Branly Jacques Chirac. Tour du programme avec Philippe Charlier, directeur du département de la recherche et de l'enseignement du musée. LE LIVE Place aux sonorités électro jazz, afrobeat et r'n'b dans le live de Néo Géo avec le duo londonien Blue Lab Beats ! Le groupe nous présente leur dernier album Motherland Journey, sorti le 25 février sur le label Blue Note Records. COUP DE CŒUR Cette semaine, le Coup de cœur est signé Bastien Stisi. Il nous parle de l'exposition “Raymond Depardon / Kamel Daoud. Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019”, en ce moment à L'Institut du monde arabe.ARCHIVEFocus dans les archives de Nova cette semaine, avec les chanteurs Idir (décédé le 3 mai 2020) et Khaled ensemble dans Le Salon de musique de Nova en 1995 à l'occasion du concert "L'Algérie la vie”, au micro de Rémy Kolpa Kopoul et Alalou. Worldmix : Le mix de Dj Ness AfroDirection le Nigéria, le Ghana et le Bénin, avec les artistes Assagia, Black Children , Gnonnas Pedro, et K.Frimpong. Dj Ness Afro nous partage aussi une nouveauté : le titre “Algoritmo”, du musicien Milton Gulli, dont le dernier album Quotidiano vient de sortir sur le label Tangential Music. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Artes
Mû Mbana levou a música dos Bijagós a Paris

