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C'est un fabuleux trésor que certains cherchent encore. Au Moyen-Age, les Templiers deviennent l'ordre militaire et religieux le plus puissant et le plus riche d'Europe. Mais au XIVe siècle, l'ordre est persécuté par Philippe le Bel et Jacques de Molay, grand maître des Templiers, maudit les rois de France. Que devient alors l'argent des Templiers ? Leur prétendu trésor existe-t-il ? La semaine prochaine, dans Au cœur de l'Histoire, découvrez un récit inédit consacré au fameux trésor des Templiers.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 25 janvier 2023, Flavien Dupuis, ancien élève de Polytechnique, conseiller référendaire à la Cour des comptes en service extraordinaire et auteur de plusieurs ouvrages historiques, est venu présenter à la Fondation Charles de Gaulle son dernier livre Les grandes figures de l'unité française (éditions du Cerf, 2022). Flavien Dupuis a évoqué la figure du général de Gaulle mis en rapport avec les autres personnages historiques de son ouvrage : Philippe Le Bel, Charles V, François Ier, Gambetta, Clemenceau.
durée : 00:58:33 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Si Saint-Louis est selon l'historien Jacques Le Goff le premier roi endetté, son petit-fils Philippe le Bel n'est pas en reste. Pour faire face aux problèmes de finances publiques qui se posent à lui, comment Philippe le Bel innove-t-il dans le domaine des pratiques monétaires et de la fiscalité ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Julie Claustre Historienne et professeure d'histoire médiévale à l'Université Paris Cité; Marc Bompaire Historien et numismate, directeur de recherches au CNRS, directeur d'études à l'EPHE
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Au matin du 11 juillet 1302, Français et Flamands se font face dans la plaine de Courtrai. D'un côté, l'armée du roi Philippe le Bel et ses 8000 hommes sous le commandement du charismatique Robert d'Artois. De l'autre, les milices flamandes qui combattent à pied, armées de leur bâton de bois. Les Français jugent la victoire facile. Péché d'orgueil ?Pour la postérité, la bataille de Courtrai sera la « bataille des Éperons d'or », du nom de ces attributs réservés aux chevaliers français, ramassés en grand nombre sur les cadavres qui parsèment le champ de bataille.Victoire d'une armée d'artisans et de paysans sur une armée de nobles et de professionnels de la guerre, la bataille de Courtrai est aussi un échec majeur du règne de Philippe le Bel. Du côté flamand, elle signe la naissance d'un véritable sentiment national.Son auteur, l'historien spécialiste et maître de conférences en histoire médiévale à l'université Paris IV-Sorbonne, Xavier Hélary, est notre invité.
Nous sommes au matin du 11 juillet 1302, aux abords de la forteresse de Courtrai. Français et Flamands se font face dans la plaine de Groeninghe. D'un côté, l'armée du roi Philippe le Bel et ses 8000 hommes commandés par l'expérimenté chef de guerre Robert d'Artois. De l'autre, des milices qui combattent à pied, armées d'un bâton de bois, un « goedendag ». Les Français pensent que la victoire sera facile. Mais l'issue de cet affrontement sera un échec majeur du règne de Philippe le Bel. Cette bataille de Courtrai, dites « des Eperons d'or », du nom des pièce de métal fixées aux talons des chevaliers français, ramassés en grand nombre après le combat, cette bataille signe, du côté flamand, la naissance d'un véritable sentiment national. Revenons sur une étape capitale de notre histoire … Avec nous : Xavier Hélary, professeur à Sorbonne-Université et directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études, à Paris. « Courtrai, 11 juillet 1302 » paru aux éditions Tallandier (Texto). Sujets traités : Courtrai, Groeninghe, Flamands, Philippe le Bel, Robert d'Artois, bataille, Eperons d'or Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
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Après Philippe Auguste et Saint Louis, Lorànt Deutsch vous présente un autre grand nom des Templiers. Surnommé le "roi de fer", ce chevalier est resté dans les mémoires comme le bourreau des Templiers. La légende de Philippe le Bel est peu reluisante. Décrit comme un roi austère et cruel, il serait aussi victime d'une malédiction. Il faut dire que le règne de Philippe le Bel est traversé par de ténébreuses affaires, qui ont marqué au fer rouge le destin de la France. Mérite-t-il vraiment sa réputation de "roi maudit" ? Chaque semaine dans "Entrez dans l'Histoire", Lorànt Deutsch nous fait voyager dans le temps et trace avec sa façon inimitable, le portrait d'une grande figure de l'Histoire.
