Podcasts about le rsa

La réforme du RSA entrée en vigueur en janvier 2023 impose aux bénéficiaires 15 à 20 heures hebdomadaires d'activités d'insertion (recherche d'emploi, formation, permis). Bien que critiquée, cette mesure vise à combattre le faible taux de sortie du dispositif (40% d'allocataires de longue durée). L'économiste Olivier Babaud défend cette approche, soulignant les premiers résultats encourageants avec 42% des participants ayant retrouvé un emploi durable. Il met en avant l'intérêt économique : création de valeur, cotisations supplémentaires et réduction des prestations sociales.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Pour débuter l'émission de ce vendredi 3 janvier 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent du sujet du jour : Le RSA contre 15 heures d'activité par semaine, pour ?

Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur : Le RSA contre 15 heures d'activité par semaine, pour ? ; Darmanin veut taper aux portefeuilles des narcotrafiquants. Avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".

Thune prend un peu de vacances mais ne vous laisse pas seul.e.s ! Marie eu du fric, n'a plus eu de fric. A eu des enfants, a connu la rue. Aujourd'hui elle a la cinquantaine. On s'est posées à une terrasse de bistrot il y a un an et demi, elle a accepté de parler de thune, librement. Elle est "colportrice de journaux", touche le RSA et vit dans un studio dans une cité de Marseille. Elle paye son loyer en retard. Elle s'est blessée à la cheville. Mais ça va. Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Tous les matins, la rédaction de Capital décrypte l'actualité économique française et étrangère : impôts, high-tech, épargne, immobilier, entreprises, bourse, carrière... vous ne manquerez rien de l'info éco du jour grâce aux journalistes du premier magazine économique de France.

Un citoyen français peut toucher le revenu de solidarité active (RSA) s'il est âgé d'au moins 25 ans et qu'il réside habituellement sur le territoire national. Les étudiants ou les stagiaires non rémunérés, pas plus que les personnes bénéficiant d'un congé parental ou d'un congé sans solde ne peuvent toucher le RSA.D'autres conditions, concernant notamment la détention d'une carte de séjour et la durée de travail en France, sont exigées des personnes de nationalité étrangère. Elles ne sont pas les mêmes selon qu'il s'agit d'un ressortissant de l'Union européenne ou d'une personne venant d'un autre pays.Par ailleurs, l'octroi du RSA est soumis à des conditions de ressources. À cet égard, le plafond à ne pas dépasser dépend de la composition du foyer. Enfin, la perception du RSA peut s'ajouter, sous certaines conditions, à celle des allocations chômage.Une réforme du RSADéputés et sénateurs viennent de s'entendre sur un texte commun au sujet du projet de loi Plein emploi. Il comporte notamment une réforme de Pôle Emploi, qui devrait désormais s'appeler France Travail, et du RSA.Concernant cette allocation, l'une des principales mesures concerne l'obligation, pour les bénéficiaires, de consacrer au moins 15 heures par semaine à des activités. Elles seraient encadrées par la signature d'un "contrat d'engagement".Ces activités ne se présentent pas précisément sous la forme d'un travail, mais plutôt d'un accompagnement devant favoriser le retour à l'emploi. Les allocataires pourront ainsi participer à un stage, une formation ou à des ateliers leur permettant de faire le point sur leur situation.Le texte a été durci par rapport à la version adoptée par les députés. En effet, il n'est plus question, dans le texte commun, d'imposer aux allocataires 15 heures d'activités au maximum, mais une durée de travail d'au moins 15 heures.Cependant, des dérogations sont prévues. En effet, la situation personnelle de chaque bénéficiaire sera prise en compte. L'état de santé, une situation d'invalidité ou encore l'absence de solutions de garde des enfants pour un parent isolé pourront ainsi donner droit à une diminution de ce temps d'activités. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Un citoyen français peut toucher le revenu de solidarité active (RSA) s'il est âgé d'au moins 25 ans et qu'il réside habituellement sur le territoire national. Les étudiants ou les stagiaires non rémunérés, pas plus que les personnes bénéficiant d'un congé parental ou d'un congé sans solde ne peuvent toucher le RSA. D'autres conditions, concernant notamment la détention d'une carte de séjour et la durée de travail en France, sont exigées des personnes de nationalité étrangère. Elles ne sont pas les mêmes selon qu'il s'agit d'un ressortissant de l'Union européenne ou d'une personne venant d'un autre pays. Par ailleurs, l'octroi du RSA est soumis à des conditions de ressources. À cet égard, le plafond à ne pas dépasser dépend de la composition du foyer. Enfin, la perception du RSA peut s'ajouter, sous certaines conditions, à celle des allocations chômage. Une réforme du RSA Députés et sénateurs viennent de s'entendre sur un texte commun au sujet du projet de loi Plein emploi. Il comporte notamment une réforme de Pôle Emploi, qui devrait désormais s'appeler France Travail, et du RSA. Concernant cette allocation, l'une des principales mesures concerne l'obligation, pour les bénéficiaires, de consacrer au moins 15 heures par semaine à des activités. Elles seraient encadrées par la signature d'un "contrat d'engagement". Ces activités ne se présentent pas précisément sous la forme d'un travail, mais plutôt d'un accompagnement devant favoriser le retour à l'emploi. Les allocataires pourront ainsi participer à un stage, une formation ou à des ateliers leur permettant de faire le point sur leur situation. Le texte a été durci par rapport à la version adoptée par les députés. En effet, il n'est plus question, dans le texte commun, d'imposer aux allocataires 15 heures d'activités au maximum, mais une durée de travail d'au moins 15 heures. Cependant, des dérogations sont prévues. En effet, la situation personnelle de chaque bénéficiaire sera prise en compte. L'état de santé, une situation d'invalidité ou encore l'absence de solutions de garde des enfants pour un parent isolé pourront ainsi donner droit à une diminution de ce temps d'activités. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Aujourd'hui dans 'Punchline', Laurence Ferrari et ses invités débattent des aides sociales.