Artes

Play Episode Listen Later Feb 15, 2022 19:59


O músico Mû Mbana subiu ao palco do Thêatre du Châtelet, em Paris, este domingo, no âmbito do início da Temporada Cruzada França-Portugal. O cantor, compositor e multi-instrumentista apresentou canções do seu disco "mais guineense", INÊN, e esteve à conversa com a RFI.  Foi uma viagem à Guiné-Bissau através de uma voz intemporal e cordas de instrumentos tradicionais. O músico Mû Mbana foi um dos artistas lusófonos a subir ao palco do Thêatre du Châtelet, em Paris, este domingo, e transformou a sala num espaço de poesia e murmúrio, de contemplação e espanto. O cantor, poeta, compositor e multi-instrumentista apresentou canções do seu trabalho "mais guineense": INÊN. Estava simplesmente acompanhado pelos sons do simbi, bënsuni e tonkorongh, instrumentos que ele resgatou de séculos passados e que fazem agora parte da sua história. Essa história começou quando era muito menino, com apenas três ou quatro anos. Era uma vez…    RFI: A primeira frase da sua biografia na sua página web explica: “Tudo começou quando tinha três anos: antes das notícias da rádio, punham uma música de balafon que me fazia dançar”… Foi mesmo assim que tudo começou? Mû Mbana, Músico: Começou comigo e a minha família a darmo-nos conta que eu tinha uma certa conexão com a música porque eu era pequeno e cada vez que soava essa sintonia eu dançava. A minha família ria-se. Era engraçado, era um miúdo de três ou quatro anos a curtir com uma música que é uma sinfonia que se põe antes das notícias. Do meu despertar interno e externo quanto à minha conexão com a música, acho que esta é a memória mais antiga, a primeira que tenho. Nasceu na ilha de Bolama, nos Bijagós, cresceu num mundo pleno de música, mas foi para a Europa para estudar arte em Portugal e acabou por formar-se na música, de forma académica, em Barcelona… Conte-nos um pouco destas escolhas…. Fui da Guiné para Lisboa, morei em Portugal vários anos e estudei um pouco a construção civil, o desenho técnico da arquitectura e depois decidi estudar música. Estive a ponto de ir para o Hot Club de Jazz, em Lisboa, mas afinal foi para o Taller de Músics de Barcelona para estudar Harmonia Moderna, linguagem musical e tudo isso. Tinha necessidade de ter ferramentas a nível de composição para poder ampliar a minha capacidade como compositor. Pelo caminho, fez 20 anos de pesquisa só para resgatar instrumentos tradicionais da Guiné-Bissau, algo que transpôs para a sua música. A sua música é uma fusão das sonoridades do passado com as novas tendências? É mesmo assim. Toco esses instrumentos, o simbi, bënsuni, tonkorongh , e toco a minha música actual, uma música que eu incarno agora, neste momento, como alguém que vive no tempo presente. Eu sinto-me confortável sendo o que sou no momento presente. Isso não me impede de recuar no tempo e interpretar músicas tradicionais – música antiga da Guiné ou da África Ocidental de compositores clássicos, antigos mesmo. Mas as minhas composições refletem tudo o que eu adquiri até aqui, até hoje. Evidentemente quem ouve vai ouvir música de um músico africano da Guiné, mas vai notar que esse músico talvez tenha vivido uma experiência um pouco mais ampla do que simplesmente um músico que toca música tradicional da Guiné e instrumentos tradicionais com aquela linguagem estritamente tradicional. Falou-me dos instrumentos tradicionais, vemos aqui o simbi, o bënsuni e o tonkorongh. Que instrumentos são estes? Esse simbi que está aí é um simbi do povo balanta – porque há vários simbis. É um instrumento grande que só se pode tocar sentado e é para acompanhar a voz, para acompanhar a dança, para acompanhar histórias. É o meu instrumento, para mim é o instrumento de cordas com o qual me conecto mais para acompanhar a minha voz. São instrumentos antigos, muito antigos. Aqui na Europa quando falam de música antiga pensam no Barroco. Nós, quando falamos de música antiga, pensamos no Egipto antigo, ou seja, estamos a falar cinco mil anos, seis, sete, dez…porque esses instrumentos estão gravados nas pedras de Gizé e de Assuã e todos os lugares onde o nosso povo viveu e construiu civilizações antigas. São instrumentos que contam muitas histórias. E que histórias é que você conta nas suas músicas? São histórias poéticas, são histórias de vida, são histórias políticas, são reivindicações? Hؘá tudo isso e mais. Há histórias do dia-a-dia, comuns, como uma mulher casada, uma dona de família, uma matriarca que a certa altura da sua vida tem um amante e fala dessa vivência. Histórias também de alguém que se procura fora de si até uma certa altura dar-se conta que fora não encontra o que realmente está à procura e tem que voltar a olhar para dentro e buscar dentro de si porque é o caminho mais perto, afinal, para se encontrar. Todas essas histórias acontecem nas minhas músicas. Evidentemente que também tem histórias de amor e observações de beleza do que existe. Há questões existenciais também, postas na primeira pessoa, mas também um convite à reflexão conjunta. Há muitas questões, há muitas histórias contadas no que eu canto. Editou vários discos, o INÊN será talvez o mais guineense dos seus discos? Exactamente. Eu voltei à Guiné [para o fazer] e foi o meu décimo disco - INÊN quer dizer dez, mas também quer dizer mãos porque era uma reflexão também sobre o poder transformador das mãos. Tudo o que concebemos, as mãos acabam por materializar e executar. Foi o meu primeiro disco apresentado na Guiné. Primeiro fiz uma apresentação oficial do INÊN na Guiné-Bissau e depois no resto do mundo. Há outro disco que nos faz viajar muito até à Guiné-Bissau, o Nô Tchon… É muito guineense esse disco, mesmo tendo músicos de jazz à volta, o grande contrabaixista Javier Colina e o flautista Juan