Après Philippe Auguste et Saint Louis, Lorànt Deutsch vous présente un autre grand nom des Templiers. Surnommé le "roi de fer", ce chevalier est resté dans les mémoires comme le bourreau des Templiers. La légende de Philippe le bel est peu reluisante. Décrit comme un roi austère et cruel, il serait aussi victime d'une malédiction. Il faut dire que le règne de Philippe le Bel est traversé par de ténébreuses affaires, qui ont marqué au fer rouge le destin de la France. Mérite-t-il vraiment sa réputation de "roi maudit" ? Rendez-vous vendredi 26 janvier pour ce nouvel épisode d'"Entrez dans l'Histoire".
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! L'histoire des Templiers a traversé les siècles, au point de devenir une référence récurrente dans la culture populaire que l'on retrouve aussi bien dans Games of Thrones qu'Assassin's Creed. Cet ordre religieux et militaire est créé au XIIème siècle pour protéger les pèlerins sur la route de Jérusalem. “Ils font partie des légendes les plus populaires du Moyen-Age. La façon dont l'ordre a disparu ne peut qu'interpeller” avance Jean-François Moufflet, archiviste paléographe et conservateur. Il est également commissaire de l'exposition sur le procès des templiers qui se tient du 13 septembre 2023 au 15 janvier 2024 aux Archives Nationales. En sa compagnie, Virginie Girod revient sur la chute de l'ordre des Templiers, un épisode aussi brutal que politiquement cynique, où on lit en creux la rivalité entre le roi de France, Philippe Le Bel, et la papauté. Apparu dans le sillage des croisades pour défendre les conquêtes en Terre Sainte et protéger les pèlerins, l'ordre du Temple, qui allie l'idéal de chevalerie à la vie monastique, devient rapidement puissant. “Leur influence est dûe à une reconnaissance par les pouvoirs et au premier chef, la papauté. C'est vraiment un ordre à part, directement rattaché au pape” explique le conservateur. En 1307, les templiers sont accusés d'hérésie par Philippe Le Bel, le roi de France, qui ordonne leur arrestation. Les aveux d'hérésie de 138 templiers obtenus sous la torture par l'Inquisition sont consignés sur un rouleau de plus de 22 mètres, exposé aux Archives Nationales. “Des pratiques hérétiques pouvaient exister mais que de là à affirmer qu'elles étaient pratiquées dans l'ensemble de l'ordre du Temple, évidemment c'est faux” clarifie Jean-François Moufflet. Le “coup de bluff” de Philippe le Bel est payant. En 1312, le pape Clément V est contraint de dissoudre l'ordre du Temple. Mais en voulant les faire disparaître, le roi de France durablement fait rentrer les templiers dans la légende. Thèmes abordés : Moyen-Age, templiers, royauté, papauté, croisade "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler avec l'aide de Nathan Laporte- Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction, diffusion et communication : Nathan Laporte- Visuel : Sidonie Mangin
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
Un chemin de croix. Il n'y a pas d'autre mot pour décrire le calvaire des Templiers, les accusations qui ont mené à la leur disparition, et le long travail d'historien qui a permis de les réhabiliter. Grâce à un rouleau où sont retranscrits les interrogatoires de nombreux chevaliers de l'ordre faits prisonniers, on peut enfin le dire : les Templiers ont été les victimes d'une vendetta. Pire, d'une guerre politique entre l'autorité religieuse suprême à laquelle ils référaient, le pape Clément V, et le roi Philippe Le Bel. Fin stratège, ce dernier va les accuser d'hérésie et d'autres crimes aussi graves pour l'époque (dont l'homosexualité). Mais on ne se défend pas contre des allégations pareilles quand elles sont portées par un souverain. Dans cet épisode, l'experte archéologie de Sciences et Avenir, Marine Benoît, remet les choses à leur place : les Templiers n'étaient pas des enfants de chœur mais ils ne méritaient certainement pas de finir ainsi.
