POPULARITY
A 10h, ce vendredi 5 décembre 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur, Bruno Poncet, cheminot, et Sandrine Pégand, avocate, débattent de : Interdire les réseaux sociaux aux ados, mission impossible ?
Au menu de la deuxième heure des GG du vendredi 5 décembre 2025 : Accident d'Alès, la mère d'un des ados accuse l'État ; Durcissement de l'obtention du bac, vous y croyez ? Interdire les réseaux sociaux aux ados, mission impossible ? Avec Abel Boyi, éducateur, Bruno Poncet, cheminot, et Sandrine Pégand, avocate.
À l’occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente la décision de l’Alliance des professeures et des professeurs de Montréal de défendre les enseignants de l’école Bedford dont le brevet d'enseignement a été révoqué. Selon le Journal de Montréal, le syndicat affirme que le processus d’enquête a été vicié. Il compte donc appuyer ceux qui souhaitent contester la décision. Rappelons que 11 enseignants avaient été suspendus après une enquête administrative en raison du climat toxique à l’école Bedford. Le ministère de l’Éducation n’a pas voulu préciser combien d’enseignants ont vu leur brevet être révoqué. Autres sujets abordés Interdire la haine dans le discours religieux; Pierre Karl Péladeau veut faire le ménage chez Air Transat; Donald Trump et sa bataille navale au Vénézuela; Quelle épicerie vous offre les meilleurs prix? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Le tribunal judiciaire de Paris se penchera ce mercredi (26 novembre 2025) sur une demande de suspension du géant chinois de l'ultra fast-fashion. Shein dans le collimateur des autorités françaises, mais également des commerçants en raison de pratiques jugées déloyales. La vente de poupées sexuelles ressemblant à des fillettes a encore accablé la plateforme. Qu'est-ce qui explique le succès de Shein ? Quelles procédures peuvent aboutir ? Pour en débattre : Jean-Francois Brunet, délégué général du Conseil du commerce de France Franck Lehuédé, directeur d'études et de recherche au Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CREDOC), spécialiste des comportements de consommation Claire Latour, Influenceuse, elle a collaboré avec Shein à partir de 2018 puis a mis fin à sa collaboration en 2021. Elle est co-autrice du documentaire «SHEIN : enquête sur le géant de la fast fashion» – France TV slash.
Le tribunal judiciaire de Paris se penchera ce mercredi (26 novembre 2025) sur une demande de suspension du géant chinois de l'ultra fast-fashion. Shein dans le collimateur des autorités françaises, mais également des commerçants en raison de pratiques jugées déloyales. La vente de poupées sexuelles ressemblant à des fillettes a encore accablé la plateforme. Qu'est-ce qui explique le succès de Shein ? Quelles procédures peuvent aboutir ? Pour en débattre : Jean-Francois Brunet, délégué général du Conseil du commerce de France Franck Lehuédé, directeur d'études et de recherche au Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CREDOC), spécialiste des comportements de consommation Claire Latour, Influenceuse, elle a collaboré avec Shein à partir de 2018 puis a mis fin à sa collaboration en 2021. Elle est co-autrice du documentaire «SHEIN : enquête sur le géant de la fast fashion» – France TV slash.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au menu de la deuxième heure des GG du mardi 25 novembre 2025 : "Interdire le port du voile aux mineures, pour ou contre ?" et "Commission d'enquête : l'audiovisuel public est-il objectif ?", avec Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie.
A 10h, ce mardi 25 novembre 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de : Interdire le port du voile aux mineurs, pour ou contre ?
Les chroniqueurs du soir :Hélène Roué, journaliste politique au JDDJean-Claude Dassier, chroniqueur politique Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Laurent Karila, psychiatre et addictologue, Benjamin Lucas-Lundy, député Génération.s des Yvelines, et Yael Mellul, ancienne avocate. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:03:02 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Alain Souchon sera ce soir en concert sur France Inter. Aïe aïe aïe… Un “concert d'Alain Souchon”. Vous voulez dire “un meeting politique d'Alain Souchon ?” Ne faites pas comme si vous n'étiez pas au courant ! Il y a un #boycottSouchon… Bon sang, on va encore perdre des auditeurs ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On veut que les choses bougent, pour que Mathis ne soit pas mort pour rien » : Laetitia, la maman de Mathis, percuté par un chauffard sous protoxyde d'azote, témoigne pour que cette substance soit considérée comme illicite au volant aux côtés de l'avocat de la famille Antoine RégleyLe vendredi et le samedi à partir de 18h57 sur France 5, Mohammed Bouhafsi et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
A 10h, ce vendredi 14 novembre 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de : Une messe en hommage à Pétain, faut-il l'interdire ?