NOUVEAU - Abonnez-vous à Nouvelles Écoutes + pour profiter du catalogue Nouvelles Écoutes en intégralité et en avant premières, sans publicité. Vous aurez accès à des enquêtes, documentaires, séries et fictions exclusives passionnantes, comme « Au Nom du fils », « Roulette russe à Béziers », ou encore « Oussama Le Magnifique ».

Ce lundi 12 juin, la réforme de l'apprentissage, l'avenir à long terme des demandeurs d'emploi avec le RSA sous conditions, la volonté de Clément Beaune de taxer les billets d'avion les plus chers pour financer le rail, ainsi que l'idée d'un choc fiscal en faveur de l'immobilier, ont été abordés par Erwann Tison, directeur des études de l'Institut Sapiens, Gilbert Cette, professeur d'économie à Neoma Business School, et Stéphane Carcillo, responsable de la division revenu/travail de l'OCDE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

durée : 00:09:08 - Journal de 18h - Le RSA assortie de 12 à 15h d'activité obligatoire. Le projet sera présenté en conseil des ministres le mois prochain. En attendant la première ministre Elizabeth Borne l'explique aux Réunionnais. La Réunion qui sera l'un des 18 départements à l'expérimenter, le seul en outre mer

durée : 00:09:08 - Journal de 18h - Le RSA assortie de 12 à 15h d'activité obligatoire. Le projet sera présenté en conseil des ministres le mois prochain. En attendant la première ministre Elizabeth Borne l'explique aux Réunionnais. La Réunion qui sera l'un des 18 départements à l'expérimenter, le seul en outre mer

Avec : Bruno Pomart, ancien policier du Raid. Marie-Anne Soubré, avocate. Et Stéphane Manigold, restaurateur. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.

Rêver du MILLION n'est pas SI AMBITIEUX, c'est le sujet de ce 3ème PODCAST qui vient en complément du DEUXIÈME PODCAST où Fouad BERLIN va expliquer concrètement comment un million d'euros emprunté va te rapporter un RSA par mois ... Nous sommes bien loin de l'introduction "salut Futur Rentier" Donc pour remplacer un salaire de 3000€ net par mois, il va être nécessaire d'emprunter 6.000.000 d'€ (six millions d'euros). Et pour emprunter 6.000.000 d'€ et donc créer un salaire de 3000€ net, il va falloir adopter une stratégie d'investissement qui se résume en 3 points : Intensité Amplitude Fréquence Et c'est le sujet de ce Podcast où nous allons discuter comment créer un patrimoine 3 fois supérieur au 1% des Français sur un horizon temporel court. #Investissements #Immobilier #Entrepreneurs #Entrepreneuriat N'oublies pas de nous mettre 5⭐️ sur Apple PODCAST et sur SPOTIFY pour nous soutenir et n'hésite pas à nous laisser un commentaire pour nous aider avec le référencement. : LIENS UTILES :

