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Aujourd'hui, c'est au tour de Ian Brossat, sénateur PCF de Paris et candidat à la mairie de Paris, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Charles Consigny et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tout savoir de l'actualité people et média, c'est tous les jours à 7h35, avec Antoni Ruiz sur RFM !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:30 - L'INVITE franceinfo soir - "Si on souhaite aboutir à un accord de paix, il faudra y inclure Vladimir Poutine", estime Ian Brossat, sénateur PCF de Paris, invité mardi dans franceinfo soir.
Plus de deux ans après le début de la guerre en Ukraine, le monde est plongé dans une crise d'une ampleur inédite depuis des décennies. Ce conflit, marqué par des violences inouïes, des déplacements massifs de populations, et une escalade militaire inquiétante, menace de s'étendre bien au-delà des frontières ukrainiennes et de bouleverser l'ordre mondial.L'Ukraine, autrefois un pays indépendant et souverain, est aujourd'hui le théâtre d'une guerre dévastatrice. Marioupol, Boutcha, Kherson : autant de noms qui résonnent désormais comme des symboles de souffrance et de résistance. La situation géopolitique est tout aussi préoccupante. Les tensions entre la Russie et les pays occidentaux, soutenant massivement l'Ukraine, ont atteint un niveau critique. Les livraisons d'armes sophistiquées, les sanctions économiques étouffantes, et la rhétorique belliqueuse des deux camps augmentent le risque d'un conflit global. Le spectre de l'utilisation d'armes nucléaires, brandi à plusieurs reprises par Moscou, plane comme une menace terrible sur l'humanité tout entière. Dans cette escalade de violence, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, semble prêt à des concessions pour aboutir enfin à un cessez-le-feu. Ce vendredi 29 novembre 2023, ce dernier s'est exprimé sur la chaîne Sky News pour porter un message empreint d'espoir. « C'est la voix de la raison. C'est une bonne chose et c'est bien la preuve que la guerre n'est pas le chemin possible. Une perspective de paix contrairement à ce que certains nous expliquaient parfois est une perspective possible pour l'Ukraine et pour la Russie » affirme Ian Brossat, sénateur de Paris et co-président du groupe communiste au Conseil de Paris. Si Volodymyr Zelensky pourrait consentir à céder une partie de son territoire à la Russie sous gouvernance de Vladimir Poutine, qu'en pensent les pays alliés ? « Je souhaiterai que ça inspire d'autres dirigeants. Quand on voit le carnage qu'il y a en ce moment à Gaza, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on aimerait qu'un cessez-le-feu soit possible là bas aussi » tempère le porte-parole du PCF. Michel Barnier : le PCF voit rouge Sur ce terrain glissant de compromis, Michel Barnier tente lui aussi d'adopter cette posture consensuelle pour sauver son gouvernement. En effet, la grogne des agriculteurs marque la première grande crise du gouvernement Barnier. Les réformes ambitieuses proposées par l'exécutif, visant à restructurer les subventions et à promouvoir une transition écologique dans le secteur auxquelles s'ajoutent les accords du Mercosur, ont été perçues par de nombreux agriculteurs comme une attaque directe contre leurs revenus et leur mode de vie. Des milliers d'exploitants, déjà fragilisés par des années de crises économiques et climatiques, sont descendus dans la rue pour protester. Barrages routiers, tracteurs bloquant les centres-villes et manifestations bruyantes ont rapidement placé le gouvernement sous pression. Le dialogue semblait rompu, et la colère des campagnes se heurtait à l'inflexibilité affichée par le Premier ministre Barnier, soucieux de maintenir son programme de réformes.Face à cette fronde, l'opposition et une partie de sa propre majorité ont critiqué sa gestion jugée rigide et déconnectée des réalités rurales. De quoi agiter l'opposition sur les bancs de l'Assemblée nationale. De leur côté, le PCF appelle à voter dans les semaines à venir, une motion de censure pour faire tomber le gouvernement Barnier. « Le Premier ministre écoute pour l'essentiel les propositions du Rassemblement National (cf, la baisse de la taxe sur l'électricité). Ce budget est un mauvais budget. Il y aura 4000 suppressions de postes d'enseignants, il y aura l'augmentation du prix des consultations médicales et des médicaments. Au final, ça n'est pas un bon budget pour les classes populaires et moyennes, pour tous ceux qui travaillent. Il faut censurer ce gouvernement pour tourner la page de ces politiques qui ont été rejetées par les électeurs aux dernières élections » fustige notre invité sur le plateau des 4V. Si le budget fait débat, il a cependant les faveurs du Sénat. Avec une majorité à droite, cette institution ne semble pas aller contre les propositions du Premier ministre, comme celle des sept heures de travail gratuit, retoquée in extremis par le gouvernement lui-même. « On a un gouvernement qui ne tient aucun compte de ce que les Français ont majoritairement dit à l'occasion des élections législatives » martèle Ian Brossat. Malgré une économie dans le rouge avec un déficit béant, l'agence de notation américain S&P a décidé maintenir la note de la France à « AA -». Toutefois, cette décision s'accompagne souvent de réserves : les agences mettent en garde contre la nécessité de maîtriser la dette publique, qui continue de croître, et d'accélérer les réformes structurelles. La persistance des déficits budgétaires et la lenteur de certaines adaptations économiques pourraient, à terme, fragiliser cette note. Pour le gouvernement, c'est un soulagement temporaire, mais aussi un rappel de l'importance de maintenir une discipline budgétaire tout en soutenant la croissance. Une éventuelle dégradation de la note aurait des répercussions importantes, notamment sur les taux d'intérêt des emprunts de l'État, augmentant le coût de la dette et pesant sur les finances publiques. « Pour ce qui est de la situation économique, elle est extrêmement préoccupante. On parle de 250 plans sociaux, de 200 000 emplois menacés. C'est la raison pour laquelle avec les parlementaires communistes, on dit qu'il faut interdire les licenciements boursiers […] il y a besoin de remettre un peu de rationalité dans tout ça » explique le sénateur communiste de Paris. Dans la refonte hypothétique du gouvernement, celui d'un modèle à gauche fait de l'œil à l'opposition de ce côté de l'échiquier politique. Le nom de Bernard Cazeneuve a de nouveau été suggéré. Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, propose d'ailleurs un gouvernement avec une clause de non-censurabilité. Le PCF pourrait-il reconnaître un gouvernement socialiste ? « Il faut tenir compte que nous n'avons pas la majorité absolue de l'Assemblée nationale. Mais il faut des mesures d'urgence, signe qu'on tourne la page : c'est l'abrogation de la réforme des retraites voulue par 80% des Français, l'augmentation du SMIC et de salaires, le retour du service public, l'école, l'hôpital qui sont aujourd'hui sacrifiés. Un certain nombre de mesures fondamentales qui montrent aux Français qu'on a entendu le message des dernières législatives » affirme Ian Brossat.
