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Les matins
Frappes américaines au Nigéria : Donald Trump au secours des chrétiens persécutés ?

Les matins

Play Episode Listen Later Dec 26, 2025 5:49


durée : 00:05:49 - La Revue de presse internationale - par : Adrien Toffolet - Les États-Unis ont annoncé avoir attaqué le 25 décembre des positions de terroristes islamistes au Nigéria, en réponse aux persécutions subies par les populations chrétiennes dans le pays. Pourtant, le gouvernement nigérian assure que les chrétiens ne sont pas plus visés que les musulmans.

Jornal da Manhã
Jornal da Manhã - 26/12/2025 | Recorde de calor em SP / Paraná Pesquisas

Jornal da Manhã

Play Episode Listen Later Dec 26, 2025 249:52


Confira os destaques do Jornal da Manhã desta sexta-feira (26): A cidade de São Paulo registrou nesta quinta-feira (25), dia de Natal, a maior temperatura já observada no mês de dezembro desde o início das medições oficiais. Os termômetros marcaram 35,9°C, superando o recorde anterior de 35,6 °C registrado em 1998. Reportagem: Danúbia Braga. Levantamento divulgado pela Paraná Pesquisas nesta sexta-feira (26) indica que o presidente Luiz Inácio Lula da Silva (PT) lidera as intenções de voto no primeiro turno contra todos os nomes da direita testados. Lula aparece com 37,6%, à frente do senador Flávio Bolsonaro (PL-RJ), que soma 27,8%. Em um cenário com o ex-presidente Jair Bolsonaro, atualmente preso, o petista também lidera, com 36,9% contra 31,3%. A maior vantagem ocorre diante de Michelle Bolsonaro, com 37,2% para Lula e 24,4% para a ex-primeira-dama. Já nos cenários de segundo turno, o estudo aponta empate técnico entre Lula e os principais adversários da direita, como Jair Bolsonaro, Flávio Bolsonaro, Tarcísio de Freitas e Michelle Bolsonaro. A Assembleia Legislativa do Rio de Janeiro (Alerj) derrubou o veto do governador Cláudio Castro à chamada “gratificação faroeste”, criada em 1990, que prevê bonificações de 10% a até 150% do salário para policiais envolvidos em apreensões de armamentos e ações letais durante operações. O veto havia sido justificado pelo Executivo com base em restrições do Regime de Recuperação Fiscal. Reportagem: Rodrigo Viga. O presidente do Tribunal Superior do Trabalho (TST), ministro Vieira de Mello Filho, convocou uma sessão extraordinária para a próxima terça-feira, dia 30, às 13h30, para analisar o dissídio coletivo envolvendo a Empresa Brasileira de Correios e Telégrafos (ECT) e seus empregados. Antes do julgamento, o Centro Judiciário de Métodos Consensuais de Solução de Conflitos (Cejusc) do TST promoverá, na segunda-feira (29), uma nova rodada de negociações entre a estatal e os representantes dos trabalhadores, com o objetivo de tentar um acordo e evitar que o caso seja decidido pela Seção de Dissídios Coletivos. Reportagem: Janaína Camelo. O Banco Central deve apresentar até as 12h desta sexta-feira (26) sua defesa sobre a liquidação extrajudicial do Banco Master. A manifestação atende a uma determinação do ministro do Tribunal de Contas da União (TCU), Jhonatan de Jesus, que concedeu prazo de 72 horas para que o BC detalhe os fundamentos técnico-jurídicos do processo conduzido pelo órgão. Reportagem: Janaína Camelo. Quatro homens que haviam sido beneficiados pela saída temporária do sistema prisional foram presos em flagrante por violência doméstica em cidades do interior de São Paulo, entre a terça-feira (23) e a quarta-feira (24). De acordo com boletins de ocorrência da Polícia Civil. Reportagem: Camila Yunes. Os Estados Unidos realizaram ataques aéreos contra militantes do Estado Islâmico no noroeste da Nigéria, segundo anunciou o presidente Donald Trump nesta quinta-feira (25), dia de Natal. De acordo com Trump, o grupo vinha promovendo ataques contra comunidades cristãs na região. Reportagem: Eliseu Caetano. O presidente da Ucrânia, Volodimir Zelensky, anunciou nesta quinta-feira (25) que discutiu “detalhes importantes” de um possível plano de cessar-fogo com a Rússia durante conversas com os enviados do governo dos Estados Unidos, Steve Witkoff e Jared Kushner. Reportagem: Luca Bassani. Essas e outras notícias você acompanha no Jornal da Manhã. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Journal d'Haïti et des Amériques
En Équateur, la lutte contre les grossesses adolescentes

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Dec 26, 2025 30:00


Plus d'1,6 million d'adolescentes accouchent chaque année en Amérique latine, une toutes les 20 secondes. L'Équateur est durement touché par ce phénomène, avec 88 accouchements de mineures par jour. La vice-présidente María José Pinto a demandé au président Noboa d'être chargée de réduire le phénomène des grossesses chez les jeunes filles et les adolescentes.   La jeune Afroéquatorienne Susana Sánchez a eu sa fille à 16 ans et son fils peu après. Elle vit aujourd'hui tranquillement à Nuevo Rocafuerte, mais n'oublie pas une enfance difficile après la mort de sa mère.  “J'avais 15 ans quand j'ai connu le père de ma fille. C'était une porte de sortie", explique-t-elle. Ce schéma se répète dans les régions d'Amazonie. “Les chiffres sont terrifiants. 4 gamines entre 10 et 14 ans accouchent chaque jour en Équateur et 84 adolescentes entre 14 et 19 ans”, s'inquiète la vice-présidente María José Pinto. C'est le reportage de notre correspondant en Équateur, Eric Samson, dans la région amazonienne de Nuevo Rocafuerte, tout près de la frontière péruvienne. Au Mexique, l'essor de la lucha extrema Au Mexique, berceau de la lucha libre, sorte de catch théâtral et particulièrement apprécié des Mexicains, une nouvelle déclinaison de ce sport est apparue dans les zones défavorisées des alentours de Mexico, la lucha extrema, une forme ultraviolente de lucha libre, où la traditionnelle « fausse » bagarre est remplacée par de vrais coups. Plus le sang coule, plus le spectacle est réussi. Un reportage de Marine Lebègue, correspondante de RFI à Mexico. Nicolás Maduro libère 99 prisonniers vénézuéliens Au Venezuela, 99 personnes emprisonnées après la présidentielle de 2024 ont été libérées. Le média vénézuélien d'opposition El Nacional publie sur son site la liste des prisonniers libérés déjà identifiés : il en compte 33. Parmi eux, des hommes, des femmes et des adolescents.  Le quotidien colombien El Espectador rappelle le contexte de leur incarcération : leur lien présumé avec les manifestations de 2024. Après la réélection controversée de Nicolás Maduro, les opposants au président réélu évoquaient des fraudes. À ce moment-là, plus de 2400 personnes avaient été arrêtées par le régime. De nombreux médias font le lien entre ces libérations et les tensions avec les États-Unis. L'édition sud-américaine du quotidien El Pais souligne "un geste calculé du régime pour alléger la pression, sans pour autant manifester de faiblesse ni de magnanimité excessive".  Le média nuance donc l'ampleur de ces libérations et rappelle que près de 1000 prisonniers vénézuéliens sont toujours incarcérés. El Pais l'assure, cette annonce n'est pas le signe d'une politique de détente avec l'opposition. C'est même le contraire, "la pression de Washington fournit au gouvernement Maduro des arguments supplémentaires pour radicaliser sa politique de répression des opposants". Frappes de Washington contre l'État islamique au Nigéria  Le New York Times rappelle qu'en novembre dernier, le président américain avait déjà menacé l'organisation terroriste de frappes si elle ne cessait pas les attaques sur les chrétiens nigérians. Donald Trump n'avait alors pas précisé à quelles attaques il faisait référence, selon le quotidien new-yorkais. Le média AXIOS, lui, revient sur les violences au Nigéria, le pays le plus peuplé d'Afrique où plus de 12 000 personnes ont été tuées par divers groupes cette année. Le média en ligne POLITICO rappelle que le Nigeria a déjà déclaré que les chrétiens n'étaient pas persécutés dans le pays et cite un chercheur de l'Institut d'études de sécurité Afrique : « La crise est bien plus complexe qu'une simple analyse religieuse ne le laisse entendre. » En Californie, des fêtes de Noël cauchemardesques La Californie, déjà marquée par des incendies, des pluies et des vents forts ces derniers mois, est touchée depuis quelques jours par des pluies torrentielles. Signe de la gravité de l'évènement, l'état d'urgence a été décrété par le gouverneur Gavin Newsom. Une image dans le Los Angeles Times permet de comprendre l'ampleur des pluies. On y voit Misty Cheng, une comptable de 49 ans dans sa cuisine à Wrightwood, au nord de Los Angeles. Le regard triste, elle se tient accroupie sur une gigantesque coulée de boue, qui a envahi sa maison, une maison qu'elle était en train de rénover. L'intérieur est complètement recouvert par un amas de pierres et de terre, on voit à peine sa gazinière, le dossier d'une chaise dépasse des débris. La faute à un glissement de terrain qui s'est produit le 24 décembre dans une zone déjà ravagée par des incendies au début de l'année 2025. Le Los Angeles Times rappelle le bilan de la semaine : trois personnes sont mortes dans les inondations et les glissements de terrain en Californie. En Haïti, les marchés de Noël ont fait carton plein.  Ayibopost revient sur les évènements qui se sont tenus cette année aux Gonaïves, au Cap-Haïtien et à Anse-à-Pitre. Des marchés qui ont réuni des centaines d'exposants, d'artisans locaux et qui ont attiré beaucoup de visiteurs.  Ils étaient plus de 15 000 aux Gonaïves.   Le média haïtien rappelle que les artisans rencontrent de plus en plus de difficultés à vendre leurs produits en raison de l'absence quasi totale de touristes étrangers. Dans ce contexte, les marchés de Noël offrent un espace qui permet de renouer avec un public local et, selon les organisateurs, de susciter chez les jeunes Haïtiens l'envie de se lancer dans l'entrepreneuriat.

Semana em África
Semana marcada pelo arranque do Campeonato Africano das Nações

Semana em África

Play Episode Listen Later Dec 26, 2025 9:53


Esta semana, as atenções estiveram voltadas para o Campeonato Africano das Nações que começou a 21 de Dezembro, em Marrocos, e decorre até 18 de Janeiro. Neste programa, também repomos as reportagens de Natal feitas pelos nossos correspondentes na Guiné-Bissau, Moçambique, Angola, Cabo Verde e São Tomé e Príncipe e marcadas pelas dificuldades económicas e pelas preocupações políticas. Bem vindos a esta Semana em África, marcada pelo arranque do CAN, Campeonato Africano das Nações, que começou a 21 de Dezembro, em Marrocos, e que decorre até 18 de Janeiro. Angola e Moçambique são as únicas seleções lusófonas presentes. Na segunda-feira, Angola perdeu no seu jogo de estreia frente à África do Sul por 2-1 e, na terça-feira, Moçambique foi derrotado pela campeã Costa do Marfim por 1-0. Esta sexta-feira, Angola enfrentou o Zimbabué e não foi além do empate a uma bola, um resultado que complica as contas dos Palancas Negras. Este domingo os Mambas vão jogar contra o Gabão. Esta foi também a semana de Natal, marcada por muita preocupação quanto ao clima político na Guiné-Bissau. No domingo à noite, Vladimir Deuna, dirigente do Movimento para Alternância Democrática (MADEM-G15), foi agredido na sua residência por um grupo de homens armados e encapuzados. Na terça-feira, a Liga Guineense dos Direitos Humanos denunciou a invasão da sua sede, a Casa dos Direitos, em Bissau, por agentes policiais, depois de uma vigília para reclamar a libertação dos presos políticos na Guiné-Bissau. De acordo com Bubacar Turé, presidente da Liga, dois funcionários da organização foram espancados e tiveram que receber tratamento médico. Ainda na terça-feira, a junta militar que tomou o poder a 26 de Novembro e que interrompeu todo o processo eleitoral, libertou seis pessoas ligadas à oposição, mas Domingos Simões Pereira, Octávio Lopes e outras figuras destacadas continuam presas. Também o candidato da oposição Fernando Dias, que reclama a vitória nas presidenciais, continua refugiado junto da embaixada da Nigéria, que lhe concedeu asilo. Em Moçambique, o Presidente Daniel Chapo indultou 22 pessoas que tinham sido condenadas por terem participado nas manifestações pós-eleitorais de 2024. Porém, mais de 2.700 - das 7.200 que na altura foram detidas - continuam presas por terem participado nos protestos, de acordo com a plataforma eleitoral Decide. Recordo que 411 pessoas morreram na repressão pós-eleitoral, segundo dados da plataforma Decide. Quanto à festa de Natal, Orfeu Lisboa mostrou-nos os preparativos para aquela que é considerada como dia da família em Moçambique. Em Angola, as celebrações foram novamente condicionadas pelas dificuldades económicas da população, como nos contou Avelino Miguel. O fraco poder de compra também condicionou as festas em São Tomé e Príncipe, como nos lembrou Maximino Carlos. Fomos, ainda, até à ilha de São Vicente, em Cabo Verde, onde Odair Santos nos falou sobre as comemorações de Natal.

JORNAL DA RECORD
25/12/2025 | 4ª Edição: RJ registra quase mil atendimentos médicos por causa do calor

JORNAL DA RECORD

Play Episode Listen Later Dec 26, 2025 8:10


Confira nesta edição do JR 24 Horas: O Rio de Janeiro enfrenta uma semana de muito calor com temperaturas batendo os 40 graus. O calor extremo virou motivo de preocupação em ao menos 22 municípios do estado. Nos últimos dois dias, só na capital fluminense, a rede municipal de saúde registrou quase mil atendimentos, possivelmente por causa das altas temperaturas. E ainda: Estados Unidos anunciam ataque contra terroristas do Estado Islâmico na Nigéria.

Resumão Diário
Onda de calor continua na reta final do ano; Mulher atropelada e arrastada na Marginal Tietê será eterrada hoje e mais

Resumão Diário

Play Episode Listen Later Dec 26, 2025 4:26


Onda de calor continua na reta final do ano. EUA lançam ataques contra terroristas do Estado Islâmico na Nigéria, diz Trump. Bolsonaro já está no quarto e cirurgia não teve intercorrências, dizem médicos. Corpo de mulher atropelada e arrastada na Marginal Tietê será velado nesta sexta em SP. Relembre as mortes que marcaram 2025.