Ce lundi 27 mars, l'expérimentation de la mise en place du RSA sous condition, qui a été lancée en janvier dans 19 départements français, a été abordée par Leonidas Kalogeropoulos, président de Méditation & Arguments, Xavier Timbeau, directeur principal de l'OFCE, et Stéphane Carcillo, responsable de la division revenu/travail de l'OCDE et professeur à Sciences Po, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Vendredi 27 mars, le RSA sous condition, et le retrait de la Seine-Saint-Denis lancée en janvier dans 19 départements français, ont été abordés par Nicolas Doze dans sa chronique La polémique dans l'émission BFM Patrimoine présentée par Cédric Decoeur sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Croire en des lendemains meilleurs dans un monde tourmenté… C'est le vœu de nombreux journaux en ce début d'année. A commencer par Sud-Ouest : « pour ne pas toujours voir le verre à moitié vide, après toutes ces années anxiogènes, il serait rationnel de constater que tout ne va pas si mal, en ne se privant pas d'espérer que tout aille mieux encore. De voir qu'en France, notre 'civilisation du ventre plein' a su économiser 20 % d'énergie en trois mois sans soucis ; que notre système de santé, même souffrant, nous soigne on ne peut plus efficacement ; que le marché de l'emploi se porte plutôt bien, merci pour lui… » La Charente Libre renchérit… « A priori, rien ne peut nous inciter à envisager l'avenir avec le sourire. Mais, ce serait une erreur de ne pas voir sous ce voile funeste, des signes d'espérance. Les Ukrainiens résistent et font même reculer les soudards de Poutine, les ayatollahs iraniens vacillent devant les femmes dévoilées. Bolsonaro a été écarté du pouvoir au Brésil et Trump va devoir affronter la justice. Partout, relève le quotidien charentais, la jeunesse secoue les consciences et les pouvoirs devant l'urgence climatique. Face aux difficultés du quotidien, les Français s'organisent et agissent en citoyens responsables pour réaliser les économies d'énergie nécessaires. Plus que par nos responsables politiques, c'est par la volonté des individus à construire ou reconstruire un monde que pointe l'espérance. Elle est mince et fragile, mais elle est là. » Le climat : pas encore la priorité des priorités… Le climat : principal sujet d'inquiétude pour Libération… « Comment ne pas s'alarmer d'entamer ce nouvel an en bras de chemise, sans frissonner ; comment ne pas sourire jaune en regardant ces baigneurs du 1er janvier se réjouir d'avoir à peine plus de mal à faire trempette qu'au beau milieu d'un mois d'août (…) ? Ils nous rappellent plus que jamais, à l'heure des résolutions pour 2023, que la lutte contre le réchauffement climatique est un impératif vital. Emmanuel Macron, lors de son intervention télévisée, a bien sûr évoqué 'la crise climatique aux effets spectaculaires' et cette 'bataille' de la transition écologique que 'nous devons gagner'. De nouvelles mesures gouvernementales entrent d'ailleurs en vigueur en ce début janvier, pointe Libération, de l'instauration des zones à faibles émissions à l'incitation au covoiturage en passant par la lutte contre les passoires thermiques. Mais une nouvelle fois, le chef de l'État a raté avec ses vœux l'occasion de nous convaincre qu'il allait faire de ces enjeux climatiques la priorité des priorités, estime le journal. En préférant passer son message essentiel sur les retraites, en mettant au cœur de son discours, jusqu'à saturation, la valeur 'travail', Emmanuel Macron a confirmé que le logiciel idéologique qui lui sert de guide est d'une facture tristement classique. Et, c'est à craindre, pas à la hauteur des défis qui sont devant nous. Ils sont immenses, difficiles. Raison de plus pour souligner l'occasion présidentielle manquée. » Le RSA conditionné : une mesure qui fait jaser Parmi les nouvelles mesures sociales mises en place en ce début d'année : un nouveau RSA, revenu de solidarité active, qui sera conditionné désormais à des heures d'activité. Dix-huit départements et la métropole de Lyon vont expérimenter cette nouvelle formule. « Une idée censée favoriser le retour à l'emploi mais qui fait jaser », pointe La Dépêche du Midi. En effet, précise le journal, « un malaise s'est installé avec cette réforme du revenu minimum qui fait passer les devoirs avant les droits et qui reprend la vieille antienne de la droite sur 'le cancer de l'assistanat', comme si les bénéficiaires du RSA se satisfaisaient de leur situation de précarité, alors même que 600.000 foyers éligibles ne font pas les démarches pour l'obtenir. Cette réforme du RSA pose problème car le contrôle des ressources et des obligations des allocataires, notamment en termes de formation, existent déjà. » Et La Dépêche de remarquer que « l'Allemagne, qui ne peut passer pour une économie laxiste, prend le chemin inverse de celui de la France en faisant primer les droits sur les devoirs. » Avancées scientifiques… Enfin, la science nous promet d'incroyables avancées pour 2023… Le Parisien a fait l'inventaire. « L'année qui vient couronnera l'infiniment petit, notamment en informatique et ses ordinateurs dits 'quantiques', avec une puissance de calcul si importante qu'elle pourrait contribuer à la mise au point de vaccins, de médicaments ou même lutter contre le dérèglement climatique. 2023 ouvrira (aussi) la voie à de nouvelles promesses thérapeutiques : nano médicaments, anticorps contre la bronchiolite, avancées contre le VIH, nouveaux traitements contre le cancer. » Et puis, note encore Le Parisien, « cette année nous fera aussi toucher du doigt la Lune où les premiers touristes sont attendus ! Et pourquoi pas un voyage sur Mars… 'Nous ne sommes pas loin', affirme le Prix Nobel de physique Alain Aspect, qui sait que les fantasmes d'hier peuvent être la réalité de demain. »

Justice Allemande et débat sur le RSA, découvrez nos débats du jour

durée : 00:05:03 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - .

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Le RSA: luoghi di innovazione aperti alla cittadinanza? Si può fare con il design. Ce ne parla Guglielmo Apolloni, Designer e Social Innovator in SHIFTON.

Références citées : 1. - RSA : le non-recours à l'allocation, un problème bien plus important que la fraude https://theconversation.com/rsa-le-non-recours-a-lallocation-un-probleme-bien-plus-important-que-la-fraude-184061 2. - Bertrand Fragonard (merci pour votre enseignement) https://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Fragonard 3. - Commission d'enquête sur les fraudes aux prestations sociales https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/comptes-rendus/cefrausoc/l15cefrausoc1920024_compte-rendu 4. - Sondage 2022 sur la fraude aux assurances privées https://www.lelynx.fr/assurance-auto/sinistre/declaration/fraude/hausse-fraude-assurance-2022/ 5. - DRESS Minimum vieillesse pour les personnes seules : non-recours de la moitié des bénéficiaires potentiels https://www.vie-publique.fr/en-bref/285248-minimum-vieillesse-non-recours-pour-une-personne-sur-deux-en-2016 ---------------------------------- Rejoignez ma chaîne youtube pour bénéficier d'avantages exclusifs https://www.youtube.com/channel/UCsZNG4V7rX6c9euLSj51qhg/join Aperçu du contenu réservé aux membres https://www.youtube.com/playlist?list=UUMOsZNG4V7rX6c9euLSj51qhg =================== ⚠️ Avertissement ⚠️ Ceci est une vidéo/podcast pédagogique ➜ pas un conseil juridique ➜ pas la promotion d'un cabinet d'avocats Je ne prétends ni avoir raison ni détenir la vérité =================== #RSA #fraude #recours

