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durée : 00:03:02 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Alain Souchon sera ce soir en concert sur France Inter. Aïe aïe aïe… Un “concert d'Alain Souchon”. Vous voulez dire “un meeting politique d'Alain Souchon ?” Ne faites pas comme si vous n'étiez pas au courant ! Il y a un #boycottSouchon… Bon sang, on va encore perdre des auditeurs ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On veut que les choses bougent, pour que Mathis ne soit pas mort pour rien » : Laetitia, la maman de Mathis, percuté par un chauffard sous protoxyde d'azote, témoigne pour que cette substance soit considérée comme illicite au volant aux côtés de l'avocat de la famille Antoine RégleyLe vendredi et le samedi à partir de 18h57 sur France 5, Mohammed Bouhafsi et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
A 10h, ce vendredi 14 novembre 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de : Une messe en hommage à Pétain, faut-il l'interdire ?
Ce matin, on vous demande les choses qui vous agacent le plus dans la rue.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jacques Legros, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Le 7 novembre, l'Assemblée nationale a voté l'instauration d'une taxe sur les boissons énergisantes alcoolisées, un texte inséré dans le cadre du projet de budget de la sécurité sociale. L'objectif : contrer l'essor de produits hybrides mêlant alcool fort, stimulants et sucres aromatisés, jugés particulièrement préoccupants pour les jeunes.Les députés ont adopté un amendement qui étend le champ d'une taxe déjà envisageable pour les « premix » — ces mélanges alcoolisés sucrés — au cas où ces boissons contiennent également des substances actives à effet stimulant, telles que la caféine, la taurine ou la guaranine. Un décret viendra fixer précisément la liste de ces ingrédients, afin de suivre l'évolution rapide des formules commerciales et éviter que les fabricants ne contournent la taxe.Pour l'un des rapporteurs du budget, la mesure lutte contre « un vrai fléau pour la jeunesse », selon ses propres mots. L'amendement a été porté par le président de la commission des Affaires sociales et recueilli grâce aux voix des députés de gauche, des Modem, des indépendants proches de l'aile Liot, ainsi que d'une large part de la majorité (Renaissance et Horizons). En revanche, les groupes des Républicains, du Rassemblement national et ses alliés ont exprimé leur refus. Marine Le Pen l'a qualifié de « moralement condamnable » : pour elle, soit ces boissons sont nocives et il faut les interdire, soit elles ne le sont pas et il n'y a aucune raison de les taxer.De son côté, la ministre de la Santé a observé la mesure avec prudence : bien qu'elle reconnaisse que ces produits visent en priorité les jeunes, elle a rappelé que l'alcool est déjà interdit aux moins de 18 ans et souligné que « la fiscalité comportementale ne fait pas une politique de prévention ». Selon elle, taxer ces boissons n'est pas à proprement parler une mesure de prévention mais un outil fiscal — dont l'efficacité sur la consommation reste incertaine, certaines taxes rapportant bien mais ne réduisant pas nécessairement l'usage.En résumé : le gouvernement et le Parlement adoptent un nouveau levier fiscal pour ce segment particulier de boissons — mélange alcool + stimulant + sucre — afin de prévenir un usage jugé dangereux chez les jeunes. Mais la tension reste vivace entre l'approche punitive/fiscale et l'approche éducative/contrôle. L'amendement met en place un cadre adaptable — via décret — pour suivre l'innovation des produits, tandis qu'une partie de l'opposition questionne la logique même de « taxer plutôt qu'interdire ». Le débat illustre à nouveau la difficulté à équilibrer « ramener de l'argent » et « protéger la santé publique ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après la mort de Mathis à Lille, fauché par un conducteur ayant consommé du protoxyde d'azote, le chef cuisinier Yannick Alléno, dont le fils a été tué par un chauffard multirécidiviste, demande que ce gaz soit reconnu comme une "circonstance aggravante" lors d'un homicide routier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Philippe Val livre son regard sur l'actualité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Oui, c'est vrai : Benito Mussolini, le dictateur fasciste italien, a bien tenté — sans succès — de faire disparaître les pâtes de la table italienne. Derrière cette idée apparemment absurde se cachait