Revue de presse internationale
À la Une: Donald Trump annonce des frappes américaines contre des terroristes au Nigeria

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Dec 26, 2025 4:03


Cette nuit, Donald Trump a annoncé des frappes américaines contre des terroristes au Nigéria. Des frappes meurtrières, et plus précisément contre le groupe État islamique dans le nord-ouest du pays, dans l'État de Sokoto. Le gouvernement nigérian a approuvé les frappes et collaboré avec les États-Unis pour les mener à bien. De son côté, le président américain « a promis de nouvelles attaques », relate le journal nigérian, The Guardian qui ne mentionne pas directement le message de Donald Trump publié sur son réseau social où le président s'exprime « à la Trump : Que Dieu bénisse nos militaires et joyeux Noël à tous, y compris aux terroristes morts, dont le nombre ne cessera de croître si leurs massacres de chrétiens se poursuivent. »  « Ces assauts marquent la première intervention militaire américaine dans le pays le plus peuplé d'Afrique sous Donald Trump », explique Le Monde. Cette attaque survient alors que le mois dernier Donald Trump a ordonné au ministère de la Défense de se préparer « à une intervention militaire au Nigeria ». Le New York Times revient sur ces menaces qui ont été mises à exécution. Le 1ᵉʳ novembre, le président a annoncé que si le gouvernement nigérian continuait à « permettre le meurtre de chrétiens, les États-Unis cesseraient immédiatement toute aide au Nigeria et pourraient très bien intervenir dans ce pays déshonoré, armes à la main ». « La menace d'intervention militaire proférée par Trump constituait une escalade considérable », commente le journal américain. Tension entre les deux pays Dans les jours qui ont suivi les menaces, plusieurs alliés politiques avaient formulé des accusations similaires comme le sénateur Ted Cruz, au Texas, qui a accusé le Nigeria de « faciliter le massacre » de chrétiens. Des accusations, qui ont déjà été dénoncées par le Nigeria et qui avaient tendu les relations entre les deux pays. Dans un message adressé hier au Washington Post, Daniel Bwala, conseiller du président nigérian, a à nouveau expliqué que son gouvernement « considérait l'accent répété sur les meurtres de chrétiens comme inutile, car premièrement les terroristes ne ciblent aucune religion en particulier et, deuxièmement, la rhétorique en ce sens ne fera qu'alimenter le désir des terroristes de créer une crise encore plus large. » Le quotidien suisse Le Temps rappelle que le Nigeria est divisé de manière à peu près égale entre le sud à majorité chrétienne et le nord à majorité musulmane. « Il est le théâtre de nombreux conflits qui tuent aussi bien des chrétiens que des musulmans, souvent sans distinction. » Interrogée par le Washington Post, une ancienne conseillère du département d'État a qualifié les frappes américaines de « réaction excessive et inefficace ». Selon elle, « il existe très peu de preuves que les frappes aériennes ciblées réduisent l'activité des groupes armés ». La première année de Donald Trump à la Maison Blanche a été marquée « par de nombreuses interventions militaires à l'étranger, avec des frappes au Yémen, en Iran, en Syrie et ailleurs, et par un important renforcement militaire dans les Caraïbes visant le Venezuela », rappelle le quotidien britannique The Guardian. À lire aussiLes États-Unis ont mené des frappes au Nigeria contre le groupe État islamique, dit Donald Trump Le Venezuela libère au moins 99 prisonniers politiques Caracas a libéré jeudi au moins 99 prisonniers politiques, dans un contexte de tensions croissantes avec les États-Unis. Les prisonniers libérés étaient incarcérés depuis les élections présidentielles de 2024, précise le journal espagnol El Pais. « C'est la plus importante libération de prisonniers politiques ordonnée par le régime de Nicolás Maduro depuis plusieurs mois. La dernière mesure de clémence accordée à des militants de l'opposition remonte au 13 août ». La plupart des personnes avaient été arrêtées pour avoir participé aux manifestations en août 2024, suite aux élections présidentielles « où Maduro s'est proclamé vainqueur, et où l'opposition et les organisations internationales ont dénoncé des fraudes, déclarant Edmundo González vainqueur ». Ce dernier vit désormais en exil en Espagne, et la principale figure de l'opposition vénézuélienne, María Corina Machado, a récemment reçu le prix Nobel de la paix 2025 à Oslo, en Norvège. Dans le journal vénézuélien El Nacional, les noms d'une trentaine de citoyens libérés ont été publiés. « Le Comité pour la liberté des prisonniers politiques a souligné que "chaque nom libéré de ces centres de détention injustes représente « une victoire pour la vérité et l'espoir" ». Le gouvernement Maduro, quant à lui, assure que le pays est « exempt de prisonniers politiques » et que ceux qui sont qualifiés de tels sont emprisonnés pour avoir commis des « crimes odieux ». À lire aussiVenezuela: libération de 99 personnes arrêtées après la présidentielle de 2024

Radar Agro
Adidos agrícolas detalham atuação do Brasil no exterior | Canal do Boi #368

Radar Agro

Play Episode Listen Later Dec 25, 2025 14:46


A cobertura do Fala Carlão para o Canal do Boi esteve no Encontro Nacional do Agro e dos Adidos Agrícolas, em Brasília, para conversar com Andrea Parrilla, adida agrícola em Buenos Aires, Argentina; Frederique Rosa e Abreu, adido agrícola em Abuja, Nigéria; e Dalci de Jesus Bagolin, adido agrícola em Kuala Lumpur, Malásia. O encontro destacou a atuação brasileira em mercados estratégicos e diferentes regiões do mundo.Andrea Parrilla falou sobre o encerramento de seu ciclo na Argentina e destacou os principais legados de sua atuação em Buenos Aires, com ênfase na relação sólida e estratégica entre Brasil e Argentina no agronegócio. Ela ressaltou a importância do diálogo técnico e da cooperação comercial entre os dois países.Frederique Rosa e Abreu comentou o trabalho na Nigéria, com foco na abertura de mercados e no fortalecimento das relações comerciais. Dalci de Jesus Bagolin falou sobre sua atuação na Malásia, relembrou sua trajetória no MAPA e citou a experiência como adido agrícola na Índia, reforçando a dimensão global da diplomacia agrícola brasileira.

Invité Afrique
Nigeria: «On a toujours voulu avoir une coopération avec les États-Unis» sur la sécurité

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Dec 24, 2025 6:19


« La brouille entre les États-Unis et nous, c'est terminé », a déclaré lundi 22 décembre le ministre de l'Information du Nigeria, Mohammed Idris, qui a même annoncé un « partenariat renforcé ». Lors d'une conférence de presse, il s'est félicité également du niveau de coopération atteint entre son pays et la France. Le porte-parole du président Bola Tinubu faisait-il allusion aux événements du Bénin, le 7 décembre dernier ? Thomas Orimissan Akéré, président du Club des francophones du Nigeria, répond aux questions de RFI. RFI : Quand le ministre de l'Information du Nigeria, Mohamed Idriss, affirme que la brouille avec les États-Unis est résolue, est-ce que vous pensez qu'il a raison ou pas ? Thomas Orimissan Akéré : Il a certainement raison dans la mesure où le Nigeria a sollicité les États-Unis depuis 2014, après les enlèvements des filles de Chibok, au nord-est du Nigeria. Donc, on a toujours voulu avoir une coopération avec les États-Unis, avec les puissances étrangères qui pouvaient aider le Nigeria. Et aujourd'hui, les États-Unis sont certainement arrivés à cette conclusion que le gouvernement fédéral du Nigeria cherche à coopérer pour trouver une solution à ces problèmes de terrorisme et de banditisme au nord du Nigeria. Alors, en effet, une enquête de l'agence Reuters révèle que le conseiller à la sécurité nationale du Nigeria, Nuhu Ribadu, a rencontré le 20 novembre dernier le secrétaire d'État américain à la Défense, Pete Hegseth, et que depuis un mois, un avion de surveillance américain décolle tous les jours du Ghana pour aller survoler le Nigeria. Quel type de renseignement peut aller chercher cet avion pour le compte à la fois des États-Unis et du Nigeria ?  Étant donné que les États-Unis ont des moyens de renseignement qui sont plus importants que ceux du Nigeria, avec notamment les satellites et les mouvements dans la région, le Nigeria, depuis longtemps, a demandé donc des renseignements pour voir les mouvements des groupes terroristes. Ça peut être Boko Haram, ça peut être d'autres organisations terroristes. Il y a des groupes qui étaient déjà formés. Il y a aussi des groupes qui viennent de l'extérieur du Nigeria. Voulez-vous dire que les Américains aident les Nigerians à contrôler leur frontière nord avec le Niger ? Entre autres, oui. Ça peut être à l'intérieur du Nigeria. Ça peut être aussi le contrôle des frontières avec le Niger. Vous savez que c'est une région très poreuse. C'est pour cela que je regrette d'ailleurs que tous les pays de la région ne coopèrent pas, parce que ceux qui sont en train d'être chassés désormais depuis quelques jours maintenant du Nigeria, ils vont retourner de nouveau vers le Niger. Donc, il faut absolument une coopération globale dans la région pour pouvoir arriver à résoudre ces problèmes de mouvements et d'organisations terroristes. Alors, l'autre pays avec lequel coopère le Nigeria en ce moment, c'est ce qu'a dit le ministre de l'Information du Nigeria ce lundi, c'est la France. Quel est le type de partenariat sécuritaire entre les deux pays ?  Vous savez, nous sommes entourés par les pays francophones, donc ce sont des pays sur lesquels la France avait un certain pouvoir pour la sécurité, je vais dire dans cette région-là. D'ailleurs, la coopération avec la France ne date pas de Bola Tinubu. La coopération avec la France date de très longtemps et aussi bien la coopération économique que la coopération sécuritaire. Donc, à partir du moment où on sait que la France a une certaine aura sécuritaire dans la région, nous avons besoin de la France pour nous donner quelques renseignements dans cette région-là.  Le 7 décembre dernier, lors d'une tentative de putsch au Bénin, les armées du Nigeria et de la France sont intervenues en soutien au président Patrice Talon. Peut-on parler d'une action coordonnée entre Abuja et Paris ?  Je ne sais pas si l'action était coordonnée. Ce qui est sûr, c'est que le Nigeria ne pouvait pas laisser le Bénin dans les mains d'un régime militaire, alors qu'il connaissait déjà, à sa frontière nord, le régime militaire du Niger. Donc, le Nigeria ne voulait pas être entouré par des régimes militaires et il était de toute façon obligé d'intervenir au Bénin pour éviter cette hécatombe démocratique que nous avons dans la région.  Il y a deux ans, après le putsch de juillet 2023 au Niger, il y a eu un vrai différend entre le Français Emmanuel Macron, qui poussait à une intervention militaire au Niger, et le Nigerian Bola Tinubu, qui finalement a fait échouer cette opération. Est-ce qu'il y a toujours ce malentendu aujourd'hui entre messieurs Macron et Tinubu ?  Il faut savoir que l'intervention du Nigeria n'a pas pu avoir lieu au Niger, parce que le nom de la France a été utilisé par les autres régimes militaires au Burkina Faso, au Mali, pour dire attention, c'est la France qui veut intervenir. S'il n'y avait pas eu la France, s'il n'y avait pas eu le nom de la France, le Nigeria serait certainement intervenu pour aller rétablir au pouvoir le président Bazoum qui avait été élu à cette époque-là.  Alors, pourquoi le Nigeria n'est-il pas intervenu au Niger en 2023 ? Et pourquoi est-il intervenu au Bénin en 2025 ?  C'est qu'au Bénin, c'est différent. Au Bénin, c'est que le Nigeria était en danger parce que nous avons des relations économiques très poussées avec le Bénin. Beaucoup de Nigérians ont investi au Bénin et, si on prend le Bénin, on prend forcément le Togo avec. Et le Nigeria ne voulait pas que cette Cédéao soit aussi vite désintégrée, ce qui aurait mis le Nigeria aussi en danger. En termes de démocratie, il faut savoir que, depuis 1999, le Nigeria connaît un régime démocratique. J'ai l'habitude de dire que la démocratie n'est pas un produit fini. C'est un produit à améliorer constamment. Et le Nigeria améliore sa démocratie en termes d'avancées politiques et économiques. À lire aussiNigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement

Revue de presse Afrique
À la Une aujourd'hui : une surveillance américaine au-dessus du Nigeria

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 24, 2025 3:57


« Donald Trump déploie des avions de surveillance au-dessus du Nigeria, prélude à une intervention militaire des États-Unis ? » titre Afrik.com. À l'origine de cette question : des données de suivi de vol, révélées par Reuters, en début de semaine. « Depuis fin novembre, un appareil (...) du Pentagone survole quotidiennement l'espace aérien nigérian. » De quoi alimenter « les spéculations sur les intentions réelles de l'administration Trump ». Tout ça, dans un contexte diplomatique en dents de scie, car les tensions étaient, il y a peu, encore palpables : le « 1ᵉʳ novembre [dernier], Donald Trump a menacé le Nigeria d'une intervention militaire » et accusé « le gouvernement de tolérer le massacre de chrétiens », rappelle Afrik.com. « [Donald Trump] a promis de pulvériser les terroristes islamistes ». Son ministre de la Défense a confirmé que le Pentagone « se prépare à passer à l'action ». Ces déclarations ont été vivement critiquées à Abuja, où les autorités rejettent l'idée d'un « génocide chrétien ». Fin de la brouille diplomatique Et il y a quelques jours, une conférence de presse a eu lieu à Abuja, à l'occasion de la visite d'une délégation américaine. La brouille diplomatique entre les États-Unis et le Nigeria semble passée, si l'on en croit les déclarations du ministre nigérian de l'Information, qui évoque « un engagement ferme et respectueux » des deux parties. Ces collectes de renseignements, au-dessus du Nigeria, ce serait donc le « signe d'une coopération sécuritaire accrue », commente pour sa part le journal nigérian The Guardian. D'après un analyste interrogé par Afrik.com, cette activité aérienne démontre aussi la volonté de Washington de reconstituer son réseau de renseignement, dans la région sahélienne. « Après la fermeture forcée de la base américaine d'Agadez au Niger et la montée en influence de la Russie, les États-Unis cherchent manifestement à maintenir une présence stratégique en Afrique de l'Ouest, via le Ghana et, de fait, au-dessus du Nigeria », peut-on lire. À lire aussiNigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement Problème de sécurité au Nigéria « Ces opérations de surveillance interviennent également plusieurs mois après l'enlèvement, au Niger voisin, d'un pilote américain travaillant pour une organisation missionnaire », rappelle aussi The Guardian. Le scénario d'une intervention américaine est-il plausible ? C'est la question que se pose Afrik.com. Et le mot clé à retenir, c'est « prudence » : « Le Nigeria reste un allié stratégique de Washington et un acteur clé de la lutte régionale contre le terrorisme. Le président nigérian a rappelé que "la violence touch(ait) toutes les communautés" et rejeté toute accusation de persécution religieuse. » Par ailleurs, le Nigeria traverse aussi une période de forte instabilité. Le président a proclamé l'état d'urgence sécuritaire en novembre, « après une succession d'attaques meurtrières et l'enlèvement de plus de 300 écoliers, dans le nord du pays. » À ce sujet, et dans ses colonnes Edito, le journal burkinabé Le Pays commente : « Si l'on en croit les autorités nigérianes, aucun élève enlevé ne se trouve encore entre les mains des groupes armés. Tous, disent-elles, ont été libérés. » Mais, il y a encore des questions sans réponse pour l'instant : dans quelles conditions ont-ils été libérés ? Y a-t-il eu paiement de rançons ? « Car, il faut le dire, le paiement de rançons ne fait que renforcer la capacité de nuisance des groupes criminels. Franchement, le Nigeria, c'est peu de le dire, a mal à sa sécurité intérieure », écrit Le Pays. Au Bénin, pays voisin du Nigeria, Patrice Talon a « fait son au revoir au Parlement » « Une intervention à forte portée institutionnelle, marquée à la fois par la mise en perspective de dix années de réformes et par un ton d'adieu assumé », selon La Nouvelle Tribune. Le journal béninois La Nation revient aussi sur ce dernier discours sur l'état de la nation, aux allures de bilan mais dont le cœur a été consacré à la tentative de coup d'État manquée du 7 décembre, « date désormais inscrite dans l'histoire politique récente du pays ». Le président a mentionné « des assaillants qu'il a décrits comme des "marginaux insensés", manipulés par des intérêts internes et externes en quête de privilèges perdus », peut-on lire. Pour le journal La Nation, ces mots veulent ainsi « souligner la gravité de l'acte, mais surtout la solidité du rempart républicain que constituent les forces armées et de sécurité ». Alors que de futures élections approchent, le président a également dit croire en une transition apaisée, marquée par le renouvellement des institutions et la continuité de l'État. À lire aussiBénin: le président Patrice Talon défend son bilan dans un ultime discours sur l'état de la nation

Revue de presse Afrique
À la Une aujourd'hui : une surveillance américaine au-dessus du Nigeria