Au programme de ce nouveau numéro de « Et Maintenant ! » :- La France aura-t-elle toujours un Premier ministre fin décembre ? Ils sont de plus en plus nombreux dans la coalition gouvernementale à craindre que Michel Barnier soit renversé juste avant les fêtes de fin d'année. Cette semaine la pression est encore montée d'un cran, Marine Le Pen menace désormais clairement de voter une motion de censure.-Jusqu'où ira la colère sociale ? Cette semaine, une grève à la SNCF a commencé à faire monter un peu la température et alors qu'une vague de plans sociaux touche toute la France, les mobilisations se multiplient.- Faut-il travailler plus pour gagner... pareil ? Cette semaine le Sénat a voté en faveur de la création d'une deuxième journée de solidarité nationale. Tous les salariés du public comme du privé devront travailler 7 heures par an pour le même salaire, en contrepartie les entreprises verseront 2,5 milliards d'euros de cotisations supplémentaires à la sécu, argent qui servira à financer l'aide aux personnes âgées dépendantes et aux personnes en situation de handicap.-Depuis sa victoire à l'élection présidentielle, Donald Trump multiplie les nominations à la tête des différents départements avec des profils quelque peu surprenants et cette semaine on nous a présenté la future ministre de l'éducation, l'ancienne patronne de la fédération de catch WWE... -Enfin, à un an et demi, des municipales à Paris, les déclarations de candidatures se multiplient. Anne Hidalgo ne devrait pas se représenter, elle a désigné le sénateur PS Remi Féraud pour lui succéder, mais le député Emmanuel Grégoire, son ancien premier adjoint a annoncé cette semaine qu'il se lançait également dans la course, quelques heures plus tard, c'est un sénateur communiste, Ian Brossat, qui se déclarait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches, Victor Pourcher reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment.
J - 4 avant les élections législatives. Le dernier épisode marquant de ce feuilleton, c'était le débat télévisé hier soir entre Jordan Bardella du RN, le Premier Ministre Gabriel Attal et Manuel Bompard du Nouveau Front Populaire. La semaine prochaine, Ian Brossat, participera à un autre débat débattre et représentera Le Nouveau Front Populaire. Ian Brossat, Sénateur de Paris et porte-parole du Parti Communiste est l'invité de RTL Bonsoir. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 26 juin 2024.
J - 4 avant les élections législatives. Le dernier épisode marquant de ce feuilleton, c'était le débat télévisé hier soir entre Jordan Bardella du RN, le Premier Ministre Gabriel Attal et Manuel Bompard du Nouveau Front Populaire. La semaine prochaine, Ian Brossat, participera à un autre débat débattre et représentera Le Nouveau Front Populaire. Ian Brossat, Sénateur de Paris et porte-parole du Parti Communiste est l'invité de RTL Bonsoir. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 26 juin 2024.
Avec : Ian Brossat, porte-parole du groupe communiste de Paris et membre du Nouveau Front Populaire. - Matthieu Rouault reçoit un invité au plus proche de l'actualité et donne la parole aux auditeurs.
Ce soir à 19h30, Ian Brossat, Xavier Lacovelli et Elsa Aurange seront les invités d'Alexia Elizabeth au cours d'un entretien d'une durée de 30 minutes sur BFM PARIS ÎLE-DE-FRANCE. L'émission «ÎLE-DE-FRANCE POLITIQUES» sera consacrée aux élections législatives anticipées. Les invités, Ian Brossat, Xavier Lacovelli et Elsa Aurange décrypteront toutes les actualités et enjeux du scrutin à venir. Les télespectateurs pourront suivre l'émission en direct, via l'application BFM PARIS ÎLE-DE-FRANCE et sur la plateforme RMC BFM PLAY. Tout au long de la soirée, les moments forts seront à retrouver également sur le site et les réseaux sociaux de BFM PARIS ÎLE-DE-FRANCE.
Hello Interactors,Behind every map is intent. When it comes to making plans for a city, streets are more than mere passageways; they are the cartography of power, exacting politics and ideology for the unfolding of urbanity. Paris is the blueprint of social order and control portrayed as a symbol of beauty and progress. I wanted to unravel the threads of intent, from communal aspirations to the heavy hand of authoritarianism — a kind of narrative map of a city renowned as much for its revolutions as for its romance.Let's go.COMMON ROOTS, CONTRASTING COMMUNITIESI'll offer a word and you examine your emotional reaction to it. Communism. If you're like me, you've been trained to have negative thoughts. Maybe even stop reading. Communism has been associated with authoritarian, repressive regimes that denied basic freedoms and human rights. Ask anyone who lived under these conditions and you can see why it's been ideologically blackballed in America.Now I'll offer another word. Community. Ah, yes, good vibes. Who could possibly be against community? It's strange how two words with common origins can differ so much by changing two letters.The word Communism comes from Karl Marx and Friedrich Engel's Kommunismus as early as 1847 and is derived from the French word communisme which first appeared three years earlier in 1843. This word comes from the Old French word comun meaning "common, general, free, open, public."A group of people in common, “the common people” who are not rulers of property, clergy, or monarchy, is from the 14th century French word comunité meaning "commonness, everybody" or community.I had the experience of checking my own reaction to the word communist while reading about how communist ideals helped a politician in Paris help his community.The French Communist senator, Ian Brossat, lead housing policy in Paris for a decade. He said his “guiding philosophy is that those who produce the riches of the city must have the right to live in it.” He and the local government under Mayor Hildago are doing their best to live up to this. Over the past decade, the French Communist Party has emphasized social justice and economic equality, advocating for stronger public services, wealth redistribution, and workers' rights. They've also focused on environmental sustainability, aligning with broader movements to address climate change and social disparities.People from all over the world are drawn to Paris for its diverse array of small shops, cafes, expansive boulevards, monuments, and museums. It exudes old-world charm complete with cobblers, tailors, jewelers, and luthiers tucked in and among various neighborhoods — some more manicured than others. It's a dappled array of diverse color and verdant softscapes that when viewed from afar offers an impression of a picture-perfect pointillist painting. Paris exists as a seemingly organic and emergent unfolding of placemaking complete with public spaces and parks for the taking — by all walks of life. For many, it's a composite of ideals that harken back to romantic images of a fashionable and stylistic ‘pick your favorite' century in Europe making it a perennial favorite destination for tourists.But surrounding the parks where healthy blossoms glow are stealthy property plots where wealthy funds grow. Amidst the green where healthy plants are planted longtime residents squirm as their neighbors are supplanted. Despite the city building or renovating “more than 82,000 apartments over the past three decades for families with children”, 2.4 million people are on the waiting list for affordable housing.(1)This isn't the first time economically disadvantaged people have been displaced from Paris. In 1853, one year after Napoleon Bonaparte's nephew Napoleon III declared himself emperor in a successful coup d'état, he wasted no time embarking on what many believe to be the biggest ‘urban renewal' project in history. It was famously led by a former prefect administrator, Georges-Eugène Haussmann. His swift and heavy hand pushed powerless Parisians to the periphery to build the Paris so many adore, only to have them return. A pattern that exists today.Napoleon III, exiled in England, was reluctant to return to a France in decline, marred by unemployment and poverty. By 1848, a massive influx of laborers had swollen Paris's population to over a million. Despite its picturesque image today, 19th-century Paris was a labyrinth of dilapidated buildings and narrow streets, lacking modern infrastructure, and grappling with increasing crime and deadly outbreaks, including a cholera epidemic that claimed 20,000 lives in 1832.The French author Honoré de Balzac wrote of Paris at the time, “'Look around you' as you ‘make your way through that huge stucco cage, that human beehive with black runnels marking its sections, and follow the ramifications of the idea which moves, stirs and ferments inside it.'”By 1848, France