Ce matin, on vous demande les choses qui vous agacent le plus dans la rue.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jacques Legros, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Le 7 novembre, l'Assemblée nationale a voté l'instauration d'une taxe sur les boissons énergisantes alcoolisées, un texte inséré dans le cadre du projet de budget de la sécurité sociale. L'objectif : contrer l'essor de produits hybrides mêlant alcool fort, stimulants et sucres aromatisés, jugés particulièrement préoccupants pour les jeunes.Les députés ont adopté un amendement qui étend le champ d'une taxe déjà envisageable pour les « premix » — ces mélanges alcoolisés sucrés — au cas où ces boissons contiennent également des substances actives à effet stimulant, telles que la caféine, la taurine ou la guaranine. Un décret viendra fixer précisément la liste de ces ingrédients, afin de suivre l'évolution rapide des formules commerciales et éviter que les fabricants ne contournent la taxe.Pour l'un des rapporteurs du budget, la mesure lutte contre « un vrai fléau pour la jeunesse », selon ses propres mots. L'amendement a été porté par le président de la commission des Affaires sociales et recueilli grâce aux voix des députés de gauche, des Modem, des indépendants proches de l'aile Liot, ainsi que d'une large part de la majorité (Renaissance et Horizons). En revanche, les groupes des Républicains, du Rassemblement national et ses alliés ont exprimé leur refus. Marine Le Pen l'a qualifié de « moralement condamnable » : pour elle, soit ces boissons sont nocives et il faut les interdire, soit elles ne le sont pas et il n'y a aucune raison de les taxer.De son côté, la ministre de la Santé a observé la mesure avec prudence : bien qu'elle reconnaisse que ces produits visent en priorité les jeunes, elle a rappelé que l'alcool est déjà interdit aux moins de 18 ans et souligné que « la fiscalité comportementale ne fait pas une politique de prévention ». Selon elle, taxer ces boissons n'est pas à proprement parler une mesure de prévention mais un outil fiscal — dont l'efficacité sur la consommation reste incertaine, certaines taxes rapportant bien mais ne réduisant pas nécessairement l'usage.En résumé : le gouvernement et le Parlement adoptent un nouveau levier fiscal pour ce segment particulier de boissons — mélange alcool + stimulant + sucre — afin de prévenir un usage jugé dangereux chez les jeunes. Mais la tension reste vivace entre l'approche punitive/fiscale et l'approche éducative/contrôle. L'amendement met en place un cadre adaptable — via décret — pour suivre l'innovation des produits, tandis qu'une partie de l'opposition questionne la logique même de « taxer plutôt qu'interdire ». Le débat illustre à nouveau la difficulté à équilibrer « ramener de l'argent » et « protéger la santé publique ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après la mort de Mathis à Lille, fauché par un conducteur ayant consommé du protoxyde d'azote, le chef cuisinier Yannick Alléno, dont le fils a été tué par un chauffard multirécidiviste, demande que ce gaz soit reconnu comme une "circonstance aggravante" lors d'un homicide routier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Philippe Val livre son regard sur l'actualité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Philippe Val livre son regard sur l'actualité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Philippe Val livre son regard sur l'actualité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Oui, c'est vrai : Benito Mussolini, le dictateur fasciste italien, a bien tenté — sans succès — de faire disparaître les pâtes de la table italienne. Derrière cette idée apparemment absurde se cachait un projet politique, idéologique et économique profondément révélateur de son époque.Dans les années 1920 et 1930, Mussolini voulait faire de l'Italie une puissance autosuffisante, libérée de toute dépendance étrangère. Il lance alors ce qu'il appelle la battaglia del grano, la “bataille du blé”. L'objectif : produire suffisamment de céréales sur le sol italien pour nourrir toute la