Carlos Aracil. É um disco muito guineense, muito, muito mesmo na sua essência. É o mais recente publicado, mas tenho agora vários discos acabados mas ainda não publicados. Então, o que vamos ter em breve? Tenho uma trilogia, um disco em três volumes gravado em Dezembro de 2019 em São Paulo. Tenho um outro disco gravado com o Mauricio Caruso, um guitarrista de São Paulo que mora em Santiago de Compostela e tenho dois discos meus a solo que também estão prontos. Tenho ainda um outro disco de música electrónica, com o DJ Panko que está pronto. Estou com cinco discos nas mãos por lançar. Um disco electrónico vai então aliar um ritmo altamente contemporâneo a um ritmo altamente ancestral, um pouco como os Tinariwen. Como é que fez essa aliança? É uma aliança fácil de fazer. O electrónico tem todo esse leque de sons que, a priori, parecem estranhos, mas todos esses sons já existem na natureza e há muitos instrumentos que fazem esses sons, só que quando é expressado de forma sintética parece novo. É um casamento muito interessante, esse casamento entre voz humana com sons electrónicos. Eu e o DJ Panko entrámos nessa viagem e estamos nela já há muitos anos, só agora é que decidimos tirar um disco.   Na sua música, temos as cordas dos instrumentos tradicionais, temos a sua poesia, temos a sua voz, temos uma componente muito melódica. Como é que o Mû Mbana descreve a sua música? Eu não sou a pessoa indicada para descrever a minha música. Eu faço a música, eu vivo a minha música, mas muito poucas vezes oiço a minha música. Eu oiço a minha música só quando estiver metido numa produção e a trabalhar numa produção. Depois disso, fico tão exausto e cansado que já não consigo nem ouvir. Preciso de uma distância de mais de dez anos para ouvir a minha música e ficar tranquilo, sem a julgar, e só a ouvir como um ouvinte, como quem ouve a música para viajar com ela. Mas estou consciente que tento sempre estar presente, não consigo tocar uma música só porque ela soa bem e as pessoas gostam. Se eu nesse momento não estiver a sentir essa vibração que essa música transmite, não toco. Tenho que viver aquilo, aquilo tem que fazer vibrar as minhas células todas, senão não a consigo incarnar. Se eu não estiver pronto para chorar uma música ou rir uma música, não a posso cantar só porque é bonita ou porque as pessoas gostam ou porque teve êxito. A sua música, como disse, está muito ancorada aos sentimentos, às sensações, mas também está muito agarrada à terra. Ela comporta alguma mensagem política também? Comporta muitas vezes. Neste momento, a Guiné-Bissau está a viver novamente uma situação muito delicada. Está preocupado? Evidentemente que estou preocupado. Eu cheguei há nove dias da Guiné-Bissau. Quando houve isso, eu estava lá, estava no meio da cidade a circular. Estou preocupado evidentemente. O problema político da Guiné e o que se deu lá agora há uma semana é só um reflexo da grande crise que a Humanidade vive actualmente – quando falo actualmente, temos de recuar bastante até aqui, não é actualmente hoje neste ano de 2022, falo de há 50 anos para trás, como observador da história, falo de tudo isso. Andamos numa crise profunda, existencial, a humanidade inteira. Todos os Presidentes da República que temos actualmente, com excepção de um ou dois, são empregados de multinacionais que estão a cumprir serviço e são marionetas. Portanto, a crise pela qual passa a humanidade actualmente é algo de muito mais profundo. O golpe na Guiné é uma coisa muito superficial e não pode ser visto como a parte mais grave do problema guineense, o problema guineense é uma coisa muito mais profunda. O que significa para si apresentar o seu trabalho em Paris? É a primeira vez que venho a Paris tocar e defender um projecto meu. Já estive duas vezes anteriores que vim para uma gravação de um disco do Silvano Miquelino que é um produtor brasileiro e percussionista e outra vez vim para a homenagem do Rémy Kolpa Kopoul, da Radio Nova, no Cabaret Sauvage, éramos muitos artistas. Esta é a terceira vez e é a vez em que venho realmente mostrar o meu trabalho à cidade de Paris, ao público francês e habitantes de Paris e é muito importante para mim. Aliás, é de extrema importância para mim porque eu estou consciente que Paris é a meca para a música africana em geral, para a arte africana em geral e para a arte em geral. Participa no Théâtre du Châtelet no evento chamado “Mosaïque de Voix Lusophones”. Em França, quando se fala em lusofonia, muita gente franze o sobrolho porque não conhecem a palavra. Para si é importante alargar a Temporada Portugal-França à lusofonia? Eu acho muito importante até porque a língua oficial da Guiné é o português, em Angola, Cabo Verde, Moçambique, São Tomé e Brasil também. E nós que herdámos o português ainda trabalhamos com a língua portuguesa, temos uma relação com a língua portuguesa que não se pode negar mesmo não sendo portugueses. Eu próprio às vezes levanto-me e escrevo em português, mesmo não sendo a minha língua principal com a que penso e sonho e murmuro dentro de mim. Mas faço muita coisa em português, trabalhei muito para a língua portuguesa. Fiz um disco inteiro que se chama Casa Lua que é uma homenagem a uma poetisa alentejana que mora em Lisboa que é a Ana Patrício e esse disco ainda permanece oculto para o público português. Fazemos muito pelo desenvolvimento da língua portuguesa e pela expansão da língua portuguesa. Somos parte dessa expansão porque o português foi até à Guiné e devido a isso nós entrámos nesse universo lusófono. Então é importante que os eventos culturais que tenham a ver com a lusofonia nos tenham em conta, mesmo que depois nesses eventos nós não façamos nada em português. Mas que não nos excluam porque ainda somos parte do universo lusófono.  