was besieged by societal strife as the monarchy's resurgence fueled public outrage, contrary to the Republic's ideals of liberty. Mass protests and strikes became common, culminating in a tragic clash at the Foreign Ministry where troops fired on protestors, killing 50. The slain were symbolically paraded through Paris, highlighting the oppressive turn of events. This ignited the Revolution of 1848; a diverse coalition, from students to disillusioned aristocrats, took to the streets, overwhelming the army and storming the King's palace. This mass uprising prompted the formation of a provisional government while monarchist officials, including Haussmann, fled the turmoil.In the power struggles of post-revolutionary France, neither Socialists nor Republicans could stabilize the economy or improve living conditions. As a result, calls for Napoleon III's return gained traction. He pledged to serve if elected, mirroring the American democratic elections model. He won a four-year term by a wide margin, but he did not have dominant support within the Assembly. Facing political opposition and public discontent as his term ended, Napoleon III dissolved the Assembly, fired his adversaries, and named himself emperor. A government for the people and by the people was attempted and failed. Long live the King. Authoritarianism was back to the cheers of many in the streets as Napoleon was pulled through the streets by carriage for three hours amidst roars of support.PARIS: FROM SIEGE TO CHICBy 1848, Parisians had erected numerous barricades, limiting Napoleon's access through the city. Originating in 1588 as a defense against soldiers, these barricades evolved from rudimentary stone walls into complex structures capable of withstanding cannon fire, serving both practical and symbolic roles in the city's history of civil resistance.Amidst the dawn of the Industrial Age in 1848, Napoleon III aimed to modernize Paris, differentiating it from the neo-gothic style of London's "Albertropolis." Preferring the era's new materials like iron and glass. Dismissing the gothic aesthetics, Napoleon, with Haussmann—a disciplined administrator with similar architectural sensibilities—set out to reshape Paris into a contemporary urban jewel.In the words of Hausmann reflecting in his memoir, “We ripped open the belly of old Paris, the neighborhood of revolt and barricades, and cut a large opening through the most impenetrable maze of alleys, piece by piece.”In Balzac's 1843 book Lost Illusions he captures the contrasting existence of society revealing the class Hausmann sought to favor at the expense of the other.The proletariat “live in insalubrious offices, pestilential courtrooms, small chambers with barred windows, spend their day weighed down by the weight of their affairs.” While the bourgeoisie enjoy “the great, airy, gilded salons, the mansions enclosed in gardens, the world of the rich, leisured, happy, moneyed people.”(2)Haussmann, satirically termed the "Artiste Démolisseur," enacted a policy akin to 'creative destruction' to achieve it. This is a concept Karl Marx alluded to and the Austrian Economist Joseph Schumpeter later popularized. In Marx and Friedrich Engels popular 1848 book “The Communist Manifesto” they used the term Vernichtung which describes the continuous devaluation of existing wealth to pave the way for the creation of new wealth.During the 1830s and '40s, monumental ‘devaluations' came at the expense of land and rivers paving the way for infrastructure like railroads and canals. Including other parts of the world. Americans, Indigenous and colonized, saw over 3000 miles of canals being dug by 1840 and 9,000 miles of railroad by 1850. We can all think of examples of ‘creative destruction' today — be it from bombs that fall or a wrecking ball.This 19th century period of transformation also saw France's first passenger train and the spread of a national railway network, all under Napoleon III's ambition to fortify France's economic stature. He promoted and founded new national banks to fund these transformations, fueling Marx's view that economic efficiencies could be gained through improved transportation.The rise of capitalism and the concept of 'the world market,' as Marx termed it, pushed for more efficient movement of people and goods, a task complicated by Paris's antiquated layout. Although Napoleon and Haussmann are credited with modernizing Paris, initiatives to improve urban circulation were already underway. Prior to 1833, significant canals, roads, and railways were constructed, and post-1832 cholera outbreak, efforts were made to expand the city and reduce congestion.Architectural and urban planning, including the design of the Place de la Concorde by Jacques Hittorff, aimed to push the city's boundaries. In 1843, Hippolyte Meynadier proposed major urban changes to improve air quality and circulation. Haussmann later embraced and amplified these existing plans with and without Napoleon's support. For example, Napoleon did not see the need to bringing running water to Paris, but Hausmann did it anyway.Hausmann was fond of expanding. Whereas these earlier plans were certainly grander than any in Paris, or possibly the world, Hausmann multiplied dimensions. Hittorf had drawn plans for some streets be obesely wide, even by today's standards, but Haussmann tripled the dimensions. For example, the road leading to the Arc de Triomphe, known now as the Champs-Élysées, was first drawn to be 120 feet wide. But Hausmann insisted it be 360 feet wide with an additional 40 feet of sidewalks on each side. He tripled the scale of a project that had already been tripled.What resulted was a diagonally criss-crossing web of stick straight boulevards with massive monuments strategically placed at nodes and termini. The Arc de Triomphe from above looks like a shining star with roads and boulevards as glimmering spires. Some scholars believe Hausmann, and his coconspirators, were the first to view the city as a technical problem to be solved from the top down. It was a civic product to be worked on with little regard for the people who were working within. This view of a city may have been influenced by the aerial photographer Nadar who from 1855 to 1858 perfected aerial photography in France. He patented the use of aerial photography for mapmaking and surveying in 1855. A WHOPPER OF A TRANSFORMATIONSoon after Hausmann finished the complete remaking of Paris in 1870, Friederic Engels published his 1872 book The Housing Question where he explored the housing crisis facing industrial workers of the 19th century. He criticized what became known as the Hausmannization of cities, writing,“By ‘Haussmann' I mean the practice which has now become general of making breaches in the working class quarters of our big towns, and particularly in those which are centrally situated, quite apart from whether this is done from considerations of public health and for beautifying the town, or owing to the demand for big centrally situated business premises, or owing to traffic requirements, such as the laying down of railways, streets, etc. No matter how different the reasons may be, the result is everywhere the same: the scandalous alleys and lanes disappear to the accompaniment of lavish self-praise from the bourgeoisie on account of this tremendous success, but they appear again immediately somewhere else and often in the immediate neighbourhood”Groups of people struggling to live in a city, “the common people”, those who were not rulers of property, clergy, or monarchy, began organizing as a community. Property owners spared by Hausmann's utter destruction saw their applications for building improvement permits rejected. In the years leading up to 1871, tensions were once again mounting in a city that had yet to form a municipal government.Meanwhile the Francho-Prussian War erupted in July of 1870 as France sought to assert its dominance in Europe fearing a pending alliance between Prussia and Spain. During the war, the French National Guard defended Paris. Given their proximity to growing working-class radicalism, sentiments began to be shared among soldiers.After a significant defeat of the French Army by the Germans, National Guard soldiers seized control of the city on March 18, killing two French army generals and refusing to accept the authority of the French national government. The community became a commune — common, general, free, open, and public.The commune governed Paris for two months, establishing policies that tended toward a progressive, anti-religious system of their own self-styled socialism. These policies included the separation of church and state, self-policing, the remission of rent, the abolition of