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 24, 2025 3:57


« Donald Trump déploie des avions de surveillance au-dessus du Nigeria, prélude à une intervention militaire des États-Unis ? » titre Afrik.com. À l'origine de cette question : des données de suivi de vol, révélées par Reuters, en début de semaine. « Depuis fin novembre, un appareil (...) du Pentagone survole quotidiennement l'espace aérien nigérian. » De quoi alimenter « les spéculations sur les intentions réelles de l'administration Trump ». Tout ça, dans un contexte diplomatique en dents de scie, car les tensions étaient, il y a peu, encore palpables : le « 1ᵉʳ novembre [dernier], Donald Trump a menacé le Nigeria d'une intervention militaire » et accusé « le gouvernement de tolérer le massacre de chrétiens », rappelle Afrik.com. « [Donald Trump] a promis de pulvériser les terroristes islamistes ». Son ministre de la Défense a confirmé que le Pentagone « se prépare à passer à l'action ». Ces déclarations ont été vivement critiquées à Abuja, où les autorités rejettent l'idée d'un « génocide chrétien ». Fin de la brouille diplomatique Et il y a quelques jours, une conférence de presse a eu lieu à Abuja, à l'occasion de la visite d'une délégation américaine. La brouille diplomatique entre les États-Unis et le Nigeria semble passée, si l'on en croit les déclarations du ministre nigérian de l'Information, qui évoque « un engagement ferme et respectueux » des deux parties. Ces collectes de renseignements, au-dessus du Nigeria, ce serait donc le « signe d'une coopération sécuritaire accrue », commente pour sa part le journal nigérian The Guardian. D'après un analyste interrogé par Afrik.com, cette activité aérienne démontre aussi la volonté de Washington de reconstituer son réseau de renseignement, dans la région sahélienne. « Après la fermeture forcée de la base américaine d'Agadez au Niger et la montée en influence de la Russie, les États-Unis cherchent manifestement à maintenir une présence stratégique en Afrique de l'Ouest, via le Ghana et, de fait, au-dessus du Nigeria », peut-on lire. À lire aussiNigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement Problème de sécurité au Nigéria « Ces opérations de surveillance interviennent également plusieurs mois après l'enlèvement, au Niger voisin, d'un pilote américain travaillant pour une organisation missionnaire », rappelle aussi The Guardian. Le scénario d'une intervention américaine est-il plausible ? C'est la question que se pose Afrik.com. Et le mot clé à retenir, c'est « prudence » : « Le Nigeria reste un allié stratégique de Washington et un acteur clé de la lutte régionale contre le terrorisme. Le président nigérian a rappelé que "la violence touch(ait) toutes les communautés" et rejeté toute accusation de persécution religieuse. » Par ailleurs, le Nigeria traverse aussi une période de forte instabilité. Le président a proclamé l'état d'urgence sécuritaire en novembre, « après une succession d'attaques meurtrières et l'enlèvement de plus de 300 écoliers, dans le nord du pays. » À ce sujet, et dans ses colonnes Edito, le journal burkinabé Le Pays commente : « Si l'on en croit les autorités nigérianes, aucun élève enlevé ne se trouve encore entre les mains des groupes armés. Tous, disent-elles, ont été libérés. » Mais, il y a encore des questions sans réponse pour l'instant : dans quelles conditions ont-ils été libérés ? Y a-t-il eu paiement de rançons ? « Car, il faut le dire, le paiement de rançons ne fait que renforcer la capacité de nuisance des groupes criminels. Franchement, le Nigeria, c'est peu de le dire, a mal à sa sécurité intérieure », écrit Le Pays. Au Bénin, pays voisin du Nigeria, Patrice Talon a « fait son au revoir au Parlement » « Une intervention à forte portée institutionnelle, marquée à la fois par la mise en perspective de dix années de réformes et par un ton d'adieu assumé », selon La Nouvelle Tribune. Le journal béninois La Nation revient aussi sur ce dernier discours sur l'état de la nation, aux allures de bilan mais dont le cœur a été consacré à la tentative de coup d'État manquée du 7 décembre, « date désormais inscrite dans l'histoire politique récente du pays ». Le président a mentionné « des assaillants qu'il a décrits comme des "marginaux insensés", manipulés par des intérêts internes et externes en quête de privilèges perdus », peut-on lire. Pour le journal La Nation, ces mots veulent ainsi « souligner la gravité de l'acte, mais surtout la solidité du rempart républicain que constituent les forces armées et de sécurité ». Alors que de futures élections approchent, le président a également dit croire en une transition apaisée, marquée par le renouvellement des institutions et la continuité de l'État. À lire aussiBénin: le président Patrice Talon défend son bilan dans un ultime discours sur l'état de la nation

Radio foot internationale
CAN 2025 - Groupe D : bon départ du Sénégal et de la RDC

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 48:29


Au sommaire de votre émission 100% CAN 2025 : - retour sur les 2 rencontres du groupe D avec la victoire du Sénégal et la RDC ; - Entrée en lice scrutée du Nigéria et de la Tunisie ; - Focus sur les prochaines belles affiches de cette 1ère journée. Dans votre émission : - Nous reviendrons sur les 2 rencontres du groupe D. Le Sénégal tranquille ! Confronté aux Zèbres botswanais, les Lions ont porté 3 coups de griffe, dont un doublé de Nicolas Jackson. Petit mais précieux succès (1-0) de la RDC aux dépens du Bénin cet après-midi à Rabat. Match sérieux des Léopards, qui ont cru faire le break à la 47e. Les Guépards ont eu des temps forts, mais ont été frustrés par une panne de la VAR. Elle fonctionnait lors du but refusé à C.Bakambu, mais était aux abonnés absents pour une potentielle main congolaise dans la surface. Le Bénin mal récompensé ? - Entrée en lice du groupe C. Le Nigeria va-t-il se ressaisir après la déception des barrages Mondial 2026 ? Les Super Eagles sont toujours parmi les favoris à la CAN. Les Taifa Stars abordent le tournoi sans pression. - Tunisie/Ouganda à Rabat, qui des Aigles ou des Cranes prendront le meilleur départ ? - Focus sur une affiche du 1er tour. L'affrontement prévu demain à 20h T.U. à Agadir entre Camerounais et Gabonais. Le fameux groupe F, qui comprend aussi les Ivoiriens et les Mozambicains qui en découdront un peu plus tôt à Marrakech. Les Lions Indomptables avec un nouveau sélectionneur et l'absence de cadres. Le Gabon, autre éliminé de la course au Mondial, qui évoluera sans Pierre-Emerick Aubameyang pour cette 1ère rencontre. Pour débattre avec Annie Gasnier : Rémy Ngono, Freddhy Koula et Ludovic Duchesne. Technique/Réalisation : Laurent Salerno, David Fintzel et Pierre Guérin

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Au sommaire de votre émission 100% CAN 2025 : - retour sur les 2 rencontres du groupe D avec la victoire du Sénégal et la RDC ; - Entrée en lice scrutée du Nigéria et de la Tunisie ; - Focus sur les prochaines belles affiches de cette 1ère journée. Dans votre émission : - Nous reviendrons sur les 2 rencontres du groupe D. Le Sénégal tranquille ! Confronté aux Zèbres botswanais, les Lions ont porté 3 coups de griffe, dont un doublé de Nicolas Jackson. Petit mais précieux succès (1-0) de la RDC aux dépens du Bénin cet après-midi à Rabat. Match sérieux des Léopards, qui ont cru faire le break à la 47e. Les Guépards ont eu des temps forts, mais ont été frustrés par une panne de la VAR. Elle fonctionnait lors du but refusé à C.Bakambu, mais était aux abonnés absents pour une potentielle main congolaise dans la surface. Le Bénin mal récompensé ? - Entrée en lice du groupe C. Le Nigeria va-t-il se ressaisir après la déception des barrages Mondial 2026 ? Les Super Eagles sont toujours parmi les favoris à la CAN. Les Taifa Stars abordent le tournoi sans pression. - Tunisie/Ouganda à Rabat, qui des Aigles ou des Cranes prendront le meilleur départ ? - Focus sur une affiche du 1er tour. L'affrontement prévu demain à 20h T.U. à Agadir entre Camerounais et Gabonais. Le fameux groupe F, qui comprend aussi les Ivoiriens et les Mozambicains qui en découdront un peu plus tôt à Marrakech. Les Lions Indomptables avec un nouveau sélectionneur et l'absence de cadres. Le Gabon, autre éliminé de la course au Mondial, qui évoluera sans Pierre-Emerick Aubameyang pour cette 1ère rencontre. Pour débattre avec Annie Gasnier : Rémy Ngono, Freddhy Koula et Ludovic Duchesne. Technique/Réalisation : Laurent Salerno, David Fintzel et Pierre Guérin

Revue de presse Afrique
À la Une, les pays de l'Alliance des États du Sahel réunis à Bamako au Mali

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 4:00


Le Niger, le Mali et le Burkina Faso se retrouvent, à peine plus d'une semaine après le sommet annuel de la Cédéao. C'est la deuxième fois que l'Alliance des États du Sahel se retrouve au sein d'un tel sommet. Il y a quelques jours, le président Assimi Goïta avait annoncé la création d'une force armée unifiée, un « message clair » selon Sahel Tribune : la région « entend désormais assurer seule sa sécurité, » réunie sous une bannière unique et liée par un destin commun. Et cette montée en puissance montre une fois de plus, s'il le fallait, que les trois pays ont non seulement « tourné le dos à la coopération militaire française » mais aussi « définitivement rompu avec la Cédéao. »  Une scission que déplore l'Alternance : « A-t-on besoin de rappeler que tous les pays de l'Afrique de l'Ouest, qu'ils soient de la Cédéao ou de l'AES, sont liés par la même histoire, le même espace géographique, la même culture et les mêmes intérêts économiques ? » Certes, admet le titre, « il est tout à fait logique pour ces trois pays en proie à une gravissime crise sociosécuritaire de se mettre ensemble pour faire face au péril terroriste. » Ce qui n'implique pas de divorcer pour autant : si ces deux organisations sont bel et bien « mues par les mêmes intérêts », juge L'Alternance, alors « elles doivent collaborer, sans a priori ou autres considérations. »   À lire aussiMali: ouverture du sommet des chefs d'État de l'AES pour renforcer la coopération régionale Pas de collaboration à l'ordre du jour Et d'ailleurs l'Alternance ne se berce pas d'illusions : il est « peu probable, pour ne pas dire impossible » qu'une coopération ait lieu à l'heure actuelle, au regard « des relations jugées exécrables entre les deux organisations. » Dans ce contexte, les États de l'AES ont tout intérêt à montrer, par contraste, leur unité. D'où une chorégraphie militaire soigneusement orchestrée lors de l'annonce d'une force commune destinée, raconte Sahel Tribune, a « renvoyé l'image d'une armée désormais structurée, disciplinée et dotée de moyens cohérents. » C'est peut-être aussi ce qui explique ces démonstrations d'enthousiasme, ce lundi, à l'arrivée à Bamako du Nigérien Abdourahamane Tiani. Un reporter de Sahel Tribune raconte ainsi ces « milliers de Maliens, rejoints par des ressortissants burkinabè et nigériens, » qui « ont convergé le long de la route » munis de « drapeaux tricolores, banderoles, et chants à la gloire de la "souveraineté retrouvée" » autant de symboles « d'un soutien populaire nourri par un sentiment de fierté nationale et d'unité régionale. »  Mais attention : cet enthousiasme ne se maintiendra que si les résultats sont au rendez-vous. La mise en place d'une force unifiée n'était qu'une première étape. Désormais, prévient le Pays, « il appartient à la force unifiée de l'AES de se donner les moyens de sa politique. » Le spectre de l'échec ne plane jamais loin comme celui, rappelle le titre burkinabè, du G5 Sahel, « cet albatros conçu à l'époque » pour vaincre le terrorisme, mais « qui avait déjà eu du mal dans l'opérationnalisation de sa force commune. »  La fin du mandat de Patrice Talon Dans quatre mois, le président béninois quittera le pouvoir, au terme de ses deux mandats, comme le prévoit la Constitution. Une « rareté », estime Jeune Afrique, qui n'hésite pas à classer le chef d'État dans cette « catégorie de dirigeants aussi rares que le léopard des neiges dans l'Himalaya : ceux qui partent de leur plein gré. » Un portrait élogieux que nuance le Monde Afrique : les opposants du président n'hésitent pas à dénoncer une « dérive autoritaire », voire d'avoir « instauré une démocratie de façade dans laquelle ses adversaires sont mis hors jeu. »   Et quand bien même Patrice Talon ne s'éternise pas au pouvoir, on ne peut pas parler d'un atterrissage sans accroc. Après tout, « il s'en est fallu de peu qu'il finisse renversé par des militaires, comme plusieurs de ses ex-homologues » de la région ces dernières années. La tentative de putsch du 7 décembre a échoué, oui, mais il n'empêche : elle « écorne une fin de règne que le président (…) s'était pourtant appliqué à organiser. » D'autant que les meneurs de cet épisode courent toujours, à commencer par le lieutenant-colonel Pascal Tigri. Patrice Talon a quatre mois pour changer la fin du film. D'ici là, prédit Le Monde, il lui sera « difficile de se montrer (...) serein. » À lire aussiÀ la Une: au Bénin, une trentaine de personnes inculpée après la tentative de coup d'État manquée

Revue de presse Afrique
À la Une, les pays de l'Alliance des États du Sahel réunis à Bamako au Mali

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Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 4:00


Le Niger, le Mali et le Burkina Faso se retrouvent, à peine plus d'une semaine après le sommet annuel de la Cédéao. C'est la deuxième fois que l'Alliance des États du Sahel se retrouve au sein d'un tel sommet. Il y a quelques jours, le président Assimi Goïta avait annoncé la création d'une force armée unifiée, un « message clair » selon Sahel Tribune : la région « entend désormais assurer seule sa sécurité, » réunie sous une bannière unique et liée par un destin commun. Et cette montée en puissance montre une fois de plus, s'il le fallait, que les trois pays ont non seulement « tourné le dos à la coopération militaire française » mais aussi « définitivement rompu avec la Cédéao. »  Une scission que déplore l'Alternance : « A-t-on besoin de rappeler que tous les pays de l'Afrique de l'Ouest, qu'ils soient de la Cédéao ou de l'AES, sont liés par la même histoire, le même espace géographique, la même culture et les mêmes intérêts économiques ? » Certes, admet le titre, « il est tout à fait logique pour ces trois pays en proie à une gravissime crise sociosécuritaire de se mettre ensemble pour faire face au péril terroriste. » Ce qui n'implique pas de divorcer pour autant : si ces deux organisations sont bel et bien « mues par les mêmes intérêts », juge L'Alternance, alors « elles doivent collaborer, sans a priori ou autres considérations. »   À lire aussiMali: ouverture du sommet des chefs d'État de l'AES pour renforcer la coopération régionale Pas de collaboration à l'ordre du jour Et d'ailleurs l'Alternance ne se berce pas d'illusions : il est « peu probable, pour ne pas dire impossible » qu'une coopération ait lieu à l'heure actuelle, au regard « des relations jugées exécrables entre les deux organisations. » Dans ce contexte, les États de l'AES ont tout intérêt à montrer, par contraste, leur unité. D'où une chorégraphie militaire soigneusement orchestrée lors de l'annonce d'une force commune destinée, raconte Sahel Tribune, a « renvoyé l'image d'une armée désormais structurée, disciplinée et dotée de moyens cohérents. » C'est peut-être aussi ce qui explique ces démonstrations d'enthousiasme, ce lundi, à l'arrivée à Bamako du Nigérien Abdourahamane Tiani. Un reporter de Sahel Tribune raconte ainsi ces « milliers de Maliens, rejoints par des ressortissants burkinabè et nigériens, » qui « ont convergé le long de la route » munis de « drapeaux tricolores, banderoles, et chants à la gloire de la "souveraineté retrouvée" » autant de symboles « d'un soutien populaire nourri par un sentiment de fierté nationale et d'unité régionale. »  Mais attention : cet enthousiasme ne se maintiendra que si les résultats sont au rendez-vous. La mise en place d'une force unifiée n'était qu'une première étape. Désormais, prévient le Pays, « il appartient à la force unifiée de l'AES de se donner les moyens de sa politique. » Le spectre de l'échec ne plane jamais loin comme celui, rappelle le titre burkinabè, du G5 Sahel, « cet albatros conçu à l'époque » pour vaincre le terrorisme, mais « qui avait déjà eu du mal dans l'opérationnalisation de sa force commune. »  La fin du mandat de Patrice Talon Dans quatre mois, le président béninois quittera le pouvoir, au terme de ses deux mandats, comme le prévoit la Constitution. Une « rareté », estime Jeune Afrique, qui n'hésite pas à classer le chef d'État dans cette « catégorie de dirigeants aussi rares que le léopard des neiges dans l'Himalaya : ceux qui partent de leur plein gré. » Un portrait élogieux que nuance le Monde Afrique : les opposants du président n'hésitent pas à dénoncer une « dérive autoritaire », voire d'avoir « instauré une démocratie de façade dans laquelle ses adversaires sont mis hors jeu. »   Et quand bien même Patrice Talon ne s'éternise pas au pouvoir, on ne peut pas parler d'un atterrissage sans accroc. Après tout, « il s'en est fallu de peu qu'il finisse renversé par des militaires, comme plusieurs de ses ex-homologues » de la région ces dernières années. La tentative de putsch du 7 décembre a échoué, oui, mais il n'empêche : elle « écorne une fin de règne que le président (…) s'était pourtant appliqué à organiser. » D'autant que les meneurs de cet épisode courent toujours, à commencer par le lieutenant-colonel Pascal Tigri. Patrice Talon a quatre mois pour changer la fin du film. D'ici là, prédit Le Monde, il lui sera « difficile de se montrer (...) serein. » À lire aussiÀ la Une: au Bénin, une trentaine de personnes inculpée après la tentative de coup d'État manquée