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…
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durée : 00:03:39 - Le Pourquoi du comment : histoire - par : Gérard Noiriel - Philippe-le-Bel, qui fut roi de France de 1285 à 1314, a laissé dans l'histoire la réputation d'avoir été un faux monnayeur. Cette rumeur a été propagée dès son vivant par Bernard Saisset, évêque de Pamiers, l'un de ses ennemis intimes.
Avant de devenir l'intraitable beau-père du roi d'Angleterre Edouard II, Philippe le Bel fut l'intraitable suzerain de son père, Edouard Ier. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
L'histoire des templiers a traversé les siècles, au point de devenir une référence récurrente dans la culture populaire que l'on retrouve aussi bien dans Games of Thrones qu'Assassin's Creed. Cet ordre religieux et militaire est créé au XIIème siècle pour protéger les pèlerins sur la route de Jérusalem. “Ils font partie des légendes les plus populaires du Moyen-Age. La façon dont l'ordre a disparu ne peut qu'interpeller” avance Jean-François Moufflet, archiviste paléographe et conservateur. Il est également commissaire de l'exposition sur le procès des templiers, qui se tient du 13 septembre 2023 au 15 janvier 2024 aux Archives Nationales. En sa compagnie, Virginie Girod revient sur la chute de l'ordre des Templiers, un épisode aussi brutal que politiquement cynique, où on lit en creux la rivalité entre le roi de France, Philippe Le Bel, et la papauté. Apparu dans le sillage des croisades, l'ordre du Temple devient rapidement puissant. “Leur influence est due à une reconnaissance par les pouvoirs et au premier chef, la papauté. C'est vraiment un ordre à part, directement rattaché au pape” explique le conservateur. En 1307, les templiers sont accusés d'hérésie par Philippe Le Bel, le roi de France, qui ordonne leur arrestation. Les aveux d'hérésie de 138 templiers obtenus sous la torture par l'Inquisition sont consignés sur un rouleau de plus de 22 mètres, exposé aux Archives Nationales. “Des pratiques hérétiques pouvaient exister mais que de là à affirmer qu'elles étaient pratiquées dans l'ensemble de l'ordre du Temple, évidemment c'est faux” clarifie Jean-François Moufflet. Le “coup de bluff” de Philippe le Bel est payant. En 1312, le pape Clément V est contraint de dissoudre l'ordre du Temple. Mais en voulant les faire disparaître, le roi de France a durablement fait rentrer les templiers dans la légende. Au cœur de l'histoire' est un podcast Europe 1 Studio. - Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler avec Nathan Laporte- Direction artistique : Julien Tharaud- Réalisation : Pierre Cazalot - Musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Communication : Kelly Decroix et Nathan Laporte- Visuel : Sidonie Mangin
Au début du XIVe siècle, la population de Bruges profite des maladresses de la couronne de France pour se révolter contre le nouveau suzerain : Philippe Le Bel. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Dans notre mémoire nationale, la figure de Philippe le Bel reste attachée à une dérive autoritaire de la monarchie capétienne. Longtemps critiqué, il fut pourtant réhabilité par les études historiques tout au long du XIXe siècle. En effet, ce roi a fait la France à plus d'un titre. Son règne s'inscrit dans un contexte de maturation institutionnelle ainsi qu'un mouvement intellectuel juridique et philosophique de grande ampleur. Qui était donc Philippe le Bel ? Quelle fut la singularité du roi par rapport à ses prédécesseurs, Saint Louis et Philippe Auguste ? Comment comprendre les motivations de sa politique à l'égard des templiers ou du pape Boniface VIII ? Quel contenu la royauté donna au droit royal et quelle place pris la religion dans l'exercice du pouvoir ? L'invité : Jacques Krynen est un historien du droit, spécialiste de l'époque médiévale et moderne. Auteur de nombreux ouvrages dont la codirection du Dictionnaire historique des juristes français, XIIe-XXe siècle paru aux PUF (2012). Professeur émérite de l'université de Toulouse Capitole, il a publié récemment : Philippe le Bel, la puissance et la grandeur (Gallimard, 160 pages, 17 €). À lire aussi : -"La Sainte-Chapelle : et la lumière fut" : https://bit.ly/3YanFzs -"Aliénor d'Aquitaine, une souveraine de tête" : https://bit.ly/3kXMC2o -"Machiavel sonne le glas du Moyen Âge politique" : https://bit.ly/3Y7dr2F
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Le 13 octobre 1307, un coup de tonnerre retentit dans Paris et se prolonge dans toute la France. Les templiers sont arrêtés. Le roi Philippe Le Bel, méditait depuis longtemps une action d'envergure contre ces riches Templiers. Des ordres secrets ont été envoyés dans tout le Royaume. Mais alors qui sont les Templiers et ont-ils enfoui un fabuleux trésor ? C'est la question à laquelle l'historien Jean-Joseph Julaud répond dans cet épisode. Mythes mythos, c'est le podcast qui démêle le vrai du faux de l'Histoire, en 5 minutes. Pour écouter plus d'épisodes en avant-première et sans publicité, rendez-vous sur l'application majelan.