un projet politique, idéologique et économique profondément révélateur de son époque.Dans les années 1920 et 1930, Mussolini voulait faire de l'Italie une puissance autosuffisante, libérée de toute dépendance étrangère. Il lance alors ce qu'il appelle la battaglia del grano, la “bataille du blé”. L'objectif : produire suffisamment de céréales sur le sol italien pour nourrir toute la population et ne plus importer de grains, notamment des États-Unis ou de l'Europe de l'Est. Cette campagne nationaliste devient un pilier de la propagande fasciste.Mais un problème se pose rapidement : la production de blé italien, même augmentée, ne suffit pas à couvrir les besoins d'un pays où les pâtes sont un aliment de base. Et la culture du blé, plus exigeante en eau et en terres, concurrence celle des légumes et de l'huile d'olive. Résultat : les ressources s'épuisent, et les prix flambent. Pour résoudre ce paradoxe, le régime décide alors de… dissuader les Italiens de manger des pâtes.Dans les années 1930, certains intellectuels proches du régime, comme le poète Filippo Tommaso Marinetti, chef du mouvement futuriste, publient des textes provocateurs vantant la “cuisine de l'avenir” et dénonçant les pâtes comme un symbole de mollesse et de passéisme. Marinetti écrivait que “le peuple qui mange trop de pâtes devient lent, pessimiste et nostalgique”. Mussolini, séduit par cette rhétorique de virilité et de modernité, soutient l'idée d'un remplacement des pâtes par des plats à base de riz ou de céréales locales, plus conformes à son idéal d'autarcie.Des campagnes officielles encouragent alors les Italiens à consommer du riz de la plaine du Pô, des légumes, ou même du pain. Certains restaurants fascistes retirent temporairement les pâtes de leur menu. Mais la résistance populaire est immédiate. Les Italiens refusent d'abandonner ce plat millénaire, symbole de leur identité et de leur culture. Même les hiérarques du régime continuent d'en manger en privé.Devant cet échec culinaire et politique, Mussolini finit par abandonner la croisade. Les pâtes survivent à la dictature, triomphent de la propagande, et deviennent après-guerre un symbole d'unité nationale. Ironie de l'histoire : l'homme qui voulait forger un “Italien nouveau” s'est heurté à ce qui, encore aujourd'hui, reste l'un des piliers les plus solides de la culture italienne — un bon plat de spaghetti. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 7 novembre 2025 : Patrick Sébastien dans la peau d'une GG, avec Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:19 - Le vrai ou faux - Une affiche diffusée par plusieurs élus du Rassemblement national affirme que la gauche veut interdire le vin. En réalité, il s'agit d'une proposition bien plus limitée : un député du groupe écologiste Emmanuel Duplessy souhaite bannir l'alcool à la buvette de l'Assemblée nationale, au nom de l'exemplarité des élus. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité : - Philippe Tabarot, Ministre des Transports. - Christophe Bordet, journaliste. - Sébastien Lignier, journaliste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Vendredi, c'est Charles Consigny et Cécile Duflot qui débattront autour d'un sujet d'actualités.
Avec : Élise Goldfarb, entrepreneure. Pierre Rondeau, économiste. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Alors que le gouvernement a engagé une mesure de suspension contre le géant chinois en raison des scandales survenus ces derniers jours, David Barroux fait preuve de nuance : en effet, le succès foudroyant de Shein a le mérite d'être analysé et éventuellement copié sur certains points. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce mercredi 5 novembre 2025, les GG : Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de : Faut-il interdire l'alcool à la buvette de l'Assemblée ?
Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec :Frédéric Hermel, journaliste RMC. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Poupées pédopornographiques : Shein est au cœur d'un nouveau scandale. On en parle avec Olivier Dauvers, journaliste spécialiste de la consommation, chroniqueur sur RTL et Arnaud Gallais, membre de l'association “Mouv'enfants”.Tous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Ecoutez RTL Midi avec Amandine Bégot du 04 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce lundi 3 novembre 2025, les GG : Laura Warton Martinez, sophrologue, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de : Poupées sexuelles, faut-il interdire Shein en France ?