child labor, and the right of employees to take over an enterprise deserted by its owner.Predictably, the Commune was ultimately suppressed by the national French Army at the end of May during "The Bloody Week” when an estimated 10-15,000 Communards were killed in battle or executed.The Commune's policies and outcome had a significant influence on the ideas of Karl Marx and Friedrich Engels, who described it as the first example of the dictatorship of the proletariat. Without it, it's unlikely Ian Brossat would have a Communist party fighting for fair living conditions. A modern day nod to those Communards slaughtered in 1871.Meanwhile, today's City Hall also ensures the persistence of the bucolic, romantic, idealistic — and perhaps classist — proprietors who help to sustain the manicured experience Hausmann set out to achieve nearly 200 years ago. Just as the government plays a role in controlling rent so less financially privileged can live and work there, so too does the government subsidize select city shops and restaurants that attract the well heeled. But they have their limits.The counselor in charge of managing commercial holdings said, “We don't rent to McDonald's, we don't rent to Burger King and we don't rent to Sephora.”These stores obviously exist, so clearly landlords across the city have long sold out to ‘world market' chains even Hausmann may frown upon. Even as the city take steps to ensure curated theme shops continue to exist. Hausmann may not have planned for this, but Paris did become a kind of a public theme park to the world.Given the history of radicals and conservatives toiling in a tug of war for centuries over what exactly the city should be and for whom, perhaps the conservative former housing minister now commercial developer, Benoist Apparu, put it best — “A city, if it's only made up of poor people, is a disaster. And if it's only made up of rich people, it's not much better.” (1)I, for one, was pleased to find a Burger King on the Champs-Élysées during my first trip to Paris as a teenager in 1984. After a few days of European food, I was ready for a Whopper. Of course, I was unaware of any of the socio-political or psychogeographical implications and ramifications of all this — both historically and in that moment. I was a middle-class mini-bougie white American eating comfort food while obliviously participating in the exploitive world of ‘rich, leisured, happy, and moneyed people' on a boulevard designed for it. But I was also in city that birthed liberty, the potential for revolutionary change, and the promise and struggle of egalitarian policies. This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit interplace.io
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 janvier 2024. Avec cette semaine : Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique. François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung. UN REMANIEMENT, POUR QUOI FAIRE ? Mardi, le président de la République a fait le choix de Gabriel Attal pour remplacer Elisabeth Borne à Matignon. Comme elle, issu du Parti socialiste, ce macroniste de la première heure a effectué une trajectoire gouvernementale fulgurante et, en moins de six mois Rue de Grenelle, une impressionnante ascension dans l'opinion. Sa nomination est un pari pour tenter de retrouver, avant les européennes, « l'audace » et le « mouvement » du début du premier quinquennat. Sur X (anciennement Twitter), Emmanuel Macron a défendu « la fidélité à l'esprit de 2017 : dépassement et audace ». Cette nomination s'inscrit dans la ligne de ses vœux aux Français, dans lesquels il insistait sur la nécessité d'un « réarmement » dans un certain nombre de domaines, « civique » notamment. L'Élysée précise qu'il s'agit d'« un choix de fond pour une nouvelle phase du quinquennat ». Gabriel Attal est attendu l'arme au pied par les oppositions qui n'ont vu en lui qu'un fac-similé du Président. Éric Ciotti (LR) dénonce « la communication permanente », Jean-Luc Mélenchon (LFI) moque un simple « porte-parole », le communiste Ian Brossat « un clone » et Olivier Faure (PS) juge qu'« Emmanuel Macron se succède à lui-même. » Dans la majorité, nombre de députés ont salué « l'élan » espéré via cette nomination. D'autres, tout en lui reconnaissant un grand sens politique et un « art consommé de la communication », estiment qu'il incarne le « désidéologisation de la politique ». Dans son discours d'arrivée à Matignon, Gabriel Attal a tenu à reprendre son thème fétiche des classes moyennes, de ceux « qui travaillent et qui financent nos services publics et notre modèle social » et qui « ne s'y retrouvent plus ». Le quotidien L'Opinion liste les douze travaux du tout nouveau chef du gouvernement : Vaincre le chômage ; Rembourser la dette ; Restaurer l'autorité ; Sauver la planète ; Réussir les Jeux Olympiques ; Assurer la survie du macronisme ; Vaincre le Rassemblement national ; Convaincre la droite ; Calmer l'aile gauche ; Relever le niveau à l'école ; Faire face aux urgences ; Apprivoiser les poids lourds. Le défi le plus proche est celui des élections européennes de juin prochain qui s'annoncent difficiles pour la majorité face au Rassemblement national et qui seront une étape majeure avant la présidentielle de 2027 et la succession d'Emmanuel Macron. *** ISRAËL, TOUJOURS PLUS LA GUERRE ? Trois mois après l'attaque terroriste du Hamas le 7 octobre, Israël est toujours plongé dans la guerre et rien ne semble indiquer une prochaine sortie de crise. Le conflit pourrait même entrer dans une nouvelle phase. L'assassinat ciblé le 2 janvier, à Beyrouth, de Saleh al-Arouri, numéro deux de la branche politique du Hamas, réveille la crainte qu'il ne prenne une dimension régionale avec l'ouverture d'un nouveau front au nord d'Israël. « Le crime que constitue l'assassinat de Saleh Al-Arouri au cœur de la banlieue sud de Beyrouth est une grave agression contre le Liban (…) et ne restera pas sans riposte ou impuni », a promis le Hezbollah. Le ministère iranien des affaires étrangères a déclaré que l'assassinat de Saleh Al-Arouri allait donner encore plus de motivation à l'« axe de résistance » contre Israël. Un porte-parole de l'armée israélienne a affirmé que « Tsahal est prête à faire face à tous les scénarios », autrement dit à une guerre sur plusieurs fronts au sud à Gaza, au nord au Liban et en Syrie, sans compter de possibles tirs de missiles des Houthis yéménites alliés de Téhéran ou de milices pro-iraniennes depuis l'Irak. Le ministre de la Défense, Yoav Gallant a rappelé les objectifs des forces de défense israéliennes : le retour des otages israéliens, le démantèlement militaire et opérationnel du Hamas, la suppression de la menace sécuritaire dans la bande de Gaza. Cependant, l'armée a besoin de clarifications, afin de réduire le nombre de ses troupes au sol. Un redéploiement attendu en janvier est déjà signalé. Tsahal souhaite préserver ses réservistes pour une guerre longue, qui coûte quelque 100 millions d'euros par jour, et préparer une éventuelle poursuite de la guerre au nord du pays, contre le Hezbollah libanais. D'importants renforts militaires ont été déployés en Cisjordanie ainsi qu'à la frontière avec le Liban. Le 6 janvier, l'armée israélienne annonçait avoir « achevé le démantèlement de la structure militaire du Hamas dans le nord de la bande de Gaza » : seules des bandes de miliciens isolés y agiraient encore. Plus de 80% de la population dans la bande de Gaza a dû abandonner ses foyers, plus de 22.000 personnes, civils et combattants, ont été tuées et 7.000 sont portées disparues, selon le ministère de la santé de Gaza. L'armée israélienne reconnaît implicitement que les deux tiers d'entre eux sont des civils, et non des combattants ennemis. De son côté, elle a perdu 175 soldats depuis le début de son offensive terrestre, le 27 octobre. En amont de la visite du secrétaire d'État américain Anthony Blinken dans la région, le ministre israélien de la Défense a présenté pour la première fois depuis le 7 octobre des pistes pour l'après-guerre. Dans son scénario, pas de retour des colons israéliens dans la bande de Gaza mais une administration locale validée par Israël, qui garderait le contrôle militaire du territoire. Ce plan est contesté au sein même du gouvernement israélien, dont les ministres ultra-nationalistes sont favorables à l'implantation de colonies. Benyamin Netanyahou, qui a besoin de leur soutien pour garder la majorité à la Knesset, ne s'est pas encore prononcé clairement.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:14:30 - Journal de 7 h - C'est une idée lancée par Ian Brossat (sénateur et conseiller communiste de Paris) après le décès de deux sans domicile fixe dans les Hauts-de-Seine et dans le Vaucluse.