Historiquement Vôtre réunit 3 personnages qui se sont fait gifler : le Pape Boniface VIII qui aurait tout simplement été giflé par un soutien du roi français Philippe Le Bel dans ce que l'Histoire a retenu comme “l'attentat d'Agnani". Puis, Philippe d'Orléans, dit “Le Régent” qui lui aussi s'est fait gifler, en public s'il vous plaît, par sa mère, la Princesse Palatine qui ne cautionnait pas son union avec la fille du roi Louis XIV... Et un comédien qui a reçu une gifle plus récemment et devant plus de témoins, lors de la Cérémonie des Oscars : l'imperturbable Chris Rock.
Historiquement Vôtre réunit 3 personnages qui se sont fait gifler : le Pape Boniface VIII qui aurait tout simplement été giflé par un soutien du roi français Philippe Le Bel dans ce que l'Histoire a retenu comme “l'attentat d'Agnani". Puis, Philippe d'Orléans, dit “Le Régent” qui lui aussi s'est fait gifler, en public s'il vous plaît, par sa mère, la Princesse Palatine qui ne cautionnait pas son union avec la fille du roi Louis XIV... Et un comédien qui a reçu une gifle plus récemment et devant plus de témoins, lors de la Cérémonie des Oscars : l'imperturbable Chris Rock.
Il est, avec son grand-père Saint-Louis, le roi de France le plus connu de l'époque médiévale – le plus redouté aussi. Philippe le Bel a-t-il mérité sa réputation de roi de fer ? ou de marbre… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l'exception d'une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l'un d'eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d'Angleterre. C'est le début d'une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…
Pour s'abonner, suivre ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers …
Pour vous abonner, c'est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo De 1296-1357, c'est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d'Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers …
Au début du XIVe siècle, la population de Bruges profite des maladresses de la couronne de France pour se révolter contre le nouveau suzerain : Philippe Le Bel. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Isabelle de France, fille de Philippe Le Bel, et le roi d'Angleterre Edouard II eurent quatre enfants. Pourtant les historiens s'accordent à dire qu'Edouard préférait les hommes. Dans ce nouvel épisode du podcast Europe 1 Studio "Au cœur de l'Histoire", Clémentine Portier-Kaltenbach raconte le fiasco de leur union.
Au cours de l'histoire, il est parfois arrivé que des mariages royaux soient de monumentales "erreurs de casting", lourdes de conséquences. Celle dont fut victime Isabelle de France, fille de Philippe Le Bel, avec Edouard II d'Angleterre, fut sans doute l'une des plus spectaculaires. Dans ce nouvel épisode du podcast Europe 1 Studio "Au cœur de l'Histoire", Clémentine Portier-Kaltenbach raconte cette union chaotique.