Nova la source
Il était 1988, le carnaval de Bahia sur les ondes de Radio Nova

Nova la source

Play Episode Listen Later Feb 12, 2021 43:11


Il était 1988 et sur Radio Nova, Rémy Kolpa Kopoul, journaliste et connexionneur, féru de musiques brésiliennes, invitait les auditeurs de Radio Nova à plonger dans le carnaval de Salvador de Bahia.Une immersion dans le nordeste brésilien, véritable vivier de musiciens de Tom Zé à Caetano Veloso en passant par Gilberto Gil. Avec RKK, on suit les “trio eléctricos”, ces chars musicaux qui animent les rues.Sur Nova, c’est Carnaval ! Visuel © Radio Nova See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Nova la source
Il était 1989, Allen Toussaint sur les ondes de Radio Nova

Nova la source

Play Episode Listen Later Jan 15, 2021 27:58


Juin 1989. Le son de la Nouvelle Orléans s’invite sur les ondes de Radio Nova, avec l’une de ses figures musicales les plus emblématiques : Allen Toussaint.De passage à Paris, le musicien, compositeur et arrangeur, commente en musique ses productions musicales, devenues des classiques, au micro de Bintou Simporé et Rémy Kolpa Kopoul.Visuel © Radio Nova See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Nova la source
En 1991, Gil Scott-Heron sur les ondes de Radio Nova

Nova la source

Play Episode Listen Later Oct 23, 2020 50:10


Au micro de Bintou Simporé et Rémy Kolpa Kopoul See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Nova la source
Bye Bye Belle du Berry : la chanteuse de Paris Combo est décédée

Nova la source

Play Episode Listen Later Aug 18, 2020 14:34


Belle du Berry (Bénédicte Grimault de son vrai nom), la voix du groupe Paris Combo, s’est éteinte dans la nuit du 10 août. « Emportée de façon subite par un cancer » à l’âge de 54 ans, comme l’a déclaré le groupe, la chanteuse, autrice et compositrice a connu le succès avec sa formation Paris Combo — notamment l’album Living Room sorti en 1999 qui finira par devenir disque d’or.Ensemble, le groupe reconnu, en France et à l’international, pour les morceaux « Pas à Pas », « Living Room » ou encore « Valse d'amour », venait de terminer l’enregistrement d’un nouvel album. Celui-ci devait intervenir trois ans après le dernier en date, Tako Tsubo, paru en 2017.Parmi les nombreux passages du groupe dans nos studios, nous partageons avec vous cette archive, qui date de 1996. Belle du Berry y présentait sur l’antenne de Radio Nova ce qui était alors sa nouvelle formation : Paris Combo, de la « chanson insolite sur rythmes swing qui trouve ses racines dans le jazz des années 30 ». Auparavant, dans les années 1980, elle avait collaboré avec les groupes les Endimanchés et les Champêtres de Joies du côté de Belleville, à Paris, déjà pourvue de ce style jazz, swing et manouche qui allait constituer sa personnalité artistique.Au micro de Laurent Bachet et Rémy Kolpa Kopoul, Belle du Berry revenait alors sur l’origine de son nom de scène avant d’interpréter deux titres que l’on retrouvera l’année suivante, en 1997, dans le premier album éponyme du groupe.Visuel © compte YouTube de Paris Combo See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Nova la source
En 1998, un réveillon avec Caetano Veloso