On refait le sport
L'EMISSION - Christo Popov entre dans l'histoire du badminton

On refait le sport

Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 43:31


Christo Popov devient le premier français de l'histoire à remporter les World Tour Finals. Le badiste tricolore revient sur cet exploit. Avec sept podiums au Grand Bornand, Stéphane Bouthiaux, directeur des équipes de France fait le bilan de ce beau week-end pour le biathlon français. Tony Yoka remonte sur le ring au au Nigéria contre l'allemand Kort. Souleymane Cissokho, le médaillé de bronze des Jeux de Rio nous dit ce qu'il en pense. Invité : Alexis Hanquinquant, double champion paralympique de triathlon évoque notamment l'héritage raté des Jeux de Paris.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Esportes
Adversário do Brasil no Mundial 2026, Marrocos inicia caminhada em busca do título da Copa Africana de Nações

Esportes

Play Episode Listen Later Dec 21, 2025 7:55


A 35ª edição da mais importante competição de futebol da África começa neste domingo (21) no Marrocos. A seleção anfitriã mede forças contra Comores e sonha com o bicampeonato, já que conquistou seu primeiro título em 1976. Adversário do Brasil na estreia na Copa do Mundo de 2026, Marrocos foi semifinalista do último Mundial, em 2022; o melhor resultado da história de um país africano no torneio. Marcio Arruda, da RFI em Paris A Copa Africana de Nações (CAN), realizada entre dezembro e janeiro, vai reunir 24 países, que têm apenas um objetivo: o título continental. Essa CAN promete ser a mais prestigiada da história da competição, já que sete das nove seleções que vão disputar a Copa do Mundo de 2026 estarão em campo. “Esta edição vai ter muito mais pessoas assistindo porque, no Mundial do próximo ano, nove seleções africanas vão participar. Entre as que estarão na Copa do Mundo, apenas Cabo Verde e Gana não vão jogar esta CAN. Mas a verdade é que as outras sete vão estar presentes e será uma oportunidade para os treinadores que vão enfrentá-las na próxima Copa observarem suas forças e suas fraquezas e já fazerem um trabalho de preparação", analisa Marco Martins, jornalista português especializado na Copa Africana de Nações. "Em jogos amistosos, estas seleções podem esconder um pouco as táticas, a maneira de jogar, quem são as estrelas e como são técnica e taticamente. Mas desta vez é uma competição oficial. É um torneio que as seleções africanas adoram; para elas, é uma honra conquistar esse troféu. É como a Eurocopa para os europeus. É um orgulho ser a principal seleção do continente. E agora as seleções não vão poder esconder o jogo”, argumenta Martins. Leia tambémSeleção brasileira muda postura em campo com Ancelotti e torcedores sonham com hexa Pensando no Mundial de 2026, o jornalista ressalta que é a chance do treinador da seleção brasileira, o italiano Carlo Ancelotti, e sua comissão técnica avaliarem um dos adversários da equipe no torneio da Fifa. "O Brasil, por exemplo, vai jogar contra o Marrocos na Copa. Então, será uma oportunidade para o técnico Ancelotti tomar algumas notas e ver o potencial da equipe marroquina. Esta será uma CAN muito assistida justamente pelo fato de que faltam aproximadamente seis meses para a Copa do Mundo. Esta edição vai despertar muito mais interesse e terá uma grande visibilidade", completou Marco Martins. Sotaque português na Copa Africana Se Cabo Verde, que estará na Copa do Mundo, não vai disputar a CAN, outras duas seleções lusófonas jogarão em estádios marroquinos. “Temos a presença de Angola e Moçambique. Penso que são duas seleções que caíram em grupos bastante difíceis, mas eu realmente acho que podem fazer uma boa figuração no torneio”, opinou o técnico português Nuno da Silva. O treinador, que recentemente integrou a comissão técnica do União Desportiva do Songo, de Moçambique, analisou as chances da seleção moçambicana, que já disputou seis Copas Africanas e vai estrear nesta edição contra a atual campeã Costa do Marfim. “O grupo de Moçambique está estruturado com o retorno do capitão Dominguês e de outros jogadores que há anos fazem parte do elenco. Os jovens que têm entrado ainda não têm lugares cativos entre os 11 titulares. O grupo se manteve uniforme e isso pode ser uma vantagem para a seleção moçambicana”, disse. “Em uma competição como esta não se trata de ter grupos fáceis ou não. O momento de cada seleção vai ditar muita coisa na competição”, resume Nuno da Silva. Nuno também tem passagem pelo Interclube, um dos principais times de Angola. O treinador de 40 anos analisou a seleção angolana, que fará sua décima participação na CAN e, nesta edição, disputará seu primeiro jogo contra a África do Sul. “No grupo de Angola tem um novo técnico que já teve passagem pela seleção como treinador adjunto. Regressa agora ao país que conhece, mas numa função distinta e de mais importância. O grupo teve alguns regressos que estavam fora com o treinador anterior, teve também algumas perdas, e penso que neste aspecto, comparado a Moçambique, a seleção de Angola tem algo a perder porque vai precisar de mais tempo para assimilar as ideias do treinador”, explicou. Salah turbinado para esta CAN? Um dos favoritos no grupo de Angola é o Egito, maior vencedor da Copa Africana de Nações com sete conquistas. Entretanto, a última foi há 15 anos, em 2010. Principal jogador da seleção egípcia, Mohamed Salah, que busca sua primeira conquista pelo país, atravessa um momento delicado em seu clube, o Liverpool, da Inglaterra. O treinador da equipe, Arne Slot, deixou Salah fora do time titular nas últimas rodadas da Premier League. Tudo porque o atacante o criticou publicamente. E será que o técnico Nuno da Silva acha que essa desavença pode prejudicar o rendimento do jogador na seleção do Egito? “Sinceramente, por se tratar de uma relação clube-seleção, eu acho que pode dar uma força enorme ao atleta. Penso que isso, a relação dele com o treinador Arne Slot, é um problema interno do Liverpool. Voltar a ser o rosto e o símbolo da nação egípcia pode motivar bastante o Salah para a CAN. Acho que o Egito pode ficar muito mais forte com o Salah presente”, opinou Nuno. Equilíbrio entre os favoritos Além do Egito, há outras seleções favoritas ao título desta edição. Algumas por terem um jogador que pode decidir uma partida, outras pela força coletiva. “Não sei se poderá haver surpresas porque, no fundo, há muitas equipes que são favoritas, como o Marrocos, que é anfitriã, o Egito, que tem o Mohamed Salah, e a Nigéria, que conta com o Victor Osimhen. Há também a Tunísia, que é muito forte coletivamente, o Senegal, que vai a campo com Sadio Mané, a Argélia, que se destaca pelo coletivo, e finalmente a Costa do Marfim. Todas essas podem alcançar o título e estamos falando de um leque de quase dez seleções. A surpresa aconteceria se uma das duas seleções lusófonas, que até hoje nunca foram campeãs, chegasse ao título", afirmou Marco Martins.  "É importante falar que há um tipo de hierarquia, como acontece na América do Sul e na Europa. Na África, temos oito ou dez seleções que podem conquistar a CAN", explica o jornalista Marco Martins. "Então, eu não espero surpresa nesta edição. Daquelas que citei, se uma delas for campeã, para mim não será surpreendente”, cravou. O treinador Nuno disse que “os candidatos ao título acabam por ser os habituais, como Marrocos, por jogar em casa, Costa do Marfim, por ser a atual campeã, e outras seleções que podem ter boas atuações. Eu acho que Moçambique pode fazer uma 'gracinha' no grupo e ir longe na competição. Angola, claramente pela qualidade da seleção, pode pensar em algo além da simples passagem pela fase de grupos”. O jornalista Marco Martins não acredita que as duas seleções de língua portuguesa chegarão longe nesta CAN. “Se Angola ou Moçambique vencerem, será uma surpresa. Penso o mesmo sobre a Guiné Equatorial, Sudão, Botsuana e Benin”, opinou. Campeã aos trancos e barrancos Marco também lembrou o título da Costa do Marfim na última edição da Copa Africana. “Foi uma surpresa a Costa do Marfim alcançar o título. Apesar de jogar em casa, a campanha foi turbulenta. Lembro que algo não funcionava naquela seleção nos primeiros jogos e houve a troca de técnico. Era o clique que precisavam. Conseguiram avançar da fase de grupos graças a uma combinação de resultados. A classificação para as oitavas de final parece ter sido a motivação extra que a equipe precisava. Situação rara, mas não inédita. Na Eurocopa de 2016, Portugal terminou em terceiro no seu grupo e avançou às oitavas por ter sido um dos melhores terceiros colocados na competição”, contou o jornalista português. O regulamento daquela Euro permitia a classificação às oitavas das duas melhores seleções de cada grupo, além de quatro equipes com melhor desempenho entre as que ficaram em terceiro lugar nas suas respectivas chaves. “Depois de passar pela fase de grupos, Portugal conseguiu chegar à final e foi campeão ao vencer a França, que jogava em casa no Stade de France. Isso mostra que, de vez em quando, seleções e clubes conseguem dar a volta por cima. Na temporada passada, por exemplo, o PSG teve muitas dificuldades na Champions League. Na penúltima partida da primeira fase contra o Manchester City, em determinado momento, o PSG estava sendo eliminado, mas conseguiram reverter a situação, ganharam o jogo, se classificaram para os playoffs somente na última rodada, avançaram na competição e venceram a Liga dos Campeões. E algo parecido aconteceu com a Costa do Marfim”, completou. Apesar de ter conquistado o título da última edição da CAN, a equipe marfinense teve uma campanha irregular, que ficou marcada pela troca de treinador durante a competição. Depois da fase de grupos, o francês Jean-Louis Gasset foi demitido e o auxiliar marfinense Emerse Faé assumiu o comando da seleção até a vitória na final por 2 a 1 diante da Nigéria. Grupos desta edição da CAN: Grupo A: Marrocos, Mali, Zâmbia e Comores Grupo B: África do Sul, Zimbábue, Egito e Angola Grupo C: Tanzânia, Nigéria, Tunísia e Uganda Grupo D: Senegal, Botsuana, RD Congo e Benin Grupo E: Argélia, Guiné Equatorial, Burkina Faso e Sudão Grupo F: Camarões, Gabão, Moçambique e Costa do Marfim O jogo de abertura da Copa Africana de Nações será entre Marrocos e Comores. A final está prevista para o dia 18 de janeiro de 2026. Campeões na história da Copa Africana de Nações: Egito: 7 (1957, 1959, 1986, 1998, 2006, 2008 e 2010) Camarões: 5 (1984, 1988, 2000, 2002 e 2017) Gana: 4 (1963, 1965, 1978 e 1982) Nigéria: 3 (1980, 1994 e 2013) Costa do Marfim: 3 (1992, 2015 e 2023) RD Congo: 2 (1968 e 1974) Argélia: 2 (1990 e 2019) Etiópia: 1 (1962) Sudão: 1 (1970) Congo: 1 (1972) Marrocos: 1 (1976) África do Sul: 1 (1996) Tunísia: 1 (2004) Zâmbia: 1 (2012) Senegal: 1 (2021)

Dev Sem Fronteiras
Engenheiro Civil em Wudil, Nigéria - Carreira Sem Fronteiras #222

Dev Sem Fronteiras

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 37:18


O beltrãoense João cursou engenharia civil, mas de um jeito diferente. Ele iniciou no Paraná, mas terminou em Portugal, onde já engatou um mestrado. Uma vez concluído o mestrado, ele sentiu que ainda precisava ter novas experiências, e decidiu ficar em Portugal.Foi aí que surgiu a oportunidade de, por meio de uma empresa portuguesa, ele embarcar para a Nigéria, onde ele trabalha até hoje como engenheiro civil em um projeto gigantesco. Neste episódio, o João conta o seu curiosíssimo cotidiano na terra onde, incrivelmente, ele não é o único brasileiro.Fabrício Carraro, o seu viajante poliglotaJoão Rodrigues, Engenheiro Civil em Wudil, NigériaLinks:LinkedIn do JoãoO último deploy do ano está no ar, mas é por tempo limitado! Essa é a sua última chance de se matricular na Alura por até 2 anos com até 40% de desconto! Aproveite!TechGuide.sh, um mapeamento das principais tecnologias demandadas pelo mercado para diferentes carreiras, com nossas sugestões e opiniões.#7DaysOfCode: Coloque em prática os seus conhecimentos de programação em desafios diários e gratuitos. Acesse https://7daysofcode.io/Ouvintes do podcast Dev Sem Fronteiras têm 10% de desconto em todos os planos da Alura Língua. Basta ir a https://www.aluralingua.com.br/promocao/devsemfronteiras/e começar a aprender inglês e espanhol hoje mesmo! Produção e conteúdo:Alura Língua Cursos online de Idiomas – https://www.aluralingua.com.br/Alura Cursos online de Tecnologia – https://www.alura.com.br/Edição e sonorização: Rede Gigahertz de Podcasts

Convidado
"Os militares temem, sim, as sanções financeiras": Guiné-Bissau sob crescente pressão internacional