Cette date de l'histoire de la chrétienté, racontée par Marc Brunet, est présentée dans le CD Les secrets des papes d'Avignon disponible sur Diffusia.fr
Cet épisode de l'histoire de France, raconté par Marc Brunet, est présenté dans le CD Les secrets des papes d'Avignon disponible sur Diffusia.fr
Isabelle de France, fille de Philippe Le Bel, et le roi d'Angleterre Edouard II eurent quatre enfants. Pourtant les historiens s'accordent à dire qu'Edouard préférait les hommes. Dans ce nouvel épisode du podcast Europe 1 Studio "Au cœur de l'Histoire", Clémentine Portier-Kaltenbach raconte le fiasco de leur union.
Au cours de l'histoire, il est parfois arrivé que des mariages royaux soient de monumentales "erreurs de casting", lourdes de conséquences. Celle dont fut victime Isabelle de France, fille de Philippe Le Bel, avec Edouard II d'Angleterre, fut sans doute l'une des plus spectaculaires. Dans ce nouvel épisode du podcast Europe 1 Studio "Au cœur de l'Histoire", Clémentine Portier-Kaltenbach raconte cette union chaotique.
Cet épisode de l'histoire de notre pays, raconté par Marc Brunet, est présenté dans le CD Petite histoire de France volume 1 de Jacques Bainville disponible sur Diffusia.fr
Face à la mini-série “L'Absente” sur France 2, à Secrets d'histoire : “Philippe Le Bel et l'étrange affaire des templiers” sur France 3 et à “Une affaire française” sur TF1, c'est M6 qui se hisse en tête des audiences de ce lundi soir grâce à l'émission L'amour est dans le pré.
Dans cette émission, Christian Doumergue, auteur et spécialiste de l'affaire de Rennes le Château, va nous parler des Cathares et des Templiers. Accès à la vidéo : https://youtu.be/6iRzzfM3lI4 ▶ Soutenir le podcast sur Tipeee : https://www.tipeee.com/arcana-mysteres-du-monde ▶ Liste des Accademia : http://arcanatv.fr/liste-des-accademia
Il était une fois les lois somptuaires Au cours des siècles, des lois somptuaires ont été promulguées pour règlementer les habitudes de consommations et légiférer sur l'utilisation du luxe. Leur utilité ? Comme au final elles ont été suivies de façons sporadiques ou carrément négligées, on peut douter de leur utilité pratique. Aussi faut-il se référer à l'esprit de ces lois pour les comprendre. Le 1e objet est politique, il s'agit souvent de financer les guerres en recyclant les métaux du luxe en armement ou en monnaie ou encore de donner une exception de magnificence au pouvoir censé représenter la richesse d'un Etat aux yeux de ses voisins qui potentiellement pourrait l'assiéger. Le second objet des lois somptuaires est de rendre visible l'ordre social dans l'objectif de fixer chaque catégorie à l'identique et d'empêcher la pyramide du pouvoir de s'effondrer. Derrière ces interdictions il y a souvent une mesure protectionniste des industries nationales par la volonté de limiter les importations de denrées qui par leur rareté relèvent du domaine du luxe. Un troisième objectif des lois somptuaires est de garantir un ordre moral. Quand tout va mal on s'en prend au luxe dont la superfluité devient synonyme de folles dépenses et s'oppose à la charité. Dans notre époque moderne, la fiscalité a remplacé les lois somptuaires. La TVA sur les produits de luxe de 33 % 1/3 créé en 1954 a pourtant disparu en 1992. Et l'ISF, l'impôt de solidarité sur la fortune a été transformé en un impôt sur la fortune immobilière (IFI) en 2018. Je ne suis pas fiscaliste mais je m'interroge. La joaillerie que j'aime appartient au domaine du luxe. Mais les joailliers que je présente qu'ont-ils en commun avec les 27,9 milliards de dollars de chiffre d'affaires de LVMH, ou les 12,1 de Kering qui pourtant hissent la France en tête du classement des sociétés productrice du luxe mondial ? Ne risque-t-on pas aujourd'hui après cette période d'immobilisme inédite du covid qui va provoquer et provoque déjà nombre de dépôts de bilan et de licenciements, assister à une montée de bouclier contre le luxe taxé de superfétatoire sans considération des métiers d'excellence qui le nourrissent et des mains qui le créent ? C'est pourquoi je vous propose une plongée dans l'histoire des lois somptuaires et de leur motivation. Le mot « somptuaire » vient du latin « sumptus » qui veut dire la dépense, ces lois visent donc à limiter les dépenses des particuliers. Zaleucos de Locres, législateur mythique de la Grèce antique du VIIᵉ siècle av. J.