Nova la source

Play Episode Listen Later May 24, 2020 116:34


Nous sommes en 1998 sur Radio Nova et dans les studios ce 24 décembre on retrouve aux côtés de Rémy Kolpa Kopoul et de l'Inspecteur Makossa, l’un des grands noms de la musique Brésilienne, Caetano Veloso.Deux heures d'entretien pour évoquer la pluralité du Brésil. son amour du Tango, ses collaborations avec Celia Cruz,mais aussi le Tropicalisme, l'influence des modernistes et de la poésie concrète. Une discussion au long court qui s'achève par un extrait d'un albumlive enregistré au Teatro municipal de Sao Paulo. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Nos 20 ans
2015, Rémy Kolpa-Kopoul célèbre le Brésil des années 20

Nos 20 ans

Play Episode Listen Later May 6, 2020 32:48


jazz musique le br kolpa kopoul
Nos 20 ans
2015, Rémy Kolpa-Kopoul célèbre le Brésil des années 20

Nos 20 ans

Play Episode Listen Later May 6, 2020 32:48


jazz musique le br kolpa kopoul
Musiques du monde
Musiques du monde - Conversation avec Angélique Kidjo au sujet de Célia Cruz, à l’occasion de la sortie de l’album "Célia"

Musiques du monde

Play Episode Listen Later Apr 16, 2020 48:30


C’est un parcours d’une grande cohérence que poursuit Angélique Kidjo, lauréate de 3 Grammy Awards, reconnue par le Guardian comme l’une des 100 femmes les plus influentes au monde, et par Time Magazine comme la "Première Diva Africaine". Après avoir exploré les routes de la diaspora africaine, via le Brésil, Cuba et les États-Unis, après s’être réapproprié l’héritage africain exploité avec talent par les Talking Heads dans l’album Remain In Light, la Franco-Béninoise s’est arrêtée sur une icône de la musique des Amériques, Celia Cruz. En 10 titres, l’album Célia s’est départi du clinquant pour creuser les racines africaines de celle qui fut la "reine de la salsa", genre inventé à New York par les immigrés caribéens. Avec David Donatien, Tony Allen, Meshell Ndegeocello, Amen Viana, Gangbé Brass Band, Shabaka Hutchings de Sons of Kemet. Célia Cruz est née à La Havane en 1925. Femme noire, elle avait quitté Cuba en 1959 avec son 1er groupe La Sonora Matancera, à la chute du dictateur Fulgencio Batista, chassé du pouvoir par Fidel Castro. Anticastriste notoire, elle avait rejoint l’Orchestre de Tito Puente en 1966, construisant au sein du label Fania, l’histoire de cette "sauce" américaine où des immigrés hispanophones empruntent aux arcanes du jazz afro-américain et inversement. Et Angélique Kidjo a vécu la déferlante cubaine en Afrique… Les 2 artistes se sont rencontrées, grâce à Rémy Kolpa Kopoul, et ont chanté ensemble. La suite à l’écoute de RFI… - Angélique Kidjo, papier RFI Musique - Vidéo Angélique Kidjo La Vida Es Un Carnaval - Vidéo Inna de Yard et Kiddus I If you love me - Vidéo Tsheghe M’Benga Bila   ProgrammationInna de Yard If You love me (l’hymne à l’amour) Cd Inna de Yard/ Chapter2Angélique Kidjo : Quimbara, La vida es un carnaval, Bemba Colora, Cucala, Sahara et Yemaya/ Cd Celia/ Decca Record FranceTshegue M’Benga BilaEP Telema/ Ekleroshock (Rediffusion du 25 mai 2019)  