durée : 00:14:30 - Journal de 7 h - C'est une idée lancée par Ian Brossat (sénateur et conseiller communiste de Paris) après le décès de deux sans domicile fixe dans les Hauts-de-Seine et dans le Vaucluse.
durée : 00:16:34 - 8h30 franceinfo - Le sénateur de Paris, porte-parole du Parti communiste français, était l'invité du "8h30 franceinfo", samedi 6 janvier 2024.
durée : 00:07:42 - 18h20 franceinfo - Le ministre des Transports a dit jeudi qu'il s'opposait à la réduction de la vitesse sur le périphérique parisien souhaitée par la mairie. "Il ferait bien de s'occuper de ce dont il a la charge", répond Ian Brossat.
durée : 00:07:49 - 18h20 franceinfo - Ian Brossat, le porte-parole du PCF, était l'invité de franceinfo le 10 octobre 2023.
Pour sa deuxième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Ian Brossat, porte-parole du Parti communiste (PCF), adjoint à la mairie de Paris en charge du logement est ce lundi 18 septembre, l'Invité du matin de RFI. Politique française, situation à Lampedusa, harcèlement scolaire... Il répond aux questions de Frédéric Rivière.
Ecoutez Le débat avec Yves Calvi et Amandine Bégot du 16 janvier 2023
Avec Ian Brossat, porte parole du PCF et Maire adjoint de Paris en charge du logement
L'interview Politique du 27 décembre avec Ian Brossat, porte-parole du PCF
durée : 00:26:23 - 8h30 franceinfo - L'adjoint à la maire de Paris en charge du logement était l'invité du 8h30 franceinfo du lundi 26 décembre, il répondait aux questions de Julie Marie-Leconte et Nicolas Teillard
Ecoutez Le débat avec Yves Calvi et Amandine Bégot du 05 décembre 2022
Ecoutez Le débat avec Yves Calvi et Amandine Bégot du 05 décembre 2022
Avec Ian Brossat, Maire adjoint de Paris en charge du logement, de l'hébergement d'urgence et la protection des réfugiés et porte parole du PCF
durée : 00:07:37 - 18h20 franceinfo - Le député RN Grégoire de Fournas a crié "qu'il(s) retourne(nt) en Afrique !", alors que Carlos Martens Bilongo, député LFI, posait une question au gouvernement sur les migrants.
Réforme des retraites, augmentation du prix de l'énergie, remontée de la droite nationale dans plusieurs pays d'Europe... Entretien avec Ian Brossat, porte-parole du PCF et adjoint à la maire de Paris.
Avec Ian Brossat, maire adjoint de Paris en charge du logement et porte parole du PCF
« Inflation, réforme de l'assurance chômage, retraites… La rentrée sociale sera explosive, prévient Libération. À gauche comme chez les syndicats, tous en sont certains. "Je sens que ça bout, tous les éléments sont là", gage Aurélie Trouvé, députée insoumise, issue de l'organisation altermondialiste Attac. L'Insee prévoit un pic d'inflation autour de 7 % à la rentrée, de quoi gonfler le prix des fournitures scolaires et de l'essence. La réponse du gouvernement ? "Il reste arc-bouté sur un message ultralibéral. Ce qu'il n'a pas entendu dans les urnes, il faudra lui faire comprendre dans la rue", tempête le porte-parole communiste, Ian Brossat. » Commentaire de Libération : « Cette rentrée-ci, c'est de la nitroglycérine ». Libération qui s'appuie sur un sondage Viavoice selon lequel « 68 % des Français anticipent une rentrée agitée, sous le signe de mouvements sociaux d'ampleur. Après un été les yeux rivés sur les prix, ce qui les inquiète le plus, c'est évidemment le pouvoir d'achat. Le paquet législatif adopté par le Parlement au début du mois n'a pas soldé le sujet, loin de là ! », s'exclame encore Libération. « Et parlez aux Français de la réforme de l'assurance-chômage, de celle du RSA, du mutisme sur les salaires et des incertitudes concernant le recul de l'âge de la retraite… Vous verrez. » Un paysage politique éclaté « La rentrée est toujours annoncée comme "chaude", rappelle pour sa part Le Figaro. Cette année n'échappe pas à la tradition. Il est vrai que le retour de l'inflation, la flambée des prix de l'énergie, les conséquences de la guerre en Ukraine suscitent des craintes et des tensions. Mais, à ce climat, s'ajoute un contexte inédit, relève le quotidien de droite : un paysage politique éclaté comme jamais. Le président de la République et son gouvernement ne disposent pas d'une majorité absolue, et donc d'une totale liberté d'action. Quant à l'opposition, si elle est plurielle, elle est surtout répartie entre les deux extrêmes, à gauche et à droite. Dans ces conditions, s'interroge Le Figaro, Emmanuel Macron va-t-il pouvoir conduire les réformes qu'il entend entreprendre ? Rien n'est moins sûr, tellement l'adversité est forte. » Macron indéchiffrable ? Qui plus est, pointe Le Monde, le chef de l'État est critiqué également dans son propre camp… « Si les temps sont troublés, ils permettent de camoufler le fait que le cap d'Emmanuel Macron l'est, lui aussi. Depuis qu'il a lancé sa campagne pour sa réélection, en février, l'ancien ministre de l'Économie ne parvient pas à expliquer le but qu'il a fixé à son nouveau mandat. Le réformateur échevelé a vécu ; ses amis pointent un "manque de projection stratégique", voire s'agacent d'un pouvoir qui "patauge". "Ce quinquennat semble avancer semestre par semestre, au gré d'une gestion de crise permanente, explique l'ancienne "plume" du chef de l'État, Sylvain Fort. Cette prudence manifeste sans doute la conscience de la menace que font peser les crises exogènes, qui supposent de ne pas fragiliser le national. » D'où cette interrogation de L'Opinion : « Le président s'appuierait-il sur les risques extérieurs pour minimiser sa relative impuissance interne et justifier une forme de résignation à la donne post-législative ? Pour ses proches et ses soutiens, le chef de l'État demeure une énigme que le silence de ses vacances et sa solitude renforcée rendent encore plus indéchiffrable et lointaine ». Urgence climatique : quelque chose est en marche ? À lire également cette fois dans La Croix : la prise de conscience des Français face à l'ampleur du réchauffement climatique… « Il n'est plus possible de détourner le regard, affirme La Croix. Ni de le porter systématiquement, et un brin dédaigneusement, sur les seuls pays en développement. Les effets du réchauffement climatique ont explosé cet été, sous nos yeux d'Occidentaux impuissants. Au-delà de l'émotion, une mise au pied du mur. Et une prise de conscience que l'on veut croire, à l'instar de notre responsabilité, collective. Et durable. (…) Quelque chose est en marche, s'exclame encore La Croix, de l'ordre d'un changement de paradigme, qui nous oblige tous. Le temps est à l'action. Et l'attention portée à la rentrée au pouvoir d'achat des Français ne devra pas occulter l'urgence qu'il y a à décarboner notre économie. À l'image de cet été brûlant, le prix à payer en serait écrasant. »
Avec Ian Brossat, Maire adjoint de Paris en charge du logement et Porte-Parole du PCF
Ian Brossat, porte-parole du Parti communiste français était ce lundi 23 mai, l'invité du matin de RFI. Politique française, alors que le gouvernement Elisabeth Borne tient aujourd'hui son premier Conseil des ministres, dans un climat tendu avec la polémique sur Damien Abad, ministre des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées, et des critiques, pour Pap Ndiaye, le ministre de l'Éducation nationale … Il répond aux questions de Frédéric Rivière.