-C créa une des premières lois pour limiter les marques extérieures de richesses. Il préconisait notamment que « nulle femme libre ne doit arborer des bijoux d'or sur elle ni porter une robe brodée à moins qu'elle soit établie comme prostituée et que nul homme ne doit porter de bague en or » Dans la Rome antique la première loi somptuaire fut votée en 215 avant JC. Elle s'appelait Lex Oppia. A l'époque, Hannibal a infligé de lourdes défaites à la république romaine qui en plein milieu de la seconde guerre punique, ne trouve rien de mieux à faire qu'à limiter le luxe des femmes. La Lex Oppia prévoit que les femmes n'ont plus le droit de porter plus d'une demi-once d'or sur elles ce qui équivaut à 13 grammes. Les vêtements multicolores leur sont interdits. Et elles ne peuvent plus utiliser de voiture tirée par des chevaux dans l'enceinte de Rome. On ne voit pas trop comment ces limitations peuvent soutenir le moral de la République. Mais il est à noter que le premier mouvement d'un Etat qui perd sa fierté est de s'en prendre aux femmes par le biais de leur parure. Comme si il y avait une logique à, d'une part, considérer les femmes comme impropres à la citoyenneté, et de l'autre à décrédibiliser leur possession comme ayant un impact négatif sur l'Etat. Cet illogisme n'était pourtant pas dénué de fondement car cette loi est restée célèbre par son abrogation. En effet, les romaines avaient d'abord obéi à la loi, sentant bien qu'en temps de guerre le luxe offense, mais en 195 avant JC, Rome ayant recouvré sa richesse, les romaines se regroupent et vont jusqu'au Sénat demander l'abrogation de la Lex Oppia. Tite-Live raconte « Elles allèrent en masse assiéger la porte des tribuns, qui s'opposaient à la motion de leurs collègues et elles ne s'éloignèrent qu'après avoir obtenu leur désistement ». Cette première manifestation féministe restera dans les mémoires et le consul Caton l'Ancien en s'adressant aux femmes au Sénat exprimera cette peur des femmes en disant "Extemplo simul pares esse coeperint, superiores erunt" ce qui veut dire "Dès qu'elles seront égales, elles seront supérieurs à nous". Les lois somptuaires ne s'arrêteront pourtant pas. Il y aura les lois Orchia, Antia, Licinia, Didia, OEmilia, etc., qui limitent la toilette, les vêtements, les repas, les bijoux… bref toutes les marques extérieures de richesse quand Rolex n'existait pas. En 22, à Rome les sénateurs Quintus Haterius et Octavius Fronton s'insurgent contre «le luxe régnant parmi les citoyens» et propose d'interdire d'utiliser de la vaisselle d'or pour les repas, de réduire l'argenterie, le nombre d'esclaves et le mobilier. Mais comme l'époque était à l'abondance, ces propositions n'auront pas de suite. Au Moyen Age en Italie les ordonnances somptuaires explosent entre le XIIIe et le XVIe siècle. Plus de 300 lois contre le luxe régissent les cérémonies privées, les banquets, les mariages, les funérailles et surtout les vêtements et les ornements féminins. Au Japon à l'époque d'Edo ou ère Tokugawa les lois somptuaires ont pour but de limiter les impayés des samourais dont se plaignent leurs fournisseurs. Et en Bavière ce sera le prince Maximilien-Joseph III de Bavière au XVIIIe qui essaiera de légiférer contre les excès de l'art baroque. La France est l'un des pays où les lois somptuaires ont été les plus nombreuses. Louis 1er commence en 817 par interdire aux évêques tout habillement mondain, les robes de soie ou les ornements d'or. Philippe III le Hardi, en 1279 limite le nombre de vêtements et leur coût par rapport à leur possession en terre et en meuble, c'est-à-dire clairement que l'on doit avoir l'apparence de son statut social. Philippe IV dit Philippe Le Bel de 1224 à 1294 promulgue plusieurs lois qui interdisent les voitures, les fourrures et les pierres précieuses aux bourgeois et