Nova dans la gueule du monde
Bonga, le combattant à la voix rocailleuse

Nova dans la gueule du monde

Play Episode Listen Later Mar 14, 2020 100:07


Grand ami de notre cher et regretté RKK (Rémy Kolpa Kopoul), Bonga s'est livré au micro de Mathieu Girod lors de son passage l'été dernier au Festival Jazz à Vienne. L'occasion pour cette légende de la musique angolaise de replonger dans sa jeunesse en Angola, ses rencontres, son exil en Europe, sa carrière de sportif avortée pour la musique. Voix de la décolonisation, son timbre rauque et son univers vont populariser le Semba, qui deviendra le style musical de la résistance angolaise.La vie de cet homme est un roman. José Adelino Barceló de Carvalho, de son nom africain, Bonga Kuenda, quitte l'Angola alors colonie portugaise dans les années 60 pour mener une carrière d'Athlète à Lisbonne. Champion du Portugal du 400 mètres en 1968, Bonga s'engage dans la lutte pour l'indépendance après avoir rejoint le club sportif Benfica. Recherché par la police politique en raison de son engagement, le sportif va vite troquer ses médailles pour la musique et la résistance en s'exilant à nouveau. Il arrive à Rotterdam au sein d'une forte communauté cap-verdienne et commence à composer avec eux. Il adopte le nom de Bonga Kuenda et enregistre un des plus grands albums de la musique africaine,« Angola 72 ». Il est alors avec Fela Kuti, le premier artiste africain a renouer avec les formes ancestrales de la musique du continent. Depuis, presque 50 ans se sont écoulés, le chanteur continue à véhiculer ses chansons, ses idées politiques et ses souvenirs quelques fois nostalgiques, emprunts de "saudade". C'est la thématique de son dernier album en date "Recados de Fora" (messages d'ailleurs), qu'il présente en détails dans cet épisode de #MidiDansLaGueuleDuMonde. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Nova la source
1996, « Les Voyages Improbables » : La Nouvelle-Orléans

Nova la source

Play Episode Listen Later Feb 21, 2020 56:09


Il était 1996, le lundi soir sur Nova, c’est l'heure des Voyages Improbables. Des récits d’ailleurs sous forme de conversation entre Jean-François Bizot et Rémy Kolpa Kopoul. Des voyages immobiles…ou… See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Future Beats Programa
Fool's Gold, Leisure Society, Inma Ortiz en FUTURE BEATS con Alex García

Future Beats Programa

Play Episode Listen Later May 5, 2015 55:34


Abrimos esta edición de Future Beats recordando a Rémy Kolpa-Kopoul, una de las voces esenciales de Radio Nova, DJ, organizador de conciertos, prescriptor musical... o como el mismo se autoproclamó: “conneXionneur”. Hoy estrenamos los nuevos álbumes de algunos artistas esenciales en la historia de este programa: Fool's Gold, Django Django, The Leisure Society, Txarly Brown (Achilifunk Sound System) y Patrick Watson. También seguimos repasando los últimos trabajos de Boz Scaggs, Jacco Gardner y My Morning Jacket. Entrevistamos y escuchamos en acústico a la intérprete y compositora Inma Ortiz.

IFM
A propos de Caetano Veloso

IFM

Play Episode Listen Later Mar 11, 2014 64:07


A travers la figure de Caetano Veloso (né en 1942 près de Salvador de Bahia), Rémy Kolpa Kopoul, chroniqueur à Radio Nova et ancien journaliste musical à Libération, raconte le Brésil contemporain. En marge d'un mouvement de contestation politique contre la junte au pouvoir au Brésil (1964-1985), Caetano Veloso a débuté sa carrière de musicien et chanteur au cœur d'une fulgurance qu'on a appelé le « tropicalisme », où rock et baroque ont pris des couleurs brésiliennes. Ses chansons furent fréquemment censurées et certaines interdites. Il passa plusieurs mois en prison pour « activités anti-gouvernementales » en 1968 et s'exila à Londres avec Gilberto Gil. Là-bas, les deux musiciens s'ouvrirent sur le monde, enregistrant avec des musiciens pop, découvrant les ragas indiens et le groove africain... A partir des années 1980, Veloso s'est mis à courir le monde, passant régulièrement à Paris (Olympia , festivals d'été européens, notamment une tournée au cours de l'été 1989 avec João Bosco et le pape de la bossa nova, João Gilberto). Caetano Veloso est un poète, très marqué par la poésie concrète (Mallarmé, Maïakovski...), riche d'images, des textes souvent allégoriques, à la limite du non-sens. Répondant à une question de Rémy Kolpa Kopoul à propos de ses racines (« What about the roots ? »), Caetano veloso a réfléchi cinq secondes et a lâché : « Well, I like the roots, but I prefer the fruits ». Il est encore aujourd'hui l'un des artistes de variété de réputation internationale les plus respectés et les plus prolifiques, avec plus de cinquante enregistrements disponibles et des participations à des bandes originales de films (comme Parle avec elle de de Pedro Almodovar).