population et ne plus importer de grains, notamment des États-Unis ou de l'Europe de l'Est. Cette campagne nationaliste devient un pilier de la propagande fasciste.Mais un problème se pose rapidement : la production de blé italien, même augmentée, ne suffit pas à couvrir les besoins d'un pays où les pâtes sont un aliment de base. Et la culture du blé, plus exigeante en eau et en terres, concurrence celle des légumes et de l'huile d'olive. Résultat : les ressources s'épuisent, et les prix flambent. Pour résoudre ce paradoxe, le régime décide alors de… dissuader les Italiens de manger des pâtes.Dans les années 1930, certains intellectuels proches du régime, comme le poète Filippo Tommaso Marinetti, chef du mouvement futuriste, publient des textes provocateurs vantant la “cuisine de l'avenir” et dénonçant les pâtes comme un symbole de mollesse et de passéisme. Marinetti écrivait que “le peuple qui mange trop de pâtes devient lent, pessimiste et nostalgique”. Mussolini, séduit par cette rhétorique de virilité et de modernité, soutient l'idée d'un remplacement des pâtes par des plats à base de riz ou de céréales locales, plus conformes à son idéal d'autarcie.Des campagnes officielles encouragent alors les Italiens à consommer du riz de la plaine du Pô, des légumes, ou même du pain. Certains restaurants fascistes retirent temporairement les pâtes de leur menu. Mais la résistance populaire est immédiate. Les Italiens refusent d'abandonner ce plat millénaire, symbole de leur identité et de leur culture. Même les hiérarques du régime continuent d'en manger en privé.Devant cet échec culinaire et politique, Mussolini finit par abandonner la croisade. Les pâtes survivent à la dictature, triomphent de la propagande, et deviennent après-guerre un symbole d'unité nationale. Ironie de l'histoire : l'homme qui voulait forger un “Italien nouveau” s'est heurté à ce qui, encore aujourd'hui, reste l'un des piliers les plus solides de la culture italienne — un bon plat de spaghetti. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 7 novembre 2025 : Patrick Sébastien dans la peau d'une GG, avec Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD.
durée : 00:02:19 - Le vrai ou faux - Une affiche diffusée par plusieurs élus du Rassemblement national affirme que la gauche veut interdire le vin. En réalité, il s'agit d'une proposition bien plus limitée : un député du groupe écologiste Emmanuel Duplessy souhaite bannir l'alcool à la buvette de l'Assemblée nationale, au nom de l'exemplarité des élus. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Vendredi, c'est Charles Consigny et Cécile Duflot qui débattront autour d'un sujet d'actualités.
Invité : - Philippe Tabarot, Ministre des Transports. - Christophe Bordet, journaliste. - Sébastien Lignier, journaliste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Élise Goldfarb, entrepreneure. Pierre Rondeau, économiste. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Alors que le gouvernement a engagé une mesure de suspension contre le géant chinois en raison des scandales survenus ces derniers jours, David Barroux fait preuve de nuance : en effet, le succès foudroyant de Shein a le mérite d'être analysé et éventuellement copié sur certains points. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce mercredi 5 novembre 2025, les GG : Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de : Faut-il interdire l'alcool à la buvette de l'Assemblée ?
Avec :Frédéric Hermel, journaliste RMC. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Poupées pédopornographiques : Shein est au cœur d'un nouveau scandale. On en parle avec Olivier Dauvers, journaliste spécialiste de la consommation, chroniqueur sur RTL et Arnaud Gallais, membre de l'association “Mouv'enfants”.Tous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Ecoutez RTL Midi avec Amandine Bégot du 04 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce lundi 3 novembre 2025, les GG : Laura Warton Martinez, sophrologue, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de : Poupées sexuelles, faut-il interdire Shein en France ?