défend aux orfèvres de fabriquer de la vaisselle d'or et d'argent aux clients qui n'ont pas un revenu de 6000 livres tournois. Et en 1310, il ordonne carrément à tous sans exception de porter la moitié de leur vaisselle de métal précieux à La Monnaie (c'est-à-dire à la banque centrale de l'époque qu'il est en train de créer). François 1er fera interdire de vendre les étoffes précieuses à ceux qui ne sont pas princes, grands seigneurs ou ecclésiastique. Comme par ailleurs, il fait créer le Camp du drap d'or pour éblouir son rival Henri VIII, cette disposition est clairement une façon de créer des distances sociales. Par la suite il réservera le velours et la soie aux enfants de France. Le luxe devient alors synonyme de pouvoir royal. Dans l'édit de 1521 où il dépouille même le clergé en ordonnant de porter l'argenterie à la monnaie pour la fondre, il affirme ce pouvoir absolu en reprenant les marqueurs de luxe auprès de la caste supérieure qu'il a créé. Henri II, Charles IX et Henri III promulgueront aussi leurs lois somptuaires qui interdiront pêle-mêle la parure à certaines catégories sociales, la futilité à tous ou l'importation des matières comme la soie. Leur croyance est que le luxe distingue le pouvoir en le rendant reconnaissable, Henri III parle même d'usurpation des habillements et se désole qu'« Il n'y a à présent aucune distinction entre les roturiers et les Nobles, soit pour le regard de leurs personnes ou de leurs femmes : lequel désordre engendre une confusion telle qu'on ne peut discerner les uns d'avec les autres. » Ce qui montre que ces lois n'ont que peu d'effet et fait dire à Montaigne : « Que les Rois commencent à quitter ces despences, ce sera faict en un mois, sans edicts et sans ordonnance : nous irons tous apres. La Loy devroit dire, au rebours, que le cramoisy et l'orfevrerie est défendüe à toute espece de gens, sauf aux basteleurs et aux courtisanes. » Henri IV avec la loi somptuaire de 1604, défend l'or et l'argent dans le vêtement à tous les sujets du royaume, sauf aux filous et aux femmes de joie en qui, car "nous ne prenons pas assez d'intérêt pour leur faire l'honneur de donner attention à leur mise". Ce qui ne l'empêche pas de laisse ses maitresses se parer et d'offrir de magnifique bijoux à Gabrielle d'Estrées. On sait par ailleurs qu'il faisait peu attention à sa mise et qu'il ne se souciait que de son panache qu'il accrochait avec un bijou. Son luxe à lui est de constituer le trésor de la Bastille pour faire face à toute déclaration de guerre de ses voisins. Son intention est que le luxe est au service public, il déclare « Nostre Noblesse, laquelle deust conserver ses biens et moyens à eux delaissez par leurs ayeuls, pour l'employer avec honneur au service et bien de cet Estat, duquel elle est le principal soutien. » Les édits de 1613, 1623, 1629, 1633, 1634 et 1639 de Louis XIII régissent aussi le costume, mais on sait que c'était un roi qui aimait la simplicité. Il déclare “La licence, née dans la confusion de la guerre, a été suivie du luxe, qui a pris un tel accroissement par la connivence des magistrats, qu'il est pour réduire ce royaume à une langueur mortelle”.C'est aussi un roi pieux et son édit de 1639, interdit toutes broderies et passements de métal précieux, dentelles, perles, boutons de métal et autres produits de luxe, à l'exception de leur utilisation dans les églises. Louis XIV, le roi le plus luxueux, sera aussi celui qui édictera le plus de lois, édits et déclarations contre le luxe. Lui qui exige une cour chamarrée dénonce en 1660 le luxe des habits, carrosses et ornements et se pose comme un pater familias qui défend ses enfants contre eux même Plus grave, il déclare : « Le tort est bien partagé entre les fabricants-vendeurs tentateurs, et les clients pris à ce miroir aux alouettes ». Après avoir accusé le commerce d'incitation au gaspillage par le luxe, il crée des interdictions protectionnistes et déclare « Il faut donc interdire ou taxer fortement les achats et importations venus du dehors en ce domaine. Il faut décourager le marché des produits du luxe vestimentaire