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes, Carine Galli, chroniqueuse, et Jacques Legros, ancien présentateur emblématique du 13H de TF1. - Accompagnée de Clément Gwizdz et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:07:39 - L'invité de la rédaction de "ici Lorraine" - Les députés de l'Assemblée nationale mènent en ce moment une commission d'enquête sur les effets psychologiques du réseau social TikTok sur les mineurs. Son président, député socialiste Arthur Delaporte, a participé ce jeudi soir à Toul à une conférence sur le sujet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Face à la flambée des loyers et à la spéculation immobilière galopante, la Ville de Paris a décidé de s'attaquer à un phénomène en pleine expansion : le coliving. Présenté comme une nouvelle forme de vie communautaire moderne, ce modèle d'habitat — qui consiste à louer des chambres individuelles dans des appartements ou immeubles partagés avec espaces communs — est désormais dans le collimateur de la mairie.Un modèle jugé spéculatifLe Conseil de Paris a acté une décision symbolique : bannir le coliving des nouveaux projets immobiliers. L'objectif est clair : empêcher que ce système serve de moyen détourné pour contourner l'encadrement des loyers. Derrière la promesse d'une “convivialité urbaine”, la mairie voit surtout un outil de spéculation.Le sénateur communiste Ian Brossat, figure de la lutte pour le logement, n'a pas mâché ses mots : « Le coliving, c'est le cheval de Troie des spéculateurs. » Sur X (ex-Twitter), il dénonce des loyers délirants, où des chambres de 13 m² se louent jusqu'à 1 500 euros, grâce à des astuces comptables permettant d'échapper aux règles imposées par la ville.Une “zone grise” du logementSelon Barbara Gomes, élue chargée de l'encadrement des loyers, le problème du coliving vient de sa nature ambiguë : ni vraiment logement résidentiel, ni véritable espace commercial. Cette zone grise juridique autorise des “compléments de loyer” abusifs. Il suffit, explique-t-elle, « de placer quelques rameurs de sport dans une salle commune pour justifier un surcoût ». Résultat : des chambres de 20 m² affichées à près de 1 850 euros, dans une ville déjà asphyxiée par la crise du logement.Vers un contrôle renforcéLa mairie ne se contente pas d'un signal politique : elle annonce aussi la création d'une cellule dédiée au suivi et au contrôle des colivings existants. À Paris, on en dénombre déjà 7 500 lits, avec près de 7 000 nouveaux projets en cours, selon l'Institut Paris Région. Pour les élus, il est urgent d'empêcher la prolifération de ce modèle, jugé « hors de contrôle ».Paris contre le “Far West immobilier”Après avoir mené la bataille contre Airbnb et les locations touristiques illégales, Paris poursuit sa croisade pour un logement accessible. Cette décision, même non contraignante pour l'instant, envoie un message clair aux promoteurs : dans la capitale, la rentabilité ne doit plus primer sur le droit au logement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Agression d'un enfant : Nawell Madani visée par une enquête Anne Hidalgo : "Vivre avec 4900 euros par mois ?" Interdire le jeu de tête au foot : pour ou contre ?
durée : 00:03:32 - Un monde connecté - par : François Saltiel - La question de l'interdiction des réseaux sociaux aux jeunes agite de nombreux pays dans le monde. Trois observateurs des enjeux numériques y répondent dans un essai collectif paru aux éditions Robert Laffont et Usbek & Rica.