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes, Carine Galli, chroniqueuse, et Jacques Legros, ancien présentateur emblématique du 13H de TF1. - Accompagnée de Clément Gwizdz et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Face à la flambée des loyers et à la spéculation immobilière galopante, la Ville de Paris a décidé de s'attaquer à un phénomène en pleine expansion : le coliving. Présenté comme une nouvelle forme de vie communautaire moderne, ce modèle d'habitat — qui consiste à louer des chambres individuelles dans des appartements ou immeubles partagés avec espaces communs — est désormais dans le collimateur de la mairie.Un modèle jugé spéculatifLe Conseil de Paris a acté une décision symbolique : bannir le coliving des nouveaux projets immobiliers. L'objectif est clair : empêcher que ce système serve de moyen détourné pour contourner l'encadrement des loyers. Derrière la promesse d'une “convivialité urbaine”, la mairie voit surtout un outil de spéculation.Le sénateur communiste Ian Brossat, figure de la lutte pour le logement, n'a pas mâché ses mots : « Le coliving, c'est le cheval de Troie des spéculateurs. » Sur X (ex-Twitter), il dénonce des loyers délirants, où des chambres de 13 m² se louent jusqu'à 1 500 euros, grâce à des astuces comptables permettant d'échapper aux règles imposées par la ville.Une “zone grise” du logementSelon Barbara Gomes, élue chargée de l'encadrement des loyers, le problème du coliving vient de sa nature ambiguë : ni vraiment logement résidentiel, ni véritable espace commercial. Cette zone grise juridique autorise des “compléments de loyer” abusifs. Il suffit, explique-t-elle, « de placer quelques rameurs de sport dans une salle commune pour justifier un surcoût ». Résultat : des chambres de 20 m² affichées à près de 1 850 euros, dans une ville déjà asphyxiée par la crise du logement.Vers un contrôle renforcéLa mairie ne se contente pas d'un signal politique : elle annonce aussi la création d'une cellule dédiée au suivi et au contrôle des colivings existants. À Paris, on en dénombre déjà 7 500 lits, avec près de 7 000 nouveaux projets en cours, selon l'Institut Paris Région. Pour les élus, il est urgent d'empêcher la prolifération de ce modèle, jugé « hors de contrôle ».Paris contre le “Far West immobilier”Après avoir mené la bataille contre Airbnb et les locations touristiques illégales, Paris poursuit sa croisade pour un logement accessible. Cette décision, même non contraignante pour l'instant, envoie un message clair aux promoteurs : dans la capitale, la rentabilité ne doit plus primer sur le droit au logement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Agression d'un enfant : Nawell Madani visée par une enquête Anne Hidalgo : "Vivre avec 4900 euros par mois ?" Interdire le jeu de tête au foot : pour ou contre ?
durée : 00:03:32 - Un monde connecté - par : François Saltiel - La question de l'interdiction des réseaux sociaux aux jeunes agite de nombreux pays dans le monde. Trois observateurs des enjeux numériques y répondent dans un essai collectif paru aux éditions Robert Laffont et Usbek & Rica.
Bonne nouvelle, il y a un prix Nobel français. Il s'appelle Michel Devoret, un spécialiste de la physique quantique. Il est prix Nobel de physique, il a 72 ans. Mais il enseigne à Yale et travaille chez Google. Pascal Perri regrette que les Nobel français partent tous à l'étranger. On ne sait plus ce qui se passe dans le parti Les Républicains. Pour Ruth Elkrief, c'est un groupe qui ne fera pas d'alliance officielle avec le Rassemblement national. Par ailleurs, s'il sort du groupe central, il est ultra-minoritaire, ajoute-t-elle. La Chine a lancé il y a quelques jours une campagne nationale de deux mois qui vise à éliminer le pessimisme et la négativité sur les plateformes de médias sociaux. Selon Abnousse Shalmani, ce serait le gouvernement chinois qui est en dépression. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Jeremstar, influenceur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Jules Torres, journaliste au service politique du JDD - Sébastien Lignier, chef du service politique à Valeurs actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Direction la Centrafrique pour le dernier volet de notre reportage consacré à la réserve naturelle de Chinko au sud-est du pays, dans la préfecture du Mbomou. Depuis de nombreux siècles, les autochtones vivent essentiellement de l'agriculture, la chasse, la pêche, la cueillette et l'exploitation minière. Interdire à ces communautés de pratiquer leurs activités quotidiennes dans le cadre de la conservation s'avère être