Le programme de la Nouvelle union populaire écologique et sociale a été présenté jeudi 19 mai et il n'a pas toujours reçu un écho médiatique à la hauteur du rassemblement politique qu'il représente. Si l'on veut connaître la nuance politique d'un journal ou son degré de compréhension de la gauche à trois semaines des élections législatives, il suffit de regarder son traitement de la conférence de presse des 650 propositions de la Nupes, la Nouvelle union populaire écologique et sociale qui rassemble insoumis, écologistes, socialistes et communistes. Pour ce « programme partagé », présenté jeudi 19 mai 2022, c'est un traitement a minima avec seulement un maigre article perdu dans une page intérieure pour Le Figaro, Le Parisien ou Les Échos, propriété de Dassault ou de LVMH. En revanche, il a fait la Une pour L'Humanité, Libération et Le Monde. Il faut dire que ce programme commun de la gauche, qui rappelle celui de 1972, est un événement incontestable que seul le parti-pris peut faire mine d'ignorer. Et pourtant, ni le 20h de Julien Arnaud sur TF1, ni celui de France 2 n'ont jugé digne de lui consacrer le moindre titre. La politique, dit-on, n'intéresse personne. Pourtant, il y avait là, à la fois de l'image, du symbole et du fond. Pour la photo, il n'est pas courant de voir sur la même scène Olivier Faure pour le PS, Julien Bayou pour Europe Écologie-Les Verts, Ian Brossat pour le PC et Jean-Luc Mélenchon pour les insoumis. Pour le symbole, il est encore plus notable de voir que toutes ces formations ont été capables de s'entendre sur le nom de Mélenchon comme Premier ministre et de mettre entre parenthèses leurs différences pour présenter des propositions communes, dans 95% des cas. Et parmi elles, la possibilité de changements en profondeur pour des dizaines de millions de personnes. Que ce soit un SMIC passant de 1 300 à 1 500 euros net, une révolution fiscale avec 14 tranches d'imposition au lieu de cinq, la retraite à 60 ans, un investissement massif dans la bifurcation écologique avec un million d'emplois à la clé, le blocage des prix de première nécessité… Bref, une rupture « raisonnée mais ferme » comme dit le leader de la France insoumise. Le soir du premier tour, un comptage par formation politique a pour but d'éviter de montrer la force de Nupes. De la même façon, beaucoup de contre-feux semblent allumés pour détourner les médias de cette union politique. Il y a les sujets légitimes comme le nouveau gouvernement, l'Ukraine, Cannes… et puis ceux qui semblent faits pour rallumer des polémiques, comme l'affaire du burkini à la piscine de Grenoble. Face à cela, Nupes promet de revoir pas mal de choses dans les médias avec une loi anti-concentration, un Conseil national des médias ou encore des mesures de protection contre les influences politiques et financières dans les rédactions.
Photo de famille avec Jean Luc Mélenchon, Olivier Faure pour le PS, Julien Bayou pour les Verts et Ian Brossat pour le parti communiste à la présentation du programme de la Nupes.
Le 1er mai, la fête du Travail s'organise avec les défilés annuels des syndicats qui ont comme principale revendication, le pouvoir d'achat. Une semaine après sa réélection, Emmanuel Macron s'est engagé à augmenter le SMIC, le poids d'indice pour les fonctionnaires accompagné d'une nouvelle mesure pour faire face à la flambée des prix de l'énergie. Pour Ian Brossat, cela reste « insuffisant ». Le porte-parole du Parti communiste français dénonce à fortiori un problème de salaires qui se heurtent à l'inflation évaluée aujourd'hui à 5%. « Les Français n'arrivent pas à vivre dignement de leur travail » fustige notre invité au micro de Valérie Astruc avant d'appeler le gouvernement à aller « au-delà de ce qui est prévu pour le SMIC ». « Ce que nous réclamons avec Fabien Roussel, c'est un SMIC à 1500€ net soit 1900€ brut ce qui donnera de l'air au pouvoir d'achat et aux Français qui n'arrivent pas à boucler leur fin de mois […] nous sommes devenus un pays de bas salaire » explique le militant qui souhaite rediscuter du partage des richesses à commencer par la réformation des aides aux entreprises conditionnées à l'augmentation des salaires. Parmi les propositions mises sur la table par Emmanuel Macron, l'automatisation du versement de l'intéressement de participation quand les entreprises versent des profits. « C'est une manière de ne pas aborder la question des salaires » lance notre invité. Tout au long de sa campagne, le chef de file LREM n'aura de cesse de jouer la carte du plein emploi pour résoudre la crise du pouvoir d'achat. Pourtant, la baisse du chômage n'a pas réglé la question, ce à quoi le PCF souhaite remédier en redistribuant les richesses. Plan retraite : le bras de fer entre Emmanuel Macron et la gauche communiste Parmi les mesures polémiques abordées au cours de la campagne du Président sortant, le report de l'âge de départ à la retraite aurait pu coûter la réélection du candidat LREM. En effet, le sujet épineux des retraites n'a pas manqué d'indigner la gauche dont le PCF représenté par Fabien Roussel. Depuis, Emmanuel Macron a redessiné les contours de sa réforme. « Je n'y crois pas […] son ministre de l'Économie n'a pas exclut le recours au 49-3, tout cela traduit qu'il y a beaucoup d'hypocrisie en matière de méthode à l'approche des élections législatives » argue Ian Brossat qui s'oppose fermement à la réforme des retraites à 65 ans. Si le porte-parole du Parti communiste français promeut le rétablissement des départs à la retraite à 60 ans, la CFDT s'interroge sur la faisabilité du projet porté par Fabien Roussel et d'autres candidats. Élections législatives : une coalition de la gauche derrière Jean-Luc Mélenchon ? Alors que le PCF a entamé des négociations avec la France Insoumise dont le chef de file a obtenu 21,7% des suffrages à la présidentielle, peut-on espérer une photo de famille en marge du 1er mai ? « Avec Fabien Roussel, nous sommes déterminés à ce qu'il y ait un accord de l'ensemble des forces de gauche pour ces élections législatives » défend Ian Brossat qui souhaite rafistoler la gauche pourtant morcelée durant les campagnes présidentielles. Pour ou contre l'affiche Jean-Luc Mélenchon à Matignon ? « Oui, il est arrivé en tête de la gauche à l'élection présidentielle donc la logique c'est qu'il soit Premier ministre » concède notre invité qui ne perd pas pour autant ses convictions communistes en tant qu'élu PCF. Parmi les lignes rouges à ne pas franchir, la question du nucléaire divise les partis à gauche. « Nous sommes favorables au nucléaire dans le cadre d'un mix énergétique et cela ne doit pas nous empêcher de nous rassembler » explique Ian Brossat qui refuse de renoncer à son identité au prix de l'unité.