Bonne nouvelle, il y a un prix Nobel français. Il s'appelle Michel Devoret, un spécialiste de la physique quantique. Il est prix Nobel de physique, il a 72 ans. Mais il enseigne à Yale et travaille chez Google. Pascal Perri regrette que les Nobel français partent tous à l'étranger. On ne sait plus ce qui se passe dans le parti Les Républicains. Pour Ruth Elkrief, c'est un groupe qui ne fera pas d'alliance officielle avec le Rassemblement national. Par ailleurs, s'il sort du groupe central, il est ultra-minoritaire, ajoute-t-elle. La Chine a lancé il y a quelques jours une campagne nationale de deux mois qui vise à éliminer le pessimisme et la négativité sur les plateformes de médias sociaux. Selon Abnousse Shalmani, ce serait le gouvernement chinois qui est en dépression. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîte en Dordogne. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagné de Martin Bourdin et sa bande, Charles Magnien s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Jeremstar, influenceur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Jules Torres, journaliste au service politique du JDD - Sébastien Lignier, chef du service politique à Valeurs actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Direction la Centrafrique pour le dernier volet de notre reportage consacré à la réserve naturelle de Chinko au sud-est du pays, dans la préfecture du Mbomou. Depuis de nombreux siècles, les autochtones vivent essentiellement de l'agriculture, la chasse, la pêche, la cueillette et l'exploitation minière. Interdire à ces communautés de pratiquer leurs activités quotidiennes dans le cadre de la conservation s'avère être un combat difficile. Présente dans la localité depuis 2014 (grâce à un accord de partenariat avec le gouvernement centrafricain), l'ONG African Parks a initié plusieurs projets visant à sensibiliser, éduquer et impliquer notamment les communautés riveraines de l'aire de conservation de Chinko, dans une gestion durable. De notre correspondant de retour de Kocho, Dans les broussailles qui longent la piste d'atterrissage de la base de Chinko, quelques hyènes déambulent. À quelques jets de pierre de là, une troupe de babouins investit les arbres. Réchauffés par les premiers rayons du soleil, les plus jeunes et même les adultes se lancent dans des courses, sauts et jeux de balançoires... Mermoz Bizon, responsable de l'aménagement territorial à African Parks, monte dans un petit avion de surveillance pour aller à la rencontre des communautés : « Je suis censé travailler avec les communautés locales. Nous avons mis en place plusieurs associations pour faciliter les tâches en termes de gestion communautaire des ressources naturelles qui sont autour de l'aire de conservation de Chinko. Nous avons des activités comme Acadja, qui soutient la production durable du poisson pour la communauté locale. Nous mettons en place des ateliers avec des scieurs artisanaux pour la production du bois de manière artisanale et durable. Nous travaillons aussi avec les maraîchers et les agriculteurs dans le domaine de la transformation d'huile de palme, la saponification et beaucoup d'autres activités. » À lire aussiCentrafrique : Chinko, la renaissance de la réserve naturelle [1/3] Dans le Mbomou, une centaine d'ethnies vit autour de l'Aire de conservation de Chinko (ACC) avec une grande diversité culturelle. Adja Kalthouma, maire de la ville de Nzako, plaide en faveur des autochtones qui dépendent essentiellement de la chasse, la pêche et la cueillette : « Ces dernières années, l'équipe de Chinko a délimité la réserve naturelle, nous avions été sensibilisés sur l'importance de la conservation que nous trouvons très pertinente. Mais nous voulons aussi des retombées concrètes à Nzako. » Prendre conscience des enjeux de conservation De jour en jour, de nombreux riverains prennent conscience des enjeux de conservation. Mais d'importants défis s'imposent encore, selon Ghislain Boukar, colonel des eaux et forêts : « La transhumance transfrontalière est l'une des difficultés majeures. Nous sommes toujours confrontés à un afflux d'éleveurs venus du Soudan. De l'autre côté, nous avons aussi nos frères centrafricains qui sont des braconniers locaux qui ne cherchent pas à respecter les principes et les orientations que nous leur donnons. Nous avons