Convidado

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 7:59


Nos últimos dias, a Guiné-Bissau foi palco de duas actualidades distintas. Na primeira, a ex-primeira Dama, Dinísia Embaló, foi constituída arguida em Lisboa, no caso da mala dos cinco milhões encontrada no jato privado em que viajava. Na outra actualidade, a CPLP suspendeu oficialmente a Guiné-Bissau da organização, retirando ao país a presidência rotativa. Este passo foi dado no dia seguinte à decisão das as autoridades guineenses, que tinham anunciado a suspensão de todas as actividades do país no seio da CPLP, o que foi visto por muitos como uma "auto-suspensão".  A CPLP suspendeu oficialmente a Guiné-Bissau da organização e elegeu Timor-Leste para a Presidência, que até agora era assumida pela Guiné-Bissau. Numa altura em que deve chegar a Bissau uma missão da CEDEAO, outra organização da qual a Guiné-Bissau faz parte,  existe também a possibilidade de a CPLP fazer o mesmo. Solicitada pela RFI, a organização não confirma de forma oficial o envio de uma missão de alto nível a Bissau, como foi decidido na reunião extraordinária da comunidade, a 5 de Dezembro. "Convém que esta missão se desloque o mais rápidamente possível" disse José Ramos Hora, presidente timorense e agora presidente em exercício da CPLP. O dirigente reconheceu que "toda a deslocação terá de ser feita em concordância com os militares, que controlam as fronteiras e o espaço aéreo". José Ramos Horta foi categórico: "Não é possível mostrar flexibilidade. Não é possível ficarmos indiferentes perante a arrogância da clique militar que há cinquenta anos não deixa o país retomar um rumo normal". "Há violaçao flagrante do processo eleitoral, houve interrupção e até mesmo assalto [do processo eleitoral], porque o candidato dos militares perdeu. Agora, vão ficar completamente isolados", concluíu José Ramos Horta, referindo-se à crescente pressão internacional.  Garantias de vida dos presos políticos  Da reunião virtual dos chefes de estado da CPLP, a 16 de Dezembro, outros pontos devem ser destacados. Nomeadamente, pela primeira vez, a exigência "com carácter de urgência, da apresentação de provas de vida e garantias quanto à integridade física de todos os detidos", bem como a sua libertação "imediata e incondicional", já exigida pela CEDEAO. "É o mínimo", considera, em Bissau, Armando Lona, jornalista, investigador e coordenador da Frente Popular.  Como todos sabem, estes detidos não são criminosos, são políticos. Apenas participaram no processo eleitoral. O lugar deles não é prisão. Quem deveria estar na prisão são esses senhores e senhoras que hipotecaram o futuro da Guiné-Bissau durante esses anos todos. Nós saudamos essa posição da CPLP mas pensamos que, para além dessa exigência, é preciso fazer um seguimento. Os presidentes de São Tomé e Príncipe, de Portugal, de Cabo Verde, do Brasil, da Guiné Equatorial, de Moçambique e de Timor Leste, assim como o ministro dos Negócios Estrangeiros de Angola. Os dirigentes lusófonos exigiram, uma vez mais, a "retoma urgente da ordem constitucional", alinhando-se com os estatutos democráticos da organização. O que nem sempre foi o caso, denuncia Armando Lona.  Isto é interessante. A retoma da legalidade democrática e da ordem constitucional é o que nós guineenses exigimos. Eu encorajo a CPLP a ir nessa direção, porque o que conta é a legitimidade popular. Esta decisão  da CPLP é responsável, é oportuna. Porque, como sabemos, a CPLP tem tido uma atitude de cumplicidade. Mas acho que nunca é tarde para retomar o caminho do respeito dos estatutos que regulam os comportamentos de cada Estado membro. Esta turma agora que fala em nome da Guiné-Bissau, é uma turma de golpistas. Não tem nenhuma responsabilidade para falar em nome da Guiné-Bissau. Esta dita turma de golpista não passa de uma aberração inqualificável, que nenhum guineense de bom senso estaria interessado a ouvir. E para o investigador Armando Lona, não há como fazer parte de uma organização sem respeitar os estatutos e textos da mesma.Ora "aquilo que se tem passado na Guiné-Bissau é intolerável e inaceitável e enquanto cidadãos da CPLP e das outras organizações, exigimos que se respeite a democracia e os direitos humanos". A 5 de Dezembro, a CPLP decidiu enviar uma missão de alto nível a Bissau para acompanhar o processo de reposição da ordem constitucional. A decisão foi tomada antes da auto-suspensão e da oficialização da suspensão da Guiné-Bissau na CPLP. Mas estes últimos acontecimentos podem comprometer a vinda desta delegação, já que dependerá da boa vontade e da autorização das autoridades guineenses que os membros da CPLP aterrem ou entrem em Bissau.  Mas acho que toda a tentativa de impedir a chegada de uma missão, seja ela da CPLP, da CEDEAO, será uma prova de frustração. Esse grupo [de militares] sabe que está num isolamento total. Não tem legitimidade interna, não tem reconhecimento internacional. Portanto, resta lhe tentar fazer esses subterfúgios fúteis, mas que não, não vão ter sucesso porque o povo já boicotou tudo. O povo guineense está farto desse grupo. Hipotecaram o futuro dos guineenses, sobretudo da juventude, que agora só pensa em emigrar. Essa junta militar... Eu tenho dito e repito que não existe nenhuma junta militar na Guiné-Bissau. Esse grupo não não representa nem 5% dos efectivos das forças guineenses.  Armando Lona diz que estes militares no poder são meras individualidades no seio de toda a corporação militar, não representam portanto as Forças Armadas da Guiné-Bissau. E por outro lado, são milícias que tomaram o poder. Não refletem a realidade sociológica das nossas Forças Armadas. Nós tínhamos a certeza que mais dia menos dia, o regime ia cair. Caiu, como o povo demonstrou de forma brilhante, de forma patriótica, nas urnas. O jornalista prossegue: ao contrário do que foi dito pelo primeiro-ministro Ilídio Té Vieira, à imprensa guineense, no dia seguinte à cimeira da CEDEAO,  "os militares temem sim as ameaças de sanções financeiras".   Têm que temer. Não conseguem fazer nada sem apoio externo. Endividaram a Guiné-Bissau. Levaram o nosso plafond de dívidas para quase mais de 100% do Produto Interno Bruto. Todos os dias estão a emitir títulos de tesouro no mercado regional! Portanto, é um grupo que vive só desses esquemas. Logo, com sanções económicas e financeiras não podem sobreviver. O coordenador da frente popular destaca outro ponto: a existência de uma força da CEDEAO na Guiné-Bissau. Esta é composta por contingentes da Nigéria e do Senegal e os seus membros, fardados e armados, já eram visíveis nas ruas da capital antes das eleições gerais, durante, e depois. Questionamos o real mandato desta força da CEDEAO. Não vale a pena termos uma força paga pelas contribuições dos cidadãos da África Ocidental, quando na realidade está ao serviço de um ditador, que agora ninguém duvida de que era um ditador, mas também um campeão do crime do crime organizado e do branqueamento de capital. Aqui, Armando Lona faz referência à detenção de Dinísia Embaló, a ex-primeira dama, mulher do ex-presidente deposto, que continua em parte incerta. Dinísia Embaló foi constituída arguida por suspeita de contrabando e branqueamento, no caso das malas com 5 milhões de euros encontradas no jacto privado em que viajava. Voo esse que partiu de Marrocos, último país, aliás, onde se soube do paradeiro de Umaro Sissoco Embaló. Fez depois escala em Bissau e seguiu para Lisboa. Um caso que impactará muito provavelmente a imagem e o poder diplomático de Umaro Sissoco Embaló e do seu entourage. Não há julgamento maior do que esse julgamento da opinião pública internacional. Para nós isto basta. Infelizmente, sentimo-nos atingidos porque somos guineenses. Temos orgulho enquanto povo, temos dignidade, e lutámos pela nossa liberdade. Mas por acidente da história temos tido gente que não tem a preparação para estar a nossa frente.

Podcast Paris United
Spécial CAN 2025 - Que vaut le Maroc ? Avec ou sans Achraf Hakimi ?

Podcast Paris United

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 20:16


A l'approche de la Coupe d'Afrique des Nations, Paris United passe en mode CAN. Après un Mondial 2022 historique qui a fait vibrer toute l'Afrique, le Maroc aborde la Coupe d'Afrique des Nations 2024 avec le statut de grand favori. Mais les Lions de l'Atlas ont-ils vraiment les épaules pour assumer cette pression et remporter un titre qui leur échappe depuis 1976 ?

Convidado
Resolução da CEDEAO sobre Guiné-Bissau "estrangula" e "dificulta" acção dos militares

Convidado

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 10:02


A CEDEAO reuniu-se em Abuja, na Nigéria, e ameaçou os aliados dos militares com “sanções específicas” após a tomada de poder na Guiné-Bissau. Estas medidas, assim como a condenação da acção do militares, mostram que esta organização regional não apoia esta desestabilização em Bissau. A Comissão da Comunidade Económica de Estados da África Ocidental (CEDEAO) reuniu-se neste fim de semana, em Abuja, na Nigéria, para discutir a situação na Guiné-Bissau e ameaçou impor ao país “sanções específicas” a quem entrar no processo de transição e condenou de forma veemente a mudança inconstitucional de Governo na Guiné-Bissau. Em entrevista à RFI, o jurista Fodé Mané, considera que esta resolução da CEDEAO pode parecer à primeira vista benévola em relação às forças militares actualmente no poder, no entanto, o objectivo desta organização internacional na sua perspectiva é “estrangular” internacionalmente a Guiné-Bissau, retirando qualquer margem de manobra aos líderes actualmente no poder. "As duas partes tinham expectativas diferentes. Os que deram este dito golpe de Estado tinham uma estratégia de que podia haver uma decisão que fosse pelo restabelecimento do poder que estava e, consequentemente, fazer o Governo anterior voltar. Mas a única coisa que conseguiram é aquela possibilidade de alargar a transição por um ano. Também os que estão contra o regime estavam à espera de que ia pelo menos ser tomada uma decisão de intervenção mais musculada, à semelhança do que houve em relação ao Benim. E também a possibilidade de serem proclamados ou de ser divulgados os resultados das eleições. No entanto, é importante precisar que no caso do Benim, a Nigéria e a França estão interessados em agir. No caso da Guiné-Bissau, o Senegal ou a Guiné Conacri podiam servir de plataforma para uma acção militar, mas não estão interessados, até pelo contrário. O Senegal até ganhou com esta situação porque quem devia nomear ou indicar o presidente da Comissão devia ser a Guiné-Bissau, mas por ser suspenso de todos os órgãos, perdeu essa prerrogativa. Então isso foi passado para o Senegal, que vai indigitar o presidente da Comissão da CEDEAO", indicou Fodé Mané. Segundo o jurista, o regime militar no poder não foi assim legitimado pela CEDEAO desta vez, o que significa que, tendo em conta que a Guiné-Bissau é muito dependente do exterior a nível financeiro, o país será "estrangulado" o que "dificulta" a levada a cabo de decisões por partes do militares e dos seus aliados. Na véspera deste encontro da CEDEAO e já antecipando esta decisão que não proferiu o regresso ao poder de Umaro Sissoco Embaló, um cidadão guineense próximo do antigo Presidente foi detido em Lisboa ao sair de um avião com malas que transportavam cinco milhões de euros. Para Fodé Mané trata-se de um acto de desespero por parte do antigo líder. "Depois da reunião do Conselho de Ministros da CEDEAO que prepara as resoluções para os chefes de Estado sabemos que houve movimentações, pessoas que estiveram em Abuja depois de perceberem que a sua estratégia de voltar ao poder não ia ser possível, houve fretamento de aviões que vieram a Bissau para levar alguns bens. E num desses aviões que viajou, a pessoa foi apanhada com o dinheiro. Então, não há dúvida quanto o relacionamento daquele caso com a situação que se vive aqui em Bissau, principalmente com a falha das comunicações. O plano B era retirar todos os bens e colocar em lugares onde podem usar facilmente e, por isso, este acto está a ser visto como uma actuação de desespero", concluiu Fodé Mané.

Reportage Afrique
Maroc, une nation de foot [1/5] : témoignage des joueurs de la génération 1976

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 2:15


Le Maroc se prépare à accueillir la CAN. Le pays est bien décidé à remporter à nouveau le trophée ! Dans l'histoire du football africain, c'est comme une anomalie : le royaume fait partie des grandes nations du continent, et pourtant, il n'a remporté la compétition qu'une seule fois en 1976, en Éthiopie. S'il y a bien des personnes qui savent comment faire pour gagner, ce sont les anciens internationaux marocains de cette époque. Rencontre avec Abdelâali Zahraoui et Abdallah Tazi, deux joueurs de la sélection 1976.  De notre correspondant de retour de Fès,  En 1976, la compétition oppose alors huit sélections. Parmi elles, il y a le Zaïre, le Nigéria, la Guinée, l'Égypte, des cadors du continent. Le Maroc ne fait pas partie des favoris. Abdelâali Zahraoui était milieu de terrain de la sélection marocaine : « Tout le monde a joué avec leur force, avec leur volonté, avec tout ! » L'Éthiopie accueille la CAN cinq mois tout juste après un coup d'État militaire. Abdallah Tazi est également ex-milieu de terrain marocain. « Il y avait deux chars devant l'hôtel. Quand on sortait, on était suivis par des policiers », se remémore-t-il.  Cette CAN se joue sous la forme d'une poule finale. Le dernier match, le 14 mars 1976, oppose le Maroc à la Guinée. Une équipe légendaire avec des grands noms comme Petit Sory, Papa Camara… Les Lions de l'Atlas ont besoin d'un match nul pour finir en tête du classement, les Guinéens doivent absolument l'emporter. « Les Guinéens, dès le début du match, ils ont été supérieurs à nous. Ils avaient une très belle équipe, c'était le Brésil d'Afrique, certainement la meilleure du continent », retrace Abdallah Tazi.  À lire aussiCAN 2025 : Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6]   C'est le Syli national qui ouvre le score à la 33ᵉ minute, et pendant près d'une heure, il est champion d'Afrique. Mais à la 86ᵉ minute, venu de la défense marocaine, Ahmed Magrouh, alias « Baba », envoie un boulet de canon pleine lucarne. « Un but exceptionnel, mais Baba, il monte seulement dans le corner. Si tu lui demandes de tirer 50 fois, il ne marquera jamais. Ils avaient de la réussite », commente Abdelâali Zahraoui.  Il ressort les photos de cette époque. Sur l'un des clichés en noir et blanc, on le voit poser amoureusement ses yeux sur une petite coupe de métal brillant, c'est la CAN 76. « On nous demande à chaque fois de parler de notre parcours, s'amuse Abdallah Tazi. Il n'y en a que pour la CAN 76. L'équipe actuelle va remporter la CAN et on sera enfin tranquilles, les journalistes n'auront plus à nous appeler ! » Pour Abdelâali Zahraoui, également, c'est une certitude : « Au Maroc, on va gagner la Coupe d'Afrique. Cette année ! » À lire aussiCAN: ces héros peu connus qui ont illuminé la Coupe d'Afrique

Invité Afrique
Prof Jibrin Ibrahim (chercheur): «Le Nigeria, gendarme de l'Afrique de l'Ouest, dit stop aux putschs»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 5:11