Avec Ian Brossat, directeur de campagne de Fabien Roussel et maire adjoint à Paris
À moins de trois semaines du premier tour de la présidentielle, émission spéciale avec trois candidats à la présidentielle. - Ian Brossat, directeur de campagne de Fabien Roussel du Parti communiste et candidat à l'élection présidentielle - Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte ouvrière et candidate à l'élection présidentielle - Philippe Poutou, candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à l'élection présidentielle.
Cinquième numéro de notre série d'émissions spéciales consacrées à l'élection présidentielle. Ce soir, au menu : le programme de Fabien Roussel, candidat du Parti communiste français. Actuellement crédité de 3 à 5 % dans les sondages, il bénéficie d'une légère dynamique qui a attiré sur lui les projecteurs médiatiques. Pour parler du programme et notamment de la question des inégalités sociales, la Matinale reçoit ce soir Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris en charge du logement et directeur de campagne du candidat communiste. Le Zoom de la rédaction laisse place ce soir à la poésie, avec Luc-Eric Krief, qui vient nous parler du tome I de son recueil poétique Amour et po'aimes, récemment paru aux éditions Vérone. Enfin, Lucia Gicquel viendra conclure cette émission en nous parlant de Lucrèce Borgia. Le drame de Victor Hugo se joue en ce moment au théâtre de l'Archipel à Paris. Présentation : Hugo Passard / Réalisation : Margot Page / Zoom : Adalyen de Particule / Chronique : Lucia Gicquel / Coordination : Hugo Leroi
durée : 00:02:14 - Le vrai du faux - par : Antoine KREMPF - Le porte-parole du candidat communiste à la présidentielle estime qu'une "bombe sociale" se profile avec la mise en place des zones à faibles émissions. D'après Ian Brossat, dix millions de voitures seront impactées. Cette évaluation est pourtant difficile à faire.
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit Ian Brossat, directeur de campagne de Fabien Roussel
durée : 00:08:11 - 18h50 franceinfo - Le gouvernement doit radicalement changer de stratégie pour convaincre les millions de français non vaccinés, selon le directeur de campagne du candidat du parti communiste à l'élection présidentielle.
durée : 00:41:09 - Politique ! - par : Grégory Philipps - A quelques mois de la présidentielle, la gauche ne décolle pas dans les sondages. Certains (comme Anne Hidalgo, Arnaud Montebourg) appellent à une primaire pour une candidature commune. Une campagne sur fond d'épidémie de Covid19 et de crise dans les hôpitaux. - invités : Ian Brossat Adjoint (PCF) à la Maire de Paris chargé du Logement et de l'Hébergement d'urgence
durée : 00:41:09 - Politique ! - par : Grégory Philipps - A quelques mois de la présidentielle, la gauche ne décolle pas dans les sondages. Certains (comme Anne Hidalgo, Arnaud Montebourg) appellent à une primaire pour une candidature commune. Une campagne sur fond d'épidémie de Covid19 et de crise dans les hôpitaux. - invités : Ian Brossat Adjoint (PCF) à la Maire de Paris chargé du Logement et de l'Hébergement d'urgence
durée : 00:02:08 - Le vrai du faux - par : Antoine KREMPF - L'adjoint à la maire de Paris assure que l'encadrement des loyers dans la capitale serait plus efficace avec davantage de contrôles et de sanctions. Selon lui, le préfet n'a prononcé qu'une dizaine d'amendes l'an passé. C'est même moins que cela, mais les locataires ont quand même souvent obtenu gain de cause.
durée : 00:58:32 - Le 13 / 14 - par : Bruno DUVIC - L'encadrement des loyers avec Ian Brossat et Jean-René Etchegaray
Ian Brossat - Maire adjoint de Paris en charge du logement et directeur de campagne de Fabien Roussel
Avec : David Dickens, directeur marketing. Johnny Blanc, fromager. Et Léa Falco, étudiante. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Avec : David Dickens, directeur marketing. Johnny Blanc, fromager. Et Léa Falco, étudiante. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Ce sont les vacances, il y a moins de touristes étrangers que les autres années suite à la crise sanitaire. À Paris, Ian Brossat , l'adjoint au logement fait la chasse à la location des meublés... Radio Immo, première webradio d'information immobilière
Dans l'Interview Politique de cette semaine, Le Crayon reçoit l'adjoint à la maire de Paris, Ian Brossat. Depuis 2008, il est adjoint auprès d'Anne Hidalgo, chargé du logement, de l'hébergement d'urgence et de la protection des réfugiés. Il est également porte-parole du Parti Communiste Français (PCF) et engagé aujourd'hui dans sa campagne pour les présidentielles représentée par Fabien Roussel. Dans cet entretien, il discute avec Jules de la situation de la gauche aujourd'hui et des commémorations de la mort de Napoléon et la Commune de Paris. On le questionne aussi sur les logements et l'insécurité dans certains quartiers parisiens. Enfin, on y parle de fin de vie et d'euthanasie après la tribune publiée par Nicolas Bedos. Cette interview s'inscrit dans notre volonté de donner une parole longue et approfondie avec les politiques de tous les bords et de toutes les représentativités. Questions 0:00 - Intro 1:00 - La vision du PCF 1:41 - Quels sont les grands axes ? 2:55 - La gauche enfermée dans la question sociale ? 5:04 - La manifestation du 19 mai 6:20 - L'union de la gauche, c'est mort ? 7:35 - Une gauche éparpillée ? 8:58 - Des commémorations différentes entre la gauche et la droite 10:43 - Une avancée sur les logements à Paris 13:28 - Le crack à Stalingrad, l'Etat absent ? 15:46 - Tribune de Nicolas Bedos sur la fin de vie 19:00 - Favorable à l'euthanasie ? 19:18 - Une suggestion d'invité ? 19:27 - Trace tes contours Si la vidéo vous a plu, faites-le nous savoir en commentaire et partagez-la autour de vous ! Le Crayon Trace tes contours ! #interviewpolitique #ianbrossat #pcf #gauche #policiers #insécurité #logements #commémorations Retrouve les vidéos et articles du Crayon ! ► L'Agora : https://www.facebook.com/groups/172935404238910 ► Facebook : https://www.facebook.com/lecrayonmedia/ ► Instagram : https://www.instagram.com/lecrayonmedia/ ► Twitter : https://twitter.com/lecrayonmedia ► LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-crayon-politique/
Ian Brossat, porte-parole du Parti communiste français (PCF), directeur de campagne de Fabien Roussel, adjoint à la maire de Paris en charge du logement, est l'invité du matin de Frédéric Rivière.
durée : 00:24:33 - 8h30 franceinfo - L'adjoint à la mairie de Paris et directeur de campagne du candidat communiste à l'élection présidentielle de 2022 était l'invité de franceinfo.