également le cas des pêcheurs. Au lieu de respecter la limite de la zone des conservations, ils ont l'habitude de s'infiltrer dans le parc. Ces difficultés existent au quotidien, mais nous sommes également là pour les sensibiliser et continuer à toujours insister. » Pour une gestion durable et apaisée de Chinko, African Parks et le gouvernement centrafricain placent les autochtones au cœur de leurs actions. Plusieurs projets de développement économique ont été mis en place. Thomas Bala est président du groupement des apiculteurs du village Fadama : « Nous sommes déterminés à protéger cette réserve naturelle. Mais nous voulons aussi bénéficier des efforts de conservation. C'est comme ça que nous avons mis en place ce groupement de production du miel avec le soutien de Chinko. Nous produisons en grande quantité et on n'a plus le temps d'aller détruire les aires protégées. » À lire aussiCentrafrique : les écogardes du parc Chinko [2/3] Depuis 2022, un projet de lutte contre la déforestation a été mis en place à travers la conservation de carbone. Cette initiative a permis d'obtenir des crédits carbone achetés par des entreprises. L'argent généré est injecté d'une part à la gestion de la réserve naturelle, et l'autre part est destinée à la mise en place des programmes de développement durable en faveur des riverains.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
"Couvre-feu numérique", "délit de négligence"... Le rapport parlementaire sur TikTok a été divulgué jeudi matin. Il met en avant plusieurs mesures pour tenter de mieux encadrer l'usage des réseaux sociaux par les adolescent(e)s et les mineur(e)s. Ruth Elkrief estime qu'il faut interdire l'utilisation de ce réseau social chinois avant quinze ans. Elle pense que cette question des réseaux sociaux et précisément de TikTok doit s'imposer comme un enjeu de santé publique, car selon elle, c'est le progrès d'une civilisation d'interdire, de mettre des limites. L'homme le plus riche du monde n'est plus Elon Musk. Larry Ellison, âgé de 81 ans, patron du géant technologique Oracle, le détrône. Selon Pascal Perri, la formule "l'homme le plus riche du monde" alimente une espèce de démagogie politique qui fait croire qu'un seul homme concentre à lui tout seul des centaines de milliards de dollars, alors que ce n'est absolument pas le cas, dit-il. Mais il affirme que ce succès a un prix. Au cours des derniers mois, les moyens d'Oracle étaient réorientés et l'entreprise aurait supprimé des dizaines de milliers d'emplois. Deux siècles et demi après, le phénomène Jane Austen redevient très à la mode. Cette romancière et femme de lettres anglaise aurait aujourd'hui 250 ans. Elle est devenue, selon Abnousse Shalmani, une incontournable de la génération "Z", celle née entre 1997 et 2012. Sur le réseau social TikTok, le #janeausten comptabilise plus de 683 millions de vues, soit l'équivalent de plus de trente fois le nombre d'exemplaires d'Orgueil et Préjugés" vendus à ce jour dans le monde. Abnousse Shalmani croit aussi qu'avec Jane Austen, on redécouvre la complexité des êtres humains. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la Question du jour du Figaro !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 04 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:57 - Le vrai ou faux - Des centaines de drapeaux sont accrochés par des citoyens dans les rues du Royaume-Uni depuis plusieurs semaines, mais de nombreux internautes affirment que les autorités locales veulent les interdire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:02 - Journal de 8 h - Interdire tous les écrans avant six ans, sept français sur dix se disent pour, selon un sondage commandé par Matignon et que vous révèle la cellule investigation, mais le plan d'action gouvernemental est bloqué depuis des mois.
durée : 00:15:02 - Journal de 8 h - Interdire tous les écrans avant six ans, sept français sur dix se disent pour, selon un sondage commandé par Matignon et que vous révèle la cellule investigation, mais le plan d'action gouvernemental est bloqué depuis des mois.
durée : 00:15:02 - Journal de 8 h - Interdire tous les écrans avant six ans, sept français sur dix se disent pour, selon un sondage commandé par Matignon et que vous révèle la cellule investigation, mais le plan d'action gouvernemental est bloqué depuis des mois.