Le Président de la République, candidat à sa succession, propose de conditionner l'octroi du RSA à une activité de quelques heures par semaine. Une telle mesure semble plébiscitée par les Français.Du travail en échange du RSAEmmanuel Macron propose de n'accorder le Revenu de solidarité active, ou RSA, qu'à des personnes acceptant, en échange, de travailler entre 15 et 20 heures par semaine.La majorité des Français semble partager cette manière de voir les choses. Dans un récent sondage, 80 % des personnes interrogées approuveraient une telle mesure. Une autre consultation voit près de 70 % des sondés s'y montrer favorables.Les Français récuseraient-ils le principe des aides publiques ? Il semble qu'un tel sentiment prévale surtout dans les périodes de prospérité économique. Dans de tels moments, le chômage ou la précarité semblent être, pour beaucoup de Français, le résultat d'une défaillance individuelle.Mais, dans les temps plus difficiles, comme en 2020, pendant la crise sanitaire, cette vision fait place, pour une partie de la population, à une solidarité plus active.Un discours souvent ambivalentEn fait, cette réaction face à la proposition du candidat Macron illustre bien la nature ambivalente et ambiguë du discours à l'égard de la précarité et des moyens de la prévenir.D'un côté, les Français, pour une partie d'entre eux, voient dans les mesures prises pour aider les plus démunis la manifestation d'un "assistanat" qu'ils jugent à la fois injuste et improductif.Mais, d'un autre côté, ces personnes louent les vertus d'un système de protection sociale et d'un dispositif de redistribution des richesses qui sont des instruments de lutte contre la précarité.De même, les mesures prises durant l'épidémie de Covid, comme le chômage partiel ou le "quoi qu'il en coûte", destinées à aider les personnes menacées par la crise, ont été généralement bien acceptées.Ceci étant, l'activité demandée aux personnes prétendant au RSA ne se compose pas forcément d'heures de travail. Il peut aussi s'agir de stages de formation ou de reprises d'études. Ce qui permettrait de donner une autre valeur aux résultats des sondages cités. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le Président de la République, candidat à sa succession, propose de conditionner l'octroi du RSA à une activité de quelques heures par semaine. Une telle mesure semble plébiscitée par les Français. Du travail en échange du RSA Emmanuel Macron propose de n'accorder le Revenu de solidarité active, ou RSA, qu'à des personnes acceptant, en échange, de travailler entre 15 et 20 heures par semaine. La majorité des Français semble partager cette manière de voir les choses. Dans un récent sondage, 80 % des personnes interrogées approuveraient une telle mesure. Une autre consultation voit près de 70 % des sondés s'y montrer favorables. Les Français récuseraient-ils le principe des aides publiques ? Il semble qu'un tel sentiment prévale surtout dans les périodes de prospérité économique. Dans de tels moments, le chômage ou la précarité semblent être, pour beaucoup de Français, le résultat d'une défaillance individuelle. Mais, dans les temps plus difficiles, comme en 2020, pendant la crise sanitaire, cette vision fait place, pour une partie de la population, à une solidarité plus active. Un discours souvent ambivalent En fait, cette réaction face à la proposition du candidat Macron illustre bien la nature ambivalente et ambiguë du discours à l'égard de la précarité et des moyens de la prévenir. D'un côté, les Français, pour une partie d'entre eux, voient dans les mesures prises pour aider les plus démunis la manifestation d'un "assistanat" qu'ils jugent à la fois injuste et improductif. Mais, d'un autre côté, ces personnes louent les vertus d'un système de protection sociale et d'un dispositif de redistribution des richesses qui sont des instruments de lutte contre la précarité. De même, les mesures prises durant l'épidémie de Covid, comme le chômage partiel ou le "quoi qu'il en coûte", destinées à aider les personnes menacées par la crise, ont été généralement bien acceptées. Ceci étant, l'activité demandée aux personnes prétendant au RSA ne se compose pas forcément d'heures de travail. Il peut aussi s'agir de stages de formation ou de reprises d'études. Ce qui permettrait de donner une autre valeur aux résultats des sondages cités. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Voici un court extrait de l'épisode.

Marie eu du fric, n'a plus eu de fric. A eu des enfants, a connu la rue. Aujourd'hui elle a la cinquantaine. On s'est posées à une terrasse de bistrot, elle a accepté de parler de thune, librement. Elle est "colportrice" de journaux, touche le RSA et vit dans un studio dans une cité de Marseille. Elle paye son loyer en retard. Elle s'est blessée à la cheville. Mais ça va. Bonne écoute.

durée : 00:05:03 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger le peuple de France à propos du RSA.

durée : 00:05:03 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger le peuple de France à propos du RSA.

Ce mardi 22 mars, la conditionnalité du RSA proposée par Valérie Pécresse a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique dans l'émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