« Pour arrêter un putsch, il faut que la Cédéao et les États voisins du pays touché interviennent immédiatement, sans laisser le temps aux putschistes de réussir leur coup », dit en substance l'universitaire nigérian Jibrin Ibrahim, cinq jours après les frappes aériennes du Nigeria contre les putschistes du Bénin. Le professeur Jibrin Ibrahim est chercheur principal au Center for Democracy and Development, le Centre pour la démocratie et le développement, à Abuja au Nigeria. Deux jours avant le prochain sommet de la Cédéao à Abuja, il présente la nouvelle stratégie de Lagos, au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Jibrin Ibrahim, l'intervention militaire du Nigeria au Bénin, est-ce que c'est le signe d'un retour de votre pays sur la scène ouest-africaine ? Jibrin Ibrahim : Oui, peut-être, comme dans les années 1980-1990, quand le Nigeria était très actif, comme policier de la démocratie et de la stabilité politique de l'Afrique de l'Ouest. Est-ce que l'ère du précédent président nigérian Muhammadu Buhari est terminée avec le président Bola Tinubu qui est en poste depuis 2023 ? Absolument. Le président Tinubu est plus actif que Buhari. Buhari ne voulait pas faire quoi que ce soit. Il était au palais présidentiel et il ne faisait pas grand-chose. Pourquoi le Nigeria est-il intervenu le 7 décembre 2025 contre les putschistes béninois et pas en juillet 2023, contre les putschistes du Niger ? Je pense qu'à Niamey, en 2023, le Nigeria a essayé d'intervenir après les faits et que c'était vraiment difficile, car le nouveau régime était déjà installé. Cette fois-ci, l'idée c'était d'intervenir avant que le coup d'État ne réussisse. Et je pense que c'est une question de méthode. Donc, la leçon de ces derniers jours, c'est que si le Nigeria et la Cédéao veulent empêcher des putschs, il faut intervenir immédiatement ? Exactement. C'est le seul moyen de réussir ce genre d'intervention. Est ce qu'il y a, derrière l'intervention de dimanche dernier, la volonté de mettre un coup d'arrêt à l'épidémie des coups d'État en Afrique de l'Ouest ? Oui, effectivement, il faut savoir qu'il y a un problème de base. Chaque régime actuellement en Afrique de l'Ouest a peur d'un coup d'État. Donc, c'est pour se protéger soi-même. Quand on regarde l'Afrique de l'Ouest actuelle, le Nigeria, le Togo, la Côte d'Ivoire et d'autres pays ont peur d'un coup d'État dans leur propre pays. Donc, protéger d'autres pays contre le coup d'État, c'est se protéger soi-même. Et pour arrêter ce risque, il faut intervenir chaque fois qu'il y a une tentative dans la région. Moi, je pense qu'il est important en Afrique de l'Ouest maintenant de développer une stratégie de ceux qui veulent maintenir la démocratie, qu'ils travaillent ensemble contre les forces de déstabilisation politique et l'arrivée des militaires au pouvoir. Lors du putsch en Guinée-Bissau le mois dernier, le Nigeria n'est pas intervenu militairement, mais il a décidé d'accorder tout de même l'asile politique à l'opposant Fernando Dias, qui est donc réfugié dans l'enceinte de votre ambassade à Bissau. Est-ce que c'est un message aux putschistes  Ça fait longtemps que le Nigeria fait comme ça. Félix Malloum, l'ancien président du Tchad, a été accueilli au Nigéria en 1979, je pense. Donc, il y a cette tradition au Nigeria d'essayer d'intervenir dans les conflits africains. Et quand il y a une crise qui touche le chef de l'État, le Nigeria est toujours prêt à offrir l'exil. Il y a un autre opposant qui proclame sa victoire à une présidentielle de cette fin d'année, c'est le Camerounais Issa Tchiroma Bakary. Depuis le 7 novembre, il s'est réfugié en Gambie. Mais pour aller de Garoua à Banjul, il a dû passer nécessairement par votre pays, non ? Il semble bien qu'il est passé par le Nigeria puisqu'il a traversé la frontière. Il est allé jusqu'à Yola et, à partir de Yola, on lui a donné un avion pour l'amener. C'est ce que les gens disent. Alors pourquoi le Nigeria ne lui a pas accordé l'asile politique ? Et pourquoi Issa Tchiroma a-t-il dû s'éloigner jusqu'en Gambie ? Le Cameroun est un voisin du Nigeria et il y a des questions sur la table. Il y a la guerre contre Boko Haram. Les deux pays sont obligés de travailler ensemble. Donc, avoir Tchiroma Bakary ici au Nigeria, cela peut poser des problèmes diplomatiques et politiques, il faut éviter cela et s'éloigner est peut-être la meilleure stratégie. À lire aussiTentative de coup d'État au Bénin: le chef de la diplomatie nigériane réagit à l'appui militaire d'Abuja À lire aussiTentative de coup d'État au Bénin: comment l'intervention de la Cédéao a été décidée

DW em Português para África | Deutsche Welle
12 de Dezembro de 2025 - Jornal da Noite

DW em Português para África | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 19:59


Com quatro meses de existência, o partido ANAMOLA enfrenta deserções de membros, que alegam discordar da liderança de Venâncio Mondlane. A crise política na Guiné-Bissau vai estar em destaque na cimeira deste domingo da CEDEAO, na Nigéria. Analista guineense faz a antevisão. Em Lisboa, cidadãos guineenses saem à rua para pedir o regresso de Sissoco Embaló e a restauração da ordem constitucional.

Convidado
Guiné-Bissau vive um “golpe paradoxal”, afirma Carlos Lopes

Convidado

Play Episode Listen Later Dec 6, 2025 14:36


A Guiné-Bissau vive um “golpe paradoxal”, descreve Carlos Lopes, depois de os militares terem interrompido as eleições, destituído o Presidente e instalado um regime de transição. O economista guineense alerta para a fragilidade institucional, a personalização do poder e o risco de colapso económico, criticando a resposta “demasiado diplomática” da CPLP e a incapacidade regional para restaurar a ordem constitucional. A Guiné-Bissau entrou, no final de Novembro, num novo período de convulsão política após a intervenção directa dos militares, que dissolveram as instituições civis, interromperam o processo eleitoral e destituíram o Presidente Umaro Sissoco Embaló. A invasão da Comissão Nacional de Eleições (CNE) por homens armados e encapuçados, acompanhada da destruição de materiais eleitorais, levou à suspensão da contagem e abriu caminho à instalação de um Alto Comando Militar para a Restauração da Segurança Nacional e da Ordem Pública, que nomeou um general como Presidente de transição. A comunidade internacional reagiu de imediato. A CPLP reuniu-se de emergência para ponderar sanções e exigir a “restauração da ordem constitucional”, incluindo a libertação de detidos e a reconstituição dos resultados eleitorais. A instabilidade reacendeu preocupações históricas sobre a fragilidade institucional do país. O economista e académico guineense Carlos Lopes faz-nos uma leitura da crise, que descreve como “um golpe paradoxal”, uma expressão que, segundo explica, reflecte a natureza inédita dos acontecimentos. Carlos Lopes rejeita classificações simplistas sobre o que vários analistas definem como auto-golpe. Na sua leitura, “não é natural que um golpe tenha as características que estamos a registar”. A primeira anomalia, afirma, é o silêncio quase total sobre o dirigente deposto: “Normalmente, num golpe, existe uma narrativa sobre a figura derrubada; neste caso, não há nenhuma. Há até um certo silêncio em relação ao Presidente deposto.” O segundo paradoxo emerge do próprio pretexto usado pelos militares. Embora aleguem irregularidades eleitorais, “as únicas interferências assinaladas são as de homens encapuçados que destruíram o material da CNE”, diz Carlos Lopes, sublinhando que o novo regime não demonstrou qualquer intenção de investigar o ataque. Pelo contrário, observa que o comportamento das autoridades militares “quase assume que foram parte do seu próprio golpe”. A composição do poder instalado pelos militares reforça a contradição, uma vez que as figuras centrais do novo governo são, segundo o economista, “todas muito próximas do Presidente deposto; o director de campanha de Embaló é hoje primeiro-ministro”. Para Carlos Lopes, esta proximidade directa levanta uma questão inevitável: “Durante todo o processo eleitoral não acharam que houvesse nada de estranho. Apenas horas antes da proclamação dos resultados decidiram invocar irregularidades.” A fragilização do sistema judicial é outro sinal de ruptura, o economista lembra que o novo Procurador-Geral foi nomeado com poderes excepcionais: “Pode arrestar juízes, deslocá-los, demiti-los; acaba com todo o processo formal do sistema judiciário.” Perante este quadro, conclui que “não estamos perante um golpe de Estado tradicional”. Carlos Lopes admite preocupação profunda, classificando esta crise como “mais um episódio de uma longa trajectória de rupturas da Constituição e das instituições”. O principal problema, afirma, é a tendência estrutural para substituir instituições por indivíduos: “A política na Guiné-Bissau está pessoalizada. As instituições são secundárias e o espaço político é ocupado por personalidades que impõem a sua vontade.” O surgimento inesperado de um general sem carreira política como chefe de Estado ilustra esse fenómeno: “Ninguém na Guiné-Bissau imaginaria que o actual general viesse a ser Presidente.” Para o economista, esta personalização do poder “mantém o país na sua fragilidade”. A instabilidade crónica guineense não surgiu do vazio. Carlos Lopes identifica raízes profundas no movimento de libertação nacional: “Há um mundo de traições dentro do movimento que deu origem ao partido do poder.” Ao longo das décadas, sucessivas dissidências fracturaram o sistema partidário e aprofundaram a distância entre a ala militar e a ala política. O resultado, diz, é uma cultura política imprevisível: “A Guiné-Bissau vive em traições permanentes. Quase nunca é possível descrever com clareza a posição de uma personalidade, porque já fez tudo e o seu contrário.” A crise actual repete padrões conhecidos, mas acrescenta factores inéditos. Entre eles, o “autoritarismo e a extrema personalização do poder por parte do Presidente Embaló”, que, na opinião de Carlos Lopes, retirou ainda mais capacidade ao aparelho do Estado. Acresce a crescente vulnerabilidade perante o narcotráfico: “O país ficou muito mais exposto ao tráfico de droga e às pressões associadas.” Outro elemento novo é o peso das redes internacionais construídas por Umaro Sissoco Embaló: “Ele tinha uma grande rede de contactos internacionais, fruto da sua trajectória anterior. Isso acrescenta uma dimensão externa à complexidade interna.” A capacidade de resposta da CEDEAO e da União Africana é limitada. Para Carlos Lopes, “a CEDEAO está muito fragilizada”, tanto pelas saídas recentes de três Estados-membros como pelas crises internas que afectam praticamente toda a região. A Nigéria enfrenta terrorismo e instabilidade económica; a Costa do Marfim ainda cura feridas da guerra civil; o Senegal viveu uma transição conturbada. Neste contexto, conclui o académico, “nenhum país está em condições de dar lições ao outro”. A posição da CPLP, que pondera suspender a Guiné-Bissau e enviar uma missão de "bons ofícios", é, para Carlos Lopes, insuficiente: “Parece-me demasiado diplomática. Considerar a suspensão não é suspender.” Acrescenta que falar de bons ofícios “é estranho quando o essencial seria exigir a libertação imediata dos presos políticos, detidos apenas por serem vencedores das eleições”. Sobre o périplo internacional de Umaro Sissoco Embaló, cuja rota passou pelo Senegal, Congo e Marrocos, com possíveis deslocações para França ou Portugal, Carlos Lopes evita especulações, mas admite que “ele beneficiou de facilidades fora do quadro diplomático habitual”, tanto de países africanos como europeus. E remata: “As evidências falam por si.” O economista alerta que a dimensão económica da crise pode tornar-se explosiva: “Vai ser muito difícil evitar regimes de sanções, e esses regimes podem impedir o acesso da Guiné-Bissau ao mercado de capitais da UEMOA.” Se isso acontecer, o Estado perde a sua principal fonte de financiamento: “O regime tem vivido de empréstimos trimestrais. A dívida interna é gigantesca. Sem essa válvula, não há sobrevivência económica.” O impacto sobre a população seria imediato: “A precariedade já era manifesta. Boa parte dessa dívida financiou despesas militares, viagens presidenciais e subsídios políticos. O que se gasta em despesas de prestígio é superior ao orçamento da educação.” Face a um quadro institucional debilitado, um sistema partidário fragmentado, organizações regionais fragilizadas e um risco económico crescente, a Guiné-Bissau enfrenta uma encruzilhada histórica. Reconstruir instituições credíveis vai exigir rupturas profundas num país habituado à instabilidade. “A Guiné-Bissau continua vulnerável porque não resolveu as suas fragilidades estruturais. E esta crise é mais uma demonstração disso.”, conclui.

Semana em África
Guiné-Bissau continua no centro das preocupações

Semana em África

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 12:45


Neste programa, olhamos para alguns dos temas que mais marcaram as nossas emissões desta semana, com destaque para a actualidade na Guiné-Bissau, dias depois da tomada do poder pelos militares, a 26 de Novembro, véspera da suposta divulgação dos resultados das eleições gerais de 23 de Novembro. Os resultados acabaram por não ser divulgados pela CNE devido ao alegado confisco, por “homens armados”, das actas e equipamentos.  Esta quinta-feira, o Chefe da Missão de Observação Eleitoral da União Africana para as eleições gerais de 23 de Novembro na Guiné-Bissau, Filipe Nyusi, disse que há resultados da votação e “vencedor” do escrutínio e declarou que os resultados devem ser publicados. Em resposta, José Paulo Semedo, representante da candidatura do ex-Presidente, Umaro Sissoco Embaló, acusou o antigo Presidente de Moçambique de interferência. Recordo que há uma semana, a União Africana suspendeu a Guiné-Bissau dos seus órgãos, alegando a instabilidade política que se vive no país.  Na terça-feira, numa comunicação à imprensa, sem direito a perguntas, o porta-voz do presidente da Comissão Nacional de Eleições (CNE), Idriça Djaló, anunciou que não tem condições de continuar com o processo eleitoral, por confisco de equipamentos e actas por “homens armados” no dia 26 de Novembro. Na quarta-feira, a candidatura de Fernando Dias, que reclama vitória nas presidenciais, acusou a CNE de colaboração com o golpe de Estado que afirma ser encenado, como forma de inviabilizar o processo eleitoral. Por outro lado, exigiu à Comissão Nacional de Eleições a convocação da plenária do órgão para que os resultados eleitorais sejam declarados “o mais rápido possível”. Há uma semana, perante o Parlamento, o primeiro-ministro senegalês, Ousmane Sonko, afirmou que o golpe na vizinha Guiné-Bissau foi uma “farsa” e exigiu que as eleições interrompidas pelo golpe fossem autorizadas a prosseguir. Também o antigo Presidente da Nigéria Goodluck Jonathan acusou o ex-presidente da Guiné-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, de encenar uma espécie de “golpe cerimonial” para se manter no poder e questionou como é que Embaló conseguiu falar com os meios de comunicação durante a alegada detenção. Na segunda-feira, houve uma reunião entre uma missão de alto nível da CEDEAO e as autoridades de transição. De notar que Guiné-Bissau também foi suspensa da CEDEAO na sequência do alegado golpe militar de 26 de Novembro. A delegação da CEDEAO que foi a Bissau não tinha os presidentes de Cabo Verde, Senegal, Togo e Serra Leoa.  À saída do encontro com a delegação da CEDEAO, o recém-empossado ministro dos Negócios Estrangeiros, João Bernardo Vieira, falou sobre “uma reunião muito positiva”. Para 14 de Dezembro ficou marcada uma cimeira da CEDEAO em que se vai falar sobre a Guiné-Bissau. Por outro lado, a delegação da CEDEAO não se reuniu com nenhuma figura da sociedade civil, segundo a Liga Guineense dos Direitos Humanos, nem com Fernando Dias, obrigado a estar escondido e que reivindica a vitória nas presidenciais, nem com Domingos Simões Pereira, que continua detido. Quanto à CPLP, o ministro português dos Negócios Estrangeiros, Paulo Rangel, disse que os chefes da diplomacia da Comunidade dos Países de Língua Portuguesa, se vão reunir nos próximos dias e apelou a um regresso “imediato à normalidade constitucional” na Guiné-Bissau e à libertação de todos os cidadãos detidos, inclusive “pessoas que tinham intervenção política e cívica de grande relevo”. No domingo, foi anunciado o novo Governo de transição, liderado pelo primeiro-ministro Ilídio Vieira Té, e que conta com 23 ministros, incluindo cinco militares e nomes do executivo deposto entre os nomeados. João Bernardo Vieira é o novo titular da pasta dos Negócios Estrangeiros, ele que foi e candidato às últimas eleições presidenciais e que avançou para a corrida eleitoral como independente com críticas do seu partido, o PAIGC, que decidiu apoiar outro candidato, Fernando Dias.  Na quinta-feira, o Presidente de transição, general Horta Inta-A, exonerou Fernando Gomes do cargo de Procurador-Geral da República e nomeou para o lugar Tdjane Baldé, que era presidente do Tribunal de Contas. As mudanças ocorreram no mesmo dia em que foi anunciada a dissolução do Conselho Superior de Magistratura do Ministério Público durante os 12 meses previstos para durar a transição no país. Também na quinta-feira, foi anunciada a criação de um Conselho Nacional de Transição, com competências de fiscalização dos órgãos que a Constituição conferia ao parlamento. Também esta semana, várias organizações da sociedade civil guineense rubricaram em Bissau um “Pacto Social” para exigir o regresso à legalidade constitucional, a publicação dos resultados eleitorais e a libertação dos presos políticos. O pacto foi subscrito por quadros técnicos, académicos, partidos políticos, organizações religiosas, sindicatos, líderes tradicionais, organizações juvenis e das mulheres e a Ordem dos Advogados.    Moçambique: Recuos no megaprojecto de gás em Cabo Delgado e desaparecimento preocupante de activista Na terça-feira, a TotalEnergies esclareceu que o megaprojecto de gás em Cabo Delgado, norte de Moçambique, vai continuar sem o financiamento do Reino Unido e dos Países Baixos e adiantou que os restantes financiadores vão garantir essa parte, equivalente a 10% do total. Porém, o governo ainda não foi notificado, de acordo com o porta-voz do executivo. Em Moçambique, o activista e apresentador de televisão Sismo Eduardo está desaparecido há dez dias. A situação foi denunciada às autoridades governamentais na cidade de Nampula pela Rede Moçambicana dos Defensores dos Direitos Humanos, que exige esclarecimentos urgentes sobre o caso e apela a uma investigação transparente.   Angola: Adalberto Costa Júnior reeleito para a presidência da UNITA Em Angola, no domingo, Adalberto Costa Júnior foi reeleito a presidente da UNITA, com  91% dos votos contra  9% obtidos por Rafael Massanga Savimbi, filho do líder fundador do partido. Adalberto Costa Júnior falou em “honra renovada” para continuar a liderar a UNITA.