Facebook, Instagram, YouTube, ou encore TikTok, le gouvernement français l'a affirmé à plusieurs reprises : il souhaite les interdire aux enfants moins de 15 ans afin de préserver leur santé. Les plateformes seront alors dans l'obligation de vérifier l'âge lors de l'inscription.Mais dans un monde qui devient de plus en plus numérique, cette interdiction est-elle souhaitable ? Est-elle faisable ? Et quels en seraient les bienfaits ? Que sait-on vraiment des effets des réseaux sociaux sur la santé physique et mentale des enfants et des adolescents ?Je suis Aline Perraudin, directrice de la rédaction de Santé magazine, et pour répondre à toutes ces questions, je m'entretiens avec le Pr Grégoire Borst, professeur de psychologie du développement et de neurosciences cognitives de l'éducation à l'Université Paris Cité, chercheur au CNRS, co-auteur de « Faut-il interdire les réseaux sociaux aux jeunes ? » (Robert Laffont, 9 octobre 2025).CRÉDITSHypercondriaque est un podcast de Santé magazine animé par Aline PerraudinRédaction et réalisation : Nathalie Courret, Nicolas Jean et Aline PerraudinExtraits : FR3 – 02/03/20 ; FR2 – 12/12/24 ; FR4 – 14/09/20 ; M6 INFO – 13/05/25 ; RTBF –14/05/25Musique : François ClosIdentité graphique : Upian Communication : Suzanne Méthé, Marianne MeynielMise en ligne : 2 septembre 2025Enregistrements : 14 et 27 août 2025 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La flambée immobilière qui secoue certaines régions touristiques françaises pousse désormais des communes à prendre des mesures radicales. La dernière en date est Cancale, charmante ville portuaire d'Ille-et-Vilaine, en Bretagne, connue pour ses huîtres et ses panoramas sur la baie du Mont-Saint-Michel. Ses élus ont décidé d'agir contre l'explosion des résidences secondaires qui menace l'accès au logement pour les habitants permanents.Vendredi soir, le conseil municipal a voté à l'unanimité une modification de son plan local d'urbanisme. L'objectif est clair : chaque nouveau logement construit dans certaines zones devra obligatoirement être une résidence principale. Cette décision s'appuie sur la loi Echaniz/Le Meur, entrée en vigueur en novembre 2024, qui permet aux communes de créer des secteurs où seules les résidences principales sont autorisées.Pourquoi une telle sévérité ? Parce que la pression est devenue trop forte. Entre 2011 et 2022, la part des résidences secondaires à Cancale est passée de 35,5 % à plus de 41 % du parc immobilier. Dans le même temps, les locations touristiques de type meublés ont bondi de 30 % entre 2020 et 2024, pour atteindre près de 600 annonces déclarées. Résultat : les prix grimpent et les habitants peinent à se loger.La nouvelle règle impose que les logements soient occupés au moins huit mois par an comme résidence principale, sauf en cas de dérogation liée au travail ou à la santé. Les propriétaires pourront encore proposer de la location touristique, mais dans une limite stricte de 120 jours par an. Et gare aux contrevenants : le maire pourra infliger des amendes pouvant aller jusqu'à 1 000 euros par jour de non-respect, dans la limite de 100 000 euros. En dernier recours, le bail pourra même être résilié d'office.Cancale n'est pas une exception isolée. D'autres villes frappées par la spéculation immobilière ont déjà adopté des règles similaires. En juin, cinq communes basques – Biarritz, Bayonne, Anglet, Bidart et Boucau – ont instauré ce type de restriction. À Chamonix, en Haute-Savoie, où 70 % du parc immobilier est déjà constitué de résidences secondaires, le maire a également bloqué toute nouvelle construction destinée à ce marché.Plus largement, la Bretagne comme d'autres zones littorales ou alpines fait face à une crise du logement aiguë, qui touche aussi bien les étudiants que les familles locales. La loi permet aux communes d'agir dès lors que plus de 20 % de leur parc est occupé par des résidences secondaires ou qu'elles appliquent déjà une taxe sur les logements vacants.À travers cette décision, Cancale envoie donc un message fort : protéger son tissu social et éviter de devenir un décor de carte postale déserté hors saison. Une politique qui pourrait inspirer bien d'autres communes confrontées au même dilemme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 10h, ce lundi 25 août 2025, les GG : Didier Giraud, éleveur de bovins, Charles Consigny, avoca, et Fatima Aït Bounoua, prof de français, débattent de l'interdiction de la vente de Nutella.
A 10h, ce vendredi 15 août 2025, les GG : Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de : Faut-il interdire les cloches des églises la nuit ?