L'émission 28 Minutes du 22/03/2022 Au programme de l'émission du 22 mars 2022 ⬇ Directeur d'une troupe de ballet à Moscou, Laurent Hilaire a choisi de démissionner Venu à la danse “par accident”, Laurent Hilaire n'en aura pas moins eu un parcours exemplaire et enviable. Nommé danseur étoile en 1985, à l'âge de 22 ans, à la fin d'une représentation du “Lac des Cygnes” à l'Opéra de Paris par Rudolf Noureev en personne, il y fut aussi maître de ballet, avant de partir pour le berceau des ballets russes et devenir en 2017 directeur du ballet du Théâtre académique musical Stanislavski de Moscou. Cette fonction a pris fin il y a quelques jours, quand Laurent Hilaire décide de démissionner, le 27 février dernier, trois jours après le début de la guerre et l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Ne pouvant, d'un point de vue éthique, moral et politique, continuer à diriger un corps de ballet que les danseurs étrangers commencent à quitter, il explique : “j'ai compris que quelle que soit ma responsabilité envers la compagnie, désormais tout serait politique : que je reste, que je parte ou que je me taise”. Laurent Hilaire, de retour en France, est notre invité.  Macron propose de conditionner l'obtention du RSA à l'obligation de travailler / Faut-il une contrepartie au versement des aides sociales ? Qui veut la peau du RSA ? Ce “revenu de solidarité active” assure aux personnes sans ressources un niveau minimum de revenu qui varie selon la composition du foyer. Fin septembre 2021, il était versé à 1,91 million de foyers français en moyenne. Mais ses conditions d'obtention ne cessent de faire débat, et à l'approche de l'élection présidentielle, son avenir n'est plus assuré. Dans son programme, Emmanuel Macron souhaite l'accompagner de “l'obligation de consacrer 15 à 20 heures par semaine” à une activité facilitant l'insertion professionnelle, invoquant “une part de devoir” nécessaire de la part du bénéficiaire. Une proposition qui s'apparente à “un travail forcé” selon la députée La France Insoumise Clémentine Autain. Le RSA est-il un instrument de lutte contre la pauvreté ou un instrument de retour à l'emploi ? On en débat avec nos invités. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et d'Alix Van Pée ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 22 mars 2022 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio

Le porte-parole de Marine Le Pen souhaite maintenir le RSA mais qu'il soit "réservé aux nationaux" et versé en contrepartie d'une "formation qualifiante obligatoire."

Ce lundi 21 mars, la mesure d'Emmanuel Macron sur le RSA 2.0, qu'il veut mettre sous conditions, a été abord par Nicolas Doze et Erwann Tison, directeur des études de l'Institut Sapiens, dans sa chronique dans l'émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Je commence une série de 3 portraits de femmes de + de 50 ans qu'on n'entend jamais. Aujourd'hui, je donne la parole à Lia, qui survit avec l'allocation spécifique de solidarité, allocation versée aux chômeurs en fin de droits, ASS qui s'élève à 514 € par mois environ pour une personne seule. Elle est âgée de 53 ans et nous raconte son parcours professionnel, ses espoirs et ses convictions politiques.   C'est l'occasion de rappeler que les jeunes de 18-24 ans, les familles monoparentales et les chômeurs forment les gros bataillons des personnes vivant sous le seuil de pauvreté. C'est l'occasion aussi d'écouter le quotidien de Lia, partagé entre moments de grande détermination et de découragement. Entre confiance en ses compétences professionnelles et rage quand elle doit réagir aux phrases discriminantes qui lui sont adressées, à elle et à tous les précaires.   Enfin, elle partage avec nous son implication militante en faveur d'un revenu d'existence digne.    Références de l'épisode Montants du RSA sur le site de la Caf.fr Allocation de solidarité spécifique Fiche de la DRESS   Pourquoi laisse-t-on mourir les chômeurs ? Interview de Samuel Churin sur Le Media.tv Inégalités de niveau de vie et pauvreté entre 2008 et 2018 sur l'INSEE Observatoire des inégalités  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Continuate a segnalarci di strutture per la terza età dove le visite sono consentite solo una volta alla settimana per 20'. A volte è ammesso un solo familiare. Cosa non funziona? Ad #AriaPulita ne parliamo con Gianluigi Pirazzoli, pres. Anaste Emilia Romagna.

durée : 00:02:30 - Le décryptage de l'actu dans les Landes

durée : 00:02:24 - Le mot de l'éco - Dix millions d'euros sont affectés au projet : un revenu de solidarité active pour les jeunes de 18 à 25 ans en situation de précarité. La métropole de Lyon souligne que près d'un quart de cette catégorie de jeunes vit sous le seuil de pauvreté. 2 000 jeunes devraient bénéficier de ce RSA dès ce mois de mai.

durée : 00:05:01 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Face a la précarité des jeunes, nos compatriotes s'inquiètent, s'interrogent... Pour le meilleur et pour le pire.

durée : 00:05:01 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Face a la précarité des jeunes, nos compatriotes s'inquiètent, s'interrogent... Pour le meilleur et pour le pire.

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Ad #AriaPulita l'intervento del dott. Giovanni Belloni, presidente di SimeRsa (Società dei medici che operano delle Rsa): il vaccino anti #covid in corsia dovrebbe essere obbligatorio.

durée : 00:01:52 - Le brief éco - Pour obtenir le RSA, le revenu de solidarité active, il faut compter trois mois d’attente entre l’inscription et le premier rendez-vous. C’est ce que révèle une étude du ministère de la Santé.