ONU News
Mundo tem mais mortes por minas terrestres em meio a cortes de fundos

ONU News

Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 1:22


Civis continuam a perder a vida diariamente por explosivos deixados por conflitos; programas de desminagem enfrentam grave escassez de recursos; do Afeganistão ao Sudão, passando pela Nigéria, pela Faixa de Gaza e pela Cisjordânia redução de recursos expõe ainda mais os civis ao perigo.

Convidado
Guiné-Bissau: “CNE está condicionada pelos golpistas que assumiram o poder"

Convidado

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 7:33


A Comissão Nacional de Eleições da Guiné-Bissau deu uma conferência de imprensa nesta terça-feira, 2 de Dezembro, para anunciar que não tem condições para divulgar os resultados eleitorais das eleições gerais de 23 de Novembro. Armando Correia, sociólogo e professor na Universidade Lusófona da Guiné-Bissau, afirma que a decisão da CNE está a ser "condicionada pelos golpistas que assumiram o poder". A Comissão Nacional de Eleições da Guiné-Bissau deu hoje uma conferência de imprensa onde disse que não tem condições para divulgar os resultados eleitorais das eleições gerais de 23 de Novembro, que deviam ter sido divulgados na semana passada. O que é que aconteceu para a CNE voltar atrás na decisão? No dia 26 de Novembro, a CNE sofreu uma invasão, as instalações foram vandalizadas e agora vêm dizer que não receberam as actas das comissões regionais das eleições, nem da diáspora. Esta situação terá impossibilitado a CNE de divulgar o resultado das eleições. A Comissão Nacional de Eleições pode estar a ser condicionada pelo poder militar?  Há um condicionalismo por parte dos golpistas que assumiram o poder, impossibilitando a publicação dos resultados. No entanto, os resultados das actas da Comissão Regional das Eleições já tinham sido postos a circular, e o candidato vencedor, que é o Fernando da Costa, já tinha anunciado os resultados de acordo com os seus delegados. Recordo que não há nenhum impedimento, por parte dos candidatos, em anunciar que é o vencedor, uma vez que não há nenhum elemento jurídico que o impossibilite de o fazer. Agora, quem tem legitimidade oficial e institucional para publicar os resultados oficiais é a Comissão Nacional de Eleições. Mas a CNE afirma que essas actas foram interceptadas… Vão dizer isso porque há um certo condicionalismo. Isto não ficou claro na conferência de imprensa da CNE, mas há aí um condicionalismo por parte do próprio membro da Comissão Nacional de Eleições. Uma delegação da CEDEAO reuniu-se ontem, 1 de Dezembro, com o Alto Comando Militar e com o Ministro dos Negócios Estrangeiros do Governo de Transição, João Bernardo Vieira. A situação político-militar da Guiné-Bissau está dependente das decisões da próxima cimeira da organização, agendada para 14 de Dezembro. A CEDEAO volta a mostrar que não é capaz de dar uma resposta imediata à crise política que se vive na Guiné-Bissau? Apesar de o Protocolo Suplementar de 2001 atribuir à CEDEAO mecanismos claros para a prevenção, gestão e resolução de crises -ncluindo a mediação, a intervenção diplomática precoce e a defesa da boa governação- , na última década a organização tem demonstrado limitações na sua capacidade de responder eficazmente aos conflitos nos Estados-membros. Por isso, persiste uma certa ambiguidade entre o que o protocolo prevê e o que a CEDEAO efectivamente consegue implementar no terreno em matéria de gestão e resolução de conflitos. Mas quando fala de ambiguidade, refere-se a quê, em concreto? À capacidade da organização na resolução dos conflitos. Inicialmente, quatro chefes de Estado -Cabo Verde, Senegal, Togo e Serra Leoa- deviam integrar a delegação da CEDEAO. No entanto, a missão chegou ao país apenas com o Presidente em exercício da organização, o chefe de Estado da Serra Leoa, Julius Maeda. Isto revela também que a CEDEAO está fragilizada? Está totalmente fragilizada. No dia 27 houve uma comunicação a condenar o golpe e um apelo à restauração da normalidade constitucional, com a protecção dos indivíduos que faziam parte, por exemplo, do Governo e também do antigo chefe de Estado, Umaro Sissoco Embaló. Porém, a própria composição da missão da CEDEAO mostra uma certa fragilidade em função daquilo que se vive dentro da própria organização regional, colocando-a num abismo, não só do ponto de vista institucional, mas também da sua incapacidade na resolução dos conflitos que pairam sobre os membros da própria organização. Nós não estamos a falar aqui de uma organização que tem uma legitimidade pequena, mas de uma organização que tem legitimidade. O Presidente de Cabo Verde, José Maria Neves, decidiu afastar-se da missão de alto nível da CEDEAO, alegando as relações históricas entre Cabo Verde e a Guiné-Bissau e dizendo que seria mais prudente não integrar a delegação. Não devia ser precisamente o contrário? Devia ser o contrário, porque temos uma relação histórica com Cabo Verde, não só do ponto de vista da luta de libertação nacional, mas também ao nível das ligações que os guineenses -como nação- têm com Cabo Verde. Ao assumir esta posição, o Presidente de Cabo Verde está a escolher uma certa neutralidade, num momento de crise política no país. Cabo Verde ou está ao lado do opressor, ou está ao lado do oprimido. Não deve haver uma certa neutralidade, e parece que é o que está a acontecer com os chefes de Estado da CEDEAO. Considera que, de certa forma, o chefe de Estado de Cabo Verde está a legitimar esta situação? Há aqui uma questão implícita. Por exemplo, está a dizer que não pode participar porque tem uma relação histórica. Há uma certa desconfiança relativamente à influência de participar na resolução dos conflitos, dos problemas internos do país. Há uma certa conivência e solidariedade entre os Presidentes que fazem parte desta organização. Creio que o Presidente de Cabo Verde deveria ter um papel mais activo e intervencionista no que diz respeito aos assuntos que atrelam a população da Guiné-Bissau. Uma missão de mediação da CEDEAO, encarregada de ajudar a resolver uma crise política, não deveria reunir-se com todas as partes envolvidas? Como se explica que a delegação não tenha encontrado nem os líderes da oposição nem representantes da sociedade civil, num momento em que o candidato presidencial Fernando Dias da Costa se encontra refugiado na embaixada da Nigéria e o líder do PAIGC, Domingos Simões Pereira, permanece detido, alegadamente sem se alimentar há 24 horas? Uma missão de mediação para a saída da crise política de um país não devia encontrar-se com todas as partes. Claro que a CEDEAO deveria reunir-se com todas as partes, sobretudo quando se trata de uma missão de mediação de conflitos num contexto em que existem presos políticos, ao contrário do que a própria organização tem afirmado. A sua nota de 27 de Novembro ignora, por exemplo, a detenção de opositores como Domingos Simões Pereira, presidente do PAIGC, que apoiou o candidato Fernando Dias, e de Octávio Lopes, mandatário do PAIGC. Além destes, há ainda outros detidos, incluindo técnicos da própria Comissão Nacional de Eleições. Enquanto cidadãos atentos à realidade política e social da Guiné-Bissau, é evidente que uma missão de mediação não pode, em circunstância alguma, basear as suas decisões unicamente na versão apresentada pelo comando militar. O que se pode esperar, então, da cimeira marcada para o dia 14? Muito pouco, porque, até agora, a CEDEAO dispõe apenas da informação fornecida pelo comando militar e não teve acesso às posições da oposição, do candidato nem da CNE. E como é possível chegar a uma conclusão credível sem ouvir todas as partes directamente envolvidas na crise? O que devem fazer os guineenses? Qualquer iniciativa deve partir dos guineenses e, aí, as organizações internacionais entram para assessorar a nossa luta. Não há nenhuma luta, não há nenhuma democracia que tenha sido construída a partir de fora.

Ponta de Lança Podcasts
África em Pauta #114- Golpe Militar em Guiné-Bissau

Ponta de Lança Podcasts

Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 165:45


A queda Umaro Sissoco EMBALO em Guiné-Bissau. Os sequestros na Nigéria, Oposição na Tunísia. E o giro pela África.APOIE O PDL no PIX: contatopontadelanca@gmail.comASSINE nossos planos no APOIA-SE (cartão ou boleto):⁠ ⁠https://apoia.se/pontalancapdl⁠⁠Apresentação: Luis Fernando FilhoParticipações: Camila Zambo, Cesar Augusto Chidozie e Márcio PauloEdição: Luis Fernando Filho#guinebissau #africa #geopolitica

Le regard international - Vincent Hervouët
Nigéria : Thanksgiving ? Merci Trump !

Le regard international - Vincent Hervouët

Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 3:56


Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce jeudi, il s'intéresse à Donald trump qui envisage d'intervenir au Nigéria où les enlèvements et les meurtres de Chrétiens se multiplient. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

T-Time Podcast
Embracing Love During the Holidays – T-Time Podcast

T-Time Podcast

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 30:18


The holidays can bring joy — but they can also bring pressure, loneliness, old wounds, and emotional overwhelm. In this powerful and heart-centered episode, we dive into what it truly means to embrace love during the holiday season… starting with yourself.Host T-Time guides you through:

Will and Matt
The Guyver

Will and Matt

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 53:32


An American adaptation of the hit manga from Japan -- Guyver? More like McGuyver, am-i-right? DISCLAIMER: Language and Spoilers!THE GUYVERdir. Screaming Mad George, Steve Wangstarring: Mark Hamill; Jack Armstrong; Vivian Wu

ONU News
Jornal da ONU - 25 de novembro de 2025

ONU News

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 4:34


Jornal da ONU com Ana Paula Loureiro. Esses são os destaques desta terça-feira, 25 de novembro.Escalada de violência na Nigéria agrava crise de fome e ameaça estabilidade regionalUcrânia entra inverno com mortes de civis em escalada e colapso de serviços

Agro Connection Podcast
Ep #67 - Irriga, Nigéria! - com Dr Michel Rocha da Silva e Dr. Maurício Fornalski

Agro Connection Podcast

Play Episode Listen Later Nov 24, 2025 73:40


Hoje no Agro Connection Podcast nós vamos falar sobre um tema que une inovação, sustentabilidade e conexão no agro: a irrigação inteligente. Nossos convidados - Dr. Michel Rocha da Silva e Dr. Maurício Fornalski - apresentam a Water Crop, a primeira empresa do Brasil a desenvolver um ecossistema completo de manejo de irrigação — unindo planta, água e nutrição em perfeita sincronia. A WaterCrop tem revolucionado o campo com tecnologia e dados, ajudando produtores a tomar decisões mais precisas e eficientes sobre quando e como irrigar. E recentemente, eles levaram esse conhecimento além das fronteiras brasileiras: foram até a Nigéria, na África, para participar de um projeto incrível de irrigação. Hoje, vamos conversar sobre essa experiência — os desafios, as oportunidades e o que aprenderam ao implementar um sistema de irrigação em um contexto tão diferente do nosso. Se você quer entender como a irrigação inteligente pode transformar sistemas de produção — dentro e fora do Brasil — este episódio da nossa série especial África Sem Fronteiras está imperdível. Acompanhe, porque o Agro Connection te conecta com o mundo agro!See omnystudio.com/listener for privacy information.

Actualidade - Renascença V+ - Videocast
Pais procuram os filhos após ataque a escola católica na Nigéria

Actualidade - Renascença V+ - Videocast

Play Episode Listen Later Nov 24, 2025 1:35


Pais procuram os filhos após ataque a escola católica na Nigéria5be3a298-88c9-f011-8195-

Brasil Paralelo | Podcast
NIGÉRIA: O GENOCÍDIO CONTRA CRISTÃOS DO QUAL NINGUÉM ESTÁ FALANDO

Brasil Paralelo | Podcast

Play Episode Listen Later Nov 21, 2025 14:28


A Nigéria vive um dos piores massacres religiosos do século XXI — e quase ninguém fala sobre isso. Neste vídeo da Brasil Paralelo, você entenderá como grupos extremistas islâmicos promovem o genocídio de cristãos, como o governo nigeriano ignora a tragédia e por que a grande mídia silencia diante de um dos maiores crimes de nosso tempo. Em um país dividido por religião e história colonial, a perseguição aos cristãos se intensificou nas últimas décadas. Milícias Fulani, Boko Haram e o Estado Islâmico da África Ocidental espalham terror, destroem vilarejos e impõem a morte a quem se recusa a negar a fé. Enquanto isso, o mundo observa em silêncio. A Nigéria concentra 89% de todos os assassinatos de cristãos no planeta, e mais de 50 mil pessoas foram mortas desde 2009. Apesar das denúncias e das imagens brutais, a tragédia permanece invisível. Neste vídeo, revelamos as origens do conflito, a responsabilidade do governo, a omissão internacional e o papel da África como o novo centro da fé cristã no mundo.