un combat difficile. Présente dans la localité depuis 2014 (grâce à un accord de partenariat avec le gouvernement centrafricain), l'ONG African Parks a initié plusieurs projets visant à sensibiliser, éduquer et impliquer notamment les communautés riveraines de l'aire de conservation de Chinko, dans une gestion durable. De notre correspondant de retour de Kocho, Dans les broussailles qui longent la piste d'atterrissage de la base de Chinko, quelques hyènes déambulent. À quelques jets de pierre de là, une troupe de babouins investit les arbres. Réchauffés par les premiers rayons du soleil, les plus jeunes et même les adultes se lancent dans des courses, sauts et jeux de balançoires... Mermoz Bizon, responsable de l'aménagement territorial à African Parks, monte dans un petit avion de surveillance pour aller à la rencontre des communautés : « Je suis censé travailler avec les communautés locales. Nous avons mis en place plusieurs associations pour faciliter les tâches en termes de gestion communautaire des ressources naturelles qui sont autour de l'aire de conservation de Chinko. Nous avons des activités comme Acadja, qui soutient la production durable du poisson pour la communauté locale. Nous mettons en place des ateliers avec des scieurs artisanaux pour la production du bois de manière artisanale et durable. Nous travaillons aussi avec les maraîchers et les agriculteurs dans le domaine de la transformation d'huile de palme, la saponification et beaucoup d'autres activités. » À lire aussiCentrafrique : Chinko, la renaissance de la réserve naturelle [1/3] Dans le Mbomou, une centaine d'ethnies vit autour de l'Aire de conservation de Chinko (ACC) avec une grande diversité culturelle. Adja Kalthouma, maire de la ville de Nzako, plaide en faveur des autochtones qui dépendent essentiellement de la chasse, la pêche et la cueillette : « Ces dernières années, l'équipe de Chinko a délimité la réserve naturelle, nous avions été sensibilisés sur l'importance de la conservation que nous trouvons très pertinente. Mais nous voulons aussi des retombées concrètes à Nzako. » Prendre conscience des enjeux de conservation De jour en jour, de nombreux riverains prennent conscience des enjeux de conservation. Mais d'importants défis s'imposent encore, selon Ghislain Boukar, colonel des eaux et forêts : « La transhumance transfrontalière est l'une des difficultés majeures. Nous sommes toujours confrontés à un afflux d'éleveurs venus du Soudan. De l'autre côté, nous avons aussi nos frères centrafricains qui sont des braconniers locaux qui ne cherchent pas à respecter les principes et les orientations que nous leur donnons. Nous avons également le cas des pêcheurs. Au lieu de respecter la limite de la zone des conservations, ils ont l'habitude de s'infiltrer dans le parc. Ces difficultés existent au quotidien, mais nous sommes également là pour les sensibiliser et continuer à toujours insister. » Pour une gestion durable et apaisée de Chinko, African Parks et le gouvernement centrafricain placent les autochtones au cœur de leurs actions. Plusieurs projets de développement économique ont été mis en place. Thomas Bala est président du groupement des apiculteurs du village Fadama : « Nous sommes déterminés à protéger cette réserve naturelle. Mais nous voulons aussi bénéficier des efforts de conservation. C'est comme ça que nous avons mis en place ce groupement de production du miel avec le soutien de Chinko. Nous produisons en grande quantité et on n'a plus le temps d'aller détruire les aires protégées. » À lire aussiCentrafrique : les écogardes du parc Chinko [2/3] Depuis 2022, un projet de lutte contre la déforestation a été mis en place à travers la conservation de carbone. Cette initiative a permis d'obtenir des crédits carbone achetés par des entreprises. L'argent généré est injecté d'une part à la gestion de la réserve naturelle, et l'autre part est destinée à la mise en place des programmes de développement durable en faveur des riverains.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 04 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:02 - Journal de 8 h - Interdire tous les écrans avant six ans, sept français sur dix se disent pour, selon un sondage commandé par Matignon et que vous révèle la cellule investigation, mais le plan d'action gouvernemental est bloqué depuis des mois.
durée : 00:15:02 - Journal de 8 h - Interdire tous les écrans avant six ans, sept français sur dix se disent pour, selon un sondage commandé par Matignon et que vous révèle la cellule investigation, mais le plan d'action gouvernemental est bloqué depuis des mois.