TESTO DELL'ARTICOLO ➜http://www.bastabugie.it/it/articoli.php?id=6380UNA SOCIETA' DI FIGLI UNICI GENERA ANZIANI SOLIHai fatto pochi figli? Nella tua vecchiaia avrai una badante o sarai abbandonato all'ospizio (puoi chiamarlo anche RSA, ma la solitudine resta)di Corrado GnerreIn questi giorni di pandemia, si è tornati a parlare degli anziani. Molto spesso parcheggiati negli ospizi (termine più elegante: RSA) o affidati esclusivamente a badanti che vanno e vengono.D'altronde - ogni tanto ci torniamo su - la nostra è una società degli anziani. E lo è e lo sarà ancora per molto. Anziani soliSe non si mettono al mondo più figli, se il modello familiare è quello di un figlio e un cane, allora giocoforza gli anziani rimangono soli. È infatti sempre più frequente che si sposino figli unici. E così rimangono quattro anziani con solo due figli, per giunta in carriera... e il destino della solitudine è compiuto! Chi si prenderà cura di questi anziani? Le RSA o le badanti, e non altri che queste.Dunque il problema è nel calo demografico, cioè nel fare pochi figli. Ma perché questo calo? Si dice sia la questione economica, la precarietà lavorativa. Forse c'è anche questo, ma non prendiamoci troppo in giro, l'intelligenza non può andare al massacro. Se valesse l'equazione questione economica-calo demografico, avremmo dovuto avere, con il boom economico degli anni '60, un aumento delle nascite. E invece in quegli anni si verificò l'esatto contrario. Proprio quando la ricchezza pro-capite aumentava, s'iniziò a smettere di fare figli.Dunque, il problema è un altro. Il problema è culturale, cioè di mentalità. Volendo essere precisi, c'è un problema strutturale ed uno esistenziale.Il problema strutturale sta nel fatto che è cambiato il modello familiare. I ruoli dei genitori si sono omogeneizzati. La madre fondamentalmente si è dissolta iniziando ad occuparsi non anche di "altro", ma prevalentemente di "altro". Ha iniziato a vedere i figli come una sorta di ostacolo, per finire poi di convincersi di quell'enorme stupidaggine secondo cui non sarebbe importante la quantità ma solo la qualità del tempo.Ma - dicevamo - c'è anche un problema esistenziale. Il calo demografico è l'esito (in un certo qual modo inevitabile) dello smarrimento della perdita del senso della vita. Cioè di non sapere più per quale motivo sacrificarsi, donarsi ed offrirsi. Mettere al mondo figli non è un gioco, ma una responsabilità. Una responsabilità non solo di suo, perché i figli devono essere bene accolti, ma una responsabilità perché viene richiesto impegno, lavoro, fatica. La fatica dell'amore, ma pur sempre fatica.Se però ci si chiude in una prospettiva individualista ed edonista, quale impegno, quale lavoro, quale fatica?E così la prospettiva individualista ed edonista sono inevitabili in un contesto in cui si è scartata la ragione del soffrire: la Croce. [...]Siamo stati bravissimi a trasformare il Vangelo in una sorta di Manuale delle Giovani Marmotte, bellino, carino, "politicamente correttissimo", dove i sacrifici che vengono richiesti, sono solo quelli per affermare la propria personalità, i propri diritti... piuttosto che per immolarsi per i propri doveri, offrendo tutto se stessi, costi quel che costi. Titolo originale: Abbiamo trasformato il Vangelo in un Manuale delle Giovani Marmotte e poi ci stupiamo che molti anziani siano nelle RSAFonte: I Tre Sentieri, 17 novembre 2020Pubblicato su BastaBugie n. 692

Arnaud Romain lit l’article de Jordan Pouille: «Le RSA, une bulle d’air»: récits d’auto-entrepreneurs plombés par le Covid, publié sur Mediapart le 24 octobre 2020.

Arnaud Romain lit l’article de Jordan Pouille: «Le RSA, une bulle d’air»: récits d’auto-entrepreneurs plombés par le Covid, publié sur Mediapart le 24 octobre 2020.