Radio foot internationale
Mondial 2026 : l'Italie de nouveau en barrages

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Nov 18, 2025 48:29


Radio Foot 16h10-21h10. Au cœur des débats ce mardi : Éliminatoires Mondial 2026 en Europe : l'improbable retournement de situation n'a pas eu lieu à Milan. ; Qui va succéder à Ademola Lookman ? ; Match de millionnaires. Le bras de fer qui oppose K. Mbappé et son ancien club. Éliminatoires Mondial 2026 en Europe : l'improbable retournement de situation n'a pas eu lieu à Milan. L'Italie devait être prolifique face à la Norvège pour passer, ce sont les Scandinaves qui l'ont été. Nouvelle victoire (4-1). Les Azzurri ne se sont pas remis de la défaite d'Oslo le 6 juin dernier, qui avait coûté son poste à Spalletti. La Nazionale devra encore passer par les barrages. Gennaro Gattuso reste-t-il l'homme de la situation ? Les quadruples champions du Monde vont-ils encore manquer une phase finale ? Adversaires potentiels en mars, perspectives et interrogations avec notre correspondant Matteo Cioffi. - 8 matches, 8 succès pour Haaland et ses coéquipiers. Le Mancunien auteur d'un doublé, et de 16 buts au total durant la campagne de qualifications. Il a déjà inscrit 55 buts en 48 sélections. Ce sera la 4e phase finale disputée par les Nordiques. Nusa, Ödegaard, Sorloth et leurs coéquipiers vont-ils s'illustrer en Amérique ? Qui va succéder à Ademola Lookman ? Le meilleur joueur africain 2024 cèdera sa couronne demain soir à Rabat. Serhou Guirassy n'est pas dans le trio de finalistes. 2 concurrents sérieux pour Achraf Hakimi. Mo Salah, double lauréat, et Victor Osimhen primé il y a 2 ans. Auteur de 26 buts en 30 apparitions avec Galatasaray, le Nigérian s'est distingué en ligue Europa, et a déjà inscrit 6 buts en C1 cette saison avec les Stambouliotes. Match de millionnaires. Le bras de fer qui oppose K. Mbappé et son ancien club. Les deux parties étaient en audience devant le conseil des prud'hommes de Paris hier, et réclament des sommes hallucinantes. Un litige qui court depuis 2 ans, se cristallise autour d'un accord prétendument passé entre le PSG et le joueur, le Kyks devant prolonger pour éviter de partir libre, sans compensation financière pour Paris. Accord que le Madrilène réfute, comme son renoncement présumé à certaines primes. Paris dénonce la mauvaise foi de son ex-joueur et un manque à gagner lors d'un éventuel transfert de la star. Comment en est-on arrivé là ? Le rendu de la décision est fixé au 16 décembre. Avec Annie Gasnier : Dominique Sévérac, Patrick Juillard et Cherif Ghemmour. Technique/Réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Radio Foot Internationale
Mondial 2026 : l'Italie de nouveau en barrages

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Nov 18, 2025 48:29


Radio Foot 16h10-21h10. Au cœur des débats ce mardi : Éliminatoires Mondial 2026 en Europe : l'improbable retournement de situation n'a pas eu lieu à Milan. ; Qui va succéder à Ademola Lookman ? ; Match de millionnaires. Le bras de fer qui oppose K. Mbappé et son ancien club. Éliminatoires Mondial 2026 en Europe : l'improbable retournement de situation n'a pas eu lieu à Milan. L'Italie devait être prolifique face à la Norvège pour passer, ce sont les Scandinaves qui l'ont été. Nouvelle victoire (4-1). Les Azzurri ne se sont pas remis de la défaite d'Oslo le 6 juin dernier, qui avait coûté son poste à Spalletti. La Nazionale devra encore passer par les barrages. Gennaro Gattuso reste-t-il l'homme de la situation ? Les quadruples champions du Monde vont-ils encore manquer une phase finale ? Adversaires potentiels en mars, perspectives et interrogations avec notre correspondant Matteo Cioffi. - 8 matches, 8 succès pour Haaland et ses coéquipiers. Le Mancunien auteur d'un doublé, et de 16 buts au total durant la campagne de qualifications. Il a déjà inscrit 55 buts en 48 sélections. Ce sera la 4e phase finale disputée par les Nordiques. Nusa, Ödegaard, Sorloth et leurs coéquipiers vont-ils s'illustrer en Amérique ? Qui va succéder à Ademola Lookman ? Le meilleur joueur africain 2024 cèdera sa couronne demain soir à Rabat. Serhou Guirassy n'est pas dans le trio de finalistes. 2 concurrents sérieux pour Achraf Hakimi. Mo Salah, double lauréat, et Victor Osimhen primé il y a 2 ans. Auteur de 26 buts en 30 apparitions avec Galatasaray, le Nigérian s'est distingué en ligue Europa, et a déjà inscrit 6 buts en C1 cette saison avec les Stambouliotes. Match de millionnaires. Le bras de fer qui oppose K. Mbappé et son ancien club. Les deux parties étaient en audience devant le conseil des prud'hommes de Paris hier, et réclament des sommes hallucinantes. Un litige qui court depuis 2 ans, se cristallise autour d'un accord prétendument passé entre le PSG et le joueur, le Kyks devant prolonger pour éviter de partir libre, sans compensation financière pour Paris. Accord que le Madrilène réfute, comme son renoncement présumé à certaines primes. Paris dénonce la mauvaise foi de son ex-joueur et un manque à gagner lors d'un éventuel transfert de la star. Comment en est-on arrivé là ? Le rendu de la décision est fixé au 16 décembre. Avec Annie Gasnier : Dominique Sévérac, Patrick Juillard et Cherif Ghemmour. Technique/Réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Alexandre Garcia - Vozes - Gazeta do Povo
Quem foge da CPMI do INSS perde a chance de provar sua inocência

Alexandre Garcia - Vozes - Gazeta do Povo

Play Episode Listen Later Nov 18, 2025 5:01


Alexandre Garcia comenta truques de quem não quer depor na CPMI do INSS, julgamento de denúncia contra Eduardo Tagliaferro, e reação internacional a massacre de cristãos na Nigéria.

Invité Afrique
Les propos de Trump sur le Nigeria sont «irresponsables et criminels», dit le prix Nobel Wole Soyinka

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 4:28


Le Nigeria est de nouveau dans le viseur de l'administration Trump. Le président américain a récemment menacé le pays d'une intervention militaire pour protéger les chrétiens du Nigeria, qui seraient victimes, selon lui, de violences ciblées sous l'œil indifférent des autorités. Le Nigeria a été réintégré à la liste américaine des « pays particulièrement préoccupants en matière de liberté religieuse », dont il était sorti en 2021. Avant cela, Washington avait déjà annoncé un durcissement considérable des conditions d'obtention de visas « non immigrants » pour les citoyens nigérians désireux de se rendre aux États-Unis. Fin octobre, l'écrivain Wole Soyinka a également révélé que son visa américain avait été annulé. RFI a rencontré, à Paris, le premier prix Nobel africain de littérature, en 1986, qui a toujours été une voix critique de la politique de Donald Trump. RFI : Pensez-vous retourner un jour aux États-Unis ?   Wole Soyinka : J'en doute vraiment. C'est peu probable   Récemment, vous avez annoncé que votre visa américain avait été révoqué. Pour quelles raisons exactement ?   C'est un problème ancien qui remonte déjà à la première élection de Donald Trump. J'enseignais aux États-Unis et j'ai vu l'émergence de cette rhétorique politique à la fois raciste, exclusioniste, mais aussi égocentrique. Et en général extrêmement méprisant vis-à-vis des immigrés et même des étrangers. Rappelez-vous, quand il est arrivé au pouvoir, il a désigné un certain nombre de pays comme « des pays de merde », pardonnez l'expression. Je l'ai compris dès la campagne et j'ai promis que si cet homme arrivait au pouvoir, je déchirerais ma carte verte. C'est exactement ce que j'ai fait. Pourtant, après cela, vous avez quand même obtenu un autre visa pour les États-Unis ?  Oui, parce que, peu après avoir déchiré ma carte verte, j'ai reçu un courrier de l'administration fiscale américaine, pour m'annoncer que j'allais avoir un contrôle fiscal. Donc, je suis allé à l'ambassade au Nigeria, je leur ai expliqué que j'avais détruit mon permis de résidence aux États-Unis, mais que je ne voulais pas être considéré comme un fraudeur ou un fugitif. J'ai demandé un nouveau visa pour répondre à cette missive.  C'est ce visa qui vient d'être annulé ?  Oui, c'est correct. Cette fois, je n'ai même pas pris la parole. J'ai été directement ciblé, comme d'autres gens. J'ai reçu une lettre générique du consulat, une lettre qu'ils ont aussi adressée à d'autres Nigérians – et j'en suis sûr, aux citoyens d'autres pays – pour me demander de me présenter à un entretien. Parce que, je cite, « il y a eu des changements depuis l'émission de votre visa ». Ils me demandaient de me présenter au consulat, avec mon passeport. Je suis trop occupé pour cela et je savais très bien qu'ils avaient déjà pris leur décision, donc je n'y suis pas allé. Depuis que Donald Trump est revenu au pouvoir aux États-Unis, les immigrés sont ramassés dans la rue, au restaurant, et même dans les écoles. Je n'ai pas vraiment envie d'être associé à ce que cette société est devenue sous Donald Trump. Plus récemment, Donald Trump a fait de nouvelles déclarations concernant le Nigeria. Selon lui, les Chrétiens seraient les victimes d'une violence ciblée dans le pays. Qu'en pensez-vous ?   D'abord, c'est arrogant, mais c'est aussi profondément irresponsable. Je ne connais aucun pays à travers le monde qui ne connait pas de frictions. Bien sûr, il n'est pas question de nier l'existence d'extrémistes religieux au Nigeria et plus spécifiquement d'islamistes intégristes. Je le dis ouvertement. D'ailleurs, j'ai même écrit une pièce sur le meurtre d'une jeune étudiante, accusée de blasphème, qui a été lynchée et déshumanisée. On sait qu'il y a un problème. Mais c'est un acte extrêmement hostile lorsqu'une personne venue de l'extérieur exacerbe et exagère ce problème.   Il y a des tensions, il y a des violences, notamment entre les fermiers et les éleveurs. Des centaines de personnes ont été tuées dans ce conflit. Parfois, la religion est en cause, mais souvent, c'est plutôt une question économique. Bien sûr, les enlèvements d'enfants contre rançon sont des actes criminels. Mais choisir un aspect du problème, et affirmer que c'est la religion qui est au centre de toutes ces violences, ce n'est pas seulement mauvais, c'est aussi criminel. Rappelez-vous les mots qu'il a utilisés pour menacer le Nigeria d'une intervention militaire. Il a dit que les américains attaqueraient « armes à la main » et que ce serait « rapide, vicieux et doux ». Est-ce vraiment le genre de déclarations que l'on attend d'un leader ? Un chef d'État n'a pas le droit d'être simpliste. Et surtout n'a absolument pas le droit de creuser encore les divisions qui existent déjà. Il n'y a pas de société sans tensions, même aux États-Unis.   Pour finir, au mois d'octobre, le théâtre national de Lagos a rouvert ses portes sous le nom de Centre Wole Soyinka pour la culture et les arts créatifs. Appréciez-vous cette attention pour votre 90e anniversaire ?   Oui, c'est évidemment un honneur. Mais celui-ci devait-il m'être attribué ? C'est une autre question. Notamment lorsque vous avez passé, comme moi, toute votre vie à traverser toutes sortes de dictatures, où les dirigeants donnent leur nom à tout et n'importe quoi, y compris à des toilettes publiques.  Je suis indifférent à ce genre de chose. J'ai vécu ma vie, j'ai fait mon travail, je suis satisfait. À lire aussiDonald Trump en croisade pour protéger les chrétiens africains?

Trivela
Meiocampo #185 Camarões fora da Copa; Portugal se complica; e a MLS muda o calendário

Trivela

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 73:38


A França está classificada para a Copa do Mundo 2026, enquanto a Itália vence no sufoco e segue em direção à repescagem. Portugal também se complica ao tropeçar contra a Irlanda, em jogo com Cristiano Ronaldo expulso.Já na África, Camarões é eliminado pela RD Congo e está fora da Copa, enquanto a Nigéria de Osimhen avança para a final da repescagem continental.Analisamos o cenário completo das Eliminatórias e a mudança estrutural da MLS, que aprovou a adoção do calendário europeu.INSCREVA-SE NA NEWSLETTER! Toda sexta-feira aberta a todos inscritos com nossos textos sobre o que rolou na semana e às terças com conteúdo exclusivo apenas para assinantes: https://newsletter.meiocampo.net/SEJA MEMBRO! Seu apoio é fundamental para que o Meiocampo continue existindo e possa fazer mais. Seja membro aqui pelo Youtube! Se você ouve via podcast, clique no link na descrição para ser membro: https://www.youtube.com/channel/UCSKkF7ziXfmfjMxe9uhVyHw/joinConheça o canal do Bruno Bonsanti sobre Football Manager: https://www.youtube.com/@BonsaFMConheça o canal do Felipe Lobo sobre games: https://www.youtube.com/@Proxima_FaseConheça o canal do Leandro Iamin sobre a Seleção Brasileira: https://www.youtube.com/@SarriaBrasil

Winamax Football Club - Le podcast
WFC - Ronaldo x Portugal : la compétition de trop ?

Winamax Football Club - Le podcast

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 66:00


Le Portugal s'est incliné hier soir en Irlande 2-0. Même si la qualification pour la Coupe du Monde n'est pas encore remise en cause, les supporters semblent inquiets concernant les prestations de la Seleção. Trouvez-vous la sélection cohérente ? Le vivier est-il gâché par Roberto Martinez ? Le rouge de Cristiano Ronaldo est-il anecdotique ? Va-t-il faire la compétition de trop ? Martinez est-il capable de le gérer ? On part ensuite en Afrique avec les barrages de la Coupe du Monde avec les qualifications du Nigéria et de la RDC. Qui remportera l'ultime rencontre ?

24 horas
Matarán, nieto y sobrino de maestros represaliados: "Los informes forenses delatan un ensañamiento brutal"

24 horas

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 2:06


Alfonso Matarán Peñarrocha, nieto de Ángel Matarán y sobrino de Alfonso, explica en el programa 24 Horas de RNE la "sensación extraña" que supuso recibir los restos de sus familiares represaliados por el franquismo y que fueron recuperados de la fosa en el cementerio de Nigüelas I, en Granada. Por un lado es un "por fin los tenemos", señala, pero por otro han podido reconstruir "lo que les pasó y fue terrible". Los informes forenses, añade, detalan "un ensañamiento brutal contra gente indefensa y desarmada, la barbarie del fascismo está ahí". Alonso Matarán ha explicado que están a la espera de que se identifiquen más restos de la fosa para intentar hacer después un memorial en el cementerio de Nigüelas.Puedes descubrir más historias de las fosas de la Guerra Civil y el franquismo en el especial de RTVE Noticias.Escuchar audio

PodCast IDEG
Resumo Semanal – 07/11/2025 – Crise Peru–México, Trump x Nigéria, COP30 e Fundo Florestas Tropicais

PodCast IDEG

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 15:47


Alexandre Garcia - Vozes - Gazeta do Povo
Nação só é cristã de verdade se for solidária com os cristãos perseguidos

Alexandre Garcia - Vozes - Gazeta do Povo

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 5:21


Alexandre Garcia comenta ameaças dos EUA contra Nigéria devido a perseguição de cristãos, oposição do governo a projeto que classifica facções como terroristas, e roteiro de Javier Milei por EUA e Bolívia.

Pascal Praud et vous
Donald Trump menace d'intervenir militairement au Nigéria et un déluge de taxes pour les grandes entreprises : L'Heure des Pros du 03/11/2025

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 47:01


Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce lundi, il s'intéresse à Donald Trump qui menace d'intervenir militairement au Nigéria et au déluge de taxes pour les grandes entreprises. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

T-Time Podcast
Peace Over Pressure: Protecting Your Energy During the Holidays

T-Time Podcast

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 22:33


The holidays are supposed to be a time of joy — but for many of us, they bring stress, exhaustion, and emotional overload. In this powerful T-Time Podcast episode, we're slowing things down and choosing peace over pressure.Join your host as we talk about how to protect your energy, set boundaries with love, and stay grounded when the world gets chaotic. This episode is a reminder that you don't have to show up for everyone — you just have to show up for yourself.✨ In this episode:How to recognize when your peace is being testedWays to emotionally detox and center yourselfTips to navigate family dynamics and expectationsAffirmations for balance, calm, and clarityBecause this season isn't about perfection — it's about presence.

T-Time Podcast
The Discipline Dilemma: Doing It When You Don't Feel Like It

T-Time Podcast

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 27:23


In this episode of the T-Time Podcast, Royal-T dives deep into The Discipline Dilemma — that inner battle between what you want to do and what you need to do.We all hit moments where motivation fades and life gets heavy, but this episode breaks down how to keep showing up when you don't feel like it. Royal-T shares real talk on building consistency, finding purpose in the process, and learning that true strength isn't in feeling ready — it's in choosing to move anyway.From mental health to mindset, this episode is a reminder that discipline is the bridge between your current self and your highest self.

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Catching Up & Growing Forward: Royal-T and A.D on Life, Lessons, and Evolving Minds

T-Time Podcast

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 51:46


On this episode of the T-Time Podcast, host Royal-T reconnects with longtime friend A.D for a real and unfiltered conversation about life's journeys. From early experiences to the lessons that continue to shape who they are today, the two dive into how challenges, growth, and perspective can transform the way we see the world. It's a reflective, inspiring dialogue about friendship, resilience, and the power of lived experience in creating new pathways of thought. Tune in for wisdom, laughs, and the kind of authentic conversation only old friends can share.We appreciate you for listening in and supporting.PEACE BE UNTO YOUP. o s i t i v e E. n e r g y A. l w a y s C. r e a t e s. E. l e v a t i o nIG: @tr_u_fitwww.TTIMEPODCAST.comemail - ttimecast@gmail.com--- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/ttimepodcast/support