Ian Brossat, porte-parole du PCF et maire adjoint de Paris en charge du Logement
Ian Brossat, porte-parole du Parti Communiste et adjoint à la maire de Paris, était l'invité de Fréquence ESJ mardi 27 avril. Au programme de "20h, l'invité" : Le déconfinement en approche, la campagne de vaccination, l'attentat de Rambouillet et la sécurité en France, l'union des Gauches, avec ou sans les communistes, l'affaire Halimi et les logements sociaux à Paris. Ian Brossat a répondu aux questions de Bastien Cochet, Théo Grévin, Axel Raybaud et Raphaël Bardenat. Une émission présentée par Manon Blangis.
Ian Brossat, porte-parole du Parti Communiste et adjoint à la maire de Paris, était l'invité de Fréquence ESJ mardi 27 avril. Au programme de "20h, l'invité" : Le déconfinement en approche, la campagne de vaccination, l'attentat de Rambouillet et la sécurité en France, l'union des Gauches, avec ou sans les communistes, l'affaire Halimi et les logements sociaux à Paris. Ian Brossat a répondu aux questions de Bastien Cochet, Théo Grévin, Axel Raybaud et Raphaël Bardenat. Une émission présentée par Manon Blangis.
Ian Brossat, porte-parole du Parti Communiste et adjoint à la maire de Paris, était l'invité de Fréquence ESJ mardi 27 avril. Au programme de "20h, l'invité" : Le déconfinement en approche, la campagne de vaccination, l'attentat de Rambouillet et la sécurité en France, l'union des Gauches, avec ou sans les communistes, l'affaire Halimi et les logements sociaux à Paris. Ian Brossat a répondu aux questions de Bastien Cochet, Théo Grévin, Axel Raybaud et Raphaël Bardenat. Une émission présentée par Manon Blangis.
Ce dimanche 11 avril, Fabien Roussel a été désigné candidat à l'élection présidentielle de 2022 du Parti communiste français (PCF). C'est la première fois depuis 2007 que le PCF propose son propre candidat, après s'être rallié à Jean-Luc Mélenchon aux deux dernières élections. Ian Brossat, porte-parole du PCF et maire adjoint à la mairie de Paris, répond aux questions de Frédéric Rivière.
Ian Brossat, porte parole du PCF et maire adjoint de Paris en charge du logement
Le 10 ème épisode de Civis avec Ian Brossat ! On aborde avec lui le communisme au 21ème siècle, le rapport du parti communiste à l’écologie, aux luttes LGBT et au féminisme.Et également son action personnelle d’adjoint au logement de la ville de Paris, notamment sa politique de logement social et de lutte contre Airbnb et la gentrification de Paris. Retrouvez toutes nos vidéos en podcast sur Apple Podcast, Podcloud, Majelan et toutes les autres plateformes de streaming audio.Ainsi que sur notre site civispodcast.fr Si cet entretien vous a intéressé n’hésitez pas à vous abonner, à commenter et à nous suivre sur nos différents réseaux sociaux. Retrouvez nous sur :Twitter : https://twitter.com/civispodcastInstagram : https://www.instagram.com/civispodcast/Facebook : https://www.facebook.com/civispodcast/Contactez nous par mail : civispodcast@gmail.com Avec le soutien du Pays d'Auray Crédit Photo : Ulysse Guttmann-FaureRéalisation / Montage et questions : Manon SzwarcbergInterview : Benjamin Flohic
Le porte-parole du PCF, adjoint à la maire de Paris, était l'invité du Talk-Le Figaro. En charge du logement, Ian Brossat étrille la candidate LR. Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy
Si l'accès au logement à Paris est de plus en plus difficile pour les Parisiens aux revenus modestes, la Ville de Paris actionne tous les leviers qu'elle a en sa disposition pour protéger les Parisiens contre la spéculation immobilière : construction de logement sociaux et étudiants, lutte contre les excès d'Airbnb ou les logements vacants, etc. Entretien avec Ian Brossat, Adjoint à la Maire de Paris chargé de toutes les questions relatives au logement, à l'habitat durable et à l'hébergement d'urgence Écoutez ce podcast sur votre plateforme préférée : Apple Podcasts, Deezer, Spotify, Google Podcasts, Podcast Addict, Majelan et YouTube. À propos : « Paris en commun » est une plateforme citoyenne, en soutien à Anne Hidalgo, dont le but est de promouvoir les réflexions et les idées qui permettront de relever les grands défis urbains et environnementaux du 21ème siècle. Crédit photo : Mathieu Delmestre
durée : 00:04:36 - Ils ont fait l'actu - 26 mai 2019. Il l'avait affirmé, sa liste devait être "la surprise des élections européennes". La défaite fut cuisante pour Ian Brossat, le candidat du parti communiste.
Mardi 18 septembre, Ian Brossat, adjoint à la Mairie de Paris chargé des questions relatives au logement, de l’habitat durable et de l’hébergement d’urgence, présentait son essai, Airbnb, la ville ubérisée (éditions La Ville Brûle) à la librairie Le Genre Urbain (75020). L’occasion de revenir sur les évolutions des relations entre la mairie et l’entreprise Airbnb, fondée en 2007. Car, comme il le souligne, le boom de cette plateforme communautaire a plusieurs conséquences sur la capitale. Dans un premier temps, on observe une hémorragie du logements à Paris - ces cinq dernières années, 20 000 logements ont été transformés en meublés touristiques loués toute l’année, alors que le nombre de logements neufs construit chaque année est de 5 000. Cette baisse de logements disponibles a un impact sur les prix car le rapport de l’offre et de la demande est encore plus tendu. Enfin, Ian Brossat dénonce Airbnb comme un accélérateur de la gentrification et la perte d’identité de certains quartiers parisiens. Avant 2016, un règlement municipal condamnait les propriétaires qui louaient illégalement leur bien. Mais jusqu’à très récemment, seul le propriétaire immobilier était condamné, mais jamais la plateforme communautaire. En janvier 2016, le projet de loi pour une République numérique est modifié : les villes ont la possibilité de mettre en place un système de numéro d’enregistrement des logements, ainsi, un registre des loueurs est créé, facilitant les contrôles. De son côté, la plateforme Airbnb est obligée d’enlever les annonces n’ayant pas ce numéro d’enregistrement. A partir de cette année, plus aucun dialogue n’était possible entre Airbnb et la mairie de Paris. Ian Brossat explique dans son livre, comment Airbnb parvient à échapper aux sanctions et envisage de se tourner vers la Commission Européenne pour contre-carrer les législations locales mises en place à Paris, Berlin, Madrid, Barcelone et Amsterdam. Pour contrer cela, une rencontre entre la Commission Européenne et ces villes est prévue le 24 septembre 2018. Deux évolutions permettent de penser que le combat n’est pas perdu d’avance : la coalition entre ces villes européennes, et le réveil de l’opinion publique à ce sujet-là. Au-delà des dénonciations de « l’économie de prédation » livrée par la plateforme Airbnb, l’adjoint à la mairie pose la question de la spéculation immobilière à Paris en soulignant la nécessité de politiser les actions de la ville et de mettre en effervescence les citoyens car il existe encore trop peu de mouvements sociaux sur la question du logement.