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TESTO DELL'ARTICOLO ➜http://www.bastabugie.it/it/articoli.php?id=6103CASE DI RIPOSO PER ANZIANI: IL CAPRO ESPIATORIO DEL CORONAVIRUSCosa c'è dietro l'accanimento giudiziario degli ultimi giorni nei confronti delle Rsa, delle case di riposo per anziani? Improvvisamente tutta la narrazione relativa all'epidemia, ai suoi protagonisti, ai suoi numeri, si è arricchita di un nuovo elemento: ci sono dei responsabili della morte di tante persone che devono essere individuati e perseguiti. Di chi si tratta? Di chi non ha vigilato sugli ingressi dalla Cina dopo l'inizio dell'epidemia a Wuhan? Di chi ha tardato a fornire dispostivi di protezione agli operatori sanitari e alla popolazione in generale? Di chi ha emanato da gennaio ad oggi decreti a volte contradditori? O andando indietro (ma non troppo) di chi ha tagliato col machete i posti letto negli ospedali o i posti di lavoro di medici e infermieri?No: i colpevoli vanno cercati nelle residenze sanitarie assistenziali, sigla Rsa, che sono strutture non ospedaliere, ma comunque a impronta sanitaria, che ospitano persone non autosufficienti, che non possono essere assistite in casa e che necessitano di specifiche cure mediche di più specialisti e di un'articolata assistenza sanitaria. Le Rsa sono gestite da enti pubblici o privati che offrono ospitalità, prestazioni sanitarie e assistenziali, aiuto nel recupero funzionale e nell'inserimento sociale e prevenzione delle principali patologie croniche.In base ai più recenti dati, in Italia sono presenti circa 240.000 posti letto residenziali e semiresidenziali, un numero che è circa la metà di quella che è la domanda, peraltro crescente. Una buona parte di queste strutture sono il frutto della carità cristiana in azione, dell'opera di enti religiosi, che hanno da sempre svolto un'opera di supplenza nei confronti di uno Stato assolutamente latitante su questa necessità.UNA PREZIOSA OPERA DI SUSSIDIARIETÀ AUTENTICAOra queste opere vengono inquisite, perquisite, denunciate. Si cerca di capire - secondo la magistratura - perché ci siano state tante morti. Forse bisognerebbe fornire agli inquirenti un po' di dati epidemiologici, che rivelerebbero che anche negli ospedali pubblici, le "trincee della prima linea", tanto intoccabili da pensare ad uno "scudo legale" per impedire indagini sul loro operato, c'è stato negli ultimi due mesi un tasso di mortalità che non ha eguali nel resto del mondo. Un tasso di mortalità che è particolarmente elevato al di sopra dei 75 anni. Ora, si dà il caso che l'età media degli ospiti delle case di riposo è di 88 anni. Si tratta quindi di realtà che accolgono le persone più fragili, più delicate, più esposte. Prima di metterle sotto il mirino inquisitorio, cosa è stato fatto per queste realtà? Nulla. Così, ora, dopo il danno subiscono anche la beffa di essere indagate.Gli anziani ospiti sono stati curati con tutto ciò che era possibile, comprese le capacità professionali dei medici e degli infermieri che non sono affatto inferiori a quelle dei colleghi dell'ospedalità pubblica. Nei confronti di queste strutture, il Servizio Sanitario Nazionale ha dato un supporto decisamente inadeguato, carente persino in indicazioni. Per due mesi e mezzo le Rsa, le case di riposo, è come se non fossero esistite. Le prime indicazioni da parte del servizio pubblico sono state ricevute solo l'1 aprile! In realtà, ovviamente, queste strutture si erano già da tempo attrezzate andando a cercare materiali e contattando colleghi ospedalieri per aggiornare i loro protocolli, affrontando enormi difficoltà nel reperire i dispositivi di protezione individuale (Dpi). Nonostante tutto, queste strutture si sono prodigate per curare i propri vecchietti, senza inviarli agli ospedali già oberati.UN'ACCUSA SURREALEPoi, nonostante abbiano resistito a lungo facendo in modo di evitare il più possibile l'ingresso del virus, questo ha fatto il suo inevitabile arrivo, seminando morte. A questo punto questi decessi - e solo questi - hanno suscitato scandalo. Oltre agli avvisi di garanzia, sono cominciati a fioccare i commenti e le accuse. Gino Strada ha tuonato dicendo che nelle Rsa gli anziani sono trattati come animali. Un'accusa surreale. Così come surreale e quasi kafkiano è il clima che si è creato anche tra alcuni parenti degli ospiti di queste strutture, che improvvisamente si sono trasformati in delatori e informatori della Polizia. È accaduto così che il Sabato Santo una struttura bergamasca sia stata oggetto di visita della Polizia locale, e abbiano proceduto a denunciare le suore. Qual era la loro colpa?Sono state denunciate perché avevano dato la Comunione ad alcuni ospiti ricoverati. Nonostante le cappellanerie di queste strutture abbiano regolari permessi. Nonostante il rispetto delle procedure corrette per evitare il passaggio del virus. I poliziotti arrivati in reparto hanno trovato le suore bardate con cuffietta, camice idrorepellente, due mascherine sul volto, guanti e perfino calzari. L'Eucarestia era stata data in mano, senza contatto. Ostie contate secondo il numero di persone che l'avevano richiesta. La polizia era arrivata perché era partita una segnalazione da alcuni solerti parenti. Gli agenti hanno ritirato i documenti relativi all'autorizzazione delle procedure, hanno fatto verifiche con i dipendenti. Le suore sono state costrette a sospendere la distribuzione dell'Eucarestia nel giorno di Pasqua, con grande dispiacere degli ospiti.La minaccia che incombe sulle povere suore è da brivido: l'accusa di epidemia colposa, equivalente dell'omicidio colposo plurimo, che prevede - oltre alla condanna penale - anche il risarcimento danni. Un provvedimento che porterebbe alla bancarotta di molti istituti religiosi.UNA CACCIA ALLE STREGHELa paura di una vera e propria caccia alle streghe per trovare presunte responsabilità delle morti da Covid sta assalendo tante strutture assistenziali. Anche dell'ospedalità privata, che ha svolto in questi ultimi mesi un compito preziosissimo garantendo quelle attività di diagnosi e cura sospese negli ospedali pubblici trasformati in centri-Covid. Ciò sembrerebbe confermare i timori che, nel dopo epidemia, lo Stato intenda gestire in esclusiva la salute delle persone, sbarazzandosi di tutte le opere di assistenza sociosanitaria private. Una situazione che potrebbe portare ad una grave crisi di una attività di assistenza che si occupa di decine di migliaia di persone. Chi si farebbe poi carico di tutti questi anziani, di questi disabili, di queste persone fragili? Le famiglie, lasciate sole dallo Stato? O gli ospedali pubblici, con i loro protocolli "informali" che invitano a selezionare chi è meritevole di accedere a cure intensive, e non solo?Il sospetto dell'affermarsi di una cultura dello scarto nei confronti degli anziani prende sempre più piede, anche di fronte a ciò che avviene in diversi Paesi europei. In Francia, ad esempio, mentre non hanno ancora ricevuto l'autorizzazione a prescrivere l'idrossiclorochina ai loro pazienti, col decreto n. 2020-360 del 29 marzo 2020, emanato dai ministeri della Solidarietà e della Salute e firmato dal primo ministro Edouard Philippe, i medici possono prescrivere dei farmaci "palliativi" (nello specifico un potente antiepilettico) ai pazienti affetti da Coronavirus che non possono essere ricoverati in terapia intensiva e sui quali è stata già assunta la decisione di limitare il trattamento sanitario. Con questo decreto viene dunque legalizzata la possibilità per un medico - e il decreto guarda caso si rivolge soprattutto a quelli delle case di riposo - di iniettare una sostanza, che può portare ad arresto respiratorio del paziente nel giro di poche ore.Insomma, il problema delle case di riposo affollate e con tante richieste inevase, il costo sociale di questo tipo di assistenza, potrebbe trovare una soluzione finale dalla Francia all'Italia nel loro svuotamento e nella loro forzata chiusura.