et ostentatoire par des mesures coercitives assorties de menaces de confiscation et d'amendes, avec prime versée à la délation. » Il est à noter que les lois somptuaires de Louis XIV destinés à limiter le luxe pour garder la richesse de l'Etat auront les effets contraires. A partir de la révocation de l'Édit de Nantes ; l'édit de 1687, pour éviter la fonte du métal précieux, et l'édit du 29 mars 1700 qui fait défense de porter des diamants, perles et pierres précieuses ne feront a contrario qu'accentuer les difficultés économiques. La question du luxe soulève les notions d'avoir et d'être. Déjà au XVIIe, Pierre Le Moyne écrivait : « Que sert-il de luire et d'être paré, si l'on a pas en dedans des parures qui répondent à celles de dehors ? » Aujourd'hui particulièrement ces notions se télescopent et peinent à se conjuguer. Elles se voient dans la méfiance des millénials envers les marques, leur attention pour une consommation plus authentique de biens produits en prenant en compte les impacts sociétaux et environnementaux. Bien plus forte qu'une loi somptuaire, la sélection des consommateurs peut révolutionner et a déjà commencer à faire muter le luxe. Encore faut-il que cette voix soit éclairée. Comment se faire une opinion claire quand les groupes de luxe sont aujourd'hui devenu tellement tentaculaires qu'ils en deviennent supra étatique et qu'une décision d'événement impacte d'innombrable métiers, une ville entière, voire même la place d'un pays dans l'échelle de valeur. Comment être certain de produire juste quand on a d'un côté des super riches dont le nombre explose et des citoyens qui ont tout perdu en quelque mois d'immobilité sanitaire ? Comment consommer juste quand le luxe et le bijou paraissent superfétatoires au regard de ceux qui peine à joindre les 2 bouts ? Il faut alors considérer le produit de luxe, et donc le bijou, comme le résultat de nombreux savoir faire qui continuent à donner à la France une place d'exception. On peut se tourner vers des artisans et des créateurs qui non seulement produisent à côté de chez vous mais également créeront un bijou qui sera authentiquement le votre, unique, par leur connaissance de la matière, par le travail de leur main et par l'attention qu'ils savent porter à chacun de leur client quelque soit leur moyen et leur envie. On peut se tourner vers les maisons de vente ou les antiquaires, qui non seulement permettent d'acquérir des objets précieux à un prix juste mais encore offre la possibilité de sauvegarder un patrimoine et des savoir-faire d'antan. Il faut célébrer les joies de la vie, petites ou grandes, en offrant un objet précieux, un bijou, qui représente bien plus que ce que l'argent peut acheter et que l'on pourra transmettre. Il faut accepter de se dire que ce n'est pas en se privant que les autres vont mieux et que la consommation d'un luxe carrément raisonnée comme l'est l'achat d'un bijou chez un joaillier à un sens : encenser des savoir faire, faire travailler des artisans et célébrer la vie aujourd'hui et pour le futur. Bien sûr s'acheter un bijou n'est pas la solution même à un seul problème. Mais le discours de la vanité ne doit pas obérer la réalité d'un secteur constitué en grande partie d'artisans et de petites structures qu'une fausse pudeur consommatrice enfoncerait encore davantage dans une incertitude et une fragilité qui pourrait être fatale à des savoir faire qui en disparaissant paupériseraient tout une économie en plus de la renommé que notre pays a mis des siècles à acquérir. C'est par ce plaidoyer en faveur d'un secteur que j'aime que se termine cette histoire d'Il était une fois le bijou. Je vous invite à me faire part de votre opinion sur l'Instagram ou la page Facebook d'il était une fois le bijou ou sur le profil Linkedin à mon nom Anne Desmarest de Jotemps. Je vous souhaite une jolie semaine et vous donne rendez-vous dimanche prochain. Si vous voulez m'encouragez, partager ce podcast et les bijoux bisous tout autour de vous. A bientôt pour un prochain bijou, un nouveau bisou du dimanche soir. Site Instagram Facebook Twitter Linkedin