Puntata del 18 Aprile 2020.Le RSA, il ricordo di Sepulveda, la ricostruzione post-pandemia, cosa succede all'estero, la politica che verrà

Puntata del 18 Aprile 2020.Le RSA, il ricordo di Sepulveda, la ricostruzione post-pandemia, cosa succede all'estero, la politica che verrà

Pio Albergo Trivulzio, Gad Lerner: "In Lombardia sanità pubblica trasformata in discarica" Anche la regione Lombardia, dopo la Procura di Milano e il Ministero della Salute, ha avviato un'indagine su quanto successo (e raccontato da Repubblica) al Pio Albergo Trivulzio di Milano. "Il polo pubblico è la discarica umana dove si mandano quelli che non rendono", racconta a Circo Massimo Gad Lerner, l'autore dell'inchiesta, "Le RSA in Lombardia, in larga misura private, sono state luogo di occupazione da parte dei funzionari pubblici, la divisione dei dirigenti di nomina regionale tra leghisti e forzisti è cosa nota. Il sistema privato è basato sul mito della sussidiarietà", continua Lerner, "dove l'ente pubblico non può arrivare subentrano l'iniziativa sociale dal basso e le opere, poli di eccellenza dove però si guadagnava; dove invece c'era da curare senza margini di profitto lo si delegava al pubblico, appunto una discarica." Intervista di Massimo Giannini e Jean Paul Bellotto

durée : 00:39:19 - Du Grain à moudre - Le RSA aura bientôt 10 ans. Ce dispositif, censé favoriser le retour vers l’emploi et limiter la pauvreté, ne fait pas l’unanimité. Les appels se multiplient pour conditionner son accès à des contreparties, comme inciter son bénéficiaire à rendre des services à la collectivité. Quel bilan tirer ?

durée : 00:39:19 - Du Grain à moudre - Le RSA aura bientôt 10 ans. Ce dispositif, censé favoriser le retour vers l’emploi et limiter la pauvreté, ne fait pas l’unanimité. Les appels se multiplient pour conditionner son accès à des contreparties, comme inciter son bénéficiaire à rendre des services à la collectivité. Quel bilan tirer ?

Merci de laisser l'État dans les toilettes où vous l'avez trouvé / Qui gouverne ment / Macron, Le Pen, Mélenchon, dégagez tous / On débattra quand on vous aura tous virés / Les vrais casseurs sont chefs d'État / Ils veulent nous forcer à gouverner, nous ne cèderons pas / Le RIC ne nous intéresse pas / Commander est aussi répugnant qu'obéir / Ne tombez pas amoureux du pouvoir / 68 on s'en fout, on veut 89 / Le capitalisme ne mourra pas de mort naturelle, aidons-le / Vive la commune / Nique le contrat social / Ne soyez jamais rentable / - d'ordonnances, + de vacances / On veut des thunes en attendant le communisme / Le RSA à 5000€ / Nous ne voulons pas le pouvoir, nous voulons pouvoir / Nous sommes la jeunesse qui refuse de traverser la rue / Vivre 2 jrs/semaine & 1 mois/ans, non merci / Retraite à 13 ans / Travailler à aimer plutôt qu'aimer travailler / Logement pour tout·e·s, propriété pour personne / Réquisition des logements vides / On veut tout·e·s un emploi fictif et un logement de fonction / 150€ de + par mois par policier. Et nous ? La matraque dans la gueule ? / Nous aussi on veut des primes de fin de mois quand les flics nous insultent / Nique l'état d'urgence / Un revenu universel inconditionnel / On veut vivre, pas survivre / Contre la marchandise, la gratuité / Partageons les riches / Abolition de la GLI-F4 / Comme les ministres on veut nos retraites après 6 mois de travail / Plutôt au smic que flic / Tant qu'il y aura de l'argent y'en aura pas pour tout le monde / Abolition de l'économie / + de banquise, - de banquiers / Plutôt au rsa que soldat / Les CRS sont pas nos fils !!! Signé : les putes / Sans justice pas de paix / Chaos chez les aristos / Les banquiers doivent banquer / NO borders, NO nations / No borders, only sisters / Transports gratuits, frontières ouvertes / Destruction des Centres de Rétention / Pas de nationalisme dans nos fiertés / Libérez les exilé·e·s et la pilosité / Nique son père le patriarcat / Donnez-nous la PMA, on vous laisse le PMU / Macron, on t'encule pas la sodomie c'est entre amis / À bas la dictature des normaux / Nique ton genre / Délivrons nous du mâle / Retirez votre sexe de mon état civil / Ni côtes de bœuf, ni bottes de keufs / Les coups de matraque sont gratuits, la fac devrait l'être aussi / Ouvrez des facs, supprimez la BAC ! / Béni soit l'avortement / Les femmes n'ont pas eu le droit de vote en votant / Zbeul féministe / Nous sommes de celles qui s'organisent : on ne repassera plus jamais vos chemises / Soyez éco-responsables bouffez du riche ! / La révolution sera sans gluten / N'oubliez pas que vous pouvez quitter votre boulot et votre mari / Enfouissons les flics plutôt que les déchets / Non aux émissions de gaz lacrymo / La ville est à ceux qui l'habitent pas aux publicitaires / On veut le beurre et l'argent d'uber. Il est trop tard pour être calme Bien trop tard pour être calme Il est trop tard pour être calme